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OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde

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MessageSujet: OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde   OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde EmptyJeu 18 Aoû - 17:43



“ OF THE AMITIER IN THE HADRED “

Trois jours était passés depuis le dernier moment que j’avais eu avec Ysolde. Comme tout bon homme je l’avais éviter, j’avais été avec un autre binôme, j’avais repris le sport, je me défoulais beaucoup en ce moment, je courais le matin très tôt pour ne pas réveiller les autres et je courais le soir après les cours pendant une bonne heure pour ensuite reprendre mes devoirs en mains. Les journées étaient longues, très longues. Le matin, je me réveillais à sept heure du matin, afin de faire ma douche avant les autres même si je faisais la queue pour avoir une place et profiter de l’eau chaude mais depuis quelque jours je ne faisais que ma douche froide, sans doute pour me changer les idées. Mais ce matin pour une fois, l’eau m’était donner chaude, cela me faisait un bien totalement fou, c’était comme ci je me sentais revivre après des jours ou je m’étais isolé dans le noir. Evidement, j’avais gardé mon sourire, dire aux autres avec qui je mangeais et qui m’accompagnais en cours que tout allait bien alors qu’au fond, rien allait, c’était totalement le désastre, le vide. Ne plus avoir un seul sourire d’Ysolde, ne plus avoir une seule seconde à lui accorder, ne plus avoir un seul échange de regard venant d’elle, ne plus lui adresser la parole pour même un bonjour. C’était sans doute la semaine de pire que je venais d’avoir et que je faisais. Je m’étais replié sur moi-même, je m’étais mis en tête à tête dans mes bouquins et j’espérais tout de même, un jour, peut être, qui sait, reparler à Ysolde car au fond, elle me manquait et bien plus ce qu’elle pouvait croire. Enfin, croire, je ne sais même pas ou plus si elle savait que j’existait encore. Chaque fin de cours, j’essayais de ne pas la croiser, afin de ne pas avoir à la regarder. La réaction qu’elle avait eu envers moi quelque jours avant m’avait comme rendu… Nerveux, j’étais sur les nerfs en ce moment et tout ça pourquoi ? Pour une demoiselle du château, que je connaissais depuis l’année dernière, pour qui je la trouvais charmante, pour qui j’avais essayer, je dis bien essayer, de saisir ma chance, comme elle l’avait exprimer mais non. Repousser, rejeter, les deux à la fois, sans doute la chose que je conseillais au monde de ne pas avoir car c’était quelque chose d’horrible. Ce matin, après avoir eu une bonne douche chaude, je m’étais préparé, cravate bleu et argent , aux couleurs de la maison, une chemise blanche, un pantalon noir, je n’avais pas mis mon pull car je n’avais pas envie tout simplement. J’avais pris mon sac de cours, ce matin j’avais le cours que je préférais, celui de botanique avec un des meilleurs professeurs, d’après moi en tout cas. Aujourd’hui nous devions faire une recherche sur une plante qui vivait près d’un milieu aquatique, à Poudlard, il n’y avait que le lac noir mais ce que je redoutais le plus, c’était les binômes, aujourd’hui c’était le professeur qui devait choisir, pour ne pas avoir d’embrouilles. D’après lui. Après mettre seulement installer après avoir saluer le professeur, il commença à prendre la parole pour les binômes commençant par mon nom. Reinhaart ! Vous serez aujourd'hui en binôme avec Wilkes ! Je compte sur vous pour bien lui montrer la plante que je veux que vous rameniez ensembles ! Un binôme veut dire deux pas vrai?! J’avais envie de répondre : Sans blague. La situation que je redoutais le plus venait d’arriver. Le professeur que je croyais plutôt intelligent m’avait mis avec Ysolde, la personne, la dernière personne à qui je voulais adresser la parole, je n’avais aucune envie de travailler avec elle, je savais quand allant au lac, je prendrais mes distances, je ne prendrais même pas la peine de lui répondre, c’était comme ça. Je pris mon sac afin de sortir de la classe, aujourd’hui nous devions trouver une fameuse plante, nous n’avions aucun renseignement, juste sa couleur. Rouge rubis. Ca ne devrait pas trop être difficile. Si ? Une plante avec cette couleur, je n’en avais jamais entendu parler et dieu sait à quel point j’avais lu et relu des livres de la bibliothèque, jusqu’à les savoirs par cœur. Sur le chemin pour aller au lac, je n’avais pas pris une seule seconde à regarder Ysolde, je n’en voyais pas vraiment le besoin et je ne lui avais pas adresser la parole. A quoi bon ? Ca ne servait strictement à rien de lui parler si c’était pour être rejeter. Pourtant je voulais à tout pris ramener la plante avant les autres, c’était comme ça que je fonctionnais, avoir les meilleurs notes et si Ysolde me le permettait, j’en profiterais. Mais je n’aimais pas jouer avec Ysolde, c’était contre la nature pour moi, même si elle m’avait rejeter elle. Nous avions enfin au lac. Il était temps, je trouvais le temps vraiment long voir même très long. L’herbe était fraiche, j’aimais l’odeur de l’herbe mouiller, c’était toujours apaisant. Je me mis enfin à regarder Ysolde pour lui adresser la parole, mais strictement professionnel, comme à nos tout débuts. D'après lui, la plante à une couleur rouge rubis. Pourquoi lui parlais-je froidement ? Pourquoi avec autant de haine ? Pourquoi avec autant de… D’énervement ? Pour qu’elle met rejeter ? Alors qu’elle c’était excuser avant de partir ? Je devais lui faire comprendre que je ne lui en voulais pas, mais c’était très dur car au fond de moi, je lui en voulais mais la rassurer était quelque chose bien également non. C’est en étant près du bord de l’eau, que je la regarda en soufflant un peu avant de prendre la parole. Je tant veux pas tant que ça Ysolde… Car je n’ai aucune raison à tant vouloir… Je me mis à regarder l’eau, c’était un grand vide en moi et seul les personnes qui me connaissais pouvait le voir dans le fin fond de mes yeux.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde   OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde EmptyJeu 18 Aoû - 19:44

C’était la première nuit depuis le mois juin où elle faisait un cauchemar. Cela ne lui avait pas manqué. Le cauchemar n’en était pas un, pas au sens strict du terme c’était un souvenir, la mort de sa mère, en boucle, enfin… non, ça n’était pas un souvenir, c’était un mélange entre souvenir et cauchemar, dans celui-ci, Ysolde était comme elle était aujourd’hui, et elle était avec sa mère comme lorsqu’elle était enfant. Les rêves étaient étranges, le dernier remontait à si longtemps, l’année dernière où tout paraissait plus simple, où tout paraissait normal, l’année où elle était fiancé, où elle allait en cours avec joie, l’année où elle s’entendait avec sa famille. En fait, plus rien n’était pareil. Aujourd’hui elle avait perdu le sourire, la veille elle avait fondue en larmes dans les bras d’Alecto accablé par sa vie, et par ses souvenirs. Elle avait passé une très mauvaise nuit, ce matin elle avait les yeux fatiguées et éclatées. Quand elle était arrivé en cours, elle s’était assise devant comme toujours avec un voisine de table une fille de griffondor, gentille, mais pas très futée. Ysolde ne lui adressait pas la parole, elle sortie sa plume, et un bout de parchemin, prête à écrire. Quand le professeur parla, elle n’en écouta pas la moitié, même pas un traitre petit morceau, elle regardait par la fenêtre, et réprima un bâillement. Elle notait des choses qu’elle entendait, ce n’est que quand elle entendit son nom qu’elle leva la tête, fixant le professeur. Quoi, qu’avait-il dit au juste ? elle regarda sa voisine qui lui dit alors : T'es en binôme avec Reinhaart, arrête de dormir. Ysolde la fixa et rétorqua froidement : tu me parle autrement s'il te plait ? Ysolde n’était pas de bonne humeur, alors celle là avait intérêt à bien lui parler, sinon elle allait connaitre une Ysolde énervée. Elle ne leva qu’une seconde la tête vers le professeur pour finir par regarder par la fenêtre et poussa un sourire silencieux, décidément, c’était la merde. Elle était en binôme avec Rys, Rys, le même qu’elle avait embrassé l’autre soir, le même qui lui avait dit qu’il n’avait fait pensé qu’à elle, le même qu’elle considérait plus que comme un ami, et aussi le même qu’elle avait rejeté sans raisons apparentes. Elle était dans la merde, vraiment.

