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Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde

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MessageSujet: Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde   Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde EmptyMer 30 Nov - 15:48

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Aujourd'hui, le rouge et or s'était retrouver sous une pluie battante mais cela n'avait pas été le pire de la situation. Non le pire était qu'il s'était retrouver dans le même vestiaire qu'Ysolde Wilkes, son ex petite amie à présent après une rupture assez froide au beau milieu d'un couloir. La sensation de se sentir abandonner avait pesé sur les épaules du blond qui avait préféré s'éloigner des autres étudiants et de les fuir. Évidement avec l'habitude cela , n 'avait rien changer à la situation, à par le faire de ne plus être aussi proche de la serpentarde. Il s'était retrouver dans le même vestiaire qu'elle mais il s'était également retrouver face à son passé. Parler à son ex petite amie n'était jamais aussi simple que se que l'on croyait, il y avait tellement de souvenir qui vous venait en tête quand vous croisez son regard ou bien quand vous allez dans un lieu. C'était des souvenirs qui parfois vous rendait le sourire ou bien qui vous poignardait encore plus le cœur. Une sensation bien drôle de ce que vous aviez pu ressentir jusqu'à présent. Une sensation qui vous prenait la gorge mais également les pensées car vous ne saviez plus ce qui était le bien et le mal dans tout ça. Peut être que finalement le mal avait été du fait de s'être accrocher à elle ou bien le bon était que tout cela se soit fini aussi rapidement. Ou bien alors était-ce le contraire. Finalement, tout s'était pas trop mal passé dans les vestiaires, tous les deux s'était seulement mal parler, dans des voix assez différentes cas la normalité des choses. Après qu'Ysolde soit partit des vestiaires, le rouge et or avait prit soin de partir en marchant après tout, courir n'aurait servit à rien étant donner que la pluie et le tonnerre s'était arrêter mais surtout éloigner. Il avait remarquer le temps était devenu bien plus frais que celui du mois de septembre et d'octobre. Il avait remarquer également que la situation à Poudlard changeait, avec toute les nouvelles règles descendu tout droit du ministère, de la grosse dame. Poudlard n'était plus un lieu que Graeme appréciait, si Ysolde était partit à Beaubaton comme elle lui avait dit, il serait sans doute partit à Dumstrang, école des Russes mais également école de garçon. Il aurait sans doute préféré d'ailleurs aller dans cette école qui paraissait très bien avec un bon niveau. Un niveau, c'était tout ce que voulait Graeme, un niveau qui sans doute ne serait pas supérieur à celui qu'avait les étudiants d'ici mais au moins il n'y aurait aucune différence entre le ministère et Poudlard ou bien entre les étudiants. Après avoir marcher jusqu'au château, il s'était réfugié dans les douches des rouge et or afin de profiter de la chaleur que dégageait celle-ci. Il avait enfiler correctement sa tenue du château, c'est à dire sa chemise blanche, son pull noir avec deux traits rouges qui montrait ses couleurs, sans oublier sa cravate rouge et or avec le signe des Gryffondor. Puis il avait son pantalon noir, ses chaussures et chaussettes noirs. Tout était accorder. Sa chemise ne dépassait pas du pull et sa cravate était correctement mise. Il ne voulait pas être de nouveau dans le radar de la grosse dame rose. Après cela, il avait lu le bouquin sur l'histoire de Poudlard, tout en cherchant la page 107 qui était la page ou on parlait de ce fameux miroir qu'ils devront ce soir. D'après le livre, le miroir ne montrait que ce que désirait le cœur et non le visage de la personne qui regardait ce fameux miroir. Après avoir lu ses quelques informations, il descendit alors à la grande salle manger. C'était le repas du soir, un moment ou tout les visages était souriant. Sauf celui de Graeme qui pensait à autre chose. Premièrement à trouver ce fameux miroir, deuxièmement, il pensait à sa rupture qu'il avait eu avec Ysolde et troisièmement, il se demandait ce que verrait la blonde une fois en face de l'objet. Si ce n'était pas sa mère qu'elle verrait qui cela pourrait être ? Pevensie ? Lestrange ? Le prince des serpentards disparu depuis un long moment ? Il ne savait pas. Peut être un des moments de son futur. Il n'en savait rien et il était comme un gamin à se posé des questions pour savoir. Après avoir parler à quelque élèves de sa maison, il suivit alors tout le monde dans la salle commune. Quelque temps plus tard, il se précipita à travers les escaliers et les dévala afin de se joindre au hall. Le lieu de... D'attente. Le jeune homme arriva. Il n'y avait personne, a vrai dire il était en avance. C'était l'une des qualités du rouge et or. Être ponctuel. Parfois cela lui arrivait d'arriver dix minutes avant le cours, mais cela ne l'avait jamais déranger. Bien au contraire, avant il pouvait choisir sa place mais aujourd'hui, il traînait des pieds pour aller en cours, surtout que la plupart du temps il était installer près de Reagan Goyle. D'ailleurs celle-ci avait fait le choix de ne plus jouer avec le feu. Du moins c'est ce qu'il croyait. Soudain il entendit des bruits de pas derrière lui. Il se tourna et dit alors avec un petit sourire :  « Tu es pile à l'heure. » Être là avec elle, lui rappelait à quel point le passé était bien meilleur que le présent qu'il vivait au jour d'aujourd'hui. C'est vrai, avant il aurait pu lui prendre la main, afin de la rassuré ou bien de la prendre contre lui. C'était quelque chose qu'il avait longuement apprécié, si il avait su que tout cela se finirait tôt, vite, il ne savait même pas à quel point il aurait profiter de ses instant passé avec elle. Il la regarda et se rendit alors compte, qu'elle était toujours aussi belle à la vue :  « On y va ? Tu te sens prête ?. » Prête, il fallait qu'elle le soit. Ni lui, ni elle ne savait ce que la blonde verrait mais le blond serait là si les choses dérapait. Il serait toujours là pour elle. C'était sur.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde   Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde EmptyMer 30 Nov - 18:39

Elle avait passé plus d’une demie heure sous la douche, personne n’était venue lui dire de laisser la douche pour quelqu’un. Elle avait eut besoin de se réchauffer, la pluie lui avait sacrément fichu froid, et elle avait eut du mal à se réchauffer. Oui, car la jeune femme avait décidé de faire un peu de quidditch dans l’après midi et c’était retrouvée complètement trempé, en présence de son ex petit ami – Graeme – dans les vestiaires du stade. Ce n’était pas franchement l’entente cordiale, en fait, c’était la quasi mésentente totale aux yeux d’Ysolde. Etre avec son ex, c’est « horrible », surtout lorsque l’on possède encore des sentiments pour celui-ci, et que présence rend les choses tellement plus difficiles. Sous la douche, elle avait essayé de se détendre, de penser à autre chose, mais ce n’était pas forcément facile. La jeune femme après s’être douché, sècha doucement ses cheveux, en les laissant bouclé doucement, elle laisserait ses cheveux lâché, pour une fois. Cela ne changeait pas son visage mais lui donnait moins l’air de la serpentarde qu’elle avait été autrefois. Elle avait trainé un moment sur son lit, et fidèle à elle-même elle avait sorti un livre. Un livre sur l’histoire de la magie, elle lisait des trucs assommant parfois, mais elle aimait ça. Elle n’avait pas vu le temps passer. Quand elle se plongeait dans un livre c’était pour elle l’occasion de penser à autre chose et d’oublier Graeme, pour un certain temps. Enfin, le temps de refermer le livre, et elle réalisait qu’après le repas, elle allait « passer du temps » avec lui, mais pas dans le sens où elle aurait pu l’espérer. Elle poussa un soupire en regardant l’heure, l’heure d’aller manger. Elle n’avait pas super faim, mais bon, elle irait grignoter quelque chose. Elle se leva de son lit, remettant sa jupe comme il le fallait. Elle détestait se fichu uniforme, si elle avait été à beaubâton, elle aurait eut un plus bel uniforme, il n’y en avait qu’à juger les photo de sa mère lorsque celle-ci était à l’école. La même personne qu’Ysolde, à quelques différence près.

Elle sorti de la salle commune, en trainant un peu de pied, se rendre aux repas n’était pas le moment favoris de la journée. Non, diner en compagnie de personne prête à ne faire qu’une seule bouchée de vous, ce n’est pas la meilleure idée. Elle arriva au repas, et s’assit à la table dans un coin tranquile, loin des requins qu’étaient les Black, par exemple. Elle avait l’estomac noué, l’idée de trouver ce miroir lui coupait littéralement l’appétit ; oui, l’idée voir sa mère la réjouissait, et la terrorisait tellement à la fois. Elle avait rien touché dans son assiette. Elle se leva finalement et quitta la grande salle pour se rendre dans le hall d’un pas… non assuré. Oui, Graeme et le miroir à la fois c’était… déstabilisant pour la jeune femme. Elle arriva alors dans le hall et vit Graeme, de dos, il se retourna alors semblant l’entendre arriver : « Tu es pile à l'heure. » Oui, la jeune femme était toujours pile à l’heure où elle fallait qu’elle soit, tout le temps. Ce n’était pas du tout son genre d’être en retard. Elle le vit sourire, et en retour lui adressa un sourire. Un « mince » sourire, elle avait l’estomac totalement nouée, alors elle était un peu de « mauvais poil », dans le sens ou avec l’estomac complètement noué, on a tendance à ne pas beaucoup sourire. Il ajouta alors : « On y va ? Tu te sens prête ?. » On ne se sent jamais vraiment prête pour cela mais… bon, il fallait faire avec. Elle dit alors : « Je ne suis pas vraiment prête, qui le serait ? C'est le temps de "saisir" ma chance. » Saisir sa chance, c’était peut être le moment. Le miroir pourrait l’aider à faire le point sur sa vie, sur ce qu’elle ressentait. Oui, elle ne savait pas ce qu’elle allait y voir ; peut être même qu’elle n’y verrait pas sa mère. Peut être qu’elle y verrait Ulysse, sincèrement, elle en doutait, elle le détestait tellement. Peut être Duncan, même si cela lui paraitrait étrange. Ou peut être finalement Graeme, après tout. elle lui adressa un mince sourire, et dit alors : « On y va alors. » Dans un certain silence, ils quittèrent le hall. Oui, un certain silence, c’est en trainant presque des pieds qu’ils arrivèrent finalement au quatrième, et elle ajouta alors : « tu as une idée de quelle porte il s'agit ? » Elle était anxieuse, et plus elle approchait de cet étage, plus son estomac se nouait. Elle aurait aimé le serrer dans ses bras, prendre sa main pour se calmer, mais elle faisait plutôt attention à conserver une certaine distance entre eux, c’était mieux comme ça.
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MessageSujet: Re: Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde   Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde EmptyMer 30 Nov - 21:17

Passé du temps avec son ex, qui aurait cru cela possible ? C'est vrai, on a jamais la tête à passé du temps avec son ex, simplement parce que cela devrait faire part du passé et non du présent et encore moins du futur. Contrairement aux autres étudiants et même personne, le rouge et or appréciait de passé du temps avec son ex. C'était bizarre à cause de la distance que les deux mettait entre eux, c'était également bizarre à cause du silence entre eux. Personne ne parlait, du moins pas Graeme, c'était comme si il était face à son propre mur, un mur qu'il n'arrivait pas à détruire face à tout ça. Il n'était pas faible, il se trouvait juste entre deux propositions. Premièrement celle de pouvoir passé du temps avec elle en tant qu'ex petit ami. Une proposition qu'il devait accepter étant donner qu'au jour d'aujourd'hui c'était le cas. Deuxièmement proposition, vouloir être proche d'elle, c'est à dire comme avant, au bon vieux temps comme dirait Graeme. Pendant des nuits, le jeune homme n'avait pas fermer les yeux à cause de ses cauchemars, des cauchemars qui lui remontrait la rupture sans cesse. Pourquoi revoir les images qui vous font le plus mal ? C'était une question qu'il s'était posé des centaines voir des milliers de fois. Il ne savait jamais pourquoi on oubliait ce dont on préférait, ce dont on aimait, ce qui nous avait rendu heureux, plutôt que de garder en mémoire ce qui faisait le plus mal, ce qui nous détruisait de l'intérieur. Même à l'extérieur, cela se voyait que cela n'était pas vraiment clair, que ça n'allait pas et pourtant, il fallait savoir faire avec. « Je ne suis pas vraiment prête, qui le serait ? C'est le temps de "saisir" ma chance. » Elle avait raison, qui serait prêt à faire face à la vérité, à faire face à sa propre mère qui est décédé, a la voir à travers un miroir, un miroir qui soit disant touchait pratiquement le plafond à quel point il était haut de hauteur. Le jeune homme ne savait même pas si il aurait eu le courage que la blonde avait ce soir. D'ailleurs, il lui en fit part : « Avant qu'on aille au quatrième. Je voulais te dire que moi-même je ne sais pas si j'aurais eu le courage d'affronter ce que tu vas affronter ce soir. Et, je suis content que tu es prise cette décision. Affronter la vérité, c'est toujours mieux pour avancer. » Il était sincère. Il ne savait pas si il aurait eu le courage d'affronter la vérité, cette vérité qui pouvait très bien être fatale. IL ne savait pas qui la blonde apercevrait dans ce miroir, sa mère ou peut être bien Lestrange ou bien Pevensie ou bien pire encore, son propre père. Ce que d'ailleurs le jeune homme n'espérait pas. Il voudrait qu'Ysolde voit sa mère, sa mère qui sourirait en voyant ce qu'était devenue sa propre fille. La blonde se mise alors à sourire un petit peu au rouge et or avant de dire : « On y va alors. » Les deux jeunes montèrent les escaliers en direction du quatrième étages tout en gardant le silence mais également le calme. Aucun des deux ne parlèrent. Drôle de situation pour un ancien jeune couple. Le jeune homme ne savait pas vraiment comment il devait se comporter ave c elle, il ne savait pas si il devait être proche pour cette événement de ce soir, ou bien si il devait se tenir éloigné. Il ne savait pas comment la blonde réagirait une fois en face du miroir dans la pièce. D'ailleurs, en parlant de miroir, il se mit a réfléchir à quel endroit pouvait-il se trouver, dans quel pièce. Le jeune homme se mit alors réfléchir, il n'y avait qu'une porte, qu'il n'avait pas ouvert depuis toutes ses années parce qu'il n'avait jamais su ce qui se passait derrière, ce qu'elle contenait. La serpentarde posa alors la question qui fit alors bien plus réfléchir le jeune homme : « tu as une idée de quelle porte il s'agit ? » Ils arrivèrent dans le couloir ou était positionner les portes. Le rouge et or regarda attentivement les portes. C'était comme un défi que lui tendait le château, c'était en même temps excitant mais à la fois stressant. Stressant parce qu'il ne savait pas vraiment si cela se finirait bien ou si la blonde se mettrait dans un état... Dans laquelle il ne l'avait jamais vu. Et c'était à la fois excitant car il prenait un risque en l’emmenant dans la pièce. Enfin c'était surtout le risque que quelqu'un les voit tous les deux près de cette pièce. « Disons qu'il n'y a qu'une seule et unique porte que je n'ai jamais ouverte depuis que je suis à Poudlard. Je suppose que ça doit être celle-ci. » Le jeune homme marcha auprès de la blonde jusqu'à la porte du fond. Une porte noir, bizarrement elle n'était pas de la même couleur que toutes les autres. Elle était noir avec des dessins d'un ancien temps. Le jeune homme s'approcha de la porte et essaya de l'ouvrir normalement. Il se rendit alors compte que la porte était verouiller. Il sortit sa baguette et chuchota un : « Alhomora. » La porte s'ouvrit alors, le jeune homme poussa la porte en entrant doucement la tête dans la pièce afin de voir s'il ne s'était pas tromper de pièce. Heureusement ! Celle-ci était la bonne ! Il recula alors afin de parler à la blonde après avoir aperçu le miroir un peu plus loin au milieu de la salle vide. [color=gray]« Il est temps pour toi.... Après toi... » Le jeune homme ouvrit la porte afin de laisser la blonde entrée dans la pièce. Il la regarda alors. Le moment était arriver. [color=gray]« Prend ton temps... Je surveille la porte... » Un petit sourire fit son apparition sur les lèvres du rouge et or en regardant la serpentarde. C'était enfin l'heure de la vérité.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde   Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde EmptyMer 30 Nov - 21:57

