Sujet: Volodia ϟ Loin du froid de décembre [termine] Mer 22 Sep - 15:21
LE PASSEPORT DU SORCIER
Nom : Tchaïkovsky Prénom : Vladimir, Misha Surnom : Volodia, Volo'; Mish' Âge : 17 ans Curus, option(s) : Cursus normal. Année scolaire : Septième année. Nature du sang : sang mêlé.
LE JOUEUR N'EST PAS LOIN
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Dernière édition par Vladimir Tchaïkovsky le Jeu 23 Sep - 19:22, édité 6 fois
Invité
Sujet: Re: Volodia ϟ Loin du froid de décembre [termine] Mer 22 Sep - 15:21
"MOI LE MAGICIEN"
♦ CORRESPONDANCE DE VLADIMIR TCHAÏKOVSKY
Mon très cher G, Je dois dire que nos discussions me manquent, bien plus depuis que les cours ont commencés à Poudlard. Nous en étions où lors de nos dernières lettres ? Ah, oui ! Tu voulais en savoir plus sur moi. Je suis donc né dans le grand hôpital de Moscou, comme mon frère et ma sœur. J'étais le petit dernier de Nikolaï & Vika Tchaïkovsky, à la fois Ministre des Jeux et Sports Magiques pour lui, et Médicomage, pour elle. Je dois dire que comme tout petit dernier, j'ai eu la chance d'être pourri, gâté. J'avais ce sourire qui arrivait à faire fondre mes parents, malgré toutes mes bêtises d'enfants. J'ai vite compris que j'arriverais à faire ce que je voulais à la maison, ce qui énervait grandement Stan et Leo. Je pouvais le voir, alors que je courrais dans les jupons de notre chère mère dés qu'ils haussaient le ton. Ma sœur avait la plus forte personnalité, et ne cédait pas à mes petits chantages affectifs, alors que j'arrivais encore à faire plier mon grand frère de l'autre côté. Combien de fois j'ai emprunté les affaires de Stan sans me faire gronder. Car j'avais beau être choyé, je m'amusais beaucoup plus avec leurs affaires. Victime de leur implication dans le monde magique, mes parents m'ont vite délaissés pour travailler. Je n'avais plus personne pour me protéger, et ma grande sœur était bien décidé à me faire payer ses années d'oisiveté. Le tout sans méchanceté, car nous étions pas des enfants difficiles, et au final nous nous aimions. Comme tout enfant, nous aimions nous amuser et faire des bêtises dans notre grande demeure aux portes de la capitale. Leo, la première aimait tourmenter notre babouchka, qui avait pour rôle de nous garder quand nos parents s'absentaient. Je suis entré tout naturellement dans le cercle de ce trio infernal. Je me souviens qu'elle aimait me terrifier la nuit venue; « Devine qui va venir te dévorer les pieds mon petit volodia ? Oui tu as été un très méchant petit garçon... » me disait-elle. Ce qui m'obligeait à retrouver Stan dans son lit à son grand désarroi. Il avait beau me dire que j'étais trop grand pour cela, je ne pouvais pas m'en empêcher. Cela reste des beaux souvenirs... »
Puis un soir tout changea, Nous étions en vacances chez tante Anastasia, j'avais passé cette journée d'abord dans la cuisine à regarder des desserts apparaître comme par magie. Je regardais cette baguette comme hypnotisé, j'avais tellement hâte d'avoir ma propre baguette. Cela ne me suffisait plus de faire bouger la neige au grès de mes jeux. Ce que je voulais surtout c'était ressembler à mon grand frère. Comme tout petit garçon, j'idéalisais celui qui avait trois années de plus que moi. Je voulais tout faire comme lui, et alors que j'étais caché sous le lit, je les avais entendus faire ce pari idiot. Leo avait laissé son écharpe rouge dans cette clairière, ou ils avaient refusés que je les accompagnent, soi disant que j'étais bien trop jeune. Je savais donc que Stan allait faire le mur la nuit même, dans mon esprit, il était clair qu'il n'allait pas profiter de cette aventure sans moi. Je me suis donc glissé hors de mon lit comme une mangouste, les oreilles et les sens en alerte. Je me suis emmitouflé dans mon manteau de couleur neige, et je l'ai attendu dans le jardin. Ce qui était bien d'être petit, c'est qu'en marchant doucement, je n'arrivais pas à me faire repérer. Je gardais mes distances, j'en avais l'habitude quand j'espionnais Stan et Leo à la maison. Je m'arrêta quand mon frère trouva avant l'écharpe tant désirée. Je pensais le féliciter par moi même quand ma gorge se noua, une bête gigantesque s'approchait de son frère adoré. J'ai essayé de hurler pour le prévenir, ce