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I'M NOTHING WITHOUT YOU

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MessageSujet: I'M NOTHING WITHOUT YOU   I'M NOTHING WITHOUT YOU EmptyMer 17 Aoû - 18:25


❝ I'M NOTHING WITHOUT YOU ❞

La journée touchait a sa fin, alors que la quasi totalité des élèves se retrouvaient dans la grande salle pour diner, elle trainait dans l’université aux alentours des salles magiques. Elle qui pouvait manger pour quatre, il était plutôt étrange que la demoiselle saute un repas mais depuis la rentrée elle s’était habitue a une certaine solitude, plus le temps passait, plus elle s’isolait. Le monde Mirya tournait autour de Boyde, lorsque celui-ci a commencer a s’éloigner, l’éviter, elle se sentie ... vide, il était son amoureux, mais avant tout, il était son ami. Myria et Boyde, s’était un peu Bonnie et Clyde, sans lui, elle n’était qu’une rebelle amoureuse et paumée. Mais, elle commençait à s’habituer à son absence sans pour autant l’accepter.

Ce soir, elle avait choisi de se rendre dans la salle pluvieuse, un endroit énigmatique mais apaisant. Elle appréciait surtout le fait que cette salle était un des derniers endroits ou les élèves aimaient se rendre. Elle avait une réputation a tenir tout de même, d’ailleurs, tout le monde se demandait ce qu’elle fichait a gryffondor, sa place se trouverait plus chez serpentard. Mais peut-être parce que personne ne connaissait réellement Mimi, a part Boyde bien sur. Cette image de garce lui permettait d’éliminer toutes celles qui tournaient autour de son Boyde et de ne pas se faire marcher sur le pied. Physiquement, elle ne faisait pas ses vingt-et-un ans, petite et menue, elle ressemblait encore a une adolescente, si elle ne s’était pas forgée cette image de rebelle, elle se ferait torturer par les verts et argents. Ce soir-la, la pluie était légère, des fois, elle se demandait si la nature de la pluie n’avait pas quelque chose a voir avec son humeur et ses émotions. Mais tout ca, s’était surement dans sa tête. Vêtue de son vieil uniforme de septième année, elle se fichait bien qu’il soit un peu mouillé. Il avait perdu ses couleurs rouge et or, et s’était pour le mieux. Depuis que Boyde se montrait de plus en plus mystérieux et renfermée, et qu’elle et Lily ne se considéraient plus comme ami, Mirya ne se sentait pas a sa place chez les gryffondor, et personne ne semblait vraiment vouloir d’elle non plus, Mirya était craint, mais pas forcement apprécié. La salle pluvieuse était vide, en même temps, le personnel ne pouvait rien stocker dedans dut a la pluie, mais elle était munie de grandes fenêtres donnant sur le labyrinthe de celeborne. Mirya s’était installe sur le rebord de la fenêtre, le regard vide, elle laissa le temps s’écouler.

L’extinction des lumières de Poudlard la ramena a la réalité, elle regarda quelques minutes par la fenêtre observant des élèves se dépêcher d’aller se coucher de peur de se faire coller par un professeur ou un membre du personnel. Elle haussa les épaules et se replongea dans ses pensées, elle s’en fichait bien, ce ne serait pas la première fois, et puis, au bout de onze ans elle maitrisait l’art de ne pas se faire attraper. Elle aurait put passe l’éternité ici a rien faire, pourtant, elle était plutôt du genre hyperactive a ne pas pouvoir tenir en place, mais cet endroit avait quelque chose d’apaisant qui la rassurait. Elle était une fille courageuse et intrépide mais depuis la rentrée elle avait ressentie de nombreux moments de faiblesse, elle détestait ca. Au final, cette soirée aura été plutôt ennuyante comme le reste de ses soirées depuis le mois de septembre. Ses petites escapades nocturnes avec Boyde lui manquaient mais il semblait avoir d’autres préoccupations dernièrement. A nouveau, quelque chose la sortie de ses songes et de ses idéaux, des pas ? Mais qui cela pouvait être ? Qui était assez fou pour trainer dans Poudlard a cette heure-ci –mise a part elle- ? Et si s’était un professeur ? Un nombre inimaginable de questions traversèrent son esprit. Sans vraiment réfléchir, elle ouvrit doucement la fenêtre se glissant a l’extérieur. Elle devait bien se trouver a une quinzaine de mètres au dessus du sol sur un rebord on ne peut plus étroit. Elle se glissa agilement le long du mur, un faux pas et elle se brisait tout les os du corps dans le labyrinthe. Mimi entendit quelqu’un pénétrer dans la salle, elle attendit quelques minutes, pensant que l’inconnu était parti. Elle s’approcha à nouveau de la fenêtre. Elle crut être seule quand elle tomba nez a nez avec Boyde Herondales, son Boyde qui se trouvait de l’autre cote de la vitre. Mimi écarquilla les yeux, elle manqua de valser en arrière dans le vide, heureusement Boyde eut le temps d’ouvrir la fenêtre et de la rattraper juste à temps. Décidemment, elle était vraiment inconsciente, il lui fallut quelques secondes pour reprendre ses esprits, Mimi reprit doucement son souffle, elle releva la tête vers Boyde : Mais qu’est ce que tu fous la? Pourquoi t’es pas au dortoir? Il s’est passé quelque chose? T’as failli me tuer tu sais? comme a son habitude, elle le bombarda de questions a une vitesse d’une voix affolée, elle affichait une moue contrariée sur son visage mais elle était heureuse qu’il soit ici avec elle.

