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IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (graeme+ysolde)

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Ysölde M. Wilkes McFays
Ysölde M. Wilkes McFays


fondatrice -  prefète de serpentard, attention à vous, je peux éviter la retenue... ou pas.

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MessageSujet: IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (graeme+ysolde)   IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (graeme+ysolde) EmptyVen 4 Nov - 21:03

it's you and me against the world.

Je dirais que la semaine a été assez… Importante dans des situations totalement différentes. Je suis aimé que veux tu, j’ai même eu droit a un tête à tête avec Ombrage, si ça ce n’est pas de l’amour. Avait alors dit le jeune homme. Hum, elle avait de quoi être jalouse s’il passait plus de temps avec Ombrage qu’avec elle. Bon, sérieusement, il n’y avait vraiment pas de quoi être jalouse de la vieille en rose, mais elle ne laisserait pas cette vieille bique lui voler plus de temps avec Graeme. Elle voulait d’ailleurs que personne ne lui vole Graeme, en fait, Ysolde était un peu jalouse, non… elle était totalement jalouse, mais ombrage ne lui faisait ni chaud ni froid. Elle lui adressa un sourire, et dit alors : S’il y a de l’amour entre toi et Dolores, je te jure que je vais te tuer. Elle avait presque eut l’air menaçante avant de rire. Ysolde avait le sourire, et elle riait. C’était lui qui faisait qu’elle se sentait bien, qu’elle était heureuse, qu’elle avait le sourire jusqu’aux oreilles, et qu’elle riait de la sorte. Elle était d’humeur taquine, bien que secrètement toujours inquiète pour lui, il avait toujours l’air mal. Elle s’inquiétait vraiment, il venait de se faire taper dessus violemment.
J’ai entendu une discussion sur un lieu au septième étage. D’après eux c’est une salle à bon usage. Autant en profiter. Non ? La salle du septième étage : la salle sur demande. Ysolde y avait été plusieurs fois, elle ne savait plus vraiment comment la trouver, mais il fallait juste en avoir besoin et marcher un certain nombre de fois dans le couloir. C’est une salle dont il fallait faire un bon usage. Et comme le disait Graeme, autant en profiter, et surtout, il fallait soigner tout ça. Ysolde se ferait infirmière sans soucis pour lui, juste parce que c’était lui. Elle tourna son visage vers lui et dit alors, en se levant, et en lui tendant la main : Alors on y va ! Elle l’aida doucement à se lever sans le brusquer, il avait l’air de tenir debout. La jeune femme attrapa son sac qui gisait par terre, et le mis sur son épaule, elle transportait des dizaines de choses superflues dans ce fichu sac. Elle lui prit la main – chose rare et quasi inédite elle avait toujours tendance à être distante.

Ils étaient dans les couloirs vides du château. Cela faisait bizarre à la sorcière de tenir de nouveau la main d’un garçon dans ces murs, la dernière fois tout était différent. Elle était populaire, on la laissait passé, aujourd’hui ce n’était plus le cas du tout. mais, elle était contente d’être avec lui, il la faisait se sentir mieux, marcher la tête haute, elle qui se sentait tellement vulnérable entre ces murs, autrefois elle y avait été une princesse, aujourd’hui, elle n’était plus rien. ils montèrent les étages, ne croisant personne, restant à l’affût d’une vieille en rose. Mais personne. Ils arrivèrent au septième étage. Ils arrivèrent devant un grand mur, Ysolde leva les yeux, mais il n’y avait pas de porte. Comment... Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase, qu’une porte de dessina alors dans la pierre du mur, et apparut progressivement, se changeant en une immense porte de bois, belle. La jeune femme lâcha la main du sorcier pour pousser la lourde porte (oui, elle avait besoin de ses deux mains, elle n’avait pas franchement de force). Ysolde voulait un endroit rassurant, et familier à la fois. Quand la porte s’ouvrit, elle laissa apparaitre une pièce confortable, avec un canapé, et bien sûr, sur la table le nécessaire de secours. Derrière Graeme, elle referma soigneusement la porte, ils pouvaient être bien tranquilles maintenant. Assis-toi là, je vais m'occuper de toi. Dit-elle avec un sourire. La jeune femme posa son sac sur le sol, et la pièce étant chauffée visiblement par une cheminée dont les flammes luisaient, elle retira son pull, et le jeta sur son sac. Elle s’approcha de la table, et ouvrit la boite de secours, et sorti du désinfectant, et une compresse. La jeune femme devait désinfecter au moins son visage. Elle était une infirmière plutôt jolie non ? la compresse imbibée en main, elle s’approcha de lui, et dit avec douceur : Attention, ça va piquer. Elle passa avec délicatesse la compresse sur l’arcade sourcilière en sang du jeune homme, elle avait mal pour lui, sincèrement, et en plus elle désinfectait tout ça, cela devait franchement piquer, mais entre temps, cela avait arrêté de saigner, et cette fois, la plaie semblait bel et bien désinfecté. Un regard doux de la jeune femme, et celle-ci eut fini de tout nettoyer, au moins cela ne s’infecterait pas.

PS : bon changement de lieu, la salle sur demande peut se façonner à ton imagination, je ne décris pas tout pour laisser place à l’imagination.
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MessageSujet: Re: IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (graeme+ysolde)   IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (graeme+ysolde) EmptySam 5 Nov - 8:04

S’il y a de l’amour entre toi et Dolores, je te jure que je vais te tuer. Si le tête à tête avec Ombrage avait fait l’effet qu’il la déteste bien plus qu’avant, il s’amusait de voir la blonde jalouse. Le rouge et or regardait sa serpentarde sourire et même rire alors que quelque secondes avant, elle s’inquiétait pour lui. Il aimait la voir comme sa, en faite, la voir heureuse et pleine de vie était un objectif pour lui et d’un coter, cela faisait du bien au jeune homme, on pourrait même dire que cela lui réchauffait le cœur. Il avait tenu éloigner pendant quelque jours d’elle, mais il l’avait bien regretter dans ses jours-ci étant donner qu’il n’aimait pas être aussi distant avec elle. En faite, entre lui et sa blonde, c’était comme une connexion, quand elle souriait, il ne pouvait pas s’empêcher de sourire également et puis il y avait ses regards qui d’ailleurs les avaient trompés pendant les cours au début de l’année. Soudain la jeune femme se leva tout en prenant la parole et lui tendant la main : Alors on y va ! Celui-ci avait parler d’une salle au septième étage, il ne l’avait jamais trouvé, mais disons qu’il n’avait pas vraiment chercher non plus. Il avait bien envie de savoir en quoi consistait cette salle et puis si il pouvait trouver de quoi désinfecter alors sa serait bon et puis… Un moment à eux deux ne serait pas plus mal. A Poudlard, en ce moment, c’était bien difficile d’être deux trop longtemps, il y avait toujours des têtes de fouines à fouiller le château, les couloirs, l’extérieur. Tout sa sous les ordres d’Ombrage. Elle ne devait pas avoir grand succès auprès des hommes du ministère voilà pourquoi elle se vengeait sur les étudiants de Poudlard qui eux, avec tout de même des conquêtes ou bien qui vivait une histoire. Graeme s’était levé à l’aide de la main que la blonde lui avait tendu, il voulait à tout pris trouver cette fameuse salle. Pour plus de sécurité et être tranquille sans avoir à regarder de gauche à droite ou d’essayer d’entendre des pas. Ysolde lui prit alors la main. Entre eux, ou du moins d’habitude, il n’y avait pas vraiment tous ses gestes car il savait que la blonde ne supportait pas sa et il avait bien accepter sa. Mais il aimait avoir la main tiède de la blonde dans la sienne chaude. Oui car le jeune homme avait toujours était le corps chaud sauf en hiver ou il devenait tiède. Ils parcoururent alors les couloirs, ne voyant personne, pas un seul élève, ni même un chat, ni même un fantôme, ni même un professeur enfin personne. Ils étaient enfin au septième étages, la ou normalement ils trouveraient une soit salle. Le jeune homme regarda alors de gauche à droite pour voir ou elle pourrait être. Quand il entendit la blonde : Comment... Il regarda alors en direction du mur ou un petit grincement se fit. Une porte en bois, assez de vieille époque ce mit alors à apparaitre au mur. La blonde lâcha la main du blond afin d’aller ouvrir la porte tandis que le blond regarda sur les cotés pour voir si personne ne les avaient suivis. Il regarda alors la blonde avec un sourire en lui disant : Tu m’avais caché que tu avais autant de force dans les bras. Mouah mouah mouah, même en étant blessé le jeune Reinhaart avait l’humour d’un clown. Enfin même si il avait peur des clowns, il avait leurs humours. Le jeune Reinhaart entra dans la pièce en restant scotché à la pièce qui était illuminé par le feu de cheminée qui dansait la dance des flammes. Les murs étaient sombres mais très soigneux, l’architecture était vraiment parfaite. Au milieu de la pièce, il y avait une table avec les soins dont il avait besoin et à coté, un canapé de couleur rouge, comme celui-ci de la salle commune des Gryffondors. Il était complètement bouche bée de voir une salle, une pièce aussi soigneuse comme celle-ci. Assis-toi là, je vais m'occuper de toi. Le jeune homme regarda alors la blonde qui était derrière lui à refermer la porte. La pièce avait une température assez chaude grâce à la chaleur que dégageait la cheminée au fond. Il s’approcha du canapé et s’asseya en regardant la serpentarde. Il faisait bien de trop chaud dans la pièce, le blond enleva donc son pull noir et le mit sur l’accoudoir du canapé en ne lâchant pas du regard la blonde qui avait fait de même. Le jeune homme dé-serra sa cravate comme à ses habitudes mais depuis qu’il avait été reprit par la grosse dame rose en plein cours il avait comprit la leçon. Il déboutonna deux boutons de sa chemise pour ne pas avoir trop chaud. Voilà qui était mieux quand la blonde s’approcha de lui. Attention, ça va piquer. Il allait commencer à avoir l’habitude à force d’avoir des ennuis. Il regarda attentivement la blonde pendant que celle-ci soignait ses blessures sur le visage. Il laissa juste des petits sons montrant sa douleur. Quand cela fut fini il ne lâcha pas la blonde du regard. En faite, cela faisait quelque jours qu’il ne s’était pas retrouver avec elle, seul. Quand la blonde eu finie de faire ce qu’elle avait fait, le jeune Reinhaart prit la main libre de la blonde afin de la faire se rapprocher de lui doucement. Merci pour les soins… Je crois que t’imaginer en infirmière me tente bien… Un petit sourire s’afficha sur les lèvres du blond qui ne désirait qu’une chose : Profiter de ce moment avec elle.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (graeme+ysolde)   IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (graeme+ysolde) EmptySam 5 Nov - 21:26

