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Il n'y que la trahison des frère qui fait mal

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MessageSujet: Il n'y que la trahison des frère qui fait mal   Il n'y que la trahison des frère qui fait mal EmptyVen 15 Juil - 19:30

Il n'y que la trahison des frère qui fait mal Sansre2rd

Le mois de septembre à toujours été pour moi le mois le plus difficile, à cause de la reprise des cours, de revoirs toute les nouvelles têtes des premières années et de revoirs ceux qu'on aurait jamais voulu revoir. J'avais passé mes vacances à admiré la faune et la flore de chez moi, afin dans savoir plus. J'étais un fasciné de la nature et je savais que j'avais encore beaucoup à apprendre. Je n'avais vu personne pendant deux mois et je m'étais bien porter. Aucun hiboux à l'horizon et j'avais repris sagement mes activités en dehors de Poudlard. Cette année, je la trouvais totalement comme les autres auparavants, je faisais comme je l'entendais et encore une fois je n'étais pas du tout déçu de mes manières. Des la rentrée j'avais revu Ysolde, cette fille appartenant à la maison de serpentard, elle était connue par son nom et surtout par son statut de sang même si elle était totalement différente des autres. Aujourd'hui nous étions mardi, c'était seulement le deuxième jours de la deuxième semaines de cours et j'étais déjà boucler de partout dans mes devoirs à faire. Je n'avais pas eu le temps de parler à qui que ce soit, enfin, je n'avais personne à qui parler, je passais plutôt mes journées dans la serre de botanique afin dans savoir et dans apprendre plus sur les plantes qu'avait recuellit notre cher professeur de botanique. Je n'avais pas revu mes anciens camarades et d'ailleurs je n'avais pas l'intention de les revoirs. En fin d'année, il y avait eu un attenta, du moins, trois d'un coup, ce qui faisait beaucoup à Poudlard. J'étais sur et certaint que cela faisait partit du plan qu'avais conclus mes anciens camarades, c'est à dire Elias et Atlance. Tous les deux avaient décidés de faire arrêter les sang purs et de déclarer bataille contre eux. Heureusement Nemeroff était partit avant moi car pour lui tout cela ne le concernait pas et j'avais suivis les traces du malheureux car malgré tout, nous avions eu ce manque en nous de revoir nos anciens camarades, grâce à ça, j'étais devenu très proches de Nemeroff et je vis rapidement que nos conclusions était les mêmes. Ce n'était pas notre bataille. J'avais été blessé durant l'attenta, j'avais eu des bouts de verre à mon visage à cause des éclats qu'avait provoquer Ysolde en allant dans la fenêtre afin de faire disparaitre le dragon de feu qui nous avait paru horrible à l'oeil. C'était dans ce moment que je m'étais demander si ce n'était pas ma fin. J'avais cru la fin de Poudlard, la fin de tous et rien que de voir Sonny, une simplement connaissance à cette instant qui me paraissais toujours aussi bizard mais sympathique, ce battre comme un gamin avec Ulysse Lestrange en chair et en os alors qu'ont crevaient tous de chaud m'avais totalement énerver afin que j'eu le courage et le tant je dois avoué de lancer le sortillège de crache limace sur le serpentard. Ysolde avait risquer sa vie pour nous sauver tous, d'ailleurs je le lui avais remercier quand je m'étais retrouver au pont avec elle, le plus bel endroit de Poudlard. Ce matin, je venais de finir ma matinée de cours, j'avais été le dernier à refermer la porte du cours de potion pour enfin aller au toilette. J'avais attendu toute la matinée pour y aller maintenant que j'en avais l'occasion c'était le moment à ne pas louper. Je me dirigea alors dans les toilettes des garçons afin de me diriger vers les urinoirs et dans choisir un pour uriner. Enfin, me voilà soulager. Au même moment, j'entendis la porte d'entrée des toilettes s'ouvrir, je remonta mon boxer et mon pantalon pour enfin appuyer sur le bouton qui lavera l'urinoir pour le prochain et me dirigea vers le lavabo pour me laver les mains en prenant du savon. En levant la tête pour regarder dans le miroir, j'aperçu mes deux anciens camarades. Elias et Atlance. Tous les deux-là, toujours aussi coller l'un à l'autre. Je ne savais pas quoi faire, si je devais rester ou partir. En faite, les revoirs ici m'avais totalement fais voir le manque qu'ils avaient tous les deux procurés. Il ne restait plus que Nemeroff et les mousquetaires étaient tous présents. Je pris mes affaires et me dirigea vers la porte des toilettes afin d'esquiver leurs regards de traitres.
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MessageSujet: Re: Il n'y que la trahison des frère qui fait mal   Il n'y que la trahison des frère qui fait mal EmptySam 16 Juil - 17:28

« Et tu lui en veux ? »
« A qui ? »
« A Emrys. Il vous a quand même laissé tomber, non ? »
« Non... Non, c'était son choix. Je le respecte. »

Je fronce les sourcils doucement alors qu'attablés dans notre salle commune, Bridget et moi parlions. Cette conversation remontait à des mois et des mois. Il y avait eu tant d'événements entre deux, dont les attentats à Poudlard, qui avait démolit une majorité du château et marqué l'intégralité des élèves et membres du personnel. Au sein du mortel accident, Ange et Imogène nous avaient quittés, et je ne comptais plus mes amis qui avaient été blessés. Le tumulte avait ouvert même des combats entre conservateurs et révolutionnaires dans l'enceinte du château qui n'en devenait plus vraiment un au fil des minutes. Ces explosions dévastatrices ravageaient tout, dont l'ASDENEMO, cette association fondée par Elias, Ishbel et moi en vue de protéger les droits des nés-moldus dans le monde magique. Une cause qui me tenait profondément à cœur, mais maintenant, le seul statut qui me restait était celui de MDC, et encore. Bien sûr, je n'ai besoin d'aucun titre ni cadre pour militer contre ce que j'estime juste, j'en ai jamais eu besoin. Et même si aujourd'hui on me considère comme un charlatan, voire comme un danger, et que si je suis encore ici c'est grâce à la présomption d'innocence et au fait que le Ministère ne connaît pas les identités de l'intégralité des membres de l'ASDENEMO, je reste complètement discrédité aux yeux de tous. Il faut toujours un coupable pour supporter les malheurs. En quelque sorte, Elias, Ishbel et moi peuvent être vus comme des traîtres, les régisseurs d'actes quasi terroristes en vue de détruire les vies des autres, même celles des innocents. Foutaises. Depuis cette nuit-là, on cherchait sans cesse, et malheureusement en vain, les coupables. Qu'allons-nous faire d'eux par la suite ? Pour être franc, je ne le sais pas vraiment. Ma sœur cadette dit que je ne peux jamais en vouloir à quelqu'un, que je suis de ceux qui n'ont aucune rancune et que c'en est déstabilisant. Elle n'a pas tort, pourtant, comme pour tout, ma tolérance a peut-être atteint ses limites sur ce sujet-ci.

