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ROLLING IN THE DEEP - pv. simeon

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Ysölde M. Wilkes McFays
Ysölde M. Wilkes McFays


fondatrice -  prefète de serpentard, attention à vous, je peux éviter la retenue... ou pas.

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MessageSujet: ROLLING IN THE DEEP - pv. simeon   ROLLING IN THE DEEP - pv. simeon EmptyDim 7 Aoû - 21:27


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rolling in the deep

La vie n’était pas facile pour Ysölde, mais elle se résignait à dire que la vie se vengeait d’elle. Elle qui avait été odieuse pendant onze longues années, onze longues années à marcher sur les autres, cela fini par se payer un jour, n’est ce pas ? Elle avait relativement changé depuis le mois de juillet où elle avait découvert la supercherie orchestré par son père. Un menteur. Une fois le choc passé de la vérité, elle n’était qu’une sang mêlée, elle recommençait à avoir confiance en elle. Voir une Ysölde si peu confiante était inédit, elle qui marchait droite, les cheveux parfaitement ajusté en queue de cheval avec son uniforme de serpentard, parfaitement repassé, désormais se moquait d’avoir de parfait cheveux. Avant elle se pavanait aux côté d’Ulysse Lestrange – le chef des mangemorts à Poudlard – aujourd’hui, elle ne se pavanait plus au bras de personne, et elle ne s’en plaignait, il vaut mieux être seul que mal accompagné.
Ysolde avait repris des activités qu’elle avait laissé tombé depuis pas mal d’année, à commencer par le dessin. Quand elle était enfant, elle passait ton temps à dessiner, ce qui amusait sa mère. Après son amnésie, elle avait continué quelques temps, avant d’être sommé d’arrêter par son père qui estimait qu’une jeune fille ne devait pas dessiner comme une vulgaire moldue, et devait aspirer à quelques choses de magique. Ysölde s’était alors forcé à faire du quidditch – oui elle et sa silhouette frêle faisait du quidditch. La jeune femme s’était armée plusieurs fois de son crayon et d’une feuille blanche et s’était assise dans un coin, et avait dessiné ce qu’il se trouvait devant elle. Elle avait mis un certain temps avant de retrouver un coup de crayon plus qu’honorable. Quand elle voyait ce qu’elle était capable de faire, elle voyait combien elle avait toujours été influencé par son père autrefois. Elle lui aurait donné le bon dieu sans confession, elle faisait ce qu’il voulait. Monsieur voulait qu’elle se fiance, elle disait oui sans ciller. Quelle idiote était-elle. Mais rassurer vous, Ysölde Wilkes n’est plus une idiote. Plus du tout.

La cour intérieur était un lieu bondé de Poudlard, surtout lorsque c’était les beaux jours. Ysolde aimait bien s’asseoir ici. Autrefois, elle s’essayait ici avec ses amis de serpentard et se permettaient d’interpeler des personnes pour leur dire des horreurs. Elle regrettait la fille qu’elle avait été, mais elle avait été populaire, tout le monde dans cette école ne peuvent pas prétendre avoir été populaire une fois dans leur vie. Elle ne connaissait pas les noms de tout le monde, la preuve. Elle entra par une petite porte préférant éviter de croiser certaines personnes qui ne s’éternisèrent bien heureusement pas dans la cour. Elle s’assit sur le rebord de la cour intérieur, déposant son lourd sac à dos – rempli de livre évidemment – sur le sol. Et sorti de celui-ci un carnet et un crayon. Elle feuilleta doucement les pages, depuis la rentrée, elle n’avait pas chômé. Elle regarda ses œuvres, tantôt grimaçant devant un détail qui ne lui plaisait pas, et tantôt fière d’elle. Ele remarqua une chose stupéfiante. Sur quatre de dix dessins qu’elle avait fait, la même personne, revenant, soit au premier plan, soit au second plan. C’était troublant comme coïncidence. Ysölde était le genre de fille à ne pas croire aux coïncidences. Quand elle vit de qui il s’agissait, elle poussa un soupire avant de sourire. Simeon le sang de bourbe, comme elle avait eut l’habitude de l’appeler. Elle avait eut l’habitude de la martyrisé à sa manière, mais ça avait eut l’effet de lui plaire d’être le souffre douleur de la jolie blonde, d’une certaine manière. Aujourd’hui, elle ne martyrisait plus personne, c’était elle qui se faisait martyriser par les gens qu’elle avait cru être ses amis à serpentards, ces sangs purs, et ses conservateurs qu’elle aurait juré être ses amis. Il ne lui restait qu’Alecto, c’était triste, mais elle se disait parfois qu’elle l’avait bien mérité.

