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La manipulation est la plus mélodieuse des mélodies
PRUNELLIE & NELSON

Septembre, c'était le mois dont j'attendais plus que tout au monde, j'avais tellement hâte de revenir à Poudlard malgrer l'attentat qu'il y avait eu. Cet été, beaucoup de chose c'était passé, j'avais perdu de vue pratiquement tout ceux du château même si j'étais très rarement accompagner. Je parlais bien sur de Vitanie, la soeur de Grayson, je n'avais pas osé lui envoyer de hiboux depuis la dernière fois que l'ont c'étaient vu. Je n'avais envoyer d'hiboux à personne même au personne qui comptait le plus pour moi, c'est à dire ma famille. J'avais des doutes sur Atlance et sur ma soeur, je redoutais le pire venant de leurs parts, je l'ai avaient éviter jours après jours pendant deux mois et cela m'avais paru tellement long que je m'étais enfermé dans ma chambre. Sauf que ses deux mois ne se sont pas vraiment passé comme tout le monde mais ceci je le garde pour moi comme toujours. Pendant deux mois, j'avais lu chaque jours la gazette du sorcier, des suspect était recherchés et j'avais bien envie qu'ils les trouvent pour en faire de la pâtte pour dragon ou encore pour chien. Si Atlance ou un autre membre de ma famille était à l'oeuvre de ce massacre j'espérais qu'il punit et bien pire que des coups de fouet mais je parle bien sur d'un sort impardonnable. Ce matin, c'était la rentrée, le jour que j'avais tant attendu et ce matin, ce n'était pas mon réveil qui me réveilla, ni le crie du coq mais bien ma mère ! Nelson lève toi ! Tu va mettre tout le monde en retard ! A les mères je vous jure, elles nous connaissent par coeur. Je me leva donc du lit, ma chambre était aux couleurs de la maison de Serpentard, j'avais plusieurs écharpes de mes années précédents accrochers aux murs et j'avais un dessin que j'avais fais dans mon année de primaire dans une école de moldu et comme par hasard, j'avais dessiné un serpent, étais-je déjà intélligent à mon âge d'enfant? Après avoir descendu les escaliers par l'estrade grâce à mes fesses, j'arrivais enfin à la cuisine, il ne manquait plus que mon père, qui lui, devait fourrer son nez encore-là ou il ne fallait pas. C'est à dire dans les affaires du ministre de la magie. D'ailleurs quand je m'installa à la table, je ne pris même pas le réfflexe de saluer les membres de ma famille qui étaient ici. Je pris directement une brioche et commencea à la déguster quand j'entendis une voix grave comme tousser. On ne dit plus bonjour Nelson maintenant? Mon père avait toujours la manie de ne jamais me laisser tranquil c'est d'ailleurs pour cela que je lui en voulais, j'étais assez grand pour savoir ce que je faisais non? A dix neufs ans, on est capable de tout, même du pire... Je le regarda d'un regard noir dont j'avais l'habitude de prendre auprès des gens que je détestais et ne répondis pas à sa phrase, après tout je m'en foutais. J'accèllèra pour manger ma brioche et monta dans ma chambre afin de descendre ma valise prèt à aller à Poudlard, l'école de sorcellerie la plus réputer. Quelques minutes plus tard, nous étions dans la voiture mais la dernière à venir avec nous était Lena, elle devait certainement essayer de ce faire belle pour plaire mais cela ne fonctionnait guère ( ) J'attendais, impatient de prendre le train pour être enfin chez moi, Poudlard est ma maison et je le savais. Quelque chose pendant les vacances m'avais rendu encore plus fort, plus puissant, quelque chose dont j'étais fier mais à laquel je ne pouvais pas en parler et surtout ne pas le montrer. J'étais quelqu'un de confiant même si les gens ne le savaient guère. Après avoir passé plus de huit heures de route, j'arrivais enfin à Poudlard, il faisait nuit et le banquet de bienvenue pour les premières années allaint commencer, il fallait à tout prit vêtir mon habit de jeune étudiant à Poudlard. Quand la chose fut faite, je m'installa à table avec mes camarades, tout soudés les uns aux autres. Le banquais commencea et la soirée ce finissa au lit. Du moins c'est ce que je croyais quand un hiboux commencea à taper sur la fenêtre de la chambre. A qui pouvait-il appartenir? J'enfila mon pantalon et un simple thee shirt noir afin de descendre en bas pour rejoindre le hiboux et le suivre-là ou il pourrait m'enmené. Baguette à la main, ce hiboux m'enmena en direction du parc, quand tout à coup, je vis une silhouette dans le noir, de dos, le hiboux ce posa sur son bras. Mais qui était-ce cette personne? Je m'approcha alors, baguette prèt à désarmer, ne sait-on jamais.

