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PART OF ME - Eden

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Adonis S. Harlington
Adonis S. Harlington


Je suis le préfet de Serdaigle, attention à toi, je veille au grain !

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PART OF ME     -   Eden Vide
MessageSujet: PART OF ME - Eden   PART OF ME     -   Eden EmptyMer 11 Avr - 1:25

      Le cœur n’y était pas. Il avait fait une sieste après le souper, mais rien n’avait arrangé le mal qu’il avait ressenti toute la journée. C’était un jour où on s’apitoyait vainement sur un sort déjà tracé. On croit toujours que le sort est toujours tracé d’avance. Il fallait se battre pour tracer son chemin. Adonis avait un moment de grande tristesse qui le mettait dans un état lamentable. Il avait préféré dormir pensant que cet état d’âme passerait. Il avait espéré d’oublier les méandres de son cœur profondément blessé. Son meilleur ami ne se trouvait pas dans les parages. Adonis enrageait de ne pas réussir à trouver une équilibre potable pour bien se concentrer sur ce qui lui importait dans la vie : réussir à avoir les meilleures notes afin de faire une carrière au département des mystères. C’était un grand rêve de travailler dans ce département si mystérieux à ses yeux. Il se sentait à la hauteur pourtant. Il avait une confiance inouïe envers sa petite personne. Il ne portait pas le joli prénom d’Adonis pour un rien. Il avait des rêves. Des tonnes de rêve, mais il les gardait secrètement. Il avait une peur incontestée des autres qui pourraient vouloir lui arracher ce qu’il rêvait, ce qu’il désirait. Il avait déjà gouté au désespoir de n’obtenir aucunement ce qu’il enviait, ce qu’il désirait, ce qu’il aimait, ce qu’il rêvait. Il avait tellement souhaité de voir sa mère revenir vers lui. Un beau jour comme un autre, bras ouvert, l’accueillant avec un énorme câlin où le petit garçon qu’il était se sentait enfin réconforter. Ce n’était qu’un rêve parmi tant d’autres. L’espoir était mort. La tristesse présente. Le cœur n’y était pas lorsqu’il rêvait à des retrouvailles entre lui et sa délicieuse mère. Elle était sortie de sa vie à jamais. Il ne la reverrait plus, plus jamais. Foutue vie de merde ! Les seules paroles qu’il répétait depuis son réveil. Il était assis dans la salle commune avec un petit air boudeur. Il n’avait pas trouvé Henry pour le réconforter. Où était son meilleur ami quand il en avait réellement besoin ? Ceux qu’on tentait désespérément voir n’était jamais là. C ‘était un fait qu’il apprenait chaque jour. Il cherchait une aiguille dans une botte de foin. C’était quand on arrêtait de la chercher qu’elle nous trouvait.

      Adonis avait besoin de se changer les idées. La salle commune des serdaigles étaient remplis de tête au travail. Il avait cette envie d’action. Il avait envie de se perdre durant des heures. Des heures à chercher son chemin sans le trouver. Peut-être mourir dans entre ses murs ? Sa mère serait bien obligée de venir pleurer sur sa tombe, si elle se souvenait de lui. Si elle avait un vrai cœur de mère. Mourir sans être retrouvé était peut-être plutôt la vraie réalité d’où ce qu’il avait l’idée d’y aller. Son oncle laisserait-il la dépouille de son neveu entre les murs froids de la belle Poudlard ? Cette belle Poudlard dont Adonis aimait. Il avait cru que cette belle bâtisse réglerait le moindre problème. Il avait été un vrai idiot de croire en un changement de vie. Il avait toujours ce mal-être en lui qui faisait en sorte qu’il était détesté. Il était haï avec raison. Il ne fallait pas croire qu’il était la pauvre petite bête sans défense. Il avait semé la discorde sur son passage. Il attirait la haine par ses paroles blessantes et vulgaires. Il était impitoyable. Adonis n’était pas un bon étudiant avec qui on aimait discuter et avec qui on pouvait discuter. Au fond, il n’inspirait à personne une confiance ou une envie de partage quelconque. Il avait quitté la salle commune en soupirant bruyamment ce qui fit tourner quelques têtes après son passage. Son air de boudeur était présent dans son visage très expressif en ce moment. Personne ne se questionnait. Qui voulait réellement poser une question à un idiot qui les traiterait comme une grosse merde ? Peu de gens. Il fallait avoir le cœur sur la main, mais aussi être un vrai sadomasochiste. Adonis continuait son chemin descendant les étages avec ce même air. Il bousculait quelques élèves au passage. Il lâchait même des grognements lorsqu’on lui barrait la route. Il était une roche qui filait vers le bas d’une montagne sans se soucier de ce qui pouvait bien se trouver sur son chemin par contre Adonis descendait les marches depuis la tour des serdaigles. Il faisait moins de dégât qu’une roche, mais tout de même. Il aurait pu blesser un première année fuyant vers les toilettes ou tout simplement dans sa salle commune. Adonis n’avait que des autres. Ils avaient qu’à ne pas se trouver sur son chemin. Il continuait en ligne droite sans faire de détour. Les autres pouvaient bien le faire. Une perte de temps de se soucier autre que sa petite personne. Bref, Adonis était légèrement égoïste. Il fallait se l’avouer très clairement. Le Serdaigle descendit jusqu’au deuxième étage où il prit la direction du couloir vide. C’était cet endroit où il pourrait avoir la paix tout en se perdant entre les murs de pierre de Poudlard. Ce passage étrange où on pouvait se perdre des heures, des heures à chercher une sortie dans chaque petit recoin de ce magnifique couloir totalement vide. Adonis prit ses précautions : Sa baguette à la main prêt à s’en servir. Il était présent depuis quelques temps dans le couloir à marcher doucement sans chercher quoique ce soit. Il entendit des petits pas qui piquèrent sa grande curiosité. C’était des pas de femme. Il le savait qu’avec le son des pas. Il suivit le son. Adonis vit devant lui une tignasse blonde qu’il reconnaître parmi une foule. C’était Eden. « Bonjour Princesse ! » dit-il s’approchant d’elle venant la tirer par une épaule pour la coincer dans un des racoins. Il fit un petit sourire en coin. « Comme t’es rendue jolie, je croyais que c’était impossible de refaire ton ancienne carcasse. Bien trop laide pour vivre dans notre société...» À un nouveau un très grand sourire naquit sur le visage d'Adonis. « Quand tu as disparu, j’ai cru que tes parents t’avaient écarté dans les bois par honte. Heureusement que dame nature a eu pitié de toi avant que tes parents n’eurent le choix de passer à l’acte… »