« Avant qu'on aille au quatrième. Je voulais te dire que moi-même je ne sais pas si j'aurais eu le courage d'affronter ce que tu vas affronter ce soir. Et, je suis content que tu es prise cette décision. Affronter la vérité, c'est toujours mieux pour avancer. » Elle ne se sentait pas vraiment courageuse, elle avait peur de s’enfuir au dernier moment. Affronter la vérité, c’est toujours mieux… Ysolde ne savait pas. Elle avait affronté la vérité cet été, et sa vie s’était éffondré, elle avait tout perdu, tout ce qu’elle avait, et elle se demandait si elle était capable de tout récupérer un jour… Après, ils étaient partis en direction du quatrième étage, direction de Miroir du Risèd. Cela effrayait tellement Ysolde, tellement.
Passer du temps avec son ex petit ami, ce n’est pas franchement la meilleure technique pour oublier cette même personne. Ysolde tenait à passer à autre chose, même si sincèrement elle était encore très amoureuse de lui, de Graeme. C’est encore plus dur de tourner la page quand on aime encore cette personne. Sincèrement, Ysolde ne voyait pas comment ils pourraient être de nouveau ensemble, après tout elle se sentait tellement coupable de s’être emporté, et elle se trouvait indigne de Graeme, même dans les vestiaires il avait été gentil avec elle, alors qu’elle était odieuse. C’était ça qui lui plaisait aussi chez Graeme, il était différent, au fond c’était quelqu’un de bien, ce qui en soit être exceptionnel, Ysolde n’avait aimé que des garçons qui n’étaient des types bien, cela l’avait changé, et pire que ça, elle s’était sentie bien, aimé. Elle lui demanda même s’il savait de quelle porte il s’agissait. Le nœud de l’estomac de la jeune fille ne cessait de se nouer d’avantage à chaque seconde. Elle avait bien fait de ne pas manger, c’était mieux, sinon elle aurait pu être capable de vomir tellement son estomac était noué. Elle adressa un regard à Graeme, espérant qu’il lui laisserait un temps de répit avant d’entrer dans cette salle. Espérant qu’ils aient quelques portes à essayer avant de trouver la bonne… hélas, il répondit alors : « Disons qu'il n'y a qu'une seule et unique porte que je n'ai jamais ouverte depuis que je suis à Poudlard. Je suppose que ça doit être celle-ci. » Et merde, pensa alors Ysolde. Une seule porte. Une seul pourquoi fallait-il savoir de quelle porte il s’agissait ? au moins, le suspens ne serait pas indéfini et insoutenable. Elle se mordit doucement la lèvre inférieur, signe qui traduisait chez elle une anxièté. Elle se mordait la lèvre, là où d’autre se rongeraient les ongles. Le jeune homme s’approcha de la porte et dit alors doucement : « Alhomora. » Avec un peu de chance, cela ne fonctionnerait pas, mais la porte s’ouvrit, faisant monter l’anxièté chez la jeune femme. Et si elle voyait quelques choses qu’elle refusait ? il se recula alors pour s’adresser à Ysolde : « Il est temps pour toi.... Après toi... » Il la laissa passer, et dit alors, avec un petit sourire : « Prend ton temps... Je surveille la porte... » Elle baissa les yeux, et les leva après quelques secondes vers le jeune homme et dit à mi-voix avant de rentrer dans la pièce : « Merci graeme. » Ils n’étaient « plus rien » l’un pour l’autre, elle aurait pu l’appeler Reinhaart, comme elle l’avait fait dans les vestiaires, mais graeme était sortie de façon tellement naturelle. Elle lui adressa un petit sourire, et entra dans la pièce.

Cette salle lui était inconnue. Au fond de celle-ci se dressait un immense miroir, magnifique. Le miroir du Rised. Elle avait peur de s’approcher de trop près, de peur de voir les choses apparaitre. Mais, il fallait saisir sa chance. Elle s’approcha alors du miroir, n’y voyant que son propre reflet. Pour l’homme le plus heureux du monde, il n’y verrait que son simple reflet, mais Ysolde n’était pas la femme la plus heureuse du monde, certainement pas. Son reflet devint alors très net. Elle se voyait, elle simplement, portant son uniforme, et derrière elle, enfin à côté d’elle une femme plus âgé, naturellement. Une femme aussi brune que sa tante Sofia, plus grande qu’Ysolde, le visage plus marqué peut être. La ressemblance était frappante – hormis la couleur de cheveux – c’était évident, c’était la mère d’Ysolde. Celle-ci lui adressait un sourire, rassurant, et quand elle posa la main sur le reflet de la Blonde, Ysolde eut envie de pleurer. Des larmes muettes, elle reniflait en silence. C’était la première fois qu’elle voyait sa mère, « en vrai ». Elle faisait une fixette sur sa mère, c’était ça qu’elle désirait le plus, voir sa défunte mère. Il avait tellement mieux comme rêve, celui-ci ne pourrait s’accomplir, jamais. Elle était tellement obnubilée par sa mère qu’elle ne faisait que fixé le visage rassurant de celle-ci. Elle tourna alors les yeux une seconde, une autre personne était là, une personne vivante, Graeme. Cela faisait tout à coup encore plus mal de savoir qu’il était juste dehors, là, à attendre et que dans le miroir il s’approcha d’elle, pour poser une autre main sur son épaule lui adressant un sourire tendre, amoureux. Elle reporta alors son regard sur sa mère. Ysolde étouffa un sanglot, elle n’avait pas souvent pleuré, non. Ysolde était quelqu’un de fort, mais à un moment, elle lâchait tout, et fondait littéralement en larme. Ysolde lâcha un murmure, en posant sa main sur le visage de sa mère sur le miroir : « Maman... »
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MessageSujet: Re: Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde   Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde EmptyJeu 1 Déc - 18:45

« Merci graeme. » Voilà ce que venait de dire la serpentarde au jeune homme. Elle était entrain de le remercier. Pour lui, c'était tout à fait normal ce qu'il faisait, il n'était pas le genre d'homme à oublier rapidement les gens, malheureusement d'ailleurs car celui lui avait coûter plus de mal que de bien. Il regarda alors la serpentarde entrée dans la pièce, la pièce ou était ce fameux grand miroir. Le jeune Reinhaart l'avait vu de loin, il avait pu constater qu'il était très grand de hauteur et même de taille. Quelque chose qu'il n'avait jamais vu auparavant. Il n'avait jamais vu un aussi grand miroir, en ayant le contour gorger d'or comme décoration. Ce miroir le laissait encore plus curieux. C'était bizarre qu'après toute ses années passé à Poudlard, Graeme n'avait jamais été dans cette fameuse pièce, qui naturellement avait toujours été fermer à clés. Jamais il n'avait vu entrer quelqu'un ni même ressortir de cette salle. Sans doute parce que l'accès était interdit mais alors pourquoi garder un miroir ici si cela ne servait à rien. Ou était la logique des choses ? Lui même ne savait pas. Heureusement, le miroir n'était pas tomber dans de mauvaise main, on ne sait jamais réellement ce que les gens peuvent voir. Il espérait en tout cas qu'Ysolde voit sa mère décédé. Ce qui pourrait sans doute la rendre un peu plus forte dans les jours à venir. Le rouge et or attendait auprès de la porte, il regardait les alentours, il surveillait, pour ne pas se faire surprendre à cet heure-ci dans le couloir. Il se disait que si la grosse dame était proche de là, il se ferait prendre mais que finalement, cela serait mieux pour Ysolde qui pourrait pleinement profiter de la soirée à regarder ce qu'elle voyait à travers le miroir. Il attendit patiemment contre le mur du couloir, à regarder de droite à gauche. Personne n'était présent à l'horizon. Il se demandait bien ce que pouvait faire la blonde. D'ailleurs, il se demandait si tout ce passait bien, comme prévu. Mais l'envie d'aller voir et le doute de rester ici afin de veiller sur les alentours était trop forte. Il resta alors dix minutes de plus à surveiller. Dix minutes plus, toujours pas un seul chat dans les alentours du couloir, pas un seul bruit. Il donna deux petits coup à la porte après s'être retourner face à la porte. C'était simplement pour prévenir qu'il entrait dans la pièce. Il pénétra doucement dans la pièce et regarda au fond de la pièce ou était Ysolde en compagnie du miroir. Ce miroir, il donnait l’impression d'être géant de loin alors de prêt, il n'imaginait même pas. Il referma la porte derrière lui, il espérait cas ce moment même personne ne passait dans le couloir. Il se mit alors à marcher en direction du miroir, ou Ysolde était positionner. Qu'avait-elle vue ? Que c'était-il passé ? Le jeune homme voulait en savoir plus. Il voulait en savoir plus mais il espérait que tout s'était bien passé jusqu'à ce qu'il entre dans la pièce. Une fois auprès de la blonde, il regarda le miroir puis la regarda attentivement afin de parler : « Je te dérange pas ?... » Le jeune homme regarda alors le miroir puis la pièce. La salle était vide, ni même décoré. Elle était bien loin de ressembler à la salle sur demande. C'était comme une salle abandonner. Une salle qui n'avait aucune ressemblance avec les autres. Elle donnait un air désagréable à la vue. Le jeune homme tourna la tête vers la serpentarde après avoir inspecté la salle. « Alors... C'était comment.. ? Tu as vue quelque chose.. ? » Être curieux, c'était une qualité chez le rouge et or. Il n'était pas le premier pour se mettre dans des situations assez bizarre, il n'était pas le premier à dire tout ce qu'il savait, il n'était ni le premier pour aller balancer les choses aux gens. Mais il était le premier à aller vers l'avant, à chercher ce qui pourrait être son destin, il était le premier à savoir écouter les gens quand il en avait besoin. Finalement, nous pouvions dire que c'était un homme bon de l'intérieur comme de l'extérieur. Il n'était pas le parfait gars, non loin de là, cela lui arrivait de serrer les poings pour ne pas devenir violent face aux autres, ça lui arrivait également de faire des gaffe et de dire des blagues qui était drôle pour lui mais pas pour les autres. Le jeune homme regarda alors les yeux de la blonde, puis les joues. Il remarqua alors que des larmes coulait sur la joue de celle-ci. Le rouge et or se rapprocha doucement de la blonde et posa sa main délicatement au dos de la blonde. Il ne savait pas si s'était des larmes de joies ou bien de tristesse mais il sans fichait. A cet instant présent, il ne voulait que le bonheur de la blonde. Il ne savait pas si cela lui avait fait du bien ou bien encore plus du mal. C'était assez stressant et embêtant. Graeme ne cessa pas de regarder la blonde jusqu'à lui parler : « Je m'inquiétais … Alors je me suis permis de rentré dans la pièce... » Un petit sourire rassurant pour la blonde fit son apparition sur les lèvres du rouge et or. Il ne savait pas vraiment comment si prendre dans une situation comme celle-ci, surtout que la blonde n'était plus sa petite amie mais à présent son ex petite amie. Les choses était bien plus compliquer.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde   Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde EmptySam 3 Déc - 10:59

Le miroir du Risèd était une chose à la fois extraordinaire, et à la fois effrayante. Elle permet de savoir ce que l’on désir le plus au fond, cela permet d’ouvrir les yeux, et de voir quels genre de personne on est. Si l’on voit des désirs matériels, alors on est une personne superficielle. Ysolde désirait voir sa mère, et désirait être avec Graeme, cela traduisait un certain manque d’affection. Elle avait besoin d’être avec lui, vraiment. Avec lui, elle se sentait être une meilleure personne, une personne sensible, douce, drôle, affectueuse, et pas cette garce froide, et sans cœur qu’elle avait l’habitude d’être. Elle n’aimait pas cette personne, elle ne l’aimait pas du tout. Heureusement que le miroir lui renvoyait une image douce, chaleureuse, en fait, le parfait opposée de ce qu’elle était actuellement. Actuellement, elle se sentait odieuse, hautaine, méchante et sans cœur, elle se détestait tellement d’être comme ça. Elle se détestait surtout d’être comme ça avec Graeme, être odieuse avec lui le faisait mal, tellement mal au cœur. Oui, c’est terrible de devoir être odieux avec la personne que l’on aime vraiment. Elle l’aimait vraiment, plus qu’elle avait pu aimer Duncan, plus qu’elle avait aimé Ulysse, c’était évident, ça crevait les yeux, le miroir ne s’y était pas trompé, c’était avec lui qu’elle voulait être et avec personne d’autre. Finalement, ce foutu miroir était une saloperie car il berce celui qui regarde dedans d’illusion. La mère d’Ysolde ne revindrait certainement pas d’entre les morts. C’était impossible, et elle et Graeme… enfin, tant qu’elle agissait de la sorte, et puis, il ne voudrait certainement pas d’une fille comme elle en petite amie.

Elle était debout, silencieuse, face à ce foutu miroir. Sur ses joues humides coulaient des larmes, et au coin de ses yeux, des larmes perlaient. Elle était tellement absorbée par cette image qu’elle ne se rendit même pas compte que Graeme avait frappé, et qu’il était entré dans la salle pour voir comment se passaient les choses. « Je te dérange pas ?... » non. elle posa alors son regard sur lui. Il était tellement différent du Graeme qu’elle voyait dans le miroir, celui-ci lui souriait, et tenait l’Ysolde du reflet avec affection, même avec amour. Il tourna alors la tête vers elle et dit : « Alors... C'était comment.. ? Tu as vue quelque chose.. ? » ce qu’elle avait vu ? Graeme, sa mère. Sa mère une femme qu’elle avait si peu connu, et Graeme un type qu’elle avait finalement si peu connu. Oui, ils se connaissaient si peu, à peine le temps de se connaitre vraiment qu’elle le quittait déjà. Pourtant, Graeme était de loin une des personne qui en savait le plus sur son compte. Il savait pour ses visions, ce qui faisait de lui l’unique personne à savoir la vérité. Elle resta muette, et tressaillis quand le jeune homme posa délicatement une main dans son dos. C’était la deuxième fois de la journée qu’il prenait la peine de lui accorder cette attention de la journée. Elle vit qu’il ne cessait de la regarder tandis qu’elle fixait le miroir, sa mère, et le Graeme du miroir. Le vrai dit alors :« Je m'inquiétais … Alors je me suis permis de rentré dans la pièce... » elle le regarda alors, et le vit lui adresser un sourire. Elle articula alors : « je… je vais bien, pas… pas besoin de t’inquiéter. » Si, il y avait raison de s’inquiéter, elle était en larme, muette, et elle serait capable de rester ici des heures. Elle avait besoin de réconfort, elle serait juste capable se jeter dans ses bras. La main dans son dos la rassurait, dans ses bras, elle se sentirait tellement mieux, tellement. Elle essuya ses larmes avec le revers de sa manche et dit alors :« J’ai… j’ai vu ma mère. Et, je… » Elle resta muette, elle ne pouvait certainement pas dire que c’était lui qu’elle avait vu. Sa mère, cela serait suffisant, elle lui manquait tellement. Ysolde étouffa un sanglot, elle était assez forte pour ça. Dés que Graeme, le vrai s’était rapproché d’elle, l’image de sa mère s’était estompé, et il n’y avait plus qu’eux deux. Elle fixa alors Graeme. Elle avait tellement besoin de lui. Poser la tête sur son épaule, se blottir contre lui, c’était ce dont elle avait envie. Elle détourna le regard, baissa alors les yeux, puis la tête. Instinctivement, elle se rapprocha de lui, elle éclata alors en sanglot.