Je soupire et écris nonchalamment mon nom sur le morceau de parchemin devant moi. Ma plume écorche le papier, ce qui me fait sourire. L'encre se propage vite et je capitule. Je lève les yeux sur Elias qui se tient devant moi, penché sur ses propres devoirs. Mon ventre finit par crier famine et je jette un coup d'œil à la lourde horloge posté au mur. Encore une bonne dizaine de minutes, et nous pourrions y aller. J'observe un moment mon meilleur ami, et finis par baisser les yeux sur mon morceau de parchemin. Et si tout avait été différent ? Encore mieux, et si nous faisions en sorte que tout devienne différent ? Je n'étais pas enclin à rester les bras croisés et essayer de me faire tout petit. Ni à broyer du noir. Je n'étais pas enclin à me laisser abattre ou à baisser la tête. Tout ce que je voulais, c'était reprendre mes activités comme avant et aller de l'avant. Je ne voulais pas m'éterniser sur ce passé révolu. Je voulais faire en sorte que tout redevienne comme avant.

La fin de la matinée s'annonça et les apprentis sorciers quittèrent la pièce pour s'orienter vers la Grande Salle où ils pourraient se sustenter. Elias et moi fîmes un arrêt aux toilettes des garçons du sixième étage pour des raisons évidentes, alors que j'entamais une conversation sur la professeure que j'avais et toutes les excentricités qu'elle pouvait adopter en vue de redonner le sourire à Elias. Finalement, je poussais la porte des toilettes des garçons, achevant mon récit par la même occasion, que je laissais toutefois en suspens à la vue de l'air surpris que présentait mon interlocuteur. Je tournais la tête vers l'intérieur des toilettes et reconnaissais de suite Emrys. Je suivais du regard le jeune homme qui se lavait les mains puis s'avançait vers nous sans nous adresser le moindre regard en vue de quitter la pièce. Alors qu'il n'était qu'à moins d'un mètre de ma personne et qu'il s'apprêtait à passer dans l'embrasure entre la porte et moi, je postais mon bras à la perpendiculaire, lui bloquant l'accès à la sortie, le forçant presque à nous regarder.

« T'es devenu trop fier pour oser nous regarder maintenant, Emrys ? »

Mon ton n'avait rien de mauvais. Il était étrangement doux pour ses paroles, contenait toute la patience du monde. Je n'ôtais néanmoins pas mon bras, déterminé à obtenir une réponse de celui qui était jadis un de mes meilleurs amis. Une relation sans égale, tel un frère, une proximité que peu connaissent dans leur vie que j'avais eu la chance d'entretenir avec Emrys, Elias et Nemeroff il y avait de cela environ une année. J'avais les valeurs de l'amitié bien à cœur. J'aurais tout donné pour eux, mon temps comme mon sang. Bien qu'Emrys nous avait quitté, ne voulant pas se mêler à une bataille qu'il ne considérait pas être la sienne, ce qui formait un immense désaccord dans le groupe et le divisait relativement en deux parties : d'un côté Emrys et Nemeroff, de l'autre Elias et moi, je ne pouvais me résoudre à rayer le garçon de ma vie. Comme je ne pouvais me résoudre à accepter ce genre de comportement. Pire, agir de la sorte composait presque un affront pour moi, peut-être un peu naïf, certes.
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MessageSujet: Re: Il n'y que la trahison des frère qui fait mal   Il n'y que la trahison des frère qui fait mal EmptyLun 18 Juil - 11:46

« T'es devenu trop fier pour oser nous regarder maintenant, Emrys ? » Si j’étais bien de trop fier ? C’était le monde à l’envers ! Pendant toute une année c’était eux qui m’avais éviter parce que je n’avais voulu aucune bataille car j’étais de sang mêlé et que ce n’était pas la mienne ni la leur. J’avais eu de nouveaux potes et je ne m’étais pas pris la tête pendant une année. Je m’étais toujours promis qu’aucune personne ne me dira quoi faire, j’étais libre et je désirais la liberté plus que tout autre chose. Ni Elias, ni Atlance, ni Nemeroff ne m’aurais donné d’ordre et encore moins me faire marcher au chantage. J’étais libre de savoir ce que je faisais et heureusement que je ne les avais pas suivis parce qu’ils étaient dans une belle merde aujourd’hui. Je savais que le coup de l’attenta c’était signer par leurs noms, c’était obliger. Ils voulaient faire tomber les sang purs depuis l’année dernière et en fin d’année un attenta avec trois bombes avait tout déclenchés. Alors oui, aujourd’hui j’étais fier car je n’avais aucun problème avec la justice et encore moins avec le ministre lui-même alors qu’eux, ils étaient rechercher de partout. Coupable ils étaient et criminels à la fois. Des morts avaient été retrouvés de leurs fautes, né moldu, sang purs et je m’étais retrouver avec des bouts de verres au visage, j’avais vu tout le monde essayer de sauver sa peau, j’avais vu chaque personne se prendre la tête par le stress et la chaleur. Ceci avait été une épreuve et c’était de leurs fautes ! Alors être fier ouais je l’étais mais j’étais surtout dégouter de leurs réactions et leurs plans à deux balles. Voilà pourquoi j’évitais mes deux anciens camarades qui m’avais lâcher et pas compris ma réaction qui avait été sincère. Et j’étais toujours d’accord. Ce n’était pas ma guerre ni la leur. « Y'a de quoi l'être tu pense pas? Je ne suis pas rechercher par le ministre lui-même qui vous cherche depuis deux mois. Je n'ai pas commis de crime et d'attenta. En faite, je suis avec deux criminels bloquer dans les toilettes. La classe. » Atlance me bloquais la porte pour ne pas que je pars de la pièce. S’il n’avait pas été un des anciens camarades voir frères, j’aurais sans doute sortis ma baguette pour lui lancer un expelliarmus afin qu’il jarte de la porte. Ca n’aurait pas été Elias qui m’aurais bloqué, mais Atlance était capable de beaucoup de chose même si il n’avait pas l’intelligence qu’avait Elias et moi mais il avait le courage, voilà ce qui lui avait permit d’intégrer la maison des rouges et or. Longtemps, j’avais pris Elias, Atlance et Nemeroff comme des frères, malheureusement j’avais fais le mauvais choix, j’avais été sans doute trop aveugle et bien de trop bête. Heureusement Nemeroff avait eu la même idée que moi en partant du groupe, ce n’était la guerre de personne. J’avais toujours eu l’esprit bien placer en disant qu’on était tous humain avant tout, que le sang n’était rien d’autre qu’un plus mais jamais un moins. Je savais que des sang purs pouvait être froid, méchant et distant mais il y avait des cas particulier, il n’y avait cas regarder Ysolde, connu pour être méchante et avoir une arrogance hautement bien placer, mais elle n’était pas comme ça, à vrai dire, elle était toute la différence de ce que pouvait dire les autres. D’ailleurs, j’appréciais Ysolde, et notre dernière discussion remontait à la rentrée, sur la Grèce. La tension dans les toilettes était à son comble. On aurait pu croire que tout cela allait partir en duel. Je resta dans le même emplacement que tout à l’heure et adresse un regard à Atlance. « C'est bon-là? Je peu partir? Parcequ'à force tu va finir par chopé une crampe au bras. »
J'aurais voulu que tout s'arrête mais tout ça n'était qu'un rêve. J'avais trouver leurs réaction minable et je ne leurs pardonnerais jamais, c'était un fait. Mais de les voir tous les deux-là me rendais bizard, comme une image du passé. Tout ça n'avait été qu'une trahison, une trahison entre frères qui tournait mal car ils étaient recherchés et que moi j'avais l'esprit libre.
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MessageSujet: Re: Il n'y que la trahison des frère qui fait mal   Il n'y que la trahison des frère qui fait mal EmptyVen 22 Juil - 1:47

