Partagez | 
 

Qui du bourreau ou de sa victime est le plus à plaindre ?

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Invité





Qui du bourreau ou de sa victime est le plus à plaindre ?  Vide
MessageSujet: Qui du bourreau ou de sa victime est le plus à plaindre ?    Qui du bourreau ou de sa victime est le plus à plaindre ?  EmptyJeu 14 Juil - 13:50




Qui du bourreau ou de sa victime est le plus à plaindre ?  Graycastbann
« Personne ne saurait en finir. On peut changer de souffrance.
On ne peut supprimer la souffrance. »
HENRI . TROYAT




Assis sur un des fauteuils émeraudes, l'esprit vagabond, je cherchais un point où me fixer. Les vacances terminées, il fallait revenir à une réalité bien différente de celle de la saison estivale. Préoccupé, j’ignorai mes camarades qui entraient en vacarme dans la salle commune. Des mots échangés, dénués de sens pour ma conscience voguant à des lieues du château. Désormais préfet, il me fallait montrer l’exemple, mais je ne l’avais jamais fait. Réprimander les uns, pourquoi pas. Aider les autres, en aucun cas. Je finis par sortir de ma léthargie, poussant le tableau dissimulant notre porte de salle commune, j’errai dans les couloirs du sous-sol sans but véritable. Un sentiment de frustration monta en moi lorsque je vis un sang de bourbe discuter en souriant avec un sang-pur. À cette heure-ci aucun Grindelmonk ne devait se trouver dehors. « Carter ! Tu n’as rien à faire ici. Dégage ! Retourne avec les rats. » Hurlais-je à l’encontre du né-moldu. Si j’avais pu lui retirer des points je l’aurai fait sans aucune hésitation. Mais leur maison ne valait pas le coup de faire partie de la coupe. Une fois séparé ce couple improbable, je décidais de monter dans les étages supérieurs, déambulant au gré des gouttes de pluie s’écrasant sur les vitraux colorés des fenêtres. Sur le moment j’aurai voulu me retrouver dans la salle sur demande, avoir quelqu’un sur qui frapper, faire exploser ma colère.

Mais cette colère avait-elle un nom ? Pourquoi étais-je en colère ? Le fait de ne pas être né sang-pur, le fait de côtoyer des sang-de-bourbe à longueur de journée ? Tout cela et peut être autre chose. En arrivant au deuxième étage l’atmosphère se refroidit, les couloirs vides restaient un des endroits les plus froid du château, à cause de ça peu de personnes s’y rendaient. À cette place je savais que je pourrais laisser s’évacuer ma colère. Mais une jeune Serdaigle passa à côté de moi. Son prénom ? Impossible de m’en souvenir. En revanche, elle semblait ne pas avoir oublié le mien. « Grayson. Je n’arrête pas de penser à cette nuit … » Le sourire sur ses lèvres en disait beaucoup. Elle vint se coller à moi, comme un chat qui réclame encore plus de caresse. Je l’aurai presque entendue ronronner. Impassible, je la regardais tel un prédateur prêt à fondre sur sa proie mais elle ne me laissa pas le temps de répondre que déjà elle devenait entreprenante. Ses lèvres dans mon cou, ses mains descendant lentement vers ma ceinture. « Personne ne viens jamais par ici … je commence à avoir un peu froid dans ce couloir si grand … » Mon visage se tourna vers le sien et mes yeux clairs plongèrent dans son regard. La chaleur de son corps apaisa la rage qui grandissait en moi, mais je n’avais pas envie de sexe, pas maintenant et surtout pas ici. J’attrapais alors ses mains avec les miennes et les sortais de mon pantalon. « Arrête. » La voix sombre et dure, je la repoussais calmement, mais mon étreinte autour de ses poignets se faisait plus forte. Je voyais alors une légère frayeur naître dans ses yeux, cette étincelle me soulagea et un sourire particulièrement inapproprié illumina mon visage. « Tu me fais mal Grayson. Arrêtes s’il te plait … » Cette supplique sonna comme une douce mélodie à mon oreille mais la présence d’un autre étudiant me fit lâcher prise. « Retournez dans vos dortoirs, c’est l’heure ! »