La nuit n'était pas vraiment fraiche, l'air était comme tiède, impossible de respirer dans une telle atmosphère, cela me rapplait le jour de l'attenta au château en fin d'année. Non pas que les images et les flashs me revenais mais l'idée que ce château avec de nombreuses années derrière lui ce face reconstruire à cause de sang de bourbe je suppose qui n'avait rien d'autre à faire que de faire un coup pour nous sang pur qui avaient tourner au cauchemard pour tous finalement. La silhouette s'approcha de moi, pas par pas, étais-je en train de rêver quand j'entendis le son de sa voix? Cette sang de bourbe qui m'avais toujours nier le fait qu'elle ne porte pas ce sang, ce sang sale, aussi sale qu'elle et toute sa bande de salit. « Bonsoir Weasley... » A ce moment précis je voulais faire demi tour, je n'avais pas envie ni le besoin de la voir, je m'étais bien passé d'elle pendant des mois alors je pouvais me passé d'elle ce soir . Malheureusement elle s'approcha et la seule chose dont je lui cracha au visage à été : « Oh non pas toi ! Viens pas me salir ! » D'accord c'était totalement intouchable mais je n'avais pas envie non plus qu'elle s'approche de moi. Au même moment ou elle s'avancea vers moi, je recula, je n'avais pas envie de son parfum puant et de son haleine de chacal. A ce moment précis je lui aurais bien proposer une brosse à dents ou alors un nouveau dentrifrice qui aurait changer du sien au crôttin de cheval ou d'hypogriffe. D'ici ou j'étais, je sentis son regard dans le mien, c'était épuissant, je voulais partir sauf qu'elle s'approcha de plus en plus de moi pour me parler dans sa drôle de voix. « Je t'ai manqué ? » Au même moment, ça main caressa la mienne, mais cella ou il y avait ma baguette, était-ce un piège? Je la savais dragueuse et j'avais entendu dans les couloirs en fin d'année qu'elle était une douée pour manipuler. Alors comme ça, cette minette salit était manipulatrice? Très bien alors je devrais certainement me régaler avec ce que j'avais sous la main même-ci cela me répugnais jusqu'à en avoir le haut coeur. « Franchement ? Tu me manque jamais » Et c'est dans un sourire narquois que je lui sortis cela. Elle avait du culot quand même, à présent elle avait sa main sur ma nuque, c'était intolérable ! Je prendrais bien une douche en rentrant de cette... Visite surprise ! A cause d'un foutu piaf à deux pattes ! Je decida de prendre sa main qui était posé sur la mienne contenant ma baguette, elle ne m'aura pas de si tôt la Pru si vous voulez savoir. Je rejeta sa main malgré tout je devais bien l'avouer, elle avait la peau douce, aussi douce que celle des enfants et que son parfum était totalement agréable à sentir. Je la repoussa en la regardant droit dans les yeux, mon regard était noir comme à mon habitude. « Tu utilise quel dentifrice? Pour ne pas le conseiller aux autres » Je regarda son hiboux, puré que j'avais envie de lui lancer un des sorts impardonable pour lui faire payer le fait de m'avoir intriguer et m'avoir fais enmener ici pour elle. Je la regarda de haut en bas, cela me dégoutais qu'elle soit une sang de bourbe mais puré qu'est ce qu'elle était bien foutue. Je ne voulais pas jouer avec le feu et pourtant j'étais tenté par celle-ci. Pas par sentiment mais pour amusement, j'aimais me foutre de la tête des gens, de les manipulés bien comme il faut sans qu'ils se doutent de quelque chose. « Dommage que tu sois autant répugnante et repoussante » C'est avec le sourire du méchant garçon et détestable que je lui dis cela. J'étais méchant, manipulateur, froid, distant, sans compagnie. Je n'avais pas besoin d'elle et des autres. J'avais juste besoin de moi.

Si il y avait bien une chose à ne pas faire avec moi, c'était de jouer car cela finissait toujours mal, il n'y avait cas demander à Madeline Rosier, la belle Rosier, avec qui je m'étais pris vraiment violament avec elle l'année précédente. J'étais un garçon violent, impulsif, malsaint, froid et distant, je ne voulais que le pouvoir à moi seul, je voulais être aussi fort qu'Ulysse, le prince des Serpentards comme dirait beaucoup. Mais je n'avais pas la chance d'être dans une famille connu et puissante comme la sienne, moi j'étais dans une famille qui ne me méritais même pas, les Weasley, j'étais fier de porter ce nom qui m'allais subliment. Je ne ressentais que du dégout et de la haine pour les nanas salit comme Prunellie, rien que leurs odeurs me répugnais. J'étais en tête à tête, en face à face à cette sang de bourbe, qui m'avais mentit sur son sang et j'étais totalement dégouter par elle. L'idée de me faire avoir par une nana pareille, c'était totalement moche et dégueulasse. Curieusement, je regarda le visage de la beauter, une perle de larme roula sur sa joue. Devenais-je fou? Elle était entrain de pleurer ! Mais cela ne me touchais guère, je m'en fichais royallement d'elle, si elle voulait m'avoir c'était louper pour ce soir. Plus les secondes passaient plus les larmes devenaient liquide et coulait de plus en plus. « Je... Je vais rentrer... » J'afficha un énorme sourire sur mes lèvres, mais qu'elle comédienne ! Le pire dans tout ça, c'est que j'appréciais son jeu, elle