Dernière édition par Adonis S. Harlington le Mer 11 Avr - 19:35, édité 1 fois
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Luce Finley Matlin
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PART OF ME     -   Eden Grin10

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MessageSujet: Re: PART OF ME - Eden   PART OF ME     -   Eden EmptyMer 11 Avr - 19:17




Part of Me
…………………………………………
Eden & Adonis

Eden était de retour et se murmure c’était propagé dans l’école comme une fine poudre pousser par le vent. Les gens murmuraient dans les couloirs que la grosse face de Pizza était de retour. Ces derniers se faisaient traiter de menteur parce que personne n’avait aperçue cette affreuse tête blonde et trop grosse et surtout personne n’avais vu ces gros yeux globuleux. Tout se qu’ils avaient vu c’étaient une magnifique sorcière pas trop grande mais mince, une magnifique tignasse blonde qui brillait et finalement une peau de bébé sans rougeur ou des pustules affreuse. Et surtout personne n’avais vu ces lunette affreuse au lieux on voyait un visage sans lunette ou bien elle portait des magnifique lunette qui allait très bien avec son visage. Il n’y a pas à vous dire dans cette école ce murmure c’était propagé et tout le monde savait maintenant que Eden était de retour. Et le pire dans tout ça c’était qu’elle était revenue et elle était celle qui mettait des bâtons dans les roues des pseudo terreur de l’école. Qui aurait cru que cette horrible personne allait finir par faire peur à ces terreur seulement parce que maintenant elle osait s’opposer à eux. C’était assez terrifiant pour ces pauvres personne. Aujourd’hui avait été une journée comme les autres, elle avait été à ces cours, elle avait parler avec Aspho rapidement dans les couloirs. Les deux filles n’avaient pas été envoyées dans la même école certaine mais cela ne signifiait pas qu’elle n’était pas amie. Non elle était devenue meilleur amie avec cette dernière durant les deux dernières années et même encore aujourd’hui elle pouvait se tourner vers elle pour des conseils ou bien juste pour parler. C’était une chose qui était parfaite, la sorcière avait enfin une personne pour l’aider à supporter cet enfer d’autrefois.