qui aurait pu surement le sauver. Mais plus j'essayais de pousser sur ma voix absente, mais j'étais complétement paralysé par la peur. Je vis avec horreur mon frère se faire agresser par un loup-garou. Dans ma grande honte, j'ai ajouté la fuite à mon délie. Je pensais que mon cœur allait exploser dans ma poitrine et je voulais qu'une chose, disparaître. J'ai couru plus vite que le vent, comme si la peur m'avait donné des ailes. Je suis monté dans la chambre de mon oncle et de ma tante; « Diada ! Diada ! C'est Stass...il est dans la clairière...Un monstre l'attaque ! Il faut l'aider... »J'ai hurlé aux oreilles d'Alekseï et il m'a suivit sans me demander une seule explication. Je pense que mes larmes et mon visage terrifié a aidé mon oncle à prendre ma requête au sérieux. Il m'a attrapé par le bras et tout tourna autour de moi. En, un instant je me retrouvais dans cette clairière. J'ai bien cru que j'allais vomir, en comprenant que bien plus tard que j'avais transplaner. Le spectacle qui suivit, fut encore pire à mes yeux. Tout ce sang dans cette neige qui n'avait plus rien de blanc me paralysa à nouveau, je resta à bonne distance, derrière un arbre à me dire, que je venais de perdre mon frère. Ma tante arriva derrière moi et m'obligea à la suivre, elle ne voulait pas que je vois la suite. C'est uniquement le lendemain, que je fus réjouis de voir mon frère en vie, et je n'ai pas lâché son chevet pendant au moins une semaine...»
Ce que j'ai pu détesté ma sœur après tout cela, je n'ai jamais avoué à Stan la vérité sur cette nuit, mon frère avait survécu mais il serait maudit pour toujours de la malédiction de lycanthropie. Les changements dans nos vies, le déménagement pour que Stan puisse rentrer dans une école qui accepte sa différence, ne m'aida pas à me calmer. Je détestais Londres, et je déteste toujours même à ce jour cette ville. Alors, que mon frère et ma sœur faisaient leur rentrée à Poudlard, je devais pour ma part rester avec ma nourrice. Mes parents trop occupés dans leur nouvelle affections me donnait envie de tout casser. C'est à ce moment que je montrais mes premiers signes de rébellion. J'étais devenu infernal, utilisant tout mon temps libre pour faire tourner Leo en bourrique, mes farces étaient de plus en méchantes, je dois bien l'avouer. Ma nourrice avait beau me sermonner, je ne lâchais rien. Même punit, je continuais de regarder ma sœur avec ce regard de défit. Je suppose que c'est pour cela que pour les vacances d'été, j'ai été séparé pour la première fois de mon frère et de ma sœur. Pour ton propre bien et ton indépendance, tu vas aller passer l'été chez l'oncle Alekseï, c'est notre décision, et c'est irrévocable, m'annonça ma mère alors qu'elle avait déjà fait mes bagages. C'était la pleine lune, et je ne pu même pas dire au revoir à Stan, j'étais dévasté. Pourtant, c'est à cette époque que nous nous sommes rencontrés. Je m'en souviens comme si c'était hier, j'étais ce petit garçon à qui vous aviez offert une pierre, soi-disant magique. Je l'ai toujours sur moi, si cela peu vous rassurer. Bien sûr, ce fut deux ans plus tard où j'ai enfin osé vous adresser la parole. Ce fut un été merveilleux, mais le retour à Londres fut entaché de sang et de larmes. Mon frère n'avait pas guérit mystérieusement, et je n'arrivais plus à garder ma langue dans ma poche. Je me souviens de ce jour fatidique où mon père enferma à nouveau Stan dans sa cage et que j'ai eu ses mots blessants envers Leo ; « Tout ça c’est de ta faute ! Si Stass souffre autant, c’est de ta faute ! Toi et tes paris débiles ! Tu pourrais au moins partager son fardeau au lieu de tout le temps l’éviter ! » Mais cela ne c'était pas arrêté là, j'avais quitté la pièce et je fus rattrapé par ma mère qui voulut me sermonner à l'abri des regards indiscrets ; « мой ребенок, soit plus doux avec ta sœur, tu sais, tu n'en as qu'une et tu dois bien t'en occuper. » et j'ai alors prononcé des paroles que je regretterais maintenant toute ma vie ; « Jamais ! Je veux qu'elle meure. Vous m'entendez ? Qu'elle meure !! » hurlais-je en m'enfuyant dans ma chambre, et j'ai pleuré à mon tour. Je me suis couché, pensant m'excuser le lendemain auprès de ma sœur, mais aux premières lueurs du jour, elle était morte...