En allant en direction du parc Ysolde avait trainé des pieds, elle avait cruellement envie de dormir, elle avait la même tête que l’année dernière quand elle passait des nuits entières éveillés, là c’était différent, elle avait pleuré toute la soirée dans les bras d’Alecto, lui racontant ce que sa mémoire contenait d’horrible, comme les menaces de son père envers sa mère, et le douteux accident de sa mère. Ysolde n’avait bien sûr pas cessé de penser à Emrys, enfin pas totalement, quelle idiote était-elle, vraiment, elle s’en voulait à mort, et les voilà obligés de marcher à deux mètres l’un de l’autre, sans même croiser un seul regard. D'après lui, la plante à une couleur rouge rubis. Ysolde regarda autours d’elle. Il était marrant ce prof, vraiment. Je n’y connais pas grand-chose en herbologie, je n’aime pas cette matière. Dit-elle franchement, comme souvent. Elle n’aimait pas cette matière, pas vraiment, premièrement parce qu’elle était allergique à certaines fleures, il lui arrivait d’éternuer comme pas possible en cours quand une fleur faisait son apparition. Elle ne connaissait qu’une seule plante rouge dans les lacs d’Ecosse, une seule, une plante qui poussait dans les marais, une seule et unique plante, elle l’avait vu chez sa mère, elle lui avait expliqué que c’était une plante originaire d’Ecosse, et qu’elle était assez répandue, avant qu’Ysolde n’éternue en s’en approchant trop près. Elle voulait expédier cette affaire au plus vite, et partir rapidement, c’était évident, il l’évitait, vraiment, Ysolde elle n’avait pas vraiment changé ses habitudes, elle arrivait à la même heures en cours s’asseyait à la même place, c’était lui qui avait changé son heure pour arriver en cours, ce qu’il faisait après les cours, où il s’asseyait, Ysolde ne pouvait pas lui en vouloir, elle comprenait, elle avait été une profonde idiote. Elle s’apprêtait à dire le nom de la plante recherché quand il dit alors, en la regardant : Je tant veux pas tant que ça Ysolde… Car je n’ai aucune raison à tant vouloir… Il fixait l’eau, ne voulant pas la regarder. Elle ne le croyait pas, s’il ne lui en voulait pas tant que cela, il oserait au moins croiser son regard, au moins une seconde. Ysolde se mordit doucement la lèvre inférieure. Puis souffla en silence, elle avait envie que cela soit fini et de s’enfuir comme la dernière fois. Il était trop gentil avec elle, elle n’avait agit que comme la garce qu’elle était l’année dernière, elle ne méritait pas qu’on lui pardonne quoi que ce soit. Ecoute, je ne veux pas parler de ça, on trouve cette fichue plante et… et… tu as des raisons de m’en vouloir, cherchons cette plante. Sa voix était agacé, il disait ne pas lui en vouloir et c’était lui qui l’évitait le plus, il se foutait du monde.
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MessageSujet: Re: OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde   OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde EmptyJeu 18 Aoû - 20:39

J’aimais tout ce qui était pour la biologie, la botanique et tout ce qui touchais ses deux matières. J’étais un fascine des plantes, tout simplement parce que je vivais dans une maison assez à l’écart des autres, nous n’étions pas une famille de paysans mais si les gens des villes nous voyait, ils auraient sans doutes penser que nous l’étions. Pendant chaque jours que je passais chez moi, j’étais toujours fourrer à l’intérieur d’un champ ou à l’intérieur d’une forêt qui n’était pas très loin de chez moi, seulement deux voir trois kilomètre en vélo à faire. J’avais toujours une boîte, ayant une loupe au dessus du couvercle pour admirer les insectes les plus petites qui puissent exister dans notre monde aujourd’hui. Ce que j’appréciais chez les plantes, c’était leurs parfums, leurs parfums qui pouvait ne qu’être apprécier par ma mère qui adorait que je lui en offre. Ma mère était tout de même pas plus belle fierté mais aujourd’hui j’avais bien grandis, le petit garçon était devenu un homme et tout ça devant les yeux de mes parents et de mon jumeau. Depuis l’année dernière, la présence d’Ysolde m’avait comme fait du bien, c’était bon de pouvoir compter sur quelqu’un sans que la personne sans rende compte elle-même. Avec Ysolde, c’était des regards, des sourires, des aides car avant tout, elle m’avait comme sortit ce qu’elle ressentait sur son passé, ou du moins ses cauchemards, Ysolde avait été également la demoiselle pour qui je pensais, qui m’éloignais du monde réel et c’était la seule fille qui me rendait totalement… Stupide… Ouais, j’avais été stupide de croire que j’aurais eu une chance avec elle depuis que je ne voyais plus Ysolde comme une simple camarade, comme un simple binôme mais plutôt comme la fille qui… Qui me faisait tourner en rond sur moi-même, qui me hantait l’esprit au point d’avoir du mal à m’endormir la nuit même si j’étais un couche tard. Ysolde me hantait, je n’arrêtais pas de pensé à elle et je le lui avais avoué, on c’était embrasser, tout avait été parfait, l’attirance que j’avais pour elle ne s’arrêtait toujours pas, au contraire elle continuait à grandir, augmenter. Bon sang Ysolde, ouvre les yeux, je suis fou de toi. Non, c’était sans doute pas la bonne phrase à sortir car en début de matinée, elle m’avait l’air de mauvaise humeur. Cool, j’allais passé un quart d’heure à calmer mademoiselle. Je n’y connais pas grand-chose en herbologie, je n’aime pas cette matière. Pour tout vous dire, je ne connaissais pas la plante rechercher, avec une couleur rouge rubis, je ne savais même pas son nom, ce qui disait que je resterais longtemps avec Ysolde jusqu’à trouver cette plante, j’espérais qu’elle puisse me donner des renseignements sinon elle passerait un moment de recherche avec moi. Avant cela ne nous aurait pas déranger, au contraire, on aurait profités de la présence de l’autre et des connaissances de l’un et de l’autre seulement aujourd’hui, les choses avait bien changer et ça se voyait, à la distance de nos deux corps quand nous marchions. Pour tout te dire, j’aime cette matière, mais cette plante mais inconnu. Le soir, ou nous nous n’étions embrassés, elle et moi, je dois avouer que j’avais apprécier même beaucoup mais depuis quelque temps, je me demandais ce qui se passait. C’est vrai, cette situation n’était pas normal, de simple connaissance nous étions passés à simple camarade et de camarade à amis et de amis à … A… Vendeur de rêve de l’un et de l’autre ? Je ne savais pas, mais en tout cas nous avions dépasser le stade d’amitié. C’était même bien plus fort. Ecoute, je ne veux pas parler de ça, on trouve cette fichue plante et… et… tu as des raisons de m’en vouloir, cherchons cette plante. Je n’avais pas envie également dans parler, mais j’avais simplement une question. Je voulais savoir pourquoi elle avait fuit, pourquoi elle était partit en courant. Embrassais-je si mal que ça ? Pour un premier baiser, mon premier baiser, car Ysolde était en faite, la première fille pour qui… Je ressentais une attirance. Mon père m’avait toujours dit : « Un Reinhaart n’aime jamais comme les autres, un Reinhaart, il aime profondément. « Mais que pouvais-je comprendre de ça ? Je n’avais jamais parlé d’attirance à mon père et encore moins à ma mère, alors parler d’Ysolde à mes parents hors de question. Encore à mon jumeau, même à lui, peut être qu’il ne me comprendrait pas. Je ressentais une attirance bien plus forte que j’aurais espéré pour Ysolde, seulement je n’arrivais pas à tout lui dire, à tout lui avouer, c’était comme une façade qui me bloquais, comme si je ne devais rien avouer pour être en sécurité et avoir la conscience tranquille, pourtant je voulais faire de mon mieux pour elle. Laisse la plante. Je veux juste te poser une question. Pourquoi avoir fuit ? J’embrasse si mal que ça ? Pour un premier baiser, je trouve que j’ai plutôt été pas mal sans trop vouloir exagérer. Mais… Tu me rends complètement… Bizard… Tu me perturbe Ysolde… Tu… Fin voilà… C’est la première fois… Je préfère avoir des explications plutôt que de perdre la plante… J’étais complètement fou, lui dire ça comme ça, c’était comme un gamin qui était amoureux d’une fille pour la première fois. Mais c’était mon cas, je mis prenais mal, comme un… Gamin, j’étais un gamin totalement immature … Sur ce coup-là. C’est totalement hallucinant. Mais je préférais te le dire. C’est comme un soulagement pour moi que tu le sache. Je tourna enfin la tête pour la regarder. Bon dieu, que son visage m’avait manqué, c’était hallucinant. Fuir ou rester, j’hésitais, lui dire ça comme ça, c’était sans doute la plus grande erreur de ma vie.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde   OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde EmptyJeu 18 Aoû - 21:49