Assise, elle était en équilibre sur le rebord d’un mur. Derrière elle, des élèves passaient, ysölde n’y prêta aucune attention, jusqu’à ce qu’un élève de serpentard passe et la poussa jusqu’à ce qu’elle tombe en avant sur le sol. Elle tourna la tête et lui jeta un regard noir, se disant qu’il ne perdait rien pour attendre ce crétin. Elle avait passé l’âge de se battre et de se jeter sur quelqu’un, elle était plus mesquine que ça. Elle se mis à genoux et vit la moitié de son sac vidé par terre, avec un long soupire, elle rassembla ses livres pour les ranger dans son sac qui allait finir par céder sous le poids, et plus loin devant elle, son carnet de croquis, désormais à moitié éventré sur le sol. Elle était désolée, mais ne se plaignait pas, elle vivait ce qu’elle avait fait vivre pendant huit ans aux autres. Elle était toujours à genoux occupée à ressemblé ses affaires, ses plumes, ses feuilles, elle ne prêtait plus attention à son carnet, trop énervée.
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MessageSujet: Re: ROLLING IN THE DEEP - pv. simeon   ROLLING IN THE DEEP - pv. simeon EmptyLun 8 Aoû - 18:40

      1er septembre deux mille onze, à bord du poudlard-express, quelque part en grande-bretagne
      Les nuages couvrait le soleil, ce qui donnait au paysage un très joli contraste. Simeon se trouvait dans le poudlard-express pour se rendre à l’école où il allait entamer sa douzième année. Ce ne sont pas les grandes réjouissances qui s’emparaient de lui aux vues des conditions actuelles en ce qui concernent les né-moldus, mais il tenait vraiment à finir ses études.
      Installé dans son siège, le blaireau se mit à lire un livre d’Anna Gavalda, auteure inconnue au sein du monde de la magie. Plongé dans sa lecture, il parcourait les pages avec une fluidité qu’il appréciait. Puis une effluve de parfum lui parvint, il aurait reconnu cette odeur entre mille. Cette odeur qui lui rappelait les fleurs qui peuplait les pleines de son patelin pommé en Cornouailles. Cette odeur qui s’emparait de lui, l’empoissonnait à chaque inspiration. L’odeur de cette fille que certaines nuits il rêvait. Ce ne pouvait qu’être Ysolde, cette serpentarde qui le méprisait, et le martyrisait à tout bout de champs.
      La jolie blonde habillée de son uniforme aux couleurs émeraude et argent de sa maison, passa devant la porte du compartiment. Elle lui lança un regard. Mais rien. Elle se contenta de passer. Simplement…


