ALARÌC ♣ rise and rise again

LE PASSEPORT DU SORCIER

Nom : Mac Giolla Phàdraig n'est pas un nom très courant auprès de la communauté sorcière puisqu'il est justement loin d'être sorcier. Pour être plus explicite, le père d'Alarìc, Danitza & Nìallan était & demeure un enfant de moldu sans aucun artifice quelconque. En un terme plus courant, Damen Mac Giolla Phàdraig est un moldu. Pour ce qui est de leur mère, elle ne tenait pas à donner son nom sorcier à ses enfants puisqu'elle est une né-moldu, sang-de-bourbe si vous préférez.
Prénom : Mon premier prénom, celui dit usuel n'est autre qu'Alarìc. Je sais, ce n'est vraiment pas courant, mais avouer qu'avec mon nom irlandais c'est magnifique. En réalité, ce prénom est d'origine germanique plus précisément gothique. Ce dernier signifie « Le chef de tout », n'est-ce pas amusant vu mon caractère? En ce qui concerne mes second & troisième prénom, ils sont tout ce qu'il y a de plus irlandais. Le premier Laserian est la forme irlandaise du prénom habraïque Lazare signifiant « Dieu à aidé ». Finalement, je porte le prénom Oengus ayant pour traduction directe « un vigoureux ».
Surnom : J'adore les surnom, selon moi, ça démontre l'esprit de camaraderie de quelqu'un. S'il n'a aucun surnom (à moins que son prénom soit très court) se sont généralement des gens avec qui je suis suceptible de bien m'entendre. Moi qui adore affubler tout le monde d'un surnom farfelu! En ce qui me concerne, les gens m,appelle Ala (je suis bel et bien un dieu), Rick, Gus ou Mac.
Age : Je vis le jour le dix-huit décembre mille neuf cents quatre-vingt-onze à Drogheda dans le comté de Louth en Irlande. Si vous prenez le temps de compter, vous vous rendrez compte que j'ai déjà atteint la majorité depuis plus d'un ans. Je suis âgé de dix-huit ans.
Curus, option(s) : Depuis tout petit, j'adore les animaux. Bien que j'ai principalement baigné dans un monde sans magie, j'ai toujours été fasciné par ceux fantastique. Principalement les loups-garous, les hyppogriffes & les dragons. L'an dernier, lorsque j'ai dut choisir un cursus d'étude, je n'ai pas hésiter à sélectionner celui concernant l'étude de la faune & flore magique. Herboriste, éleveur de dragons & hyppogriffes ou même chasseur de loup-garous dangereux font partie intégrante de mon futur.
Année scolaire : Étudiant de première année dans le cycle universitaire section faune & flore magique, j'entame ma huitième année au sein de l'école Poudlard.
Nature du sang : La nature de mon sang est un point bien assez complexe à définir. On me classe comme sang-mêlé, mais c'est tout juste si c'est réellement le cas. Pour mieux comprendre, faut revenir à l'histoire de base de ma famille. Dans un sens comme dans l'autre, je suis issu de moldu. Mon père n'est rien de plus qu'un humain sans artifice quelconque. Il n,a aucun pouvoir & n'est pas cracmol. C'est un moldu tout ce qu'il y a de plus moldu. Pour ce qui est de ma mère, elle est issu de deux parents sans pouvoirs. Pour être plus précis, elle est une née moldue, une sang de bourbe si vous préférez. Avec le très peu de sang sorcier que nous disposons, c'est un pur miracle que Nìallan, Danitza & moi soyons tous doté de pouvoirs. La question persiste néanmoins, sommes-nous réellement des sang-mêlés? J'en doute fort.

