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REGRETS. (theodore+ysölde)

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Ysölde M. Wilkes McFays
Ysölde M. Wilkes McFays


fondatrice -  prefète de serpentard, attention à vous, je peux éviter la retenue... ou pas.

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MessageSujet: REGRETS. (theodore+ysölde)   REGRETS. (theodore+ysölde) EmptyDim 4 Mar - 21:37


I know I can't take one more step towards you
Cause all that's waiting is regret.
Les journées étaient parfois interminables, vraiment. Hors de poudlard la jeune femme s’ennuyait tellement du château, de ses murs, de sa bibliothèque de tout. Depuis qu’elle avait quitté la demeure des Wilkes, elle n’avait plus vraiment d’endroit où aller hors de Poudlard, alors elle sentait comme quelqu’un en perdition hors de ces murs. Depuis qu’elle avait quitté la demeure des Wilkes, Ysölde se sentait bizarre, comme si jamais rien ne l’avait rattaché à ces murs lugubres. Les Wilkes, rien ne lui manquait, pas même les longs repas silencieux, ou les longs discours qui faisaient l’éloge des sangs purs, maudissant les sangs mêlé et les nés moldus. Ysölde n’avait jamais vraiment supporté ces discourt, mais elle n’avait jamais rien dire. Elle avait écouté, et approuvé comme une bonne fille pendant des années. Ysölde n’avait jamais été une bonne fifille bien sage, sauf durant son enfance peut être, enfant elle était douce, drôle et souriante, en perdant la mémoire son père avait façonné une petite sang pur froide, indifférente. En retrouvant la mémoire, elle n’avait pas complètement retrouvé l’enfant qu’elle était… elle avait en partie retrouvé une partie de sa joie de vivre, de son humour, mais avec sa mémoire avaient refait surface la mort de sa mort, que dis-je l’assassinat de sa mort, plus elle s’en souvenait plus elle pensait qu’Angus Wilkes y était pour quelque chose, il n’avait certainement pas supporté qu’elle le quitte parce qu’elle trouvait qu’il était cinglé. Angus Wilkes, Ysölde n’avait même pas envie de l’appeler Père, ou Papa, ils n’avaient rien en commun, ni les yeux, ni les cheveux, ni le nez, ni le caractère rien. Ysölde avait hérité de traits qui n’appartenait ni à sa mère, ni à Wilkes, et elle était rassuré d’un côté de ne pas avoir hérité de chose de lui, au moins elle n’hériterait pas de sa folie. Angus Wilkes était cinglé, c’était un fait, Ysölde en était certaine, elle ne voulait jamais le revoir, jamais. Quand elle était parti de chez elle, elle n’avait même pas assez de lui faire face, non. Elle ne lui avait jamais fait face, et souhaitait ne jamais le faire, la violence de son père aurait de quoi lui faire du mal. Une fois elle avait fait face à la violence d’Ulysse, sa violence physique, et ça lui avait fait mal, non seulement physiquement, mais aussi moralement. Ysölde avait assez souffert dans sa vie, elle avait vu assez de violence.

Las de traîné dans une bibliothèque moldue pendant des heures, elle s’était enfin décidé à retourner dans le monde des sorciers. Là bas, elle avait peur de croiser des gens comme Black qui la traiteraient de sale bâtarde mythomane, de sang souillé. Les insultes faisaient mal à la jeune femme, mine de rien, elle avait beau être forte, on n’est pas invincible. Elle était plus fragile que le monde voulait bien le croire, elle était aussi fragile que le laissait paraitre son apparence frêle. Elle arpentait les rues du chemin de travers un manteau noir et une écharpe autours du cou, elle avait toujours été assez frileuse. L’allée des embrumes, cet endroit était tout simplement lugubre, vraiment, il faisait froid dans le dos. Le cœur des conservateurs, c’était ici. Elle se sentait mal entre ces lieux, entre ces murs dans cette petite allée. Pourtant, Ysölde avait besoin d’herbe pour une potion, et au niveau des herbes rare, il n’y avait qu’ici qu’elle pourrait s’en procurer. La jeune femme avait expérimenté une potion pour avoir le sommeil plus lourd, et pour calmer ses visions, une recette de potion trouver dans un vieux grimoire au fond de la réserve après avoir fait des pieds et des mains auprès des professeurs pour en avoir l’accès. De très vieille potions, qui aujourd’hui étaient probablement non recommandé, mais peu importe, elle était prête à tout pour une nuit de sommeil sans vision, et sans cauchemar. Elle entra dans la petite boutique d’apothicaire, et s’empressa de trouver ce dont elle avait besoin. Elle sorti un petit sac à la main avec une seule envie : sortir d’ici le plus vite possible. En sortant elle ne regardait pas où elle allait quand elle percuta quelqu’un qui passait par là, qui a marcher sur qui, tel est la question, elle fit tomber son sac et grommela comme elle savait bien le faire avant de lever les yeux vers la personne. Théodore Wilkes, et merde, des fois y’a des journées où l’on se dit qu’il aurait mieux fallu rester coucher. Il était son cousin, et… et c’était un Wilkes, Ysölde n’avait rien en commun avec eux, rien, pas le moindre trait, rien, elle les fuyait.
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MessageSujet: Re: REGRETS. (theodore+ysölde)   REGRETS. (theodore+ysölde) EmptyMer 7 Mar - 8:28