Mais la journée avait été normale, passant de cours en cours, elle n’avait eu aucun problème, elle était sortit des cours et avait fait un rapide passage à la bibliothèque ramener un livre qu’elle avait emprunté pour un projet. Et elle avait pris un raccourci pour retourner à sa salle commune. Elle avait passer par le couloir vide parce qu’en général il était vide et qu’elle aimait ben la tranquillité de cette endroit. Elle ne se doutait pas le moins du monde que cette tranquillité serait rapidement interrompue. Elle ne se doutait pas le moins du monde de qui se promenait dans cet endroit avec elle. Quoique même si elle avait su elle s’en aurait foutu parce qu’elle ne laissait plus se que les gens lui avait parfois dit par le passer l’affecter plus qu’il faut. Et surtout pas lui, elle lui en voulait encore mais je ne vous dirais pas le punch de savoir immédiatement qui c’était. Sauf que rapidement elle avait sentit une présence avec elle dans le couloir et avait mis la main sur sa baguette qui se trouvait dans son sac. « Bonjour Princesse ! » Elle avait entendu cette voix avant de sentir une mains se poser sur sont épaule pour la tirer dos au murs. Elle était surprise sur le coup de se qui c’était passé mais elle avait rapidement repris ces esprits et rapidement elle avait bousculer Adonis l’imbécile de serdaigle qui avait comme tant d’autre fait de sa vie un enfer ici. Il voulait la piéger dans un coin sauf que la sorcière ne se laissait plus être prise dans un coin. Elle c’était entrainer et elle avait développer une certaine force physique qui lui permettait de donner une bonne pousser a ces impudent. « Comme t’es rendue jolie, je croyais que c’était impossible de refaire ton ancienne carcasse. Bien trop laide pour vivre dans notre société... » Elle regardais son sourire et elle avait elle aussi eux son sourire à elle. Il n’était pas foncièrement méchant mais en même temps il démontrait parfaitement que les mots ne l’atteignaient tout simplement plus. Ils pouvaient lui dire les réplique qu’il voulait elle allait tout simplement finir par lui rire à la figure parce que ces mots ne l’atteignait tout simplement plus. « Quand tu as disparu, j’ai cru que tes parents t’avaient écarté dans les bois par honte. Heureusement que dame nature a eu pitié de toi avant que tes parents n’eurent le choix de passer à l’acte… » Elle avait eu un rire un brin ironique parce que vraiment il ne savait rien à rien. Les parents d’Eden était magnifique, ils avaient été tout simplement furieux d’apprendre se que les gens à cette école lui avait fait subir. « Je ne sais pas si je dois prendre ça pour un compliment ou t’apprendre comment on traite une femme parce que ça se voit que tu es incapable de traiter une femme proprement. » Non elle ne le disait pas méchamment, elle le disait sur un ton de l’évidence, parce que pour elle il était évident que cette homme ne savait pas le moins du monde comment traiter une femme. Elle ne serait pas étonner qu’il est battu de ces ancienne petite copine et tout. Mais être en sa présence lui rappelait tout se qu’il lui avait dit par le passer et elle détestait ça mais elle savait bien le cacher. « Non pour ton propre malheur j’ai des parents qui m’adore et qui ferait tout pour moi… oh et qui si ils te rencontraient ne manquerait pas de te faire savoir que tu es une horrible personne. » Elle continuait de le regarder également en se demandant si elle devait rester ici ou bien juste partir et laisser Adonis en plan. « Oh et pour t’as gouverne mon nom est Eden, rappelle toi en parce que la prochaine fois que tu m’appelle princesse je ne suis pas certaine que je vais être gentille. Après tout toi plus que tout autre personne ne devrait pas croire que tu as la permission de m’appeler comme ça. » Elle avait fait un mouvement pour partir, déjà cette discussion ne se montrait pas du tout comme si elle allait bien bien loi alors aussi bien tenter de partir.

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Adonis S. Harlington
Adonis S. Harlington


Je suis le préfet de Serdaigle, attention à toi, je veille au grain !

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MessageSujet: Re: PART OF ME - Eden   PART OF ME     -   Eden EmptyMer 11 Avr - 22:53