devait pratiquer du théatre parmis ses sang de bourbes parcequ'arriver à avoir toute ses larmes, c'était incroyable. Je la regarda avec plaisir s'éloigner de moi, si toute les sang de bourbes étaient aussi facile qu'elle, il n'y aurait que des sang purs et des bons hommes dans le monde. « Excuse-moi de t'avoir déranger... Je … Je suis la pire des idiotes... » Je sourias au mot idiote. Oh que oui c'était une idote, la pire des idiotes comme elle le disait si bien, si elle savait à quel point elle pouvait l'être. Croire que j'allais marcher dans son propre jeu, c'était un réel plaisir pour moi de me foutre d'elle. Il faisait noir et c'était simplement nos yeux qui nous éclairaient, en entendant le bruit de son hiboux, j'avais envie de lui lancer un sort impardonnable. Pourquoi m'avais t'il enmener ici ! Saleter d'hiboux, j'aurais pu dormi pour la première de journée de cours qui était demain ! Je regarda la sang de bourbe s'éloigner de moi. Malheureusement, je la trouvais attirante pour une fille salit. Et je trouvais ça totalement répugnant à l'idée de savoir que physiquement elle me plaisait. « Bon débarra espèce de sang de bourbe . » La blancheur de mes dents devait certainement illuminer la nuit, j'étais fier mais je savais que tout cela n'était que du cinéma et qu'elle allait revenir à la charge. Je la regarda s'éloigner en jettant des regards à son hiboux. J'avais vraiment envie d'aller me coucher mais je savais qu'elle ne me laisserais pas partir pour son plus grand plaisir. Elle était folle de moi, c'était obliger. Son parfum me montais aux narines. Bordel ! Elle sentait bon ! « Conseil d'ennemi, utilise le savon et le gant de toilette plus souvent OK ! » Je ressentais de la haine à cet instant, je la détestais et je ne voulais pas avoir affaire à elle en pleine nuit, sauf si tout cela, ce passait en duel. Chose qui c'était passer avec Madeline Rosier, la belle Rosier. Si elle avait cru m'avoir c'était perdu d'avance pour elle, j'étais de bonne humeur et je n'allais pas changer cela pour elle, surtout pour elle. L'année commenceait bien. Je lui avais certainement manquer. Berk ! « Faut être naive pour croire quand même que je vais tomber dans ton panneau. »

« C'est tout ce que t'as comme répartie ? » Elle était revenue vers moi, sans doute pour me foutre les nerfs bien gonffler en tout cas cela fonctionnait. Elle ne savait pas qui j'étais réellement, ceci aurait été bien de trop facile pour les gens de son espèce. Mon regard ne loupa pas le sien, je savais qu'elle était capable de tout et même du pire. Elle aurait été une sang pur, j'aurais tout fais pour qu'elle soit de mon côter, de notre côter, du côter des purs et non des salits. Son sourire, je le détestais, je savais que cela n'était que le début d'une provocation, j'aurais aimer arrêter ce jeu qui nous accompagnais depuis un an et pourtant était impossible, j'étais comme emprisonner avec elle. Pourtant j'étais plus fort qu'elle, je le savais, elle n'était qu'une sote, juste un bon coup et puis rien d'autre. Je n'avais pas besoin d'elle pour faire mon bonheur, pour être heureux, j'avais juste besoin d'elle pour m'amuser et pour faire fuir la rage que je ressentais à l'intérieur de moi-même. Elle savait que j'étais violent après tout, la plupart des filles à Poudlard étaient passer par-là. Sauf les sang de bourbes. « Je suis bien plus malin que tu ne peux le croire Williams. D'ailleurs que va devenir ta famille? Brûler vif comme les anciens. » J'avais dis cela en affichant un sourire malin, je savais que la plupart des moldus étaient recharger car il cherchait le responsable de l'attenta, je pourrais toujours menacer Prunellie sur ce sujet, après tout, qui aimerait voir ses parents tuer, brûler, assassiner, torturer devant ses yeux, vendu par un élève de neuvième année. « Dit moi Williams, savait-tu que le ministère recherchait les coupables de l'attenta qu'il y avait eu à Poudlard l'année dernière en fin d'année. » Elle c'était approcher dangeureusement de moi, ayait, la provocation allait commencer et pour une fois je ne voulais pas jouer à son jeu et pourtant je savais qu'avec elle c'était impossible de passer à côter du feu de l'action. « J'suis certaine que tes copains des grandes familles adoraient savoir que t'as passé toute l'année dernière à te taper une sang de bourbe. » Me menaceait-elle? Si elle osait, elle savait que je pourrais vraiment être violent vis à vis d'elle. D'accord, j'avaic certainement abuser de la séduction de la sang de bourbe, mais d'un côter qui lui résisterait sans savoir qu'elle avait le sang salit ! Elle souriait ! Bon sang qu'elle arrête de sourire ! C'est moche de sourire quand l'utiliter n'ai pas besoin. Elle marchait tout autour de moi et moi j'étais-là comme un zombie à rester sur place. Pourquoi? Je ne savais pas. Sans doute le sommeil qui me faisais ce drôle d'effet. Sa main arriva alors sur mon épaule pour venir me souffler à l'oreille jusqu'à m'en faire frissoner. Je la détestais. Je voulais sa mort sur place ! J'aurais prier dieu pour cela ! Sa main descendit à mon cou puis à mon dos. Voilà ce que je redoutais le plus ! Elle avait la peau douce et des