“ you’re smart and super pretty, and relatively sane for a girl „


En face de lui, il n'y avait que le plafond blanc comme la neige, sans relief. Théodore Wilkes était confortablement allongé sur son lit dans l'immense pièce qui lui servait de chambre, plongé dans la contemplation du plafond immaculé. Les mains derrières la tête, cela faisait presque deux bonnes heures qu'il essayait de trouver une fissure à ce plafond trop parfait à son gout. Il ne cherchait qu'une petite fissure, une minuscule, microscopique et infime petite imperfection. Un unique défaut qui arriverait à le convaincre que rien, ni personne ne pouvait être parfait dans ce monde. Surtout pas dans un endroit tel que le Manoir Wilkes. Depuis qu'il était retourné dans la demeure familiale, le jeune homme ne s'était jamais senti aussi oppressé. La tension semblait dégouliner, suinter des tapisseries qui recouvraient les murs du château, l'engloutissant un peu plus chaque jour. Depuis le début des vacances, son esprit était accaparé par Dahlia, Lord Voldemort et toute cette histoire autour des nés moldus. Avec toutes ces histoires il ne savait plus où donner de la tête, et ne savait plus quoi penser de tout cela. Il soupira, se passant une main sur son visage fatigué, les cernes violacées lui mangeant la moitié du visage. Il se redressa en position assise, regardant d'un air las l'intérieur de sa chambre. Depuis la mort de son paternel, sa mère et lui avaient décidé de quitter la demeure Rockwood pour venir vivre dans le manoir familiale de la famille Wilkes. Il avait hérité d'une chambre dans l'aile Est du château, ayant l'autorisation de la décorer selon ses gouts. Il avait opté pour une tapisserie d'un vert foncé, représentant à la perfection les couleurs de sa maison. Ainsi que des meubles en bois foncé, en gros sa chambre était d'une simplicité déconcertante sachant qu'il l'avait décoré quand il était encore enfant. Les seuls objets particuliers que contenaient la pièce étaient un poster animé de l'équipe de Quidditch préféré du jeune homme, et de son éclair de feu, qui était posé soigneusement dans un coin.

Le Manoir Wilkes était remarquablement calme, trop calme même. Aucun bruit ne venait troubler les pensées du serpentard. Il se leva avec souplesse de son perchoir, décidant que sortir de cet endroit ne lui ferait que le plus grand bien. Il enfila sa cape noir d'hiver, ainsi que ses gants en peau de dragon avant de transplanter devant la tête de sanglier. Un bar miteux de l'Allée des Embrumes. Il jeta un regard d'écouter au pub, dont les fenêtres étaient tellement incrustées de crasses que le soleil avait du mal à les traverser. Théodore se détourna rapidement de l'endroit, peu enclin à pénétrer dans ce lieu. Une fine couche de neige recouvrait les pavés de l'Allée, alors qu'une légère brise commençait à se lever. Il resserra un peu le col de sa cape autour de son cou avant de se diriger vers l'apothicaire, se rappelant qu'il ne lui restait plus assez d'herbes pour se concocter de nouvelles potions de sommeil. Cela faisait plusieurs semaines qu'il n'arrivait pas à fermer un oeil sans que d'horribles cauchemars viennent assaillir son esprit. Se retrouvant dans l'impossibilité de dormir tranquillement, il avait opté pour ces potions qui lui permettait de dormir d'un sommeil sans rêves. C'était l'unique solution qu'il avait trouvé pour ne pas ressembler définitivement à un mort-vivant. Il fixait le bout de ses chaussures noirs vernis, connaissant déjà le chemin par coeur. Il allait relever la tête, sachant qu'il état arrivé devant la petite boutique quand soudain, un poids s'écrasa violemment contre son torse dans un bruit mât. Il jura, prêt à insulter le malheureux qui lui était rentré dedans, avant de se stopper net. Ysolde Wilkes, sa cousine, se tenait devant lui, droite comme un "i". Elle semblait aussi surprise que lui de le voir ici. Il bafoua quelques secondes avant de prononcer d'une voix roque : « Ysolde ! Qu'est-ce que tu fais là, nom d'une gargouille ? » Il se gifla mentalement. Cela faisait plusieurs mois que les deux élèves ne s'étaient plus parlés, et tout ce qu'il trouvait à lui demander c'était la raison de sa présence dans une ruelle comme celle-ci. Idiot.

