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THERE IS ALWAYS A WAY OUT. (schuyler)

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Ysölde M. Wilkes McFays
Ysölde M. Wilkes McFays


fondatrice -  prefète de serpentard, attention à vous, je peux éviter la retenue... ou pas.

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MessageSujet: THERE IS ALWAYS A WAY OUT. (schuyler)   THERE IS ALWAYS A WAY OUT. (schuyler) EmptyLun 11 Juil - 20:05

“THERE IS ALWAYS A WAY OUT”
Ysolde avait bien changée depuis l’an passé, elle qui ne sortait jamais après le couvre feu, changeait de point de vue sur la question. Ysolde avait passé l’après midi à la bibliothèque, à chercher un livre de divination où elle avait vu le nom de « Brunilda Fayburn », une voyante ayant vécu il y a un peu près soixante dix ans. L’année dernière, elle n’y avait pas prêté attention, ignorant le patronyme de jeune fille de sa mère. Impossible de remettre la main sur ce fichu bouquin. Elle avait retourné toute la bibliothèque, en vain. Elle tenait à trouver ce livre parce que… cette femme était une membre de sa famille, et elle possédait le même don qu’elle, elle tenait à en savoir plus. Quand elle est allé questionner la bibliothécaire, elle lui soutint que ce livre n’existait pas ; pourtant ysolde était certaine de l’avoir vu… à moins que… ce livre se trouve dans la réserve. Et merde, elle n’allait pas pouvoir aller demander à un professeur de lui faire un mot, parce que… l’année avait commencé et avoir des devoirs tout de suite… c’est étrange. Ysolde poussa un long soupire et referma le gros volume poussiéreux, il allait définitivement falloir qu’elle pénètre dans la réserve, au beau milieu de la nuit. Et bien, la nuit allait être longue.

(…)

La nuit englobait le château, et Ysolde gardait l’œil ouvert dans la salle commune de serpentard. Elle n’avait guère envie d’aller se coucher. Elle attendit que tout le monde soit couché pour entreprendre ce qu’elle avait à faire. Elle était habillé de foncé, pour mieux se fondre dans la nuit. Elle se sorti de la salle commune et avança dans la nuit, munie de sa baguette, on ne sait jamais sur qui l’on peut tomber, si c’était sa sœur, elle la désarmerait sans hésiter, elle serait même capable de l’assommer. Elle était à l’étage de la bibliothèque qui était littéralement désert et les torches éclairaient faiblement… les flammes dansaient paisiblement, bercé par le rythme de la nuit. Ysolde avança à pas de loup jusqu’à la porte, elle leva sa baguette et murmura : Alohomora. Doucement, et après un léger bruit de mécanique, Ysolde parvint à pousser la porte de la bibliothèque, elle était lourde et massive, mais elle l’avait poussé tant de fois. Ysolde referma la lourde porte derrière elle, et avança dans la bibliothèque. Il faisait noir, elle n’était guère habitué à cette obscurité, car elle se plaisait à travailler ici, justement parce que ce lieu était lumineux. La nuit, aucune torche n’était allumée. Ysolde se serait damné pour une cape d’invisibilité, au moins elle se serait senti plus en sécurité. Elle n’avait qu’une peur : être renvoyée. Elle se faufila jusqu’à la réserve, à pas feutré. Elle regardait autours d’elle, personne, dieu merci. Elle s’approcha de la porte de la réserve, et abaissa sa baguette pour effectuer le même sort que sur la porte de la bibliothèque, mais, étrangement… elle n’était plus verrouillée, étrange. Timidement, mais surtout sur ses gardes, elle poussa la porte qui visiblement était mal refermée. Elle la poussa derrière elle. Elle cherchait le rayon qui lui fallait, elle s’enfila entre les rayons, tête baissé, et tout à coup, elle tourna à l’angle d’un rayon, et leva les yeux avant de laisser échapper un cri. Nez à nez avec quelqu’un… ce quelqu’un elle l’avait vu une fois : à la demeure des Lestrange, elle ne savait pas très bien de qui il s’agissait à l’époque Ulysse était resté vague, très énervé visiblement par la présence de cette personne. Si elle continuait à crier comme ça, ils allaient se faire repérer.

Dernière édition par Ysölde Fayburn-Wilkes le Mer 20 Juil - 20:52, édité 1 fois
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Ulysse Meriadec Lestrange
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Futés, rusés, tous les qualificatifs sont bons. Nous sommes les héritiers de Salazar.

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MessageSujet: Re: THERE IS ALWAYS A WAY OUT. (schuyler)   THERE IS ALWAYS A WAY OUT. (schuyler) EmptyLun 11 Juil - 21:29


    Schuyler était revenu. Oui, il était de nouveau dans les parages, pour faire chier. Tout ce qu'il faisait dans sa vie semblait être mené par cette règle directrice. Ça et la vengence et jouer des farces et la paresse, mais bon. Il avait de la rencoeur à revendre à peletée. Il était revenu chez son père, au plus grand damne des Lestrange. Le batard avait remis les pieds dans le manoirs après le décès de sa mère. Il exigeait ce qu'il n'avait jamais eux, un toit, un père ou une compensation équivalente. Ils n'avaient pas eut le choix, sinon, c'était le déshonneur et la poursuite judiciaire. Ils l'avaient installés dans la maison d'amis et prétendaient qu'il était un cousin éloignée qui avait vécut une tragédie. Oui, Schuyler avait perdu sa mère, mais ce n'était pas de la tristesse qu'il ressentait, c'était de la colère envers son père. Il ne pouvait même pas l'appeller son père, c'était son géniteur et cela l'écoeurait particulièrement. On lui avait donné tout ce qu'il voulait, mais ce n'était pas assez pour Schuy. Ils le détestaient tous autant qu'ils étaient dans cette foutue famille. Surtout Ulysse, ils ne pouvaient se voir en peinture. Sa présence à Poudlard ne l'enchantait pas du tout. Oui, car il était à Poudlard au lieu de retourner à Durmstrang et revenir habiter à Londres dans les vacances. Il avait insisté avec fermeté et arrogance, puis il avait eut ce qu'il voulait. Ce n'était pas qu'un caprice, il avait un but bien précis, une quête. La vengeance l'animait, il allait faire pleurer celui pour qui il avait pleuré de nombreuses années durant. Son père allait être à genoux devant lui et allait le supplier d'arrêter, puis Schuyler sourirait. Il allait lui prouver qu'il avait tord et après, il aurait enfin le respect qu'il méritait. Des beaux rêves et beaucoup d'ambition alors qu'il feuilletait les pages d'un livre. Un bouquin sur la construction et l'ingénérie de Poudlard. Il s'arrêta à une page contenant une photo. Un portrait qui lui était véritablement familier. On voyait les 4 jeunes fondateurs de Poudlard qui intéragissaient de façon très complice.Presque tous, enfin. Quelque chose attira son attention, Salazar. Il était un peu éloigné des autres, les bras croisés. Il regardait Godric d'un air dégouté, puis se tournait doucement vers le coin de la photo en adressant un léger sourire à quelqu'un qui n'était pas là. Était-ce bien la une preuve. Une évidence que personne n'avait remarquée ? Le jeune homme approchait son visage de la page et écarquillait les yeux pour mieux voir dans l'obscurité coupée par la lumière qui provenait de sa baguette.