Il n'y que la trahison des frère qui fait mal Student3

La pluie. Depuis deux semaines voilà ce qui ne cessait de tomber. J’en avais un peu marre de cette température de chien battu. Pourtant, je m’en étais aperçu qu’au début de la semaine dernière. Le mardi pour être exact, le deuxième passé à Poudlard. La veille, Atlance m’avait plus ou moins remonté les bretelles. Il disait que j’étais devenu pire que ces sorciers se pensant dans un film gore avec mon air de déterré. En gros, j’avais de grosses cernes sous les yeux, je ne prenais pas la peine de me peigner ce qui me donnait l’air de constamment revenir de sous la pluie, malgré tout, je prenais toujours le temps de me laver. Reste que ce qui mettait le plus mon ami dans tous ces états était mon attitude négative. Disant que je ne me ressemblais plus, il menace de me laisser tout seul. J’étais devenu pathétique et pas du tout marrant. Même lui qui avait perdu sa sœur avait meilleure mine. Après un très mauvais coup porté sur ma dignité et une bonne nuit de sommeil, il me retrouva frais et dispo le lendemain. Comme c’était bon de retrouvé le vrai Elias s’était-il réjouit. Pour être honnête, à moi aussi ça faisait un bien fou.

Tout comme les rénovations du château, je prenais du mieux chaque jour. Il restait néanmoins cette pointe de culpabilité qui persistait au creux de mon ventre. Ayant deux heures de libre en ce troisième mâtiné à Poudlard, j’enfilai mon uniforme de Quidditch, m’enveloppai dans ma cape et attrapai mon balais direction le terrain. Quoi de mieux qu’un peut de Quidditch pour commencer une journée en beauté. Même la pluie ne m’empêcha pas de prendre du bon temps. Il ne ventait pas très fort, je ne risquais donc rien. Au pire, si je devais en venir à tomber de mon balai, je n’aurais qu’à me changer en faucon. N’ayant pas volé de tout l’été, ce fût un réel plaisir que de sentir le vent et la pluie fouetter mon visage rougit par la froid.

Lorsque midi sonne, je remontai vers le château ayant laissé au préalable mon balais dans l’armoire au fond des vestiaires. Je rejoignis donc Atlance dans le couloir du sixième, après être passé me changer. La boue n’était pas chose agréable, encore moins lorsqu’on savait que le concierge allait nous tomber dessus tôt où tard. Bien que complètement gelé, je me portais mieux que jamais. Mes vêtements chauds et un bon repas sauraient régler ce petit problème. Cette escapade en altitude m’avait redonné de la vigueur, c’est donc le sourire aux lèvres, écoutant Atlance raconter des anecdotes amusantes au sujet de sa professeur que nous nous dirigeâmes vers les toilettes. Un petit arrêt s’imposait avant d’aller se goinfré. Le lion terminait tout juste son histoire lorsque nous poussâmes la porte. Surpris, je pilai net sur le seuil. Devant moi se tenait un fantôme. Pas l’un de ceux que nous avions l’habitude de croiser un peu partout à Poudlard, un fantôme du passé. Une personne qui avait tellement compté pour moi à un moment donné que de la voir ainsi devant moi, après toutes ses semaines à ne nous croiser que très rarement, me fit drôle. Emrys avait été l’un de mes meilleurs amis. Pas plus loin que neuf mois séparait cette époque. Un sale moment que j’aurais bien aimé ne plus jamais à avoir à me le remémorer tellement il me faisait mal. Je n’avais pas voulu le laisser partir. Je lui avais dit de partir sous le coup de la colère. Il avait obtempéré, mais n’était plus jamais revenu par la suite. La fierté suffit à nous séparer définitivement.

Il était là, devant moi, à se laver les mains nous ignorant tout simplement. Je suivis ses gestes des yeux ainsi que toute sa personne lorsqu’il s’avança vers nous. Non, il ne voulait pas nous adresser la parole. Il ne fit que nous ignorer, comme si agir ainsi lui permettait de vraiment faire une croix sur nous.

« T'es devenu trop fier pour oser nous regarder maintenant, Emrys ? »


La voix du lion me fit sursauter. Pendant un moment, j’avais cru qu’Emrys allait juste s’en aller. Pas de confrontation ni rien. Apparemment, Atlance en avait décidé autrement. Bien que son ton ait été doux et calme, je savais qu’il bouillonnait de l’intérieur. Je le connaissais trop pour ne pas le savoir. Il ne bouillonnait pas de rage, mais de déception. Je regardai alternativement le bras de mon meilleur ami et le visage d’Emrys. J’attendais une réaction de sa part, comme si je regardais un film…

« Y'a de quoi l'être tu ne penses pas? Je ne suis pas rechercher par le ministre lui-même qui vous cherche depuis deux mois. Je n'ai pas commis de crime et d'attentat. En faite, je suis avec deux criminels bloquer dans les toilettes. La classe. »

Je me sentis blêmir en l’entendant faire allusion à notre « implication » dans les attentats ayant eu lieux en Juin. Comment pouvait-il savoir? Comment… Woh! Attendez un instant, il s’agit là d’une personne qui nous connait sur le bout des doigts. Il est certain qu’il ne peut que savoir. En fait, j’aurais plus été surpris qu’il n’y fasse pas allusion. Je les regardai se défier du regard pendant quelques secondes, puis Emrys repris la parole.