Ysolde n’avait jamais vraiment aimé l’herbologie, parce qu’elle était allergique à certaine fleurs, ne vous avisez donc jamais du lui offrir des fleurs, elle se contentera de vous éternuer dessus et ne les prendrait pas. L’année dernière, dans un moment de bonté quand elle avait été malade lui avait offert de fleurs, et il s’était méchamment fait envoyé baladé avec la réplique « si tu me connaissais vraiment, tu saurais que je suis allergique, je ne veux pas de te fleurs ! », elle avait été détestable ce jour, réellement détestable, réellement, une fille capricieuse, très capricieuse. En fait, elle était surtout « contre » ulysse, et le fait qu’il lui soit imposé. Ysolde détestait donc l’herbologie, elle avait plusieurs fois été à l’infirmerie pour des allergies en plein cours. Elle préférait la divination et les sortilèges, c’était ses deux matières favorites. Elle était bien plus douée en sortilège, elle était habile, et rapide, les qualités essentielles, elle était aussi très précise dans ses gestes. Pour tout te dire, j’aime cette matière, mais cette plante mais inconnu. Comme quoi… Ysolde détestait cette fichu matière mais connaissait bien cette satanée plante, enfin… elle imaginait la connaitre, il fallait en trouver une et Ysolde en aurait la certitude. La famille d’Ysolde d’après sa mère était originaire d’écosse, les Fayburn, de façon très lointaine, mais elle avait gardé des liens forts avec cette région. C’était pour ça qu’Ysolde aimait Poudlard, elle s’y sentait comme chez elle. Elle aurait voulu parler, lui répondre, ramener sa science comme on dit, mais hélas il parla, pour la première fois, elle aurait voulu un silence, un foutu silence, un putain de silence pour qu’elle puisse en placer une ? Elle voulait dire le nom de cette plante et aller se cacher quelques part, tranquille. Laisse la plante. Je veux juste te poser une question. Pourquoi avoir fuit ? J’embrasse si mal que ça ? Pour un premier baiser, je trouve que j’ai plutôt été pas mal sans trop vouloir exagérer. Mais… Tu me rends complètement… Bizard… Tu me perturbe Ysolde… Tu… Fin voilà… C’est la première fois… Je préfère avoir des explications plutôt que de perdre la plante… Il ne la regardait pas, mais elle le fixait. Par merlin, non, il n’embrassait pas si mal que ça, en faite c’était même plutôt bien. En fait, Ysolde aurait bien aimer l’embrasser encore, même maintenant mais… NON, non, il l’embrassait très bien, mais, ça… enfin. Elle le fixait, elle le fixait, sans presque ciller. Elle le perturbait ? Alors, elle allait s’en aller, c’était plus simple ainsi. Elle ne voulait pas rendre quelqu’un bizarre, la dernière personne qui lui avait dit qu’elle le rendait bizarre ou perturbé était Ulysse, et ça lui laissait un très très mauvais souvenir. Il marqua alors une pause, elle le fixait toujours, ne sachant que dire, ni même encore que faire. Elle… elle ne savait pas quoi dire. Bien sûr, elle était attiré par lui, bien sûr, sinon, elle ne l’aurait pas embrassée, certainement pas, quand elle faisait ce geste, elle ressentait quelque chose pour la personne, et avec Rys c’était... Étrange, très étrange. Il continua alors : C’est totalement hallucinant. Mais je préférais te le dire. C’est comme un soulagement pour moi que tu le sache. Il tourna alors soudainement la tête pour la regarder. Ysolde le fixa, les yeux dans les yeux, quand à son tour, elle tourna brusquement la tête, se mettant à bouger. Elle réfléchissait, quand elle dit soudainement : Je pense qu’il s’agit probablement de Lobelia dite ‘Queen Victoria’, elle est rouge écarlate l’été et poussa de juillet à fin septembre, dans des milieux humide, à un endroit qui n’est pas en plein soleil toute la journée. Dit-elle très sérieusement, elle était très sûre d’elle, elle était totalement sûre d’elle en fait, et cela avait coupé court à la conversation. Elle le fixa de nouveau. Il se demandait sans doute comment elle savait tout ça, elle qui détestait l’herbologie. Oui, elle détestait l’herbologie, et elle l’affirmait, mais là, c’était dans ses souvenirs. Elle le fixa, dans les yeux avant de dire : c’était sans doute la fleur favorite de ma mère, c’est pour ça que je la connais, dés que j’en vois une j’éternue. Elle marqua une pause, une longue pause, elle n’aimait pas parler de sa mère, c’était sans doute la chose qui la rendait la plus triste au monde, cette soit disant plante l’évoquait, Ysolde se sentait comme triste tout à coup. Elle ne regarda plus le jeune homme, et regarda le lac, elle avait complètement éviter sa question, elle l’avait complètement ignorée, totalement. Elle était pensive, elle voulait lui répondre, elle mourrait d’envie de lui répondre, elle ne le regardait pas quand elle dit : Je… ce n’est pas ta faute, tu… enfin tu le fais très bien, y’a pas de... enfin, de ce côté là, tu n'as aucun souci à te faire ! Elle poussa un long soupire, elle était nerveuse, elle était anxieuse, comme jamais. C’est… c’est moi. C’est ma faute, je suis… j’ai… j’ai peur. Dit-elle alors, fixant toujours le lac. Oui, la vérité était qu’elle était morte de peur, totalement morte de peur, elle avait tellement souffert qu’elle se disait qu’elle n’était pas prête à souffrir encore et encore. Elle respira profondément, plus vite ils trouveraient cette plante, et mieux ça serait.
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MessageSujet: Re: OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde   OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde EmptyVen 19 Aoû - 10:19