    L’attirance… L’attirance est une chose étrange. Certaines fois, on ne veut pas se l’avouer, car on se dit que cette personne est différente de nous. Qu’elle ne nous correspond pas. Mais d’autres fois, nous pouvons être surpris.
    Aujourd’hui, Simeon ne sait pas encore ce qui va se passer. Depuis sa rentrée au sein de Poudlard, il sait qu’il sera émerveillé par sa journée. La découverte de nouvelles choses, de nouvelles connaissances…etc… Mais les choses prévisibles sont toujours les plus imprévisibles. Il sait que les conservateurs vont ramener leur gueule pour l’emmerder, c’est le mot! Mais quand? Telle est la question. Tous les jours, il subit les attaques de ses imbéciles consanguins. Toujours se protéger, toujours appréhender l’ennemie. Ne pas s’élancer dans un lieu où le mal s’y trouve. Telles sont les règles qui dirigent ses journées. Du vert, attention. Beaucoup de verts, tu fuis.
    Simeon venait de finir son devoir sur la loi des gobelins en Angleterre. Il rangea les nombreux parchemins reliés par une lanière de cuir dans son sac. La bibliothécaire l’avait toujours à l’œil. Cette femme n’aimait pas les né-moldus, et si la présence de ces élèves tenait d’elle, la consultation des ouvrages leur serait interdit. Ce qui est cruel pour une personne comme Simeon. Enfin il sortir de la salle sombre sous le regard suspect que lui lançait cette vieille femme aigri.
    Le soleil agressa les yeux du blaireau, tellement la pénombre faisait place dans la pièce. Il mit quelques secondes à reprendre ses esprits. Au loin, il vit une bande de serpentard qui venait dans sa direction. Règle 2: beaucoup de verts, fuite! Et Simeon s’appliqua à l’effectuer. Il fera un détour pour se rendre à la grande salle. Arrivé au rez-de-chaussée, Siméon avait besoin de prendre l’air. Donc il prit la direction de la cour intérieur de Poudlard. Il aimait s’y rendre, se poser dans son coin habituel. C’est en arrivant dans la cour qu’il aperçut une jeune fille à genoux en train de ramasser ses cahiers, et livres.
    C’était elle! Elle était là, avec son regard mystérieux. Telle une charmeuse de serpents, elle me contrôlait, m’attirait, me torturait dans des sentiments que je n’avais pas encore ressenti. Elle me captait, m’emprisonnait, m’empoisonnait dans sa vie. Juste sa présence me faisait du bien. Juste elle, son corps, son regard, sa voix me donnait une nouvelle force qui me donnait l’impression de dominer le monde.
    Siméon s’approcha de la jeune fille, il ne sait pas pourquoi. Elle qui le méprisait tout le temps, qui ne manquait pas une occasion de lui faire comprendre que sa place n’était pas ici. Mais il ne savait pas pourquoi mais aujourd’hui les choses avaient changé. La preuve, elle était par terre, à genoux, à ramasser ses livres. Ce n’est pas la Ysolde que Siméon connaissait. Jamais il ne l’aurait trouvé par terre avant aujourd’hui. Et puis l’épisode du train. Elle ne lui avait rien dit, alors qu’en temps normal, elle aurait ouvert la porte, et lui aurait balancé son livre par la fenêtre. Mais ce jour-là, elle s’en était abstenu. Elle l’avait juste regarder, et continua son chemin. Qu’était-il arrivé à la Ysolde méchante, et méprisante?
    Comme un masochiste aimant son calvaire, le jeune étudiant s’avança vers la jeune blonde toujours à terre. Un pas devant l’autre, la distance entre les deux élèves diminuait. Un pas devant l’autre… Son pied bute contre un minuscule cahier à dessin. Des feuilles éparses sur le sol de la cour. Comprenant que le cahier appartenait à la jeune fille, il les ramassa, en les rangeant bien dans le cahier. Au passage, il put voir les œuvres de la serpentard. Ses dessins étaient magnifiques. Sur certains, il crut voir son portrait. Mais il devait rêver. Pourquoi le dessinerait-elle? Il fallait qu’il arrête de se faire des idées. Comment un né-moldu comme lui pourrait intéressé une sang pur comme elle. Son bourreau, celle qui lui faisait chavirer son cœur. Celle qui hantait ses rêves certaines nuits.
    Il ferma le petit livre, et s’avança vers Ysolde. Tendant une main pour l’aider à se relever, Siméon la regarda et lui dit « je pense que cela t’appartient. »




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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: ROLLING IN THE DEEP - pv. simeon   ROLLING IN THE DEEP - pv. simeon EmptyMer 10 Aoû - 20:16