Tu m’avais caché que tu avais autant de force dans les bras. La jeune femme lui lança un regard noir à cette phrase cinglante. Oui, elle n’avait pas beaucoup de force, et alors ? D’ailleurs quand elle jouait au quidditch, il ne fallait pas lui demander de faire des passes puissantes. Non, elle était un atout de choc dans son équipe, parce qu’elle n’était pas très grande, et très rapide, difficile à viser et à attraper. Sa force dans les bras était vraiment, mais alors vraiment pas. Si elle était dépourvue de sa baguette, alors elle était une femme fichue, et sans défense. Okay, elle savait mordre, elle savait gifler, mais de là à vraiment être capable de se défendre… non. Sans baguette, elle était totalement vulnérable, totalement. Elle connaissait de nombreux sortilèges, la jeune femme aimait tellement la magie qu’elle s’était efforcée d’apprendre des sortilèges qu’elle n’avait pas appris en cours. Elle était douée en magie, c’était presque ce qui était le plus important dans sa vie. La jeune femme était fascinée par la magie, la puissance de celle-ci. Alors, elle était nulle en puissance physique, c’était une sorcière, elle avait appris à se servir de la magie, chez elle c’était mal vu de faire du sport, pire un sport pour se défendre, car d’après son père, inutile d’apprendre à se défendre autrement qu’avec une baguette, parce que d’après lui un sorcier qui n’a pas sa baguette n’est pas un sorcier.
Ensuite, ils entrèrent dans la salle sur demande. La jeune femme délaissa son pull et son sac pour s’occuper de son grand blessé. Oui, elle s’était faite infirmière le temps de s’occuper de lui. Et dire qu’elle avait faillit faire des études de médicomagie, mais elle avait préféré les sciences occultes à cause de son don de voyance, oui, elle avait une certaine prédisposition pour cela. Quand elle eut fini de désinfecté la plaie – d’ailleurs le jeune homme avait eut une mine étrange, et avait poussé quelques petits son laissant évoquant la douleur – la jeune femme vit sa main attrapé par celle du jeune homme. Ceci eut pour effet de faire se rapprocher de lui la jolie blonde, il dit doucement alors, avec un sourire aux lèvres : Merci pour les soins… Je crois que t’imaginer en infirmière me tente bien… En infirmière ? Hum, cela pouvait être un sous entendu, en fait, Ysolde était convaincu que c’était un sous entendu, dit « douteux ». le vieux fantasme de l’infirmière. La jeune femme lâcha alors la compresse sur le sol, tant pis la salle ferait le ménage toute seule comme une grande. Elle se posa alors doucement, (et presque sensuellement) sur les genoux du jeune homme. Elle ne voulait pas lui faire mal d’avantage, mais bon, elle faisait le poids d’une plume, alors s’il se plaignait, elle risquait d’appuyer là où ça fait mal. Elle sa colla alors à lui, et dit alors : Je veux bien être une infirmière, mais ça serait bien d’éviter de te blessé trop souvent, je n’aime pas te voir comme ça. Oui, elle ne tenait pas à le voir blesser trop souvent, ce n’était pas une bonne chose, du tout, pas du tout une bonne chose. Elle ajouta alors : Je veux te voir en un seul morceau. Elle était donc assise sur ses genoux. Elle passa une main derrière le cou du jeune homme pour se tenir un peu, et lâcha doucement la main du jeune homme. La jeune femme attrapa avec douceur la cravate du jeune homme qu’il avait desserré – oui, elle avait noté ce détail - en effet, depuis Ombrage, elle ne l’avait pas vu ainsi, Ombrage forçait les gens à « bien s’habiller ». Ceci est une preuve évidente de laisser-aller Mr Reinhaart. Elle prit une fausse voix menaçante, style ombrage. Elle aimait ce genre de laisser aller, c’était plutôt agréable. Elle lui murmura alors doucement : Mais j'aime plutôt genre de laisser aller.
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MessageSujet: Re: IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (graeme+ysolde)   IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (graeme+ysolde) EmptySam 5 Nov - 22:21

La salle été à température assez chaude, en faite, il faisait bien de trop bon dans la pièce à tel point qu’il avait enlevé son pull noir et déboutonner sa chemise de deux boutons et ensuite de desserrer sa cravate. Depuis que la grosse dame l’avait assez embêté voir reprit sur ce sujet, il n’osait plus s’habiller comme avant, aujourd’hui, ou du moins en cours il essayait toujours d’avoir sa cravate bien mise et sa chemise dans le pantalon. Bizarre mais bon, il fallait qu’il fasse avec. Il n’avait pas l’intention de ré-avoir des problèmes avec cette dame, il n’avait pas peur d’elle, il voulait simplement qu’elle laisse ses proches de coter si elle tentait de faire ce qu’elle lui avait dit pendant l’heure du tête à tête en retenue. D’ailleurs le jeune Reinhaart avait terminé sa retenue bien plus tard que les heures habituelles. Il savait que la grosse dame n’avait pas tout les droits ou du moins pas tout ceux qu’elle croyait avoir. Ici, seul le directeur était au plein pouvoir, il ne fallait pas l’oublier ce bon vieux homme très âgé. Elle à coter n’était rien à part quelqu’un qui ne servait à rien dans le château. La serpentarde avait finie les soins sur le jeune Reinhaart qui n’attendait qu’une chose, pouvoir profiter de ce moment du mieux qu’il pouvait, après tout, qui n’aimerait pas avoir une salle comme celle-ci, avec un canapé et un feu qui brûlait dans la cheminée et qui réchauffait la pièce. Il venait de prendre la main de la blonde afin de la faire rapprocher de lui, il regarda la blonde lâcher la compresse par terre, après tout, la salle était magique, le ménage serait fait plus tard. Il laissa la blonde venir sur genoux en ne la lâchant pas du regard, en faite, il était totalement impressionné par les efforts qu’elle faisait, lui qui savait qu’elle n’aimait pas le contact physique, il la voyait entrain de venir sur ses genoux et de se coller doucement à lui. Elle ajouta une fois contre le rouge et or : Je veux bien être une infirmière, mais ça serait bien d’éviter de te blessé trop souvent, je n’aime pas te voir comme ça. Il le savait, il avait bien vu que la blonde s’était inquiété pour lui et à chaque fois quand il était blessé. En faite, c’était naturel, comme lui aurait réagit pour elle si c’était elle qui avait reçue les coups. A ce moment précis, le jeune Reinhaart se disait chanceux d’avoir eu Ysolde à ce moment car il aurait sans doute fini avec le nez cassé pendant les minutes qui s’étaient écroulés. La blonde ajouta de nouveau en regardant le jeune Reinhaart : Je veux te voir en un seul morceau. Un sourire s’afficha sur les lèvres du blond qui était en admiration sur sa blonde. En faite, ce sourire signifiait qu’elle n’avait pas à s’inquiéter et qu’il se calmerait du moins jusqu’à ce qu’il ne rencontre pas une bande d’étudiant entrain d’emmerder sa blonde. Il était très impulsif quand c’était à elle que les autres sans prenait, il démarrait souvent dans les secondes à venir. Il la regarda donc dans les yeux tout en lui adressant la parole : Je vais me calmé… Tant fait pas. Cette parole n’était pas en l’air, comme toutes ses paroles qui lui avait dit, comme la déclaration au chaudron baveur devant tout le monde. Le blond laissa alors la blonde passé sa main au cou de celui-ci et d’attraper sa cravate doucement. Cela ne faisait que de rendre plus fort les battements du cœur du jeune homme. Le jeune Reinhaart en profita pour posé sa main doucement sur la cuisse de la blonde, sa blonde et de mettre son autre main au dos de la serpentarde. Le rouge et or se mit alors à caresser doucement la cuisse de la blonde en ne la lâchant pas du regard puis il regarda ses lèvres, ses douces lèvres qu’il avait la chance de goûter, d’apprécier et d’aimer. La blonde regarda le jeune homme en prenant une voix assez… Menaçante : Ceci est une preuve évidente de laisser-aller Mr Reinhaart . Cette façon de dire les choses lui rappelait assez le moment qu’il avait vécut pendant le cours d’Ombrage, il avait même été obliger de venir debout devant tous les autres élèves. Chose qu’il n’avait jamais fait auparavant. Pendant que le blond continua doucement la cuisse de la blonde en ne la lâchant pas du regard, celle-ci murmura doucement : Mais j'aime plutôt genre de laisser aller. Le rouge et or regarda la blonde en enlevant sa main de la cuisse de celle-ci et son autre main afin de déboutonner un autre bouton de sa chemise en murmurant doucement à son tour sans lâcher le regard de sa blonde : Pourquoi pas en profiter... Si tu aimes ce laisser aller… Provocation quand tu nous tiens. Voilà ce qu’était entrain de faire le blond. Il la provoquait. C’était assez plaisant de le voir provoquer sa blonde qui était toujours sur ses genoux. A présent dans la pièce, il n’y avait que le bruit du feu qui crépitait dans la cheminée et cette chaleur qui rendait la pièce et le moment agréable.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (graeme+ysolde)   IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (graeme+ysolde) EmptyDim 6 Nov - 13:09

Hum, la jeune femme préférait que le jeune homme cesse de jouer les héros pour rester en un seul morceau. Oui, elle préférait de loin l’avoir en un seul morceau, il ne fallait pas qu’il continue à s’attirer des ennuis de la sorte, cela ne l’aiderait pas à s’en sortir, et ça n’aiderait pas Ombrage à l’oublier un peu. Déjà, ysolde lui avait réparé le nez, donc il n’y avait plus qu’une petite trace de « combat » sur son visage, mais c’était négligeable, elle espérait sincèrement qu’Ombrage ne la verrait pas, ou si elle la voyait que cela ne lui donnerait pas une bonne raison de le coller, encore. Le jeune homme répondit alors : Je vais me calmé… Tant fait pas. Elle espérait que ce n’était pas des paroles en l’air, elle ne voulait pas le voir dans un piteux état, pas du tout, alors Mr avait intérêt à faire des siennes et à se battre encore une fois, sinon, Ysolde risquait d’être plus redoutable qu’Ombrage elle-même. Oui, la jeune femme savait être redoutable, menaçante. J'espère bien. Dit alors la jeune femme avec un semblant de voix menaçante, et avec un sourire en coin. Oui, elle espérait bien, qu’il ne s’avise pas de jouer les héros. Elle aimait bien qu’on s’inquiète pour elle, mais dans une certaine limite, bien sûr.
Entre temps, la jeune femme s’était installé confortablement sur les genoux du jeune homme, elle faisait le poids d’une plume. Pour une jeune fille qui craignait les contacts physique, elle s’en sortait plutôt bien. Il lui avait fallu du temps pour appréhender Graeme, pour savoir s’il était digne de confiance ou non, elle avait du jauger tout cela en peu de temps. La jeune femme était toujours très méfiante, elle ne changerait certainement pas du jour au lendemain. Le jeune homme en profita – comme si de rien n’était – pour poser sa main sur la cuisse de la jeune femme. Quand elle eut noté son laissé allé, le jeune homme délaissa la cuisse de la jeune femme pour aller défaire un autre bouton de sa chemise, et celui dit alors : Pourquoi pas en profiter... Si tu aimes ce laisser aller… Graeme était quasiment à l’article de la mort, enfin… il avait l’air mal au point quelques minutes auparavant dans le couloir, le nez cassé, le visage en sang, et allait probablement se lever demain matin avec une dizaine de bleus sur le corps, et monsieur maintenant jouait le provocateur. Qu’est ce que les hommes peuvent être douillet, oui, à l’instant où elle l’avait désinfecté, il avait pousser des petits son de douleur. Les hommes. Elle le regarda alors. La jeune femme se rapprocha alors de lui pour l’embrasser, mais se ravisa alors à dernière seconde en disant : Je crois plutôt que tu devrais te reposer, tu avais l'air si mal tout à l'heure. Hum, oui. Bien sûr, c’était une « blague ». En quelques sortes. La jeune femme lui adressa alors un sourire, et l’embrassa tendrement. C’est vrai, il avait besoin de se reposer, de dormir un peu, même si la jeune femme n’en avait pas forcément envie. Après, si lui n’avait pas envie de se reposer un peu, la jeune femme n’opposerait aucune résistance pour rester sur ses genoux, mais, elle savait qu’il lui fallait un peu de temps pour se reposer.