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MessageSujet: Re: I'M NOTHING WITHOUT YOU   I'M NOTHING WITHOUT YOU EmptyMer 17 Aoû - 20:20

Vous saviez que Boyde n’était jamais dans le dortoir le soir ? Il adorait être dehors, bien souvent c’était avec ses deux fidèles amis, Kazran et Matthys, le trio de choc. Depuis la première année, ils ne s’étaient jamais vraiment quittés suivant la même direction, tout le temps. Peut être était-il enfin venu le temps de se séparer. Boyde passait beaucoup de temps seul en ce moment, il prétextait un devoir de médicomagie, cela marchait avec ses amis, ils ne suivaient pas le même cursus, avec Miryà – sa petite amie – il fallait trouver une autre excuse. Boyde était sans cesse entrain d’esquiver, même avec ses amis, c’était comme si une comédie longue de onze années était sur le point de se terminer. Les choses devenaient sérieuses dans le monde des sorciers, son père avait même été jusqu’à devenir mangemort pour leur « cause », il ne voulait pas faire de même. Dans le trio, il était le plus modéré des trois. Boyde s’esquivait, pour penser, pour prendre du temps pour réfléchir, pour être lui-même aussi. il avait passé une partie de la soirée dans le parc, assit dans l’herbe, fixant le soleil qui se couchait derrière les montagnes ecossaise, pensif. Il aimait Poudlard, il ne changerait ce lieu pour rien au monde. Sa famille était d’origine écossaise, il se sentait chez lui, ici.
Il quitta finalement le parc pour aller dans les sous sols, une dernière escapade avant d’aller gentiment se coucher, et de retrouver ami, et petit amie, prêt à recevoir une serie de question, un interrogatoire, peut être. Il faisait avec. Oui, il avait une copine, derrière son air de bad boy, un peu en dehors de ces basket je m’en foutiste, lui, il avait une copine, et le pire dans tout ça c’était qu’il l’aimait, même quand elle était trop collante, même quand elle posait soixante questions à la seconde. Il erra dans les étages, discret. Il avait le manteau de la nuit pour se couvrir, il savait se déplacer en silence, il connaissait les lieux : onze années qu’il arpentait ces couloirs. Il descendit dans les sous sol, vers la salle pluvieuse. Il allait encore rentrer trempé au dortoir, il adorait cette pièce, ce n’était pas sa faute, il aimait la pluie, quand elle était fine, ou brutale, comme si elle avait ses humeurs, elle aussi comme n’importe quel être humain.

Il entra dans la salle, silencieusement, et vit à la fenêtre quelqu’un. Un suicidaire, à poudlard ? Peut être. Quand il vit qu’il s’agissait de Miryà, il s’empressa d’ouvrir la fenêtre, et il la rattrapa à temps, un vrai gentleman. Elle leva alors la tête vers lui. Mais qu’est ce que tu fous la? Pourquoi t’es pas au dortoir? Il s’est passé quelque chose? T’as failli me tuer tu sais? Il la fixa, par Merlin, elle posait toujours soixante questions à la fois. Je te cherchais, finit-il alors par dire, tout naturellement. Normalement, c’est le genre de mot qui calme tout de suite une fille. Ce n’était pas entièrement vrai, mais le hasard faisait bien les choses mine de rien. Boyde fit un pas vers elle, et l’enlaça tendrement, et se pencha vers elle pour l’embrasser, il était son petit ami après tout, et il ne l’avait pas vu de la journée, il avait passé la journée avec ses amis, et ça, il était sûr que ça allait être un reproche, forcément, elle avait toujours quelque chose à reprocher, c’est sûr, il n’était pas idéalement innocent non plus, mais il y avait des choses qu’il ne pouvait pas dire. Tu m'as manqué aujourd'hui, Finit-il par dire sincèrement, des fois, il lui arrivait d’être de bonne humeur, et d’être quelqu’un de normal, et d’affectif, ça lui arrivait parfois.
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MessageSujet: Re: I'M NOTHING WITHOUT YOU   I'M NOTHING WITHOUT YOU EmptyMer 17 Aoû - 23:40

