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hàzel -- if anybody sees her . (over)

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MessageSujet: hàzel -- if anybody sees her . (over)   hàzel -- if anybody sees her . (over) EmptyDim 10 Oct - 14:18



LE PASSEPORT DU SORCIER
Nom : Brightside . Ce nom avait autrefois une consonance de pureté mais elle a été perdue au fil des années. Cependant, il impose toujours son petit effet dans les bons endroits du Chemin de Traverse.
Prénom : Hàzel , Stone . En référence à ses yeux déjà très foncés à sa naissance, Hàzel a hérité ensuite d'un nom qualifiant son tempérament. Elle est, soit disant, froide comme la pierre.
Surnom : Hàz' .
Âge : 22 ans .
Cursus, option(s) : Médicomagie .
Année scolaire : 12 ème année .
Nature du sang : Sang-mêlé .


LE JOUEUR N'EST PAS LOIN
Pseudo : ahead .
Âge : eighteen yo.
Comment avez vous connu le forum ? : une pub sur Bazzart (hàzel -- if anybody sees her . (over) 429689)
Avatar souhaité : Hanna Beth
Présence : quotidienne , mais les rp's seront peut être plus espacés as je fais une licence de droit ...
Le mot magique ? : dobby président ! (a)
(c) kazumi



Dernière édition par Hàzel S. Brightside le Mar 12 Oct - 13:45, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: hàzel -- if anybody sees her . (over)   hàzel -- if anybody sees her . (over) EmptyDim 10 Oct - 14:18

LE LIVRET SCOLAIRE
Caractère : S’il y a bien une chose que j’aime par-dessus tout, c’est cette capacité familiale à disparaître facilement aux yeux de tous. Je ne parle pas là d’un sortilège quelconque que nous aurions inventé ou d’une énième cape d’invisibilité non, je vous parle d’une aptitude rarement maîtrisé à une telle perfection. La plupart des gens que j’ai rencontrés ne rêvaient que de se mettre en avant, de briller dans n’importe quelles conditions, de n’être que charisme et divinité pour les gens qui les entouraient. Je crois que c’est à cette catégorie de personnes que je dois ma personnalité si distante et si invisible d’aujourd’hui. Les projecteurs ne m’ont jamais attiré, la sensation grisante de la foule en délire qui m’applaudit ne m’a jamais fait vibrer, les yeux d’inconnus braqués sur ma petite personne m’ont toujours fait me sentir mal à l’aise. Ca a toujours été comme ça. Ma plus grande ambition quand j’étais à l’école ? Ne jamais faire de vague, toujours rester dans la masse et surtout, ne pas me faire interpeller par les professeurs. Je me contente d’avoir de bonnes notes, sans pour autant dépasser la tête de classe, bien que j’aie conscience d’en avoir les capacités.
J’ai des amis. Je suis loin d’être associable, c’est juste que je ne fais jamais le premier pas. Je suis d’une timidité maladive que je me force de faire disparaître en communauté puisque je me suis rendue compte que c’est un peu ce qui attirait les autres. Etrange n’est-ce pas ? Pourtant c’est vrai. Voir une pauvre âme esseulée réveille en vous cet instinct chevaleresque depuis longtemps tapis au fond de vos entrailles. Alors vous montez sur votre fier destrier et penser voler à la rescousse de la jouvencelle en peine de compagnie alors que vous ne faites qu’aggraver son calvaire. En plus de cette timidité, je ne suis pas très loquace. Dans le sens où je ne parle pas pour ne rien dire. Peut-être un peu cynique voir pessimiste, je ne suis pas pour autant dénuée d’un sens de l’humour plutôt pointu. Il se révèle juste un peu compliqué à comprendre pour des écervelées et autres beaux-parleurs ce qui entraîne des messes-basses une fois mon dos tourné.
Je fais, la plupart du temps, bonne figure pour ne pas mettre mes amis mal à l’aise. Je me force à les suivre un peu partout, songeant souvent à remonter dans ma chambre pour y lire un livre. Je ne sens pas en sécurité en dehors de mon cocon personnel. Certes je les adore, mais lorsque d’autres que je connais moins nous rejoigne, c’est trop dur. Je préfère m’esquiver comme je sais si bien le faire, plutôt que de faire fi de tapisserie. Je ne parle peut être pas beaucoup, mais j’ai un minimum d’amour propre. Du moins suffisamment pour ne pas me laisser embêter par qui que ce soit. Depuis ma première année, j’ai dû faire face à des malins qui se croyaient intelligents à critiquer tout et n’importe quoi. Mon sens de la répartie s’est aiguisé au fil du temps et en est presque devenu imparable, c’est une des rares choses dont je suis bel et bien fière.
A cela s’ajoute un tempérament calme. Mais vous savez ce que l’on dit, il faut se méfier de l’eau qui dort. C’est pourquoi, après quelques verres de whisky pur feu, j’ai tendance à me désinhiber. Je ne saurais exactement qualifier mon état puisque je ne m’en souviens que très rarement. Je sais juste que mes amis s’évertuent à me faire boire dès qu’une occasion se présente. Allez savoir pourquoi…
On me dit insipide, sans matière aucune, sans intérêt. Ce sont ceux qui ne me connaissent pas assez bien pour avoir pu savourer mes longues divagations plus ou moins sérieuses sur des sujets de moindre importance. Ce que je veux dire par là, c’est que je sais être amusante, entraînante peut être même bavarde par moment. C’est juste que je ne laisse pas n’importe qui avoir ma confiance et ainsi m’écouter parler de tout et de rien pendant de longues minutes. J’ai besoin de ce sentiment de sécurité pour m’ouvrir aux autres, c’est quelque chose contre laquelle je ne peux malheureusement pas grand-chose.
But, espérances : En entreprenant des études de médicomagie, je n’avais pas vraiment de carrière précise en tête, mais en entrant dans mon avant-dernière année et en faisant un court séjour à Ste-Mangouste, je me suis découvert un intérêt tout particulier pour la profession de chirurgien magique. La précision que le métier exige me fascine et je serais prête à tous les sacrifices pour intégrer un hôpital de renommée mondiale et me forger un nom dans le milieu. Je n’en deviendrai pas pour le moins narcissique ou impétueuse, non, je voudrais juste qu’on me voit comme bonne dans mon domaine.
Craintes, peurs : Etre reniée. C’est ce qui me fait le plus peur. Mes parents étant moldus, j’ai peur qu’ils ne m’abandonnent au profit d’une vie normale avec mes petits frères. Je suis la seule sorcière de la famille depuis deux générations et cela a causé une sorte de malaise quand mes talents se sont montrés, depuis je ne crains qu’une chose, me retrouver sans personne sur qui compter.
Baguette : Bois d'Aubépine , plume de phoenix , 23 cm .
Niveau scolaire global : Bon, voire Très Bon .
Animal de compagnie : Un hibou royal, Alibi .