La jeune fille ne se fit pas prier et partit les larmes aux yeux. Mais le jeune homme un peu plus loin ne bougea pas. Serdaigle lui aussi. Sans bouger, ma tête de tourna vers lui. Du haut de ma treizième année je toisais cet imbécile qui ne semblait pas comprendre ce que je lui disais. Intouchable, je restais dans cette position durant plusieurs minutes en attente d’un mouvement de mon interlocuteur.




Revenir en haut Aller en bas
Invité





Qui du bourreau ou de sa victime est le plus à plaindre ?  Vide
MessageSujet: Re: Qui du bourreau ou de sa victime est le plus à plaindre ?    Qui du bourreau ou de sa victime est le plus à plaindre ?  EmptyJeu 14 Juil - 22:17


L’été n’avait pas vraiment été un moment de détente pour Castiel, comme c'était certainement le cas pour beaucoup d’élèves de Poudlard. Pourtant, il avait tout fait pour ne pas rester plus de quelques jours d’affilé dans la maison familiale, évitant autant que possible de se retrouver trop longtemps en présence de ses parents. En effet, ces derniers ne cessaient de le regarder comme s’il n’était plus que la moitié d’un tout, comme s’il n’était qu’à moitié vivant… Et cela n’aurait sans doute pas été si douloureux, si cela n’avait pas été à ce point le reflet de la réalité. Leur désarroi, leur douleur le rendaient malade et il ne supportait plus leur silence et leurs soupirs. Alors, il était parti, droit devant, errant de ville en ville, sans vraiment de destination précise. Le lieu n'avait de toute façon aucune importance, tant qu’il mettait le plus de distance possible entre lui et son passé. Mais le mois de septembre avait débarqué et il avait bien fallu revenir au château, un lieu où il ne se sentait pas vraiment mieux que chez ses parents, bien qu’il y ait trouvé ses propres moyens de fuir la réalité. Le soir, quand les autres se réfugiaient dans leur salle commune, il préférait errer dans les couloirs, fuyant la foule et ses regards insistants. Néanmoins, il ne savait pas encore où tout cela le mènerait et l’idée de plonger dans un ennui profond l’irritait particulièrement. Ainsi, lorsqu’il entendit une voix résonner dans l’un des vieux couloirs vides du château, il n’hésita pas un instant avant de s’approcher de sa source.

« Personne ne viens jamais par ici … je commence à avoir un peu froid dans ce couloir si grand … » C’était une voix féminine, aux intonations sulfureuse qui ne laissait aucun doute sur le véritable sens de ses paroles. La jeune fille avait sorti le grand jeu et cette pensée lui arracha un sourire amusé. Sans aucune gêne, il s’approcha lentement des deux silhouettes et il la vit alors presser son corps contre celui du préfet de serpentard qui l’accompagnait. Cependant, elle avait sûrement tiré le mauvais numéro ce soir-là car le jeune homme refusa ses avances, attrapant les mains qu’elle avait sournoisement rapproché de son pantalon. « Arrête. » Le message était clair et menaçant... et de là où il se trouvait, il pouvait la voir se crisper sous la peur… Pourtant, il ne fit pas un geste pour venir à son secours, ce n’était pas vraiment son affaire, il n’était là qu’en simple observateur, attendant qu’on discerne sa présence. « Tu me fais mal Grayson. Arrêtes s’il te plait … » La supplique ne semblait avoir aucun effet sur le serpentard, au contraire, il avait l’air de beaucoup s’amuser. Du moins, jusqu’à ce qu’il ne remarque enfin Castiel, relâchant sa victime aussi vite qu’il l’avait emprisonnée. « Retournez dans vos dortoirs, c’est l’heure ! » Un sourire étira le coin des lèvres du serdaigle alors que sa camarade détalait sans demander son reste. Si Grayson croyait qu’il allait suivre l’exemple de la jeune fille, il se trompait.