La matinée me semblait qu’elle serait longue, sachant que le professeur avait cru bien faire en me mettant avec Ysolde, je savais que je ne resterais pas froid et distant aussi longtemps que je l’avais été cette semaine. J’aurais préféré être en binôme avec quelqu’un dont je ne connaissais ni le nom, ni le prénom mais quelqu’un qui pourrait me faire oublier Ysolde, juste un instant, juste pour cette matinée qui m’avait l’air longue. Pourtant, le professeur avait prononcé son nom, bizarement le mien en premier et le sien en deuxième. Nous étions près du lac, à deux mètres de l’un et de l’autre, surement pour ne pas refaire la même erreur ? En tout cas, si de mon coter ce baiser n’avait rien d’être une erreur, pour elle j’avais ce net impression. Nous étions vraiment concentrés pour trouver cette plante. Cela faisait neuf ans que nous étions à Poudlard et jamais je n’avais vu cette plante dont le professeur voulait qu’on trouve. Etais-je vraiment intelligent ou surtout incapable de travailler en compagnie d’Ysolde ? Je pense que c’était plutôt la deuxième solution. Ysolde était capable de me faire sourire et rire en peu de temps, ce que j’avais eu besoin l’année dernière après avoir été lâchement lâcher par deux anciens frères, avec qui je pensais que rien n’aurait pu détruire l’amitié du groupe que nous formions. Ysolde était aussi capable de me montrer sa vraie nature du genre de personne qu’elle était et pour beaucoup, à Poudlard ce n’était qu’une fausse face. C’est en la découvrant que je m’étais rendu compte qu’il fallait mieux être soit même plutôt qu’un autre car parfois le mensonge retourne sur nous, c’est bien connu. A Poudlard, ce qu’il fallait savoir, c’était que tout ce qui se disait, serait annoncer quelque jour après voir même les heures. Heureusement, personne ne nous avait vus dans la salle des puits de vœux. Pourquoi disais-je heureusement ? Simplement parce que je n’aurais pas voulu qu’elle est des remords à l’intérieur d’elle face aux gens. Malgré que je ne connaissais pas cette plante, je me sentais mieux même très bien face à l’air frais du matin qu’il y avait. Mais Ysolde m’avait l’air dans savoir plus que moi sur cette plante. C’était incroyable. Elle avait toujours ce coter d’être intéressant quand elle parlait. Enfin c’était ma vision des choses. Je pense qu’il s’agit probablement de Lobelia dite ‘Queen Victoria’, elle est rouge écarlate l’été et poussa de juillet à fin septembre, dans des milieux humide, à un endroit qui n’est pas en plein soleil toute la journée. Incroyable, elle connaissait cette plante, alors que moi, je n’avais jamais entendu de cette fameuse plante avec la couleur rouge rubis. En plus de ça, nous échangions un regard pendant le moment qu’elle parlait. Ses yeux étaient bizards, elle devait certainement avoir peu dormie cette nuit, elle était comme exploser. Le ton de sa voix était sur, pour ce qui concernait la plante en tout cas. Elle était donc sur d’elle. Parfait. Il ne restait plus cas trouver cette plante pour l’apporter au professeur. c’était sans doute la fleur favorite de ma mère, c’est pour ça que je la connais, dés que j’en vois une j’éternue. C’était bizard, Ysolde qui parlait de sa mère, c’était surement dur pour elle car elle marqua une pause, qui dura assez longtemps. Parler de ça devait être un vrai mal pour elle. Son regard était vide, en quelque secondes avant qu’elle ne tourne le regard vers le lac, j’avais pu voir que son regard était vide, changeant. Elle devait avoir un vide immense sur elle. J’avais déjà vu Ysolde dans diverses émotions, mais celle-ci jamais. Elle semblait totalement… Inerte. C’était sans doute le mot vis-à-vis de son regard. Elle ne bougeait plus. Des qu’on trouve cette plante, tu t’écarte et je la prendrais. Tu n’auras cas partir devant. C’était sans doute le mieux pour cette situation. Je ne voulais pas qu’elle éternue et encore moins si cette plante était la préféré de sa mère. Elle avait déjà tant le regard dans les oubliettes que personne n’aurait pu la sortir de ses… Pensées. Tout en regardant le lac, elle prit la parole. Elle était bizard. J’avais envie de la rassurer, lui dire que je ne voulais pas la brusquer, mais quelque chose m’en empêchais et je ne savais pas ce que c’était. Peut être mon intuition qui disait que ce n’était pas le moment. : Je… ce n’est pas ta faute, tu… enfin tu le fais très bien, y’a pas de... enfin, de ce côté là, tu n'as aucun souci à te faire ! Ce n’était pas de ma faute ? Alors ou était le problème ? Je m’approcha d’elle pour être à sa gauche pour regarder le lac avec elle. Poudlard pouvait être calme quand il le voulait, c’était de ce calme que j’arrivais à savoir ce que je devais faire sauf que ce matin, tout était flou et ça depuis des jours déjà. Tout d’un coup, elle me parla d’un truc que je faisais bien. Etant donner que j’avais parler de la façon dont j’avais embrasser, je suppose que c’était pour ça. Je ne la regardais pas, toujours éblouit par la nature de ce lac, dire qu’il était depuis de nombreuses années. Et bien… Tant mieux… Parce que tu es la première fille que j’ai… Embrasser… Avais-je bien fais de lui dire ça ? J’allais sans doute passé pour un minable mais je prenais le risque de lui avouer cela. C’était déjà un grand effort de ma part mais pour elle aussi. Toujours nos regards sur le lac, elle commença à prendre de nouveau la parole. C’est… c’est moi. C’est ma faute, je suis… j’ai… j’ai peur. A cet instant, je compris ce qui n’allait pas pour elle. Elle avait peur, mais sans doute pas de moi, ou peut être un peu mais j’aurais conclus que ce n’était pas de moi qu’elle avait mais surtout de la situation. Ysolde, quand je l’avais rencontrer, c’était une personne qui était en couple avec le prince des Serpentards, celui dont tout le monde avait peur au château car il avait un pouvoir incroyable, d’après beaucoup d’étudiant, mais contrairement à ce que pensais les autres, Ulysse voulait simplement être un héro au château, un héro du mal je pense mais il avait voulut ce montrer assez sauveur pendant l’attentat l’année dernière, contre toute attente, j’avais été le rejoindre pour aider à battre les flammes de l’enfer et le professeur de botanique nous avait dégager à l’arrière. Puis il y a eu le moment ou Crabbe et lui c’était battus, j’avais lancer un crache limace sur Ulysse. Au moment ou elle disait qu’elle avait peur, je détourna ma tête pour la regarder puis je me mis de nouveau à regarder l’horizon du lac. Euhm… Je suis loin d’être lui… Et de faire les mêmes erreurs… Je comprends que tu sois sur la défensive pour ça… Mais tu me connais mieux que tous les autres étudiants du château… Je laissa un moment de silence pour souffler un bon coup avant de reprendre la parole. Mais j’ai toujours été sincère avec toi et je pense qu’au fond de toi tu le sais… Bref, trouvons cette fameuse plante. Je retourna à l’arrière pour me mettre à la rechercher de cette plante à la couleur rouge rubis et marcha assez loin d’Ysolde. La situation était assez troublante, en ce moment ce n’était que ça.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde   OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde EmptyVen 19 Aoû - 20:31

Ysolde portait son uniforme, nous étions à la fin septembre, et elle portait déjà son pull, elle avait froid avec un rien. Elle préférerait déjà être à la bibliothèque, elle s’y sentait comme chez elle, c’était son milieu à elle, les livres. Des fois, elle se disait que serdaigle aurait du être sa maison… même si elle avait une grande partie le caractère d’une serpentard : maligne, rusée, arrogante, mesquine. Ysolde se tenait droite, évitant le plus possible le regard de Rys, elle était mal à l’aise, rien ne serait arrivé si elle ne l’avait pas embrassé sur le joue, puis rien ne serait ainsi si elle ne l’avait pas embrassé, car… c’était sa faute, elle s’en voulait, pas qu’elle le trouve repoussant, au contraire : elle ne voulait plus avoir à souffrir. Chaque personne que l’on s’autorise à aimer est une personne que l’on s’autorise à perdre, une chance de souffrir supplémentaire. Des qu’on trouve cette plante, tu t’écarte et je la prendrais. Tu n’auras cas partir devant. Elle approuvait, elle n’aimait pas les fleurs, ce n’était pas de sa faute, elle y était allergique, elle n’y pouvait rien, rien du tout. Puisqu’elle ne les supportait pas, c’était à peine si Ysolde les trouvait belle. Ysolde était « difficile », et surtout caractérielle, elle ne savait pas se contenter de rien, enfin… pendant dans années elle avait été une des filles les plus difficile à satisfaire, jamais contente de rien, il faisait trop chaud, trop froid, trop sombre, trop lumineux, etc. jamais contente avec un rien, voilà ce qu’elle avait été pendant des années. Non, il n’embrassait pas mal, pas du tout, ce n’était pas le problème d’Ysolde. L’année dernière elle n’aurait jamais supporté d’échanger un baiser avec un sang mêlé, elle était si différente avant, mais là, elle s’en fichait, le sang n’était donc pas le problème. Elle le rassura, ou plutôt tenta de le rassurer en lui disant que le problème ne venait pas de lui. Il embrassait plutôt bien en fait, un peu « hésitant », certes mais elle n’avait pas eut à se plaindre sur ce point, pas du tout, pas du tout. elle le lui avait dit, ne sachant pas si ça allait arranger les choses, ou pas. Elle ne le regardait pas, lui non plus, quand il dit alors : Et bien… Tant mieux… Parce que tu es la première fille que j’ai… Embrasser… Elle était la première fille qu’il embrassait ? S’il avait été le premier garçon qu’elle embrassait, elle ne lui aurait jamais dit, jamais. En fait, à son premier petit ami, ysolde n’avait jamais dit qu’il était son premier petit ami, parce que… elle était fière. Mais, elle respectait ce courage, cette franchise, c’était quelque chose dont elle n’était pas capable, elle admettait cela, c’était courageux de sa part. Ysolde était effrayé à l’idée d’entamer une nouvelle relation, totalement effrayé. Toutes ses relations lui avaient été néfaste, peut être parce qu’elle n’avait jamais su choisir un garçon qui ne lui ferait pas de mal, peut être parce qu’elle se concentrait sur les méchants serpentards égocentrique, et un poil cinglé. Elle savait qu’Emrys ne ressemblait en rien avec ceux qu’elle avait pu côtoyer, ceux qui avait eut la chance de la prendre dans ses bras. Elle savait qu’il ne l’agresserait pas physiquement comme Ulysse l’avait fait, mais… c’était totalement normal d’avoir peur. Elle était, terrorisée Ulysse l’avait rendu très craintive, très craintive. Elle le vit tourner sa tête pour la regarder, à cet instant, elle leva les yeux vers elle. Puis, il la lâcha des yeux, regardant le lac. Euhm… Je suis loin d’être lui… Et de faire les mêmes erreurs… Je comprends que tu sois sur la défensive pour ça… Mais tu me connais mieux que tous les autres étudiants du château… Lui. Ulysse, bien sûr, cela se voyait tant que ça que ce psychopathe l’avait fait souffrir ? Il était mal réputé à Poudlard, il avait très mauvaise réputation, et souvent même on le craignait vraiment, il était mauvais, méchant, et violent. Tellement violent, et Ysolde en avait fait les frais, plus d’une fois, mais une fois, il avait été trop loin et avait franchi le point de non retour. Il ajouta ensuite : Mais j’ai toujours été sincère avec toi et je pense qu’au fond de toi tu le sais… Bref, trouvons cette fameuse plante. Oui, il était sincère, au plus profond d’elle-même elle le savait. Elle avait aussi été certaine qu’à un moment dans leur relation, Ulysse avait été sincère, jusqu’à la fin il était sincère, possessif, violent, mais sincère et amoureux, c’était ça qui lui faisait peur, elle ne doutait pas de sa sincérité, pas du tout, au plus profond d’elle, elle savait qu’il était sincère. Mais il fallait trouver cette fichue plante. Sans se faire prier, Ysolde commença à marcher le long de la berge du lac, elle cherchait un endroit humide, et à peu près à l’ombre. Elle laissait planer un silence, ça ne pouvait pas durer, tout en marchant et en cherchant elle dit : Je… tu ne sais pas ce que j’ai vécu, ni au combien j’ai été blessée, je… j’ai peur, et j’aurai toujours peur, Rys. Je te connais, je sais que tu es différent mais… après ce que j’ai vécu, j’ai… je… je suis morte de peur, je veux plus souffrir, plus jamais comme ça. Je sais… je te connais, tu es… sincère, je le sens mais… Mais je ne me sens pas capable d’être à nouveau avec quelqu’un, eut-elle envie de dire, même si j’aurais envie d’être avec toi. Mais, elle ne se sentait pas capable de dire ça. Ysolde n’était pas une fille si sûre d’elle que cela, pas du tout même, elle était entêtée, mais… Ysolde était fragile, tellement fragile en faite. Depuis le début de l’année elle était sans cesse au bord de la rupture, à deux doigts de fondre en larmes. Elle marchait le long de la berge, elle ne souriait pas, elle ne souriait plus, c’était Rys qui l’avait fait sourire ces derniers temps, mais là, elle avait envie de fuir. Ysolde avait la tête arrière, si bien que sur la berge, elle ne regardait pas vraiment où elle allait, si bien qu’elle glissa sur une pierre humide, et trébucha, tombant ainsi sur la rive, puis glissa dans le lac.
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MessageSujet: Re: OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde   OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde EmptySam 20 Aoû - 10:55