HJ, c'est extrêmement court, mais ayant mal à la tête, je suis désolé...
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MessageSujet: Re: IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (graeme+ysolde)   IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (graeme+ysolde) EmptyDim 6 Nov - 15:34

La salle sur demande, lui-même n’avait pas pensé à cette salle auparavant, peut être que c’était un des moyens ou il pouvait se retrouver seul avec sa blonde. D’ailleurs en étant blessé il avait pensé à cette fameuse salle qu’il avait entendu pendant une discussion entre deux autres étudiants. Le jeune Reinhaart venait de dire qu’il se calmerait, chose qui était vrai, il n’avait pas l’intention de se battre plus tard, juste de prévenir au cas où les choses déraperais. Aujourd’hui il n’avait pourtant pas chercher qui que ce soit, bien au contraire il avait chercher à esquivé tout le monde et même sa blonde qu’il avait laissé pendant quelque jours. Pour une bonne raison évidement. Mais même en évitant de voir qui que ce soit, il avait reçu plutôt cette raclée comme un avertissement, d’ailleurs l’étudiant qu’il avait enfermer l’autre jour dans le placard à balais lui avait bien dit que la prochaine fois, se serait le tour de la serpentarde. Le jeune Reinhaart avait bien l’intention de laisser pesé son impulsivité et de mettre sa ailleurs. De garder tout en lui. Comme à son habitude. Il avait le don de ne rien laissé paraitre ou alors il fallait bien le connaitre. Le jeune Reinhaart ne lâcha toujours pas le regard de sa blonde même quand celle-ci lui répondit : J'espère bien. Le son de sa voix était toujours aussi menaçant que quand le jeune homme lui avait dit qu’entre Ombrage et lui il y avait de l’amour. Pire que de l’amour même s’était complètement de la haine et du dégoût de ce qu’elle faisait vivre aux autres étudiants. Le jeune Reinhaart avait posé une de ses mains sur la cuisse de la blonde, chose qui fallait tout de même noté car il n’avait jamais osé posé sa main à cet endroit. D’ailleurs il n’osait jamais finalement, il préférait que la demoiselle se sente bien avec lui à sa façon. Quand la jeune femme lui murmura qu’elle aimait ce genre de laisser aller, le rouge et or déboutonna un autre bouton de sa chemise blanche. Il jouait la carte de la provocation car en déboutonnant le bouton il ne lâcha pas le regard de la serpentarde. Il savait que demain matin, au réveil, il se retrouverait avec des bleu un peu partout sur l’abdomen, étant donner que les coups avaient tous été pratiquement à cet endroit mais sans oublier le coup au nez qu’Ysolde avait remit en place. Mais il se disait que dans quelques jours, tout irait pour le mieux. Du moins il espérait car à présent il ne lui restait que les douleurs à l’abdomen mais avec un peu de repos tout irait pour le mieux. Il n’irait surement pas chercher qui que ce soit, à présent le jeune Reinhaart se calmerait un peu. Quand le rouge et or proposa à la blonde de profiter de ce laisser aller, celle-ci se rapprocha du blond comme quand elle allait l’embrasser sauf que celle-ci stoppa à quelque centimètre et recula afin de prendre la parole : Je crois plutôt que tu devrais te reposer, tu avais l'air si mal tout à l'heure. Se reposer ? Il n’en n’avait pas envie même , en faite il avait surtout envie de profiter d’Ysolde et de la salle autant qu’il le pouvait car c’était assez rare une occasion comme celle-ci qui se présentait à eux. En faite, il fallait à présent se cacher pour ne pas être vu et avoir une retenue par Ombrage qui se trouvait assez dans les lieux ou personne ne croirait la voir. La blonde avait le sourire aux lèvres tandis que le blond regardait les lèvres de celle-ci. Le rouge et or regarda la blonde sourire puis approcher ses lèvres à celle du jeune Reinhaart. Le jeune Reinhaart en profita pour posé une de ses mains au cou de la blonde afin de prolonger le baiser d’une façon assez… Passionnel. Le jeune homme arrêta doucement ce moment afin de murmurer doucement en ne lâchant pas le regard de sa blonde : Je n’en ressens pas le besoin... En faite, j’aimerais profité de ce moment avec toi… C’est pas souvent qu’on peu être seuls dans une pièce chauffée… Un sourire s’afficha sur les lèvres du jeune Reinhaart qui écoutait le crépitement du bois qui brûlait au feu.

Hj : T’inquiète repose toi
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MessageSujet: Re: IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (graeme+ysolde)   IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (graeme+ysolde) EmptyDim 6 Nov - 21:40



Quand la jeune femme voulu rompre leur baiser avec douceur, elle se heurta à la passion du jeune homme. Puis, il cessa alors tendrement de l’embrasser pour lui murmurer sans la lâcher des yeux : Je n’en ressens pas le besoin... En faite, j’aimerais profité de ce moment avec toi… C’est pas souvent qu’on peu être seuls dans une pièce chauffée… Un sourire se dessina alors sur les lèvres du jeune homme. Hum, les hommes tous les mêmes, ils ne sont plus guère malades ou blessé lorsqu’il s’agit d’affection. Mais cela n’était pas pour déplaire à la jeune femme, celle-ci ne demandait qu’à passer plus de temps avec Graeme. Même s’ils ne se l’étaient pas réellement dit l’un à l’autre, alors, ils pouvaient tout de même considérer qu’ils sortaient ensemble. Bien sûr, cela n’était guère officiel, mais il n’y avait peut être pas besoin de mot pour cela, ils étaient bien ensemble, même très bien. Quand il dit à la jeune femme que c’était pour profiter de ce moment avec elle, tant mieux, elle aussi avait envie de profiter de ce moment avec lui. A vrai dire depuis qu’Ombrage était entre ces murs, il devenait dur de passer du temps avec lui, premièrement parce qu’il avait été collé par la vieille. Alors, passer du temps avec lui n’était pas pour lui déplaire, loin de là. Passer du temps avec lui lui permettait de se sentir bien, même très bien. Avec lui, elle oubliait la bâtarde qu’elle était, la fille de sang mêlé détesté par une grande majorité des serpentards, elle trouvait grâce auprès de si peu de personne désormais. La jeune femme laissa alors un sourire sur ses lèvres, ravie de sa décision de passer du temps ensemble. La suite de sa phrase la fit sourire « du temps seul dans une pièce chauffé », hum, ils étaient souvent dehors, couvert de boue, mouillé par la pluie, ou à cause de la chute dans un lac, dans une rue, c’est vrai, ils ne passaient pas beaucoup de temps seul, et isolé, en fait, pour Ysolde c’était peut être la première fois qu’elle s’isolait avec lui, vraiment, loin des gens, de leur regard, ici personne ne viendrait les déranger, pas même Ombrage, ou quelqu’un de sa fichue brigade. Hum, moi aussi j’ai envie d’être avec toi. Oui, elle avait envie d’être avec lui. Vraiment, la jeune femme se pencha de nouveau vers lui pour l’embrasser de nouveau. Cette fois, le baiser ne fut ni tendre, ni doux, mais passionné. C’était peut être la première fois que la jeune femme l’embrassait comme cela, ici, elle se fichait bien qu’on la voit. Dehors elle était plus… réservée, elle n’aimait pas qu’on porte un regard ou un jugement sur elle. D’ailleurs, elle ne se souvenait pas avoir embrassé Graeme aux yeux de tous à Poudlard, aujourd’hui, elle s’en ficherait. Même devant Ombrage s’il le fallait. Encore sur les genoux du jeune homme la jeune femme enlaça son cou. Elle rompit alors le baiser. Elle décolla alors ses lèvres des siennes, et se blottie alors plus contre lui. Elle aimait être contre lui, elle se sentait plus forte et protégée aussi. Elle se décolla un peu pour le regarder, et elle ne pouvait détacher son regard du sien. La jeune femme esquissa un sourire, et dit alors fixant la blessure du jeune homme à l’arcade sourcilière et dit alors : Ca te donne un genre mauvais garçon, j'adore ça. Sans plus attendre, elle l’embrassa de nouveau.


HJ, ce n'est pas du grand art.
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MessageSujet: Re: IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (graeme+ysolde)   IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (graeme+ysolde) EmptyLun 7 Nov - 12:38