Tout était par terre, ses livres, ses dessins, sa fierté et sa vie. Elle n’avait jamais été aussi basse, Ysolde n’était jamais tombé aussi bas de toute sa vie. Elle n’aurait jamais cru tomber aussi bas, se retrouver la proie de ceux avec qui elle était ami, jamais, jamais, jamais. En fait, ces gens n’avaient jamais réellement été ses amis, sinon, ils ne lui auraient jamais fait subir ça. Si Amadeus avait réellement vu en elle une sorte de seconde petite sœur, il ne lui ferait pas mal comme ça, si Matthys était réellement son ami, il ne la trainerait pas dans la boue comme ça. Ysolde n’avait que peu d’amis, Alecto, la seule et l’unique. Pour le reste, tout était à recommencer, tout, absolument tout. Elle était à genou par terre poussant un long soupire. Des fois, elle se demandait comment elle pouvait transporter autant de chose dans un six petit sac, elle devrait sérieusement penser à pratiquer sur celui-ci un sortilège d’extension indétectable si elle ne voulait pas qu’il craque sous le poids de ses affaires. On y trouvait de tout, des cours, des livres, une trousse, mais également une trousse contenant du maquillage – oui le matin elle ne maquillait pas dans le dotroir, mais dans les toilettes, elle ne prenait plus part à la vie de serpentard, plus du tout. Elle s’apprêta à ramasser son carnet de dessin, la dernière chose qu’il restait quand elle vit une main le saisir : elle détestait que l’on touche ses affaires, c’était… personnelle.

Elle faillit sursauter et partir en courant quand elle vit qui l’avait ramassé. Simeon le moldu, elle ne connaissait même pas son vrai nom, elle l’avait appelé le moldu toute de sa vie, et parfois le sang de bourbe, vraiment, savoir son nom de famille avait toujours été le cadet de ses soucis. Il allait lui jeter le livre à la figure, du moins c’est ce qu’elle aurait fait l’année dernière si il avait été par terre avec ses livres, et elle debout à regarder, elle aurait fait genre de vouloir l’aider et lui aurait jeté son livre à la figure : parce que c’était drôle, et parce que ça lui avait toujours donné la sensation de puissance absolue. S’il se vengeait lui aussi, elle comprendrait, elle n’était pas stupide, elle était dans la phase résignation de se descente aux enfers, alors elle accepterait sans broncher.

je pense que cela t’appartient. Elle rêvait ou il était entrain de lui tendre la main. Elle leva les yeux vers lui, l’air ébahi, le regard d’une enfant pratiquement, depuis qu’elle était le souffre douleur des sangs purs, elle avait l’impression d’être redevenue une enfant que l’on chahute au jardin d’enfant, et qui appelle ses parents à l’aide : sauf que des parents, il n’y en avait plus, une mère au cimetière et un père monstrueux, faites votre choix. Elle le regardait l’air surprise, perdue, tout ça mélanger en même temps. Elle hésita à prendre sa main, peut être était ce une ruse ? Comment pouvait-il être gentil avec elle ? Elle avait été un monstre depuis son entré à Poudlard, même si elle était plus jeune que lui, elle l’avait toujours pris de haut, elle avait trois ans de moins que lui, mais il ne lui avait jamais fait peur, jamais. Elle le fixa, et pris alors sa main, hésitante, mais résigné, s’il faisait quelque chose de méchant elle le mériterait. Je… elle bafouilla, merci, dit elle alors. Elle n’avait pas souvent dit merci dans sa vie, tout comme elle n’avait jamais réellement bafouillé. Cela lui donnait un côté vulnérable que personne n’avait jamais réellement vu jusque là, si les gens au bal de noel, mais, ça, personne ne pouvait réellement le savoir. Ysolde n’était pas aussi forte qu’elle y paraissait, elle avait cette faiblesse, sa mémoire était sa faiblesse, elle l’avait toujours été, et même maintenant qu’elle l’avait retrouvé, elle se sentait vulnérable à cause de ses souvenirs.