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MessageSujet: Re: Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde   Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde EmptySam 3 Déc - 16:32

Être ici dans cette pièce, c'était comme avoir été à la rechercher d'un trésor. C'était une découverte qui ne pouvait qu'être bon pour la serpentarde. Pour lui, ce n'était rien, il n'avait pas besoin d'être face à ce miroir, il ne lui manquait rien, à part peut être son ancien bon temps avec la blonde mais il préférait laisser le temps faire les choses. Sans doute en bien sans doute en mal. Il ne voulait pas aller trop vite, sans doute que cela était préférable après cette lourde rupture qu'il avait sentit pesé sur ses épaules. Il ne l'avait pas vu passé, mais il l'avait bien sentit. Cette lourde fin qu'il avait eu du mal à y croire jusqu'au lendemain matin ou tout avait changer. Être ce soir, en compagnie de la blonde, cela lui avait rappeler à quel point l'ancien temps avait été bien meilleur que cela d'aujourd'hui ou seul la distance et le froid était entre eux. Évidement, il avait préféré faire le bien plutôt que le mal, il avait garder son sourire, il avait garder son courage même s'il aurait préféré baisser les bras comme le lendemain de la rupture. Le rouge et or était entrer dans la pièce, il s'inquiétait en étant à l'extérieur de la salle, il ne voulait pas que cela aille mal pour la blonde, au contraire, c'était l'idée du Reinhaart de venir ici à la rencontre du miroir, c'était son idée et il devait en assumer les conséquences au cas ou. Cela ne devait pas être facile à la blonde de voir quelque chose à travers ce miroir. De loin, on aurait pu croire à un simple banal miroir mais finalement, il était bien plus que ça. D'après le vieux bouquin que Graeme avait lu, beaucoup avait vu la gloire et le succès, c'était ce dont les gens à Poudlard avait voulut. Le jeune homme se demandait bien ce que lui aurait voulut voir si il en avait eu le besoin. Sans doute qu'il aurait voulut se voir aux cotés de la blonde ou bien encore de voir son grand père qui lui avait apprit mais également donner beaucoup pendant son enfance. Une enfance qui avait été bien différente de celle qu'avait pu vivre Ysolde. Le jeune homme n'avait pas grandit dans le mensonge , ni même en se sentant différent des autres. D'accord sa famille avait toujours voulut le pouvoir, le pouvoir et la magie, sa famille avait toujours voulut obtenir le pouvoir et finalement il s’en tirait bien. Son père avait finalement un caractère fort mais également sa mère, ce qui parfait donnait beaucoup d'engueulade. Sachant que l'être humain possède 46 chromosomes et que seulement deux font identité de la personne, il savait que 24 chromosomes en lui venait de son paternel et que les 24 autres chromosomes était de sa mère. Finalement, il savait très bien avoir un caractère fort, seulement être fort ne voulait pas dire qu'on pouvait tenir, il fallait savoir faire la différence entre vouloir et pouvoir. Le jeune homme était à coter de la blonde entrain de la regarder. Oui, c'était quelque chose chez lui. Il aimait pouvoir l'admiré, admiré la femme qu'elle était. Ce qu'elle ne savait pas, c'est qu'elle le rendait meilleur. Vraiment quelqu'un de meilleur. « je… je vais bien, pas… pas besoin de t’inquiéter. » Le jeune homme regarda alors la blonde, si elle allait bien, pourquoi avait-elle les joues comme humide. Graeme avait toujours sa main au dos de la blonde, il n'osait pas vraiment la prendre contre lui, sans doute parce qu'entre ex cela ne se faisait pas ou alors très peu. Évidement qu'il aurait voulut y mettre du sien mais il ne savait pas vraiment si c'était préférable. Surtout quand la blonde se mise alors à essuyer ses joues avec sa manche. Il n'aimait pas vraiment voir la blonde dans cet état, pire que ça, il détestait ça. Qui aurait aimer à l'évidence de voir un jour la femme pour qui vous serez capable de vous plier en quatre, de faire le bien et même le mal entrain de pleurer ? Personne. « J’ai… j’ai vu ma mère. Et, je… » Alors voilà donc la raison du pourquoi de ses larmes. Chose qu'il comprenait d'ailleurs. Lui n'aurait sans doute pas pleuré s'il avait été dans cette situation, en faite il ne savait pas. Il avait un cœur comme tout le monde, un cœur qui pompait son sang mais un cœur qui savait apprécier comme aimer. Il avait su apprécier Ysolde mais il avait su également l'aimer, chose qui était toujours présent à l'heure actuel. Le jeune homme regarda alors la blonde attentivement, cela ne devait pas être facile pour elle. D'ailleurs dans les secondes à venir, la serpentarde éclata en sanglot en s'approchant du rouge et or. Celui-ci s'approcha de la blonde tout en se fichant bien d'être son ex ou bien un simple inconnu à ses yeux et la prit alors contre lui. Il se fichait bien de se qui pouvait se passé, c'est à dire se prendre une claque ou bien se faire repoussé par la blonde. Il ne voulait pas la voir comme ça, c'était comme insupportable. Dans une situation comme ça, le jeune homme se sentait incapable de savoir quoi vraiment faire. Mais il était certain qu'il ne fallait pas qu'il la laisse seule. Le jeune homme se mit alors à passé sa main délicatement dans les cheveux de la blonde, simplement pour la calmé, l’apaisé. Elle devait certainement en avoir besoin. « Elle devait certainement être fière de toi Ysolde. » Qui ne serait pas fière d'elle ? Même Graeme était fier d'elle sans le lui dire. Il était fier d'elle parce qu'elle était forte face aux regards des autres étudiants, mais également face aux critiques des autres. Cela n'était jamais facile d'être la cible numéro un des étudiants, pire quand c'était dans sa propre maison que les étudiants menait la vie dur. Ysolde n'était plus qu'une cible aux yeux de tous et le jeune Reinhaart avait essayer de trouver ce miroir pour qu'elle devienne forte. Il avait pensé quand voyant sa mère, elle voudrait se battre face aux remarques des autres, d'être forte même avec soit même et que cela lui ferait du bien. Il ne savait pas exactement si c'était des pleures de joie ou bien des pleures de mal, de manque. « Je pensais que cela t'aurait fait du bien de venir ici... Un peu comme noël à l'avance... » Noël, le jeune homme avait hâte d'être à noël, c'était un moment qu'il passait en famille et qu'il appréciait, même si noël n'était plus aussi magique cas l'époque ou il était encore un enfant, il appréciait noël car celui lui permettait d'être en famille.

HJ: J'espère que cela te plaira et t'inspirera mimi
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Ysölde M. Wilkes McFays
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fondatrice -  prefète de serpentard, attention à vous, je peux éviter la retenue... ou pas.

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MessageSujet: Re: Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde   Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde EmptySam 3 Déc - 17:49

Elle était une fille très compliquée. Oui, compliquée, c’était le mot. On ne sait jamais comment lui faire plaisir. Elle était compliquée, très compliquée, elle ne savait jamais si elle était contente ou pas, elle ne savait pas si elle était de bonne humeur ou pas. Elle était compliquée, pire, elle était un paradoxe ambulant. Un vrai paradoxe. Là, elle était en larme, elle ne savait pas si c’était de la joie ou bien de la peine. D’après elle, c’était un mélange des deux, une certaine mélancolie, et une certaine joie. La mélancolie, car elle savait qu’elle ne reverrait plus jamais sa mère, et que elle et Graeme c’était du passé, et vu l’attitude de la jeune femme cela ne serait plus jamais d’actualité. Elle voulait que cela soit d’actualité, mais…mais cela lui semblait tellement impossible, en plus le fait d’être là avec lui, lui faisait regretter de l’avoir quitté aussi brutalement. Oui, brutalement c’était le mot, elle lui en voulait de ne pas avoir repoussé cette garce, c’était un fait. Ysolde ne laissait pas un garçon s’approcher d’elle, même Duncan, elle savait suffisamment comme le repousser de façon efficace. Le fait était qu’il lui manquait terriblement, Graeme lui manquait terriblement. C’était la première fois qu’elle regrettait d’avoir quitté quelqu’un, le première fois, et ça faisait mal, très mal.

Elle fut tiré de ses pensées par Graeme. Celui-ci passa doucement une main dans les cheveux de la blonde, avec une certaine douceur, une certaine délicatesse, peut être même une certaine affection. Ce geste apaisa doucement la jeune femme qui cessa alors de sangloter. Il n’y avait que Graeme pour réussir un tel exploit. Il l’avait alors calmé, et il dit alors : « Elle devait certainement être fière de toi Ysolde. » Ca, elle ne savait pas. Non, elle ne connaissait pas sa mère, enfin pas autrement que par ses yeux d’enfant. Oui, elle connaissait sa mère avec ses yeux d’enfant, elle n’avait pas la capacité de la juger, de connaitre ses opinions, rien. elle ne la connaissait qu’à travers ses yeux d’enfant, et à part sa tante, personne ne pouvait lui parler de sa mère, mais elle doutait que celle-ci soit de nature objective, quand quelqu’un est mort, on garde toujours les meilleurs coté de son caractère. Elle ne savait donc pas si sa mère pourrait être fière d’elle, elle ne savait pas, et elle ne pourrait jamais vraiment savoir ce qu’elle penserait de la jeune blonde. « Je pensais que cela t'aurait fait du bien de venir ici... Un peu comme noël à l'avance... » Noel, une notion tellement abstraite pour la jeune femme. Son père ne fêtait pas Noel, Ysolde s’était faite elle-même des cadeaux, et avec sa sœur, leurs cadeaux respectifs ressemblaient plus à des piques qu’à de véritable cadeau, elle ne connaissait pas l’esprit de Noel, non. elle lui adressa un regard et dit alors : « Je ne sais même pas de quoi elle pourrait être fière, quand j’y pense je ne la connais pas. » C’était la vérité, elle ne connaissait pas sa mère, si ça se trouve c’était une femme odieuse, horrible, méchante, une vraie garce. Elle leva alors les yeux vers Graeme. Et ajouta : « Si c'est Noel avant l'heure, alors c'est sans doute le plus beau cadeau que j'ai eut depuis onze ans. » Ça aussi, c’était la vérité. L’année dernière, Ulysse lui avait offert un collier hors de prix qui devait trainer quelque part. elle détestait ce collier, vraiment, à l’époque elle avait adoré ce cadeau, aujourd’hui, cela ne représentait plus rien à ses yeux. « Chez moi, Noel c'est... le repas le plus sanglant de l'année. A savoir qui de Bella ou de moi sera la plus odieuse. » Elle n’avait jamais passé un véritable noel, jamais. Elle regarda Graeme, et se força à esquissa un sourire. Elle confessa alors : « Merci d'être là... j'apprécie vraiment ton... geste. » Elle baissa alors les yeux. Elle appréciait tellement le geste, il n'avait pas à être gentil avec elle de la sorte, oui, elle était odieuse, et elle s'en voulait, elle s'en voulait, elle voudrait le serrer dans ses bras, mais elle ne pouvait pas, ce n'était pas à elle de le serrer dans ses bras, c'était lui qui était sensé lui en vouloir, c'était à lui de faire le premier pas.

PS, c’est court mais je dois y aller
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MessageSujet: Re: Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde   Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde EmptySam 3 Déc - 20:01

« Je ne sais même pas de quoi elle pourrait être fière, quand j’y pense je ne la connais pas. » De quoi pourrait-elle être fière? Que sa fille n'avait pas mal finie aujourd'hui à cause des mensonges de son propre père. Qui aurait pu tenir autant de temps dans des mensonges aussi gros que deux poings assembler. C'était totalement irresponsable, du moins c'est ce que pensait Graeme, qui lui, savait qu'il n'aurait pas tenu autant de temps. Il aurait même couper tout contact avec sa famille des qu'il l'aurait su. Il se serait sans doute enfuis en Russie, il aurait sans doute fait ses études à Dumstrang, l'école des garçons, d'ailleurs il y avait pensé quand il y a eu la rupture. Mais il s'était dit qu'il devait être bien plus fort que ça, bien plus fort que la douleur, bien plus fort que tout le reste. Il avait la paix en ce moment, Reagan Goyle ne le suivait plus, elle avait sans doute un autre passe temps à aller faire ou bien une autre proie. Ce qui était acceptable pour Graeme qui sans fichait bien d'elle et qui retrouvait le calme. Le jeune homme était trop captiver par le regard de la blonde, qu'il mit de bonnes minutes pour répondre à celle-ci : « Elle serait fière de voir que sa fille est garder la tête sur les épaules même après tout ce temps et toutes les histoires qui a pu se passé. Mais surtout qu'elle n'est pas mal tournée comme son père. » Il était sincère, il ne connaissait sans doute pas le père d'Ysolde en personne mais d'après ce qu'il avait su entendre venant d'Ysolde, ce n'était pas vraiment l'homme avec qui il fallait fréquenter pour avoir bonne image. Évidemment, coter ministère, c'était l'homme à suivre alors qu'il n'était qu'un sans cœur et homme cruel qui avait su mentir à sa propre fille pendant des années et des années jusqu'à ce que la vérité éclate. Ysolde avait également dit qu'elle ne connaissait pas sa mère, ce qui était logique à l'évidence mais sans doute que ses deux femmes aurait très bien pu s'entendre comme se détester mais au moins, elles auraient pu être deux contre le père Wilkes, l'homme qui les avait toutes les deux pourries à vie. Le jeune homme n'avait pas détourné les yeux de ceux de la serpentarde, un contact comme celui-ci était quelque chose qu'il avait toujours apprécier avec elle, disons que c'était également l'attention-ci qui les avait comme trahit face aux autres étudiants en classe. La blonde regarda alors le blond, c'était quelque chose que tous les deux partageait. Le regard était bien trompeur sur ce que le blond avait envie, c'est à dire de nouveau être avec la blonde. Évidement que l'envie était présente mais il ne savait pas si cela était réciproque, voilà pourquoi il n'osait rien envers elle. « Si c'est Noel avant l'heure, alors c'est sans doute le plus beau cadeau que j'ai eut depuis onze ans. » Un petit sourire s'afficha sur les lèvres du jeune homme. Il aimait faire plaisir mais faire plaisir à la femme qu'il aimait c'était une sensation bien mieux que toutes les autres. Noël, il aimait noël, c'était quelque chose qui n'avait pas changer à part la magie des choses, la magie d'ouvrir les cadeaux. Il avait grandit mais cela ne l'empêchait pas d'aimer encore cette fête. Cette fête qui réunissait les personnes à tables même ceux qu'on ne voyait jamais l'année. Le jeune homme n'avait rien dit, laissant place au silence dans la pièce, en faite, il était vraiment captivé par le regard de la blonde, d'ailleurs celle-ci reprit la parole : « Chez moi, Noël c'est... le repas le plus sanglant de l'année. A savoir qui de Bella ou de moi sera la plus odieuse. » Noël, un repas sanglant ? C'était incroyable d'entendre sa, Ysolde n'avait-elle jamais passé un noël dans le calme ou seul la joie et la bonne humeur était présente à table. Un petit sourire sur les lèvres de la blonde fit son apparition. Graeme eu soudain une idée en tête mais une idée qui sans doute ne serait pas accepter par la serpentarde mais il le lui proposa tout de même : « Pourquoi ne viendrais-tu pas cette année faire noël chez moi... ? Cela pourrait te montrer ce qu'est réellement noël... Et ta présence me ferait le plus grand plaisir... Même un honneur... » Le rouge et or passa sa propre main à sa nuque, signe qu'il était assez gêné d'avoir demander sa. Si la personne connaissait le jeune Reinhaart, la personne devait connaître ce geste, un geste qui était une habitude pour Graeme, du moins tout dépendait de la situation. La blonde regarda alors le jeune Reinhaart. Son regard, Graeme en était dingue, fou, c'était devenu presque une drogue pour lui. Quand il voyait Ysolde en cours, à l'arrière ou bien devant, il profitait des moments qu'elle est la tête baisser à écrire pour la regarder. « Merci d'être là... j'apprécie vraiment ton... geste. » Le jeune homme se mit alors à sourire un peu jusqu'à regarder la blonde baisser la tête. Le jeune homme n'hésita pas à relever la tête de la blonde afin d'échanger un regard avec celle-ci jusqu'à lui adresser la parole : « Ça me fait plaisir d'être là pour toi, vraiment. Sa me permet de passé un peu de temps avec toi et de réaliser à quel point tu me manques et que les instants ou tu n'es pas présente à mes cotés sont sans victoires . » Le jeune homme n'était pas vraiment un habituer pour dire ce genre de chose et cela devait certainement se voir dans les mots qu'il disait, mais au moins, il essayait de faire comprendre à Ysolde qu'elle lui manquait et que sans elle, c'était comme si il était seul, seul contre tous. Ou bien une nuit sans lune et sans étoile. C'était comme impossible. « Disons que je suis attaché à toi bien plus que je ne l'imaginais et que... Ce que je ressens pour toi est bien plus fort que ce que je peu bien prouvé... » Le jeune homme était sincère mais à présent, il ne savait pas si cela était réciproque. A vrai dire, il en avait peur, peur que tout soit réellement tout simplement fini.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde   Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde EmptySam 3 Déc - 22:56