Hum, moi aussi j’ai envie d’être avec toi. Heureusement que cela était réciproque car autrement, le jeune homme aurait bien eu l’air bête dans cette situation. Il aimait partager des moments avec la blonde, en faite c’était complètement bizarre ce qu’il vivait car il avait toujours rêver ce moment l’année dernière, il avait même mal prit le faite qu’Ysolde soit avec un Lestrange, qui avait disparu à l’heure actuel. En faite, il s’était rendu bien compte qu’elle avait prit beaucoup d’importance à ses yeux cet été, seulement cet été autrement il ne se serait sans doute pas aperçu de l’importance qu’elle avait pour lui. En faite, rien que de l’imaginer partie du château, cela aurait tout changer pour le jeune homme, qui n’aurait jamais su comment avoué ce qu’il ressentait pour elle. Etant donner qu’elle lui avait dit les minutes auparavant qu’elle avait songer à partir du château, il aurait sans doute envoyer un hiboux pour tout lui avouer même si cela n’aurait rien changer car tout aurait été impossible entre eux. Avec elle, Graeme se sentait vivant, en faite, c’était la première fois qu’il ressentait autant de chose d’un coup, mais qu’il ressentait également quelque chose pour une demoiselle, ce qui changeait tout. Auparavant il n’avait eu aucune relation à Poudlard ni même à l’extérieur, il avait toujours été occupé par les vieux bouquins ou alors dans les anciens temps à s’amuser en bande avec Elias et Atlance, d’ailleurs en avançant dans la vie d’étudiant qu’il menait à Poudlard, il s’était rendu compte qu’il n’avait pas vraiment besoin d’eux, qu’il n’avait pas besoin de recevoir d’ordre de qui que ce soit. Le jeune Reinhaart n’avait jamais apprécié qu’on lui dicte ce qu’il avait à faire dans sa vie, la preuve même son propre père ne pouvait pas lui donner d’ordre, en faite, il voulait tellement devenir astrologue que pour lui, personne ne pourrait être à la hauteur de ses espérances. Le jeune Reinhaart laissa alors sa blonde se pencher afin de venir l’embrasser d’une façon qui étonna le rouge et or. En faite, jamais Ysolde n’avait ‘osée’ embrasser Graeme devant les autres, ni même osé quoi que ce soit devant les autres. La dernière fois qu’ils s’étaient embrasser, c'est-à-dire dans le couloir précédent, il n’y avait eu personne à les regarder, c’était comme si il y avait quelque chose qui gênait. Les regards sans doute ou bien ce que pouvait penser les autres étudiants. Il y avait eu également le moment de la dernière fois avant que l’étudiant de Salazard Serpentard vienne gâcher ce moment. Il n’y avait eu personne dans les environs et c’était la blonde qui avait prit le contrôle de la situation. Jamais Graeme n’avait osé quoi que ce soit parce qu’il savait que la blonde n’aimait pas le contact physique. Mais aujourd’hui, il voyait que tout cela changeait petit à petit, il n’y avait cas voir la posture des deux jeunes. Le blond avait déboutonné trois boutons de sa chemise en provoquant un peu tandis que la blonde était sur ses genoux entrain d’échanger un baiser avec celui-ci avec plein de passion. Le blond laissa la serpentarde enlacer son cou doucement. Puis elle rompit le baiser laissant l’occasion au jeune Reinhaart de prendre à nouveau sa respiration. Ce n’était pas tout d’échanger un baiser mais il ne fallait tout de même pas manquer d’air, ça serait vraiment ridicule de gâché un moment comme celui-ci quand l’occasion est présente. La blonde décolla ses lèvres à celles du blond. Celle-ci se colla encore un peu au rouge et or qui avait le cœur bien battant ou du moins qui battait bien plus vite que tout à l’heure. C’était assez stressant en faite pour lui. Quand le jeune homme croisa le regard de sa blonde, c’était comme si un aimant ne pouvait pas décollé leurs regards. Il la regarda alors sourire, pire que ça, il l’admirait totalement. Ca te donne un genre mauvais garçon, j'adore ça. Le jeune homme ne pu alors s’empêcher de sourire à cette remarque. Il avait bien envie de lui répondre seulement ses lèvres était déjà bel et bien occuper avec celle de la blonde. Il appréciait ce contact, il en profitait même, c’était quelque chose de très… Démonstratif. Soudain, le jeune homme laissa doucement glissé ses lèvres au cou de la blonde afin de la faire frémir au contact de ses lèvres. C’était bien la première fois qu’il osait prendre le contrôle avec sa blonde. Bon c’est vrai qu’il espérait ne pas recevoir de gifle ou de coup mal placé mais il verrait bien. Qui ne tente pas n’a rien comme dirait le dicton. Il embrassa alors doucement mais surement le cou de celle-ci afin de remonter doucement ses lèvres pour lui murmurer doucement à l’oreille : Profite bien alors parce que je t’ai dit que je me calmerais à présent. Le jeune homme approcha ses lèvres du lobe de l’oreille à la blonde afin de tiré doucement dessus et de lâcher doucement celui-ci.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (graeme+ysolde)   IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (graeme+ysolde) EmptyLun 7 Nov - 20:28

Ysolde et les mauvais garçons, c’était une assez longue histoire. Quand elle y pensait, elle n’était sorti qu’avec des mauvais garçons, le premier Duncan était particulièrement un bad boy, le griffondor de base, qui a la fin de leur relation avait fini à Azkaban. Ensuite, il y avait eut Ulysse, le prince des serpentard, qui était devenu un mangemort au cours de leur relation ; à la fin, il était particulièrement un mauvais garçon, un vrai mangemort à Poudlard, c’était surtout ce qui avait fait fuir ysolde. En fait, elle aimait les mauvais garçons, jusqu’à un certain point, il y ce point de non-retour où le parfait bad boy devient quelqu’un de vraiment mauvais. Les deux premiers avaient mal tombé, elle espérait bien qu’avec Graeme cela ne tournerait pas mal, du tout, parce qu’elle ne voulait pas le voir mal tourner, elle avait tendance à se prendre pour le dénominateur commun de s mauvaises conduites de ses ex ils avaient tous mal tournés en étaient avec elle. Mais bon, elle n’était pas à la cause de cela, du moins elle espérait fortement.
Enfin sa relation avec Graeme était différente. Avec Duncan c’était son premier « vrai » petit ami, et pas une amourette d’une semaine et demi à tout casser ; avec Ulysse c’était un coup monté, donc rien de naturel à la base dans leur relation, avec Graeme c’était différent. Elle était bien avec lui, sans contrainte, sans rien. le jeune homme la faisait se sentir bien, se sentir elle-même.
Des baisers démonstratifs, c’était assez nouveau avec lui, en fait cela l’était totalement. Ysolde était une fille patiente, qui aimait que les choses se fassent en temps, et en heures, pas de précipitation, alors quand elle avait dit « non » à ulysse plusieurs fois, cela avait fini en pugilat. Oui, ysolde était patiente, mais c’était quand elle le voulait, si elle le voulait, avec une dizaine de paramètres à prendre en compte. Elle était une fille compliquée, même très compliqué, c’était déjà beau que Graeme et lui en soient arrivé là. Etre démonstratif, cela plaisait à la jeune femme. Le jeune homme l’embrassa alors dans le cou, ce ne fut pas sans un frémissement de la jeune femme, c’était nouveau, et agréable. Elle aurait pu le gifler, le frapper si elle n’avait pas été d’humeur, mais fort heureusement elle était totalement d’humeur. Ses baisers agréables cessèrent quand le jeune homme lui murmura à l’oreille avec douceur : Profite bien alors parce que je t’ai dit que je me calmerais à présent. Ce n’était pas bien grave, il n’avait pas besoin de cette blessure pour être séduisant, loin de là. Le jeune lâcha alors doucement le lobe d’oreille de la jeune femme. Elle frissonna de nouveau. La jeune femme passa alors avec douceur une main sur la joue du jeune homme pour s’emparer de ses lèvres avec une certaine passion. D’un côté, c’était Ysolde qui se lâchait un peu, mais elle avait toujours une certaine retenue, comme ayant peur de montrer réellement ses émotions, blessée comme elle l’avait été par deux, elle avait tendance à prendre ses précautions, et à ne pas se laisser aller trop facilement. Elle interrompit alors le baiser pour reprendre sa respiration, et murmura alors le sourire aux lèvres : Tant pis, tu n'as pas besoin de ça pour être séduisant. Elle le pensait sincèrement. Elle laissa sa voix se perdre, et se pencha à nouveau vers lui, l’embrassant en redoublant de passion. La jeune femme n’était pas une sainte ni touche comme certaines personnes le disaient, mais elle n’était pas une catin – contrairement à sa sœur Bella, ysolde ne sortait pas avec des gens à la légère, d’ailleurs elle n’avait jamais compris cette attitude de la part de sa sœur, à croire que celle-ci n’avait jamais aimé. La réalité était qu’Ysolde aimait Graeme, sauf qu’elle ne savait pas à quel point, jusqu’où aller, quand arrêter, la jeune femme s’imposait tellement de règles.
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MessageSujet: Re: IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (graeme+ysolde)   IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (graeme+ysolde) EmptyMar 8 Nov - 7:31

Le jeune homme n'avait jamais été seul dans une pièce trop longtemps avec une demoiselle, en faite, c'était bien la première fois ou il passait un temps comme celui-ci. Graeme n'avait jamais eu de relation, d'histoire avant Ysolde, d'ailleurs tout le monde un moment l'avait cru gay car il n'avait jamais été vu en compagnie d'une charmante demoiselle au château. Pour les étudiants de nos jours, avoir dix neuf ans et ne pas avoir de copine était comme... Une situation grave voyez-vous alors que Graeme n'avait comme jamais eu le besoin d'être accompagner. Avec Ysolde, tout c'était fait seul. Ils avaient été binome, d'ailleurs quand il était arriver une fois en retard, la demoiselle c'était mise à le reprendre en main, ce qui l'avait bien fait rire, ensuite ils sont passés de binôme à camarade pour ensuite passé à … Graeme ne savait pas. En faite, il avait des tas de choses qu'il n'avait pas fait auparavant. Il avait fait une déclaration devant le chaudron baveur après s'être prit la tête avec sa blonde au sujet de Pevensie. Il avait également plongé dans l'eau froide du matin quand celle-ci était tomber, d'ailleurs il avait apprit qu'Ysolde était allergique au fleur mais cela lui avait complètement échapper l'autre jour en lui offrant un bouquet de fleur. Bon au moins tout avait été fait par... Sentiment. Aujourd'hui, tout était différent, ils évoluaient ensembles, en faite en deux ans ils avaient tous les deux évolués même très évolués, en faite ils grandissaient, ils changeait physiquement. Après avoir prit la parole, le jeune homme laissa la blonde posé sa main sur la joue de celui-ci pour s’emparer de ses lèvres. Pendant ce temps le jeune homme passa sa main doucement dans le cou de la blonde en continuant le baiser en essayant de transmettre ce qu'il ressentait du mieux qu'il pouvait. La serpentarde interrompit alors le baiser afin de reprendre sa respiration pour ensuite parler avec un sourire sur ses lèvres : Tant pis, tu n'as pas besoin de ça pour être séduisant. Le jeune homme se mit alors à sourire après ce que venait de dire la blonde. Avec elle, il se sentait vivant, ses journées étaient bien meilleures, d'ailleurs la grosse dame avait positionner le jeune Reinhaart au premier rang et Ysolde dans le milieu. Il était sans doute au premier rang parce qu'il était bon en classe ou alors parce qu'il avait encore du travail à fournir pour réussir son année qui commençait plutôt mal avec une professeur comme celle-ci mais heureusement, il n'avait pas tout qui était gâché, il n'y avait cas voir son début d'histoire avec Ysolde. En faite, il avait toujours espéré un jour d'avoir sa chance avec elle et il avait toujours eu envie que leur histoire soit bien différente de celle qu'elle pu vivre. Avec deux étudiants comme fou, cela ne devait pas être une affaire facile. Mais Graeme n'était pas fou, il avait la tête sur les épaules, d'ailleurs beaucoup le croyait trop sérieux, trop sur de lui, alors que parfois, il n'était pas aussi sérieux que tout le monde pensait, il n'y avait cas le voir quand il était avec Ysolde, l'autre jour dans la boue, ce n'avait été qu'un gamin qui profitait de sa demoiselle avec un mauvais temps comme celui-ci. Le jeune homme laissa alors la blonde de nouveau se penché sur lui afin de l'embrasser avec encore plus de passion que le baiser précédent. Ce qui ne dérangea pas du tout le jeune Reinhaart qui prolongea le baiser avec la même passion. Il aimait beaucoup ce qu'il échangeait avec elle, en faite il voyait une net différence depuis quelque temps, par rapport au contact physique et là c'était totalement différent de ce qui pouvait se passé dans les couloirs. Pendant le baiser qu'ils échangeaient le jeune Reinhaart en profita doucement pour défaire les deux boutons du bas de la chemise à la blonde. Ce qui sans doute ne serait pas apprécier par celle-ci. Mais il continua tout de même, voulant voir jusqu’où la demoiselle irait. Il ne la testait pas, c'était juste pour voir. Beaucoup de gens parlait encore d'elle, sur elle et pas en bien. A Graeme elle n'avait rien fait, mais aux autres si. D'ailleurs cela étonnait beaucoup les gens qu'elle ne lui avait rien fait, mais d'un coter, le jeune Reinhaart en était fier. Oui, il était fier d'elle et de ses efforts car il le savait, elle avait tout perdu en deux ans. Elle était passé de capitaine de quidditch de l'équipe de Salazard Serpentard, de préfet et d'être la petite amie du soit disant prince des Serpentards et la gloire, le respect à des insultes, des regards, de la violence et être la petite amie d'un simple garçon qui aimait la guitare et qui pratiquait du sport. Pour beaucoup cela faisait rire mais pour Graeme non. Quand on passe de la gloire et du respect aux insultes et au non respect, c'était bien pire que ce que l'on pouvait pensé. Ysolde vivait cette fameuse passe mais elle pouvait compté sur Graeme pour être là pour elle. D'ailleurs il avait toujours été là pour elle, même le jour ou il l'avait vu les mains pleine de sang. D'ailleurs le sang du jeune Reinhaart avait bouillit ce jour-là. Le jeune homme déboutonna la chemise de la blonde jusqu'au bouton du milieu tout en arrêtant doucement le baiser afin de prendre sa respiration.