Mirya aimait errer dans les recoins de Poudlard, explorer les lieux dans leurs moindres recoins était devenue sa nouvelle passion. Enfin non s’aventurer le soir dans le château n’était pas nouveau pour elle, seulement il y avait Boyde en sa compagnie. L’année passée, Boyde et Mirya avait été un couple mythique, les deux rebelles de gryffondor, ensemble ils avaient fait les quatre cents coups, ils avaient beau ne jamais être d’accord, ils avaient bien une chose en commun : ils étaient fou l’un de l’autre. Voila ce que Mirya se disait, même si il s’éloignait d’elle, il l’aimait, il ne l’abandonnerait pas. S’il l’abandonnait, tout son monde s’écroulerait, car son monde s’était lui. Mimi avait toujours été une fille plutôt solitaire, il y avait peu de personnes a Poudlard qui ne l’exaspérait pas trop. Déjà, il fallait rayer toutes filles de sa liste d’amie, Mirya les trouvaient niaise, collante, lourde, chiante –un peu comme elle- et elles représentaient un danger. Mirya était une fille précaire, essayant toujours de se surpasser et de surpasser les autres quel qu’en soit les risques. A ses yeux, elle n’était jamais assez bien, elle n’était pas assez bien pour sa famille qui ne lui avait pas donné de nouvelles depuis trois ans, elle n’était pas
pas assez bien pour Boyde, au fond elle avait peur qu’a son tour il l’abandonne comme l’avait fait son père.

Boyde avait ignorer la moitie de ses questions, lui répondant simplement : Je te cherchais Un sourire illumina immédiatement son visage. Elle buvait la moindre de ses paroles, elle était loin d’être idiote, elle se doutait bien qu’il ne la cherchait pas, mais son petit geste de gentillesse la rendait heureuse, il ne l’avait donc pas oublié, pas complètement en tout cas. Il se rapprocha un peu plus d’elle et la pris affectueusement dans ses bras déclenchant une chaleur intense en Miryà. Le corps de son prince plus ou moins charmant la réchauffa, elle essaya tant bien que mal de ne plus grelotter, elle n’aimait pas lui montrer ses faiblesses devant lui elle se montrait toujours forte ne voulant certainement pas de sa pitié, Mimi gardait sa fierté. Celui l’embrassa délicatement ajoutant : Tu m'as manqué aujourd'hui. Elle leva la tête vers lui –Boydan la dépassait d’au moins quinze centimètres- elle le regarda d’un air blasé. Elle lui avait manqué ? Pauvre chéri, cela faisait un mois qu’il lui manquait, cela faisait un mois qu’elle cherchait désespérément un peu d’affection venant de sa part. D’un ton sec, elle lui répondît : C’est pas comme si t’avais chercher a me voir non plus. Mais très vite, une expression apaisée revint sur son visage, malgré tout, elle l’aimait. C’était devenu typique de Boyde, il l’ignorait puis revenait vers elle comme si de rien n’était et elle revenait toujours, l’amour tel un boomerang. Elle se rattrapa aussitôt en ajoutant : Tu me manques aussi. Oui il lui manquait, constamment, ce n’était pas par vague s’était constant. L’attachement de Mirya a Boyde était presque pathétique, pour lui elle était prête a tout ne se doutant pas une seconde qu’il allait sans doute bientôt la laisser. A vrai dire, Mirya se sentait pathétique de l’aimer autant, pendant un quart de seconde, cette petite lueur de tristesse apparut dans son regard, elle était un peu comme un chiot en manque d’affection. Mirya sortit de ses songes et lâcha : Tu devrais peut-être retourner au dortoir, les autres vont s’inquiéter. A l’inverse de Miryà, il était tres apprécié, dans la maison un trio avec Matthys et Kazran et puis il s’entendait bien avec Lily aussi, la sœur de ce dernier. Miryà ne voulait pas se l’avouer, mais celle-ci lui manquait de temps à autre. Personne ne s’inquiéterait pour elle, et puis se faire virer de Poudlard ne lui faisait pas spécialement peur, plus grand-chose ne la retenait vraiment.

Elle était en onzième année, il ne lui restait plus que deux ans a Poudlard, est-ce que cela changerait beaucoup si elle se voyait obliger de partir demain ? Elle se demanda alors qu’est ce qu’elle deviendrait ? Que se passait-il « après Poudlard » ? Elle avait choisi d’étudier la medicomagie –a la base- pour suivre le même cursus que Boyde, même avant qu’il sorte ensemble, il lui faisait tourner la tête. Contrairement à lui elle n’était pas brillante, enfin si, mais ce n’était pas innée. Ce complexe d’infériorité la poussait a toujours vouloir dépasser ses limites, être la meilleure, cela pouvait aller jusqu'à l’obsession lorsqu’elle avait quelque chose en tête il était impossible de la raisonner, elle devenait presque inconsciente. Mirya voulait toujours être à la hauteur.