"MOI LE MAGICIEN"

Drogheda, 31 Août

Chère Journal,

Le jour où la terre s’arrêtera de tourner, je ne serai plus que poussière dans une tombe. Enfin, j’espère. Quel horreur se serait que de vivre dans une éternelle noirceur. La nuit, il y a tellement de mystères, tellement de coup bas & de secrets. Lorsqu’il fait noir, les gens se permettent les pires horreurs. À l’inverse, vivre dans une éternelle lumière, une quiétude infinie serait insupportable. Comme ne pourrions-nous pas apercevoir, ne serais-ce qu’une infime partie du revers de la médaille? La vie n’est qu’une perpétuelle aventure. Comme les meilleurs films, ils seraient impossibles d’y enlever tous les bons moments puisque l’histoire serait trop lourde. Et si on y soustrait les mauvais, le film est jugé irréaliste, trop parfait. Jean Grenier à dit un jour : « Il est aussi noble de tendre à l'équilibre qu'à la perfection ; car c'est une perfection que de garder l'équilibre. » Ne serions-nous pas complètement cinglés que d’oublier ces nobles paroles?

Je ne me considère pas meilleur que quiconque, puisque je ne le suis point. En réalité, qui suis-je? Ça ne vous avancerait pas à grand-chose de savoir que je suis le troisième & dernier enfant d’une famille Irlandaise. Presque complètement moldue la famille, soit dite en passant. Le troisième enfant, deuxième fils, le cadet. Lors que je suis né, une froide journée de Décembre, ma sœur avait tous justes deux ans alors que mon frère en avait cinq. Je n’étais pas prévu, un pur accident. À l’époque, ma mère croyait qu’elle n’allait jamais mener sa grossesse à terme. Elle avait eu tellement de complication alors qu’elle portait Danitza que la simple idée de vouloir un troisième enfant était inconcevable. Pourtant, je suis là. Pur accident, mais tellement de bonheur pour tout le monde. Lorsque j’ai vu le jour, j’étais ce qu’il y avait de plus... bleu. Un bébé prématuré arrivant au monde avec la peau couleur myrtille n’annonce rien de bon. Paniqué, les infirmiers & médecin de l’hôpital me firent passer tout les tests possibles & imaginables pour en venir à un constat que je n’étais pas malade, et même que je resplendissais de santé. Ne comprenant plus rien, ils n’ont eux d’autre choix que de me renvoyé à la maison avec mes parents.

Aujourd’hui, quand je repense à ce jour, celui dont je ne me souviens que ce que les autres ont acceptés de me dire, je me rends compte que j’ai eu de la chance. Comment expliquer à un hôpital peuplé de moldus que le bébé bleu était en réalité un jeune sorcier bien spécial? Je crois bien que la fin du monde prévu pour 2012 aurait été devancé par celle des sorciers & ce, le 18 Décembre 1991. J’aurais très bien pu finir dans un laboratoire en tant que cobaye. Par chance, mon mère maîtrisait très bien les sortilèges d’amnésie. Vous imaginez ce que cela aurait pu donner? Déjà à cette époque, l'enfant tant attendu causait des problèmes bien malgré lui aux gens qu'il aimait.

CHAPITRE UN : NÌALLAN

« Ditez-nous, que savez-vous du gamin des voisins?» ,demanda le journaliste de manière très indiscrète à la vieille dame. Cette dernière ne devait pas faire plus d’un mètre cinquante-cinq & ne me portait pas vraiment dans son cœur depuis que je lui avais fichu une de ses trouilles. Il y a quelques années, mes parents avaient été obligés de se déplacer d’urgence pour quelques heures. Ne sachant pas quoi faire de moi & mes aînés, ils nous avaient confiés à Mrs MacCormack qui avait gentiment acceptée de nous garder. Sauf que, petit problème, je m’étais ramassé avec un bras transformé en tentacule à léviter au milieu du salon. Elle avait tellement eu peur qu’elle s’était enfermée dans sa chambre jusqu’à ce que mes parents reviennent nous prendre. Depuis, elle changeait de trottoir dès que j’apparaissais au coin de la rue. Pour ce qui est de mes parents, ils ont engagés une femme qui vient nous surveiller lorsqu’ils sortent, une sorcière cette fois.