Quand je n’étais qu’un enfant et que mon entourage voulait que j’arrête de ramasser des tonnes de plantes pour les ramenés à la maison, mon père, un homme bon, sage et courageux, prenait mon jumeau et moi afin de nous lire une histoire près de la cheminée qu’il avait construit lui-même. D’après lui, une cheminée était toujours le plus grand rêve d’un homme car il peut y passer des nuits et des nuits devant en ressentant ce que nous avons le plus besoin. De la chaleur. Dans les histoires que mon père nous racontait, il y avait toujours eu une part d’irréalité bien sur pour savoir ça, il fallait grandir mais dans chaque histoire tout finissait bien mais dans la vie, est ce que les histoires finissaient bien ? Ou est ce qu’elles finissaient mal ? Jamais je ne m’étais posé cette question jusqu’à aujourd’hui. En faite, j’avais toujours eu l’envie d’être libre car pour moi, à Poudlard être enfermer dans des salles était déjà assez dur même si j’étais bon étudiant et intelligent mais je préférais l’air frais, celle que j’avais ce matin même au lac. La liberté, c’était après ça que je courais, chaque jours un peu plus, je voulais encore plus de liberté, celle dont un homme rêve chaque soirs. Qui ne rêvait pas de la liberté sérieusement ? Moi depuis gamin je n’attendais que ça et chaque jours je pensais que plus je courais, plus il y avait de Pluit, plus j’étais libre, j’étais au moins sur de ne pas avoir de regret pour ça. Etant en chemise blanche, je pouvais sentir le vent frais, l’air, le vent, un élément de la nature que j’appréciais, même s’il ne faisait pas si chaud que ça, le vent était bienvenue en tout cas pour moi. J’étais calme, bien de trop calme alors que d’habitude avec Ysolde, j’aurais souris, j’aurais rigolé un peu mais non, aujourd’hui rien ne me faisais plaisir a part trouver cette plante. J’avais beau essayer de vouloir me changer les idées, rien ne fonctionnait, Ysolde avait totalement prit possession de moi. Je ne savais pas si c’était aussi bon que ça, aussi bon que j’espérais mais en tout cas, j’étais rentrer dedans, comme tout les autres. A Poudlard, j’avais toujours été le bon étudiant, le genre de model pour les plus jeunes à Serdaigle, malheureusement, il y avait toujours des cons pour vous détruire cette image. Tout ce que je voulais, c’était réussir mes études et je n’étais jamais passé par la casse « casé » avec une demoiselle du château, au contraire, je n’avais jamais flashé sur l’une d’elle mais aujourd’hui je crois bien que ça l’était voilà pourquoi aujourd’hui tout était confus pour moi. Ysolde n’était pas comme les autres filles sinon je me serais vite lassé d’elle mais même aujourd’hui, avec la situation pour le moindre étrange, j’étais toujours avec elle en tant que camarade. Comme quoi, il valait mieux de profiter de ce que la vie nous offre. Je… tu ne sais pas ce que j’ai vécu, ni au combien j’ai été blessée, je… j’ai peur, et j’aurai toujours peur, Rys. Je te connais, je sais que tu es différent mais… après ce que j’ai vécu, j’ai… je… je suis morte de peur, je veux plus souffrir, plus jamais comme ça. Je sais… je te connais, tu es… sincère, je le sens mais… Peur, elle avait donc peur de souffrir à nouveau, c’était certain, tout n’était pas comme on le voulait dans la vie, il fallait prendre la vie comme une étape chaque jours. Mais ce qu’il fallait savoir, c’est que la vie était un bonheur, une chance à laquelle il fallait profiter pleinement au lieu de se prendre la tête chaque jour pour des conneries qui n’en valait pas la peine. Ysolde en valait la peine, c’était sans doute la seule demoiselle qui en valait la peine, qu’elle est peur, j’aurais voulu la rassurer mais je n’étais pas vraiment doué pour ça, j’étais même assez idiot pour ça car je n’avais pas l’habitude. Non tu as raison, je ne sais pas oh combien tu as souffert. Mais j’en suis désolé. Tu ne mérites pas une telle souffrance. Avais-je pris mal ses paroles ? Non mais lui répondre sèchement était la meilleure solution pour qu’on se remette à trouver et chercher cette plante. Je savais que plus vite on l’aurait trouvé, plus vite on pourrait faire nos vies chacun de nos côtés. J’étais déjà bien parti devant à chercher cette plante à la couleur rouge rubis quand j’entendis un bruit assez étrange derrière moi. Je me retournai, sans apercevoir Ysolde, ou était-elle ? L’eau du lac était agitée, je me dirigeai vers celle-ci. Ou était Ysolde ? Je ne savais pas exactement la profondeur de l’eau n’ayant jamais fais de saut à l’intérieur mais j’espérais qu’Ysolde sache nager et qu’il n’y ai pas profond pour elle. Heureusement je savais nager, mais je ne savais pas si c’était bon l’eau froide à cette heure-ci. Je plongeai mes mains à l’eau espérant d’attraper les mains d’Ysolde si elle pouvait. Mes mains allaient de gauche à droite, puis de droite à gauche, cherchant Ysolde. Je ne savais pas si c’était l’énervement ou le stress qui me rendaient comme ça mais j’essayais de garder mon calme même si c’était dur. Aucun signe d’Ysolde, ou pouvait-elle être ? L’eau était geler, elle n’était pas bien chaude. Il n’y avait qu’une solution à faire. Plonger et ramener Ysolde à la surface. Je pris mon souffle après avoir enlever ma cravate pour ne pas me faire attraper par une plante aquatique puis plongea. L’eau était froide, geler, c’était impossible de sortir de l’eau sans avoir un rhume ou une crève après. Je cherchai du regard Ysolde pendant de longues minutes. Rien. Toujours rien. Je commençai à nager, un peu partout, pour avoir un espoir de la retrouver. Mais ou était-elle ! L’eau était noire à l’intérieur et d’après une légende, une bête vraiment très grande y vivait à l’intérieur de celui-ci. Ma baguette était dans la poche droite de mon pantalon mais j’espérais ne pas devoir m’en servir. Je remontai à la surface pour y prendre ma respiration. Elle n’y était toujours pas. Je replongeai sous l’eau afin de la chercher. Mais rien. Puré ! Mon cœur accélérait, simplement parce que la peur qu’Ysolde ne soit pas de retour, ne soit pas voyante. J’espérais qu’elle ne soit pas prise par la bête ou encore accrocher par des plantes aquatiques. Je remontai à la surface pour respirer. J’avais froids des que je remontais à la surface mais chaud quand j’étais sous l’eau. Ysolde, je n’avais que ce mot la à la bouche et je n’avais qu’elle dans ma tête. Je revoyais des tas d’images d’elle, des souvenirs, ou était t’elle.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde   OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde EmptySam 20 Aoû - 21:59