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MessageSujet: Re: I'M NOTHING WITHOUT YOU   I'M NOTHING WITHOUT YOU EmptyJeu 18 Aoû - 16:27

Même si des fois il pouvait donner l’impression d’en avoir rien à faire de Miryà – même si c’était souvent le cas – c’était faux, Boyde tenait beaucoup à Miryà, il se même prêt à casser la figure à quiconque l’approchait. Le souci était que Boyde n’avait jamais été quelqu’un de très expressif en sentiment, pas du tout même, il était plutôt du genre muet et je m’en foutiste, et son caractère lunatique n’arrangeait rien. il ne parlait pas beaucoup, elle parlait trop, comprenez que des fois il ne lui répondait même pas. Pourtant, il l’aimait, il en était sûr. Elle levait la tête vers lui pour lui répondre sur un ton sec : C’est pas comme si t’avais chercher a me voir non plus. Ca, c’était écrit, il savait qu’elle allait dire ça, il en était certain. Il la connaissait bien, même très bien, suffisamment bien pour savoir qu’elle allait faire une remarque du genre, et il la connaissait suffisamment pour savoir qu’elle ne lui ferait pas la tête bien longtemps. Et magie, une seconde plus tard le jeune femme retrouva un visage apaisé, il la connaissait bien. Tout comme elle le connaissait bien, tantôt lunatique à l’ignorer et il revenait comme un bon petit chien à la case départ, ils se connaissaient, cela s’avérait très utile parfois. Elle rattrapa sa petite remarque sèche par un : Tu me manques aussi. Quand il disait qu’elle lui manquait c’était vrai, pourtant il n’aimait pas être avec elle en permanence, elle aurait trop tendance à l’étouffer, et se faire étouffer était la dernière chose que voulait, ils étaient en couples d’accord, mais il avait le droit de respirer. Mais ça, elle ne l’avait peut être pas compris, mais bon, ce n’était pas bien grave, pour l’instant. Tu devrais peut-être retourner au dortoir, les autres vont s’inquiéter. Dit-elle alors. Les autres ? Kaz et Matt ? S’inquiéter, eux ? Ca serait la meilleure. A cette heure ci, ils étaient peut être couché ou entrain de débattre sur dernier match de quidditch, ils se moquaient bien de savoir où se trouvait le troisième maillon de l’équipe. Ils étaient amis, pas mariés. Cela faisait bien longtemps qu’ils avaient arrêté de s’inquiéter des absences de Boyde, il n’avait pas envie de retourner au dortoir, pour parler quidditch avec ses amis, il aurait demain, et après demain, et encore après après demain. Il ne s’en faisait pas pour eux, ils savaient se débrouiller sans lui.

Il ne voulait pas rentrer, il voulait être avec elle. Je n’ai pas envie de rentrer au dortoir, sauf si tu viens avec moi, dit-il en passant une main dans ses cheveux, plaçant une de ses mèches blonde derrière son oreille, caressant au passage son visage de porcelaine. Il l’avait toujours trouvé très belle, qui aurait pu ne pas la trouver belle, franchement ? Miryà avait été son amie pendant longtemps, parfois il se demandait comment il avait pu n’être que seulement ami avec elle pendant tant de temps. Il ne regrettait pas de sortir avec elle, ce qu’il regrettait c’est que sa vie soit si compliqué, ce qu’il regrettait c’était d’être de cette famille et de jouer ce double jeu. Je veux juste être avec toi, murmura-t-il au creux de son oreille tendrement. Il savait être adorable quand il le voulait, et surtout quand il était d’humeur, Boyde avait toujours été quelqu’un de très lunatique, là il était dans ses bons jours. Après avoir murmuré à son oreille, il l’embrassa dans le cou avec tendresse. Il voulait juste avec elle, il n’y avait là ni mensonge, ni omission, rien, il voulait être avec elle, et c’était bien vrai. Bien sûr, connaissant Miryà, elle allait bien finir par lui repprocher quelque chose. Ce qu’il pouvait lui reprocher était qu’elle soit hors du dortoir, il ne tenait pas à ce qu’elle se fasse renvoyé, il l’aimait assez pour la voir tout les jours, même si des fois il l’envoyer balader sans raison valable autre que ses sautes d’humeur. Il n’aimait pas la savoir hors du dortoir, avec les temps qui courent, il avait l’impression que Poudlard n’était plus sûr du tout, plus du tout.
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MessageSujet: Re: I'M NOTHING WITHOUT YOU   I'M NOTHING WITHOUT YOU EmptyJeu 18 Aoû - 17:29