centaines de fois je l'avais toucher ! « Serait-ce une menace? Coucher avec un sang pur ta servis à quoi? A ne plus être pucelle? » Mes nerfs commenceait à prendre le dessus et si elle continuait je savais moi-même que la violence prendrait le deçu. Après tout, peut être qu'elle aimait avoir des marques sur son corps. Son parfum me rendais fou mais je devais me retenir, il le fallait. « C'est qu'il tient à ses valeurs le Weasley. Il est grand, il est fort, il fait peur... OUUUUH ! . » Je savais que ce qu'elle disait, elle ne le pensait pas. D'ailleurs avant que je ne puisse dire quoi que ce soit, je sentis une de ses mains sur mon ventre et l'autre sur ma joue et d'un coup elle me fit baisser la tête pour un baiser chaud et passioner. Je la détestais. A ce moment précis je pensais à Vitanie voilà pourquoi je prolongeais le baiser en posant une main sur la taille de la sang de bourbe. Elle embrassait bien tellement bien que je remplaçeais son visage par celui de ma Serdaigle. Si quelqu'un me voyais avec elle, je n'aurais plus la bonne réputation que j'avais travailler des mon entrer à Poudlard. Je coupa le baiser pour reprendre mon souffle. « Va brûler en enfer sale sang de bourbe, toi, ta famille et ton espèce toute entière »[/

« Les démones, ça ne brule pas, Nelson... » Elle était maline, prétencieuse, arrogante parfois et allumante à la fois. Elle avait tout pour faire partit des notres sauf que celle-ci était sale. Je m'étais fais avoir, j'avais coucher de nombreuses fois avec elle, jamais nous n'avions refuser l'un à l'autre, à vrai dire, qui aurait refuser à la vue de ce super canon? De cette beauter naturel ! Mais qui était tout de même salit par son sang ! Elle avait le sourire aux lèvres mais je savais bien que parler de sa famille était quelque chose qu'elle détestait par dessus tout. Surtout depuis la mort de son frère, je n'en avais pas parler, car au fond, nous étions tous humains avant tout, je savais qu'apprendre la mort d'un membre de sa famille était toujours la pire chose qu'on puisse apprendre un jour dans notre vie. Enfin non, je ne savais pas, je n'avais pas eu la chance de voir un membre de ma famille assaciner par qui quonc.« Sans doute, mais j'ai envie que tu crève comme ton frère.» J'avais dis cela avec froideur,elle m'avait chercher, à présent elle m'avait trouver. J'étais le diable en personne et je n'arrêterais pas du jour au lendemain à faire du mal, ça c'était hors de question, j'aimais la personne que j'étais, j'aimais la façon dont je traitais les autres vermines d'exclave. A mes yeux tous n'étaient que de simples larves, gluantes, qui ce noyaient dans notre monde de la magie. Elle riait, son rire, je l'aimais bien après tout, j'appréciais son rire, sa voix, son visage, son odeur, malgrer toute attente, elle s'approcha encore plus de moi après avoir échanger un baiser passioner. Puis son sourire ce perdit, elle avait reperée quelqu'un, je ne sais pas qui, après tout je n'avais rien vu, j'évais été bien de trop attentif à son sourire et à ses lèvres. « Suis-moi, c'est peut-être un prof...» Son nez alla alors à mon cou, je ne sais pas exactement ce qu'elle faisait alors que soit disant un professeur venait tout juste de sortir du château et puis je me demandais bien comment un professeur aurait pu apercevoir que je n'étais pas dans mon lit à dormir, le sommeil léger. Quand je sentis ses lèvres à mon cou, j'en frissona sans le vouloir. Si quelqu'un passait vraiment par ici, la personne en question aurait cru voir un couple de jeune étudiant en dehors dans leurs dortoirs respectifs. Je n'avais pas envie de faire perdre de point à ma maison, j'étais bête sais sur, mais, je voulais que Serpentard gagne la coupe des quatres maisons cette année. C'est alors quelle recula après m'avoir regarder, elle m'enmena avec elle derrière un buisson. Si ça ne tenait cas moi j'aurais certainement essayer de lancer le sortillège d'oubliette à la personne qui venait de me sauver la mise en venant car j'étais tout bonnement entrain de m'abandonner aux lèvres de la sang de bourbe. J'avais mon regard qui scrutais le paysage pour savoir si la personne en question venait vers nous. Ma baguette à la main gauche, j'étais prêt à attaquer si besoin. Le silence faisait son apparition, nous étions seuls derrière un buisson. Mais une seule question me vins alors à l'esprit. Et ci ce n'était pas un professeur qui avait fait son apparition, ni un préfet, qui était-ce? Mon regard ce posa alors sur la sang de bourbe et je pris la parole avec froideur. .« Il avait une cape? La personne que tu as vue. Elle avait une cape?.» Si c'était ce que je pensais, elle n'aurait pas du être-là et la sang de bourbe serait en danger à la minute ou je lui parlais. Il n'y avait que nos deux respirations qui faisait du bruit, nous étions alors seuls. Je me leva du buisson pour aller à la même place ou nou sétions quelques minutes avant afin de voir les environs. La lune, je ne l'avais pas remarquer dans le ciel, elle venait simplement de faire son apparition. Bizard? Je ne sais pas, mais j'étais bien curieux de savoir qui était la personne qui avait été-là quelque minutes auparavant.