"MOI LE MAGICIEN"
Enfance :
    « Grand-père, tu veux bien me raconter encore comment tu as rencontré Grand-mère ? »
    « Hàz’ chérie, cela va faire au moins quinze fois que je te raconte cette histoire, n’en as-tu pas assez ? »
    « Non. »
    « Bon, très bien. »


Le vieil homme se cala plus profondément dans son fauteuil à bascule et scruta l’horizon stérile qui s’ouvrait à ses pieds. La chaise grinçait et faisait grincer le bois sur lequel elle se trouvait et cela depuis des années. Leur ranch perdu au beau milieu du Texas tombait en ruine, il le savait, mais il n’avait plus l’énergie de le faire tenir debout. Il regardait la petite tête brune qui le fixait d’un œil inquisiteur en attente de son histoire favorite. Il lui sourit. Un sourire édenté, peu confiant, attristé. Sa moitié les avait quitté il y a de cela bientôt huit ans alors qu’Hàzel esquissait ses premiers pas. Il leva ses yeux vers le ciel immaculé et le soleil brulant à son zénith. La petite était en vacances chez lui pour quelques semaines, envoyée ici par ses parents qui étaient fatigués de voir voler des objets divers partout dans leur appartement londonien. La petite avait très tôt fait preuve des mêmes dons que son grand-père et que le père de son grand-père. L’aïeul pensait que le petit garçon en chemin posséderait ce don, mais non, ce fut sa petite-fille qui en hérita. Quel changement ! Peut-être possédait-elle également cet autre don qui ferait d’elle une vraie Brightside à ses yeux. Il reposa ses yeux sur la fillette. Elle ne le regardait plus. Elle s’était déplacée de quelques centimètres, se retrouvant sur les marches sableuses du perron et jouant avec ce même sable. Elle en prit une poignée et le laissa lentement lui échapper, le sentant glisser entre ses doigts comme le temps sur le visage de ceux qu’elle aimait. Elle était jeune, mais extrêmement lucide quant à son avenir. C’en était parfois déroutant de l’entendre parler de la mort à dix ans. Il regardait ses cheveux de jais voler au vent. Elle savait bien qu’il ne lui raconterait pas son histoire encore une fois, mais elle aurait aimé l’entendre. Cela la rassurait. Il se leva difficilement, attrapa sa canne et s’éclaircit la gorge. Une fois le visage d’Hàzel tourné vers lui, il baissa la tête.