Perdue dans ses pensées, la voix de Boyde la fit revenir à la réalité. Je n’ai pas envie de rentrer au dortoir, sauf si tu viens avec moi. Il était impossible celui-là, il avait comme une sorte d’emprise sur elle, une emprise qui l’empêchait de le repousser quoi qu’il dise, délicatement il passa sa main dans la chevelure blonde de sa belle. Dernièrement, elle pensait changer sa couleur de cheveux a quelque chose de plus.. sobre. Quelque chose qui la rendrait plus passe partout, plus discrète. A cette pensée elle fut en colère contre son copain, tout cela s’était à cause de lui. Boyde la rendait si vulnérable et faible, il était la meilleure chose qu’il lui était arrive mais il était aussi la pire. Il la rendait folle, hystérique, aux tendances un peu bipolaires. Mais au fond, il en valait le coup, pour le meilleur et pour le pire. Même si il ne sortait ensemble que depuis le mois d’aout, ils avaient été amis pendant si longtemps. Mimi le considérait un peu comme son meilleur ami, des fois, il lui arrivait de se demander si en sortant ensemble ils avaient pris un risque trop dangereux. Si un jour ils venaient a se séparer, elle n’était pas sure de pouvoir revenir a être ami comme si de rien n’était. Mais le perdre a tout jamais ? Non, s’était impossible. Dilemme.


Il fallait vraiment qu’elle arrête de se torturer l’esprit, elle devenait si perturber par ses songes qu’elle oubliait tout le reste. Comme d’habitude, Boyde enchaina : Je veux juste être avec toi. Lui murmura-t-il, s’était dans ses moments la que mimi se rappelait pourquoi elle était tombé amoureuse de Boyde et de personne d’autre. C’est vrai, pendant un certain temps son idiot d’ami Matthys avait été intéressé par elle, mais de toute façon elle ne supportait pas son cote séducteur a deux balles, une vraie tête a claque qui ne méritait que des baffes. A cet instant, elle se demanda pourquoi elle pensait a ce débile de gryffondor plutôt que son copain qui l’embrassait tendrement dans le cou. Un autre dilemme entre les deux, ils n’étaient jamais très synchronises, lorsque Mimi s’attendait a un peu d’attention de la part de Boyde, celui-ci l’esquivait. Et lorsque monsieur s’intéressait enfin a elle, Miryà se montrait presque réticente. Elle ne le comprenait pas oui il était lunatique mais la ca atteignait un niveau dont elle ne pensait même pas Boyde capable. A quel jeu jouait-il ? A ses pensées, elle recula, elle ne savait pas vraiment pourquoi, pour une fois qu’il s’intéressait a elle, mais elle voulait savoir ce qui arrivait a son copain. Miryà se détacha de son étreinte et d’une voix peu confiante – très rare de sa part – lui demanda : Boyde .. Qu’est ce qu’il se passe ? Celui-ci ne sembla pas bien comprendre sa question si soudaine. Le regard de Mimi se fit plus dure, elle le fixait droit dans les yeux, elle n’avait pas peur de lui depuis le temps qu’elle le connaissait. Elle enchaina avec plus d’assurance : Depuis la rentrée, tu ne fais que m’esquiver, tu me traites comme un vrai clebs. Qu’est ce qu’il t’arrive ? Il lui arrivait d’espérer que tout ca n’avait rien a voir avec elle, que s’était quelque chose de plus gros qu’elle l’obligeant a s’éloigner. Mais dans tout les cas, elle voulait en avoir le cœur nette, cela ne pouvait plus durer comme ca. Si tu veux que je te laisse dit le, je te laisserais tranquille. Tu pourras aller t’amuser avec tes autres « amies » t’en fait pas pour moi, ta pitié j’en veux pas. Comme d’habitude elle s’était emporter, comment un petit corps comme le sien pouvait il contenir tant.. d’hystérie ? Typique de Mimi, elle s’énervait toujours bien trop vite et souvent pour rien.


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MessageSujet: Re: I'M NOTHING WITHOUT YOU   I'M NOTHING WITHOUT YOU EmptySam 20 Aoû - 22:28

Boyde aimait Miryà, avec cet air détaché, cette attitude je m’en foutiste, il l’aimait. Il n’avait jamais été le professionnel dans l’expression des sentiments, et d’ailleurs c’était peut être pour ça qu’ils se disputaient assez souvent pour pas grand-chose. Boyde avait en plus des secrets, des secrets que ses parents lui avait fait juré de taire, et de taire à tout le monde. Ne pas pouvoir en parler à sa petite amie relevait du cauchemar, il ne pouvait en parler qu’à sa petite et chiante sœur, Enora, avec qui il passait son temps à se chamailler, alors… la vie de couple n’était pas top. Leur relation était assez complexe, Boyde n’était pas un grand bavard, il ne partageait pas ses secrets avec elle, elle posait beaucoup de question, faisait crise de jalousie sur crise de jalousie. Elle lui avait même fait une crise avec la sœur de Kazran, Lily, qui était son amie, il l’aidait pour ses cours, et elle lui parlait de la soit disant relation qu’elle avait avec Matthys, pour Boyde y’avait aucune ambigüité, rien qui ne puisse justifier une telle jalousie de la part de Mimi, des fois, elle faisait peur. Dire qu’il la trouvait chiante était une réalité, il le lui disait même parfois « putain Mimi t’es vraiment chiante », mais, il l’aimait, c’était ce sale caractère qu’elle avait qui plaisait à Boyde, le genre de fille qui ne se laisse pas faire, qui ne se laisse pas marcher dessus, et qui malgré elle venait gâcher certain moment avec son sale caractère, comme lui le faisait avec le sien.