« J’en sais rien… » C’était bien ça qui m’agassais chez les gens, la plupart ici ne savait rien et encore plus chez les sang de bourbes. Leurs taux d’intelligence n’était pas aussi élever que le notre, c’était bien connu et je me demandais encore ce qu’ils faisaient tous encore ici. La plupart des élèves au château n’avait pas leurs places ici, c’était bien la logique des choses que personne à part le nouveau ministère voyait. En ce moment-même, les responsables de l’attenta était toujours rechercher et j’avais peu être déjà une idée de qui cela aurait pu être. Evidement, cela aurait mis un membre de ma famille entre la vie et la mort, mais j’étais prêt à tout, à tout pour monter au sommet de la gloire éternel et de la reconnaissance. L’attenta du château, avait bouleverser plus d’un, moi-même qui avait dans une pièce ce jour-là, n’avait toujours pas oublier ce massacre, ses paniques. Le silence était parmi nous, nous étions de nouveau seuls et je la sentais déjà venir comme une tigresse qui n’avait toujours pas eu le moment de déguster un bon morceau de viande. Elle me répugnait plus qu’autre chose et pourtant, j’avais passé l’année à coucher avec elle. Elle s’adossa contre un tronc d’arbre, ceci me fis tourner la tête en sa direction. Malheureusement je la trouvais vraiment parfaite à regarder et j’étais étonner de moi-même en pensant cela. Je voulais qu’elle souffre à tout prit et qu’elle me laisse. « T’as peur Weasley ? » Avais-je peur ? Non j’étais plutôt surpris que mes pensées tourne pour cette personne que je ne pouvais que d’admiré. La sang de bourbe éclata de rire. Je n’en voyais vraiment pas l’utilité. Elle devait certainement ne pas savoir à qui elle avait affaire à présent. J’avais réellement bien changé, plus froid que jamais, plus distant avec les autres et j’avais un peu plus de pouvoir grâce à ce qui c’était passer cet été. Elle était-là, toujours contre cet arbre à me regarder. Mais bordel ! Elle avait déjà eu ce qu’elle voulait ! Elle pouvait partir ! Aller dormir dans son cabanon avec tous ceux de son espèce ! Mais non, elle restait-là, à faire je ne sais quoi contre l’arbre. « Je n’ai jamais peur, tu devrais le savoir. » J’avais dis cela en le pensant, ce n’était pas de la personne auquel j’avais le plus peur mais c’était surtout dans la capacité de ses pouvoirs, de sa force et de son mental. J’aurais aimé être aussi fort et contrôler tout un monde. Etant plus jeune j’avais eu l’envie d’être ministre puis finalement j’ai appris que ceci était beaucoup d’étude, j’ai donc décidé de devenir avocat au ministère. La sang de bourbe s’approcha de moi, sa respiration, je l’entendais d’ici. Elle était face à moi, ses mains autour de mon cou. Je ne posai même pas mes mains sur sa taille, je n’en avais pas envie. Pourtant ses lèvres effleurait les miennes, elle savait comment me rendre fou, comment je ne pouvais pas lui résister, c’était bien une nana. Elle fit quelque chose qui me fis perdre la tête. « Nelson… » J’avais envie de la repousser, de l’attacher contre le tronc d’arbre ou elle avait fait récament un tour et partir me coucher mais mon instinct de mec me fis rester ici. Je pensais à Vitanie, ma Serdaigle, celle pour qui j’aurais tout donné et j’imaginais que ce soit elle en face de moi pour enfin poser mes mains sur cette foutue taille qui lui appartenait pas. « Ouais c’est moi. » Au moins, une bonne chose était ici, elle savait mon prénom, c’était déjà pas mal non ? C’est lèvres était douce et parfumer, j’avais bien envie dit goûter mais mon cœur n’était pas pour faire ce genre de chose en tout cas plus depuis que Vitanie m’avait annoncé ce qu’elle avait à me dire. Elle aurait pu choisir quelqu’un d’autre, quelqu’un d’autre que moi mais non, elle n’avait de yeux que pour moi, du moins c’est ce que je croyais. J’avais eu plusieurs conquêtes pour aller se finir dans le lit, d’ailleurs j’étais connu pour être un briseur de cœur et j’aimais beaucoup ceci. « Trouve toi quelqu’un d’autre. » Vitanie m’aurait-elle prit le dessus ? M’aurait-elle changé ? Aucune idée mais ce que je savais c’est que je venais de refuser à une première avance.