« Elle serait fière de voir que sa fille est garder la tête sur les épaules même après tout ce temps et toutes les histoires qui a pu se passé. Mais surtout qu'elle n'est pas mal tournée comme son père. » Elle n’était pas certaine de ne pas avoir mal tourné comme son père. Certes, elle était différente de sa sœur bella, qui elle tenait plus de leur père, mais elle n’était pas non plus certaine d’avoir la tête sur les épaules. Ysolde tenait debout grâce à un miracle, elle ne savait pas comment. La jeune femme se demandait souvent comment pourrait être sa mère. Serait-elle autoritaire, douce, aimante, froide ? Elle ne savait pas. Elle se souvenait avoir été une enfant totalement têtue qui se faisait souvent réprimander, et ramener à l’ordre par sa mère qui semblait presque aussi têtue que sa fille, mais qui cédait tout de même à ses caprices. Elle se demandait comment pourrait être sa mère, est ce qu’elle aurait été capable de la protéger de son père. Noel, c’était une notion tellement abstraite pour la jeune femme. Elle n’avait pas de réel souvenir de Noel, même avec sa mère. De toute façon, dés qu’il y avait son père, Noel devenait le moment le plus chiant de l’année. Chez les Wilkes c’était un repas autours d’une grande table, un repas froid où l’on s’amusait à critiquer les traitres à leur sang et à vanter les mérites du seigneur des ténèbres. Le pire repas de Noel d’Ysolde avait été l’année dernière, les Wilkes et les Lestrange réunis, la mort de Ramsey, ysolde ayant perdu de façon momentané la vue lors de l’attaque du bal de Noel, elle fiancé à Ulysse, une rencontre au sommet entre deux familles qui haissaient les sangs de bourbes et les sang mêlés. Elle détestait ce Noel, elle s’y était sentie mal à l’aise à entendre des horreurs. Le monde d’Ysolde était violent de nature, son père, sa famille, et les idées de celle-ci. Pour la jeune femme, Noel et le mois de décembre étaient une période qu’elle n’appréciait pas forcément, Noel, et son anniversaire, ce n’était pas le mois qu’elle préférait, parce que personne n’avait jamais vraiment fêté noel chez elle, et quant à son anniversaire, des fois elle préférait oublié les anniversaires, comme celui de l’année dernière. « Pourquoi ne viendrais-tu pas cette année faire noël chez moi... ? Cela pourrait te montrer ce qu'est réellement noël... Et ta présence me ferait le plus grand plaisir... Même un honneur... » Graeme, Ysolde, Noel, chez lui, plaisir, honneur ? Tout ça dans la même phrase. Ysolde ne comprenait pas comment il pouvait être aussi adorable avec lui, c’était inconcevable, elle l’avait larguer comme s’il était une vieille chaussette, comme s’il était un mec comme les autres, alors que non, il était le type le plu gentil qu’elle connaisse, le plus drôle, le plus attachant, celui à qui elle tenait, finalement celui dont elle était amoureuse. Elle ne savait quoi lui répondre. Ils auraient été ensemble, cela ne lui aurait pas paru déplacé plus que ça, mais là… ils n’étaient plus ensemble, pas depuis quelques temps déjà. Le jeune homme lui manquait tellement. Elle s’efforçait de ne pas le regarder, de baisser les yeux. Elle préférait. La jeune femme le remerciait pour son geste, c’était gentil de sa part, de la façon dont elle l’avait traité dans le couloir, dans les vestiaires, elle ne méritait pas une telle gentillesse. Il lui fit alors relever la tête, pour finalement échanger un regard avec elle, et dire ensuite : « Ça me fait plaisir d'être là pour toi, vraiment. Sa me permet de passé un peu de temps avec toi et de réaliser à quel point tu me manques et que les instants ou tu n'es pas présente à mes cotés sont sans victoires . » Elle lui manquait ? Vraiment ? Ses mots lui faisaient plaisir, et en même temps l’effrayait. Même après une rupture, ysolde était toujours effrayé à l’idée d’une relation, elle ne savait pas d’où venait cette peur. Ysolde retenait presque son souffle, lui aussi lui manquait terriblement, et sa présence rendait ce manque encore plus insupportable. « Disons que je suis attaché à toi bien plus que je ne l'imaginais et que... Ce que je ressens pour toi est bien plus fort que ce que je peu bien prouvé... » Il avait tellement l’air sincère, cela perturbait grandement Ysolde. Elle l’aimait tellement, cela crevait les yeux, et ysolde semblait être la seule à ne pas réaliser ô combien elle l’aimait, ô combien elle avait besoin de lui. ysolde tourna alors la tête vers lui, et leva enfin les yeux. Plus elle le regardait, plus elle avait envie d’être avec lui. c’était elle qui avait fichu cette foutue distance entre eux, c’était elle qui avait rompu, elle s’en voulait tellement aujourd’hui, tellement. Elle en avait même oublié l’invitation à Noel du jeune homme, tellement elle était occupé à réfléchir à ce qu’il venait de dire. elle devait lui dire que lui aussi, il lui manquait, ce qu’elle ressentait encore pour lui, mais… Le jeune homme avait passé une main dans les cheveux de la blonde, sa main était dans son dos, être si proche de lui c’était tellement dur. La jeune femme était trop proche de lui, trop proche dans le sens « trop proche alors qu’ils n’étaient plus ensemble », et se le rappeler sans cesse la blessait. Ysolde était une fille assez impulsive, mais de nature raisonné dans ses actions sentimentale, elle n’agissait jamais sous le coup de l’envie, du sentiment, de la passion, non, jamais. Sauf maintenant. Machinalement, elle se hissa sa réfléchir sur la pointe des pieds, et s’approcha de lui afin de l’embrasser d’une façon assez tendre. Le premier baiser depuis… longtemps. Elle agissait sous le coup de l’impulsion, elle ne savait pas ce qui lui avait pris, non. quand elle réalisa, elle rompit le baiser, et en le fixant fit un pas en arrière, et détourna les yeux, avant d’articuler : « Je… je suis désolé, je.. je sais pas ce qui m’a pris. » Elle savait ce qui lui avait prit, elle l’aimait, elle avait besoin de lui, il venait de lui dire qu’elle lui manquait, c’était un reflexe purement humain. Ysolde avait cette tendance à se battre contre elle-même, comme si parfois elle cherchait à se priver du bonheur, comme si elle avait l’impression qu’elle n’y avait pas droit. Elle rectifia alors sa phrase : « Si, je sais ce qui m’a prit… » Elle marqua une pause, et passa nerveusement une main dans ses cheveux. « La vérité c’est que tu me manque tellement. Tous les jours, tout le temps. Tu me manque tellement, que je réalise que j’ai été stupide de laisser le type que j’aimais, je suis tellement stupide. » Ysolde était franche, elle n’avait plus rien à perdre, et quand on a plus rien à perdre, alors on peut tenter le tout pour le tout, elle l’aimait, elle venait de le dire, d’une certaine manière, pas de façon directe, mais c’était un fait indéniable, elle l’aimait. Elle détourna les yeux, fixant de nouveau le miroir, ce qu’elle désirait le plus se trouvait devant elle. Parfois, elle se demandait ce que Graeme voyait dans le miroir. Mais, elle en avait oublié de répondre à la question de Noel, cependant, elle n'avait plus aucun sens, ils n'étaient plus ensemble, elle ne pouvait pas passer Noel avec lui.
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MessageSujet: Re: Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde   Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde EmptyDim 4 Déc - 16:30

Être en manque de quelqu'un, c'était une sensation bien plus forte que celle d'être en manque de clope ou bien d'alcool. Le jeune homme n'était pas fumeur, il ne fumait pas, au contraire, il détestait ça, il détestait voir les jeunes étudiants de nos jours, mettre leurs vies en danger dans ce genre de chose. Le jeune homme buvait, en soirée, que ce soit en famille ou bien entre amis. Mais il n'avait jamais ressentit un manque, un manque de ses choses-là. Sauf que cette fois-ci, il était devenu en manque, en manque d'une personne, d'une seule et unique personne qui pourtant était au château. Il s'agissait bien d'Ysolde, seulement, comment dire à quelqu'un ce manque quand on arrive déjà à peine à dire ce que l'on ressent pour elle. Graeme n'était pas spécialement doué pour dire ce qu'il ressentait mais parfois, il lui arrivait de réussir cette étape, oui car pour lui c'était une étape. Depuis son enfance, il avait toujours garder pour lui, ce qu'il ressentait, que ce soit la tristesse à la colère ou bien des rires au pleures. Tout, tout ce qu'il avait ressentit, il avait su soigneusement le garder pour lui. Aujourd'hui, il devait apprendre à montrer ce qu'il ressentait, à le dire, mais surtout à savoir le dire. C'était facile de dire les choses mais beaucoup dans cette génération disait les choses sans réellement le pensé. C'était quelque chose qui était en sorte un mensonge. Oui, aujourd'hui notre génération est mensongère. Il fallait toujours savoir différencier le vrai au faux et parfois,on se faisait avoir, même par les gens les plus proches. Graeme n'avait pas peur de la confiance, même si il avait été déçu plusieurs fois dans sa vie. Mais comme tout jeune de son âge, il avait certainement peur d'aimer afin de finir déçu plus tard. Seulement, avec Ysolde, il voulait affronter ses peurs, il n'avait pas peur d'elle, ni même de son caractère, mais il avait peur d'aimer, d'aimer jusqu'à l'obsession, mais il avançait, il avançait et aujourd'hui il avait ressentit ce manque depuis quelque jours et il avait bien l'intention que la serpentarde soit au courante. Le jeune homme avait prit son courage dans les mains, en disant que la blonde lui manquait et quand gros, il s'était rendu compte de l'importance qu'elle avait pour lui. Soudain, sans si attendre la blonde s'approcha du rouge et or afin de venir l'embrasser. Le jeune homme apprécié ce baiser, cela faisait tellement longtemps. A tel point qu'il en avait oublier à quel point ses lèvres était douce et chaude. Ses lèvres, Graeme en était dingue. La belle serpentarde recula d'un pas laissant de marbre le jeune Reinhaart. « Je… je suis désolé, je.. je sais pas ce qui m’a pris. » Cela lui rappelait le moment qu'il avait eu avec elle près des puits à vœux. Sauf qu'elle s'était enfuit laissant le jeune homme seul dans le noir. Lui, n'aimait pas prendre la fuite, il n'aimait pas partir comme un voleur, il préférait avoir le courage d'affronter ses tords. D'un coter, il fut déçu que la blonde ne sache pas ce qui lui prenait, mais d'un autre coter, il avait l'habitude qu'elle ne sache pas, étant donner que ce n'était pas vraiment la première fois que ce genre de chose arrivait. Le jeune homme laissa seulement un soupir tout en lui disant : « Dommage. » Le rouge et or tourna la tête afin de regarder ailleurs que la blonde. Il savait qu'elle avait peur des histoires comme la leur, la blonde avait eu d'autre types avant lui, mais elle devrait sûrement avoir moins peur que le blond. Du moins c'est ce qu'il pensait. Soudain, la blonde se remise alors à parler, tout en prenant une voix sur d'elle : « Si, je sais ce qui m’a prit… » Elle marqua une pause, ce qui laissa le temps au rouge et or de la regarder. Son visage, c'était sans doute l'une des merveilles qu'avait Poudlard. Il ne savait pas à quoi ressemblait la mère de celle-ci mais ce qui était sur, c'est qu'elle avait fait un bon boulot quand on regardait Ysolde. Ysolde, c'était le genre de demoiselle au château, que tout les autres mecs voulait. Seulement, c'était Graeme qui avait eu la chance d'avoir le cœur pendant un moment d'Ysolde. Mais un moment simplement trop court, même bien de trop court. Une histoire qui n'avait sans doute aucune fin car quand on aime on ne compte pas, du moins d'après le père Reinhaart. La blonde passa une main dans ses proches cheveux jusqu'à dire : « La vérité c’est que tu me manque tellement. Tous les jours, tout le temps. Tu me manque tellement, que je réalise que j’ai été stupide de laisser le type que j’aimais, je suis tellement stupide. » Alors il lui manquait ? Graeme manquait à Ysolde et Ysolde manquait à Graeme. Rien n'était fini, du moins c'est ce qu'il espérait. La serpentarde tourna la tête en regardant le miroir, ce fameux miroir. Pendant ce temps, le blond regarda la blonde. Mais ce qui avait étonné le jeune Reinhaart, c'était que la serpentarde dise qu'elle avait laisser le type qu'elle aimait. Donc Graeme. Pour une fois qu'Ysolde laissait paraître ses sentiments. C'était chose rare, même de la voir aussi calme. Cela faisait un certain moment qu'il l'avait vu en colère ou bien avec un regard noir quand elle regardait Reagan. Ou bien une autre gonzesse du château qui le regardait. Mais Graeme était pareil. Quand un mec regardait trop Ysolde, il fulminait à l'intérieur, il était jaloux. Mais d'un coter, cela était plaisant de savoir qu'Ysolde plaisait à d'autre. Le jeune homme prit les choses en main, en prenant le menton de la blonde entre ses doigts afin qu'elle tourne le regard vers lui. Ce qui d'ailleurs au passage ne déplut pas au blond. « Laisse nous une chance. Une chance de pouvoir continuer, tu sais aussi bien que moi qu'on a besoin l'un de l'autre. Quand tes pas là, plus rien n'a de sens alors que quand tes là, tu me rends quelqu'un de meilleur. T'aura beau croire que je suis comme les autres, que plus tard j'irais voir ailleurs. Je te répond de suite. Non, je n'ai de yeux que pour toi Ysolde Wilkes, depuis quelque jours, c'est le monde à l'envers sans toi. » Il marqua une courte pause afin de prendre sa respiration et de reprendre à nouveau : « Même en étant plus auprès de toi, je sais que notre histoire n'est pas fini. Car dans tous les cas, je ne cesserais pas de t'aimer. Ni même d'essayer de m'instruire sur la divination pour en savoir plus sur tes visions. Même si je comprends toujours rien dans cette matière. Visiblement j'aurais toujours besoin d'un coup de main de ta part. Tu auras donc toujours droit à mon sourire de tombeur. » Tout en disant sa, le rouge et or se mit à sourire un petit peur. Oui, le jeune homme avait essayer de s'instruire sur la voyance alors qu'il n'y connaissait rien en ce don. Mais il voulait aider Ysolde à aller mieux quand celle-ci en avait une. Il trouvait sa naturel de l'aider, c'était comme un devoir pour lui.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde   Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde EmptyDim 4 Déc - 19:47

« Dommage. » Oui, dommage, à chaque fois elle en venait à regretter ce qu'elle faisait. Ce n'était pas comme si c'était la première fois qu'elle regrettait de l'avoir embrassé et qu'elle le disait. Non, c'était comme au puits des voeux, elle l'avait embrassé, et elle s'était ensuite enfuie comme une voleuse, et un froid c'était installé entre eux. Elle était une jeune femme assez complexe à cerner. Elle-même ne savait pas ce qu’elle faisait parfois, elle ne savait pas ce qui lui prenait. Elle avait été victime d’une amnésie qui faisait qu’elle n’avait pas pu construire son caractère de façon normal, enfin… elle l’avait construit d’une façon différente, en étant une personne que les gens voulaient qu’elle soit, et une fille qu’elle voulait être. On avait voulu qu’elle soit une jeune femme modèle, frigide, soumise, méchante, manipulatrice, alors qu’elle voulait être une jeune femme drôle, chaleureuse, caractérielle, et j’en passe. Aujourd’hui, elle ne savait pas laquelle de ces filles elle était, peut être que finalement elle était les deux à la fois, un peu comme le jour et la nuit, à la fois, une part d’ombre, et une part de lumière en elle.
Mais cette fois, elle avait admis que si elle l’avait embrassé c’était parce qu’elle le voulait. Parce qu’elle le voulait lui, parce qu’elle avait besoin de lui, parce que plus le temps passait, plus il lui manquait. Depuis qu’il était dans sa vie, Ysolde c’était sentie bien, depuis qu’elle l’avait quitté elle ne cessait de penser au pire dans sa vie, alors qu’avec lui, elle vivait le meilleur. Et ça lui manquait. Tout dans leur relation lui manquait, les regards qu’ils pouvaient échanger, leur discussion, leur baiser, leur étreint, tout. rien que sa présence lui manquait. La jeune femme avait tourné la tête, d’une façon plus ou moins implicite, elle venait de dire qu’elle l’aimait, et venant d’elle… woa. C’était un exploit si vous voyez ce que je veux dire. il fallait lui tirer les verres du nez pour qu’elle n’exprime ne serait-ce qu’un petit sentiment. Des fois elle se demandait si elle avait hérité cette réserve de sa mère, ou pas. Le jeune homme attrapa avec ses doigts le menton de la jeune femme afin de faire en sorte que la jeune femme puisse croiser son regard. Croiser son regard, cela lui manquait tellement, tellement. Il dit alors : « Laisse nous une chance. Une chance de pouvoir continuer, tu sais aussi bien que moi qu'on a besoin l'un de l'autre. Quand tes pas là, plus rien n'a de sens alors que quand tes là, tu me rends quelqu'un de meilleur. T'aura beau croire que je suis comme les autres, que plus tard j'irais voir ailleurs. Je te répond de suite. Non, je n'ai de yeux que pour toi Ysolde Wilkes, depuis quelque jours, c'est le monde à l'envers sans toi. » Elle buvait ses paroles, et ne souhaitait pas l’interrompre. Il marqua une courte pause, et reprit ensuite : « Même en étant plus auprès de toi, je sais que notre histoire n'est pas fini. Car dans tous les cas, je ne cesserais pas de t'aimer. Ni même d'essayer de m'instruire sur la divination pour en savoir plus sur tes visions. Même si je comprends toujours rien dans cette matière. Visiblement j'aurais toujours besoin d'un coup de main de ta part. Tu auras donc toujours droit à mon sourire de tombeur. » Elle ne voulait pas que ça soit fini entre eux, non. elle avait besoin de lui, et ils se manquaient réciproquement, c’était quand même un signe. Ysolde ne savait plus ce qui l’effrayait dans leur relation. Elle pouvait bien leur laisser une chance, après tout. elle avait juste peur qu’il la quitte, c’était pour ça qu’elle l’avait quitté en premier, cette Reagan avait réussi à semer le doute dans le vie de la jeune femme, dans leur couple, elle avait peur qu’elle lui vole Graeme. Elle espérait qu’il ne soit pas comment les autres, il venait justement de lui dire qu’il n’était pas comme les autre, qu’il n’irait pas voir plus tard, parce que c’était avec elle qu’il voulait être. Ensuite, il dit qu’il ne cesserait de l’aimer, ou d’essayer d’en savoir plus sur la nature de ses visions, et qu’il aurait toujours besoin de son aide pour la divination. Cette phrase fit presque sourire la jeune femme. Quant au sourire de tombeur, cette fois elle esquissa vraiment un vrai sourire. « Oui, je crois qu’on pourrait se laisser une nouvelle chance. J’ai besoin de toi, je t’aime. » Ysolde était sincère, c’était rare. Elle ne pouvait détacher son regard du sien. Elle aurait voulu l’embrasser, encore, et encore. Elle s’approcha de lui et se blotti alors contre lui une poignée de seconde. Sa tête appuyé contre lui, elle le serra contre lui, par merlin, cela lui manquait, tout lui manquait. La tête posé contre lui, son regard était tourné vers le miroir, elle en avait presque oublié sa mère, qui lui adressait un sourire. La jeune femme desserra alors son étreinte. Elle leva la tête vers lui, et lui adressa un sourire, doux, un sourire qu’elle n’avait pas eut depuis longtemps. Elle se hissa un peu sur la pointe des pieds, et l’embrassa alors de nouveau, avec plus de contact cette fois, elle était blottie contre lui, et ne comptait pas le lâcher de sitôt. Un baiser, un vrai, tendresse au début, et puis par la suite une certaine passion. La passion était dû au manque certainement. Cela ne ressemblait pas à Ysolde d’embrasser Graeme de la sorte, sachant que cette salle était peut être excentré, mais, elle était pudique, réservé, et peu démonstrative. Elle rompit doucement le baiser, et lui murmura alors, un peu… la voix serrée : « Merci, sans toi, j’aurais jamais osé venir là, voir ma mère. » Une boule dans la gorge, sa mère, toujours le même sujet. Elle avait aussi réalisé que c’était Graeme qu’elle aimait, et personne. Machinalement, elle se serra contre lui, elle avait besoin de réconfort, surtout dans ses périodes là, les périodes de Noel, son anniversaire, tout ça quoi. « Et toi, qu’est ce que tu vois dans ce miroir ? » demanda-t-elle alors. Elle voulait savir, c'était une simple curiosité.
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MessageSujet: Re: Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde   Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde EmptyMer 7 Déc - 16:16