« Si vous faites allusion au plus jeune fils Mac Giolla Phàdraig, je vous conseil de vous tenir le plus loin possible de loin. Il n’est pas normal vous dis-je, c’est la réincarnation du diable! », souffla-t-elle apeurée. La caméra était fixée sur le journaliste & la voisine. Planqué dans les buissons, j’espionnais les manigances des moldus. Le journaliste radotait des choses bien insensées & exagérées sur mes pouvoirs. Il disait que j’arrivais à voler, à changer de couleur, que je pouvais contrôler les gens seulement en les regardant dans leur yeux, que j’arrivais à tuer par la simple pensé & que je me rendais invisible pour mieux effrayer les bonnes personnes dans leur sommeil. Des inventions, rien de plus. Déjà, la moitié de toutes ses histoires n’étaient, justement, que des histoires. Ensuite, comment un gamin de neuf ans pourrait-il effectuer ne serait-ce qu’une seule de ses choses consciemment. Oui, j’étais un sorcier, mais je n’étais pas cinglé. J’avais beau avoir une quantité de magie anormalement élevé dans le corps, ça n’empêche pas que je n’étais qu’un enfant. Doux & sensible, du haut de mes neuf ans, je n’étais pas le moins du monde dangereux voir même méchant.

Une main se referma sur mon épaule droite. Je me raidis, effrayé. Qui (ou quoi) avait bien pu m’agripper aussi solidement? Une autre main me bâillonna pour m’empêcher de crier. Je fus tiré vers l’arrière, on me sorti fermement des buissons avant de m’entraîner vers la cabane en bois destinée au rangement des outils. Brusquement, Nìallan me poussa en direction de l’établie. Il me toisa d’un œil mauvais avant de me lancer fermement : « Non d’un troll, à quoi tu joues? »

Incrédule, je le fixai sans savoir ce que je devais répondre. Dans ma tête, tout tourbillonnait, j’étais déstabilisé par ce que je venais d’entendre & la réprimande de mon aîné se situait bien loin dans mon esprit. « Alarìc, tu m’écoutes? Hey! » Il me secoua doucement, avec pour seule intention que d’attirer mon attention. Lorsqu’il senti que son but était atteint, mon frère recommença à parler à voix base. « Tu sais très bien ce que maman & papa ton dis, tu ne dois pas t’approcher des étrangers ou de quiconque en dehors de nous tant que le ministère n'a pas tout arrangé. Ce serait dangereux pour toi. Tu imagines si ce journaliste était tombé sur toi? » Toujours ahuri par ma soudaine capture, je n’arrivais pas à formuler la moindre phrase. Je le fixais, comme s’il venait d’une autre planète. « Déjà que le simple fait d’être un sorcier te rend vulnérable avec ton don tu es en danger! » Je sentis les larmes me monter aux yeux. « Ma… Mais, je voulais seulement m’amuser. Tu te rends compte, je ne peux fréquenter aucun enfant en dehors de toi & Danitza. Dans un peu moins de deux semaines, vous serez tout les deux à Poudlard. Que vais-je faire tout seul Nìallan? » Le regard de l’adolescent s’attendrit. Dans ses yeux, je pouvais apercevoir la compassion qu’il avait à mon égard. « Je comprend p’tit frère. Allez vient, on va aller remplir le temps qui nous reste de manière un peu plus amusante », lâcha-t-il avant de m’entraîner vers l’extérieur. Nìallan avait toujours été ainsi. Il faisait tout pour me protéger contre les erreurs que je pourrais faire moi-même, mais il n’hésitait jamais à changer de sujet dans le simple but de me remonter le moral.