Prunellie n’était pas une obsession pour moi, elle était seulement une de mes conquêtes féminines au lit, d’ailleurs pendant des année nous n’avions pas arrêter avant que je sache qu’elle n’était qu’une sang de bourbe, affamer et qui avait les crocs. Ce genre de demoiselle à Poudlard avait une réputation de croqueuse d’homme. Je n’ai su que l’année dernière qu’elle faisait partie des personnes au sang salit, auparavant, elle niait l’être et comme un con je m’étais fais avoir en beauté. Elle aurait pu être une demoiselle bien, elle avait tout pour elle, du moins en la voyant c’est ce que j’en concluais malheureusement, le destin de ses parents avaient fait qu’elle n’était qu’une femme salit, qui chez elle n’utilisait aucunement la magie. Auparavant, j’aurais profité d’elle comme avec toute les autres, à près tout, elle n’était qu’une simple demoiselle à Poudlard qui comme toute les autres avait une puanteur coller à son corps. Mais à présent, je ne savais plus si je devais profité d’elle, à vrai dire elle était la seule qui pourrait nuire à ma réputation que j’avais forgé et mérité pendant des années et je ne voulais pas qu’une personne comme elle me gâche tout, surtout pas une personne qui ne mérite rien et surtout aucune reconnaissance. Prunellie était une très bonne comédienne, je l’avais bien vu par rapport aux autres demoiselles de Poudlard, elle pouvait rire, pleurer, faire une crise de colère en moins de deux secondes et beaucoup l’aurait crue. D’ailleurs, je pense que beaucoup de gens sont tombé dans son panneau, elle avait un affiche qui ne pouvait que fonctionner avec son charme qu’elle procurait et son sourire aux dents blanches. Je devais bien l’avoué, elle avait un bonne entretient contrairement à beaucoup de sang de bourbes. La plupart ne portait pas une odeur aussi douce et accueillante et la plupart n’avait pas une hygiène aussi parfait que celui de la belle. « Tu crois que t'es le seul homme de ma vie ? » Cette phrase me fis sourire, pourquoi ? Parce que pour moi Prunellie n’était rien à part un passe-temps quand je n’avais rien à faire et surtout aucune proie à me mettre sous la dent. Au fond, si elle avait été de sang pur, qu’elle aurait appartenu à la maison de serpentard, elle aurait certainement été mon repas de pleine nuit. C’était grâce à la lumière que dégageait la lune que je pouvais apercevoir son sourire sur son visage de démon. Parfois, je me demandais si elle n’était pas la fille d’un grand sorcier tel que Balthazar ou encore celui du nouveau ministre, le plus grand sorcier qu’on est jamais eu dans le monde magique, c'est-à-dire Voldemort. Pour moi, rien au monde n’arrivait à ses chevilles ou à sa hauteur, c’était impossible et en plus de cela, il recherchait les coupables de l’attenta qu’il y avait eu en fin d’année afin de leurs donnés leurs punition et j’espérais qu’un endoloris ou un sort impardonnable soit jeté sur eux afin qu’il souffre comme beaucoup d’entre nous, sang pu avait souffert. « Parce que tu crois que tu es la seule que je me tape dans le château? Ne soit pas sote à ce point s'il te plait. Ce qu'il y a de pire, c'est que tu n'est même pas un bon coup. C'est la chariter qui ce fou de moi. » Dans le fond, beaucoup de demoiselle à Poudlard était arriver dans un lit ou dans la cabane hurlante que je trouvais accueillante même s’il ne restait que très peu de chose de cette vieille baraque qui commençait à se détruire depuis de nombreuse année. Pourquoi n’était-elle jamais tomber en ruine ? Je pensais donc que depuis de nombreuses années derrière nous, elle avait été comme ensorcelée, un sortilège redoutable sans doute mais pourquoi ne pas nous empêcher dit aller ? Ceci était une autre question que je me posais mais pas à l’instant même. La question que je me posais à cet instant, était pourquoi une nana aussi bien foutue que Prunellie faisait partit des sangs de bourbes, des personnes dont je m’en fichais, d’ailleurs la mort de son frère n’était même pas un calvaire pour moi mais pour elle, ça devait l’être et je m’en foutais totalement. Mais je savais qu’elle aurait sans doute une petite idée pour se venger, comme toute bonne personne non ? « Je me tappe même ton frère. » Elle se tapait Atlance, mon frère, celui qui était le plus coincé entre nous deux ? J’avais envie de rire aux éclats, c’était totalement impossible puis il était encore puceau. Comment le savais-je ? Et bien c’était mon frère malgré tout et je savais qu’il n’avait encore eu aucune relation avec une nana pour finir au pieu. Bon c’est sur, il avait du succès auprès de la gente féminine mais pas autant que moi et c’était même certain. En la regardant, je pouvais voir que c’était encore un autre mensonge venant de sa part, la pauvre, elle ne savait pas mentir. Elle pouvait faire son cinéma à n’importe qui mais en tout cas pas à moi, j’étais bien de trop rusé pour qu’elle met à nouveau. Sa main arriva alors à ma joue, malgré tout, sa peau était douce comme une plume et je n’aimais pas cet effet. « Atlance est encore puceau ma belle, alors ton mensonge, tu le fais à qui tu veux mais pas à moi. Atlance est encore un saint ni touche. Ta beaucoup à apprendre toi. En tout cas, c'est pas toi qu'est une sainte ni touche. » D’un coup contre toute attente, elle me parlait d’amour ? Mais il n’y avait rien entre elle et moi ou alors c’était de la folie. J’avais juste eu une pensée pour Vitanie, qui d’ailleurs était une histoire impossible car cet été, quelque chose m’étais arrivé fièrement et ça je ne pouvais pas le nié. A présent, j’étais l’homme le plus heureux et je n’avais pas besoin d’une nana pour l’être. Ce qui pouvait m’arriver de meilleur encore, c’était de tuer une sang de bourbe aussi bonne que Prunellie rien que pour montrer qu’il n’avait rien à faire dans le monde des sorciers même avec des déesses comme celle-ci en face de moi. « Moi, j'ai l'intelligence de ne pas tomber amoureuse. Tu me décois Nelson. Je te croyais plus fort. » Pourquoi me disait-elle amoureux ? Je n’étais amoureux de personne à ce que je sache et je ne le serais jamais. C’est chose-là n’était pas pour moi et tout le monde le savait. Je n’avais pas de cœur et ceci était un fait, j’avais un cœur de pierre et encore on aurait pu croire que mon cœur n’était qu’une pierre mais qui valait cher. Me parler d’amour et de sentiment était d’un ennui total. Mes mains se détacha de sa taille quand à elle sa main fit un tour sur ma lèvre inférieur afin qu’elle parte dans le vide. Oui, je me posais une question. Pourquoi parlait-elle d’amour alors que je ne laissais rien paraitre sur mon visage ? Et si c’était-elle qui était tomber amoureuse ? Pas de moi naturellement mais d’un autre. Ceci me fis sourire, j’avais envie de me moqué d’elle. L’amour c’était connu pour être pitoyable, c’était connu pour apaiser les souffrances et en donner également. L’amour c’était pour les faibles et non pour les gens forts avec des compétences. « Pourquoi tu me parle d'amour? Nous savons tous les deux que ses pour les faibles comme les gens de ton espèce. Mais attend un peu toi. Ne serait-ce pas toi qui serait tomber amoureuse? Un de mes camarades ta remarquer avec Londubat. Pitoyable » Un sourire moqueur s'afficha sur mon visage de démon homme. L'amour rendait folle les nanas du château. Moi je les trouvais pitoyable mais j'étais heureux quand celles-ci pleuraient quand c'était la fin.