Personne dans sa vie, n'aimerait connaître un jour, le manque. Ce n'était pas vraiment quelque chose d'agréable bien au contraire c'était quelque chose qui nous rendait fou, fou car on n'avait cette personne dans l'esprit, on avait l'impression que celle-ci rodait dans les couloirs, ou bien qu'elle était près de vous, alors que non. Le manque, c'était une sensation étrange qui faisait le mal en vous, parfois à cause de se ressentiment, on faisait des choses que nous aurions jamais pensé faire. Parfois, on se comportait mal parce que nous voulions être plus fort que le manque. Le manque, ce n'était pas le bien, du moins la plupart du temps. Parfois, le bien nous mettait les idées au clair, c'était grâce à cette sensation qu'on savait ce que nous voulions réellement. Le jeune Reinhaart l'avait su de suite, il avait même su à l'avance que s'était Ysolde qu'il voulait et le manque d'elle avait approuver son idée. Le jeune homme s'était déjà sentit seul auparavant mais ce fut une autre sensation qu'il avait ressentit. Une sensation bien différente au passage. Les sentiments pour Ysolde était bien réel voilà ce qui faisait la différence contrairement à ses anciens camarades. Le jeune Reinhaart n'était pas le genre d'homme à dire ce qu'il ressentait, bien au contraire, il était du genre à laisser les choses se faire, à ne rien laisser paraître. Pourtant, ce soir, il laissait bien à l'air ses sentiments, il le démontrait bien dans ses paroles alors qu'avant, cela n'aurait été fait qu'avec ses regards ou bien ses gestes. Graeme laissa la serpentarde sourire, son sourire, cela lui faisait du bien, cela le rassurait de la voir sourire, d'un coté, cela était bon signe après que le rouge et or est demander une nouvelle chance. Il n'arrivait pas à se mettre en tête que tout cela était terminer car il ressentait comme le besoin d'elle, il sentait que rien n'était terminer, d'après beaucoup de bouquin, toute histoire à une fin, mais ce qu'ils ont tous oublier, c'est que toute les histoires ne se ressembles en aucun cas et donc, elles ne prennent pas toutes fin. Le jeune Reinhaart y croyait dur comme fer, il croyait en Ysolde, il la savait forte pour passé au delà des injures des autres, il la savait forte pour surmonté ses peurs, il la savait intelligente pour être une bonne étudiante. « Oui, je crois qu’on pourrait se laisser une nouvelle chance. J’ai besoin de toi, je t’aime. » Lui aussi avait besoin d'elle et plus les jours était passé, plus il sans était rendu compte facilement. Facilement même s'il n'avait pas voulut se l'avoué lui même. Ce n'était jamais facile de s'avoué quelque chose à soit même étant donner qu'on ne voulait pas croire cela. Graeme n'avait pas voulut croire qu'Ysolde lui manquait et pourtant, la vérité sautait aux yeux quand on le regardait la regarder. Le jeune homme regardait alors la blonde dans les yeux, il était difficile pour lui de changer de cible du regard, quand il la regardait, c'était comme s'il pouvait oublier tout ce qui se passait au tour, c'est à dire le jour, l'heure, les gens autour, dans quel situation ils étaient et même ce qu'il faisait. Ce moment-là était à chaque fois quelque chose d'important. Du moins pour lui. Dans un regard, on pouvait tout comprendre, savoir si la personne mentait ou non. Graeme était totalement captivé par le regard de sa blonde jusqu'à ce que celle-ci se rapproche de lui afin de posé sa tête contre lui et de regarder le miroir. Lui également regardait le miroir après avoir baisser la tête vers la blonde. Il passa alors ses bras autour de la blonde doucement et retourna alors la tête en direction de ce fameux miroir qui avait montrer la mère de la blonde, il y a peu de temps de ça. Le jeune homme baissa la tête à nouveau quand la blonde leva la tête vers lui et se mise sur la pointe des pieds pour venir embrasser le rouge et or, doucement puis d'une passion que le jeune homme continua. Cela faisait tellement longtemps qu'il n'avait pas eu un moment comme celui-ci avec sa blonde. Quelques secondes plus tard, la blonde cessa le baiser doucement, laissant le blond reprendre sa respiration. Ce qu'il y avait bien dans ce genre de baiser, c'était qu'on pouvait y transmettre beaucoup mais il fallait tout de même reprendre sa respiration pour ne pas s'étouffer ! « Merci, sans toi, j’aurais jamais osé venir là, voir ma mère. » Aider, voilà ce qui était normal pour Graeme. Aider quelqu'un a qui on tient, vers qui on n'est capable de beaucoup même pour peu de chose. Le rouge et or laissa alors la blonde se serrer contre lui. Le rouge et or regarda alors le miroir puis sa blonde en déposant un baiser dans les cheveux de celle-ci avant de répondre : « Je serais toujours-là pour toi, même dans les moments les plus difficiles. Et voir ta mère ça ne peu que te faire du bien tu sais. » Le rouge et or tourna alors la tête vers le miroir avant que la blonde ne dise : « Et toi, qu’est ce que tu vois dans ce miroir ? » Le jeune Reinhaart regarda alors attentivement le miroir, essayant de percevoir quelque chose. Jusqu'à ne plus se voir lui même mais plutôt la blonde seule. D'après ce qui était écrit autour du miroir, il expliquait que le miroir montrait l'être que l'on désirait le plus au monde, dans sa vie. En regardant le miroir, Graeme comprit alors que l'être qu'il désirait le plus dans sa vie n'était autre qu'Ysolde. Cela voulait tout dire et s'expliquait bien. Le jeune homme regarda alors la blonde afin de lui dire : « Si je te le disais, tu ne me croirais pas. » Le jeune homme avait se sourire aux lèvres, du moins au coins de ses lèvres, signe qu'il était content et qu'il se sentait bien. Chaque geste était important pour chaque personne. Cela pouvait décrire bien de drôle de sensation. Le jeune homme regarde de nouveau alors le miroir et dit alors en étant attentif au miroir : « Je ne vois que toi dans ce miroir. » Il tourna alors la tête vers sa blonde en gardant un petit sourire sur ses lèvres.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde   Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde EmptySam 10 Déc - 20:15

Il y a des moments comme ceux-ci qui font du bien. Etre réconcilié avec Graeme, être à nouveau dans ses bras, c’était une page de leur histoire qui se tournait, une page un peu… sombre, un peu… enfin bref. Oui, ils n’avaient plus été ensemble pendant quelques temps, et pour Ysolde, cela lui avait parut être une éternité. D’habitude, quand Ysolde quittait quelqu’un, c’était de faon définitive, elle n’avait jamais fait de retour en arrière, pas de seconde chance rien. mais, avec Graeme, elle avait l’impression que c’était différent, elle se sentait bien avec lui, elle n’avait pas envie de le quitter, ces jours loin de lui avaient eut un goût étrange, amer, même. Alors, être de nouveau dans ses bras, cela lui faisait un bien fou. On pouvait facilement réaliser quand on connaissait la jeune femme qu’elle était incroybalement vulnérable, quand elle n’avait pas de soutient, rien, elle était encore plus fragile. On ne dirait pas comme ça, en la regardant, en ayant entendu parler d’elle, qu’elle était vulnérable. Petite taille, jeune fille suceptible, oui, elle était vulnérable, des fois, il lui arrivait d’être forte, mais ça n’était pas tout le temps, ni même dans tous les domaines. En amour, elle était plus que vulnérable, et essayait de ne pas ouvrir son cœur, mais avec Graeme c’était trop tard, c’était comme s’il s’était déjà emparé de son cœur. Après, il y avait des domaines où elle était forte, jusqu’à un certain point puis finalement elle perdait pied. Vis-à-vis des autres serpentards, elle allait sous peu finir par perdre pied. Heureusement que Graeme était là. Heureusement aussi qu’il la laissait se blottir contre lui, elle se souvenait qu’Ulysse n’appréciait pas d’être serré dans des bras quand ce n’était pas lui qui avait décidé. Le jeune homme déposa alors un baiser dans la chevelure blonde et la jeune femme avant de lui répondre : « Je serais toujours-là pour toi, même dans les moments les plus difficiles. Et voir ta mère ça ne peu que te faire du bien tu sais. » . C’était vrai, voir sa mère ne pouvait pas lui faire du mal. Enfin, si, mais c’était un mal nécessaire, un mal qui pouvait faire du bien. La jeune femme aimait sa mère, elle aurait aimé la connaitre, d’après ce qu’elle voyait dans le miroir, elles se ressemblaient beaucoup, même sourire, même regard, même yeux, même cheveux, des belles boucles blondes bien ordonné. Sa mère était tellement jeune quand elle était décèdée, elle était décèdée à 25 ans, après avoir eut la petite blonde à tout juste dix sept ans, avec ce foutu Angus Wilkes. Elle était tellement jeune, des fois, ysolde se demandait si son père était dû à un coup de foudre, une obligation, une erreur. Elle aimerait tellement savoir. Elle aimerait tellement en savoir plus sur sa mère. Elle se souvenait de si peu de chose. « J’aime tellement ma mère tu sais. j'aurais aimé la connaitre plus. Quand je la vois, je me dit que je lui ressemble tellement. Elle est morte tellement jeune. » Oui, vingt cinq ans, c’était jeune, aujourd’hui, elle aurait eut trente six ans, une bien jeune maman, mais peu importe, elle lui avait donné beaucoup d’amour, c’était l’essentiel.

Ensuite, Ysolde lui demanda ce que lui voyait dans le miroir, la jeune femme était curieuse, oui, après tout. la curiosité était un bien vilain défaut, oui. il dit alors : « Si je te le disais, tu ne me croirais pas. » hum, Ysolde pouvait tout croire, elle avait vu des choses extraordinaire, elle avait vu des gens idiots, des gens sensible, elle le vit alors sourire. Cela faisait vraiment du bien, elle se surprit alors a sourire également. Il dit alors en tournant sa tête vers le miroir : « Je ne vois que toi dans ce miroir. » Uniquement elle ? En voilà une bien étrange réponse. Elle tourna alors les yeux vers lui, c’était étrange comme réponse. C’était elle qu’il désirait, mais, c’était bizarre. Quand elle regardait le miroir, elle se voyait avec sa mère, et Graeme, elle voyait son propre reflet dedans, alors que lui ne voyait qu’elle ? Elle répondit alors intrigué : « Etrange, tu ne te vois même pas… » elle esquissa une fausse moue boudeuse, « tu ne veux pas être avec moi alors ? » oui, Ysolde savait être une profonde gamine, et faire une petite mine triste, digne d’une enfant de cinq ans.
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MessageSujet: Re: Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde   Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde EmptySam 10 Déc - 22:09

« J’aime tellement ma mère tu sais. j'aurais aimé la connaitre plus. Quand je la vois, je me dit que je lui ressemble tellement. Elle est morte tellement jeune. » Le jeune Reinhaart était entrain d'écouter la blonde parler, il était totalement captivé par ce qu'elle disait même si ce n'était pas vraiment facile de parler d'un sujet aussi dur que celui-ci. La mère d'Ysolde était décédée et pourtant, elle restait là, c'était comme si elle protégeait sa fille même en étant dans le monde des morts. Parfois, Graeme s'était demander si son grand père, un homme bon, droit, sur de lui, pouvait le surveiller même en étant dans le monde de ceux qui ne vivent plus. Quand le rouge et or était plus jeune, il avait passé des après midi à travailler chez son grand père, à travailler le bois afin d'aider celui-ci, il avait même peint un cheval de bois. Le blond avait vécu dans le monde des moldus pendant des années, il s'était même conduit comme eux, après tout, il n'y avait pas tellement de différence entre les sorciers et les moldu, à part leur façon de faire, les transport... Aujourd'hui, le jeune Reinhaart avait bien grandit. Parfois il se demandait si son grand père serait fier de ce qu'il était devenu ou bien si il lui manquait quelque chose pour tenir entre ses doigts son avenir. Il y avait bien une chose que le blond ne disait à personne, ni même à Ysolde. Simplement parce qu'il ne savait pas comme cela pourrait être prit. En faite, Graeme avait peur de grandir, s'il pouvait, il choisirait de rester adolescent toute sa vie car c'est sans doute l'une des plus belles époques qu'il vit mais d'un autre côté, il a peur de s'aventurer dans le monde des adultes. Parfois, le blond avait des réactions d'adulte, il faisait même plus mature que les autres étudiants du château mais au contraire des autres, il ne voulait pas grandir, il avait peur, c'était sans doute sa plus grande peur. Le jeune homme regarda alors sa blonde, quand Ysolde parlait de sa mère, il en apprenait plus son passé, sur elle et le mieux dans tout ça, c'est que le rouge et or appréciait écouter sa blonde parler. « Comment était ta mère ? Elle était qu'elle genre de femme ? Personne ne mérite de mourir jeune. Même si la vie est un cycle, on naît pour mourir mais pas de cette façon. » Le jeune homme n'était pas un scientifique pour savoir ce genre de chose mais c'était quelque chose de logique. Tout le monde savait que la vie était un cycle, que les humains naissait pour mourir. Parfois, il se demandait si s'était la même chose pour les créatures magiques, telle que les centaures, les vivants de la forêt interdite. Eux aussi était en danger depuis qu'Ombrage, la grosse dame était à Poudlard. Plus personne n'était en sécurité même si Graeme n'avait plus eu de remarque depuis qu'il avait serrer sa cravate et mit sa chemise dans le pantalon. La serpentarde tourna alors la tête vers le rouge et or et dit alors : « Etrange, tu ne te vois même pas… » Le jeune homme tourna alors la tête en direction du miroir et regarda celui-ci, seulement, il ne voyait que la blonde, juste elle et rien d'autre. Il n'y avait personne, ni même son propre reflet. Pendant quelque secondes qui lui parurent longue, il se demanda si cela était inquiétant de ne pas se voir dans le miroir du risède. D'ailleurs le blond tourna la tête de nouveau en direction de la blonde afin de prendre la parole à son tour : « Tu penses que c'est grave de pas se voir dans ce miroir... ? Ou bien inquiétant... ? » Il fallait savoir que Graeme n'était pas le genre de gars à s'inquiéter pour si peu de chose mais cette fois-ci, c'était assez étrange de ne pas se voir dans un miroir alors qu'avec les autres oui. Cela rendait le jeune homme anxieux, pourquoi ne se voyait-il pas dans ce putain de miroir ? Alors que tous avant lui c'était sans doute vu au moins une fois dans ce miroir. Normalement c'était la logique des choses, il devait se voir dans ce miroir et pourtant non, pas un signe de lui, ni même un bout de sa tête. Soudain la blonde dit alors : « tu ne veux pas être avec moi alors ? » Le jeune homme regarda alors attentivement la blonde, elle faisait une tête de petite fille qui... Qui boudait. Il ne rêvait pas ! La blonde boudait ! Le jeune homme se mit alors à sourire en voyant la tête de la blonde. Si lui ne voulait pas être avec elle ? Alors la, ça serait de la folie pour être exact. Ysolde était comme une drogue pour lui, mais une drogue qui était bien plus intéressante et bien plus passionnante que les produits illicites. Graeme regarda alors les yeux de la blonde puis les lèvres de celle-ci jusqu'à de nouveau regarder les yeux de la blonde. Son regard, c'était quelque chose de captivant, il pouvait passé à des heures à regarder les yeux de la serpentarde. En faite, quand il la regardait, il oubliait tout ce qui se passait aux alentours même si ce soir, ils étaient dans une pièce, en compagnie d'un miroir. « Tu sais quand faisant cette tête tu pourrais tout obtenir. On dirait les gamins qui veut du chocolat. » Les gamins, Graeme n'en n'était pas vraiment fan. C'était un mec quoi. Le jeune homme avait une fois du faire face à des gamins, quand il avait été chez son oncle mais il n'avait jamais trouver sa agréable. Sa pleurait, parfois sa sentait mauvais puis sa dormait sans cesse pour ensuite manger et dormir à nouveau. Le jeune homme adressa un sourire à la blonde pour ensuite dire : « Si je ne voulais pas être avec toi, je serais bien fou. Sauf que je ne suis pas un fou mais fou de toi, c'est différent, bien différent.» Le jeune homme déposa alors un baiser sur le front de la blonde. Dire qu'il y avait bien des jours qui lui avait parut long sans elle. C'était dingue le manque qu'il avait ressentit sans elle. Et dire qu'il avait voulut partir à Dumstrang.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde   Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde EmptyDim 11 Déc - 21:31

