Nuit du quatorze d’octobre, environs vers les vingt trois heures, tout le monde dormait dans un sommeil soit léger mais plutôt profond à l’évidence pour ceux de mon dortoir. Je n’arrivais pas à trouver sommeil depuis quelque jours surtout depuis l’après midi ou quelque chose c’était produit vis-à-vis d’Ysolde. Depuis ce jour, je n’arrivais plus à dormir au point dans avoir les yeux éclatés par manque de sommeil. Depuis ce jour de pluie, j’évitais la belle blonde, afin de ne pas avoir de trouble vis-à-vis d’elle et de me rendre stupide face à elle. Ysolde, Ysolde, pourquoi cette charmante demoiselle que je connaissais depuis l’année dernière me rendait comme ça, au point de ne plus pouvoir en dormir. J’avais l’impression que l’éviter devenait de plus en plus insoutenable, comme si cela me forçait à encore penser plus à elle alors que j’avais bien mieux à faire, comme les études, lire mon bouquin de potion, rendre mes devoirs à l’avance pour avoir des points supplémentaire pour la maison de Rowena Serdaigle mais non, je choisissais l’autre solution, celle de penser à elle, cette blonde pour qui je ressentais comme une attirance et cela me faisais peur. Ma journée d’aujourd’hui n’avait été pas plus banal que les autres jours. Je m’étais levé dans les environs de sept heures afin de pouvoir prendre ma douche en premier avant que tout les autres vide le ballon d’eau chaude des douches ensuite, je me suis habiller de mes vêtements de cours, c’est à dire chemise blanche, pantalon d’un noir qui à garder sa couleur d’un beau noir, de ma cravate bleu et argent avec l’emblème de la maison des serdaigles c'est-à-dire un aigle. J’avais beau ne pas aimer le pull de Poudlard à moitier en laine, d’un beau noir avec des rayures bleus pour la couleur de la maison, je le mettais quand même mais la plupart du temps j’étais en chemise blanche, d’un blanc éclatant qui ne perdait pas sa blancheur grâce aux travails des elfes de maison. Après ça, je me suis mis en marche avec mon sac de cours avec les livres que j’aurais besoin ce matin pour les cours en direction de la grande salle pour prendre mon petit déjeuner. Personne n’était présent même pas les dernières années. J’étais un lève tôt et un couche tard. Sur la grande table des serdaigles se trouvaient des bols blancs avec soit du café, soit du lait chaud, soit du thé, selon la préférence de la personne et il se trouvait une carafe de jus d’orange pour ceux qui ne voulait pas boire d’un liquide chaud. Dans mon bol à moi se trouvait du café au lait chaud, je n’avais plus cas y mettre du sucre pour que cela est un peu plus de goût. Après avoir dégusté mon bol de café, je m’étais coupé un morceau de tarte à la citrouille, c’était sans doute le meilleur gâteau après celui au chocolat et en troisième position, la tarte au citron. Après avoir pris mon déjeuner, la porte de la grande salle grinça des deux portes et les autres étudiants commencea à entrer pour prendre leurs déjeuners. Je pris la route de la sortie afin de me rendre devant la porte du cour de potion que j’appréciais beaucoup, cela pouvait servir même pour sa propre survis. Les heures de la matinée s’écroula comme ça, à écouter les professeurs en étant loin d’Ysolde alors que mes yeux étaient fixés sur elle. Pourquoi une t’elle attirance d’un coup pour elle ? Elle que je n’avais vu que comme amie. C’était le grand bordel dans ma tête, c’était comme ci on m’avait retourné le cerveau pour me faire apparaitre sentiment et attirance. Pour elle. Pour la pose déjeunée du midi, je n’avais pas réellement fin et j’avais prévu de manger dehors, seul. La violence que j’avais eu envers Atlance était un comportement impardonnable mais il l’avait mérité, il m’avait frappé en premier et tout ce que j’avais pu lui faire c’était de lui rendre sa monnaie de la pièce. En fin de journée, j’étais usé, usé par les devoirs à rendre pour le lendemain, usé par mon attirance qui grandissait vis-à-vis d’Ysolde et j’étais usé d’être aussi con et maladroit avec mes anciens camarades que je considérais comme des frères. Usé, c’était la première fois que je l’étais et je n’avais qu’une envie c’était de me défoulé, de voir à quel point je pouvais me donner, pour le meilleur et jusqu’au pire peut être. Après la journée finie et que j’ai eu l’occasion de monter dans le dortoir ou je dormais, j’avais pris soin de posé mon sac de cours sur le lit. Mes devoirs passera pour plus tard, ça ne bougera pas quand je reviendrais dans une heure tout au plus. Je partis alors courir à travers les bois de la forêt interdite pendant une heure et pris ma douche du soir, froide cette fois-ci. Cela me reboosta pour les devoirs à accomplir et pendant vingt cinq minutes, je travailla mes devoirs de potion et de botanique. Dans les heures à venir, je restais dans mon lit, essayant de trouver sommeil mais non, il ne venait toujours pas parce que je me forçais à ne plus croisé Ysolde dans les couloirs, à ne plus pensé à elle alors que c’était impossible. Je pris soin d’enfiler un simple jean délaver gris et d’un the shirt noir avec dans ma main ma propre baguette pour faire une balade dans le château. Je longea les couloirs et me trouva face à une porte que jamais je n’aurais osé ouvrir, elle était en gros ferraille comme à l’ancien temps. Un alomohra ouvrit la porte et je pénétra dans la pièce en prenant soin de ne pas faire de bruit en fermant la porte. Une odeur bizard était dans la pièce et une froideur me vena alors dos à moi. Comme si quelqu’un était dans la pièce et c’est en regardant attentivement que j’aperçu des crochets enfoncer dans le mur. Je savais à présent dans quelle pièce j’étais. J’étais dans la salle des tortures. En tendant l’oreille j’entendis des pas derrière moi, je me tourna vers ses bruits en pointant ma baguette. « Schuyler » J'abaissa ma baguette. Depuis le debut de l'année scolaire je n'avais pas revu le russe avec qui j'avais sympathiser cet été et cela faisait du bien de voir un visage connu.