Immobile, les mains dans les poches, il observait calmement le vert et argent. Son regard brillait de malice à présent : il savait qu’il avait trouvé la distraction qu’il avait tant cherchée. Rien de tel qu’un serpent colérique et fier de sa force pour se défouler un peu. Satisfait, il avança vers le jeune homme avec lenteur et nonchalance. « Je n’ai pas sommeil… » Sa voix était trainante, il le provoquait délibérément, lui faisant comprendre que quoi qu’il dise, il n’obéirait pas et ne se rendrait pas jusqu’à son dortoir. Ou du moins, pas avant quelques heures. Certes, son comportement aurait semblé suicidaire venant de n’importe qui d’autre, mais Castiel n’avait pas peur, il n’avait rien à perdre et puis, pour être honnête, cela l’amusait follement. « Je ne savais pas que les préfets s’en prenaient aux jeunes filles dans les couloirs maintenant… C’est un nouveau moyen de tromper l’ennui, ou est-ce juste un piètre abus de pouvoir ? » S’immobilisant à quelques pas de Grayson, il sourit à nouveau, s'enlisant dans son petit jeu de provocation, comme il savait si bien le faire… Qu’il était grisant pour lui de jouer ainsi avec le feu. C’était sûrement difficile à comprendre, mais à cet instant, il se sentait vivant. Son sang semblait s’accélérer dans ses veines et l’adrénaline lui montait déjà à la tête… Parce qu’il savait que le serpentard allait réagir et le suivre dans l’engrenage malsain de la colère. Le piège était tendu et il n’attendait qu’un mot, un geste, pour se refermer sur eux.
Revenir en haut Aller en bas
Invité





Qui du bourreau ou de sa victime est le plus à plaindre ?  Vide
MessageSujet: Re: Qui du bourreau ou de sa victime est le plus à plaindre ?    Qui du bourreau ou de sa victime est le plus à plaindre ?  EmptyDim 14 Aoû - 21:24






Immobile je le laissais venir vers moi. Cette lenteur, sa façon de parler, tout en lui m’horripilais. « Je n’ai pas sommeil… » Cette phrase pour le moins insignifiante fit bouillir mon sang, si j’avais des tendances à rougir il va sans dire que le rouge me serait monter aux joues. Mon teint restait opalin et mes yeux brillaient de plus en plus. À mesure qu’il avançait vers moi, la colère s’insinuait à l’intérieur de mon corps me faisant ainsi serrer les poings. « Je ne savais pas que les préfets s’en prenaient aux jeunes filles dans les couloirs maintenant… C’est un nouveau moyen de tromper l’ennui, ou est-ce juste un piètre abus de pouvoir ? » À chaque mot je serrai un peu plus les dents, la mâchoire alla jusqu’à m’en devenir douloureuse. Mon statut de préfet m’octroyais certains droits c’était indéniable, mais malheureusement il m’imposait également de nombreux devoirs, dont une image irréprochable. Je savais qu’il jouait avec moi, je le sentais, il le transpirait de tous ses pores. Mais, comme une mouche piégée dans une toile d’araignée, je plongeais tête baissée dans ce piège dans lequel je me complaisais. « Je pense au contraire que tu es fatigué, tes yeux te font voir des chimères qui n’existent pas. » D’un ton monocorde je répondais à son attaque en me contenant mais je ne pus me retenir d’ajouter un mot. « Et puis tu n’y connais pas grand-chose aux femmes … » Sans équivoque il s’agissait d’une attaque homophobe. Elle fit d’ailleurs naître un léger sourire sur mon visage fermé de Serpent.