Ysolde avait toujours été assez maladroite, le genre de fille qui trébuche avec un rien. C’était ce qui lui avait valu des remarques blessantes de la part de son père. En apparence, elle était la fille sûre d’elle qui ne trébuchait jamais, pourtant. Elle cassait très souvent des choses en potions, et se faisait mal avec un rien, elle c’était coupé plusieurs fois au point d’être obligé d’aller à l’infirmerie. Elle avait mal à l’épaule, et son bras droit était éraflé depuis sa rencontre avec un loup garou, cela paraissait normal à beaucoup de monde, puisqu’elle était une fille très maladroite. Elle marchait sur la berge, cherchant des yeux une fleure, une plante rouge, par merlin qu’elle détestait la botanique, et ce fichu professeur qui l’avait collé une fois. Ouh, elle le détestait. Elle marchait, quand elle écouta ce que lui avait dit emrys : Non tu as raison, je ne sais pas oh combien tu as souffert. Mais j’en suis désolé. Tu ne mérites pas une telle souffrance. Aie, ça fait mal ça. Ysolde prenait très mal sa réponse, très mal, elle trouvait que c’était… très sec comme réponse. Elle avait raison, ainsi, rien ne se ferait, rien n’irait plus loin. Mais la réalité était qu’Ysolde avait réellement souffert l’année dernière, elle avait saigné pour Ulysse, et franchement même, car quand elle était allé voir l’infimière en pleure et le visage en sang, elle n’avait jamais voulu dire le nom de la personne qui lui avait fait ça. Ysolde avait souffert, ses poignets avaient souffert, plus d’une fois elle les avait eut marqué à cause d’Ulysse et de ses colères, elle avait souffert, elle avait été meurtrie, et aujourd’hui regrettait d’avoir perdu du temps avec un homme comme lui, mais… de fois il lui arrivait de penser que si elle avait souffert, c’était qu’elle l’avait mérité, elle payait pour ses mauvaises conduites, et Ulysse lui en payerai de sa vie ; Oui, elle avait vu sa mort en vision, la dernière vraie vision qu’elle avait eut, la dernière, depuis, elle ne voyait plus grand-chose, comme si elle était bloquée par quelque chose. Ses visions ne se réalisaient pas tout le temps, au début de sa relation avec Ulysse, elle avait eut la vision de leur mariage qui n’avait jamais eut lieu de des enfants qu’ils n’auraient jamais, Ysolde en avait déduis que les visions changent en fonction de nos choix, elle avait peur de ses visions, peur que justement, elle la fasse prendre des mauvais choix.

Ysolde à force de penser à des choses, trébucha. Hélas, elle marchait le long du lac, et fit une chute dans le lac. Elle cru dans un premier temps qu’à cet endroit, l’eau n’était pas profonde, hélas, elle était profonde. Elle ne poussa pas un cris, et tomba en silence dans l’eau, trop surprise pour laisser échapper un cri de surprise, ou de stupeur. Elle était gélée, par Merlin, complètement gelée. Ysolde était frileuse, la pauvre. Une fois sa chute ralentie par l’eau, elle essaya de nager vers le haut, quelle honte, elle tombait comme ça, et disparaissait. Elle essaya de nager vers le haut, quand quelque chose agrippa son pied. Elle essaya de voir ce dont il s’agissait ; dans le lac, sans doute un strangulot, elle détestait ces sales bêtes. Elle levait la tête de la surface, donnant des coups de pieds dans le vide pour essayer de se défaire de cette chose, en vain. Elle avait pris sa respiration, mais par Merlin, elle n’était pas une sirène. Ysolde leva la tête vers le haut, vit bouger à la surface, incapable de crier, elle était sous l’eau. Cette sale bête lui faisait mal, tout à coup, elle réussi à sortir la baguette de son pull, et lança un sortilège informulé contre la créature qui s’éloigna et la lâcha aussitôt. Bordel, cette chose lui avait fait mal, avec ses espèces de petites dents pointues. Ysolde nagea jusqu’à la surface, se retrouvant à quelques centimètre d’Emrys, et respira fortement, elle avait failli manquer d’air. Elle respira fortement, et toussa pour expulser de l’eau, elle était complètement gelée, totalement. Elle s’accrocha au bras de Rys, inconsciemment, elle avait du mal à nager et dit alors, gardant la tête hors de l’eau, essoufflée : Un… un strangulot m’a attrapé la cheville, j’ai mal. C’était vrai, cette chose l’avait mordu, griffer, elle ne savait pas, mais ça lui faisait mal. Elle priait pour que Rys l’aide à remonter sur la berge, elle était bien trop proche de lui, elle se tenait à lui. Ce n’était pas bon, elle ne pouvait pas se permettre d’être proche de lui, être proche c’est s’accorder le droit de souffrir.
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MessageSujet: Re: OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde   OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde EmptyDim 21 Aoû - 10:06

L’eau était glaciale mais avec le vent frais de ce matin, il fallait mieux être à l’intérieur de l’eau et bouger plutôt que d’être à l’extérieur et d’avoir froid. Je n’avais cru que l’eau du lac était aussi froide, mais aujourd’hui je savais à quelle température m’attendre pour les prochains mois. J’étais toujours dans l’eau en mouvement, essayant par tout moyen de trouver Ysolde. L’eau du lac était profonde et si par malheur elle avait été au fond de cette profondeur, il n’y avait aucun moyen d’échapper à la noyade. En étant dans le lac, je me rappelais du jour ou j’avais été dans une piscine municipal avec mes parents et mon frère jumeau. Je n’avais que huit ans et quand j’allais dans l’eau claire et chaude, je me croyais toujours pour un super héro. L’eau n’était pas aussi profonde qu’aujourd’hui, mais à mon âge, je ne touchais pas les pieds du bassin dans laquelle mon père m’apprenait à nager tandis que ma mère s’occupait de mon jumeau. J’avais toujours la fâcheuse manie de toujours vouloir montrer à mes parents que j’étais grand, que j’avais grandis, que j’étais devenu un petit homme comme disait ma mère. J’étais monté sur le bord du bassin, je n’avais aucune ceinture ou quoi que ce soit pour me faire remonter à la surface, je ne voyais pas le danger que j’allais affronter, seul. Un autre gamin avait balancé ses lunettes dans l’eau qui coulait au fur et à mesure. Je m’étais comme seul objectif, d’aller les récupérés. Seul, je sauta dans l’eau, sans prendre d’élan mais aussi sans prendre de respiration. Je commençai à couler au fond du bassin, laissant simplement mes mains à l’extérieur de l’eau, comme pour faire signe que j’étais-là. Je n’avais pas pris conscience du danger que j’affrontais, l’eau, quand j’étais enfant, c’était peut être ma plus grande peur, aujourd’hui, j’appréciais être dans l’eau qu’elle soit froide ou chaude, j’appréciais, je me sentais comme un poisson dans l’eau. Résultat, c’était mon père qui me sauva de la noyade en me tirant par une main. Evidement, le quart d’heure dans la voiture était assez atroce, mon père hurlait dans la voiture, mon jumeau sursautait à chaque fois et ma mère ne disait rien. Elle aussi avait eu peur pour moi et mon jumeau avait ressentit ce que j’avais ressentis dans l’eau. Nous avions une telle connexion entre nous. Retour à la situation. L’eau ne bougeait que par mes mouvements. Quant tout à coup, Ysolde revena à la surface de l’eau, elle était dans mon cham de vision. Elle n’était cas quelque centimètre de moi. Elle était accrochée à mon bras. Elle était blanche, aussi blanche que la peau d’un mort. Drôle de comparaison mais c’était tellement vrai. Un… un strangulot m’a attrapé la cheville, j’ai mal. Sans attendre une seconde plus, je nageai jusqu’au bord en la tenant contre moi pour la ramener au bord du lac. Juste pour la ramener. Je l’aidai à monter jusqu’à ce qu’on soit sur l’herbe. Tremper, nous étions trempés, nous avions froids. Il n’y avait qu’une chose qui était sur aujourd’hui, c’était que nous serions malade dans quelque jours voir quelque heures. J’étais devenu blanc également, le froid, il ne fallait jamais jouer avec la glace, d’après mon père, il fallait mieux jouer avec le feu. Nos vêtements était trempés, mais ce n’était pas le plus important, le plus important c’était de savoir si la blessure d’Ysolde était importante, trop importante pour l’emmener à l’infirmerie. Je ne voulais pas qu’elle chope un truc, telle une transformation ou quoi que ce soit de ce genre. Ta blessure, elle est grave ? Sinon je t’emmène à l’infirmerie, et ne me dit pas non. Je savais que les strangulots était connu pour être les démons de l’eau. C’est bêtes avait des dents très pointues, des doigts très longs, elles avaient des cornes, elles avaient une peau de couleur vert parle et elles attaquaient les sorciers tout comme les moldus. C’est bêtes, se nourrissaient particulièrement de poisson mais elles aimaient attaquer la chaire humaine. Je n’avais jamais eu affaire à c’est bêtes mais je ne prendrais jamais le risque également, il fallait être fou autrement. Je m’approchai d’Ysolde afin de voir sa blessure à sa cheville. C’était rouge voir violet, je ne savais pas si il fallait laisser la blessure comme telle pendant des jours ou bien emmener Ysolde à l’infirmerie. Tu veux que je t’emmène à l’infirmerie ? Je ne sais pas exactement ce qu’il faut faire pour des blessures comme celle-ci. C’était vrai, je ne savais pas quoi faire pour des blessures comme ça, il n’y avait probablement aucun sortilège pour les guérir pour certainement un remède, un médicament ou quelque chose comme ça, que seul l’infirmière pourrait guérir. J’étais inquiet face à la blessure d’Ysolde, mais je ne voulais pas le lui montrer, seulement mon regard en disait bien long sur mon inquiétude. Ysolde était importante pour moi, elle était même précieuse. Elle savait des choses sur moi que personne ne doutait, que personne ne savait. Avec elle, je m’étais toujours laisser être moi, alors qu’avec les autres, c’était parfois de faux sourires que je faisais, de faux rire, alors qu’avec elle tout était vrai, tout était sincère.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde   OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde EmptyDim 21 Aoû - 20:49