      Ah, les femmes ! De belles et divines créatures rendant les hommes complètement fous. Les hommes rampaient aux pieds des femmes. Elles avaient qu’à battre des paupières pour qu’un cœur soit chaviré. Elles n’avaient qu’à faire quelques caresses que l’homme tombait à genoux. La bête qu’était l’homme était vaincu par la douceur et la beauté des femmes. Adonis était comme tous les autres hommes : il aimait la beauté et les courbes de ses belles créatures. Son cœur manquait un battement lorsqu’il en apercevait quelque unes qui lui plaisait. Ne croyez pas qu’Adonis avait le cœur plus bas que la ceinture. Il restait un homme avec des envies d’humain. Parfois, il se laissait aller au plaisir charnel. C’était un plaisir d’un court moment, mais il ne restait jamais bien longtemps. Il ne passait jamais la nuit avec cette dite demoiselle. Adonis était effrayé par la gente féminine. Elles étaient belles, mais si cruelles. La cruauté n’égalait même pas la méchanceté qu’Adonis avait. Il les éloignait ayant peur de se faire avoir, de se faire mal. Sa mère avait bousillé toute chance d’être heureux. Soit, il s’en prendrait à tout le monde. Même à cette délicieuse femme qui se trouvait face à lui depuis qu’il avait tenté de la coller contre un mur. Cette vilaine créature avait fleuri pour devenir une belle rose. Adonis le voyait bien ce changement. Il n’était pas aveugle. Eden était jolie. Il eut peur d’une telle beauté. Son mécanisme se mit en branle. La jeune femme le repoussa lorsqu’il fut bien trop près d’elle. Il tentait de la coincer pour avoir le dessus. Il était ce genre de garçon qui se permettait des choses. Il se foutait de l’opinion des gens. Il se foutait de ce qu’il avait le droit de faire ou de ne pas faire sans demander. Il le faisait tout simplement sans détour. « Je ne sais pas si je dois prendre ça pour un compliment ou t’apprendre comment on traite une femme parce que ça se voit que tu es incapable de traiter une femme proprement. » Il roula des yeux. Elle exagérait. Il savait très bien, mais il ne le faisait tout simplement pas. Son oncle l’avait tout de même bien élevé, mais il agissait comme un malpropre. Il n’avait rien demandé à personne au fond. Il voulait tout simplement voir ce qu’il avait semé avant son départ. Il avait semé le doute et le mal chez elle. Il était conscient de toutes les monstruosités qu’il avait dit à son sujet. Il avait au moins fait l’honneur de lui dire en pleine face la laideur de physique. C’était un salaud assez effronté de dire toute vérité bonne ou mauvaise. Il ne jouait pas l’hypocrite, comme les filles entre elles. Pourquoi s’entêtaient-elles de dire qu’elles étaient belle entre elles quand elles étaient laides comme des poux ? Adonis n’y comprenait décidément rien. Pourquoi demandaient-elles la vérité si elle préférait les mensonges ? Les femmes ne savaient pas ce qu'elles voulaient. « Non pour ton propre malheur j’ai des parents qui m’adore et qui ferait tout pour moi… oh et qui si ils te rencontraient ne manquerait pas de te faire savoir que tu es une horrible personne. » Adonis regardait la jeune femme. Où voulait-elle en venir ? Pourquoi elle parlait de famille et de parents ? Le Serdaigle fronça les sourcils. Elle venait d’effleurer un sujet sensible d’Adonis qui n’avait pas eu de la chance avec ses parents. Il n’en parlait jamais, mais tous les résidents de Poudlard pouvaient voir que Phineus était son oncle. Un oncle n’était pas un parent. Un oncle n’était pas celui qui avait procréé. Il avait tout de même été abandonné à deux reprises. Il n’avait jamais eu cet appui familial qu’elle avait eu le droit. Il avait rêvé d’avoir cet appui, mais il ne l’aura jamais. Il pouvait rêver encore longtemps pour l’obtenir. « Oh et pour t’as gouverne mon nom est Eden, rappelle toi en parce que la prochaine fois que tu m’appelle princesse je ne suis pas certaine que je vais être gentille. Après tout toi plus que tout autre personne ne devrait pas croire que tu as la permission de m’appeler comme ça. » Il avait lâché un petit rire tout en l’empêchant de continuer sa route. Il venait de commencer, elle voulait déjà partir. Il voulait vivre de vraies retrouvailles tout de même. Il la coinça à nouveau contre le mur lui laissant un petit espace pour respirer légèrement. « Tu veux déjà me quitter ? On vient tout juste de se retrouver ! Je te connaissais plus poli autrefois. » dit-il avec ce petit sourire en quoi. Il regardait le moins détail de son visage. Il ne louchait pas sur le reste de son corps. Ce n’était pas un nécessairement un pervers. Il la trouvait belle. C’était la vérité. Il restait devant cette beauté avec un air un peu idiot tout en la fixant. « Bien soit, tu ne seras plus une jolie princesse, mais la déesse des îles. » Il sourit encore une fois, content, de sa trouvaille pour l’enquiquiner encore mieux. « Par contre, la beauté ne te fait pas. Tu es peut-être dans ta période prémenstruelle. » Il la fixa l’analysant encore un peu. « Puis, au fait,… » il prit le même ton de voix qu’elle avait utilisé pour s’adresser à lui en imitant une voix de fille. « Je prendrai tous les droits que je veux. Ta transformation ne me changera pas… Par contre, je ne m’ennuierai pas de ton ancienne apparence de face de pizza et de baleine échoué… »
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Luce Finley Matlin
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PART OF ME     -   Eden Grin10

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PART OF ME     -   Eden Vide
MessageSujet: Re: PART OF ME - Eden   PART OF ME     -   Eden EmptyVen 13 Avr - 3:06




