Nom : De Veaubourg
Prénom : Aristide Charles
Surnom : Art'; Ary'
Âge : dix neuf ans
Curus, option(s) : Curus Sécurité magique ; options Camouflage, Initiation à la magie Noire, Filature et Tapinois
Année scolaire : 9ème année
Nature du sang : sang mêlé

Pseudo : nevada
Âge : 17 ans et 6 mois
Comment avez vous connu le forum ? : bazzart voyons (;
Avatar souhaité : matthew gray gubbler
Présence : 5jours je pense
Le mot magique ? : dobby président !

Pourrais-je savoir comment, diable, t'y es-tu prit pour te mettre à dos cette jeune fille? La voix excédée de Gabrielle, ma mère, me fait détourner la tête de mon verre. Je lève les yeux vers elle, accoudé à la cheminée j'étais entrain de songé à mon école. Elle semble pourtant vouloir avoir une conversation plus sérieuse. Que puis-je répondre ? Que j'ai eut des rapports sexuelle avec cette Molly, que je lui ai fait miroiter une histoire adorable, pour ensuite la planter sans excuses? Je ne peux décidément pas le dire ainsi. Ma mère en ferrait un arrêt cardiaque. Elle me prend déjà assez pour la tâche de la famille. Chaque nuits, je le sait bien, elle pense à me déshérité. Malheureusement il ne lui reste que moi et elle sait que je ferrais en sorte de l'humilié au delà de notre lien parenté si elle agissait de la sorte. Charles ?!! Je la regarde. Je sais bien qu'elle ne m'appellera jamais autrement, Charles et prononcé avec cette accent de supériorité aristocratique. Aristide c'était l'idée de mon père, artiste, petit aventure passagère qui lui a valut d'avoir un fils incontrôlable au nom lui rappelant sans cesse son erreur. Charles c'est plus classe. Et bien il faut croire que nous n'étions pas sur la même longueur d'onde. Le business n'est pas une affaire de femme... Je n'allais quand même pas être adorable avec une elle alors qu'elle est en froid avec son père, père qui est le détendeur de la fortune familial. Je ne perd pas mon temps pour rien. De plus je ne compte surement pas finir dans les affaires, autant finir moldu si c'est ainsi; je veut de l'action, du danger. Pas finir derrière un bureau sous des chiffres. Je veux de l'action mais je sais que cela me lassera vite. Et alors ? Laisser moi faire ce dont j'ai envie ! Je passe une main dans mes cheveux, si long et qui exaspère ma mère, ils m'énervent aussi mais j'aime l'image sage qu'il me donne. Encore une mascarade. Je ne les compte même plus. Qui suis-je donc pour devoir prétendre à finir avec une femme inintéressante ?

Je me souviens pourtant de Paris, c'était il y a maintenant de longues années. Je suis français, Charles et Aristide ne le traduisant pas certes, mais mon nom de famille si. En même temps De Veaubourg il n'y a pas plus français. Il n'y a pas nom plus moins aristocratique. Je me suis souvent dis que ma mère avait épousé mon père pour cela, et pour son argent. Mais finalement elle était aussi riche, et il avait malgré tous un style de vie loin de l'idéal de ma mère.Et elle a gardé le nom de son défunt mari. En faite nous n'en savons rien, il avait l'habitude de disparaître. Je l'imagine bien depuis presque quinze ans dans une île paradisiaque, à profiter de son business et de son temps libre. J'ai toujours rien compris aux passe-temps moldu. Oui car mon père n'avait rien d'un grand sorcier, certes il avait de l'argent; mais aucun pouvoir. Peut-être est-ce pour cela qu'il est partit. Je n'en sait rien. Ma mère et la police le disent mort. Moi je n'en dis rien. A cinq ans ma mère me présentait Nathanaël, l'homme qui semblait avoir toute les qualification pour devenir mon beau-père. Et ce fut le cas peu de temps après nous aménagions en Angleterre et je découvrais alors une nouvelle sœur nommé Jules et ayant le m^me âge que moi.Mon adaptation ? Je mentirais en la disant facile dans un autre pays, mais ce serrait un mensonge de vous la décrire. Je ne m'en souviens pas hormis peut-être l'impression d'un monde étranger. Impression vite effacé par ma nouvelle camarade de jeux, confidente, amie et sœur; Jules. C'est grâce à elle que j'ai vraiment pu commencer à prendre mes repères. C'est elle qui à fait celui que je suis devenu. C'est peut-être aussi cette impression d'être d'une part à l'endroit qui m'est destiné avec sa présence, mais aussi étranger dans ce pays par mon attache à la France que je suis devenu se que je suis. C'est peut-être aussi notre amour.