Elle était remontée à la surface, une sorte de miracle en fait. Ysolde avait toujours été une battante, mais l’eau n’avait jamais été son milieu favori, elle avait mis un certain temps à apprendre à nager convenablement, un certain temps à maitriser les sortilèges liés à l’eau, en revanche, elle maitrisait le feudeymon, oui, une vraie fille de sang pur, sauf qu’elle n’en était pas une. Mais, elle avait toujours été mal alaise dans l’eau, elle paniquait rapidement, elle avait fait preuve de sang froid en remontant aussi calmement. C’était sans réfléchir qu’elle s’était agrippée à Emrys. Si elle c’était agrippée à lui, c’était parce qu’elle lui faisait confiance, réellement confiance. Avant même qu’elle eut le temps de finir sa phrase, Rys la tint contre elle, et la ramena au bord du lac. Il l’aida alors à remonter sur la berge. Ysolde grelottait, c’était encore pire qu’au terrain de quidditch, ainsi, elle n’arrivait pas à rester sèche en présence de Rys ces derniers temps, en temps normal cette pensée l’aurait fait sourire, mais là… elle était morte de froid. Quand elle regardait Rys, il était trempé de la tête au pied, ses cheveux blonds étaient tout plat, quand elle y pensa elle faillit esquisser un sourire, c’était un souvenir maintenant, de l’autre fois, dans le hall. Ysolde osait à peine le regarder, elle se sentait tellement stupide d’avoir glissé dans le lac, et surtout d’avoir trébuché, elle entendait la voix de son père lui dire « tu es totalement stupide ma fille », elle regardait par terre. Ta blessure, elle est grave ? Sinon je t’emmène à l’infirmerie, et ne me dit pas non. Ysolde n’en savait rien, elle ne savait pas si c’était grave, elle n’allait pas souvent à l’infirmerie, elle n’aimait pas trop l’infirmière qui ne l’aimait pas parce qu’elle était soit disant une sang pur. Ysolde regarda la morsure de cette bête, par Merlin, elle avait mal. C’était comme une sorte de morsure de chien, avec ses plus petites dents, ce n’était pas rouge, c’était violacé, et en plus, ysolde était morte de froid, totalement. Plus elle voyait cette blessure, plus elle se sentait stupide. Tu veux que je t’emmène à l’infirmerie ? Je ne sais pas exactement ce qu’il faut faire pour des blessures comme celle-ci. Elle n’avait pas encore eut le temps de répondre que Rys lui reposait la question. Elle se demandait d’abord si c’était pour se débarrasser d’elle ou si… vraiment, il s’inquiétait pour elle. Quand elle leva la tête pour le regarder, elle vit une lueur d’inquiétude dans ses yeux, il était bien la première personne à s’inquiéter pour elle depuis longtemps. Elle essaya d’observer la blessure, bougeant la jambe, cela lui faisait mal, mais ça allait, ce n’était juste pas très beau à voir. Décidément, Ysolde n’arrivait pas à passer une semaine sans se faire mal. Elle s’était prise un livre sur la tête à la bibliothèque, elle s’était fait mal à l’épaule, et blessé au bras car elle était poursuivie par un loup garou, cette année était celle de la malchance. Elle leva les yeux vers Rys, et dit : Je crois que ça va aller, on trouve cette plante, et je… tu veux bien m’accompagner à l’infirmerie je.. je crois que j’arriverais pas à marcher toute seule. Ysolde grelottait, mais elle y survivrait, sans doute. Il fallait qu’ils trouvent cette plante, et tout serait fini, elle pourrait rentrer au chaud, et aller à l’infirmerie, elle demanderait juste à Rys de l’y accompagner, rien d’autre, elle ne lui demanderait plus rien. Elle l’avait rejeté, elle avait rejeté l’homme le plus normal, et le plus parfait qu’elle puisse rencontrer, quelle sombre idiote. Elle regarda autour d’elle, sans réellement faire attention quand elle vit, làà bas, près de la rive, à l’ombre d’un arbre… Une lobélia Queen Victoria. Elle laissa échapper cela, et regarda Rys qui ne devait rien comprendre, elle montra du doigt et dit alors : là bas, une lobélia Queen Victoria ! Elle avait le sourire aux lèvres tout à coup, la fleure favorite de sa mère, qu’est ce qu’elle était triste d’éternuer en sa présence. Elle regarda Rys, avec un mince sourire, même maintenant, il la troublait encore. Ysolde essaya alors de se lever, posant ses mains mouillées sur la pelouse, elle arriva à se lever, doucement, s’appuyant sur sa jambe valide, elle tenait faiblement debout, comme une équilibriste. Elle était trempé, ça dégoulinait de partout, son uniforme était à mettre au lavage, elle avait froid, sa jupe ruisselait d’eau, tout comme son pull, et je ne vous parle même pas de la cravate. Elle baissa alors les yeux, grimaçant soudain, hum, ça lui faisait mal, et elle avait froid.
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MessageSujet: Re: OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde   OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde EmptyJeu 25 Aoû - 12:43