Part of Me
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Eden & Adonis

Eden détestait un truc, qu’on lui rappelle son passer, son apparence passer. Parce que se souvenir de cette fille qui n’est plus elle était se souvenir justement de comment elle se sentait à l’époque. Se souvenir de la dépression dans laquelle elle était, se souvenir de comment les gens étaient cruels avec elle et surtout elle se rappelait à quel point Eden n’était pas bien dans sa peau à l’époque. Oui se faire violement rappeler son physique passer était se souvenir d’un passer qu’elle avait depuis le temps mis derrière elle et elle n’appréciait pas trop mais elle n’avait pas en elle un os de méchanceté. Elle était gentille, un peu tête brulé certes mais elle n’était pas méchante avec les gens délibérément. Ça lui arrivait réellement pas souvent et être planté devant Adonis lui rappelait des vilains souvenir de quand elle était le vilain petit canard. Mais aujourd’hui elle se tenait la tête haute, un éclat de confiance dans les yeux et il lui en faudrait beaucoup pour qu’elle baisse les yeux devant cet imbécile. Elle l’avait brusquement repoussé sauf qu’il ne se laissait pas démonter d’un rien le gamin. Vraisemblablement la sorcière n’était pas tellement impressionner en se moment. Et même quand elle avait tenté de partir parce que déjà sa joute verbale avec Adonis l’ennuyait réellement il avait décidé de l’énerver encore plus. Il l’avait empêché de partir. Il l’avait coincé entre lui et le mur et cette fois elle aurait voulus lui faire du mal, pour une fois dans sa vie elle ressentait le besoin de faire du mal à une personne. Ce n’était pas un reflexe qu’elle avait souvent. Sauf qu’elle ne démordait pas, elle le regardais droit dans les yeux et ne baissait même pas le regard. Elle n’était plus celle qui avait abandonner poudlard il y a deux ans, ça c’était certain. Et elle ne lui donnerait pas la chance de voir cette ancienne Eden parce que cette dernière n’existait plus. « Tu veux déjà me quitter ? On vient tout juste de se retrouver ! Je te connaissais plus poli autrefois. » Elle l’avait regarder avec un regard de dégout. Il parlait de polis ou submissive? Parce qu’elle n’était pas foncièrement polis par le passer. Elle se laissait dominer, elle laissait tout le monde la dominer à l’époque. Mais aujourd’hui plus personne ne la dominait. Elle était sur un pied d’égalité avec les autres et ça paraissait. Elle le laissait regarder son visage elle s’en foutait, il ne trouverais plus de défaut comme on pouvais en trouver par le passer. Non parce que cette Eden n’existait tout simplement plus. « Bien soit, tu ne seras plus une jolie princesse, mais la déesse des îles. » Elle le regardait droit dans les yeux en haussant un sourcil. Réellement mais quel imbécile quand il s’y mettait celui-là. Elle n’était visiblement pas impressionner par les prouesse d’Adonis qui était pourtant pas le passer si douer pour les insultes. « Par contre, la beauté ne te fait pas. Tu es peut-être dans ta période prémenstruelle. » Mais quel con, quel con vraiment. Elle n’était toujours pas impressionner et son regard restait fixer sur le sorcier alors qu’un sourire en coin commençait à se pointer au bout de ces lèvres. Vraiment celle-la était stupide. « Puis, au fait,… » Bon sa y est il allait sortir un truc sordide ou pervers. « Je prendrai tous les droits que je veux. Ta transformation ne me changera pas… Par contre, je ne m’ennuierai pas de ton ancienne apparence de face de pizza et de baleine échoué… » On allait voir si il allait prendre tout les droits qu’il voulait. Son regard c’était étrécie elle l’avait une nouvelle fois bousculer beaucoup plus fort cette fois. Elle l’avait bousculé deux ou trois fois pour vraiment se séparer du mur avant de plonger son regard bleu dans celui du serdaigle. « Alors premièrement je m’en fou que tu sois un gamin avec un complexe de dieux tu vas apprendre à traiter les femmes beaucoup mieux que ça, crois moi. Parce que je vais être ton enfer Adonis, je vais te poursuivre jusqu'à se que tu n’en puisse plus. Et ce n’est pas une menace, crois moi c’est une menace » Elle avait avancer d’un pas vers le sorcier. Non visiblement elle n’était plus du tout l’ancienne Eden, elle savait se défendre et elle avait du front aussi. Ce n’était pas un gamin qui allait lui faire peur quoi. « Deuxièmement, ça c’est pour m’avoir traiter de baleine et de Face de Pizza. » Et de sa main livre elle avait donné une claque avec force sur la joue du serdaigle. Oui elle était consciente qu’elle jouait avec le fou parce que ce mec il lui manquait es neurone importante selon Eden mais elle n’avait pas peu, il pouvait faire se qu’il voulait jamais il ne la ferait retomber. Et elle savait qu’au moins avec cette claque il aurait un souvenir pour quelque heure, parce que surement que sa main serait imprégné sur le visage du serdaigle. « Et troisièmement je le répète mon nom est Eden, c’est facile il n’y a que quatre lettre même un imbécile de serpentard est capable de s’en souvenir alors surement qu’un simplet de serdaigle aussi est capable. » oui pour la première fois de sa vie elle était délibérément méchante, enfin si ont pouvait réellement appeler ça de la méchanceté. Fallait dire que même lui la dépassait à ce niveau la c’était certain. Sauf que ces méchancetés lui passaient assez haut par dessus la tête, seulement elle ne se laissait juste plus piétiné dessus. « Et parce que tu n’as pas su le petit discours, sache que je n’ai rien à voir avec la Eden de tes souvenir, toi, tes petits potes et toutes cette école de merde vous avez fait de ma vie un enfer, vous avez faillit me faire commettre l’irréparable mais sache que plus JAMAIS vous ne réussirez, parce que je n’ai pas besoin de ton regard pour me dire qui je suis, je n’ai pas besoin du regard de personne et rien ne va le changer. Alors ravale tes connerie de petit gosse mal aimer et ignore moi si tu es incapable de dire des gentillesse, parce que pour chaque méchanceté que t’as petite bouche de gosse va dire il y aura une réaction crois moi. Et ton complexe machiste et violent ne m’effraie pas non plus. » Et elle lui avait fait un sourire attendant la réaction qui ne savait plus se faire attendre quoi. Elle savait comment il croyait à l’époque que seul lui avait le droit d’être cruel avec elle, il se trompait royalement. Il avait toujours agis comme si elle lui appartenait, et le problème c’était qu’elle ne lui appartenait pas, et elle n’appartenait à personne non plus. Elle n’avait jamais appartenu à personne et ce n’est pas aujourd’hui qu’elle allait changer. Il n’avait pas la moindre idée de se par quoi elle avait passer, mais il allait rapidement que tout ça l’avait réellement changer, cela l’avait rendu forte, cela avait fait sortir la gryffondor en elle. Elle n’était ni renfermer tout comme elle n’avait pas besoin du regard de personne pour survivre et il était temps que se dernier l’apprenne quoi.
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Adonis S. Harlington
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PART OF ME     -   Eden Vide
MessageSujet: Re: PART OF ME - Eden   PART OF ME     -   Eden EmptyMar 17 Avr - 2:33