J’attendais une réplique cinglante de la part de l’aigle, inconsciemment j’espérais qu’il me réponde. Dans un sens je me détendais, j’aimais ce duel qui pointait son nez. J’avais besoin de me défouler, de penser à autre chose que cette histoire qui emplissait ma tête jour après jour. L’espace d’un instant mon esprit divagua au-delà des collines écossaises amplifiant un peu plus ma rage. J’avais envie de lui sauter dessus, juste un coup rapide, bien placé, uppercut. Ou bien un sort peut être, les sorts impardonnables me passèrent tous par la tête, doloris me tentait plus que les autres. Avada Kedavra était plutôt réservé aux sang-de-bourbes selon moi, une chance pour lui sans doute. Mais les sortilèges impardonnables étaient trop risqués et entraîneraient trop de conséquences. Un expelliarmus serait plus indiqué, sans conséquences et très efficace. Je dirigeais ma main gauche vers la poche de ma robe de sorcier où était rangée ma baguette. En fier gaucher que je suis, je tends mon profile droit au Serdaigle, de sorte qu’il ne devine pas tout de suite ce que je vais entreprendre. Mais mon dessein ne restera pas longtemps secret, je le sais bien.

Finalement sa réponse se fait trop attendre. Même si cela ne fait pas deux minutes que je garde le silence, chaque seconde semble être une éternité et chaque éternité me demande d’exploser, de faire savoir ma colère et de m’attaquer à lui comme pour soulager un besoin irrépressible. Je saisis alors ma baguette mais la laisse dans ma poche, un soupçon de lucidité m’empêche de craquer et retenir mes gestes. « Retourne dans ton dortoir. Tu dois obéir à un préfet, tu dois m’obéir ! » Ma voix se faisait plus agressive, mon corps se crispait. J’imaginais déjà le bronze et azur se moquer de moi, je lui lançais une perche, il devait l’attraper. En répondant à cette attaque il me donnerait un argument de plus, une raison de plus de l’attaquer, de lui faire comprendre qui j’étais et de quoi j’étais capable. Je venais de rentrer dans son jeu, j’étais piéger et piégeur à la fois, j’aimais tenir ces deux rôles et au regard qu’il me lançait, il aimait cela aussi.





Revenir en haut Aller en bas
Invité





Qui du bourreau ou de sa victime est le plus à plaindre ?  Vide
MessageSujet: Re: Qui du bourreau ou de sa victime est le plus à plaindre ?    Qui du bourreau ou de sa victime est le plus à plaindre ?  EmptyDim 11 Sep - 3:30



Le jeu avait instantanément repris entre nous, à l’instant même où nos routes s’étaient croisées, comme si nous avions jamais vraiment cessé de nous battre. Et peut-être était-ce le cas, justement. Peut-être également que je prenais un plaisir malsain à jouer avec lui, à le laisser me faire du mal. Parce que tant qu’il s’en prenait à moi, je me sentais vivant et plus rien d’autre n’existait. Et c’était exactement ce que je désirais. « Je pense au contraire que tu es fatigué, tes yeux te font voir des chimères qui n’existent pas. » Pensait-il vraiment que j’allais croire qu’il n’était pas aussi impatient que moi à l’idée de commencer une nouvelle joute ? Je n’étais pas dupe, il savait pertinemment que je n’étais pas fatigué et j’étais persuadé qu’il n’avait pas la moindre envie que je le sois. Sinon, il aurait gagné bien trop facilement et ni lui ni moi, ne voulions que ça se termine si rapidement. Cela n’avait absolument aucun intérêt. Pourtant, il ne l’avouerait jamais, pas plus que moi d’ailleurs. C’était comme ça entre nous, depuis le début. « Et puis tu n’y connais pas grand-chose aux femmes … » C’était bas… Il m’attaquait sur mon homosexualité. Instinctivement, je serrais les dents, mais pour être honnête, je n’avais pas honte de ce que j’étais. D’autant plus qu’aimer les hommes ne m’empêchait pas de mieux connaître les femmes que lui, notamment parce que je connaissais souvent bien mieux leurs petits secrets.