« Comment était ta mère ? Elle était qu'elle genre de femme ? Personne ne mérite de mourir jeune. Même si la vie est un cycle, on naît pour mourir mais pas de cette façon. » Elle se souvenait si peu de sa mère, elle e souvenait tellement peu d’elle. Enfin, si elle la connaissait grâce à ses yeux d’enfants, elle avait des vagues souvenirs, des flash, des impressions, des sensations. Oui, elle se souvenait d’elle, mais pas comme si elle l’avait parfaitement connue, non, parfois elle avait l’impression de se souvenir d’une étrangère, parfois elle avait l’impression de ne pas vraiment l’avoir connu. Elle se souvenait avoir été très très proche d’elle, d’avoir pleurer dans ses bras, rit avec complicité, s’être fait engueler, mais elle gardait les meilleurs souvenirs en tête, et surtout le plus tragique : sa mort. elle se laissa alors esquisser un petit sourire et dit alors : « Elle est blonde, jeune, jolie. Je ne sais pas exactement qu’elle genre de femme elle était, je ne l’ai toujour vu qu’avec mes yeux d’enfants. Mais je me souviens qu’elle ma dit que j’étais pire qu’elle, plus capricieuse, plus impatiente, ça s’était quand elle m’engueulait, d’un certain point de vue, elle était comme moi, enfin je suis comme elle, en pire. » Elle esquissa un mince sourire et reporta son regard sur le miroir et dit alors : « Elle n'avait que vingt cinq ans, elle m'a eut... très jeune, à dix sept ans, c'est peut être parce qu'elle était enceinte qu'elle a choisi de partager la vie d'un monstre. » Elle poussa un mince soupire, et s’éfforça de sourire, même si c’était faiblement. Ensuite, Graeme dit alors : « Tu penses que c'est grave de pas se voir dans ce miroir... ? Ou bien inquiétant... ? » Désirer une chose au point de s’oublier soit même… c’est une preuve de passion, et d’amour. Pour ysolde, elle se voyait avec lui, parce qu’elle avait tellement peur de se retrouver seule. Oui, elle avait peur de se retrouver toute seule, toute seule. C’était une peur humaine, elle lui murmura alors avec douceur : «Ce n'est pas grave, c'est humain, c'est une preuve de passion, d'amour. » Sa voix était douce. C’était rare que sa voix soit douce, enfin avec Graeme cela faisait longtemps. Ces derniers temps, elle avait été sèche, cassante, mais pas douce. D’un côté, cela lui avait aussi manqué d’être douce avec lui. « Tu sais quand faisant cette tête tu pourrais tout obtenir. On dirait les gamins qui veut du chocolat. » Les gamins. Les filles sont sensé adoré ça, et s’écrier « oh mon dieu qu’il est mignon ce bébé » à chaque fois qu’elles en voient un. Mais, Ysolde, les enfants, très peu pour elle, un jour, peut être, mais un jour lointain si possible. Elle détestait l’ide que l’on puisse lui baver dessus, lui vomir dessus. Oui, les gosses, ça vomit, ça pue, ça hurle, très peu pour ysolde. Elle allait bientôt avoir un petit cousin : Lukas, le fils de sa tante Sofia. Il allait falloir qu’elle l’apprécie un peu, sauf s’il s’avisait de lui vomir dessus, bien sûr. Mais bon, ysolde était une gamine au fond, sauf qu’elle ne bavait pas, qu’elle ne vomissait pas, et qu’elle n’hurlait pas, mais… elle avait l’esprit d’une enfant espiègle parfois. Elle lui adressa un mince sourire, et fit une mine faussement blessé, enfantine elle aussi, et répondit alors : « tu ne veux pas être avec moi alors ? » Ysolde ne bavait jamais, non, peut être que quand elle dormait et que quand elle faisait un rêve alléchant, il pouvait lui arriver de baver, enfin, ça personne ne pourrait le savoir, sauf si un jour elle partageait son lit avec quelqu’un, enfin bref. Elle n’hurlait jamais, sauf quand la personne le méritait vraiment. Bon, peut être qu’elle avait déjà hurlé sur Graeme, mais il l’avait mérité. Quant au chocolat… c’était le pêcher mignon de la jeune femme, elle adorait ça, mais, pas au point de baver, ni de hurler, quand même. « Si je ne voulais pas être avec toi, je serais bien fou. Sauf que je ne suis pas un fou mais fou de toi, c'est différent, bien différent.» Il déposa alors un baiser sur le front de la blonde. Heureusement, il n’était pas fou. En matière de folie, Ysolde en connaissait un rayon. Son père était cinglé, et ce n’était pas beau à voir. Ensuite, il y avait eut Ulysse, et en matière de folie, celui-ci décrochait la palme d’or. Graeme était tout sauf fou, enfin d’après lui, il était fou d’elle, c’était une bonne maladie, non ? Oui, l’amour était un peu comme une maladie, il y a d’abord des symptômes, puis tout à coup, cela devenait grave, c’était une maladie oui. Ysolde en possédait tous les symptômes, et il lui avait fallu un certain temps pour admettre qu’elle était « malade », elle aussi, elle avait fini par devenir folle de lui. enfin… Ysolde restait une jeune fille raisonnable, elle ne se laissait pas emporter souvent ce qui lui valait une réputation de fille frigide aussi… oui, frigide, c’était le mot.« J'aime bien l'idée que tu sois fou de moi. » dit-elle avec malice en esquissant un sourire espiègle. elle ajouta alors en se rapprochant de lui : « Mais je vais te faire une confidence, moi aussi, je suis folle de toi. »Malicieuse, elle se blotti de nouveau contre lui pour l’embrasser avec passion.
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MessageSujet: Re: Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde   Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde EmptyLun 12 Déc - 20:22

« Elle est blonde, jeune, jolie. Je ne sais pas exactement qu’elle genre de femme elle était, je ne l’ai toujour vu qu’avec mes yeux d’enfants. Mais je me souviens qu’elle ma dit que j’étais pire qu’elle, plus capricieuse, plus impatiente, ça s’était quand elle m’engueulait, d’un certain point de vue, elle était comme moi, enfin je suis comme elle, en pire. » Graeme écoutait attentivement ce que disait Ysolde par rapport à sa propre mère. Ce qui était bien avec lui, c'est qu'il savait écouter mais il savait également conseiller, il savait parler pour remonter le moral. Le rouge et or avait une présence qui faisait que tout ne pouvait qu'aller mieux dans les secondes qui suivirent. Il savait être dans un endroit, un lieu et montrer qu'il était présent. Avoir une présence, c'était quelque chose d'important, être invisible, c'était quelque chose que l'on vivait un jour ou l'autre, mais c'était sans doute quelque chose qu'on espérait pas. Le jeune homme regarda alors la serpentarde regarder dans le miroir pendant qu'elle parlait : « Elle n'avait que vingt cinq ans, elle m'a eut... très jeune, à dix sept ans, c'est peut être parce qu'elle était enceinte qu'elle a choisi de partager la vie d'un monstre. » Il se demandait parfois, comment les demoiselles pouvait avoir un gamin à cet âge-là. Dix sept ans, c'était l'âge où on pensait bien plus à ses études plutôt que d'avoir un gamin. Du moins Graeme n'aurait jamais pensé à être paternel à un âge aussi jeune que celui-ci, premièrement parce qu'il ne le désirait pas, deuxièmement parce qu'il n'aimait pas vraiment les gamins, il les trouvait trop pleurnichard, trop chiant, trop surveillant. Dix sept ans, à cet âge-là, il n'avait pensé cas jouer au quidditch, à être au mieux de sa forme dans les études et il avait également tout donner pour ses anciens camarades, anciens frères. Le rouge et or se demandait comment la mère d'Ysolde avait pu faire. N'était-ce pas une vie de gâcher en ayant un gamin à cet âge-là ? Beaucoup de moldu disent que ce n'est que de bonheur et d'un autre coter, d'autre disent que ce n'est que malheur, que plus n'est profitable ensuite. Le jeune homme regarda alors la serpentarde afin de dire : « Elle te voulait certainement pour vivre ce qu'elle à vécue. Si elle ne te voulait pas, elle aurait sûrement sue faire face à une autre solution. » Le jeune homme continua de regarder la blonde jusqu'à lui dire : « Et heureusement qu'elle n'ait pas choisie l'autre solution. » Le jeune Reinhaart ne s'était pas vu, ni même aperçu dans le miroir. Il avait simplement vu Ysolde dans ce miroir, parce qu'elle était ce que désirait le plus le blond. Il la désirait à un point que lui même ne savait pas à quel point. En faite, parfois, il pouvait tellement ressentir de chose que ça lui en faisait peur. Peur. Qui n'avait pas peur de certaine chose ? Tout le monde avait peur, c'était bien connu mais c'était surtout humain. «Ce n'est pas grave, c'est humain, c'est une preuve de passion, d'amour. » Voilà qui rassurait le jeune homme. Ne pas s'apercevoir dans le miroir, mais plutôt de l'apercevoir elle, était une preuve de passion et d'amour. Alors Graeme était vraiment passionné par la blonde mais surtout très amoureux. Même si c'était rare qu'il le montre, il savait très bien le faire comprendre, dans ses gestes ou même dans des situations comme celle-ci. Rien que de savoir que c'était humain, cela faisait sourire le blond. C'était toujours bon de savoir que rien n'était grave si l'on ne voyait que par une autre, qu'on avait qu'un centre du monde et ce centre du monde, c'était Ysolde aux yeux de Graeme. Le rouge et or avait remarquer que la voix de la serpentarde était plutôt douce et calme pas comme les autres jours, où cela s'était rendu à l'étape d'un champ de bataille. Il n'était pas le genre de mec à se laisser faire mais avec Ysolde, cela pouvait finir en champ de bataille en même pas deux secondes. L'amour, c'était humain, au moins une seule fois, on le connaissait, c'était quelque chose qui venait sans qu'on si rend vraiment compte mais parfois, ça venait puis sa se barrait, sans qu'on le veuille réellement. Graeme était ce qu'on pouvait appeler un fou, mais fou d'amour voilà ce qui le différenciait des autres mecs qui était complètement taré. « J'aime bien l'idée que tu sois fou de moi. » Le jeune homme regarda attentivement sa blonde, oui même quand il y avait eu la rupture Ysolde avait été sa blonde, d'ailleurs il avait seulement essayer d'anéantir la douleur car c'était ça qui faisait le plus mal avec la distance, le manque... Le blond regarda alors la blonde sourire, un sourire qui en disait long, bien long. Il la laissa se rapprocher de lui jusqu'à ce qu'elle dise : « Mais je vais te faire une confidence, moi aussi, je suis folle de toi. » Le rouge et or n'hésita pas à sourire en entendant ça, il n'eut même pas le temps de répondre quoi que ce soit qu'il se retrouva avec les lèvres de la blonde sur les siennes, ce qui d'ailleurs ne déplut pas au passage au blond qui continua le baiser de la même façon que la blonde tout en guidant ses propres mains sur la taille de la blonde. Seulement quelque chose gênait le blond, sans doute le fait d'embrasser la blonde devant un miroir qui permettait à Ysolde de voir sa mère et donc qui permettait de voir Ysolde pour la mère. Il metta un terme au baiser jusqu'à regarder la blonde et lui dire : « Tes sur qu'elle ne nous vois pas là ? » Voilà ce qui gênait le jeune Reinhaart. Le regard des autres il sans fichait bien mais celui de la mère d'Ysolde même à travers un miroir, cela le gênait.

Hj : A chier, désolé mais le seum ce soir Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde 854887217
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde   Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde EmptyLun 12 Déc - 22:05

Sa mère lui manquait, c’était un fait. elle savait peu de choses à son sujet, sauf qu’elle avait eut sa fille jeune, que le crétin qui servait de père à sa fille n’avait jamais voulu l’épouser à cause de son sang, qu’elle était morte jeune à cause de ce même crétin. Oui, elle en savait peu sur sa vie finalement. « Elle te voulait certainement pour vivre ce qu'elle à vécue. Si elle ne te voulait pas, elle aurait sûrement sue faire face à une autre solution. » Ça, elle ne pourrait jamais vraiment le savoir. Oui, seule sa mère pouvait répondre à cette question. Et puis, elle n’en aurait jamais la réponse, puisqu’elle était morte. Il poursuivit alors : « Et heureusement qu'elle n'ait pas choisie l'autre solution. » Elle aurait pu choisir d’abandonner Ysolde. Elle aurait pu ; ysolde se disait aussi qu’elle aurait pu faire le choix de ne pas tourner le dos à sa mère, peut être qu’elle aurait pu avoir une grand-mère digne de ce nom. Sa vie aurait été différente, elle aurait probablement été élevée en France, et aurait probablement rejoint l’académie de Beauxbâtons, mais sa vie avait pour le moins été différente. elle avait vécu des horreurs, et se disait qu’un jour elle aurait le droit à sa part de bonheur. « Je ne sais pas si c’est ce qu’elle voulait vraiment. Je sais qu’à cause de mon père, probablement de moi, elle n’a plus jamais parlé à sa famille, du moins à sa mère. Je ne le saurais jamais. » dit-elle finalement en baissant les yeux. Oui, elle se souvenait avoir épié une conversation entre sa tante et sa mère qui parlait de leur mère, et du fait que Amelia – la mère d’Ysolde – avait renié sa mère pour partir vivre si jeune avec Angus Wilkes, probablement parce qu’elle était enceinte. Et dire que sa mère avait renié sa famille pour un… monstre comme son père. Ça Ysolde ne comprenait pas. Tout comme elle n’était pas capable de comprendre comment on pouvait tomber enceinte à dix sept ans – enfin ysolde connait « le mode d’emploi » - mais comment on peut l’accèpter. Ysolde se disait que lorsque ça nous arrivait, on pourrait comprendre. Enfin, comprendre était la ernière chose que voulait faire ysolde, plus tard elle serait maman, mieux elle se porterait, elle n’était pas prête de changer des couches, de moucher un bébé, de sentir le vomi, non. le plus tard possible serait le mieux. Oui, ysolde était mal à l’aise avec les enfants, ça changerait peut être… un jour.

La jeune femme embrassa alors le jeune homme ; tant d’affection de sa part, il fallait en profiter, cela risquait bien de ne pas durer, elle devenait rapidement frigide sans raisons. Les mains de Graeme sur sa taille ne lui déplurent pas le moins du monde. Il rompit alors le baiser, et dit alors en regardant la jeune femme : « Tes sur qu'elle ne nous vois pas là ? » Ainsi, Graeme Reinhaart avait « peur » de la mère décédée de la jeune femme ? C’était drôle, et à la fois, étrange. La jeune femme esquissa alors un mince sourire, et répondit alors avec malice : « Graeme… » Elle marqua une pause, et dit alors à mi-voix : « je ne penserais jamais avoir à dire ça mais… elle morte, il y a onze ans, elle n’est pas réelle, elle ne va pas venir te parler. » C’était vrai, cela pouvait paraitre étrange d’être devant un miroir, même si celui-ci n’était pas magique, mais sa mère n’était pas vraiment là, hélas. Il n’avait rien à craindre, elle n’allait malheureusement pas sortir du miroir pour faire la connaissance du petit ami de sa fille. Quand elle y pensait, elle ne savait même pas comment sa mère pourrait réagir à l’idée qu’elle ait un petit ami. Quand elle y pensait vraiment, une mère lui manquait tellement dans sa vie. Elle sourit à Graeme, et dit alors : « Peut être qu'on devrait... aller ailleurs, ou... aller dans nos salles communes, le couvre feu ne devrait pas tarder... je crois. » Elle marquait des courtes pauses cherchant ses mots. Elle n’allait pas le condamner à rester devant ce miroir. Par contre, elle allait y revenir quelques fois, histoire de se remonter le moral, surtout en ces périodes de fêtes, Noel, l’anniversaire de la jeune femme, c’était une période qu’elle n’appréciait pas traverser seule, au moins elle pourrait voir sa mère, ce n’était pas rien.