    « Allez viens, il faut qu’on fasse tes devoirs. »


Hàzel se leva, frotta ses mains sur son pantalon et suivit son grand-père à l’intérieur. Si de l’extérieur le ranch tombait en ruine, l’intérieur en revanche était encore bien entretenu. Il n’y avait pas un grain de poussière qui trainait, pas un tableau de travers, tout était droit. Ils montèrent les escaliers, croisant les portraits des ancêtres qui s’animaient d’avoir un peu de visite.

    « Bonjour Grand-mère ! »
    « Hàzel, comment vas-tu ? Ne soit pas trop méchante avec ton grand-père d’accord ? »
    « D’accord, promis, on va faire mes devoirs. »


La vieille femme sourit et retourna s’asseoir dans le fauteuil unique de la salle dans laquelle elle avait été peinte. Une fois dans le bureau dédié à leurs exercices, le vieil homme s’installa dans un énième fauteuil en cuir et croisa ses doigts filandreux. Il toussa un peu et fit signe à Hàzel de s’asseoir. Elle s’exécuta, prenant une grande respiration puis ferma doucement ses yeux.

    « Je veux que tu te concentres… On va essayer quelque chose de nouveau aujourd’hui. »
    « Qu’est-ce que c’est ? »
    « Quelque chose de bien, tu verras. On continuera les exercices habituels demain. »
    « D’accord. »


Il s’éclaircit la gorge, et se concentra à son tour. Il essayait de se souvenir de ce qu’il avait appris à son âge, des séances que son père lui avait fait subir chaque matin. Il secoua la tête. Il se devait de l’entraîner de la même manière, coûte que coûte. Ce n’était pas une sang-pur et les mentalités ne laissaient rien présager de bons concernant le traitement des sangs-mêlés à l’avenir. Elle devait se protéger. Il reposa son attention sur la petite fille assise sur sa chaise de bois et lui sourit. Il ne lui apprendrait pas ce qu’il allait lui faire, simplement le moyen de s’en protéger, c’était le plus important.

    « Bien. Je veux que tu t’imagines une porte. Très épaisse. Que toi seule pourra ouvrir. Tu as compris ? »
    « Oui, je crois… »


L’enfant obéit. Ses yeux se refermèrent et elle s’imagina une grosse porte fermée à clé. Soudain, une migraine la saisit. Elle a mal, très mal et sent que sa porte s’ouvrirait presque. Elle lutte. Il lui a dit qu’elle seule devrait l’ouvrir. C’est juste trop dur de tenir. S’impose alors à elle des images de son enfance. La première fois qu’elle est montée à cheval. Elle rouvre ses yeux et voit son grand-père qui n’a pas bougé d’un millimètre. Elle laissa sa tête retomber, sentant la transpiration couler depuis ses cheveux jusqu’à sa bouche en flot continu. Sa tête lui fait mal et la porte était ouverte.

Année Poudlard :
    « Hàzel, fais pas comme si tu nous entendais pas ! On sort viens avec nous, ça va être fun ! »


Je relevai la tête, ennuyée par tous ces bruits de couloirs. Je voyais alors Aaron, mon meilleur ami depuis que nous étions entré à Poudlard. Maintenant en sixième année, nous découvrions les joies de la vie indépendante que nous ne pouvions pas trop apprécié avant. Toujours la tête dans les livres pour obtenir les meilleurs résultats possibles, nous ne trouvions pas le temps de nous amuser. Mais depuis nos excellents résultats aux BUSES, nous trouvions le temps pour l’amusement bien que cela ne soit pas ma tasse de thé. Je refermai mon livre, me levai péniblement et attrapai mon sac avant de le rejoindre de l’autre côté du muret où j’étais assise auparavant. Il me sourit, me prend dans ses bras et me présente à sa bande d’amis tous plus écervelés les uns que les autres. Il ne voit pas ce que je vois, qu’ils ne sont avec lui uniquement pour qu’il leur donne les cours par la suite et leur fasse leurs devoirs. Mais je ne dis rien, il faut qu’il vive cette expérience pour avancer, il en a besoin. Alors je souris, j’acquiesce et je suis. Mon objectif n’est guère de me faire des amis ici, mais de réussir ce que j’entreprends. Je compte bien réussir mes ASPIC aussi bien que mes BUSES, voire même mieux et pour cela je ne peux me laisser entraîner avec Aaron. Je l’apprécie beaucoup, c’est un des seuls dont j’apprécie sincèrement la compagnie, mais cela ne m’empêchera pas de continuer à étudier.