HJ: J'espère que ça te plaira Arrow
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (graeme+ysolde)   IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (graeme+ysolde) EmptyMar 8 Nov - 17:25

Ysolde n’était pas une fille téméraire, ou même courageuse. En fait, elle avait toujours fait la pluapart des choses de sa vie sans prendre de grand risque. A sa répartition, le choixpeau lui avait demandé de serdaigle, ou de serpentard, quelle maison serait la sienne ? Le choixpeau lui avait dit qu’elle avait les défauts et les qualités nécessaires pour entrer dans ces deux maisons. Elle avait supplié le choixpeau de la laissé aller à serpentard, pour suivre les traces de son père, et surtout de sa sœur. A cette époque, elle idolatrait sa sœur et aurait tout donner pour lui ressembler, pour avoir des cheveux ébènes comme les siens, alors qu’elle était blonde comme les blés. Ysolde n’avait pas été courageuse, ou téméraire en choisissant serpentard, c’était la solution de facilité. Elle n’était jamais bien courageuse, ou téméraire. Surtout dans ses histoires de cœur, elle ne se mouillait jamais, elle ne se laissait pas approuver très facilement, du tout même. Alors, c’était un exploit qu’elle se laisse approcher de si près par Graeme, un vrai exploit. Enfin, un exploit, même si elle le voulait bien. Etre avec lui la faisait se sentir bien, elle ne se sentait plus vraiment serpentarde avec lui, en fait, avec lui, elle se fichait de sa maison. Elle n’était plus la fille de serpentard, la paria, celle qu’on montrait du doigt, ou cette garce qui avait pourri les journées de pas mal de personne dans sa vie. Elle était tombé de haut, mais un jour, elle finirait par s’en remettre. Elle savait qu’un jour elle se relèverait et marcherait fièrement dans cette école, la tête haute, comme autrefois, avec une cascade de boucle blonde dans le dos, une démarche assurée, avec un fier sourire aux lèvres. Un jour, elle savait que ce jour viendrait. Le jour où elle aurait le courage de faire face à ce qui l’effraie.

Elle n’était pas très assurée avec Graeme, en fait, le contact physique lui faisait peur. Elle était proche de lui, et l’embrassait avec passion. Ici, elle n’avait aucune retenue, rien qui puisse les perturber, rien qui ne puisse retenir Graeme, ou elle-même. Elle entreprit alors de l’embrasser, et le jeune homme décida de prolonger leur baiser. Alors qu’il obnubilait son esprit avec un tel baiser, le jeune profita de leur soudaine ultra-proximité pour déboutonner les deux boutons du bas de sa chemise. Sur le coup, ysolde le senti à peine, sinon, elle se serait sentie à la fois gênée, mal à l’aise, et terriblement, terriblement gênée. Ysolde craignait le contact, il devait bien le savoir depuis le temps. Ils s’embrassaient toujours, quand ysolde remarqua cette fois que ce n’était pas un bouton de se chemise, mais bien une bonne moitié, voir plus. Il cessa alors de l’embrasser, comme pour reprendre sa respiration. La jeune femme était à la fois troublé, avec l’envie d’aller plus loin, et celle de se lever et de reboutonné sa chemise. Ce n’était pas de la faute du jeune homme, mais de la sienne. Soudain, elle se recula, une seconde, doucement, n’étant plus assez proche de lui pour l’embrasser de nouveau. La jeune femme baissa les yeux, et tourna alors la tête. Elle soupira en silence. Et soudain, elle se leva des genoux du jeune homme pour se remettre sur ses pieds. Elle tourna le dos au jeune homme, et en hâte reboutonna sa chemise. Elle se hâta tellement qu’elle loupa un bouton, en mis un à la palce d’un autre bref. elle se retourna vers Graeme, n’ayant pas vraiment de mots pour expliquer ce qui se passait. Elle articula seulement : Désolé, mais… je peux pas. Oui, elle ne pouvait pas. Ce n’était pas qu’elle ne voulait pas, au contraire. Mais elle était presque tétanisée, elle ne se sentait pas bien. Elle ne savait pas d’où lui venait ce blocage. Elle avait toujours eut du mal avec les contacts physiques, mais cette fois c’était pire que d’habitude. La jeune femme s’en voulait.
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MessageSujet: Re: IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (graeme+ysolde)   IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (graeme+ysolde) EmptyMar 8 Nov - 18:42

Pour être franc, le jeune homme n'avait jamais été aussi loin , jamais aussi loin de toute son existence. En faite, personne ne l'avait vu avec une demoiselle et lui même n'avait jamais été en couple, que ce soit à Poudlard ou bien à Londres. Il avait toujours été conquit par ses vieux bouquins, par le sport mais également par la guitare. Le jeune Reinhaart jouait de la guitare depuis l'âge de dix ans, si il avait été un simple moldu il aurait voulut faire carrière dans la musique. D'après son père il aurait eu toute ses chances. Devenir guitariste était un rêve que beaucoup de gamin voulait faire, même sans avoir déjà jouer d'un instrument de musique. Mais dans la musique, il ne fallait pas que savoir jouer, non, il fallait savoir chanter évidement, mais il fallait également transmettre et si Graeme n'était pas doué pour montrer ce qu'il ressentait avec des mots et des paroles, il savait très bien le faire en chantant et en jouant de la musique. En faite, c'était dans ses moments-là qu'il se sentait le mieux, car les regards sur lui il n'y en avait pas étant donner qu'il n'avait jamais jouer de la guitare et chanter devant quelqu'un. La seule fois ou le jeune Reinhaart avait profiter des regards, c'était pendant les matchs de quidditch, en faite, il savait que même si il était sur le terrain, les yeux des spectateurs n'étaient pas tous sur lui et c'était ce qui lui permettait de bien jouer. Le regard des autres le gênait, voilà pourquoi, en ce moment même il profitait de sa blonde. Il n'avait pas honte non, son problème était que les gens parlent souvent pour rien dire et qu'il savait qu'il était du genre à s'énerver vite, même avec un calme intérieur supérieur. Parfois, pour reprendre son calme, il était obliger de courir, d'évacué ce qui l'énervait, que ce soit la rage ou bien la colère mais encore la tristesse ou bien de vouloir oublier quelqu'un. Il avait besoin de courir sans cesse car la musique ne faisait pas tout, non loin de là. Aujourd'hui ou du moins pendant ce moment-là, le jeune Reinhaart essayait de transmettre beaucoup de chose, même s'il n'était pas un dieu pour savoir monter quoi que ce soit. Il avait commencer à déboutonner les boutons de la chemise blanche de la serpentarde tout en continuant le baiser avec beaucoup de passion. Car en effet, la passion, la tentation et l'amour était bien au rendez-vous imprévu. Il avait osé déboutonner la chemise de celle-ci mais doucement, étant donner qu'il savait et c'était sa le pire, il savait très bien qu'elle détestait le contact physique mais il voulait juste voir à quel point elle aurait été capable d'aller. C'est après avoir interrompu doucement le baiser afin de prendre à nouveau sa respiration que le jeune homme regarda la verte et argent tourner la tête après avoir baisser le regard. Quoi ? Qu'est ce qui n'allait pas ? Ou plutôt qu'avait-il fait de mal ? Soudain la blonde se leva des genoux du blond afin de se mettre debout et de lui tourner le dos, ce qui fit soupirer le jeune homme en levant la tête vers le plafond de la pièce. A présent, il savait. Il savait ce qui n'allait pas. Ysolde n'était pas prête. Sans doute mais il ne fallait pas oublier que la serpentarde avait déjà passé cette étape-là alors que le rouge et or non. Mais cela ne le gênait pas. Non loin de là. En faite, il sans voulait d'être aller trop loin dans ses gestes. Mais cela ne l'empêcha pas de rester cloîtrer sur le canapé comme si on lui avait donner une douche froide, ce qui était le bon truc pour calmer le tout. Mais bon, il ne fallait pas non plus prendre sa pour du négatif. Si ? Le jeune homme regarda la blonde se tourner vers lui afin de lui dire simplement : Désolé mais... Je peux pas. Le jeune Reinhaart se leva du canapé en se disant qu'elle n'avait pas à s'excusé, que c'était à lui de faire des excuses, il n'aurait pas du faire tout ses gestes ou du moins aller aussi loin. Il le savait. Mais il l'avait fait quand même. Il ne lui en voulait pas, non loin de là, il sans voulait à lui seul. Mais la seule chose qu'il su dire à été : Euhm... Pas de problème. En faite, il préférait voir sa, le fait qu'elle ne se donne pas comme ça, plutôt que d'être une fille facile comme beaucoup le pensait dans le château. Il regarda alors attentivement la chemise de la blonde en apercevant alors qu'un de ses boutons était mal boutonner, ou du moins pas à la bonne place. Le jeune homme se déplaça alors vers elle, avec un petit sourire aux lèvres. Attend, ta boutonner pile avec face. Le jeune homme déboutonna alors les deux boutons mal mit afin de les boutonnés ensembles. Après avoir fait cela, il regarda attentivement la blonde dans les yeux tout en remettant doucement la mèche de cheveux à celle-ci correctement. Il n'était pas déçu, loin de là, il préférait cette situation.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (graeme+ysolde)   IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (graeme+ysolde) EmptyMar 8 Nov - 19:46