Aristide, pourquoi me fuis-tu ? Je relève les yeux de mon livre, je pensais vainement que la bibliothèque serrait un bon refuge. Je pensais vainement qu'en allant dans un lieu improbable je ne serais pas dérangé avec Jules et deux autres amis. Mais la voix fluette de cette fille me fit constater le contraire. Pour qui se croyait-elle pour venir embêter ma clique ? D'accord elle s'habillait bien, avait de l'argent, était superbement bien fichue; mais quoi ? Elle pensait sérieusement qu'elle avait les qualifications pour entrée dans le cercle privé des Serpentard ? Certes elle ne s'abstenait pas d'insulter et maltraité les moins forts qu'eux, mais elle était juste sotte, là était la différence. Car je n'ai aucun temps à t'accorder... expliquais-je ,constatant que ma voix était comme souvent supérieur et trainante, brisant le silence. Mes deux amis me regardaient légèrement bien qu'ils en avaient l'habitude. Jules qu'en a elle fixait cette fille pour voir à quoi ressemblait sans doute ma nouvelle conquête. Je fixais ma sœur avec amusement, bien que pour le moment j'étais surtout énervé de l'interruption de cette fille. J'avais eut presque l'intention de réviser mes notions de magie noir pour le prochain cours. Presque, je n'avais pas non plus envie de finir par véritablement m'intéresser à mes études. J'entendis un soupire blasé et ennuyé, un peu fâché; je regardais Jules puis cette blonde. Elle avait l'air surprise et un peu blessée. Ne l'avait-on pas prévenu à quoi elle s'exposait en étant avec Aristide De Veaubourd ? Aristide tu avais ... commença-t-elle mais la voix de ma sœur vint couvrir la sienne pour le faire taire. Il n'a pas envie d'être avec toi tu as compris ? Laisse nous respirer tu pollues notre air ! Mais quel était donc cet accès de méchanceté émanant de ma jolie Jules ? Bien trop heureux de sentir cela en elle, je la laissais s'énerver contre cette fille. Mais quoi ? Depuis maintenant une semaine je devais supporter la vue de ce blancbec pendu à ses lèvres. Elle ne pouvait pas renvoyer mes amies alors qu'elle même s'octroyait du bon temps. Je n'y consentais pas. De plus j'étais joueur. Aujourd'hui. Voyons Jules ne sois pas si médisante ! Excuses ma sœur hum...Violette. Elle est sujette au stress rien de plus. Tu as entièrement raison , quel homme suis-je pour te délaisser ?!!! Allez viens allons ailleurs. Je ressemblais mes affaires après avoir débité cela sur une voix douce et provocante de théatralisation. Je rangeais tous sous les yeux médusé, furibond et foudroyants de Jules. Me penchant pour récupérer mon sac à ses pieds j'en profitais pour glisser à son oreilles. Sois plutôt heureuse que je n'ai pas choisis une Gryffondor... ma voix doucereuse eut l'effet de voir sa mâchoire son contracter pour ne pas me gifler. Et dire que la veille elle se trouvait dans mes bras pour toute la nuit. Depuis l'annonce de Nathanaël pour donner son idée de la marier avec un autre, j'avais la fâcheuse habitude de la mettre en colère. Rien y échappait, j'avais fait de notre illusion pour les autres d'aller avec d'autre personne, une arme pour la faire jalouser; tout en la gardant à porter de main. Ayant bien trop d'égo pour lui avouer directement que je n'avais aucune envie de la voir marier à un autre que moi. L'envie de prendre une sang-de-bourbe pour l'énerver encore plus m'avait effleuré mais j'avais pensé à ma réputation et puis je n'étais pas aussi dégoutant que cela. Ma Jules avant en horreur cette "race inférieur" comme elle le disait...