« C'est bon-là? Je peu partir? Parcequ'à force tu va finir par chopé une crampe au bras. »

Wow! En voilà un exemple de fierté. Je sentis le mal aise laisser place à la colère. Pourtant, je gardai mon calme. Il n’était pas temps de laisser paraitre mes émotions, ça ne ferait qu’enflammer Atlance. Chose que nous devions à tout prix éviter si nous ne voulions pas voir les coups voler. Ce fut donc une voix claire et calme qui sortie de ma bouche. Bon, elle était tintée d’un certain défi, mais faut pas m’en demander trop quand même.

« Pas de chance, nous sommes deux. Je n’aurai qu’à prendre sa place ou encore, nous pourrions jeter un collaporta, empêchant ainsi tout le monde de sortir. Je crois qu’on a des choses à se dire. »
Je sortie ma baguette, la pointai sur la porte que je verrouillai. Il suffirait d’un simple sortilège du voleur pour l’ouvrir, mais ça ferait l’affaire pour l’instant. Me retournant vers Emrys, je lui lançai, tout en me souvenant de ce qu’Atlance m’avait dit mardi passé :

« Alors, comme ça tu penses qu’on est tombé assez bas pour avoir tenté de détruire l’école? Ce serait stupide de notre part ne trouves-tu pas? Surtout qu’en agissant ainsi, on ne risquait que de tuer toute l’école. Il n’était pas là question de la sécurité d’une poignée de sang-pur, mais bien d’un millier de sorcier toute origine confondue. » Lançant un regard vers Atlance, question de m’assurer qu’il n’allait pas sauter sur Emrys, je continuai sur le même ton calme mon discourt. « Après tout, Mazarine a été tué lors de cette journée horrible. Tu nous penses assez cruel pour tuer une sœur? » Je sentis Atlance s’agiter à mes côtés. Je gardai toutefois le regard braqué sur Emrys. J’étais déçu. Très déçu. Je l’avais toujours cru juste et bon. Ne pas s’impliquer dans cette guerre était son choix. Certes, il m’avait vraiment révolté au début, mais j’avais fini par comprendre son point de vue et ce, même si je n’étais pas d’accord avec lui.


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MessageSujet: Re: Il n'y que la trahison des frère qui fait mal   Il n'y que la trahison des frère qui fait mal EmptyVen 22 Juil - 11:54

En voyant Atlance et Elias en face de moi, j'avais envie de leurs sauter au cou afin de les étranglés. J'avais tant de haine contre eux que j'aurais pu faire un meutre à cet instant présent. Je les avais cru mes frères mais j'avais été bien de trop bon, bien de trop con, bien de trop aveugle pour voir quand faite, il n'y avait que cette foutue bataille qui causait des morts et des blessés qui comptait pour eux. Cette bataille, je m'en foutais royallement, j'avais toujours clairement dis haut et fort que cela ne me concernait pas. J'étais neutre et je n'appartenais à aucun camps et à personne. Atlance me bloquait la porte des toilettes et j'avais totalement envie de sauter sur lui pour lui foutre mon poing au visage. Mais Elias ne réagissait toujours pas jusqu'au moment ou après avoir parler à Atlance, il commencea à parler. Lui qui décidait toujours, qui prennait les choses en mains d'habitude venait prendre la parole. Elias ne devrait pas suivre son instint car il faisait d'énorme bourades. « Pas de chance, nous sommes deux. Je n’aurai qu’à prendre sa place ou encore, nous pourrions jeter un collaporta, empêchant ainsi tout le monde de sortir. Je crois qu’on a des choses à se dire. »[/color] Il lancea un sortillège afin que la porte soit vérouiller. Si Elias croyait que cela me faisait quelque chose, il se trompait lourdement. J'avais bien changer depuis qu'ils m'avaient fait coup bas tous les deux et grâce à eux, j'étais devenu un peu plus fort et moins faible. Ce que je savais avant tout, c'était que grâce à eux, à cette bataille, j'avais compris que notre amitier que nous avions tissés pendant de nombreuse années ne tenait cas un simple fil qui c'était écourter lors de mon choix et qu'Elias m'avait demander de partir. Ce que j'ai fais et pas à contre coeur. « Deux contre un, vous êtes trop faibles pour vous affirmez seuls. C'est pitoyable. De l'injustice alors que vous voulez que la justice soit égale. » Si il y avait bien quelque chose à ne pas faire, c'était de me parler de justice, parce que je ne savais pas mon mot à dire. J'étais ni de sang moldu, ni de sang pur, j'étais de sang mêlé et ma famille l'était depuis de nombreuses années. Mon regard était vers Elias puis ensuite vers Atlance et ainsi de suite. J'étais un garçon très observateur j'avais l'oeil partout et si Elias voulait un duel de baguette ou en venir aux mains j'étais prêt. « Alors, comme ça tu penses qu’on est tombé assez bas pour avoir tenté de détruire l’école? Ce serait stupide de notre part ne trouves-tu pas? Surtout qu’en agissant ainsi, on ne risquait que de tuer toute l’école. Il n’était pas là question de la sécurité d’une poignée de sang-pur, mais bien d’un millier de sorcier toute origine confondue. » Si je les croyais capables de tout ça? Si je croyais que c'était eux derrière l'attenta? Oui je les croyais couples autant l'un que l'autre. Si tous les deux n'avaient pas créés eu l'idée de faire un club, un clan ou je ne sais quoi, jamais il n'y aura eu un attenta à Poudlard c'était doutable. Pour moi, ils étaient tous les deux couples autant que les autres et même si ce n'était pas eux qui avaient fait explosés ses trois bombes, c'était de leurs fautes. Ils avaient voulut déclarer la guerre aux sang purs, mais ils n'avaient aucune chance et ça ils étaient tous aveugles pour le vois. « Ouais je vous crois coupables autant l'un que l'autre. Si vous aviez laissez les gens faires ce qu'ils voulaient et non créés un club ou un clan pour abattre les sang purs, aucun blessés n'aurait eu lieux. Et même si c'était pas vous les couples de cet attenta, c'est vous qui es les chefs de ce stupide truc que vous avez fondez. Donc c'est à vous de prendre les responssabilités. » J'étais sincère et sérieux à la fois, j'étais plutôt du genre marrant mais je savais très bien être sérieux et tous les deux le savaient. Après tout, ils étaient des anciens potes. « Après tout, Mazarine a été tué lors de cette journée horrible. Tu nous penses assez cruel pour tuer une sœur? » Mazarine avait été tué ce jour-ci, de leurs fautes. A eux. A leurs camarades de clan et rien que d'entendre son prénom, j'en avala ma salive maladroitement. C'était la soeur d'Atlance et il avait du avoir mal pendant les vacances d'été. Mais ce n'était pas de ma faute si il souffrait. IL n'avait cas sans prendre à Elias et aux restes de leurs bandes. « Vous avez cas vous en prendres cas vous-mêmes et à vos camarades de clan. Mazarine ne méritait pas ça et tous ont auraient pu y laisser notre peau. Ysolde à carrément du passer par la fenêtre pour qu'ont survient ! Ont à faillient y laisser notre peau ! Il est sans doute l'heure que vous grandissez un peu dans vos têtes ! Mais c'est pas près d'arriver. » J'étais en colère, j'avais de la rage contre eux, je leurs en voulais plus que tout au monde. Je voulais à mon tour faire un meurtre, voir des meutres, leurs corps ensanglanter contre le carrelage des toilettes c'était tentant. Mon regard était braquer sur eux deux. Je voulais sortir d'ici car l'odeur n'était pas spécialement bonne à sentir.
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MessageSujet: Re: Il n'y que la trahison des frère qui fait mal   Il n'y que la trahison des frère qui fait mal EmptyDim 24 Juil - 20:55