      Les gens s’entêtaient à penser qu’il était incapable de traiter une femme de la bonne manière. Elles étaient celles qui le maltraitaient en premier. Il s’en éloignait avec la méchanceté. La méchanceté totalement gratuitement était la plus simple des portes de sortie, mais aussi la plus lâche. Personne n’avait vraiment tort au sujet d’Adonis. Il était un sale gosse qui agissait faiblement tentant en vain de s’excuser face à ses agissements qui étaient parfois contre sa nature. Il n’était pas un mal élevé. Phineus avait fait son job de tuteur. Il lui avait montré comment être un vrai gentleman. Il était tout de même plus facile d’être un vil personnage que l’on détestait et qu’on évitait au maximum. Il était ce genre de type avec qui on se sentait mal à l’aise. Le serdaigle regardait attentivement chaque individu qui lui faisait face surtout la gente féminine comme s’il craquait sous chaque beauté. Il craquait si souvent face à la beauté féminine, même s’il fallait avouer que les femmes ne craquaient pas pour lui pour sa si grande méchanceté. Il s’entêtait lui aussi à se faire passer pour un goujat face à tous. Combien de fois lui avait-on dit qu’il ne savait pas traiter les femmes ? Trop souvent, mais celles-ci ne savaient pas bien traiter les hommes. Elles étaient prêtes à poignarder les hommes peu importe le moyen dont briser les cœurs et les rêves d’un homme. Il avait passé par les épreuves que les belles déesses au cœur tendre à l’extérieur si terrible à l’intérieur. Il avait subi échec après échec. Il avait appris. Il ne devait plus craquer pour l’une d’elles. Adonis croyait qu’elle méritait leur malheur. C’était une excuse pitoyable. Il s’excusait par des raisons étranges ses actes gratuits. Il n’avait pas peur de ce que les autres pouvaient penser. Il se protégeait au mieux de ses connaissances. Il valait mieux être détesté qu’être aimé. C’était moins difficile. Il savait où il s’en allait dans cette vie sans amour. Il ne se posait même plus de questions sur ce qui se passait. Il était détesté. Il avait compris, mais il n’était pas réellement un mal élevé malgré tout.