Tiens, pour changer, elle se décolla de lui, se détachant de son étreinte quand elle dit alors : Boyde .. Qu’est ce qu’il se passe ? Ce n’était pas plutôt à lui de poser cette question ? il l’embrassait tendrement dans la cou, il était là pour elle, et c’était elle qui lui demandait ça ? C’était le monde à l’envers, il la regardait, cherchant à comprendre au fond de ses prunelles et de ses magnifiques yeux. Elle poursuivit alors : Depuis la rentrée, tu ne fais que m’esquiver, tu me traites comme un vrai clebs. Qu’est ce qu’il t’arrive ? Ca y est, le sujet qu’il retardait le plus possible depuis la rentré était enfin là. Pourquoi est ce qu’il l’évitait ? Parce qu’il n’en pouvait plus de mentir, de voir Matthys défoncer ces nés moldus, alors qu’il se fiche bien de la nature du sang, marre de devoir prétendre que son père est un mangemort exemplaire, et marre de … marre de sa famille, de leur secret, de leur honneur. Il était dans le Cercle depuis sa naissance il le soutenait, mais ne soutenait plus sa famille, ils auraient pu être des membres du cercle normaux, pas des espions. Elle poursuivit alors : Si tu veux que je te laisse dit le, je te laisserais tranquille. Tu pourras aller t’amuser avec tes autres « amies » t’en fait pas pour moi, ta pitié j’en veux pas. Après la crise sur l’absence, la jalousie qui revient. Boyde leva les yeux au ciel, et passa une main sur sa nuque cherchant ses mots, il était dans la merde, vraiment. Il commença alors à dire : Arrête ça Mi’… y’a pas d’autre filles, y’en a jamais eut, jamais, y’a que toi, j’ai pas d’amie avec qui aller m’amuser, puisque c’est avec toi que je veux être. Putain ! Il était exaspéré, il fallait vraiment qu’elle arrête de voir le mal dans chaque fille qu’elle croisait, elles n’intéressaient pas Boyde, en cours Boyde n’avait d’yeux que pour Miryà, il était temps qu’elle s’en rende compte. Je sais, je suis pas le petit ami le plus attentionné du monde, je suis pas en permanence coller à toi. Je… j’ai… depuis la rentré j’ai quelques problèmes avec mon père, je… il veut que je rejoinne les mangemorts, mais, je... je suis pas prêt, je... je t’évite pour ne pas… pour pas que tu sois impliquée dans tout ça, je… bordel tu sais que je t’aime Mi’. C’était assez vrai, avec son père, leur discussion tournait au vinaigre, tout le temps, même leur échange épistolaires finissaient mal. Officiellement, Boyde avait dit à Kaz et Matt que son père voulait qu’il devienne un mangemort, continuant à s’enfoncer doucement dans le mensonge, ils avaient touché le fond mai continuaient à creuser. Boyde fit un pas vers Miryà, caressant son visage, il avait du mal à se passer d’elle, il en avait marre de lui mentir, mais que pouvait-il faire d’autre, lui dire la vérité ? Non, il avait trop peur de la perdre. Quoi qu’avec le mensonge, il la perdrait aussi.
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MessageSujet: Re: I'M NOTHING WITHOUT YOU   I'M NOTHING WITHOUT YOU EmptyDim 21 Aoû - 2:26

Pour la première fois, elle vit son copain gêné. C’était assez surprenant, lui qui d’habitude avait tellement d’assurance, du genre ‘je-me-la-pete-et-j-en-suis-fier’, s’était une des premières choses qu’elle avait aimé chez lui. Il était à sa hauteur, il était une sorte de défi. Il était aussi rebelle qu’elle sans pour autant être un connard comme ces serpentards. Enfin, elle n’était pas très bien place pour penser cela, elle était une garce de première, mais elle ne distribuait jamais de la méchanceté gratuite. En fait, elle était surtout cruelle avec les filles, celles qui s’approchaient un peu trop de son Boyde. Il était a elle, rien qu’a elle. Boyde était mal a l’aise, il lui fallut quelques secondes avant de lâcher : Arrête ça Mi’… y’a pas d’autre filles, y’en a jamais eut, jamais, y’a que toi, j’ai pas d’amie avec qui aller m’amuser, puisque c’est avec toi que je veux être. Putain ! Ses paroles fut comme un baume au cœur, un baume qui l’apaisa. Boyde n’était pas quelqu’un de très bavard, même avec elle il paraissait toujours si .. Renfermé. Elle voulut lui sauter dans les bras, l’embrasser fougueusement mais il n’avait pas termine. Quelque chose clochait, elle savait très bien ce qu’il pensait d’elle : trop envahissante, collante, trop jalouse, trop bavarde. Elle était toujours « trop » mais s’était Mimi, elle ne changerait surement jamais. C’était une fille qui avait besoin d’affection, a ce jour même, il était celui lui comptait le plus a ses yeux, elle ne supporterait pas de le voir partir, il était son amoureux, son ami, son confident, son protecteur. Il était son tout.