    Il n'en eut pas le temps. Une furie apparue au détour. Schuy laissa tombé son livre et sa baguette du même cou. Cette dernière s'éteignit. Impossible de la retrouver sur le sil sans l'aide d'une autre baguette. La jeune femme ne semblait que plus effrayée de ne pas voir le visage de celui qu'elle considérait comme son opposant. Merde.

    « Chut, arrête ! » Murmura-il doucement en tendant une main vers la jeune demoiselle qui hurlait toujours. Au diable la politesse et la galanterie, la minette allait devoir la fermer si elle ne voulait pas être renvoyée à la maison ou en retenue. Schuy s'approcha assez rapidement, mais c'est avec délicatesse qu'il posa sa main sur la bouche de la jeune femme pour atténuer le bruit de ses hurlements. Elle allait alerter tout le château si elle continuait et à crier comme elle le faisait, les héros qui viendraient la sauvers croiraient que Schuyler abusait d'elle. Surtout alors qu'elle avait reculé pour être addosé au mur non loin, la main du gryffondor couvrant la bouche de la dame. Elle aurait pu le mordre, option à laquelle il n'avait pas penser. Il approcha sa tête de la sienne pour venir lui murmurer doucement à l'oreille. Une voix qui se voulait réconfortante et douce.

    « Je ne te ferais pas de mal, n'ai pas peur. Faut seulement que tu la boucle, sinon, on va être dans les ennuis jusqu'au cou tous les deux ! » Lui dit-il très calmement. Son accent bulgare ne trompait personne. Il roulait ses ''R'' parce qu'il avait passé pratiquement toute sa vie en Bulgarie. Ici, dès qu'il ouvrait la bouche, il se faisait remarquer. S'en était presque chiant. Lorsqu'il jurait en russe, tous pensaient qu'il était un extra-terrestre. Il se recula, se mettant face à elle et la regardant pour la pemière fois depuis son irruption. Son visage était très faiblement éclairé, mais elle lui était familière, sans trop l'être. Sa mémoire lui faisait défaut il qu'il tentait de comprendre, relachant doucement sa prise sur sa bouche faute de trop réfléchir.


Dernière édition par Schuyler K. Scrimgeour le Ven 15 Juil - 20:20, édité 1 fois
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: THERE IS ALWAYS A WAY OUT. (schuyler)   THERE IS ALWAYS A WAY OUT. (schuyler) EmptyJeu 14 Juil - 8:54

Ysolde n’aimait pas sortir la nuit, elle se sentait fautive, et sans cesse entrain d’enfreindre le règlement, oui, elle était « sage », et elle aurait fait une parfaite serdaigle, elle en était persuadée. En tout cas, elle marchait à pas de loup de la bibliothèque avant de se retrouver nez à nez avec un jeune homme, blond, plus grand elle, et avec un visage familier. Elle poussa un cri de stupeur, elle ne pu le réprimer, trop surprise et stupéfaite, mais surtout terrifiée à l’idée que cela puisse être un professeur. Chut, arrête ! Lui murmura alors la jeune homme qui vint alors vers la jeune femme, et il lui ferma la bouche, même si c’était brutal comme action les gestes du jeune homme restaient doux. Mais, Ysolde détestait être touché par des inconnus. Elle se tu, toujours prête à le morde au moindre mouvement suspect… elle n’était pas violente, elle était juste réactive, et prête, si jamais. Il avait de la force le blondinet, il l’avait fait reculé jusqu’à un mur. Si il s’approchait encore, elle se jura de la mordre, elle était agressive parfois, oui. celui se rapprocha d’elle, pour aller lui murmurer à l’oreille : Je ne te ferais pas de mal, n'ai pas peur. Faut seulement que tu la boucle, sinon, on va être dans les ennuis jusqu'au cou tous les deux ! Sa voix était calme, elle se résigna alors et renonça à le mordre, pour l’instant tout du moins. Il n’était pas du coin, c’était certain, il avait un accent qui semblait venir d’europe de l’est même. Elle ne l’avait jamais vu à Poudlard avant, il devait avoir fait le choix de venir étudier dans la plus grande école de magie du monde : Poudlard, tant mieux pour lui, il avait fait le bon choix. Elle l’avait vu, une fois chez les lestrange, autrement dit, cela ne l’aiderait à monter dans son estime, loin de là, c’était pour ça qu’elle restait méfiante. Celui-ci relâcha la pression sur sa bouche.

Il n’avait pas montré d’hostilité, mais dés qu’il eut relâché la pression sur la bouche de la jeune femme, celle-ci s’échappa, et resta à une certaine distance de lui, elle gardait sa baguette en main, sans pour autant l’en menacer, s’il s’approchait d’elle, oui, elle pourrait éventuellement le menacer. Elle le regarda de bas en haut, l’étudiant, et posa alors son regard sur lui avant de dire : J'ai pas peur. Non… elle avait juste était effrayée sur le coup, mais ce n’était un garçon qui allait lui faire peur, même Ulysse lestrange ne lui faisait plus peur, c’était dire. Ysolde n’avait plus peur de grand-chose, quand on a plus rien à perdre, on a plus rien à craindre. Il n’était pas un professeur, dieu merci. Elle regarda autours d’elle, et avança dans le rayon, passant à côté du jeune homme sans lui prêter plus d’attention que cela, elle était ici pour une raison bien particulière : elle avait besoin d’un livre. Elle leva sa baguette qui s’illumina au bout à l’aide d’un sortilège informulé. Elle lit les titres des livres en penchant la tête sur le côté. Elle posa sa baguette sur le rebord, et leva la tête. Pourquoi est ce que le livre que l’on veut se trouve toujours, hors de porté. Elle poussa un soupire : avec les livres de la réserve, il ne fallait pas essayer d’user d’un sortilège d’attraction, c’était le moyen idéal pour s’attirer des ennuis. Elle poussa un soupire, et à bout de bras essaya d’attraper le gros volume intitulé « L’art nébuleux de la divination à travers les siècles : les plus grands voyants de l’Histoire. »
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Ulysse Meriadec Lestrange
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MessageSujet: Re: THERE IS ALWAYS A WAY OUT. (schuyler)   THERE IS ALWAYS A WAY OUT. (schuyler) EmptySam 16 Juil - 17:07


    « J'ai pas peur. » Avait-elle répondu après l'avoir regardé de haut en bas. Schuyler rigola doucement. Et puis quoi encore ? Elle n'avait pas eut peur et pourtant elle avait faillit signer leur renvoie de Poudlard à tous les deux par ses cris ? Elle hurlait de toutes ses forces, comme si le gryffondor l'aurait attaqué, battue, violée ou pire. Le jeune homme bassa tranquillement ses yeux vers la poitrine de la jeune femme. Pas avec une arrière-pensée perverse. Simplement pour remarquer le badge de serpentard cousus sur cette dernière. Il ne connaissait pas beaucoup les maisons alors qu'il était arrivé ici, mais il avait faillit aller chez les serpentards. Il avait beaucoup d'ambition, mais son courage l'avait emporté sur tout le reste. Courage don, la pluspart des serpentards, manquaient cruellement. Il n'était donc pas étonnant que la demoiselle ait eu la frousse de sa vie et qu'elle soit trop orgeuilleuse pour l'avouer. Il relevait ses yeux vers son visage pour être plus decend. Elle lui était vraiment familìère, mais il n'arrivait pas à la replacer dans sa mémoire avec exactitude. Il était rare que des gens ici lui était familier. Quelques personnes rentrées depuis peu, certaines pendant l'été, mais la pluspart des gens qu'il croisait dans une journée étaient des inconnus. Pas elle, il en était convaincu.