Pourquoi tu m’aide ? Tu ferais mieux de me jeter ce fichu carnet à la figure, en tout cas moi c’est ce que j’aurais fait. Elle avait dit ça franchement, mais ça n’était pas un secret pour lui, il savait bien qu’elle aurait été prête à lui jeter un livre à la figure l’année dernière. Pas cette année, non, elle avait changé, elle n’était plus aussi méchante, ni même aussi inhumaine, elle avait gagné en humanité cet été, elle ne voulait pas ressembler à son inhumain de père, certainement pas, alors autant commencer à gagner en humanité tout de suite.
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MessageSujet: Re: ROLLING IN THE DEEP - pv. simeon   ROLLING IN THE DEEP - pv. simeon EmptyMer 10 Aoû - 20:35



    A l’âge de six ans, le jeune Siméon s’était fait pipi dessus en plein cours de mathématique. Le professeur n’avait pas voulu que le jeune garçon aille au toilette pendant son cours, un salaud. Il n’avait pas pu se retenir, et s’était fait dessus. Autant dire que les humiliations font parti de sa vie. Un peu maladroit, et malchanceux sur les bords. Le soir en rentrant chez ses parents, son père l’avait prit à part, et lui avait expliqué que ce n’était pas grave, et que les moqueries des autres élèves étaient stupides. Et que Siméon, lui, ne l’était pas. Son père avait ce pouvoir, à la superman, de vous convaincre de sa vérité. Quelques semaines plus tard, un autre élève s’était fait pipi dessus. Mais Siméon contrairement aux autres enfants, alla aider le petit garçon. Il le comprenait. Et il lui répéta ce que son père lui avait répété. Son camarade ne comprenait pas, et pensait que le jeune brun allait se moquer de lui. Mais non. Après cette histoire, ils sont restés amis. Les mauvaises choses ont peut-être du bon au fond.

    Une fois relevé, la demoiselle devant lui le remercia. C’était la première fois que Siméon la voyait vulnérable, et gentille. Il l’avait toujours connu méchante, et cruelle. Même si ses remerciements étaient hésitants -elle devait s’attendre à une autre réaction- elles paraissaient sincères. Autant vous dire que Siméon était au ange. La fille qu’il admirait lui parlait enfin normalement, comme à un être humain. Ce qui était une grande avancé pour le jeune homme.
    « Effectivement, je pourrais. Mais je ne le ferais pas. Je pense que tu as subit assez d'humiliation, pour ne pas en rajouter une autre. . » Quel crétin! il ne savait pas pourquoi il avait comme un pauvre intello de premier de la classe. Sans déconner, il cherchait vraiment à se faire taper dessus, tout le monde déteste ce genre de monsieur je-sais-tout à la mort moi l'nœud. il venait de griller toutes ses chances avec cette fille. Et comme les rumeurs vont vite dans ce collègue, bah, il s'était foutu dans la situation où à quarante ans, il sera toujours puceau. Un pauvre sorcier puceau. Comme assurera-t-il sa descendance. Siméon avait toujours cette habitude de planifier, et de prévoir les choses futurs. Il ne se lâche jamais. Peut-être pour cette raison qu'il n'est jamais sorti avec une fille.
    Quand il allait raconter ça à Lana, elle allait se foutre de sa gueule. En même temps, il y a du potentiel.
    Dans les situations délicates, le jeune grindelmonk avait du mal à retenir ses émotions. non, il n'allait pas se faire pipi dessus. Mais son asthme venait souvent le perturber. Et bien entendu, en plus de paraitre pour un bouffon devant la blonde. Sa respiration devenait de plus en plus difficile. Il fouilla dans son sac pour trouver sa ventoline. Heureusement que le collège avait accepté qu'il l'emporte avec lui. Ses mains étaient un peu tremblante. « De l'asthme» lâcha-t-il dans un rire strident. le stress ne lui allait vraiment pas.