« Tu serais pas un peu jaloux Weasley ? » Moi jaloux ? Il m’en faudrait bien plus pour que je le sois et je ne serais jamais jaloux d’un quelqu’onc mec qui sort avec une sang de bourbe car je trouve ça carrément un vrai cauchemar de voir tout ça. C’est même pitoyable. Londubat et moi ce n’était pas la plus grande amitié qui puisse exister, naturellement nos familles se connaissent mais Silas était plutôt à être le gars qui mettait du sable ou de la terre dans ma couche quand j’étais gamin. D’ailleurs, j’ai toujours voulu me venger de ça, j’ai toujours ressentis de la haine pour ce Londubat plutôt qu’une amitier comme j’ai avec Black, Nott et j’en passe. D’accord j’avais eu beaucoup de mal à m’intégré aux sangs purs, à vrai dire avec une blonde comme Karone c’était perdu d’avance, je restais toujours à ses yeux le gars qui était un traitre et pourtant de nombreuses années avait été prouvé afin que tout le monde me vois comme un sang pur prêt à faire de mauvais actes. Peut être que si un jour j’avais être jaloux, ça ne pourrait être que par pouvoir, j’étais un homme qui voulait du pouvoir à tout pris, je voulais que les sang de bourbes crèvent pour mon plus grand plaisir, de les voir se tordent de douleur avec un endoloris ou encore d’être éjecter sur place avec un avadakedavra , j’étais le mal en personne et un démon qui vivait sur le paradis pour le moment. « Jaloux ? Moi? Ta du rêver. Londubat peut être à la hauteur de tes... Pouvoir de charmes mais ça reste-là. Méfis toi. Il est aussi snoob que sa mère » La famillle Londubat n’était pas vraiment la famille sang pur, elle était un peu comme la mienne voilà pourquoi j’avais une rage intense quand je voyais les Londubat. Ils n’étaient pas spécialement sang pur et ils étaient plutôt moldu qu’autre chose. Que faisait-il dans la lignée des sangs purs alors ? Même ma famille, je me demandais ce qu’ils pouvaient tous trouver à ses gens qui marche sur les trottoirs et qui reste à rien faire dans leurs canapés alors qu’il y avait tant à faire chaque jour. Par exemple, le sport, c’était tout de même vital pour les prochains coups à encaisser, le quidditch était le sport vraiment pour se défouler ! Et bien non ! C’est sataner gens sans pouvoir, avait inventé soit disant le football, à quoi ça servait de courir après un ballon pour marquer dans un filet ? Appeler but ! Le quidditch, c’était l’extrême, c’était quelque chose qu’il ne fallait jamais perdre dans le monde de la magie. J’étais un fan de l’équipe des Russes avec le plus attrapeur au monde Victooooor Krummmm. D’ailleurs cet été l’équipe des Russes avait gagner contre celle de L’Irlande et ceci avait été un match de fou, j’avais été au plus haut des gradins et l’ambiance avait été chaude. Les Londubats avait été longtemps amis avec mes parents, en ce moment je ne sais pas vraiment avec tout ce qui se passe au ministère mais mon père était soit disant remonter. Un peu normal avec le seigneur des ténèbres qui prend la tête du ministère, les moldus avait de quoi s’inquiéter même ceux qui était à la tête de l’attenta de juin dernier, d’ailleurs j’avais hâte quand les trouves afin qu’ils soient tous puni comme il fallait. Le ministre de la magie savait ce qu’il faisait, c’était le meilleur, le plus grand sorcier du monde et j’étais fier que quelqu’un comme lui prenne tête au ministère. « Tu sais bien que t'es le seul don je suis amoureuse, Weasley. Tu ne perdra pas ta place, ne t'en fait pas. » Amoureuse ? Elle amoureuse de moi ? La bonne blague ! Nous savions tous les deux qu’il n’y avait qu’une attirance bonne pour finir au lit plus tard et je n’étais pas un sentimental, je m’en fichais des nanas, elles n’étaient bonne qu’au lit dans la cabane hurlante et c’était tout. Je n’étais pas le genre de garçon à apporter des fleurs pour la saint valentin et encore moins à faire des cadeaux, je n’étais pas également le genre de garçon à rester tous les jours avec la même fille, je m’en lasserais autrement mais ça tout le monde le savait. J’étais un briseur de cœur, un gars qui sans foutais de tout sauf du pouvoir et de la gloire éternel. Je voulais être aussi fort que le seigneur des ténèbres et ça la plupart des camarades avec qui je trainais le savait. Alors tomber amoureux n’était pas une option pour moi, je préférais totalement mourir plutôt que de jongler avec une seule et unique nana. « Blabla et encore blabla. Tu en as pas marre toi? Raconter de la merde fait partit de ton éducation? Enfin éducation, élever par des moldus ce n'est pas une éducation mais un calvaire. Ton nom doit être sur la liste des prochaines victimes du ministère. Tes parents doivent même avoir un rendez-vous. Un sortillège impardonnable les attends sans doutes. » J'avais dis tout cela avec le sourire, je gardais toujours mon sourire narquois de provocateur, j'étais le meilleur pour ça.