CHAPITRE DEUX : YSOLTE

Mes pieds glacés foulaient le sol de terre battue. Il faisait noir, les ténèbres m’entouraient. Seul, au milieu de nulle part avec pour seule vêtement le bas de mon pyjama. Je me sentais vulnérable. Des yeux. Des yeux jaunes & globuleux m’entouraient. Ils me fixaient. Sans corps, ils semblaient flotter dans le vide comme la tête de ce chat violet dans ce compte moldu. Il reste néanmoins que mes yeux, ceux qui m’espionnaient, n’avaient rien d’amusant. Sérieusement, ils fichaient réellement la trouille. Je n’en pouvais plus de rester planter là. J’avais l’impression d’être une tranche de steak bien saignant dans la cage d’un lion affamé. Je respirai un bon coup, lançai un dernier regard autour de moi avait de prendre mes jambes à mon coup. Je courrais, mais ils me suivaient. Plus j’allais rapidement, plus les paires de yeux faisaient de même. Je commençai à m’épuiser, mon énergie me quittait bien rapidement. Je tins seulement quelques minutes avant de m’effondrer sur le sol omniprésent. Les dizaines de points jaunes me fixaient, ils se rapprochaient. Je voulais me relever, m’enfuir. La force me manquait. Les yeux s’approchaient dangereusement de mon corps tétanisé. Soudain, ce n’était plus que de simples globes oculaires effrayant, mais de vrais bêtes terrifiants. La distance entre moi & ce film d’horreur diminuait de secondes en secondes. Et puis, elles m’ont sauté dessus…

« AHHHHHHHH!!!!!!!!!!!! », m’écriais-je en me redressant soudainement dans mon lit. De la sueur me coulait sur le front, la nuque & dans le dos. Le souffle court, je jetai des regards circulaires dans la pièce. Les rayons lunaires s’étant faufilés par les carreaux de ma fenêtre m’offrait une excellente vue sur ma chambre. La commode, bien à sa place sur le mur à ma gauche était un vrai ramassis de babioles en tout genre. Accroché à la porte de ma chambre, mon uniforme de Poudlard, tout neuf puisque j’avais tellement grandis depuis l’an dernier, pendouillait tristement. En dehors de mon aquarium, la cage de mes gerbilles & ma chouette, il n’y avait pas âme qui vive dans la pièce. J’entendis le grattement & un son plaintif venant de derrière la porte. Ne tenant pas à sortir de la chaleur réconfortante de mon lit, j’ignorai le son que produisait mon copain canin. Je me contentai de me laisser tomber sur les oreillers, espérant pouvoir me rendormir le plus rapidement possible. Alors que je sentais mon esprit sur le point de tomber dans un profond sommeil, un courant d’air particulièrement froid vint me frôler le bout du nez. Sachant que la fenêtre ainsi que la porte étaient bien fermés, je me redresse subitement. Un large sourire illumine mon visage alors que la courtepointe placé au pied de mon lit se soulève.

« Ysolte! », soufflais-je amusé. La couverture s’envola vers le plafond alors qu’un rire cristallin inondait la pièce. Elle était enfin revenue. Après deux long mois d’attente parce que madame me faisait la tête, elle était enfin de retour. Doucement, comme si elle ne pesait pas plus lourd qu’une plume, la courtepointe redescendit pour venir s’étendre sur mon corps. Le fantôme de mon amie vint s’asseoir tout près de moi ce qui me permis de bien distinguai son visage sous la faible lumière lunaire. De se yeux verts-dorés, elle me regarda des pieds à la tête avec de petits hochements appréciateur. J’éclatai de rire.

« Ça me fait tellement plaisir de te voir! », m’exclamais-je entre deux éclats de rire.
« Hey! Ce n’est pas parce que je suis là que je t’ai pardonné de m’avoir abandonné. », lâcha-t-elle d’un air faussement contrarié. Je plongeai mes yeux de les siens. Nous restâmes un moment à nous défier du regard avant de pouffer de rire. Trop heureuse pour rester tranquille, Ysolte s’envola vers le plafond & fit quelques petites cabrioles avant de redescendre vers le sol.

« Aller paresseux, sort du lit! » Je jetai un regard sceptique à mon réveil matin puis à mon amie & de nouveau au réveil. « Fait pas ta chochotte Alarìc Mac Giolla Phàdraig. Nous avons déjà fait ça des milliers de fois. Ce n’est pas comme si je ne t’aurais jamais vu en slip. », déclara Ysolte d’un ton moqueur. « Pas rapport! Ça n’a aucun… » « Tu m’en veux? » « Non! Biensur que non, c’est seulement que… et bien, je repars demain et puis… Bon tu vois? » « Je vois que tu ne veux plus rien avoir à faire avec moi! » souffla-t-elle contrariée avant de disparaître dans un cracquement sonore. « Ysolte! », murmurais-je tristement. Suite à quoi je m’effondras sur les oreillers sans pour autant réussir à refermer l’œil de la nuit.