    « J'aimerais pas voir lorsque t'es effrayée dans ce cas ! » Rigola-il doucement en lui adressant un magnifique sourire. Geste qu'elle ne lui rendit pas. Elle n'était pas très sympathique la petite. Tant pis. Il était là avant elle dnas la bibliothèque et si mademoiselle princesse des verts et argent n'était pas contente, elle n'avait qu'à aller voir ailleurs. Schuy était bien décider à ne bouger de la bibliothèque que lorsqu'il en aurait terminé. Et Merlin lui-même sait à quel point il est têtu. Elle aussi, apparament. La brunette avait décider qu'elle voulait un livre trop haut. Les bout de ses doigts n'atteignaient même pas l'étagère. De son naturel aidant, Schuyler tendit son bras vers le bouquin qu'il frola du bout de ses doigts. Non, il n'y arrivait pas non plus. Il eut soudain une idée de génie.

    « Ne panique pas, j'suis plutôt fort. Je te porte et toi t'attrape ton bouquin. » Il n'attendit pas vraiment son approbation. Il s'approcha d'elle et avec douceur, la leva pour qu'elle soit encore plus grande que lui et arrive à aggriper le livre. Elle n'était pas vraiment lourde. Un poid-plume. Elle pesait trois fois rien et Schuy avait une force naturelle qu'il entretenait par ses aventures rocanbolesques. Il jeta un oeil vers elle tout en haut, elle ne semblait pas encore avoir ce qu'elle voulait.

    « Tu me dis quand tu l'as et je te redescent » C'était du Scrimgeour tout craché ça. Trop familier, trop sociable. Le genre de mec qui parle à tout le monde et qui aide tout le monde. Même cette fille aux allures de princesse et aux yeux magnifiques qui lui rapellait quelqu'un malgré sa froideur et ses allures de fille inacessible. Trop peu pour lui. Il voulait juste être sympa avec elle, si elle l'envoyait promener, elle aurait affaire au côté arrogant de la personnalité du jeune Bulgarie de sang-mêlé.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: THERE IS ALWAYS A WAY OUT. (schuyler)   THERE IS ALWAYS A WAY OUT. (schuyler) EmptyMer 20 Juil - 21:29

J'aimerais pas voir lorsque t'es effrayée dans ce cas ! Elle le gratifia d’un regard noir associé à un faux sourire dont elle seule avait le secret. Elle savait faire un regard qui faisait froid dans le dos, après tout, elle était une fille de caractère comme sa mère. Dans la famille de sa mère, toutes les femmes avaient très forts caractères, sa mère, sa grand-mère, et sa tante aussi. Mais ce n’est pa le moment pour les histoires de famille quoi que… si ysolde était là c’était à cause de la famille de sa mère, elle avait aperçu le nom de famille de celles-ci dans un livre qu’elle avait consulté l’année dernière dans la réserve, elle se devait de mettre la main dessus. Et ce n’était pas ci nigot qui allait l’aider, quoi que… Elle était sur la pointe de pied a essayer d’attraper ce fichu bouquin, sapristi, elle était trop petite. Le jeune homme s’approcha d’elle, et essaya d’attraper lui-même le livre, un instant elle le fixa d’un air du dire « si tu le touche, je te mords. » mais il ne pouvait pas l’attraper non plus, vantard va. Ne panique pas, j'suis plutôt fort. Je te porte et toi t'attrape ton bouquin. Ben tiens, il ne se prenait pas pour n’importe qui celui là. Il se décrivait lui-même comme fort, décidément, les garçons avaient le don de mettre ysolde hors d’elle, qu’avaient-ils tous à se croire plus fort que les filles ? certes physiquement, ils étaient peut être plus fort, mais ysolde était certaine d’être plus brillante et plus futée qu’eux, elle en mettrait sa main à couper. Elle sursauta quand il la leva du bout des bras avec une facilité déconcertante. C’était… intelligent, mais quelqu’un d’intelligent aurait essayé un sortilège pour léviter, on ne peut pas user de sortilège contre les livres, mais sur soi… enfin bref, c’est les hommes, a faire des prouesses physiques. Ysolde était légère, ce n’était un secret pour personne d’ailleurs, elle y était presque, quand il lui dit : Tu me dis quand tu l'as et je te redescent Elle baissa la tête vers lui, elle avait envie de lui foutre une gifle, quand elle rétorqua : Oh, ça va hein, je ne suis pas un sac de marchandise. Sa voix était tranchante, sans vraiment être méchante. Elle attrapa la livre, qui était lourd et surtout poussiéreux, elle le tira du rayonnage avec douceur. Elle regarda alors le volume, un très vieux livre soit dit en passant. Elle le pris alors dans ses bras, et dit à son porteur : Ca y est.

Elle attendit qu’il la pause sur la terre ferme. Sans lui prêter attention une seconde, elle souffla sur le volume pour faire disparaitre la poussière sur la couverture. C’était une belle reliure, elle se demandait pourquoi ce livre était dans la réserve, il n’y avait rien de dangereux dans ce livre. Enfin elle ne se souvenait pas avoir lu des choses dangereuse, ou puissante. Puis, elle daigna quitter le livre des yeux pour poser son regard sur le jeune homme. Elle le fixait, se demandant qui il était, elle l’avait déjà vu mais il n’avait guère marqué son esprit. Elle décida d’être social et dit : Merci de ton aide... elle eut envie de dire un nom mais... rien ne vint, elle dit alors : l'homme mystère ? Il avait intérêt à lui dire son nom, sinon elle le lui ferait dire de force. Toujours savoir à qui l’on s’adresse est primordial. Ysolde le regarda, elle ne dirait son nom que quand il aurait daigné dire le sien, elle ne lui adressa pas un sourire, mais plutôt un visage neutre, ni gentil, ni vraiment méchant. Ysolde était méfiante, et qui pourrait lui en vouloir avec les temps qui courent.
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Ulysse Meriadec Lestrange
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MessageSujet: Re: THERE IS ALWAYS A WAY OUT. (schuyler)   THERE IS ALWAYS A WAY OUT. (schuyler) EmptyLun 25 Juil - 5:43


    « Oh, ça va hein, je ne suis pas un sac de marchandise. » Lui avait-elle lâché en le regardant d'en haut. Il l'observait prendre le livre poussiéreux dans ses bras et le serrer contre sa pointrine. Il attendait malgré tout qu'elle lui dise qu'elle l'avait. Après tout, peut-être en voulait-elle plus que un ou peut-être que ce n'était pas le bon, enfin bref. « Ca y est » Avec douceur, il la reposa sur le sol et enleva ses mains de sur elle. Une main dans ses poches et l'autre dans ses cheveux, il la fixait. Il savait qu'il l'avait déjà vue, mais il n'arrivait pas à comprendre quand. Puis soudain, ça lui revient. C'était l'an passé. Elle était aux bras de Ulysse, elle avait les cheveux beaucoup plus foncés. Oh combien il l'avait trouvée jolie. La fiancée de son merveilleux frère. Il s'était amusé à aller lui parler, lui faisant gentiment des compliments pour rendre son frère complètement cinglé. Rien de plus simple pour s'attirer les foudres du jeune conservateur. Quelle connerie. Schuyler était un sang pur et pourtant, il n'en faisait pas toute une histoire. Un doux sourire c'était impgéné sur les lèvres du jeune homme. Elle était toujours aussi mignonne. Ses cheveux étaient plus clairs, mais elle était d'une beautée époustouflante. Même alors qu'elle l'ignorait complètement et observait son gros bouquin, elle le faisait craquer. Tant pis si elle était une garce, une fille méchante et bête, pour lui, c'était un défi. «Merci de ton aide... » Finit-elle par lui dire en posant ses yeux pour le fixer comme il la fixait « l'homme mystère ? » l'interpella-elle. Schuyler rigola doucement en passant une main sur sa nuque. Ils étaient mals barrés. Il ne se souvenaient pas de son prénom lui non plus. Une consonnance anglaise, c'était certains et ça commençait par l'une des dernières lettres de l'alphabet. V... W... X ? Non... W ! Willi ? Wonka ? WILKES ! Ça lui revient. Son prénom, Impossible à trouver, même pas une lettre. Elle finirait bien par lui dire de toutes façon. Avec un sourire des plus charmant et tendant sa main à la jeune femme pour se présenter oficiellement.