La maison n'était plus la même après l'accident, Ce fut très dur pour moi de vivre encore une année enfermé entre ses murs, c'était morbide. Je devins de plus en plus froid avec Stass, comme si nous n'étions plus que des voisins. Déjà, je faisais tout pour être absent lors de ses retours estivaux. Je préférais rejoindre ma mère patrie, ses lacs gelées et votre compagnie. Mon oncle accepta que je vous adresse la parole, vous aviez tellement d'histoires à me compter. Ma tante était très paniquée à l'idée que je vous parle, et malgré ses sermons, je revenais chaque été. Poudlard, commença l'année suivante, et je maudissais toute ma famille de m'envoyer dans cette école. Je voulais faire comme vous et rejoindre Dumstrang, et j'ai eu beau pleurer, personne ne m'écouta. Heureusement, c'est à ce moment que nous avons commencé nos échanges par écrit. Je ne sais pas comment vous avez réussit ce petit miracle, mais je ne m'attendais pas à moins avec votre réputation. C'était très dur de me retrouver avec mon propre frère, même si nous n'étions pas dans les mêmes cours. Je sentais bien qu'il souhaitait un rapprochement, mais je ne pouvais pas. Il pensait que je le détestais, mais c'était tout le contraire. Je me détestais moi, après tout, si j'avais pu hurlé ce soir là dans cette clairière, il ne serait surement pas été maudit. Et, si j'avais pas souhaité la morte de ma sœur, elle serait surement, elle aussi encore en vie. Je devins alors un élève particulièrement turbulent, pas impossible à vivre, car Poudlard reste une école stricte. Mais je me lançais à cœur perdu dans les conflits entre les maisons, chaque concours pour nous départager me donnait des ailes. Même si au final je finissais par me faire taper sur les doigts ; « Monsieur Thaïkovsky, mademoiselle Lagrange pleure encore ! Elle ne veut pas vous dénoncer mais j'ai la conviction que c'est vous. Ces petits jeux sont idiots, pourquoi vous ne prenez pas exemple sur votre frère. Cela nous ferrait du bien à tous...» me sermonna ma directrice de maison. Je ne voulais pas lui ressembler, il était plutôt doué en Quiddtich et en cours. Et, même s'il était plutôt solitaire, je voyais bien que cela plaisait, et qu'il attirait tout les regards. Moi, qui faisait tout pour l'éviter, à partir de ma troisième année, les filles, elles mêmes, venaient me trouver ; « Hey, toi ! Tu es bien le frère de Stanislas ? Bon, tu pourrais nous présenter, moi et ma copine ? Il est trop beau...Il a une copine ? Il fait quoi cet été ?» Moi, je n'attendais plus qu'une chose finir l'année pour vous retrouver. J'aimais vos récits sur l'ancienne magie, et son pouvoir. Je vous posais beaucoup de questions sur le moyen de ramener quelqu'un à la vie. C'est un sujet qui me tient à cœur. J'en ai fait des tours à Barjow et Beurk dans l'allée des embrumes pour trouver les ouvrages que vous m'aviez conseillé. Je sais qu'ils sont interdits, et ne vous inquiétez pas, j'ai procédé comme vous me l'aviez apprit pour les dissimuler. Je sentais leurs forces, et je les garde précieusement, ayant toujours peur que mon frère tombe dessus. Une nouvelle année commence bientôt et j'ai bien reçu votre dernier envoie.Merci pour votre propre édition des Contes de Beedle le Barde, je vais lire avec attention vos annotations. J'ai hâte...pour pouvoir payer enfin ma dette à mon frère... Je vous quitte mon très cher Grindelwald.
Votre ami Vladimir Tchaïckovsy.
Invité
Sujet: Re: Volodia ϟ Loin du froid de décembre [termine] Jeu 23 Sep - 17:26
Lil' bro' ! <3 Welcome ! =D ( pour moi tout est ok ^^ )
Invité
Sujet: Re: Volodia ϟ Loin du froid de décembre [termine] Jeu 23 Sep - 19:00
Ok frérot Je pense avoir terminé ma fiche donc
Invité
Sujet: Re: Volodia ϟ Loin du froid de décembre [termine] Jeu 23 Sep - 19:34
Bienvenue :)
Invité
Sujet: Re: Volodia ϟ Loin du froid de décembre [termine] Sam 25 Sep - 7:32
Merci
Ysölde M. Wilkes McFays
first Log-in : 29/06/2010 parchemins : 8416
Sujet: Re: Volodia ϟ Loin du froid de décembre [termine] Sam 25 Sep - 11:20
Bienvenue sur Salvio Hexia désolé d'avance du temps de validation, mais une semaine chargée, ça ne se prévoit pas toujours. Je te valide à serpentard (:
PS : n'oublie pas d'aller réserver ton avatar dans le bottin (:
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Sujet: Re: Volodia ϟ Loin du froid de décembre [termine]
Volodia ϟ Loin du froid de décembre [termine]
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