Ysolde était loin de ressembler à sa sœur. La jeune femme avait toujours voulu ressembler à la belle et grande Bella, la belle et la brune Bella. Et dire que Bella a toujours été jalouse d’ysolde, et vice versa. Ressembler à sa sœur, c’est tout ce que les petites filles ont voulu. Ysolde avait toujours été dépourvue de modèle féminin à part Bella. Quand à onze ans elle avait voulu se teindre les cheveux à l’aide d’une coloration moldue, son elfe de maison l’avait vendue à son père, qui en fureur était arrivé dans la salle de bain, lui hurlant dessus « tu ne ressembleras jamais à Bella », ysolde avait très mal pris cette réplique. Aujourd’hui, elle avait la conviction qu’il parlait du sang, en effet, elle n’avait jamais ressembler à Bella, sauf dans l’incapacité à montrer ses sentiments. Elle n’avait jamais voulu ressembler plus à Bella que durant sa première année, elle avait tout ce qu’elle pouvait en vain pour se faire remarquer et essayer d’être la petite sœur de Bellatrix Wilkes, mais elle avait vite déchanté et avant compris qu’en étant le « machin » de, on arriverait nulle part. Elle avait cessé de vouloir lui ressembler, et avait tracé son propre chemin. Elle avait choisi un chemin opposé à celui de Bella. Celle-ci était devenue une fille facile, et ysolde une fille un peu plus inaccessible. Elle avait choisi son propre chemin, elle ne ressemblait à personne. Et oui, aucune fille normale n’aurait repoussé quelqu’un comme Graeme. Elle était une énigme ambulante, un paradoxe parfois, dont le mode d’emploi n’était malheureusement pas fourni avec. Avec elle, personne n’avait jamais réellement été capable de savoir comment elle fonctionnait, de s’introduire dans son monde. Peut être que Graeme en serait capable, mais une autre personne avait faillit y arriver, mais avait tout brisé avec sa violence. Avec la jeune femme il fallait la secouer parfois, mais ne jamais lui faire du mal physiquement ou moralement, elle était tellement fragile au fond.
Elle était fragile, mais elle avait peur de blesser les personnes qu’elle aimait, plus qu’elle-même. Elle se fichait presque d’être blessée parfois, si c’était pour quelqu’un qu’elle aimait. Sincèrement, elle n’avait pas voulu agir comme ça, elle n’avait pas voulu le repousser. Elle se sentait mal pour ça, subir un refus alors qu’on vous envoie des signaux vous incitant à aller dans ce sens, c’est à en devenir dingue. Elle avait reboutonné sa chemise si vite que c’était mal vu. Elle n’avait jamais aussi mal à l’aise avec lui, pire que quand elle l’avait repousse près de la fontaine des vœux. Quand elle se retourna pour s’excuser, il était resté assis dans le canapé, comme ayant reçu une décharge électrique. Quand elle eut fini, il se leva. Au moins, lui quand elle se défilait ne lui faisait pas une crise. Il dit alors, simplement : Euhm... Pas de problème. C’était les seuls mots qui étaient sorti de la bouche du jeune homme. Elle s’en voulait, envoyé des signaux contradictoire, Ysolde était décidément un véritable paradoxe, tantôt aguichante et enjoué, et l’instant d’après presque froide et gênée. Elle le vit sourire quand il dit alors : Attend, ta boutonner pile avec face. Le jeune homme s’avança vers elle ; elle baissa les yeux quand elle vit qu’elle avait mal boutonner sa chemise. Le jeune homme déboutonna (encore une fois) les deux boutons rebelles de la jeune femme. Elle était toujours gênée. Elle était bien près de lui, et à la fois forte et vulnérable, cette sensation était étrange. Quand il remit une mèche de cheveux de la blonde correctement, elle baissa une seconde les yeux, et les releva doucement vers lui avant de dire : Je ne sais pas ce qui m'arrive. je suis désolée. Elle s’excusa une fois encore. La jeune feme se mordilla doucement la lèvre inférieure. Elle ne savait définitivement plus comment agir avec lui, après ce qui venait de se passer, elle avait envie de passer par le trou d’une souris. Mais des fois, il est question de prendre son courage à deux mains. La jeune femme s’approcha de lui, laissant un espace entre eux, elle ne pouvait pas se coller à lui après ce qu’il s’était passé, ça serait contradictoire une fois encore. Elle l’embrassa tendrement, avec une certaine retenue, elle sourit alors, une main dans le cou du jeune homme, et dit alors, laissant ses bras retomber le long de son corps : Tu devrais franchement te reposer. Elle faisait allusion à la bagarre de tout à l’heure, il s’était pris des sacré coups, il avait sans doute besoin de repos.
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MessageSujet: Re: IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (graeme+ysolde)   IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (graeme+ysolde) EmptyMar 8 Nov - 21:03

Qui aurait vraiment accepter d'être recaler ? Même par amour ? Pratiquement personne non ? Etre recaler dans une situation comme celle-ci c'était comme... Se prendre une douche glacial et non froide sur soit. C 'était commencer à mettre de l'eau tiède pour qu'elle devienne brûlante pour qu'elle finisse d'un coup glaciale. C'était quelque chose qui refroidissait beaucoup les situations et c'est ce qui se passait entre eux en ce moment. Personne ne disait quoi que ce soit, bien de trop gêné par la situation qui venait de se passé. En faite, même si le jeune Reinhaart était un habituer mais surtout un pro pour cacher ce qu'il ressentait mais également ses émotions, il avait la boule à la gorge. En faite, il n'était pas vraiment déçu qu'elle est refuser car il aimait ce coter-là d'elle mais c'était sans doute le fait d'être ' rejeter' Mais il ne lui en voulait pas, non loin de là. A l'instant ou le jeune homme s'était rapprocher d'elle, il avait de nouveau le parfum de la blonde à ses narines. Il appréciait son odeur, son parfum, quand il l'avait près de lui c'était vraiment un pur bonheur. C'était avec elle qu'il passait ses meilleurs moment au château même si de nombreux avait été dans le passé avec son ancienne bande de pote. Aujourd'hui quand il allait dans la salle commune, il se retrouvait seul, d'ailleurs il n'osait jamais dire quoi que ce soit, il préférait être sur le fauteuil à lire un bon vieux bouquin qui lui durerait jusqu'à l'heure du coucher. Il n'aimait pas vraiment la compagnie, il préférait être seul dans son monde ou bien dans sa bulle comme dirait sa mère. Il préférait être accompagner par le silence plutôt que d'être avec des faux cul qui le stresserait pour tout et n'importe quoi en même temps. En étant proche de la blonde, il avait remit une de ses mèches de cheveux en place après lui avoir dé-boutonner et boutonner les boutons qui était mal mit. Celle-ci avait baisser la tête après avoir baisser les yeux. Ah les femmes. Le regard de la blonde se remit alors de nouveau en place en regardant le rouge et or. Celle-ci se mise alors à parler : Je ne sais pas ce qui m'arrive. Je suis désolée . Le jeune Reinhaart se mit alors à sourire car il n'y avait rien de grave pas vrai ? C'était mieux comme ça. Mais ce n'était pas une raison pour autant mettre de barrière entre eux. Il détestait les barrières, surtout entre elle et lui. Il détestait ce froid ou plutôt cette gêne entre eux alors que quelque minutes ils étaient sur le canapé entrain d'échanger des baisers qui faisait monter la température. Jusqu'à ce que cette douche glaciale arrive et qui brise ce moment. Évidement que le jeune Reinhaart aurait voulut aller plus loin avec elle, évidement mais ils avaient tout leur temps pour. Graeme n'était pas vraiment pressé. Le jeune homme regarda alors sa blonde se rapprocher de lui afin de venir l'embrasser tendrement mais en laissant tout de même un espace entre eux, ce qui faisait une barrière. Il aurait voulut la rapprocher de lui mais voyant que la blonde n'avait pas spécialement la même envie de faire, il ne fit rien du tout. Il profita et apprécia du mieux qu'il pouvait se baiser. Qui au passage était bien différent des autres. Il la regarda sourire, ce qui au passage rassura le jeune Reinhaart qui ne l'avait pas vu sourire depuis qu'il avait déboutonner la chemise de la blonde. Celle-ci le regarda en passant sa main au cou du rouge et or qui frissonna au passage. Non il ne pensait pas à la douche froide à ce moment. Il regarda la blonde prendre la parole : Tu devrais franchement te reposer . Pas de problème mais il était hors de question de ne pas finir cette soirée comme une cerise sur le gâteau. Pourquoi gâché une soirée quand la possibilité de rester ici, seul, tranquille était faisable. Le jeune homme regarda alors la blonde, il n'avait pas envie qu'elle soit distante envers lui c'est donc pourquoi, il décida de prendre la parole : Ysolde, on a tout notre temps pour sa, je ne suis pas pressé sincèrement . Ta réaction est plaisante. Je peu te dire que ses encore plus stressant pour moi que pour toi. Sauf que je sais canalisé. Écoute, je suis désolé d'avoir été trop loin dans mes gestes. Je ne recommencerais plus. Mais ne met pas de distance entre nous. Je n'aime pas cette barrière qui nous sépares. J'ai commencer à prendre l'habitude de t'avoir contre moi. Personne ne nous regardes. Il était clair. Il était net. Il n'aimait pas les barrières qu'elle mettait parce qu’il avait défait ses boutons. D'ailleurs il remarqua qu'il n'avait pas fermer les boutons de sa propre chemise lui même qu'il avait déboutonner pour provoquer la blonde. Enfin par les deux premiers car s'était son habitude mais le troisième et la quatrième, il l'avait fait pour provoquer la blonde. Il boutonna ses boutons sans relever la tête.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (graeme+ysolde)   IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (graeme+ysolde) EmptyMar 8 Nov - 21:56