    « Pardon, j'en oublie les bonnes manières ! Je suis Schuyler. Schuyler Lestrange. »

    Lui dit-il en lui tendant toujours sa main et ne cessant pas de sourire en lui exposant ses dents trop blanches et trop droites. Il avait fait un pas vers elle. Il n'aimait pas trop être loin des gens. Il était famillier avec tous, très peux de vous et de monsieur-madame pour lui. Pas qu'il manque de respect, il était juste familier même avec les étrangers. Surtout qu'il avait déjà discuter avec cette jolie blonde. Elle n'avait toujours pas serrer sa main, méfiante. C'était normal de se méfier des inconnus, ses parents l'avaient bien éduquées. Il avait un carrure assez imposante en plus. Toujours avec son magnifique sourire, il renchérit.

    « Tu es la Wilkes ? La petite amie de mon très cher frère ? N'est-ce pas ? »

    Contrairement à lui, elle ne semblait pas très sociable. Schuyler était du genre à parler à tous le monde qu'il croisait. Se rendre quelque part avec lui pouvait prendre une éternité tellement il arrêtait pour sympathiser avec tous ceux qu'ils croisaient. Il était également du genre à aller discuter avec le plus solitaire du château. Il était comme ça à Durmstrange, seulement là-bas il y avait moins d'idiots de sang pur qui se prennent pour des princes. La bataille des sangs semble moins forte à Durmstrang. Cela lui manquait, mais il n'était pas venu à Poudlard tout bêtement non plus.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: THERE IS ALWAYS A WAY OUT. (schuyler)   THERE IS ALWAYS A WAY OUT. (schuyler) EmptyMar 2 Aoû - 13:39

Elle n’appréciait pas se présenter la première, peut être parce qu’elle était toujours sur la défensive, se demandant ce qui allait lui tomber dessus. Ysolde avait toujours été d’un tempérament méfiant, mais depuis qu’elle avait retrouvé la mémoire, c’était pire, elle se méfiait de tout le monde, même de ses amis, car quand votre propre famille vous a menti pendant onze ans, plus personne n’est digne de confiance. Ysolde serra la livre fort contre elle, c’était ce livre qui le raccrochait à une partie de sa famille, celle qu’elle avait oublié, en le serrant elle sentait la force la reprendre. Le jeune homme – très séduisant avouons-le - lui tendit alors la main avant de dire, enfin, avant de se présenter de manière officielle : Pardon, j'en oublie les bonnes manières ! Je suis Schuyler. Schuyler Lestrange. Machinallement, elle lui avait tendu la main pour serrer la sienne, comme l’exige les convennces, Les Lestrange allaient la poursuivre toute sa vie ? D’abord Ulysse qui ne daignait pas la lâché et qui voulait absolument son pardon, et que tout redevienne comme avant, et cette peste de Jillian qu’Ysolde n’avait jamais porté dans son cœur, et c’était réciproque d’ailleurs. Elle le regard. Elle failli reculer quand il fit un pas vers elle, elle se méfiait des Lestrange, depuis qu’Ulysse l’avait frappé dans la forêt, on pourrait même dire qu’elle en avait peur. Elle tendit alors sa main pour serrer la sienne, le visage tout à coup plus fermé, et le sourire avait comme qui dirait pris la clef des champs, elle était plus neutre, plus froide tout à coup.

Tu es la Wilkes ? La petite amie de mon très cher frère ? N'est-ce pas ? t en plus c’était le frère de l’autre monstre qui lui avait servi de fiancé pendant près de six mois, ce monstre même qui l’avait frappé dans le foret interdit. Elle n’aimait pas les Lestrange, une famille de cinglé, le père de Ysolde lui-même l’avait dit – en même temps, le père d’Ysolde était tout sauf sain d’esprit quand on y pense – Ysolde était d’autant plus méfiante qu’elle ne le connaissait pas, qu’elle ne l’avait jamais vu. Peut être était-il différent des autres, elle ne savait pas. Mais à en juger par la couleur de sa cravate, griffondor était sa maison, Mr Lestrange devait être furieux. Ysolde lâcha alors sa main, et croisa ses bras sur son livre, elle le regarda et dit alors la voix cassante : Désolé de te décevoir mais la petite amie de ton cinglé de frère est ma sœur Bellatrix, sa fiancée pour être précise. J’ai été sa petite amie en mon temps, mais ne t’avise plus jamais de me relier d'une quelconque manière à ce monstre stupide, arrogant, raciste et définitivement cinglé qui te sert de frère ? Suis-je claire ? Elle détestait Ulysse, c’était flagrant, si il était assez intelligent, il ne lui demanderait pas pourquoi tant de haine envers son frère, et si c’était vraiment son frère, il serait en mesure de le connaitre, et de comprendre qu’il était cinglé. Ysolde ne tenait pas à revenir sur ce qui c’était passé dans la foret interdite début juin dernier, elle savait que c’était derrière elle, pas besoin de ressasser le passé. Elle resta droite, et digne, et dit alors : Je suis Ysölde, Ysölde Fayburn-Wilkes Enchanté. Le enchanté était de convenance, tant qu’elle n’en saura pas plus sur lui, elle resterait distante, et de marbre. Elle avait dit ysolde Fayburn-Wilkes, c’était une des premières fois qu’elle se présentait avec le nom de sa mère, une sang mêlé, Ysolde n’avait plus honte d’être de sang mêlé, elle les attendait ces infâmes sangs purs cosanguins. Laisse-moi juste te poser une question, pourquoi est ce qu’un Lestrange possède l’accent d’Europe de l’Est, et pourquoi existe-il un troisième Lestrange dont personne ne connaissait l’existence ? Je suis curieuse quand je suis méfiante. Elle n’y allait jamais par quatre chemins, au moins elle était franche, que ça lui plaise ou non.
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Ulysse Meriadec Lestrange
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MessageSujet: Re: THERE IS ALWAYS A WAY OUT. (schuyler)   THERE IS ALWAYS A WAY OUT. (schuyler) EmptySam 6 Aoû - 2:38