Ce soir-là, je les aie suivi jusqu’à la Tête de Sanglier. Pour suivre, j’ai bu. Un peu, pas beaucoup. Du moins au début. Les verres ont défilés devant mes yeux, se sont vidés dans ma gorge et ont peu à peu fait leur effet. En peu de temps qu’il n’en faut pour le dire, j’étais debout sur une table en train de chanter à tue-tête un des tubes moldus de l’été passé. Je ne m’en souviens pas, mais Aaron se fait un malin plaisir de me le rappeler à chaque fois que je suis sur le point de réitérer l’expérience de ma première cuite. La suite ne m’enchante pas le moins du monde. L’euphorie n’a fait qu’attiser mon engouement pour la boisson et j’ai malheureusement fini à l’hôpital de Ste-Mangouste avant d’avoir pu dessaouler.
Le service des urgences était plein. J’avais une poche avec des glaçons posée sur ma tête qui elle retombait lâchement sur ma poitrine. Ma robe de sorcier avait disparue depuis un petit moment, je me retrouvais donc en jean et t-shirt au milieu de blessés en grand besoin d’assistance. Affrontant la lumière agressive de la salle d’attente, je remarquai au loin un jeune infirmier blond qui se démenait pour satisfaire toutes les revendications des personnes présentes. Je me levai et allait le voir, encore sous le joug de l’alcool car jamais je n’aurais osé lui parler en d’autres conditions.

    « Besoin d’aide ? »
    « Vous devriez rester assise, avec la quantité d’alcool que vous avez bu et la chute que vous avez faite, ce n’est pas bon de rester debout. »
    « Ma chaise doit déjà être prise alors je suis toute à vous. »


Il soupira et considéra la salle pleine d’un regard circulaire puis s’arrêta de nouveau sur moi qui tenais ma poche d’une main tremblante. Je tentais un sourire qui trouva une réponse assez rapide. Il finit par céder et après avoir lu son prénom sur sa blouse, je pris soin de m’occuper des patients en bas âges. Lorsque mon grand-père vint me chercher, cela faisait plus d’une heure que j’aidais l’infirmier à se débarrasser des cas les moins importants. Mon aïeul prit grand soin d’afficher sa colère devant toutes les personnes présentes y compris Neel, mon infirmier. Avant de partir, il me laissa une adresse où le joindre et me souhaita bonne chance pour l’année à venir.

***

    « Grand-père, je suis trop fatiguée pour continuer… Il est presque deux heures du matin… »
    « Tu crois sincèrement que c’est comme ça que j’ai réussi. Ecoute, si tu veux qu’on arrête tu vas devoir m’empêcher de voir au moins une chose. »
    « Grand-père, s’il te plait… Je suis bonne à rien là… »
    « Je sais très bien à qui tu penses, je l’ai vu. Et la scène n’était pas très plaisante à regarder pour moi. »


Je baissai la tête, honteuse, sentant mes joues rosirent. Neel et moi sortions ensemble depuis bientôt six mois et j’avais franchi plusieurs étapes. Depuis ma crise d’adolescence, mes parents m’avaient confiée à mon grand-père, revenu spécialement pour l’occasion habiter à Londres. Il m’entraînait à l’occlumencie. C’était passionnant, mais épuisant. J’étais assise sur cette chaise depuis presque deux heures et il avait pu voir tous les détails de ma relation avec Neel. Oui, tous. Depuis mes dix ans jusqu’à aujourd’hui, cela fait donc onze ans, je m’entraîne dès que je rentre à la maison et parfois même en secret quand il vient me voir à Pré-au-Lard. C’était l’été avant mon entrée en douzième année.