« T'es devenu trop fier pour oser nous regarder maintenant, Emrys ? »
« Y'a de quoi l'être tu ne penses pas? Je ne suis pas recherché par le ministre lui-même qui vous cherche depuis deux mois. Je n'ai pas commis de crime et d'attentat. En fait, je suis avec deux criminels bloqué dans les toilettes. La classe. »

Mon bras demeurait dans la même position. Tandis que j'imaginais très bien Elias blêmir à mes côtés après l'allusion de l'attentat, je ne cillais pas. Je ne baissais pas mon regard, je ne laissais paraître pratiquement aucune émotion. Même si, intérieurement, je bouillais. J'ignorais qui était le jeune homme à qui nous avions affaire Elias et moi, mais ce n'était certainement pas Emrys. Il s'agissait d'un profond demeuré, d'un crétin obnubilé par ses petites affaires, par sa propre petite vie. Ca se sentait, rien qu'à son ton. Je ne savais pas d'où il tirait cette pseudo agressivité, honnêtement. Sans doute avait-il eu trop peur pendant l'attentat, était-il resté marqué. Probablement avait-il besoin d'évacuer sa haine sur nous, parce que de toute évidence, il ne trouvait rien de mieux à faire. Mais cela le rendait tellement idiot, le changeait tellement.

Je ne parvenais à élucider réellement comment Emrys, qui avait été si proche de nous pendant un certain temps, réussissait à nous traiter de criminels si facilement. C'était bien mal nous connaître d'estimer que nous soyons derrière ces attentats. Que nous étions les coupables, les responsables, ou peu importe comment il appelait cela. C'était révoltant et décevant. Si bien que si je ne m'exerçais pas à rester impassible, je lui aurais certainement offert gracieusement un joli coup sur son visage. Mais en valait-il vraiment la peine ? Dans tous les cas, il le méritait, c'était certain.

« C'est bon là? Je peux partir? Parce qu'à force tu vas finir par choper une crampe au bras. »

Un rire jaune fila entre mes lèvres. Sérieusement ? C'était toute la répartie que le Serdaigle était capable de nous faire part ? Cette guerre n'avait jamais été sa bataille, comme il le disait si bien. Mais vu la réaction du jeune homme, vu sa hâte de quitter la salle, je pensais davantage que la couardise l'avait poussé à effectuer un tel acte. Il se complaisait dans sa pseudo sécurité, sa neutralité qui ne valait pourtant rien ici. Je m'impatientais vivement, m'apprêtant à lui répliquer que le seul qui pourrait vraiment avoir mal quelque part ici serait lui s'il continuait sur cette voie-là. Mais le mouvement d'Elias ainsi que sa prise de parole m'empêcha de m'effectuer. Probablement mon meilleur ami avait auguré mes actions, si bien que le mouvement de son bras me barra complètement le chemin vers Emrys, empêchant ainsi un coup de voler.

« Pas de chance, nous sommes deux. Je n’aurai qu’à prendre sa place ou encore, nous pourrions jeter un collaporta, empêchant ainsi tout le monde de sortir. Je crois qu’on a des choses à se dire. »

« Deux contre un, vous êtes trop faibles pour vous affirmer seuls. C'est pitoyable. De l'injustice alors que vous voulez que la justice soit égale. »

Voyez qui parle de justice. Le garçon qui n'a visiblement aucun sens de la présomption d'innocence et nous accuse injustement. Le garçon qui préfère ne pas prendre de parti alors qu'il aurait bénéfice à le faire.

« Alors, comme ça tu penses qu’on est tombé assez bas pour avoir tenté de détruire l’école? Ce serait stupide de notre part ne trouves-tu pas? Surtout qu’en agissant ainsi, on ne risquait que de tuer toute l’école. Il n’était pas là question de la sécurité d’une poignée de sang-pur, mais bien d’un millier de sorcier toute origine confondue. »
« Ouais je vous crois coupables autant l'un que l'autre. Si vous aviez laissez les gens faire ce qu'ils voulaient et non créer un club ou un clan pour abattre les sang purs, aucun blessé n'aurait eu lieu. Et même si c'était pas vous les coupables de cet attentat, c'est vous qui êtes les chefs de ce stupide truc que vous avez fondé. Donc c'est à vous de prendre les responsabilités. »
« Après tout, Mazarine a été tué lors de cette journée horrible. Tu nous penses assez cruel pour tuer une sœur? »
« Vous avez qu'à vous en prendre qu'à vous-mêmes et à vos camarades de clan. Mazarine ne méritait pas ça et tous on aurait pu y laisser notre peau. Ysolde a carrément dû passer par la fenêtre pour qu'on survive ! On a faillit y laisser notre peau ! Il est sans doute l'heure que vous grandissez un peu dans vos têtes ! Mais c'est pas prêt d'arriver. »

« T'es vraiment à côté de la plaque Emrys. T'as pas encore comprit que ce qu'on voulait ne consistait pas à « abattre » les sangs-purs comme tu le dis si bien mais protéger les nés-moldus ? T'as pas comprit que si justement, on laissait les autres faire, si on leur donnait raison comme toi tu le fais si bien en restant sagement dans ton coin, ton année aurait été bien pire que ce qu'elle a été ? Si t'avais pas encore saisi la chose, le but de leur jeu sanguinaire est que les sorciers de sangs-purs soient les seuls détenteurs du monde magique. Ce qui fait que dès le moment où les nés-moldus seront excommuniés totalement de notre monde, ce sera à ton tour de l'être, avec ton sang-mêlé. Laisser faire revient à faire virer les gens comme toi du château. Et je doute franchement que cela se fasse dans la douceur, ou même te fasse plaisir, n'est-ce pas ? T'as eu peur pendant l'attentat ? T'as eu peur pour ta chère vie ? De toute évidence, c'est le seul argument que t'arrives vraiment à placer. Commence à craindre pour le futur et te dire qu'il faudrait peut-être que tu sortes de ton monde et réalise ce qui se passe autour de toi. Honnêtement, tu nous dis de grandir un peu dans notre tête, j'te renvoie le conseil, il te servirait beaucoup plus à toi qu'à nous. Et la prochaine fois que tu prononces le nom de ma soeur... »