CHAPITRE TROIS : DANITZA

Le soleil se couchait sur les terres de Pouldard. Pratiquement tous les élèves avaient déjà regagné leur salle commune pourtant, comme tous les soirs, j’allais traîner à l’extérieur jusqu’à ce que je doive supplier le concierge de me laisser entrer au moment même où il allait fermer les grandes portes. C’était une habitude chez moi. Depuis la seconde, je passais toutes mes soirées à l’extérieur. Je n’avais jamais vraiment aimé l’intérieur, étant plutôt un fervent admirateur de la nature & de ses habitants. M’enfermé plus de cinq heures par jour dans les murs de se châteaux était un bien grand supplice à mes yeux. Non que je n’aimai pas étudier, loin de là. J’étais un jeune homme travaillant & avide de connaissance sauf que j’avais une sainte horreur cette invention humaine appelée « mur ».

Un bruit long & fin coupa le silence du crépuscule. Un doux sifflement de quelques secondes résonna à mes oreilles avant d’être suivit par le bruit sec d’une flèche se fichant dans le bois. « Et encore un point pour Alarìc! » murmurais-je en affichant un sourire satisfait. Le tir à l’arc, plus qu’un passant, une passion aussi grande que l’attention que je porte à ma famille ou aux animaux. Beaucoup de jeunes étaient musiciens, artistes ou voir même sportif. En ce qui me concerne, j’étais archer. Vous savez, avec un arc des flèches & un carquois. Bon. J’avoue que ce n’est pas très moderne comme activité, mais à force de vivre dans un vieux château, qui sommes-nous pour décider de ce qui est moderne ou non? J’encochai une flèche & brandis mon arc. Plissant les yeux, je me concentrai sur ma cible, un nœud dans un gros chêne à l’autre bout du parc. Je tirai d’avantage sur la corde, me préparant à décocher une unième sagette. « ALARÌC » Je tressaillis au son de cette voix et c’était reparti pour une autre réprimande. Je ne savais pas encore ce que j’avais fait, mais une chose était certaine, ce n’était pas de l’avis de ma sœur.

Je relâchai lentement la tension de la corde avant de me retourner vers mon aînée. « DANITZA » lâchai-je sur un ton faussement amical. « Ne me parle pas sur ce ton Alarìc. Je n’aime pas lorsque tu agis ainsi. » « Euh… Puis-je savoir de quelle manière ai-je agis? » Danitza soupira puis s’approcha de moi avant de me prendre la main. « Tu sais très bien que te t’éloigner ainsi de tous ne règlera pas le problème. La douleur ne diminuera pas en restant terré dans son coin Alarìc. » Ma sœur me regarda d’un regard rempli de compassion, je détournai la tête & me concentrai sur mon instrument. « Alarìc… » Je soupirai avant de me retourner avec rudesse. « Je suis assez grand pour me débrouillé tout seul. Je n’ai plus quatre ans Danitza, mais bien dix-sept. Je crois être capable de prendre mes propres décisions. », lançai-je sur un ton sévère. Je fixai un moment ma sœur avant de la contourner en retournant vers le château. « Alarìc… » souffla-t-elle dans un reniflement. Depuis déjà plusieurs années, j’en avais marre de la surprotection de mes aînés. Nìallan l’avait plutôt bien compris, mais Danitza n’arrivais toujours pas à s’y faire à l’idée. J’aimais beaucoup ma sœur, plus ce que vous pourriez l’imaginer. La famille & l’amitié étaient sacrées pour moi. Sauf que depuis le départ de mon grand-père, depuis qu’il avait trépassé, elle était plus qu’étouffante. J’avais toujours été très proche de ce dernier & il était vrai que sa disparition m’affligeait beaucoup, mais j’étais assez grand pour vivre ça seul. Pas besoin d’une babysitter.

LE JOUEUR N'EST PAS LOIN

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Comment avez vous connu le forum ? : i je ne sais plus xD
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Le mot magique ? : dobby président

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