HJ, t'inquiète, j'aime I love you moi non plus c'est pas top, je suis pas en grande forme alors Arrow
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MessageSujet: Re: Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde   Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde EmptyMer 14 Déc - 14:36

Le jeune homme trouvait cela dégueulasse d'avoir une vie comme celle qu'avait eu Ysolde. Un père qui n'aimait pas sa fille, soit disant parce qu'elle n'était pas de sang pur, mais bien de sang mêlé, qu'elle n'était pas une fierté mais plutôt un cauchemars réel alors que non, Ysolde avait sans doute une face noir, comme l'avait pu remarquer Graeme mais Ysolde n'était pas méchante pour autant. Il fallait seulement chercher le meilleur de chez elle, trouver ses défauts et les mettre en qualités. Le jeune Reinhaart dès la première fois, il avait su faire la part des choses, il n'avait pas écouter les autres et rien que ça, c'était beaucoup. Aujourd'hui, tout le monde sans prenait à tout le monde, tout le monde n'hésitait pas à rendre le mal qu'Ysolde leurs avait fait en lui faisant mal. Le blond ne trouvait pas sa vraiment bien, simplement parce que la vengeance n'était jamais satisfaisante. Le jeune homme connaissait cette sensation, la sensation de vouloir se venger, c'était une sensation que la blonde devait certainement sentir vis à vis de son paternel, tandis que le rouge et or avait ressentit cette sensation quand il était partit de sa bande de camarade, de frères. Il avait du choisir et choisir n'était jamais simple ni même efficace. « Je ne sais pas si c’est ce qu’elle voulait vraiment. Je sais qu’à cause de mon père, probablement de moi, elle n’a plus jamais parlé à sa famille, du moins à sa mère. Je ne le saurais jamais. » Le jeune homme écoutait la blonde, il pouvait faire sa pendant des heures et des heures entières, plus il l'écoutait, plus il en apprenait plus sur son compte, plus il trouvait la blonde captivante. Captivante parce qu'elle était totalement différente des autres demoiselles du château, voilà pourquoi le jeune homme était tomber sous son charme, contrairement aux autres qui n'avait jamais été un seul regard de la part du blond. Il venait d'apprendre que la mère de la blonde l'avait eu à dix sept ans, un âge où on ne pense pas réellement à son avenir mais plutôt à s'amuser, à rire, pleurer, de pouvoir se laisser aller quand on a un seul moment libre, seulement la mère de celle-ci avait eu Ysolde. Pour Graeme c'était un âge qui premièrement avait dépassé mais deuxièmement un âge trop jeune pour être père. D'ailleurs lui même n'aimait pas spécialement même vraiment les gamins. Évidement que si une chose comme celle-ci, le rouge et or assumerait, assumer dans une situation comme celle-ci était importante mais il n'imaginait même pas sa réaction si un jour il apprenait qu'il allait devenir... Père. Brouah ! Le jeune homme eu comme un choc électrique, le faisant frisonner. Penser à ça n'était pas vraiment la meilleure des choses. Non vraiment pas ! Il regarda alors la blonde baisser les yeux. Ne pas savoir lui faisait du mal et le blond n'aimait pas vraiment voir sa blonde comme ça. « Il n'y a vraiment aucun moyen que tu saches tout ça ? Il doit bien y avoir des membres de la famille du côter de ta mère. » Contrairement aux autres, Graeme détestait ne jamais savoir, il voulait toujours être au courant de tout, enfin au courant de tout, surtout de ce qui était important à savoir. Mais quand cela concernait Ysolde, il était le premier à vouloir savoir, il était même capable d'aller se mettre dans la foule, de bousculer des étudiants rien que pour savoir un truc. Soudain, pendant le baiser, Graeme y mit fin. Quelque chose le gênait voir même le dérangeait. Le miroir. A travers ce soir, Ysolde avait vu sa mère, tandis que lui, n'avait vu qu'Ysolde car c'était elle qu'il désirait le plus. Mais la mère d'Ysolde, c'était comme si elle pouvait le voir entrain d'embrasser sa fille. C'était assez gênant, il se demandait comme la mère de celle-ci aurait réagis si elle avait vu sa fille dans les bras du Reinhaart. « Graeme… » Le jeune homme regarda la blonde, il aperçu un petit sourire, très fin sur les lèvres de sa blonde. Ce qui le rassura. La blonde fit alors une pause afin de reprendre : « je ne penserais jamais avoir à dire ça mais… elle morte, il y a onze ans, elle n’est pas réelle, elle ne va pas venir te parler. » Oui elle était morte mais pour Graeme, le fait que la blonde l'est vu c'était comme si elle était vivante dans le monde des morts et non des vivants. Parfois, il se demandait si c'était possible qu'elle revienne dans le monde des vivants, peut être qu'il y avait un moyen sauf que personne ne l'avait trouver pendant des années ou bien il se faisait des espoirs totalement faux. En faite, il aurait aimé rencontrer la mère de celle-ci, sans doute pour lui faire comprendre que sa fille était quelqu'un de très bien mais également de très merveilleuse. « Dommage qu'elle ne soit pas présente, j'aurais aimé la rencontrer. Tu penses qu'elle m'aurait apprécier ?. » Le jeune homme adressa un petit sourire à la blonde. Oui, c'était dommage qu'elle ne soit pas présente, il aurait aimer voir comment était la mère de celle-ci mais également la connaître. Le jeune homme regarda la blonde sourire avant qu'elle dise au blond :« Peut être qu'on devrait... aller ailleurs, ou... aller dans nos salles communes, le couvre feu ne devrait pas tarder... je crois. » Le couvre feu. Graeme détestait le couvre feu, il le trouvait tellement tôt mais depuis qu'Ombrage était au château, les préfets faisait bien plus de ronde que prévu mais s'était également assez dangereux de traîner à cette heure-ci. Sachant très bien les punitions d'Ombrage. Le rouge et or avait déjà été en retenu avec celle-ci, la salle avait été rose, avec des assiettes de chat qui bougeait dans tous les sens. Il était bien avec Ysolde, même trop bien, c'était un truc de fou. De ressentir tellement de chose en une seule et unique présence. Sans doute au faite qu'il n'avait pas été auprès d'elle pendant un bon moment. « Le mieux serait sans doute que je te ramène à ton tableau. Si Ombrage nous vois ensembles à une heure tardive comme celle-ci, elle risquerait de nous mettre en retenues. D'ailleurs, qu'aurait penser ta mère de la venue de la grosse dame rose au château ? » C'était une question intéressant n'est ce pas ? Étant donner que la père d'Ysolde était sang pur, c'était logique qu'il soit du coter du ministère. Mais la mère de celle-ci alors. De quel coter ?
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde   Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde EmptyDim 18 Déc - 0:09

« Il n'y a vraiment aucun moyen que tu saches tout ça ? Il doit bien y avoir des membres de la famille du côter de ta mère. » Elle avait de la famille, sa tante, probablement sa grand-mère, mais ce n’est pas facile de parler de quelqu’un qui est décèdé. Pour Ysolde c’était très dur à cet instant, elle s’éfforçait de sourire, de paraitre fort, mais dans sa gorge il y avait cette boule qui était là, de plus en plus pesante. Sa mère lui manquait, en parler ne l’aidait pas, l’ignorer ne l’aidait pas, rien ne l’aidait et rien ne semblait pouvoir l’aider. La jeune femme afficha alors un mince sourire et dit alors doucement : « Hum, je pourrais probablement demander à ma tante, mais j’ai un peu du mal à lui parler comme à un membre de ma famille, tout est si… compliqué. » Compliqué, parce qu’elle avait l’impression de s’immiscer dans la vie de sa tante sans y être invité, alors que celle-ci l’avait conviée chez elle, etc. elle avait toujours l’impression d’être une intruse, de ne pas être à sa place. quant à sa grand-mère, elle ne la connaissait pas, et ne voulait pas la connaitre pour la simple et bonne raison que sa mère ne lui parlait plus, et que si elle ne lui adressait plus la parole étai la naissance d’Ysolde. « Dommage qu'elle ne soit pas présente, j'aurais aimé la rencontrer. Tu penses qu'elle m'aurait apprécier ? » Ysolde aussi aurait aimé la revoir, mais elle ne pouvait pas savoir ce qu’aurait pu penser de Graeme. Après tout en matière d’homme ses goûts étaient… douteux ? Mr angus wilkes n’était pas hideux, loin de là, mais il était méchant, cruel, détestable, arrogant, violent. Comment sa mère avait pu aimer cela ? Il avait toujours été comme ça, c’était obligé, pourquoi lui ? Du coup, Ysolde doutait de la capacité de jugement de sa mère, peut être qu’Ulysse aurait été le genre de garçon qu’elle voulait pour sa fille, se rapprochant plus de son père, mais elle ne savait pas ce qu’elle aurait pu penser de Graeme, un « gentil » garçon qui n’était pas violent, ni profondément méchant, elle ne savait pas du tout.« Je ne sais pas ce qu’elle pouvait apprécié, je peux douter de ses capacités de jugement pour la simple et bonne raison qu’elle a voulu épouser mon père et ça… c’est une sacrée erreur de jugement. Je pense que du moment que j’étais heureuse, elle aurait l’être aussi, après je ne sais pas vraiment ce qu’elle aurait pu penser de toi. »


Il se faisait tard, Ysolde mourrait envie de s’endormir, vraiment, mais quitter Graeme c’était assez dur, surtout qu’ils venaient de se retrouver alors… « Le mieux serait sans doute que je te ramène à ton tableau. Si Ombrage nous vois ensembles à une heure tardive comme celle-ci, elle risquerait de nous mettre en retenues. D'ailleurs, qu'aurait penser ta mère de la venue de la grosse dame rose au château ? » Hum, oui, il était l’heure de se séparer. Ils étaient ensemble, enfin, ils avaient l’air d’être de nouveau ensemble, malgré tout, Ysolde n’oubliait pas Reagan dans cette histoire, elle n’allait certainement pas oublier cette garce qui dés le lendemain serait encore là pour s’immiscer dans leur vie, elle ne se faisait pas d’illusion, elle n’allait pas lâcher l’affaire de la sorte. Cette idée perturba intérieurement la sorcière, il avait beau lui dire qu’il n’irait pas voir une autre fille, elle se sentait toujours dans l’insécurité la plus totale, elle avait peur d’être abandonnée, tout le temps. Elle dit alors, s’efforçant de paraitre tout à fait normale, ces derniers temps, elle pensait beaucoup et avait tendance à laisser les émotions l’envahir, les bonnes, comme les mauvaises : « Tu crois que c’est raisonnable de m’accompagner ? Te voir errer vers les dortoirs de serpentards pourrait lui faire croire que tu préparer un mauvais coup. » Ysolde esquissa un mince sourire, oui, elle connaissait ce genre de personne, à tirer des conclusions totalement fausse d’une situtation, se fichant éperdument de la vérité, et ne voulant que leur intérêt. Avoir quelqu’un préparant un mauvais coup allait dans le sens de sa cause, et elle se trouvait un nouvel élève à mettre en « pilori » en exemple, à mettre en retenue. Elle ne voulait pas que Graeme se retrouve encore une fois en retenu, non, s’en était assez. Ce n’était pas son genre de finir en retenue, et elle ne voulait pas que cette vieille bique le mette en retenue. Elle ajouta ensuite : « Je crois qu’elle ne l’aurait pas aimé, ma mère ne supportait pas ne pas avoir sa liberté, c’est une chose dont j’ai hérité d’elle, elle l’aurait détesté, vraiment. » Oui, Ysolde n’aimait pas qu’on lui dicte ce qu’elle avait à faire, aujourd’hui elle tenait à sa liberté, et cette vielle contrariait sérieusement la jeune femme. Elle attrapa doucement la main de Graeme, une première depuis des semaines. Elle lui adressa un doux sourire, et l’attira alors vers la sortie, délaissant le miroir, elle reviendrait plus tard… peut être même dans la nuit si elle n’arrivait pas à trouver le sommeil. Elle sourit doucement, oui, ce n’était pas le sourire des grands jours, elle gardait Reagan la garce à l’esprit, et cela la perturbait, elle voyait toujours le pire, tout le temps.
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MessageSujet: Re: Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde   Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde EmptyDim 18 Déc - 15:23

Graeme n'avait plus eu Reagan dans ses pattes pendant la dure séparation qu'il avait vécu avec Ysolde. Il avait bien vu que tout ce que Reagan Goyle avait voulut, c'était que les deux jeunes se séparent mais quel était la raison de ses coups-là ? Pourquoi Reagan Goyle jalousait tellement Ysolde Wilkes, alors qu'elle n'avait plus de mère, alors qu'elle avait vécue dans le mensonge pendant de nombreuses années. Qui aurait voulut d'une vie comme la sienne ? En tout cas ce n'était pas lui qui aurait voulut avoir une vie comme celle-ci. Sa vie à lui, avait été sans mensonge, évidement, il n'avait pas tout dit à ses parents, mais il parlait beaucoup avec eux, surtout avec sa mère qui ne voulait pas qu'un jour, son propre fils part un jour après ses études à Poudlard. Ce que Graeme avait comme peur, c'était la peur de grandir, c'était sa plus grande peur et pourtant, peu de jeune avait cette peur mais il était déjà âgé de dix neuf ans, ce qui pour lui était beaucoup. Un jour, son grand père lui avait dit avant de partir dans le monde des morts, qu'il fallait profiter de sa jeunesse au maximum car c'était la plus belle époque que chaque être humain vivait. La preuve, le jeune homme avait été batteur de quidditch pendant deux années, il avait arrêter car il avait la soudaine peur de ne pas pouvoir réussir ses examens étant donner qu'il était la fierter de sa famille mais qu'il était également un bon élève à Poudlard, voilà pourquoi le chapeau magique avait hésiter entre Gryffondor pour son courage et Serdaigle à cause de son intelligence et sa faciliter d'apprendre. Graeme avait de la logique dans sa tête, avant de faire quoi que ce soit, il réffléchissait avant même pendant ses heures de cours. « Hum, je pourrais probablement demander à ma tante, mais j’ai un peu du mal à lui parler comme à un membre de ma famille, tout est si… compliqué. » Graeme comprenait la réaction de la blonde, lui même n'aurait pas pu faire face à une personne inconnue pendant des années et qui revient en surface des qu'on reprend possession de son esprit et de sa vie. Il le savait, il savait que la serpentarde avait besoin bien plus de temps qu'elle aurait pu croire. Une situation comme celle-ci n'était jamais évidente, pour qui que ce soit. « C'est normal, ta besoin d'un peu plus de temps pour t'habituer à la situation. C'est humain. » Le jeune Reinhaart aurait apprécier rencontrer la mère d'Ysolde, rien que de savoir ce qu'elle avait transmit à sa fille aurait été pas mal à savoir. D'après Ysolde, sa mère lui ressemblait ou du moins, Ysolde ressemblait à sa mère, ce qui voulait dire que physiquement elle était bien loin d'être repoussante. Il n'y avait cas regarder la serpentarde, ce n'était pas le genre de demoiselle qui était repoussante au château, non loin de là même, il n'y avait cas voir le regard des autres gars du château qui ne loupait jamais une miette quand Ysolde passait devant eux. D'ailleurs parfois, cela rendait Graeme fier, fier d'elle car parfois le regard était bon mais il ne fallait jamais en abusé d'après lui. « Je ne sais pas ce qu’elle pouvait apprécié, je peux douter de ses capacités de jugement pour la simple et bonne raison qu’elle a voulu épouser mon père et ça… c’est une sacrée erreur de jugement. Je pense que du moment que j’étais heureuse, elle aurait l’être aussi, après je ne sais pas vraiment ce qu’elle aurait pu penser de toi. » Graeme était bien différent des ex petit amis à la blonde. Il n'était pas le genre de mec à être violent sans arrêt pour rien, il n'était pas le genre de mec à draguer tout ce qui passait sous son nez, il ne frappait pas sans aucune raison, il savait qu'il avait un bon poing droit étant donner qu'il avait pratiquer la boxe, un sport moldu qui était très physique. Mais il était un sorcier et il devait se servir de sa propre baguette magique, parfois les sortilèges était bien mieux que la violence, parfois. Il était le de mec à avoir une énorme fierté, ce qui voulait dire qu'il n'était pas le genre de mec à s'abaisser mais avec Ysolde, c'était totalement différent, avec elle, il se sentait lui-même, c'était ça qu'il avait accrocher rapidement avec elle. Il pouvait être lui-même avec elle alors qu'avec les autres, parfois, il préférait se faire une autre face, une face bien différente du gars qu'il est en réalité. Graeme n'était pas le genre de gars à frapper sa copine comme avait osé Ulysse Lestrange, l'ex petit d'ami d'Ysolde. Le jeune Reinhaart n'avait jamais pu le voir, même pendant la fête Halloween on son fantôme était apparu. Ce qui voulait dire qu'il était bel et bien mort alors que la gazette des sorciers le cherchait. « On sait déjà que je ne suis pas aussi cruel et méchant que tes ex. Alors je sais pas vraiment si elle aurait apprécier celui qui détient ton cœur en ce moment. Et pour ce qui est de ton père, je crois qu'il préférait me voir mort. Déjà pour mon sang mêlé mais également parce que sa fille est tomber totalement folle de moi. » Ah le Reinhaart, il aimait toujours mettre un peu d'humour dans ses mots. Graeme était finalement un clown, il ne pouvait pas rester bien longtemps sérieux, ce qui d'ailleurs était apprécier parmi les professeurs qu'il côtoyait en classe. Le jeune homme se mit alors à sourire doucement en regardant la blonde. Elle était vraiment celle qui le rendait meilleur, c'était un fait. Il avait bien deviner sa. La soirée commençait à prendre sa fin, cela se voyait, cela se sentait également. Graeme n'avait pas vraiment l'envie de partir et de rejoindre les autres Gryffondors qui devaient certainement dormir à l'heure tardive qu'il était. « Tu crois que c’est raisonnable de m’accompagner ? Te voir errer vers les dortoirs de serpentards pourrait lui faire croire que tu préparer un mauvais coup. » Il savait bien que si un préfet le voyait ou bien un élève du groupe organiser par la grosse dame, il finirait sa soirée dans le bureau de la dame rose. Cette dame. C'était sans doute la pire des professeurs que Poudlard avait eu jusqu'à présent. Le rouge et or n'était pas le genre d'homme à chercher les embrouilles même si en ce moment, beaucoup de chose se passait. Entre les coups qu'il avait reçu pour défendre sa blonde, puis Reagan qui lui prenait la tête même si en ce moment elle avait autre chose à faire et la grosse dame qui ne le lâchait pas mais un peu moins depuis qu'il ne parlait plus en cours pour répondre aux questions et qu'il avait prit l'habitude de bien mettre sa cravate et sa chemise dans son pantalon, même si cela le gênait terriblement. « Je n'aurais cas faire croire que je suis somnambule. » C'était dingue ce dont le jeune homme était prêt pour la blonde même jusqu'à la ramener dans son dortoir. « Je crois qu’elle ne l’aurait pas aimé, ma mère ne supportait pas ne pas avoir sa liberté, c’est une chose dont j’ai hérité d’elle, elle l’aurait détesté, vraiment. » La liberté, c'était quelque chose d'important pour le jeune homme. Il n'aimait pas qu'on lui dicte ce qu'il avait à faire ou même ce qu'il devait faire. Voilà pourquoi le jeune homme avait très peu d'ami à Poudlard. Tous à Poudlard formait une bande, une bande où il y avait un leader de groupe, puis après il y a les chiens qui suit sans rien dire car ils se croient tous potes. Seulement Graeme n'était pas un chien qui suivait, il avait plutôt l’instinct du leader mais également du battant qui ne lâchait jamais prise. Même à bout de force. « Vous avez toutes les deux raisons. La liberté est importante. Je crois que sans elle, j'aurais mal fini. » Mal finir pour avoir la liberté ? Oui Graeme aurait pu seulement il s'écoutait souvent même si parfois il faisait des erreurs. Personne n'est parfait. Voilà ce que lui avait dit clairement son paternel. Personne n'est parfait, ni même toi mon fils. Il n'avait seulement onze ans quand son père lui avait dit cela après que le blond est prononcer le mot sorcier en lisant sa lettre pour Poudlard. La serpentarde attrapa la main du blond, qui le fit sourire un peu. Quelque chose les bloquait. C'était calme, trop calme sans doute du au fait que la soirée se terminait. Ils allèrent alors vers la porte, la porte que le jeune homme ouvrit de sa main libre afin d'ouvrir celle-ci. Il n'aimait pas particulièrement les aux revoirs, même si demain matin il la reverrait. Le jeune homme regarda alors la blonde et remit alors la mèche de cheveux de la blonde en place avec sa main libre. « Tu devrais faire attention en rentrant, on ne sait jamais. » Un petit sourire non rassurant de la part du rouge et or se prononça sur ses lèvres.
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Ysölde M. Wilkes McFays
Ysölde M. Wilkes McFays