Mais, plus elle était jalouse, plus elle l’irritait, plus il s’éloignait, plus elle redevenait jalouse, un cercle vicieux sans fin. A ce moment, elle se dit qu’il était peut-être qu’elle lui fasse confiance, mais pour ca il fallait qu’il soit honnête avec elle, qu’il ne lui cache pas des choses. Je sais, je suis pas le petit ami le plus attentionné du monde, je suis pas en permanence coller à toi. Je… j’ai… depuis la rentré j’ai quelques problèmes avec mon père, je… il veut que je rejoigne les mangemorts, mais, je... je suis pas prêt, je... je t’évite pour ne pas… pour pas que tu sois impliquée dans tout ça, je… bordel tu sais que je t’aime Mi’. Sa voix était vague, comme si lui-même se perdait dans ses paroles. Elle connaissait Boyde, lorsqu’il s’abaissait a elle c’est que quelque chose n’allait pas, comme si il devait se faire pardonner pour quelque chose... Oui, Boyde n’était pas le prince charmant de toutes les files, mais il était le sien. Elle l’aimait comme tel, à vrai dire si il n’était pas aussi lunatique et réserve elle se serait vite lassé. Mais chaque jour avec lui était une surprise, elle ne savait jamais a quoi s’attendre. La suite de son discours un peu confus la choqua. Son père voulait qu’il devienne mangemort ? Elle était au courant qu’il venait d’une famille de conservateurs, mais a ce point, cela la surprenait. Et la réaction de Boyde aussi, il parlait comme un froussard, un peureux qui n’avait pas le courage d’affronter son père face a cette décision, ce n’était pas le Boyde qu’elle connaissait ou bien elle se trompait amplement sur son compte. Il s’approcha d’elle, doucement lui caressa la joue. Elle lui sourit, mais tendrement, retira sa main de son visage enroulant ses doigts dans les siens. Elle leva les yeux vers et d’une voix calme –ce qui était tres rare chez elle-. Boyde, te paye pas de ma tête, je te ne connais enfin je pense te connaitre, jamais tu ne laisserais quelqu’un prendre une décision pour toi si tu n’es pas d’accord. Si tu veux que je te fasse confiance, commence par ne pas me cacher des choses… Me prend pas pour une faible, si tu n’arrive pas a me laisser entrer dans ta vie, toute ta vie, je vois pas ce qu’on fait ensemble … Ses paroles lui brisaient le cœur, mais il fallait qu’elle soit honnête avec lui. Ils ne pouvaient pas le nier, ca n’allait pas fort entre eux parce qu’au fond, ils ne se faisaient pas confiance, ils se cachaient des choses. Peut-être cela ne posait pas de problème a Boyde, mais a Mirya, si. Elle voulait faire partie complètement de sa vie , elle ne voulait pas seulement compter pour lui, elle voulait qu’il puisse compter sur elle, a tout moment. Elle lui sourit, un sourire un peu triste mais débordant d’amour.

Elle l’embrassa tendrement sur la joue avant de reculer et lentement prendre direction de la porte, au moment ou elle l’atteignit, elle se retourna vers Boyde et lui avoua : Je suis prête a tout pour toi, j’irais la ou tu iras quel que soit tes choix. J'ai aucune idée du genre de vie qu'on aura , mais je veux être avec toi, pour le meilleur mais aussi pour le pire. Malgré son physique qui était rester un peu enfantin, elle avait murit, pour la première fois elle s’était exprime de manière calme sans devenir hystérique, sans se mettre en colère. Carte sur table, mais s’était au tour de Boyde, il avait encore toutes les cartes en main il ne lui restait plus qu’a faire un choix. Avec tout se chamboulant, la pluie battait a torrent, c’est seulement en sortant de la salle qu’elle s’en rendit compte, elle dégoulinait, littéralement. Elle aurait vraiment dut prendre des affaires de rechange, plutôt frileuse il était tres probable que cet épisode lui coute un bon rhume.