Je ne savais pas ce qui m'attendais plus tard, je m'étais engagé dans quelque chose de très sérieux qui me tenais à coeur. Beaucoup avait dit que la mort n'était qu'une passe, que l'enfer était bien mieux que le paradis, que tout le monde se sentait bien quand il voyait la lumière et la question que je m'étais toujours posé était : Quelle lumière? Les gens préférait la mort plutôt que de vivre? Combien de personne avait vu cette lumière? Et ceux qui faisait le mal la voyait-elle? Je ne pense pas, je pensais plutôt que ceux qui faisait le mal comme moi, serait enmener à l'enfer pour mourrir et être esclave d'un maitre. Cet été, quelque chose de puissant et de fort m'étais arriver comme à beaucoup d'entre nous. Ce qui faisait le plus mal c'était quand la marque commenceait à chauffer, comme si lui était énerver ou pas content de quelque chose. Si moi je sentais cette douleur à l'avant bras, les autres également et je savais ce qu'ils ressentaient. Je n'avais pas peur de la mort ni de la situation au contraire j'en étais plutôt fier. Si il y avait bien une chose que je redoutais le pire, c'était quand touche à Bridget et Atlance, le reste je m'en fichais totalement. Je n'étais pas en bon terme avec mon frangin mais j'étais tout de même protecteur et essayait de le défendre sans qu'il sans aperçoit. C'était la même chose pour Bridget. Je n'étais pas en bon terme avec tous les autres membres de ma famille et d'ailleurs beaucoup trouvait ça apsurde. Mais comment être bien avec des parents qui ne respect pas votre choix le plus désirant et le plus profond? Depuis tout petit, je n'avais accorder aucune importance aux autres, je ne vivais que pour moi-même et rien ne m'avais changer jusqu'ici même pas ma mère que je respectais malgré tout car elle suivait beaucoup les règles et les injures de mon père qu'il avait contre moi. J'aurais pu être un jeune homme aux talents, libre comme l'air mais aujourd'hui je suivais simplement mes études avec sur mon avant bras droit la marque des ténèbres. « Okay, vous allez tuer mes parents, me tuer et tuer tous les moldus de ce monde ? Ça va pas vous prendre un peu de temps ? Et puis, vous ne serez plus assez d'humains sur la planète. Vous finirez tous co-sanguins. T'es porté sur l'insceste Weasley ? Je savais pas. Avec un frère mignon comme le tient, ça se comprend ! » J'avais envie de rire à son nez, moi porter sur l'inceste? Et puis quoi encore? J'aurais préféré me tapé n'importe qui plutôt que de me tapé une de mes soeurs. Ce que la sang de bourbe pouvait être idiote quand elle si mettait. Elle était vraiment pitoyable et avec un naze comme Silas Londubat, c'était une vie de pauvre et de ferme qui attendait Prunellie Williams. Son sourire s'afficha de nouveau sur son beau visage. Je devais bien l'avouer, Prunellie était plutôt charmante, trop à mon goût malheureusement mais ce n'est pas pour ça que je me l'étais faite naturellement. « Tout de suite de l'inceste. Tu n'as jamais tentée avec ton frère? Vous étiez tellement proches. » Je la regarda dans les yeux, son regard me percutttait à coup de fouet ou coup de poignard dans le dos. Nous n'étions cas quelques centimètres mais elle rompit d'un coup cette distance en m'embrassant jusqu'à en sentir ses ongles à ma nuque. Le baiser était violent, torride jusqu'à en avoir une coupure à ma lèvre inférieur ce qui fit saigner ma lèvre. Elle avait quelque chose que les autres n'avait pas. Sans doute une attirance. Evidement qu'elle était attirante mais ça s'arrêtait-là. Elle était joueuse et j'étais joueur. Voilà comment tout avait commencer entre nous. Si y'avait bien un genre de nana pour qui je craquerais, ça serait le genre de Prunellie. Femme innaccessible. Elle me poussa à quelque pas d'elle. Et je fus surpris de sa prochaine phrase. « Stupide mangemort, vous courrez à votre perte. » Elle était donc au courrante. Elle avait certainement du voir la marque des ténèbres à mon avant bras droit. Je resta figé par cette nouvelle. Personne ne devait savoir cela. C'était la base. Il nous l'avait bien dit. Je ne savais pas si elle comptait le dire à d'autre. Je n'avais pas peur de ce qui m'arriverais après. Je me ferais certainement... Carbonisé sur place mais ce n'était pas grave. « Tu comptes le dire à d'autres? » Mon regard se figea dans le siens. Je n'avais pas peur de ce qui allait arriver. Le seigneur des ténèbres allait être en colère et mes camarades également. Je risquais gros sur ce coup-là. Juste pour m'être tapé une sang de bourbe qui à présent savait ce que j'étais.