L’eau était geler et le fait d’être aller à l’intérieur de celle-ci, n’avait fait que refroidir les corps. Ysolde était complètement geler, tandis que moi, j’essayais d’affronter le froid du matin, plus celui de l’eau glacial. Ma chemise était complètement tremper, mon pantalon également, mes chaussures et mes chaussettes encore plus car l’eau était rester dans les chaussures. Il n’y avait que ma cravate de sèche, heureusement d’ailleurs mais tout ça parce que je l’avais enlevé avant de plonger. Pendant quelque secondes, Ysolde regarda sa morsure, on aurait dit des traces de dent de chien mais pas assez grand pour mordre avec force. La couleur de la morsure était passé du rouge au violet, ce n’était pas spécialement beau à voir, mais c’était là, personne ne pouvait le nier. En tout cas pas moi. Mes cheveux étaient plats à cause de l’eau, je passai donc ma main dans les cheveux afin de les remettre un peu comme en temps normal. Ysolde regarda un instant mes yeux, j’en profitai pour la regarder dans les siens, c’était dingue comment un regard pouvait vous rendre mal à l’aise. La blessure aurait pu être plus grave si Ysolde n’avait pas réussie à s’échapper des strangulots. Je crois que ça va aller, on trouve cette plante, et je… tu veux bien m’accompagner à l’infirmerie je... je crois que j’arriverais pas à marcher toute seule. Trouver cette plante, j’avais complètement été dépassé par les conséquences du plongeon d’Ysolde dans l’eau au point dans avoir totalement oublié ce dont pourquoi nous étions là. La plante dont je ne connaissais rien mais vraiment rien était pour moi une vrai découverte et c’était bien la première fois. Je ne connaissais que la couleur, rouge rubis, quelque chose qui vivait près des zones humides mais Ysolde en savait plus sur celle-ci car c’était la plante préféré de sa mère. D’ailleurs quand elle en avait parlé, on voyait qu’elle n’aimait pas avoir ce genre de conversation. La plante était donc une lobélia Queen Victoria ! Je ne connaissais rien de cette plante, ni même le nom, ni même l’espèce de celle-ci, simplement la couleur mais je pense qu’Ysolde pourrait m’en apprendre bien plus. J’étais près d’elle quand elle commença à prendre la parole. Une lobélia Queen Victoria. Je ne comprenais pas exactement ou elle voulait en venir, d’ailleurs je resta pendant de longues minutes à la regarder, jusqu’à ce qu’elle me montre du doigt la plante, c’était cette plante que nous devions chercher et c’était à cause de cette plante qu’Ysolde avait fait un tour dans l’eau glacial du lac, c’était à cause de cette fameuse plante qu’Ysolde était blesser à présent. là bas, une lobélia Queen Victoria ! Je regarda cette plante de longue seconde, la plante était très belle, voir même magnifique, c’était bien rare de voir ses choses à Poudlard. Je tournai la tête afin de regarder Ysolde qui avait un fin sourire, même un fin sourire me rendait heureux, c’était ça avec elle, un rien me satisfaisait, un rien d’elle et j’étais… Bien, content, heureux. Ysolde commença à se lever doucement tout en s’aidant avec ses mains grâce à la pelouse. J’aurais voulu m’approcher d’elle un peu plus et l’aider mais elle m’aurait surement repoussé, comme l’autre fois. Elle était trempée, l’eau tombait en goûte sur l’herbe qui était fraiche matin. Je m’approchai d’elle afin de prendre la parole. Tu peux t’aider de mon épaule si tu le souhaites La plante était en face de nous, et je voyais les grimaces sur le visage d’Ysolde, elle devait certainement avoir mal, une douleur par des crocs ce n’est jamais évident. Je la pris doucement par la taille, afin de la tenir je vous rassures. L’air devenait de plus en plus fraiche, peu être du fait que nous avions plongés sous l’eau pour une matinée. Je lâcha doucement Ysolde afin de prendre la plante dans ma main droite. Objectif obtenu. Objectif obtenu, c’était vite dit, si j’avais bien une chose que je voulais, c’était de retrouver Ysolde, ma Ysolde, celle qui me faisait sourire, mais était-ce possible après nos distances que nous avions pris tout les deux ? C’était la seule question que je me posais. Même en étant tremper, Ysolde dégageait quelque chose, quelque chose qu’aucun autre demoiselle du château dégageait, voilà pourquoi Ysolde avait toute ma compassion, voilà pourquoi j’étais totalement malade quand je nous savais distants l’un à l’autre. Mais nous avions fait le choix de prendre nos distances, peu être que le baiser était pas le bienvenue, c’était ce que je pensais même si elle m’avait dit qu’elle avait eu peur et qu’elle avait peur. On peu rentrés... Mon regard dans le sien, c’est ce que j’aimais par dessus tout. C’était à l’intérieur de moi-même que je frissonnais, que mon cœur battait à la chamade comme un match de quidditch , elle me rendait complètement… Dingue !
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde   OF THE AMITIER IN THE HADRED ft Ysolde EmptyJeu 25 Aoû - 18:57

Ysolde était d’un naturel fort, et battant. Elle ne se laissait pas facilement aller au désespoir, et la noirceur. Alors que certaines filles auraient déjà hurlé face à une blessure de la sorte, elle se contentait de grimacé, enfant elle avait rarement eut le droit de pleurer, sinon son père était encore plus odieux. «Les Wilkes ne pleurent pas, c’est les impurs et les sangs de bourbes qui pleurent», ces mots avaient toujours résonnés dans sa tête, même encore aujourd’hui, sauf qu’elle se savait impur, et c’était accordé le droit de fondre en larmes ces derniers jours, souvent dans les bras d’Alecto, sa meilleure amie. Mais Ysolde se refusait à pleurer pour si peu, elle était bien plus solide que cela, c’était d’ailleurs ce qui la différenciait peut être des autres filles de Poudlard, elle ne pleurait pas quand elle se cassait un ongle, ou quand elle se faisait mal quelque part, elle ne faisait pas tout un plat si elle était mal coiffé, ou si par malheur elle venait à être trempée comme dans le cas présent. Ysolde était un roc, c’était une de ses grandes qualités.
Ysolde tenait en équilibre, s’appuyant sur sa jambe intacte. L’infirmière allait la maudire. Ysolde arrivait souvent avec des blessures anormales, ou alors à cause d’un malaise que l’infirmière n’arrivait pas à expliquer, c’était à cause des visions d’Ysolde, celle lui la faisait devenir très mal parfois, comme si elle ressentait la douleur, ou la tristesse dans ses visions. La dernière vraie vision de ce genre qu’elle avait eut était le décès d’Ulysse, elle ne savait pas quand, ni comment cela arriverait, elle savait juste que ça serait aussi rapide qu’un regard, une douleur traversante, et plus rien. Ysolde n’aimait pas avoir des visions, elle faisait des rêves prémonitoires mais c’était bien plus agréable que les visions, bien plus. Ysolde était un roc, elle savait se débrouiller, elle n’aimait pas demander de l’aide aux autres quand elle pouvait se débrouiller, quand Emrys lui dit alors : Tu peux t’aider de mon épaule si tu le souhaites D’un naturel fier, elle aurait sans doute refuser en temps normal, mais là, elle hocha doucement la tête, et s’appuya avec sa main sur l’épaule de Rys, il avait l’air bien assez musclé pour la soutenir, elle était un poids plume finalement. Sans crier gare, il la pris par la taille, pour la soutenir, forcément, mais Ysolde tressaillis un peu. Ils s’approchèrent de la plante, quand Rys la lâcha alors pour attraper la plante et dire : Objectif obtenu. Elle hocha une nouvelle fois la tête, trop gelée pour ouvrir la bouche, et trop… troublé pour parler. Plus elle passait du temps avec lui, plus elle avait envie de lui sauter au cou, ou de fuir. C’était quitte ou double. il ajouta alors : On peu rentrés...Elle grelottait presque et grimaçait dés qu’elle faisait un mouvement, mais quand il pris la fleur, elle ferma les yeux, et… ATCHOUM ! Elle éternua alors. Elle était allergique a cette satanée plante, elle n’aimait pas être loin d’elle, elle lui rappelait tellement sa mère. Ysolde avait éternuée, et cela lui avait mis des petites larmes dans le coin des yeux, une simple réaction allergique. Elle lâcha l’épaule de Rys, et marcha quelques pas pour s’éloigner de la fleur. Elle marchait à peine droit mais arriverait à trouver son chemin jusqu’à l’infirmerie, même s’il lui faudrait un certain temps, elle regarda Rys, et éternua une nouvelle fois, presque en silence. Je crois que je vais aller à l’infirmerie toute seule, avec cette chose, je n’arriverais pas à ne pas éternuer bien longtemps, je vais éviter de rajouter une crise d’allergie par-dessus cette horreur. Dit-elle en regardant Rys. Sa voix était… neutre, et en même temps, désolée. Désolée car, oui, elle aurait voulu passer plus de temps avec lui, beaucoup plus de temps avec lui, même si quand trois secondes auparavant il la tenait par la taille, et qu’elle avait eut envie de fuir à toute jambe. A toute jambes, ce n’était guère possible, cette foutue morsure lui faisait un mal de chien, elle marchait d’un pas instable, l’infirmerie était en étage, et merde, pensa-t-elle alors. Ysolde avait la santé, elle n’était pas fragile, elle avait juste l’habilité de tourner de l’œil facilement, à cause de ses visions notamment. Cela venait sans prévenir, toujours sans prévenir. Sans prévenir, tout le temps. Mais cela commence toujours de la même façon, rien au début, puis, quelques chose au fond d’elle, une espèce de sensation bizarre, comme si quelques chose allait prendre possession de ses pensées, de sa vue. Ysolde adressa alors un maigre sourire à Rys, elle était désolée de ne pouvoir passer plus de temps avec lui, mais cette fois, c’était cette fleur qui était entre eux, l’autre soir, c’était Ysolde qui s’était mise en travers, décidément. Ysolde tourna alors la tête, et décida de se diriger vers le château, un peu beaucoup chancelante. Elle regarda le château, et se stoppa de façon très nette, interrompue dans sa course. Rien au départ, puis une sensation étrange, puis la chute. Ysolde tomba sur le sol, inconsciente.
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