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MessageSujet: Re: I'M NOTHING WITHOUT YOU   I'M NOTHING WITHOUT YOU EmptyDim 21 Aoû - 21:29

Bordel, qu’est ce qu’il l’aimait, et il devait lui mentir. C’était ça le pire dans le fait de faire partie du Cercle, il se demandait s’il avait été la personne qu’il était vraiment c'est-à-dire ne méprisant pas les nés moldus, est ce qu’il aurait été avec elle, est qu’il serait ami avec Kaz et Matt ? Pour la dernière solution, il ne leur aurait jamais parlé, il aurait sans doute fait parti de leur ennemi, mais… avec Miryà, il ne savait pas. S’il avait été un sang mêlé parmi tant d’autre son opinion, est ce qu’elle l’aurait remarqué ? il ne savait pas, pas du tout. Boyde avait sa main sur sa joue, il ne voulait pas la perdre. Elle lui sourit et retira avec tendresse la main de sa joue, c’était dur pour Boyde. Il avait besoin d’elle, de sa présence, elle lui faisait penser à autre chose, à autre chose qu’au cercle, qu’au mangemort, et qu’à sa famille. Elle enroula ses doigts aux siens, et dit alors, leva ses magnifiques yeux vers lui : Boyde, te paye pas de ma tête, je te ne connais enfin je pense te connaitre, jamais tu ne laisserais quelqu’un prendre une décision pour toi si tu n’es pas d’accord. Si tu veux que je te fasse confiance, commence par ne pas me cacher des choses… Me prend pas pour une faible, si tu n’arrive pas a me laisser entrer dans ta vie, toute ta vie, je vois pas ce qu’on fait ensemble … Ca fait mal, même très mal. Mensonge après mensonge, cela allait finir par lui claquer dans les doigts, il ne pourrait s’en prendre qu’à lui, qu’à ses parents, qu’à leur foutue famille. Il la fixait, incrédule, réalisant à quel point ils étaient au bord de la rupture, et réalisant qu’il était sur le point de la perdre. Elle lui adressa un sourire triste, puis quand elle l’embrassa sur la joue, il se rendit compte qu’il l’avait perdu. Elle parti en direction de la porte, et se retourna pour dire : Je suis prête a tout pour toi, j’irais la ou tu iras quel que soit tes choix. J'ai aucune idée du genre de vie qu'on aura , mais je veux être avec toi, pour le meilleur mais aussi pour le pire. Il resta la planté sous cette salle de pluie. Elle était partie, non. il se sentait stupide, s’il ne la rattrapait pas, tout était fichu, s’il la rattraperait, un aurait une chance, une mince chance, mais ne fait-il pas saisir sa chance ?

Il sorti de la salle au pas de course, et vit Miryà dans la couloir, et s’approcha rapidement et accrocha doucement son bras, avec tendresse : Mi’ attends, j’en prie. Attends. Sa famille était un poids pour Boyde, mais aussi une force. Des fois il avait l’impression qu’ils étaient une sorte d’équipe avant d’être une famille, à table on parlait du Cercle, des mangemorts, sa mère s’intéressait plus à cela qu’à ses propres enfants, elle n’avait jamais demandé à Boyde s’il avait une petite amie, c’était lui qui avait du dire « tiens, au faite, j’ai une petite amie, elle s’appelle Miryà, tu sais je t’en avais déjà parlé », et sa mère lui avait repondu non, alors que son père lui avait sorti un détail qu’il avait partagé avec lui sur elle. Il était complice avec son père, pas avec sa mère. Son père voulait qu’il fasse comme lui, s’enrôler dans les mangemorts, et devenir un parfait espion du Cercle, c’était trop pour lui, beaucoup trop. Il ne voulait pas mentir à Mirya, il ne faisait qu’ommettre certaines choses, un jour, il s’en voudrait. Je te mens pas Mi’, je… non, ma famille est très importante, c’est les seules personnes que j’autorise à dicter ma conduite. Tu… tu me connais mal sur ce point Mi’, c’est ma famille, je les aime, et ils ont toujours été là pour moi, c’est… y’a que eux qui ont le droit de me dire ce que je dois faire. Depuis que mon père est devenu mangemort, il veut que je le suive, je veux pas. Ca ne me ressemble pas, non ? Tu dis me connaitre, dis-le moi franchement Mi’, ça me ressemblerait ? Il était sincère, pas un seul mensonge, juste de l’omission. Je veux que tu rentre dans ma vie Mi’, je t’aime. Je… je dois mettre certaine chose en ordre, je dois… je dois savoir qui je suis, je… j’ai besoin de toi. Il était sincère, il évoquait une sorte de blocage chez lui, c’était vrai, il avait besoin de savoir qui il était, il n’arriverait pas à porter un masque d’assurance face à elle plus longtemps, si elle le voyait plus faible, plus tel qu’il était en vrai, peut être qu’il ne la perdrait pas. Il était sincère, cela se voyait dans ses yeux, dans sa façon de parler dénuée d’arrogance.
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