fondatrice -  prefète de serpentard, attention à vous, je peux éviter la retenue... ou pas.

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MessageSujet: Re: Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde   Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde EmptyDim 18 Déc - 22:23

« C'est normal, ta besoin d'un peu plus de temps pour t'habituer à la situation. C'est humain. » C’était normal ne pas s’être encore habituée à sa tante ? Ysolde ne savait pas trop. Oui, elle ne savait pas trop. Après tout, elle connaissait sa tante, quand elle était une jeune petite fille, elle avait connu sa tante, mieux encore, elle avait vécu avec elle quelques jours, le temps pour sa mère de mettre des choses aux claires. Elle la connaissait. Et il y avait cette distance, cette ysolde qui avait peur de déranger. Elle voyait la naissance de son petit cousin comme un moyen de s’intégrer dans la famille de sa tante, si elle s’attachait à ce bout de chou, elle sentirait qu’elle avait sa place dans une famille. Une famille, c’était ce dont elle avait toujours voulu, une vraie famille. Une famille unie. Parfois, elle espérait avoir une vision du futur lui montrant qu’un jour elle aurait une famille, qu’elle serait heureuse, vivante. « On sait déjà que je ne suis pas aussi cruel et méchant que tes ex. Alors je sais pas vraiment si elle aurait apprécier celui qui détient ton cœur en ce moment. Et pour ce qui est de ton père, je crois qu'il préférait me voir mort. Déjà pour mon sang mêlé mais également parce que sa fille est tomber totalement folle de moi. » Oui, il n’était pas du tout comme Ulysse. Premièrement parce qu’il était doux avec elle, il ne piquait pas des crises pour un rien. Il était totalement différent d’Ulysse, tellement, c’était peut être ce qui lui plaisait d’ailleurs chez Graeme, il était tellement différent de ce qu’elle avait pu aimer autrefois, c’était un signe de renouveau pour elle. Un sacré renouveau, elle aurait suicidaire de chercher chez un garçon tout ce qu’elle détestait : méchanceté, violence, folie, cruauté. Graeme n’était rien de cela, rien du tout. il avait probablement une part d’ombre qu’Ysolde ne mesurait pas encore très bien, mais… elle savait qu’il avait des bon côtés. Elle se disait que sa mère aurait pu l’apprécié, et Ysolde aurait fait en sorte qu’elle l’apprécie. Quand il évoqua son père, Ysolde baissait alors les yeux, la simple évocation de cet homme lui donnait la nausée. Elle ne lui ressemblait pas, non, ils n’avaient rien en commun, rien. des fois, elle se demandait même si elle était vraiment sa fille. C’était certain, Angus Wilkes devrait forcément détester Graeme, sang mêlé, ultra-mêlé, mais il s’en ficherait sans doute… sa fille était une sang mêlé et ne représentait rien à ses yeux. « Je préfère de te dire tout de suite que l'avis de mon père... je n'en ai absoluement rien à foutre ! » Dit alors la jeune femme avec un sourire, c’était avec humour, mais c’était tellement vrai.

« Je n'aurais cas faire croire que je suis somnambule. » C’était une preuve de motivation pour la ramener à son dortoir, mais c’était aussi de l’inconscience. Les garçons ont tendance à ne pas trop réfléchir aux conséquences. Elle dit alors, avec une pointe d’ironie : « Mais bien sûr, et moi je vais aller me pavaner dans son bureau pour aller boire un thé avec Ombrage. » Ysolde aussi avait beaucoup d’humour quand elle le voulait. Oui, c’était quand elle le voulait, si elle le voulait. Ysolde avait assez de culot pour aller frapper à la porte d’Ombrage et de lui réclamer du thé, d’ailleurs, elle doutait que celle-ci la fiche à la porte, elle était tellement agréable avec la jeune fille l’autre jour. Oui, elle était étrangement agréable avec elle, c’était bizarre. « Vous avez toutes les deux raisons. La liberté est importante. Je crois que sans elle, j'aurais mal fini. » La liberté, une notion tellement abstraite. Quand elle y pensait, pendant onze années, elle avait été privée de sa liberté. On lui avait interdit de répondre, de sourire parfois, de faire comme bon lui semblait. Chez elle, tout semblait être interdit, elle s’était même parfois interdit de vivre, oui. oui, elle se l’était interdit, elle s’était interdit de vivre pleinement ce qui avait sans doute contribuée à son attitude assez frigide, et sainte-ni-touche parfois, même. Elle lui adressa un sourire et répondit : « Je suis ravie que tu n'es pas mal tourné. » Elle lui adressa alors un doux sourire. Oui, elle était ravie, ravie qu’il n’ait pas mal tournée, bien qu’entre nous, ysolde ai un gros faible pour les mauvais garçons. Les mauvais, pas les méchants, il y avait une nuance, une sacrée nuance. Mais elle aimait Graeme, c’était suffisant. Il ouvrit alors la porte, et remit une mèche de cheveux. Il dit alors : « Tu devrais faire attention en rentrant, on ne sait jamais. » Il était mignon quand il s’inquiétait pour elle, vraiment. « Prudence est mon second prénom. » dit-elle avec malice, puis ajouta alors : « C'est plutôt à toi de faire attention je crois que l'autorité de Poudlard à un problème avec toi. » Plus précisément, Ombrage semblait avoir un problème avec lui. Ysolde ne voulait pas qu’il lui arrive des misères, encore une fois. Elle ne lâchait pas sa main. elle lui adressa alors un sourire malicieux, et s’approcha doucement de lui pour l’embrasser. Ysolde était comme sur sa « réserve », à croire que cette foute garce était entrain d’hanter la jeune femme. Dieu sait ce qui avait pu se passer entre cette garce et Graeme quand ils avaient rompu. A cette pensée, Ysolde parut comme ailleurs et rompit le baiser. Non, elle n’était pas au top, et elle restait méfiante, sans vraiment savoir pourquoi. « Je devrais y aller, on ne doit pas rentrer après le couvre feu. » Elle sourit alors, simplement peut être avec une certaine... "réserve" ? Oui, c'était le mot. Elle ajouta alors : « J'étais heureuse de te... retrouver. Merci encore pour... ma mère. »
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MessageSujet: Re: Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde   Discovery of the mirror of Risèd ft Ysolde EmptyLun 19 Déc - 17:22

Avoir emmener la serpentarde dans la salle du miroir du risèd, avait rapprocher le gryffondor d'elle. Evidement, il y avait toujours cette histoire de Reagan Goyle qui pesait toujours sur l'esprit du jeune homme car il se demandait ce que demain lui réservait. Peut être que la serpentarde brune n'y verrait que du feu et donc, qu'elle irait se mettre de nouveau entre Ysolde et lui ou bien la serpentarde brune ne verrait que de la glace et ne fera rien mais bon. Il n'appréciait pas cette serpentarde, pourtant elle avait pratiquement le même caractère froid qu'avait eu Ysolde quand le jeune Reinhaart l'est rencontrer. Seulement, son instinct qu'il a l'habitude d'écouter, lui a toujours dit qu'au fond, Ysolde avait quelque chose de bien en elle, qu'il fallait aller plus loin, chercher là où les autres n'allait pas pour savoir qui elle était réellement. Le jeune Reinhaart avait découvert bien des choses que personne ne savait sur elle. Graeme avait une mauvaise intuition sur Reagan Goyle, des la première fois où il l'avait vu, il avait trouver que la brune était bien de trop froide et qu'elle ne vivait simplement pour la gloire éternel. Chose que peu de sorcier même les grands sorciers avait. Le jeune homme regarda alors la blonde baisser les yeux quand celui-ci se mit alors à parler de l'avis du père de la blonde. Oui, le rouge et or aurait voulut connaître la mère de celle-ci, malheureusement elle était dans le monde des morts mais son paternel était bel et bien vivant. Sans doute plus pour très longtemps vu qu'Ysolde avait l'intention de se venger. D'après ce qu'il avait comprit un jour avant d'avoir tout une bande de serpentard sur son dos. « Je préfère de te dire tout de suite que l'avis de mon père... je n'en ai absoluement rien à foutre ! » Un sourire sur les lèvres de la blonde rassura le jeune homme. Après tout ce qu'avait Ysolde sur son paternel, c'était de loin l'homme qu'il fallait fréquenter un jour dans sa vie, à moins de mal finir un jour ou l'autre. Graeme était bien loin d'être le gars idéal qui aurait pu plaire à une famille de sang pur. Il n'était pas le gars froid, ni même méchant ou alors pas sans aucune raison. Mais il était impulsif, très impulsif. Il pouvait très bien être calme et en cinq secondes devenir dangereux pour celui qui lui prenait la tête. Voilà pourquoi en début d'année scolaire il avait frapper Atlance dans les toilettes des hommes. « Comme ça on est deux à sans foutre ! » L'avis du père d'Ysolde importait peu au rouge et or. Il aurait sans doute préféré l'avis de la mère de la serpentarde, il trouvait cela bien plus important. Le jeune homme avait bien envie de raccompagner la blonde devant le tableau de sa maison, seulement il n'avait pas non plus envie de finir en retenu à nouveau. Depuis qu'il avait été enfermer dans le bureau de la grosse dame, qui était de couleur rose, couleur que au passage, détestait le jeune homme. « Mais bien sûr, et moi je vais aller me pavaner dans son bureau pour aller boire un thé avec Ombrage. » Ce que venait de dire la serpentarde fit sourire le jeune homme. Connaissant Ombrage, enfin en l'ayant vu plusieurs fois parmi les familles de sang pur, cela n'étonnerait même pas que cette personne envoyer tout droit du ministère, qui ne servait à rien à Poudlard a part faire du château, un changement considérable qui n'était pas spécialement le bienvenu. Poudlard n'avait pas besoin de changement, c'était le cas de le dire. Ce royaume avait toujours été bien, même très bien, c'était une maison pour tous ici, seulement à présent, c'était devenu bien plus une prison qu'une maison. [color=gray]« Je pourrais toujours venir vous tenir compagnie. » Le jeune homme garda alors son sourire sur les lèvres. La fin de soirée commençait à faire surface, il n'aimait pas vraiment quitter, du moins laisser jusqu'au lendemain la blonde. Même si dans ses dortoirs, elle était en sécurité. Mais avec tout les événements nouveau à Poudlard, plus personne n'était en sécurité. « Je suis ravie que tu n'es pas mal tourné. » Cette phrase fit garder le sourire du jeune homme à ses lèvres. La liberté, sans sa, le rouge et or aurait sans doute réellement mal tourner. Il n'aimait pas qu'on lui dicte sa vie, voilà pourquoi au prime, une école moldu quand il était enfant, il avait détesté les dictées. Le sourire de la blonde le rassura même si quelque chose clochait dans son sourire. Elle devait certainement être pensive. Sans doute à comment serait demain. Car même Graeme y pensait. Les deux jeunes s'étaient rapprocher de la porte d'entrée, jusqu'à ce que le blond ouvrit celle-ci. Personne aux alentours. Heureusement d'ailleurs, ce n’était pas vraiment le moment de tomber sur quelqu'un de mal. Ou encore pire Ombrage. « Prudence est mon second prénom. » Le rouge et or venait de lui dire qu'elle devait faire attention en rentrant dans sa salle commune. Graeme avait l'habitude de s'inquiéter, enfin pas totalement mais avec Ombrage au succès de Poudlard, il fallait toujours mieux se méfier que de ne rien faire. « Je pensais que c'était Malice ton second prénom. » Le jeune Reinhaart regarda alors la blonde reprendre la parole : « C'est plutôt à toi de faire attention je crois que l'autorité de Poudlard à un problème avec toi. » L'autorité. Graeme avait réellement un problème avec ça. Le moindre geste qu'il pouvait faire et c'était pire que l'armée ou bien l'une des plus grandes batailles que Poudlard n'est jamais connu. La serpentarde s'approcha du rouge et or afin de venir échanger un baiser, un baiser qui laissait tout de même de la distance entre eux. C'était un baiser vraiment bizarre, bizarre que celui qu'il y avait eu devant le miroir. La blonde cessa alors le baiser en disant : « Je devrais y aller, on ne doit pas rentrer après le couvre feu. » Ne pas être en retard. Graeme sans fichait bien du moment qu'il était en compagnie de la blonde. Seulement ce soir c'était bien calme, enfin c'était tout à fait normal après des retrouvailles assez mouvementer dans les vestiaires cet après midi. « J'étais heureuse de te... retrouver. Merci encore pour... ma mère. » Un petit sourire s'afficha sur les lèvres sur jeune homme. Elle le remerciait, Ysolde qui remerciait il fallait vraiment en profiter. Ce n'était pas dans les habitudes de la blonde. Le jeune Reinhaart regarda alors la blonde dans les yeux avec un petit sourire : « C'est réciproque même si cette après midi ce n'était pas la grande joie entre nous. » Demain, il se demandait ce que serait demain, ce que réservait ce jour-là. Il appréhendait même ce moment. Il aurait aimer savoir ce qui se passerait demain mais ça n'aurait pas eu le même effet. « On devrait y aller. Si Ombrage nous tombes dessus, on peu dire adieu à nos moments libres. »Il était sérieux, Ombrage était toujours la première à gâcher leur moment libre. Le blond en profita pour déposer un baiser sur le front de la blonde. Et fit sortir la blonde de la salle pour refermer derrière elle. « On se dit à demain alors. » Le jeune homme attendit que la blonde parte en direction de sa maison pour en faire de même et aller se doucher pour ensuite aller se mettre au lit. Demain est un autre jour.

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