Ysolde se posait toujours soixante milles questions. Est-ce qu’il l’aimait vraiment ? Est-ce qu’il tenait à elle ? est ce qu’elle avait peur de lui, d’elle ? Est-ce qu’elle y mettait vraiment du sien dans leur relation ? A chaque question, elle se donnait une réponse, comme quoi elle était la fautive dans l’histoire. Elle dramatisait un peu les choses, et se faisait la cause de tout ça. Pourquoi ? Parce qu’elle était comme ça, elle avait la sensation que le malaise venait d’elle, de sa réaction, de ses actions, des signaux qu’elle envoyait, et le contraire qu’elle disait deux minutes plus tard. Elle se remettait sans cesse en question, cherchant à démêler le vrai du faux, mais au final, elle s’incriminait. Elle était comme ça. La vieille Ysolde – la sang pure – ne se serait jamais incriminé, Ysolde – la vraie – avait l’impression d’être elle-même la cause de tous ses ennuis, tout avait commencé à cause de son sang, à cause d’elle. Elle dramatisait les choses, peut être pas tant que cela finalement.
La distance était une solution, pas forcément la bonne pour laisser le temps à la blonde de réfélchire. Seulement, à quoi réfléchissait-elle depuis le temps ? Elle était sans cesse entrain de se questionner, sur elle, les autres, lui, encore une fois elle, son sang, sa vie, sa mère. Elle était bourrée de questions, et c’était comme si elle ne parvenait pas à trouver une place pour une relation que pourtant elle désirait ardemment. Cette distance n’était pas bonne, elle allait être néfaste à leur relation. Ysolde ne parlait pas de « couple », parce que… clairement, officiellement, ils n’en étaient pas un, ou alors, Ysolde avait manqué un épisode. Elle n’était pas réellement certaine qu’à Poudlard, quelqu’un soit au courant qu’ils étaient ensemble, sauf Alec – bien qu’elle ne lui ai pas parlé de façon récente – à part les serpentards mais clairement, ils n’avaient rien fait démontrant qu’ils étaient ensemble. C’était peut être ce qui effrayait Ysolde : le regard des autres, leur jugement, tout quoi. Le jeune homme décida de briser le silence pour lui dire : Ysolde, on a tout notre temps pour sa, je ne suis pas pressé sincèrement . Ta réaction est plaisante. Je peu te dire que ses encore plus stressant pour moi que pour toi. Sauf que je sais canalisé. Écoute, je suis désolé d'avoir été trop loin dans mes gestes. Je ne recommencerais plus. Mais ne met pas de distance entre nous. Je n'aime pas cette barrière qui nous sépares. J'ai commencer à prendre l'habitude de t'avoir contre moi. Personne ne nous regardes. Ils avaient du temps, elle le savait. Mais elle ne comprenait pas comment elle pouvait réagir comme ça, le repousser aussi vivement qu’à l’instant d’avant elle l’embrassait. Ysolde avait déjà été en couple, elle savait comment agir, comment les chose se passaient. Elle le savait bien, il avait fallu du temps à ses ex pour arriver à obtenir un peu de tendresse de la part de la jeune femme, elle s’en souvenait, mais avec Graeme elle se mettait une barrière supplémentaire dont elle ne comprenait pas le but. C’était Ysolde qui mettait une barrière entre eux tout le temps. A l’instant elle l’avait embrassé avec tendresse, mais à une certaine distance. Pourtant, dieu sait si elle aimait être tout contre lui, elle se sentait bien, même quand les minutes précédentes elle l’embrassait avec passion, elle s’était sentie bien. Puis, tout à coup, ce fichu malaise.
Elle resta muette et le regarda lui-même boutonner sa chemise ; elle ne savait pas quoi lui répondre. Elle voulait arrêter de mettre cette distance entre eux, mais elle ne savait pas d’où elle venait, la source du malaise de la jeune femme. Elle prit sa respiration, et dit alors : Je sais, on a du temps, mais je ne comprends pas pourquoi j’agis comme ça. J’ai envie d’être avec toi, j’ai envie d’être près de toi. Je ne devrais pas avoir peur, parce que, je suis déjà passé par là, mais… ce n’est pas de ta faute. C’est moi, je ne sais pas ce qui cloche. Elle marqua une pause, et baissa les yeux. Elle ne savait vraiment pas ce qui clochait. Des fois, elle se disait que c’était la peur de trop s’accrocher à la personne, au risque de la perdre. Ysolde se protégeait plus qu’elle ne le pensait, elle savait se défendre, imposer ses limites était un moyen de se protéger, seulement, elle ne s’en rendait pas compte. Elle reprit alors, les yeux baissés : Je veux être avec toi, maintenant, tout de suite. Des fois je me dis que j’ai peur, peur de m’attacher ou je ne sais quoi. Je suis toujours celle qui fiche tout en l’air, à chaque fois. Elle laissa échapper un rire presque désabusé à la fin de sa phrase. La jeune femme gardait les yeux baissés, et poussa un long soupire silencieux, et reprit doucement sa respiration, quand finalement elle leva les yeux vers lui. Elle articula alors : J'en ai marre de tout foutre en l'air. Elle brisa la distance entre eux, et passa ses mains autours de son cou pour l’embrasser, sans barrière, et elle rompit alors le baiser, se serrant contre lui, posant délicatement sa tête sur son épaule. Elle était bien avec lui, même si ça lui faisait peur, à un moment, il faut choisir.
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MessageSujet: Re: IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (graeme+ysolde)   IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (graeme+ysolde) EmptyMer 9 Nov - 7:44

Je sais, on a du temps, mais je comprends pas pourquoi j'agis comme ça. J'ai envie d'être avec toi, j'ai envie d'être près de toi. Je ne devrais pas avoir peur, parce que, je suis déjà passé par là mais... ce n'est pas de ta faute. C'est moi, je ne sais pas ce qui cloche.. La blonde venait de prendre la parole après un moment de silence dans la pièce mais également pendant le temps ou le rouge et or remettait les boutons de sa chemise en place. Entre eux, rien n'était clair, le jeune homme ne savait même pas s'ils étaient en couple ou bien si... Si leur relation la gênait. Enfin c'était beaucoup de question pour si peu finalement car il n'y avait cas voir le jeune homme auprès de sa blonde, il n'avait pas honte des regards, c'était plutôt pour elle qui ne faisait rien devant les autres. Lui, avait déjà été jugé en allant voir Ysolde l'année dernière en tant que binôme, cela avait été mal vu mais il sans était déjà fichu pas mal. Puis après il y avait le moment ou ils étaient camarade puis aujourd'hui. C'était difficile à savoir ou ils en étaient vraiment. Peut être que c'était le bon moment pour demander non ? Le jeune homme regarda alors la serpentarde baisser la tête. Il se demandait simplement ce qui n'allait pas avec Ysolde, c'est vrai, ils étaient seul dans la pièce, il n'y avait aucun regard, il n'y avait personne pour les déranger ou pour faire parler d'eux. Autrefois, Ysolde passait dans les couloirs en compagnie du Lestrange, tout le monde les regardait, c'était le couple de Poudlard. A présent, il se demandait si Ysolde n'avait pas comme une honte d'être avec lui. C'est vrai en y pensant, Ysolde n'avait plus tout ses regards, n'avait plus son succès d'autrefois, ni même sa popularité d'autre fois. En y pensant, c'était peut être le fait d'être avec Graeme qui la gênait et qui la mettait mal à l'aise dans des situations comme celle-ci. La blonde garda la tête baisser pendant qu'elle prit la parole à nouveau : Je veux être avec toi, maintenant, tout de suite. Des fois je me dis que j'ai peur, peur de m'attacher, ou je ne sais quoi. Je suis toujours celle qui fiche tout en l'air. Le jeune homme regarda alors la blonde rire bizarrement. Pour beaucoup cela aurait foutu la trouille, pire la chaire de poule mais pas le jeune Reinhaart. Pour lui, c'était comme un appel. Il fallait qu'il montre à quel point il tenait à elle, peut être que sa irait mieux pour elle après. Ce qu'il espérait d'ailleurs. Soudain la jeune femme leva les yeux après la tête vers le blond pour parler : J'en ai marre de tout foutre en l'air. Le jeune homme se mit alors à sourire quand il vit la blonde passé ses bras autour de son cou pour échanger un baiser. Le jeune Reinhaart appréciait les lèvres de la blonde, pire que sa même, c'était... Quelque chose d'incroyable par un simple baiser de ressentir tellement de chose. Bon évidement cela changeait beaucoup des baisers sur le canapé mais les échanges comme celui-ci était parfait pour démontrer quelque chose. La jeune femme arrêta le baiser afin de se serrer contre lui, ce qui au passage , ne déplut pas au jeune homme. Elle posa sa tête sur l'épaule du Graeme qui se demandait comment faire comprendre à Ysolde qu'il tenait à elle. Tout le monde rêve un jour ou l'autre une demande comme dans les bon vieux temps non ? Graeme ne savait pas vraiment comment si prendre, il n'était pas doué pour sa et cela devait se voir parfois. Le jeune homme passa doucement sa main dans les cheveux de sa blonde, geste d'affection, afin de la rassurée. Ce qu'il espérait d'ailleurs. Quand il avait Ysolde contre lui, c'était comme si ils n'étaient que deux faces aux autres. C'était surtout cette situation qui se passait en ce moment à Poudlard mais avec Ysolde, il oublier tout, elle était la seule à pouvoir le faire sourire, rire, le calmer, à le laisser s'ouvrir à elle alors qu'avec les autres jamais Graeme n'avait ouvert son coter solitaire. Évidement quand il avait des potes, il avait été joueur jusqu'au jour ou Atlance et Elias voulait se battre contre les sang purs. Ce qui dérangea Graeme qui préféré s'éloigner de tout ça. Ce n'était pas vraiment son intention, même si la plupart méritait sans doute d'être sanctionner après avoir fait ce qu'ils avaient fait. Mais il y avait eu Ysolde également, au début, il la croyait de sang pur, d'ailleurs elle avait été une raison qu'il refuse de se battre au coter des deux gars mais aucun d'eux ne savait. Aucun deux ne savait alors que le jeune Reinhaart était entrain de tomber amoureux. Ou du moins tomber sous son charme. C'est alors que le jeune homme se décida. Il se décolla doucement d'Ysolde en se mettant à genoux tout en lui prenant la main. Il leva la tête vers elle, en la regardant dans les yeux : Ysolde, accepterais-tu de devenir officiellement ma petite amie ?... Bon ce n'était certainement pas le bon truc pour demander ce genre de chose mais au moins, même s'il se prenait un non en pleine face, il aurait été capable de demander à Ysolde. Restait plus cas savoir la réponse de la blonde. D'ailleurs, le jeune homme était toujours à genoux entrain d'attendre la réponse.

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MessageSujet: Re: IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (graeme+ysolde)   IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (graeme+ysolde) EmptyMer 9 Nov - 17:39

Ysolde était sorti avec deux types dans sa vie, bon il y avait eut des « amoureux » d’une semaine, quand elle était plus jeune. Ysolde n’était pas le genre de fille qui sortait avec quelqu’un à légère, à chaque fois ses histoires avaient durés, vraiment. La première était avec Duncan, et ça c’était fini d’une bien triste façon, il était parti à Azkaban. Il y a de meilleures circonstances pour finir sa première vraie relation. Quand elle y pensait, Ysolde partait avec une première vraie histoire très dure, c’était peut être ce qui expliquait pourquoi elle était si réticente, si sur la réserve. Puis, il y avait eut Ulysse, une histoire imposée et fabriquée par leurs pères respectifs, qui avaient comploter pour qu’ils se marient et élèvent ensemble une batterie de « faux sang pur ». heureusement, qu’Ulysse n’avait jamais découvert qu’elle était de sang mêlé, elle n’aurait peut être pas pu être là aujourd’hui. Leur histoire avait mal commencé, dans la haine, et les cris. Elle avait poursuivit dans un amour préfabriqué, puis elle était c’était fini dans la haine, la colère, et surtout une terrible violence. Elle vivait donc avec Graeme sa troisième relation, elle priait sincèrement pour qu’elle ‘nait rien d’aussi tragique que les précèdentes. Lui n’avait rien d’un psycopathe, ou encore d’un mangemort, elle espérait sincèrement. Sur la question né moldu, elle ne connaissait pas la position du jeune homme, mais elle s’en fichait, pour elle on était sorcier quand on savait manier sa baguette, ça se limitait à ça, et même certains sang pur ne savaient pas manier leur baguette, c’était dire.
Elle était bien contre lui, rassurée. La jeune femme avait sans cesse besoin d’être rassurer, elle était fragile, et facilement inquiète, même s’il n’y avait pas besoin de mots, le fait d’être contre lui lui apportait un certain réconfort. Elle serait bien restée des heures contre lui. C’était moins aventureux que sur le canapé, mais cela lui convenait. Tout à coup, le jeune homme la tira de ses pensées, et se décolla alors d’elle. La jeune femme cru un instant qu’il allait lui demander de partir, ou je ne sais quoi. Ysolde était une professionnelle quand il s’agissait de se faire des films, elle était déjà persuader qu’il n’avait pas envie d’être contre elle. Mais, quand il se mit à genoux, elle… ne comprit pas sur le coup. Sur le coup, quand on pose un genou sur le sol, et qu’on attrape la main de sa douce, c’est pour une demande en mariage, c’est pourquoi la jeune femme resta muette par surprise. Pitié, par ça, pensa-t-elle. Heureusement, ce n’était pas ça, ça aurait été… inconscient. Ysolde, accepterais-tu de devenir officiellement ma petite amie ?... Elle poussa un léger soupire de soulagement. Et lui adressa alors un vrai sourire, à la ysolde, comme si elle était à la fois timide et espiègle en même temps. Le jeune homme tenait alors toujours la main de la jeune femme. Celle-ci tira alors dessus pour le forcer à se relever en douceur – en même temps elle n’aurait pas été capable de le faire avec force. Elle le « força » donc à se relever doucement, elle ne tenait pas à parler à quelqu’un à genoux devant elle, cela faisait tellement supérieur, et soumission. Elle ne lui lâcha pas la main, et fit un pas vers lui, afin d’être plus proche de lui. Elle avait ce sourire heureux et espiègle aux lèvres (assez proche finalement du sourire qu’elle affichait quand elle faisait sa garce parfois, autrefois). Demandé comme ça… je ne peux qu’accepter, Graeme. Elle s’approcha de lui, lâchant doucement sa main, et l’embrassant tendrement, quand elle rompit le baiser, elle déclara le sourie aux lèvres : Je suis officiellement ta petite amie. Officiellement. Ce mot en disait long, le droit de s’embrasser publiquement, de s’enlacer, etc. Officiel est un mot qui fait peur à beaucoup de monde, bien ils n’en étaient pas à la présentation aux parents, et pour Ysolde se jour n’arriverait jamais, elle ne tenait pas présenter son psycopathe de père (qu’elle ne considérait plus comme son père), et sa mère était morte. Mais on en était encore loin.