      Il agissait comme un idiot face à délicieuse Eden. Il était ainsi depuis des années. Il n’était pas prêt à changer à vrai dire. Le serdaigle agissait comme bon lui semblait depuis des années. Adonis ne se souciait pas des opinions des autres sur le coup, mais il revenait parfois hanter les pensées de cher demi-dieu. Il répondait mentalement aux insultes sans toutefois se laisser aller comme eux agissaient. Il était si étrange à la fois, si faible et si stupide. Il avait pris un malin plaisir à faire du mal tout en se protégeant de ce qui l’effrayait. Il était un idiot. Il avait tout pour plaire dans sa gentillesse, mais il préférait d’être ce qu’il était face à tous. Il agissait avec Eden, comme il avait toujours agi. C’était un fait, il n’avait pas changé, sauf que la nouvelle beauté d’Eden piquait sa curiosité. Il était absorbé par ses traits féminins. Elle était jolie, plus que jolie. Il la malmenait comme autrefois. Il la coinçait contre le mur se voyant plus fort toujours plus fort. Il tentait de se montrer plus fort devant la beauté de la belle. Il tentait de la vaincre comme autrefois, même s’il voyait dans les yeux de la jeune femme qu’elle n’était plus la même. Il se faisait des scénarios, car il voulait dominer. Il voulait la dominer dans sa nouvelle apparence. Il voulait être celui qui brisera ce feu dans ses yeux. Il voulait être le dominateur d’une belle créature indomptable. « Alors premièrement je m’en fou que tu sois un gamin avec un complexe de dieux tu vas apprendre à traiter les femmes beaucoup mieux que ça, crois moi. Parce que je vais être ton enfer Adonis, je vais te poursuivre jusqu'à se que tu n’en puisse plus. Et ce n’est pas une menace, crois moi c’est une menace » Il roula une nouvelle fois des yeux. Il était beau comme un dieu, il fallait se l’avouer qu’il était loin d’être laid. Il n’avait jamais ressemblé à Eden dans ses pires moments. On ne pouvait pas faire pire au niveau physique dans la partie de vie d’Eden la plus laide. Il finit par faire un petit sourire arrogant en se souvenant à quel point elle avait été laide. « Deuxièmement, ça c’est pour m’avoir traiter de baleine et de Face de Pizza. » Il reçut la claque en pleins sur la joue. Il fronça les sourcils en se frottant d’une main sa joue qui lui piquait déjà. Il ne réagit pas sur le coup, mais il se promit de se venger. Aucune femme ne levait la main sur lui. Aucune femme n’avait le droit de le toucher sans lui demander. Cette claque signifiait une guerre ouverte. Elle avait traversé la frontière de l’affront. Il se sentait malade d’avoir été touchée par une beauté. Cette claque le dérangeait vraiment. « Et troisièmement je le répète mon nom est Eden, c’est facile il n’y a que quatre lettre même un imbécile de serpentard est capable de s’en souvenir alors surement qu’un simplet de serdaigle aussi est capable. » il fronça les sourcils en la fixant dans les yeux. Elle commençait à le mettre en colère. La colère commençait à prendre forme dans les tripes d’Adonis prêt à être doublement plus méchant qu’il ne l’avait été jusqu’à ce jour. « Et parce que tu n’as pas su le petit discours, sache que je n’ai rien à voir avec la Eden de tes souvenir, toi, tes petits potes et toutes cette école de merde vous avez fait de ma vie un enfer, vous avez faillit me faire commettre l’irréparable mais sache que plus JAMAIS vous ne réussirez, parce que je n’ai pas besoin de ton regard pour me dire qui je suis, je n’ai pas besoin du regard de personne et rien ne va le changer. Alors ravale tes connerie de petit gosse mal aimer et ignore moi si tu es incapable de dire des gentillesse, parce que pour chaque méchanceté que t’as petite bouche de gosse va dire il y aura une réaction crois moi. Et ton complexe machiste et violent ne m’effraie pas non plus. » Sa première réaction fut de rire. Un rire jaune, certes, mais il avait ri. Il voulait ridiculiser ses paroles. C’était son moyen à lui d’annoncer une colère naissante. Il commença par lever la main sur Eden, mais finalment il lui tapota une joue. Il ne frappait jamais bien fort une femme, mais il la touchait physiquement. Un geste humiliant qui ne faisait que ridiculiser la gifle qu’il avait reçu plus tôt. Il remettait ce qu’elle lui avait sans y mettre une force quelconque. « Eh bien, petite déesse Eden, je ne suis pas un idiot. Par contre, toi, tu continues à croire que tu peux changer les gens. Je ne suis pas un hypocrite contrairement aux autres qui se jetteront à tes pieds face à ta beauté… je continu d’être ce que je suis. Le pauvre type mal aimé… Ne te souviens pas tous ses hypocrites qui riaient sur ton passage ? Qui te dévisageaient ? Qui te laissaient pleurer dans ton coin sans venir à ta défense ? Ils te demanderont pardon, mais ils ne seraient jamais approchés de toi auparavant pour sauver leur réputation… » il eut un petit rire énervant. « Je suis peut-être mal aimé, mais le peu de gens qui m’entoure savent que je ne suis pas un saint. Hélas, ma bouche de gosse, comme tu dis si bien, ne te ment pas. Je te dis les faits sans avoir peur de tes menaces. Frappe-moi encore, poupée ! Fais comme tu veux, mais je reviendrai à la charge. Je vois dans tes yeux toute la rancœur. Allez, qu’est-ce que tu attends ? Fais sauter poudlard ! » Il la fixait en analysant chaque mouvement. Il regardait ses mimiques pour s’imprégner. Il n’avait jamais été un menteur. Il avait toujours été franc, même en ce moment. Les gens demanderont pardon face à la nouvelle Eden à cause de cette apparence. « Si tu veux savoir, le serdaigle, n’est pas si con… Il n’a juste pas envie de t’appeler par ton prénom. Le simplet serdaigle agit comme bon lui semble. Pauvre Barbie Eden. » Il se mordilla la lèvre. Il finit par déposer ses lèvres sur les lèvres de la belle sans crier gare. C’était une envie qui lui avait pris subitement pour mieux l’énerver, mais aussi pour l’attirance qu’il avait malgré sa haine envers les femmes en général. Tout était ambigu en lui. Tout était si contrariant. Il s’opposait à tous, mais tous l’intéressaient à la fois. Il était attiré par les femmes, mais il s’en sauvait par peur de craquer pour elles pour être au final être blessé par un possible rejet. Il venait de clore ses paroles par une insulte suprême, mais… il ne voyait rien de tout cela. Il avait juste envie de le faire : l’embrasser.