Je cognais de toutes mes forces Emrys au visage. J'allais probablement être envoyé en retenu pour un tel geste, mais honnêtement, si je ne l'avais pas fait, je l'aurais regretté. Je ne pouvais pas le voir plus longtemps sans évacuer toute la rage qu'il faisait naître vers moi. Je n'étais pas nécessairement quelqu'un de violent. J'étais nerveux, oui, mais pas violent. Je ne commençais jamais les bagarres et n'avais jamais vraiment agressé quelqu'un physiquement. J'étais tolérant et possédais un tempérament étonnement doux. Mais cela ne faisait néanmoins pas de moi quelqu'un de faible. Les travaux chez les Weasley étaient assez nombreux pour nous renforcer considérablement. Et même dans l'option que je n'avais pas été costaud à la base, avec toute la haine et l'adrénaline que j'avais accumulé, le coup devait réellement faire mal. Emrys aurait une marque, c'était certain. Si je ne lui avais pas cassé le nez, c'était déjà qu'il était chanceux ou que j'avais touché une partie plutôt vers l'oeil de son visage. Mon propre poing m'était déjà douloureux et rougissait par l'impact du coup. Mais c'était presque comme si je ne sentais rien, tant j'étais énervé. En fait, il me fallait un effort considérable – et l'intervention d'Elias – pour ne pas vouloir cogner de nouveau Emrys. C'était tel un cercle vicieux, vous frappez une fois et vous voulez continuer, donner de plus en plus ; encore et encore, jusqu'à l'épuisement. Jusqu'à ce qu'on vous l'empêche. J'aboyais :

« Tu vas vraiment voir ce que ça fait d'avoir mal. »
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MessageSujet: Re: Il n'y que la trahison des frère qui fait mal   Il n'y que la trahison des frère qui fait mal EmptySam 13 Aoû - 13:37

Je n’étais pas le genre de garçon à me battre mais j’avais un bon poing droit simplement parce que j’aimais le sport et que je trouvais ça tout à fait normal de prendre soin de moi par le sport. Auparavant, je pratiquais le quidditch à Poudlard, aujourd’hui avec les équipes de clans je n’ai pris part à personne et je suis resté simplement observateur. Quand je jouais au quidditch, j’avais le poste de batteur, ce que j’aimais dans le jeu, c’était la puissance à laquel il fallait taper dans le cognard afin de le dégager, c’était ça que j’aimais, la puissance dans le sport, dans la frappe ou seul le cerveau dit un ordre au corps humain pour que le bras l’effectue. J’avais une bonne corpulence pour mon âge et même si les demoiselles du château me regardaient, je m’en fichais royalement. Atlance était énerver, je le voyais dans son regard qui était devenu tout d’un coup noir, comme-ci il n’avait attendu que ça, la vengeance mais pourquoi ? Pour n’avoir prit par auprès de personne ? Pour avoir préférer rester dans mes bouquins qui eux n’était pas aussi idiots qu’eux ? Oui et je le savais. Atlance et Elias devait avoir changer, après tout, c’est à cause de cette foutue bataille de sang que nous ne sommes plus les frères que l’ont étaient auparavant et je regrettais que tout soit comme ça. Atlance venait de me frapper, pour la première fois il osait lever son poing sur moi. Je me savais d’habitude calme mais je m’emportais très vite et ça, tous les trois le savait. J’étais impulsif et Atlance aura la monnaie de sa pièce, je me le promettais à l’intérieur de moi-même étant donner que j’étais à terre, j’avais été pris par surprise. Atlance, quand il parlait de sang mêler j’avais l’impression qu’il se croit supérieur à nous, pourquoi ? Parce que monsieur était de sang pur. Je le haïssais à présent, pour moi il devenait mon pire ennemi, celui qui m’avait frappé, celui qui avait cru quand faisant ça tout irait pour le mieux pour lui. Malheureusement, j’espérais qu’il voit la vérité avant de faire une autre erreur qu’il regretterait plus tard. Je me leva avec du mal et foncea sur Atlance tout droit en direction de la porte d’entrer. Si quelqu’un était derrière c’était qu’il nous aurait entendu avec le vacarne que cela avait fait, personne ne pouvait passer inaperçu. Je frappa Atlance avec mon poing droit puis le frappa avec mon poing gauche. Je pratiquais de la boxer, sport moldu et dangereux mais vraiment très sportif, qui musclait bien. Atlance avait la lèvre en sang et moi le dessus de l’œil droit en sang par son coup. Je regardais Atlance droit dans les yeux. Nos deux regards étaient froids et distant. Elias ne pouvait que flipper et si il sans mêlait je n’aurais pas peur de le frapper. Si avant notre amitié était supérieur à celle des autres, aujourd’hui il n’y avait plus rien à part une haine qui venait tout juste prendre place au moment ou le rouge et or venait de foncer son poing en ma direction. Je le haïssais et j’étais énerver, énerver comme jamais je ne l’avais été. Il regretterait son coup si ce n’était pas fait. Si un professeur passait par-là je risquerais des heures de colles et même le renvoient à Oxford directement chez mes parents. Mon jumeau serait alors seul à Poudlard et nous avions une telle connexion que c’était impossible à l’idée. Je me leva pour ne plus être contre Atlance et regarda Elias puis Atlance. « Tu vas vraiment voir ce que ça fait d'avoir mal » Dans les coups que m’avais donné le rouge et or, je savais qu’il souffrait de la perte de sa sœur. Mazarine. Tout le monde avait été attristé par cette mauvaise nouvelle, moi-même d’ailleurs à renoncer à parler à qui que ce soit depuis sa perte. Nous nous connaissions tous et aujourd’hui nous étions fantômes voir même ennemis. Si c’est coups était la délivrance de sa perte, il aurait pu aller courir ou je ne sais quoi pour s’évacuer. Je le regarda dans les yeux. Noir. J’étais énerver et beaucoup trop pour abandonner la partie d’une telle bataille comme celle-ci. D’habitude c’était moi qui arrêtais les bagarres de ce genre, que je trouvais stupide parfois mais aujourd’hui c’était moi qui frappais. Tu connaissais-ça toi la souffrance ! Tu crois que je n’ai pas souffert quand j’ai lu à la gazette que Mazarine n’était plus de ce monde ! Si tu crois ça c’est que tu n’ais qu’un égoiste Atlance Weasley ! Et que tu as bien changé depuis notre époque ou la fraternité existait ! J’ai souffert à la perte de Mazarine mais je n’y suis pour rien ! Je n’ai pas fourré mon nez là ou il ne fallait pas ! Je suis resté neutre ! Et pourquoi ? Pour ne pas à avoir souffrir comme tu souffres aujourd’hui pour la perte de Mazarine ! Si je devais perdre mon jumeau je frapperais encore plus fort aujourd’hui que tu le fais toi ! Mais pas sur un vieux pote ! Sale égoïste de merde ! C’est des gens comme toi que vous affrontez ! Dire ça à Atlance c’était comme mourir avec une haine forte. Atlance avait été mon pote et aujourd’hui je me demandais ce qu’il était. Je me tourna vers Elias qui lui ne disait rien, surement qu’il était bloquer face à la situation et je le comprenais. J’étais énerver et à ce moment j’aurais pu les tués si l’envie me prenais seulement je me retenais, je leurs avais fais confiance à tous les deux. Egoïste que j’étais j’aurais voulu ne pas avoir eu à pissé ce matin. Pour beaucoup ma réaction était du à ma fréquentation, Ysolde Wilkes, la magnifique Ysolde. Heureusement ce n’était pas de sa faute à elle, ni à cause d’elle que je ne me mettais dans aucun camps, c’était seulement grâce à mon instinct et je ne regrettais rien. A part d’avoir frapper Atlance. Si y’a bien une chose que je regrette aujourd’hui, c’est d’avoir frapper Atlance. Mais pas mes propres choix.
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MessageSujet: Re: Il n'y que la trahison des frère qui fait mal   Il n'y que la trahison des frère qui fait mal EmptySam 13 Aoû - 15:21