Au lieu de répliquer tout de suite, lui donnant ainsi l’avantage, je préférais rester silencieux un moment, afin de lui montrer qu’il ne m’avait pas atteint. Ou du moins, le lui faire croire. En attendant, j’en profitais pour l’observer, cherchant à savoir ce qu’il me préparait. Parce qu’il était évident que son esprit fourbe de serpentard était déjà en train de concocter un plan machiavélique pour me faire ravaler mon venin. À cette idée, un sourire se dessina sur mes lèvres. J’avais hâte que les hostilités commencent réellement et je ne craignais pas la douleur qu’il me préparait, bien au contraire. Cependant, pendant que je l’observais, sans un mot, il semblait s’impatienter. Mon silence attisait sa colère et je ne pouvais que me réjouir de l’atteindre si facilement, sans prononcer le moindre mot. Allait-il me le faire payer ? « Retourne dans ton dortoir. Tu dois obéir à un préfet, tu dois m’obéir ! » Voilà qu’il s’amusait à me donner des ordres maintenant… Et jusqu’à preuve du contraire, je n’étais pas son esclave. Cette simple pensée me donnait la nausée. Jamais je ne lui obéirai, quel que soit l’ordre, il pouvait toujours courir. Malgré moi, je sentis la colère embraser mes veines, alors que je me rapprochai vivement de lui, réduisant la distance qui nous séparait à quelques malheureux centimètres… « Qu’est-ce que tu crois ? Que je vais gentiment faire ce que tu me demandes parce que tu es préfet. » Un sourire mauvais étira mes lèvres alors que je le laissais assimiler mon refus de lui obéir. Même si au fond, je savais qu’il n’en serait pas étonné, peut-être même l’avait-il fait exprès afin d’avoir une raison de me punir.

Sournoisement, je glissai mes doigts le long du col de sa robe de sorcier avant de l’empoigner fermement. Non pas pour l’intimider - je savais que rien ne pourrait donner un tel résultat -, mais pour instaurer une proximité qu’il n’acceptait que sous le coup de la colère, lors de nos corps à corps. Et c’était justement pour ça que je metais sciemment de l’huile sur le feu… « Et pour ta gouverne, je suis certain que je m’y connais mieux que toi en ce qui concerne les femmes… Tu les mets simplement dans ton lit, mais tu ne veux rien d’autre. Je ne sais pas toi, mais moi, je trouve ça louche… Ça ne cacherait pas quelque chose ? » Ma voix n’était plus qu’un murmure sulfureux et j’étais certain d’avoir percuté son égo de plein fouet en insinuant qu’il cachait une homosexualité refoulée. À coup sûr, il ne laisserait pas passer un tel affront. Mais avant qu’il ne puisse m’en empêcher, je rapprochai mon visage du sien, comme si j’allais l’embrasser. Pourtant, je me contentai d’immobiliser mes lèvres à cinq millimètres des siennes, avant de souffler. « Et cesse de croire que je suis fatigué. Je suis en pleine forme au contraire. Mais peut-être souhaites-tu y remédier ? Je suis certain que tu es à la hauteur, je me trompe ? » J’avais conscience d’aller très loin. Néanmoins, ce n’était pas de la peur qui coulait dans mes veines, mais une adrénaline si intense que j’en avais des frissons dans tout le corps. C’était grisant, excitant… Simplement parce que c’était avec lui que j’allais me battre et lorsque je m’en relèverai, je serais plus brisé encore. Cependant, je serais également plus vivant que jamais.


HJ - Comme promis, je me suis battue pour surmonter le blocage, mais entre temps j'ai pris l'habitude d'écrire à la première personne, j'espère que ça ne te dérange pas que je change éè Ce n'est pas grandiose niveau qualité, mais j'ai eu un peu de mal à reprendre Cass' en main @@
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Qui du bourreau ou de sa victime est le plus à plaindre ?  Vide
MessageSujet: Re: Qui du bourreau ou de sa victime est le plus à plaindre ?    Qui du bourreau ou de sa victime est le plus à plaindre ?  Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

Qui du bourreau ou de sa victime est le plus à plaindre ?

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
SALVIO HEXIA :: ACHIVES ::  ::  :: CORBEILLE :: SAISON 2 - Archivage-