    La magnifique blonde avait machinalement serré la main du jeune homme. Elle était bien élevée, c'était visible dès la première approche. Elle avait cette élégance et cette froideur de sang pur. Il sentait pourtant qu'elle était plutôt rebelle. Un truc chez cette serpentard l'interpellait, le faisait vibrer. Elle était différente. Ce n'était pas qu'une jolie gamine avec un peu d'inceste dans sa famille qui se prenait pour une autre et qui regardait tous le monde de haut. Pas du tout. Dès qu'il avait posé son regard sur elle, Ysölde l'avait intrigué et cela continuait encore et encore. Il serra sa main avec toute la délicatesse dont il pouvait faire preuve. Sa main était frêle et tellement douce. Le contraste était frappant. Une main angélique et minuscule dans une main dure et immense. Une main de monstre, une main qui pouvait tuer sans s'en rendre compte. Elle lâcha sa main juste au moment où il allait faire de même à force de penser qu'un jour, il pourrait lui faire mal sans le vouloir. Son regard s'était perdu dans l'émeraude des siens et il ne revient à lui même que lorsque sa voix froide perça le silence qui avait fait son nid avec eux au fond de la bibliothèque. « Désolé de te décevoir mais la petite amie de ton cinglé de frère est ma sœur Bellatrix, sa fiancée pour être précise. J’ai été sa petite amie en mon temps, mais ne t’avise plus jamais de me relier d'une quelconque manière à ce monstre stupide, arrogant, raciste et définitivement cinglé qui te sert de frère ? Suis-je claire ? » Elle avait du caractère la petite. Il eut une sourire. Lui non plus n'aimait pas Ulysse, ni leur père ou leur mère et encore moins le reste des sangs purs. Ils l'avaient tous rejetés parce qu'il était différent et sa rancune ne leur pardonnerait jamais. Il les mettaient tous dans le même panier, sauf cette jolie blonde dont il ne connaissait que le nom de famille et le dessin exact de son iris à force de s'éblouir de ses yeux magnifique tout comme du reste de son visage et de ses infinies cascades blondes.

    « C'était du gaspillage qu'une aussi charmante demoiselle soit avec un parfait demeuré de sang pur égocentrique. Pour ma part, j'aime bien être relié à lui. Ça le faire rager et ça me va parfaitement. »

    Il souriait doucement et éternellement. Un sourire en coin. Oui, il aimait faire chier Ulysse. Il aimait dire, voir crier qu'il était son frère et qu'il était à gryffondor et qu'il n'appuyait aucunement les sangs purs. Il fréquentait les sang de bourbe et en avait déjà eut plusieurs comme petites amies. Il adorait l'obstiner à propos de la valeur du sang. Il adorait cela, parce qu'il savait qu'il avait raison. Ils étaient tous aveugles et courraient à leur perte. « Je suis Ysölde, Ysölde Fayburn-Wilkes Enchantée » Il arqua un sourcil en entendant son deuxième prénom. Cela lui disait vaguement quelque chose même s'il ne se souvenait pas qu'elle le portait également. Elle lui avait été présentée comme étant une Wilkes, mais jamais comme une Fayburn-Wilkes. Il ne connaissait d'ailleurs personne portant ce nom de famille, mais il lui était familier. Peut-être qu'elle avait de la famille en Bulgarie qu'il avait connu ?

    « Fayburn ? » Questionna-t-il, sans réellement préciser ce qu'il cherchait à savoir, tout en voulant en savoir plus. Il cherchait dans sa mémoire, mais c'était peine perdu. Un joueur de Quidditch ? Un loup-garou ? Il ne trouvait pas, mais pas du tout. C'était trop loin, trop creux, trop futile. Comme si quelqu'un l'avait un jours évoqué et qu'il en avait été marqué. Ou peut-être simplement qu'il cherchait une façon de plus d'être reliée à elle, inconsciemment, bien entendu. Il ne le savait pas encore, mais bientôt, elle le rendrait fou et occuperait la plupart des ses pensées. Le Quidditch et Ysölde Fayburn-Wilkes. Elle ne tarda pas à revenir à la charge avec une question sur lui. Il ne trouvait pas important de parler de lui, il était inintéressant, banal, il avait envie d'entendre parler d'elle, d'en savoir plus sur cette belle blonde, de la connaître un peu trop. « Laisse-moi juste te poser une question, pourquoi est ce qu’un Lestrange possède l’accent d’Europe de l’Est, et pourquoi existe-il un troisième Lestrange dont personne ne connaissait l’existence ? Je suis curieuse quand je suis méfiante. » Il rigola doucement de sa voix grave. Personne ne connaissait son existence, c'était exact. Elle n'avait jamais eut aussi raison. C'était triste, la triste vérité.

    « Parce que je ne me pliait pas aux normes strictes de conservateurs. Le père si aimant à donc décider de rejeter son fils et de l'envoyer en Bulgarie. C'est sans offense personnel, mais ses conservateurs sont des cons. »

    Il eut un sourire triste tout en apposant son regard sur le sol, passant une main sur son front. Lui aussi, était méfiant. Il ne souhaitait pas se dévoiler entièrement à tous le château. Il ne voulait pas être rejeté pour la deuxième fois de sa vie parce qu'il était trop différent et dangereux.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: THERE IS ALWAYS A WAY OUT. (schuyler)   THERE IS ALWAYS A WAY OUT. (schuyler) EmptySam 6 Aoû - 17:24

Ysölde était ultra méfiante. Comment lui en vouloir ? En ce moment, elle se faisait trainer plus bas que terre par la plupart des sang purs, ceux avec qui autrefois elle s’était cru amie, comme Matthys et Amadeus, ceux qui aujourd’hui s’en prenait à elle de la pire des façon, pire que si elle était une née moldue, pire car elle avait été l’une des leur et qu’aujourd’hui elle ne pouvait plus prétendre à être dans le cercle fermé des sang purs, pour tous c’était une trahison pire que d’être née moldue. Alors elle se méfiait de Schuyler, comme celui-ci était de sang pur, et un Lestrange de surcroît. Elle n’en avait jamais entendu parler, elle qui pourtant aujourd’hui aurait dû s’appeler Madame Ysölde Lestrange, car à la base elle aurait dû épouser Ulysse en Août. C'était du gaspillage qu'une aussi charmante demoiselle soit avec un parfait demeuré de sang pur égocentrique. Pour ma part, j'aime bien être relié à lui. Ça le faire rager et ça me va parfaitement. Une charmante demoiselle ? Est-ce pas monsieur Lestrange n’était pas entrain d’essayer de lui faire du charme ? A vrai dire, depuis qu’il avait prononcer le nom de Lestrange, Ysölde avait cesser de la détailler, et de fixer son visage d’apollon, elle avait donnée une fois avec un Lestrange, plus question de refaire la même erreur ; il avait beau avoir l’air de détester son frère autant qu’elle, elle préférait rester méfiante, et ne plus tomber amoureuse de sang pur, au moins les choses seraient plus simple. C’était sans compter sur des remarques du genre « une si charmant demoiselle », et c’était sans compter sur ce visage sublime, et cette taille imposante. Ysölde se laissa aller à penser une seconde qu’il avait l’air baraqué, e t par conséquent musclé. Elle eut envie de se donner une gifle, et répondit alors, s’efforçant de penser à autre chose : Demeuré est effectivement le mot qui convient, j’y ajouterai violent, et inhumain pour parfaire ta description. Le connaissant, ça doit le faire rager à mort. Et si tu savais comment je suis heureuse qu’il soit énervé, avait-elle envie d’ajouter. La dernière fois qu’elle l’avait fait mettre hors de lui, elle s’était prise un poing dans sa tête, et avait manquée de se casser le nez, elle était rentré dans les toilettes de mimi geignarde en pleurs, elle ne tenait pas réellement à mettre Ulysse hors de lui elle-même, trop dangereux.