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MessageSujet: Re: ROLLING IN THE DEEP - pv. simeon   ROLLING IN THE DEEP - pv. simeon EmptyJeu 18 Aoû - 16:50

Elle ne s’était pas fait mal en tombant, elle était solide, normalement elle était vraiment solide, une vraie joueuse de quidditch, elle paraissait faible et frêle, mais en vraie, elle était un roc, physiquement parlant – bien que sa force soit mineur face à un garçon, elle était capable de frapper une fille sans ciller, et sans se casser un ongle. Ysolde était tombé, mais c’était relevé, sans trop de mal. Il lui en fallait plus pour la blesser. Elle avait été blessée plusieurs fois à Poudlard, durant le bal de noel, à l’attenta de fin d’année où elle était passé à travers la grande fenêtre de la grande salle, et dans les bois avec Ulysse, ces trois fois étaient les uniques fois où elle avait fini à l’infirmerie – bien sur il lui était arrivé de tomber malade, mais ça n’était pas pareil. Elle lui dit qu’il ferait mieux de lui jeter son livre à la tête plutôt que de l’aider, c’était ce qu’elle aurait fait en tout cas à sa place, elle l’avait martyrisé pendant des années, et c’était comme s’il ne semblait pas avoir de rancœur à son égard, était-il masochiste ? Peut être bien. Cette pensée la choqua, et elle le fixa alors quand il dit : Effectivement, je pourrais. Mais je ne le ferais pas. Je pense que tu as subit assez d'humiliation, pour ne pas en rajouter une autre. Elle ne savait pas si c’était brillant ou complètement stupide ce qu’il venait de dire. Vraiment. Il ne semblait avoir aucune rancœur à son égard, comme était-ce possible, elle s’était moquée de lui pendant des années, surtout où le jour où elle avait appris qu’il était puceau – elle n’était pas porté sur la chose – mais cela avait été une très bonne occasion de se moquer de lui. Comment pouvait-il l’aider, elle ne comprenait vraiment. Etait-il fou, brillant, masochiste ? Peut être un mélange de tout ça à la fin. Elle ne savait pas si c’était brillant ou complètement stupide ce qu’il venait de dire. Vraiment. Il ne semblait avoir aucune rancœur à son égard, comme était-ce possible, elle s’était moquée de lui pendant des années, surtout où le jour où elle avait appris qu’il était puceau – elle n’était pas porté sur la chose – mais cela avait été une très bonne occasion de se moquer de lui. Comment pouvait-il l’aider, elle ne comprenait vraiment. Etait-il fou, brillant, masochiste ? Peut être un mélange de tout ça à la fin. Elle le regarda de bas en haut, le dévisageant alors, cherchant à déchiffrer derrière ces mèches brunes touffue, ce qu’il se cachait. Elle était intrigué par un tel comportement, ce genre d’humanité ou de folie lui était totalement étranger, totalement, elle dit alors simplement : Je me demande si tu es la personne la plus stupide que je connaisse ou la plus sensé. Au moins, elle était franche, on ne pouvait pas lui reprocher de dissimuler la vérité, c’était certain.

Le pire était à venir, elle le fixait quand elle perçu que sa respiration semblait comme bloquer, ou entraver par quelque chose. Il était entrain de s’étouffer ? De faire le mort ? de s’entrainer à ne plus respirer ? C’était vraiment bizarre, très bizarre. Il semblait avoir de plus en plus de mal à respirer. Elle regarda autours d’eux, bordel, personne n’allait l’aider, il articula alors, après avoir essayé de trouver quelque chose dans son sac : De l'asthme C’était quoi cette chose avec un nom bizarre ? C’était coincé dans sa gorge, ou s’agissait-il d’une expression moldue populaire, septique elle le regardait manquer d’air. Visiblement il cherchait quelques choses dans son sac, mais était incapable de le trouver. Ysolde leva les yeux au ciel et s’approche de lui fouillant ouvertement dans son sac, trouvant des choses étranges de moldu qu’elle n’avait jamais vu, et vit une chose, bizarre avec une sorte de petite bombonne, elle le lui tendit et dit alors inquiète : c’est ce truc que tu veux ? Elle n’était pas inquiète, enfin si, quand même, sans savoir pourquoi.
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