    « Allez, c’est reparti. »


Je poussai un long soupir, agrippait les accoudoirs de la chaise et les serrait de toutes mes forces. Je ne le laisserai pas gagner cette fois. Lorsque je le sentis pénétrer mon esprit, une porte se ferma. Il l’ouvrit. Une seconde porte, plus épaisse apparu qu’il finit par ouvrir également. Je sentais mes forces me quitter peu à peu, conséquence de cet entraînement acharné qu’il me faisait subir. Il allait bientôt réussir à voir ce que je cachais depuis le début. Je tenais à mon intimité et ce moment-là, il ne me le volerait pas. Le sentant sur le point de passer le seuil de mon premier souvenir charnel avec Neel, je redoublai de force, menant mon ultime combat dans l’arène qu’était mon crâne. Une immense porte à verrous s’affaissa devant l’image de nos deux corps enlacés. Je le sentais qui forçait comme jamais il ne l’avait fait auparavant, mais je tenais bon. Au bout de quelques secondes, il se retira. Je baissai ma garde jusqu’à ne plus rien protéger du tout. J’étais morte de fatigue. La sueur perlait sur mon front et les gouttes se coursaient sur mes joues, se mêlant à des larmes de satisfaction. Dans un dernier élan, je relevai ma tête étonnamment lourde et lui décrochai un sourire amer avant de réussir à m’extirper du siège pour aller me coucher.


Votre famille : On pourrait penser que la situation de ma famille est compliquée mais en réalité, elle ne l’est pas. Mes ancêtres, depuis des décennies, ont toujours eu un sorcier par génération. C’était traditionnellement un homme mais au fil du temps et des mariages avec les moldus, le sang des Brightside a beaucoup perdu de sa pureté, comme énormément de famille aujourd’hui. La génération de mon père ne connut pas de sorciers mais lui avait néanmoins connaissance de ce monde. Je suis l’aînée d’une fratrie de trois enfants. Mes deux frères, respectivement âgé de sept et onze ans n’ont pas montré de signe de magie bien que j’ai l’impression que le cadet ne tardera pas à me rejoindre d’après les maigres informations de mon père. J’étais la seule. Ma mère, conservative jusqu’au bout des ongles et n’aimant pas trop être bousculée, décida, dès les premiers « symptômes » de me confier à mon grand-père sorcier pour être tranquille. Mon père, soumis, approuva sa décision, pensant que cela me ferait le plus grand bien. Heureusement pour moi, il n’avait pas tort. J’ai passé avec mon grand-père les meilleurs moments possibles. Etant tout d’abord chez lui uniquement durant les vacances, la situation s’inversa à mon entrée à Poudlard. Je vis donc exclusivement avec mon grand-père depuis lors. Sa femme, paix à son âme, est décédée lorsque j’avais deux ans, je ne l’ai donc que très peu connu et ne garde d’elle que le souvenir des conversations avec son portrait dans la maison du Texas de mon grand-père.


Dernière édition par Hàzel S. Brightside le Mar 12 Oct - 13:43, édité 8 fois
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MessageSujet: Re: hàzel -- if anybody sees her . (over)   hàzel -- if anybody sees her . (over) EmptyDim 10 Oct - 14:23

welcomeuh && good luck ^^
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MessageSujet: Re: hàzel -- if anybody sees her . (over)   hàzel -- if anybody sees her . (over) EmptyLun 11 Oct - 16:15

oh hannah beth !
ça faisait longtemps qu'je l'avais pas vu sur un forum
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Ysölde M. Wilkes McFays
Ysölde M. Wilkes McFays


fondatrice -  prefète de serpentard, attention à vous, je peux éviter la retenue... ou pas.

first Log-in : 29/06/2010
parchemins : 8416

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MessageSujet: Re: hàzel -- if anybody sees her . (over)   hàzel -- if anybody sees her . (over) EmptyLun 11 Oct - 16:26

Bienvenue (:
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MessageSujet: Re: hàzel -- if anybody sees her . (over)   hàzel -- if anybody sees her . (over) EmptyLun 11 Oct - 19:15

    merci beaucoup vous trois =) je pense finir ma fiche demain ^^ j'ai hâte de jouer parmi vous !
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MessageSujet: Re: hàzel -- if anybody sees her . (over)   hàzel -- if anybody sees her . (over) EmptyMar 12 Oct - 13:46

    Désolée du double post , mais si la fiche vous convient , notamment pour l'occlumencie , je pense en avoir terminé ^^
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MessageSujet: Re: hàzel -- if anybody sees her . (over)   hàzel -- if anybody sees her . (over) EmptyMar 12 Oct - 19:03

Belle fiche, tu es validée et tu vas chez Poufsouffle !
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MessageSujet: Re: hàzel -- if anybody sees her . (over)   hàzel -- if anybody sees her . (over) Empty

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