HJ, pardon, c'est minable. Arrow
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MessageSujet: Re: IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (graeme+ysolde)   IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (graeme+ysolde) EmptyMer 9 Nov - 20:11

Ce n'était jamais facile de demander, surtout une demande comme celle-ci, lui même n'avait jamais demander à une demoiselle, c'était bien la première fois mais ce n'était pas trop mal pas vrai ? Il y avait pire sans doute comme façon de demander. Bon évidement, se mettre à genoux n'était pas normalement fait pour cette demande mais bon, pourquoi ne pas tenté avec cette façon. Le jeune Reinhaart était toujours un genou au sol, il regardait la blonde dans les yeux, en espérant tout de même ne pas avoir une réponse négative, même si dans une situation comme celle-ci, il fallait s'attendre à tout même au pire. Soudain, la serpentarde se mise alors à sourire pendant que le jeune homme lui, avait la boule à la gorge, le stress au ventre, c'était dingue comment une demande comme celle-ci était aussi stressante. Le jeune Reinhaart avait toujours la main de la blonde dans la sienne mais quand il sentit que la blonde tira sur sa main, il se leva doucement. Puré, il avait tellement peur que sa demande soit rejeter. Ce n'était pas comme si il lui avait demander sa main, non, c'était simplement une demande afin que la blonde devienne sa petite amie officiellement. Ce qui était une bonne chance non ? Que tout soit clair entre eux car le jeune homme avait tellement envie que tout soit officielle, qu'il n'y est plus aucun doute dans leur situation, de savoir ou ils en étaient ou bien le contraire. Il remarqua alors le sourire de la blonde sur ses lèvres. Etait-ce vraiment une bonne nouvelle qui l'attendait ? Ou bien était-ce une manipulation ? Non impossible que la blonde manipulait le jeune homme. Jamais elle ne l'avait manipuler, ce n'était pas maintenant qu'elle ferait si ? Le blond avait toujours la main d'Ysolde dans la sienne, d'ailleurs celle-ci se rapprocha de lui, c'était bon signe pour lui. Il appréciait son sourire, pire que sa, il aimait son sourire, c'était son propre chauffage, sa propre joie de la journée. Son sourire apportait tellement beaucoup sans qu'elle ne le sache car oui, le jeune Reinhaart n'était pas très expressif vis à vis de ses sentiments mais il avait tout de même été loin dans sa façon de lui demander qu'elle soit sa petite amie. Il avait jouer comme dans la vieille époque qui ne se faisait plus. En faite, il avait vu sa dans un vieux bouquin. Comme quoi, c'était toujours bon de s'instruire un peu. Son sourire le rassura mais le sourire de la blonde fit sourire le rouge et or même avec ce stress qu'il ressentait. Demandé comme ça... Je ne peux qu'accepter, Graeme. Victoire ! Sa vieille façon de demander à une demoiselle, mais pas n'importe laquelle au passage, avait fonctionner. Ce n'était sans doute pas la meilleure façon de demander mais au moins, c'était victorieux au final. Le jeune homme laissa alors la blonde se rapprocher de lui puis d'échanger un baiser tendrement qui ne fit que plaire au blond qui avait le sourire aux lèvres. C'est dingue, un simple oui, un simple mot et voilà que le froid était enlever, plus de barrière et c'était tant mieux d'ailleurs. Il savait qu'il avait encore beaucoup à faire comme montrer ce qu'il ressentait ou bien encore lui prouver à quel point il l'aimait mais avec le temps il y arriverait. Il le savait mais surtout espérait. Il savait qu'il avait encore beaucoup d'effort à fournir mais il se donnerait à fond, du mieux qu'il pouvait afin que la blonde soit heureuse et ne souffre pas comme avec ses histoires anciennes. Il voulait que son histoire soit différente de celle que la blonde avait vécu, vraiment différente. Mais il verrait bien. La belle blonde arrêta doucement le baiser avec le sourire. Puis prit alors la parole : Je suis officiellement ta petite amie. Officiellement. Quel beau mot avant tout. Pour beaucoup cela ne disait rien mais pour le jeune Reinhaart cela voulait dire beaucoup. Il avait le sourire aux lèvres, il était content, heureux, comme un gamin qui ouvrait son cadeau de noël et qui découvrit la voiture dont il avait toujours rêver. Sauf que là , ce n'était pas une voiture mais la femme dont il avait toujours protégé, défendu, mais surtout apprécier puis aimer. Mais elle avait été également la femme qui apparaissait dans ses rêves, même dans ses rêves les plus fous. Mais également la femme qui avait apparut dans ses pensées. D'ailleurs quelque professeur avait remarquer qu'il était dans la lune, quel bon jeu de mot, lui qui était un passionné de l'astronomie. Le jeune Reinhaart posa une de ses mains doucement au cou de la blonde et approche ses lèvres à celle de sa blonde afin de l'embrasser d'un baiser assez... Tendre mais également avec de la passion. Quelque secondes plus tard, il arrêta le baiser avec de caresser doucement la peau de sa blonde avec son pouce. Comme quoi, leur moment ne s'était pas trop mal passé. Il la regarda dans les yeux avec le sourire aux lèvres en lui adressant la parole : Sa te dit qu'on se repose sur le canapé ? Autant en profité. Le jeune homme parlait bien de se reposé et de garder les vêtements !

HJ: J'avais pas d'idée Arrow
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (graeme+ysolde)   IT'S YOU AND ME AGAINST THE WORLD (graeme+ysolde) EmptyMer 9 Nov - 21:31

Le jeune homme posa doucement sa main dans le cou de la blonde, approchant ses lèvres des siennes pour l’embrasser. Leur second baiser en tant que couple, cela ne changeait rien techniquement, mais c’était la première fois depuis un sacré moment qu’une chose comme celle-ci arrivait naturellement chez Ysolde, son dernier petit ami était le fruit d’un arrangement, là c’était arrivé de façon naturelle. Ils étaient tout les deux des sorciers majeurs (au pire on s’en fiche un peu), ils avaient appris à se connaitre, et maintenant ils étaient ensemble. Pour la première fois depuis longtemps, ysolde pourrait dire qu’elle avait un petit ami. A qui pourrait-elle en parler ? Alecto, obligé. Elle serait même la première à le savoir, en tout cas, avec sa meilleure amie c’était comme ça que ça marchait. Elle pourrait éventuellement en parler à Morgana, qui était aussi une de ses très proches amies. Elle n’avait personne d’autre à qui parler. Dahlia était une amie pas une confidente comme Alecto. Autrefois, quand il arrivait quelques choses dans la vie d’Ysolde, les filles du dortoirs mourraient d’envie de savoir, aujourd’hui elles ignoraient totalement la jolie blonde. Ysolde essayait de passer au dessus de ça, et le beau blond y était pour beaucoup.
Le jeune homme rompit le baiser qu’ils partageaient pour regarder la jeune femme et caressé sa peau avec douceur. Elle aimait quand il la regardait dans les yeux avec ce regard. Puis, il afficha un sourire, et il dit alors : Sa te dit qu'on se repose sur le canapé ? Autant en profité. Se reposer ? Pour Ysolde cela insinuait garder ses vêtements, elle espérait qu’il avait bien compris qu’elle n’était pas encore prête à se reposer avec lui avec moins de vêtement. Ysolde avait envie de passer du temps avec lui, beaucoup de temps. Elle aimait profiter du temps avec lui. La jeune femme esquissa alors un sourire, et acquièça alors. Le canapé, oui, sa chemise déboutonnée, non. elle veillait au grain. Elle ne se souvenait pas avoir été aussi « prude », ou aussi peureuse avec les autres. Quoi que, quand elle y pensait Ulysse lui avait fait des crises, plusieurs fois. La jeune femme lui prit alors la main tendrement et le tira vers le canapé. Quand elle eut envie de s’asseoir, la jeune femme regarda la montre au poignet de son petit ami ( oui, c’était le cas désormais ). Par Merlin ! Il était l’heure du repas, et Ombrage s’amusait à faire l’appel. Enfin… dans cinq minutes, le service commencerait ! la jeune femme s’arrêta avant même de s’asseoir et s’écria alors : On va être en retard pour le repas ! Ombrage fait l'appel ! Elle la lâcha et s’empressa d’aller attraper son pull, et l’enfila convenablement, faisant bien attention à laisser sortir le col de sa chemise, elle attrapa son sac, et attrapa la main de Graeme. Ysolde était une rapide, elle réagissait rapidement. Avant de passer la porte elle leva les yeux au ciel, et resserra le nœud de cravate du jeune homme : desserré à cause de ce qui c’était passé. Ombrage n’aimait pas les gens mal habillé, là, si elle trouvait quelques chose à dire sur Graeme, Ysolde ne comprenait plus.Elle avait son sac sur l’épaule, et saisit de nouveau la main de Graeme. Ils étaient pour la première fois un couple dans les couloirs de Poudlard. Derrière eux se refermait la salle sur demande, et la porte disparue soudainement dans le mur de pierre. Ysolde aimait particulièrement la magie de Poudlard. Ils n’allaient sans doute pas être en retard au repas, elle espérait.


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