Je regardais cette partie de répliques sanglantes comme l’on regarde une partie de ping-pong. Je n’arrivais pas à en croire mes yeux et mes oreilles. Emrys qui n’était autre que mon meilleur ami l’an dernier était devenu aussi ignoble que tous les conservateurs. Il n’avait plus aucune morale, nous attaquait gratuitement et croyait qu’il avait vieillit alors que nous on stagnait dans le temps. Ses répliques me faisaient mal, elle me blessait et, petit à petit, allait bien finir par rouvrir cette brèche de souffrance que je venais tout juste de réussir à colmater. J’avais beaucoup souffert de l’avoir repoussé, de l’avoir laissé partir aussi cruellement alors que j’aurais bien voulu le garder près de moi. Je me fichais qu’il ne partage pas mes convictions, mais j’avais été trop con pour le retenir. Maintenant qu’il était devant moi, qu’il parlait comme il le faisait, je me rendais compte que l’ami que j’avais toujours eu n’était plus ce qu’il était. Je n’arrivais pas à comprendre pourquoi et comment en quelque mois seulement, le garçon doux, gentil bien qu’impulsif avait put devenir cet homme si prétentieux, mais aussi grandement blessé. Est-ce nous qu’il l’avait fait devenir ainsi? Finissait-il par changer de clan à son insu. À la manière haineuse qu’il avait de parler des révolutionnaires, il semblait bien que le sang ne le rendait pas aussi indifférent que ce qu’il prétendait. En définitive, il était aussi perdu que nous…

Soudainement, alors que mes oreilles avait peine à suivre cette joute verbale, je vis le poing d’Atlance voler en direction du visage d’Emrys. Il frappa brutalement se dernier à l’œil, ce qui fit couler un mince filet de sang de sn arcade sourcillère. Surpris, je regardai alternativement les deux sorciers. Comment était-ce arrivé? J’en sais que trop rien. Une chose est certaine, ça n’allait pas s’arrêter là. Avant même que j’aie le temps de dire le moindre mot, Emrys était sur Atlance et le frappait de ces deux poings. J’écarquillai les yeux devant la scène des plus absurdes. Je n’arrivais pas à croire que ces deux gars, eux-mêmes qui avaient été amis durant plus de huit ans, se battaient comme de vulgaires ennemis. Tout deux étaient tellement pacifiques, tellement peu porté à ce battre que la situation en était des plus ridicules. J’aurais très bien put les réparer d’un coup de baguette, mais mon cerveau refusait que je bouge le moindre membre. À croire qu’on fond de moi, je savais que cette bagarre était inévitable. Qu’il fallait que je les laisse faire. Si le destin en avait choisis ainsi, c’est qu’il avait une bonne raison. Pourtant, lorsqu’ils finirent enfin par se séparer, les voir tout deux en sang me fis un choc. Foutu corps qui refusait de réagir lorsqu’il le fallait. Je me le mettais bien où je pense le destin. Emrys ne méritait pas ce coup, enfin peut-être un peu… Reste toutefois qu’Atlance ne méritait encore moins de ce faire tabasser par un gars qui était sensé être son ami.

Tu connaissais-ça toi la souffrance ! Tu crois que je n’ai pas souffert quand j’ai lu à la gazette que Mazarine n’était plus de ce monde ! Si tu crois ça c’est que tu n’ais qu’un égoiste Atlance Weasley ! Et que tu as bien changé depuis notre époque ou la fraternité existait ! J’ai souffert à la perte de Mazarine mais je n’y suis pour rien ! Je n’ai pas fourré mon nez là ou il ne fallait pas ! Je suis resté neutre ! Et pourquoi ? Pour ne pas à avoir souffrir comme tu souffres aujourd’hui pour la perte de Mazarine ! Si je devais perdre mon jumeau je frapperais encore plus fort aujourd’hui que tu le fais toi ! Mais pas sur un vieux pote ! Sale égoïste de merde ! C’est des gens comme toi que vous affrontez !


Dire d’Atlance qu’il était du même calibre que tous ces conservateurs était un coup bas. Bien plus encore que de lui dire qu’il était égoïste parce que le gryffondor était l’une de personne les moins égoïste et centré sur elle-même que la terre ait connu. Et ça, Emrys le savait parfaitement. La colère lui faisait dire des choses insensées, des choses qui, au fond, il ne devait pas penser. Enfin, si c’était le cas, c’est que le serdaigle était devenu bien différent et qu’il n’était plus qu’un conservateur au fond de son cœur.

Si y’a bien une chose que je regrette aujourd’hui, c’est d’avoir frappé Atlance. Mais pas mes propres choix.