695 mots

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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: REGRETS. (theodore+ysölde)   REGRETS. (theodore+ysölde) EmptyMar 29 Mai - 21:04

Une irrésistible envie de prendre l’air, la jeune femme s’en serait bien passée. Elle préférait rester confinée chez sa tante ces derniers temps, avec les temps qui courraient. Son père qui avait probablement envie de la tuer, Ulysse qui était de retour, Maddox qui était un vrai connard, des mangemorts à tous les coins de rue, oui, elle se serait bien gardé de sortir prendre l’air, mais ça la démangeait, elle avait besoin de potion, de livre, elle avait besoin de sortir, vraiment, mais pas l’envie. Elle faisait tout très vite, avec l’envie de partir d’ici le plus rapidement possible. Dans sa poche sa baguette était prête à être dégainé, les attaques de mangemorts au hasard étaient de plus en plus fréquente, son oncle Timothy en avait fait les frais, elle aussi au côté de Maddox, bien que celui-ci ait eut des problèmes avec ces même mangemorts, bref, il ne fallait pas trainer dehors, non, certainement pas. Elle était sortie à vive allure de la boutique de l’apothicaire, et n’avait pas regardé où elle allait, rentrant dans une personne, marmonnant des petits mots, puis elle leva les yeux, c’était Theodore Wilkes, son cousin. Un Wilkes, elle détestait tellement les Wilkes, surtout son père, surtout lui, ce monstre. Le jeune homme bafouilla alors quelques mots : « Ysolde ! Qu'est-ce que tu fais là, nom d'une gargouille ? » La question la plus stupide du siècle, il lui parlait comme si la veille ils avaient jouer au quidditch ensemble, quel crétin ! il était pas un crétin, il était idiot, à croire qu’il ne réalisait pas que Ysölde ne voulait pas lui parler, qu’elle n’avait plus rien envie de faire avec des Wilkes, qu’elle voulait simplement s’enfuir et ne plus jamais entendre parler d’eux. Elle le regarda, ramassant ses effets personnels et les fourrant rapidement dans son sac. Elle ne savait quoi lui répondre. C’était un Wilkes, son cousin pour être précis, elle se disait que lui aussi comme les autres avait dû savoir son amnésie, forcément quand votre cousine de six ans perds la mémoire, cela se remarque, et il s’était bien gardé de le lui dire, traitre. S’il l’avait adoré comme il le prétendait il le lui aurait dit, cela valait de même pour Bella, traitre elle aussi, elle avait cru qu’elle était sa sœur. « Ce que je fais-là ? » répéta-t-elle d’une voix cassante, elle le toisa et épousseta sa jupe, et rétorqua : « Je ne crois pas que cela te regarde Theodore Wilkes. » Elle avait dit son nom entier, preuve qu’elle lui portait tout sauf de l’affection, plus maintenant, elle était bine trop révolté. Elle ne le détestait pas personnellement, elle en voulait au monde entier, au sang pur, aux Wilkes, au personne qui savaient pour son amnésie mais qui n’avaient rien fait, et il faisait précisément parti de toutes ses catégories. « Jusqu’à preuve du contraire, les sangs mêlés ont le droit de se promener, maintenant dégage. » articula-t-elle doucement, sur le ton du défi, elle était tout sauf amical. Elle n’avait pas envie d’être amicale avec quelqu’un comme lui. Après ce que son père lui avait fait subir au ministère, elle ne ferait plus jamais confiance à un Wilkes, peut être était-il différent, mais actuellement, elle enrageait contre ce père qui n’en était pas un, ce cinglé.
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