Elle se présenta alors, comme elle aurait du se présenter depuis longtemps, avec le nom de sa mère. Enfin, sa mère était un cas aussi, elle avait toujours refusé de se présenter sous son nom complet : fayburn-manccini. Du coup, ysolde serait en réalité Ysolde fayburn-manccini-wilkes, mais c’était un peu trop redondant, et on saurait qu’elle est de la famille à la professeur d’anatomie, et relié Sofia a ses problèmes était la dernière chose qu’elle voulait faire, elle s’en sortirait toute seule. Fayburn ? Il avait répèter le nom de sa mère, comme si au fond il l’avait déjà entendu. Ysolde pour sa part l’avait lu dans un livre, le même qu’elle était venue voler ce soir, un nom de voyante du siècle dernier, ce qui expliquerait pourquoi elle avait le don de voyance. Elle savait que les Fayburn n’étaient pas courant, et d’après ce que sa mère lui avait dit, il ne restait que sa grand-mère, sa tante et elle, juste elle trois, et personne d’autre. alors, elle voyait mal comment ce nom pouvait presque sonner familier à quelqu’un, elle dit alors : C’est le nom de ma mère, mon idiot de père n’a pas voulu l’épouser parce qu’elle était de sang mêlé. Elle est morte y’a onze ans, je suis une bâtarde, donc je porte deux nom, logique. Elle avait lâché le mot bâtarde avec un pincement au cœur, c’était ce qu’on lui disait quand elle passait dans le couloir « la bâtarde wilkes », elle avait envie de pleurer à chaque fois qu’elle l’entendait. Elle parlait désormais d’elle à ce titre, comme si les horreurs qu’on lui disait étaient devenues sa réalité.

Elle lui demandait comment se faisait-il qu’elle n’avait jamais entendu parler de lui, car elle avait faillit être madame lestrange quand même. C’était indiscret, mais elle avait eut la franchise de demander, plutôt que de faire cinquante détour, elle était franche, il fallait faire avec. Ne valait-il mieux pas avoir à faire à quelqu’un de franc, plutôt qu’à une langue de pute ? Parce que je ne me pliait pas aux normes strictes de conservateurs. Le père si aimant à donc décider de rejeter son fils et de l'envoyer en Bulgarie. C'est sans offense personnel, mais ses conservateurs sont des cons. Puisqu’il ne rentrait pas dans les critères, son père l’avait exilé, ce qui était normal pour les sangs purs. Ysolde ne comprenait pas pourquoi son propre père avait tenu à l’élever puisque c’était une honte pour lui d’avoir une enfant de sang mêlé. Elle ne comprenait pas, elle n’avait rien de spéciale, du tout. Je suis d’accord, ils sont complètement stupides. J’ai été stupide de l’être pendant tout ce temps, maintenant j’ouvre les yeux, ils sont tous stupide, ton frère le premier. C’est le type le plus arrogant, et le plus monstrueux que j’ai jamais vu. Ysolde en voulait tellement à Ulysse, et ça Schuyler devait s’en rendre compte, autrefois elle avait été éperdument amoureuse de lui, au point fermer les yeux sur les horreurs qu’il faisait, mais désormais, depuis le mois de juin, elle le détestait réellement. Il l’avait frappé, mais ça elle l’avait toujours gardé pour elle. Aujourd’hui c’était fini, il pouvait crever, elle n’aurait ni chaud ni froid.

Ysölde s’apprêta à lui dire qu’elle allait le laisser, car il ne faisait pas bon de rester ici au beau milieu de la réserve au milieu de la nuit, quand delle tourna subitement la tête, faisant voler ses boucles blondes. Le concierge, et merde. Elle dit à Schuyler en lui tirant le t-shirt par le bras avec force et fougue (elle ne voulait pas se faire prendre, et non pas le déshabiller, voyons.) : Viens par là Elle connaissait le château mieux que lui, c’était normal, elle y était depuis neuf année, dont des mois passé à la bibliothèque.Quand elle se croyait sang pur, elle l’aurait laissé en plan et aurait sauver sa peau toute seule, comme quoi une vérité peut changer une personne.
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Ulysse Meriadec Lestrange
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MessageSujet: Re: THERE IS ALWAYS A WAY OUT. (schuyler)   THERE IS ALWAYS A WAY OUT. (schuyler) EmptyDim 7 Aoû - 2:54


    « C’est le nom de ma mère, mon idiot de père n’a pas voulu l’épouser parce qu’elle était de sang mêlé. Elle est morte y’a onze ans, je suis une bâtarde, donc je porte deux nom, logique. » Les yeux de Schuy ne firent que s'éliminés un peu plus devant la demoiselle. Elle n'était pas une sang pure ? Bordel de merde, pardonnez-moi le mot, mais Ulysse allait en baver. Elle était une sang-mêlée, c'était parfait, parfaitement parfait. Schuyler n'aurait pas apprécié sortir avec une sang pure, il ne l'avait jamais fait et ne voulait pas le faire par principe de lutte contre l'autorité, mais en regardant Ys, il s'en foutait pas mal. Elle aurait pu avoir du sang de quoi que ce soit, il la trouvait magnifique. Pourtant, ce nom lui disait réellement quelque chose, il en était persuadé, profondément persuadé. « Je suis d’accord, ils sont complètement stupides. J’ai été stupide de l’être pendant tout ce temps, maintenant j’ouvre les yeux, ils sont tous stupide, ton frère le premier. C’est le type le plus arrogant, et le plus monstrueux que j’ai jamais vu. » Il se demandait réellement ce qu'il avait pu lui faire pour qu'elle le déteste autant. Oui, il était inhumain, sans sentiments, con et égocentrique, mais les plupart des gens étaient sous son charme et n'y voyait rien. Il n'était tout simplement pas fait pour aimer qui que ce soit. Il était ainsi et c'était tout. Pas moyen de le changer, pas moyen de sauver quelqu'un d'aussi borné, quelqu'un qui ne veut pas être sauvé. Il se perdait dans ses pensées à travers le silence. Il fixait maintenant les lèvres de la jeune femme. Il les admiraient profondément. Belles, roses, elles semblaient douces. Schuyler était parfaitement sous le charme de cette demoiselle qu'il ne connaissait qu'à peine. S'il c'était laissé allé, il se serait approché d'elle et aurait goûté à ses lèvres. S'aurait été un peu sauvage de sa part et l'interprétation aurait pu en être mauvaise. Il était tellement sur un petit nuage qu'il ne compris même pas ce qui se passait. Elle agrippa son t-shirt et le tira vers elle en lui disant « Viens par là. » Croyez-moi, il la suivit. Complètement sous le charme. Elle avançait en fixant ses yeux. La bouche du jeune homme entrouverte, de la bave aurait pu en couler ce n'aurait même pas été étonnant. Elle l’entraîna dans un placard et la porte se ferma avec discrétion derrière eux. Sa tête ne lui obéissait plus. Il ne comprenait plus ce qui était en train de se passer. Il faisait noir et elle était adossée à un mur et avec l'empressement de s'enfuir, le corps de Schuyler avait arrêté sa course contre celui de le demoiselle. Il faisait si noir, il ne voyait même plus son beau visage. Pourtant il sentait son ventre contre le sien, les mains de la jeune femme sur ses épaules et les siennes contre le mur. Son coeur battait la chamade et il avait des papillons dans le ventre. Il savait où était ses lèvres rien que parce qu'il sentait son souffle chaud contre sa bouche. Il était au bord de la folie. L'envie de l'embrasser était si forte que ça lui faisait mal.