Je roulai les yeux. S’en était assez. J’en avais marre des entendre se disputer. Ils étaient pathétiques, ils faisaient pitiés. Sortant ma baguette, je la pointai sur le visage d’Atlance. Un petit sort de base suffirait à calmer l’enflure et arrêter le saignement. Me retournant vers Emrys, je tentai de faire la même chose. Ce dernier eu un mouvement de recul, ce qui fit ricocher mon sort au mauvais endroit. Énervai, je m’approchai de lui et pris son visage entre mes mains.

« Bouge pas sinon ça va être bien pire! », lui dis-je tout en procédant. Qu’il ne soit pas d’accord, je m’en fichais. Il n’avait qu’à ne pas faire l’idiot. Lorsque la tâche fut terminé, pris place à mis chemin entre les deux, leur lançant un regard noir remplis de reproches.

« Puisque c’est ça que vous voulez, allez-y, taper vous dessus. Venez pas chialer après et dire que vous regretter de l’avoir fait, mais que vous ne regrettez pas vos choix. » Me retournant vers Emrys, je le regardai droit dans les yeux. « Parce que tabasser un ami, tout autant en colère, dans l’embrouille ou impulsif que l’on soit reste l’un des choix que l’on fait. Je ne crois pas que les poings vont réglés le problème. Voyez par vous-même! Ça n’a fait que vous rendre plus agressif. Et il n’est pas question que quiconque ne sorte de cette pièce avant que nous ayons réglé le problème. Alors soit vous parler, soit on reste ici jusqu’à l’an trois milles. C’est à vous de choisir. Et arrête d’accuser, de rabaisser ou d’insulter l’autre, ça ne mène à rien. »
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MessageSujet: Re: Il n'y que la trahison des frère qui fait mal   Il n'y que la trahison des frère qui fait mal EmptySam 13 Aoû - 18:20

Le premier coup de poing lancé à l'adresse de Emrys en fit naître plusieurs de la part de ce dernier. Rapidement, une bagarre éclata dans ces toilettes des hommes, laissant filer le sang de nos plaies. Dire que tout ça n'était qu'une question de sang. Un sang pourtant si identique, aussi normal l'un que l'autre, d'un point de vue biologique. Sang qui faisait pourtant ce que nous étions, et nous différenciant l'un de l'autre. Alors que techniquement, un sang-mêlé, un né-moldu, un moldu lui-même, pourrait sauver la vie d'un sorcier avec une transfusion sanguine moldue. Mais les sorciers n'en avaient cure, tout était question de "races", presque. J'étais un sang pur, certes, mais je n'en avais rien à faire. Avoir que des sorciers dans ma famille ne faisait pas de moi quelqu'un de meilleur. J'étais né comme j'étais né, mon sang ne faisait pas de moi quelqu'un de meilleur comme quelqu'un de mauvais. J'en avais conscience, j'avais conscience que ce qui faisait de nous ce que nous étions, étaient uniquement nos choix. Rien de plus.

Le choix d'avoir frappé Emrys pourrait me rendre par exemple plus mauvais. Et probablement le regretterais-je plus tard, même si à cet instant précis, tout ce que je désirais était de le cogner une nouvelle fois. Mais par une force qui m'était méconnue, je ne le faisais pas. Instantanément, à l'idée de frapper une nouvelle fois Emrys, ce genre de fatigue me pris. Pas celle qui vous donne envie de dormir, mais celle qui vous donne envie de ne rien faire. Une sorte de flemme. Sauf que je savais que ce n'était pas de la paresse, mais du dégoût, une réalisation qu'au final, à quoi servait tout ceci ? J'avais la sensation d'être vidé, comme si à mesure du sang qui coulait ,toute motivation s'évaporait. Et si Kelly-Anne avait raison ? Si tout ceci ne servait à rien ? Si Emrys lui-même avait eu raison, en disant que cette bataille ne servirait à rien ? Si en voulait faire valoir les droits des nés moldus, ce pourquoi je resterais toujours d'accord, on leur portait plus préjudice ? Ca me semblait fou, pourtant, les preuves appuyaient cette théorie. Le décès de Mazarine, de Ange et Imogène.

Par pure provocation, j'entendais Emrys parler encore et encore de Mazarine. A chaque fois qu'il prononçait son prénom, je levais les yeux, comme si je recevais un choc, bien qu'il s'agissait du seul mouvement que j'effectuais. Il déblatérait, et bien que je l'entendais, je ne l'écoutais pas. Je m'en fichais, totalement. Il aurait pu me parler de l'histoire de gobelins, je ne m'en serais pas rendu compte. J'attirais vraiment mon attention à ce qui se tramait entre nous que lorsqu'Elias prit la parole.

« Puisque c’est ça que vous voulez, allez-y, taper vous dessus. Venez pas chialer après et dire que vous regretter de l’avoir fait, mais que vous ne regrettez pas vos choix. Parce que tabasser un ami, tout autant en colère, dans l’embrouille ou impulsif que l’on soit reste l’un des choix que l’on fait. Je ne crois pas que les poings vont réglés le problème. Voyez par vous-même! Ça n’a fait que vous rendre plus agressif. Et il n’est pas question que quiconque ne sorte de cette pièce avant que nous ayons réglé le problème. Alors soit vous parler, soit on reste ici jusqu’à l’an trois milles. C’est à vous de choisir. Et arrête d’accuser, de rabaisser ou d’insulter l’autre, ça ne mène à rien. »

Je croisais les bras. Tout ceci ne mènerait à rien. Pour une fois, pour la première fois de ma vie, j'étais pessimiste et persuadé qu'on allait perdre notre temps. A quoi bon ? Les jeux avaient déjà été faits, les décisions prises et de toute évidence, nos personnalités et réactions ancrées à jamais. Je prenais la parole, d'un ton neutre.

« J'ai dit tout ce que j'avais à dire et n'enlève rien. »

Je levais les yeux vers Emrys dont l'oeil avait cessé d'enfler ainsi que de rougir.

« J'ignore si c'est le cas d'Emrys. Mais je sens qu'on a tous les deux bien saisi le fond de sa pensée comme de sa manière d'être. Et je suis désolé, mais je ne vois pas de problème à proprement parler. De toute évidence, y'a rien à régler, aucun de nous va changer d'avis sur l'autre comme sur tout ce qui se passe à Poudlard. »

Je regardais Elias. Je n'avais qu'une idée, partir d'ici et d'aller à la volière. Je n'avais que ça en tête, mon esprit y était déjà, d'ailleurs. Pourtant, pour respect pour mon meilleur ami, et puisque lui voulait visiblement de tout coeur que nous restions dans cette salle pour "régler le problème", je ne bougeais pas. Je lui demandais seulement :

« Tu veux régler quoi, Elias, sans avoir à faire de miracles ? »
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