    « Je... » Commença-t-il légèrement mal à l'aise. Il reprit avec tout le sérieux du monde. Pas de place à la plaisanterie. « Tu sais, t'es jolie. T'es magnifique même. C'est pas ça le problème. C'est que j'suis pas un mec de ce genre. Je me tape pas des filles que je ne connais pas rien que pour dire. J'suis un type sérieux même si j'fais souvent des farces et ça, j'suis pas un mec brouillon. » Il souriait en vain. C'était inutile de sourire, il faisait noir et elle ne le voyait pas. Il approcha ses lèvres de la joue de la jeune femme et y déposa un doux baiser. Il passa une main sur sa nuque en se reculant d'elle, éloignant son corps du sien. Il était réellement mal à l'aise. Il n'avait jamais perdu ses moyens de la sorte auparavant. Il ne comprenait même pas. Son coeur battait tout de même comme un fou sous sa poitrine. Il avait peur, ouais, autant qu'avant une transformation.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: THERE IS ALWAYS A WAY OUT. (schuyler)   THERE IS ALWAYS A WAY OUT. (schuyler) EmptyDim 7 Aoû - 12:26

Ysölde n’était pas une experte de la fuite quand on se retrouve quelques part en pleine nuit. Elle avait toujours été une élève modèle, ne sortant jamais la nuit, respectant le couvre feu, et tout ça, que même si ça lui était arrivé quelques fois, à chaque fois elle avait une peur bleue de se faire prendre. Elle était assez futée pour trouver une solution en moins de deux minutes. Ysölde avait toujours été brillante, elle faisait toujours ses devoirs, quand elle séchait un cours c’était parce qu’elle était malade comme un chien, et elle faisait tout pour rattraper ses cours, et même faire les devoirs. Les professeurs aimeraient sans doute avoir plus d’élève comme elle, certainement, mais elle était une exception, parfois c’était une vraie serdaigle horrifiée à l’idée d’enfreindre le règlement. Ce soir, elle avait fait une exception à ses règles, parce que beaucoup de choses avaient changées dans sa vie, et faire une recherche sur sa famille maternelle était plus important que le respect du règlement, de toute façon, elle n’avait plus grand-chose à perdre, elle avait déjà perdu le respect des siens, il ne lui restait plus que l’amitié d’Alecto, celle d’Emrys, et celle de katniss, elle était bien seule désormais. Elle avait entrainer le dénommé et très séduisant Schuyler dans sa course, il emblait surpris, comme sonné. Encore un trisomique pensa-t-elle, incapable d’entendre un professeur ou un concierge arriver ? Elle rentra la première dans l’armoire, elle souvenait s’être cachée ici avec son frère quand elle était plus jeune, à l’époque elle était moins à l’étroit. La porte de referma en silence derrière schuyler.

Ysölde détestait le contact physique avec des inconnus, ça la mettait hors d’elle, même avec les gens qu’elle connaissait parfois elle préférait ne pas avoir à les toucher. Ysölde avait toujours été indépendant, physiquement et émotionnellement parlant, elle ne laissait jamais personne entrer dans un certain périmètre, sur le plan physique aussi bien sur le plan sentimental. Le seul qu’elle avait laissé entrer était Ulysse, et croyez moi, ça l’avait réellement vaccinée. Il faisait noir, et elle n’aimait pas ça. Ysölde n’était pas claustrophobe, elle n’avait pas peur du noir. Elle avait peur des autres : nuance. Je... Dit alors Schuyler, sentant un malaise. Ysölde comprenait ce malaise, elle n’était pas bien à l’idée d’être proche de lui. Elle avait une main sur son épaule, et de l’autre elle tenait fermement son livre – une arme au cas où. La jeune homme poursuivit alors : Tu sais, t'es jolie. T'es magnifique même. C'est pas ça le problème. C'est que j'suis pas un mec de ce genre. Je me tape pas des filles que je ne connais pas rien que pour dire. J'suis un type sérieux même si j'fais souvent des farces et ça, j'suis pas un mec brouillon. Ysolde l’écouta à défaut de pouvoir le voir. Pardon, eut-elle envie de dire. Elle ne comprenait pas un traitre mot de ce pourquoi il disait ça. Etait-il stupide ? Où n’avait-il pas compris qu’elle l’avait emmené ici parce que le concierge était entrain de ramener ses fesses dans le bibliothèque. Dans le noir, elle ne le vit pas venir quand il l’embrassa sur le joue. Par Merlin, qu’espérait-il ? Elle n’était pas ce genre de fille. sur la joue l’avait troublé plus que tout. Peux-tu te taire une seconde, tu veux que le concierge nous trouve ? Pour ma part, je ne veux pas finir collée ! Lâcha-t-elle les dents serrées. Qu’espérait-il ? En tout cas, elle se recula dans le fond de l’armoire, trouvant que le fond de celle-ci était trop près de lui, elle qui tenait son livre d’une main, le tenait désormais, serrant son livre contre sa poitrine. S’il s’approchait d’elle à nouveau, elle le frapperait avec. Le baiser sur la joue l’avait troublé plus que tout. Elle esquissa un sourire nerveux que son charmant nouveau camarade, elle était nerveuse, réellement. Qu’avait-il pensé ? Qu’elle l’emmènerait dans un coin sombre dans l’espoir de finir dans ses bras ? Sans doute. Qu’est tu croyais, que je t’emmenais dans un coin, pour… Elle laissa échapper un rire nerveux. Ce n’était pas elle, pas du tout elle. Elle ne draguait pas à tout va, elle ne couchait pas à tout va, elle n’était pas comme sa sœur, ni comme une grande partie des filles de Poudlard. Loin de là. Reste contre l’autre paroi du placard, et tais-toi. Elle était déjà passée par la phase amoureuse d’un Lestrange, elle avait assez souffert pour recommencer l’expérience, même si en apparence il avait l’air bien plus sain d’esprit que son frère. Elle n’avait pas relevé ce qu’il avait dit sur le fait qu’elle était belle, cela la troublait assez. En cet instant elle bénissait le fait d’être dans le noir, ce charmant jeune homme au physique charmant la troublait suffisamment dans le noir, il n’y avait pas besoin de lumière, sinon, Ysölde allait perdre ses moyens.

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Ulysse Meriadec Lestrange
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MessageSujet: Re: THERE IS ALWAYS A WAY OUT. (schuyler)   THERE IS ALWAYS A WAY OUT. (schuyler) EmptyMer 10 Aoû - 3:04

« Peux-tu te taire une seconde, tu veux que le concierge nous trouve ? Pour ma part, je ne veux pas finir collée ! » Il restait la bouche ouverte. Son petit malaise de la rejeter avec difficultés se transformait en un immense malaise face au malentendu immense qui venait de se produire. Et lui qui l'avait embrassé sur la joue. Elle avait encore le goût de sa peau douce et l'amertume d'avoir déjà tout gâché. Un truc mort dans l'oeuf. Le pire début de relation qu'il lui était possible d'avoir. Elle le prendrait pour un parfait imbécile le reste de sa vie, ne le regarderais qu'à peine. Il s'adossa au mur opposé alors qu'elle aussi c'était reculée. Il n'arrêtait pas de passer sa main dans ses cheveux tellement le malaise et l'impossibilité de s'en sortir étaient présents. Il n'avait plus rien à dire. Oui, il ferait mieux de la fermer que de dire une autre connerie et ou en faire une. « Qu’est tu croyais, que je t’emmenais dans un coin, pour… » À le tirer par le t-shirt de la sorte et avec des yeux pareilles, il ne s'était même pas demandé deux secondes ce qu'elle voulait y faire. Il l'avait tout simplement suivie. Encore heureux qu'il n'avait pas laissé la bête en lui parler, s'aurait pu être vachement pire, catastrophique même. Elle l'aurait frappé à plusieurs reprises avec son livre s'il s'était attaqué à ses lèvres avec un peu trop d'insistance et de passion. Rien qu'à y penser, il avait chaud. « Reste contre l’autre paroi du placard, et tais-toi. » Sans gémir ni pleurer, il obéit. Ils passèrent de longues minutes, dans le noir, sans bouger, sans parler. Des pas se firent entendre, des pas qui semblaient partir. Après ses minutes interminables, il se risqua à se pencher vers l'avant pour lui chuchoter quelques mots.

« Je m'excuse. Sincèrement. C'était stupide, c'était de mauvais goût. Je... »

Il s'arrêta un moment avant de laisser sa langue se mélanger et dire une autre connerie du genre « Je ne me contrôlait plus tellement t'es jolie et tellement des papillons me bouffaient le ventre et maintenant me dévorent tout le reste du corps. » Non. Schuy, ta gueule. Faut pas dire ce genre de choses aux femmes. Tu sais, même si t'as une très jolie gueule, ça peut leur faire peur. Passant une nouvelle fois sa main sur sa nuque, il se décida à continuer après un moment de mal aise.

« C'est la pire première impression que je fais de toute ma vie... » C'était sincère et suivit d'un petit rire triste devant la réalité de la chose. Risquait-il ? Oh et puis après. Il n'avait plus grand chose à perdre où il en était présentement.

« Tu... Voudras pas me donner autre chance ? Un truc cool, en plein jour, rien d'illégal. Une balade dans le parc ou un truc du genre... T'es pas obligée hein ! C'est juste que... ce serait bien... » Il se sentait attardé et mauvais. Comme s'il n'avait jamais parlé à une fille de sa vie et qu'il n'avait jamais été bon charmeur. Ça lui était naturel, habituellement. Pas ce soir, il était chamboulé par les évènements et par la petite blonde.

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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: THERE IS ALWAYS A WAY OUT. (schuyler)   THERE IS ALWAYS A WAY OUT. (schuyler) EmptyMer 10 Aoû - 11:23

Un long silence interminable. Mais Ysolde préférait qu’il ne parle pas, cela laissait le temps au concierge de faire le tour des lieux et de vérifié qu’il n’y avait personne – sauf eux, mais en silence c’est comme s’ils n’étaient pas là. Ysolde se sentait rassuré qu’il se taise, c’était mieux comme ça. Les pas du concierge étaient proche, puis soudain ils s’éloignèrent rapidement, et Ysolde entendit – en tendant l’oreille – qu’une porte se fermait. Chouette, elle allait enfin pouvoir sortir de ce placard, quand Schuyler chuchota alors : Je m'excuse. Sincèrement. C'était stupide, c'était de mauvais goût. Je... Oui, c’était de mauvais goût, c’était, presque… pervers comme goût, pensa alors Ysolde. Une autre fille aurait apprécié qu’on lui parle de la sorte, d’autre filles auraient fait ce qu’elle avait fait exactement dans le but de finir dans les bras du jeune homme, mais pas elle. Elle se disait qu’elle était vaccinée contre les sentiments – surtout contre les Lestrange – et que rien ne se passerait jamais. Il était réellement stupide de croire qu’elle avait fait ça, pour… ça.

Il resta de nouveau muet, Ysolde décida de ne pas répondre, parce qu’elle n’avait rien à lui dire à part « oui, tu est réellement stupide », elle avait toujours été du genre à enfoncer les gens, mais là, elle préférait se taire, c’était bien mieux qu’elle se taise ; C'est la pire première impression que je fais de toute ma vie... Ca c’était certain, il passait pour le pire des idiots, le roi des pervers, c’était vraiment une bien piètre première impression. Mais il valait mieux faire une mauvaise première impression que pas de première impression du tout. sincèrement, Ysolde le trouvait stupide – il faut dire ce qui est. Ysolde était dur avec les autres, tout ceux qu’elle ne trouvait pas aussi intelligent qu’elle – ou juste un peu moins – étaient stupide. C’est pour ça qu’elle appréciait Emrys, un peu moins intelligent qu’elle, mais pas stupide. Ysolde était toujours dur. Elle avait beau le trouver stupide, elle le trouvait effroyablement beau, et attirant. Et trouver quelqu’un beau et attirant était la dernière chose dont elle avait besoin cette année. Tu... Voudras pas me donner autre chance ? Un truc cool, en plein jour, rien d'illégal. Une balade dans le parc ou un truc du genre... T'es pas obligée hein ! C'est juste que... ce serait bien... Une autre chance… pourquoi faire ? Dans le noir, elle fixait l’endroit où elle jurait qu’il soit, et le fixa en faisant une mine… septique. Elle ne savait pas, penser aux garçons était la dernière chose qui était sur sa liste cette année. Cette année, elle s’était mis comme objectif d’avoir les meilleures notes possible, de trouver une photo de sa mère, de renouer avec sa tante, de prouver d’une manière ou d’une autre que son père avait orchestré la mort de sa mère, de faire tomber sa sœur de haut, de frapper Amadeus Lestrange, de faire bouffer sa cravate à Rowle, mais les garçons… ça n’était pas réellement sur sa liste, l’année dernière ça lui avait fait terriblement mal. Je… je ne sais pas. Dit-elle alors en le regardant, oui, elle ne savait pas. Ysolde était quelqu’un de très réfléchie, elle ne donnait jamais de réponses au hasard, jamais, elle détestait le hasard et pensait que l’intelligence et la réflexion étaient essentiel dans la vie. Elle ne se laissait jamais aller, jamais.

Sentant et ayant entendu que le concierge était parti, elle poussa la porte du placard et pris une profonde inspiration en sortant. Tout à coup, elle se sentait mieux, la situation avait été… dérangeante d’un certain point de vue. Ysolde sorti sa baguette de sa poche et murmura un Lumos qui fit s’illuminé le bout de sa baguette. Dans son autre main, le gros volume poussiéreux ne la quittait pas. Elle se retourna pour faire face au jeune homme qui était lui aussi sorti, elle dit alors : Pourquoi pas, mais on se recroisera bien, je déteste prendre rendez-vous. Prendre rendez-vous c’est se sentir obligé d’aller quelque part, à telle heure, dans tel optique. Si elle se forçait à le rencontrer, ça allait la… stressée, et la mettre hors d’elle, elle allait finir par ne pas y aller. Elle détestait programmer ces choses là ! si quelque chose devait se faire, cela se ferait toute seule. S’il tenait vraiment à la voir, il pourrait lui envoyer un hibou. Elle ajouta alors : Bonne nuit Schuyler Lestrange. Elle se surprit à lui adresser un sourire, et quand elle se retourna elle leva les yeux au ciel, énervée contre elle-même. Qu’est ce qui lui prenait de faire des sourires pareils à des inconnus. C’était tout juste si elle ne lui avait pas fait son plus beau sourire. Elle ne pouvait pas tomber amoureuse : ça n’était pas dans son programme. Elle sorti discrètement de la réserve sans se faire prendre.

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