Dernière édition par Adonis S. Harlington le Ven 4 Mai - 2:33, édité 1 fois
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Luce Finley Matlin
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MessageSujet: Re: PART OF ME - Eden   PART OF ME     -   Eden EmptyMer 2 Mai - 2:08




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Eden & Adonis

Eden n’était pas une exception chez Adonis elle le savait, il était un imbécile avec tout le monde. Elle n’était pas dupe mais pourtant elle lui en voulait tellement d’avoir faire comme il avait fait il avait agis comme si elle était une chose, il avait tenter de prouver qu’il était le seul à pouvoir la faire pleurer, à pouvoir l’abattre alors que c’était clair qu’il n’était pas le seul. Il ne c’était jamais excuser il lui avait dit les pire cruauté qu’une personne pouvais lui dire. Elle était parfaitement consciente que son apparence physique d’autrefois était on ne peu plus disgracieux mais est-ce qu’il avait besoin de le lui rappeler à chaque rencontre. Avait-il réellement eu besoin d’agir comme il l’avait fait. Non elle en doutait fortement et pour se faire elle ne croyait pas qu’il était possible qu’un jour elle lui pardonne, même si il se mettait à la courtiser elle savait que pendant longtemps elle resterait aigrie de lui. Elle n’avait pas pris le temps de l’observer comme il faut, mais soudainement elle se rappela de le faire et c’est à ce moment qu’elle su comment le remettre à sa place. Ou plutôt qu’elle cru le savoir. Il était l’un de ceux qui voulait à nouveau la voir baisser les yeux. Et bien sur ce point la il était partit pour perdre parce que ces insultes qu’il avait lancer à date n’était pas pour fonctionner. Elle l’avait regarder réagir à ces paroles et elle voyait chez lui le regard d’une personne qui voulait être l’alpha peut importe se qui arriverait. Il était un autre de ces males qui se prenait pour un leader de foule, si il savait à quel point dans l’esprit de Eden il était plutôt un clown de foule il en aurait eu honte. Il allait tenter par tous les moyens de la déstabiliser. Maintenant c’était à savoir se qu’il préparait. Malheureusement pour la sorcière il était un peu comme un fous échapper d’asile quoi. Tout était possible. Il avait commencer par rire, pas trop étonnant la se mec était barge. Il lui avait donné une tape sur la joue, l’ancienne Eden serait restée sur le cul mais la nouvelle avait avancé d’un pas se rapprochant d’Adonis. Elle avait tenter de s’éloigner de lui mais il ne voulait pas alors elle allait faire l’inverse voir se que ça donnais. La tape l’avait déstabiliser intérieurement mais elle avait quand même réagis tentant de montrer le moins possible sa surprise. Si le but était de choquer il ne fallait pas qu’elle montre qu’elle avait été surprise. Voilà la nouvelle tactique de la sorcière rester de marbre, ou le plus de marbre possible quand on est en présence d’un con quoi. « Eh bien, petite déesse Eden, je ne suis pas un idiot. Par contre, toi, tu continues à croire que tu peux changer les gens. Je ne suis pas un hypocrite contrairement aux autres qui se jetteront à tes pieds face à ta beauté… je continu d’être ce que je suis. Le pauvre type mal aimé… Ne te souviens pas tous ses hypocrites qui riaient sur ton passage ? Qui te dévisageaient ? Qui te laissaient pleurer dans ton coin sans venir à ta défense ? Ils te demanderont pardon, mais ils ne seraient jamais approchés de toi auparavant pour sauver leur réputation… » Oh mais elle ne les oubliaient pas, elle n’avait oublier aucun d’entre eux, sauf que eux avait eu l’honneur de demander pardon pour se qu’il avait dit. Certain avait avouer qu’a l’époque se qu’il faisait était bien, d’autre avait avouer avoir eux peur pour leur réputation. Au moins dans tout ça ils avaient demander pardon et lui continuait de penser qu’il pouvait l’insulter à tout va et la faire pleurer. Il pensait qu’il pouvait lui remettre en pleine figure son passer sans se faire frapper, sans qu’elle ne réplique. il croyait qu’elle allait baisser les bras et le laisser gagner mais c’était un échec. Elle le regardait toujours droit dans les yeux un sourire en coins, un sourire qui n’annonçait rien de bon. Mais elle le laissait se défouler se demandant quelle autre connerie il pourrait bien inventer cette fois. « Je suis peut-être mal aimé, mais le peu de gens qui m’entoure savent que je ne suis pas un saint. Hélas, ma bouche de gosse, comme tu dis si bien, ne te ment pas. Je te dis les faits sans avoir peur de tes menaces. Frappe-moi encore, poupée ! Fais comme tu veux, mais je reviendrai à la charge. Je vois dans tes yeux toute la rancœur. Allez, qu’est-ce que tu attends ? Fais sauter poudlard ! » Il la cherchait et il se méritait une autre claque dans la face. De l’autre coter cette fois, elle avait levé la main et avec la même force que tout à l’heure elle l’avait frappé. Elle voulait juste qu’il comprenne que les mots sa fait autant mal qu’une claque au visage, qu’il comprenne à quel point elle avait passer si près de mettre fin à ces jours a cause des paroles justement. Les gens pense parfois qu’on peu tout dire et qu’il n’y aura pas de conséquence parce que les mots ne laisse pas de marque mais c’était tout à fait le contraire. Les mots laisse encore plus de marque que les bleus, les coupures,… « Si tu veux savoir, le serdaigle, n’est pas si con… Il n’a juste pas envie de t’appeler par ton prénom. Le simplet serdaigle agit comme bon lui semble. Pauvre Barbie Eden. » Il y avait une chose qui lui donnait envi en se moment. Suivre les conseil d’une personne rencontrer à l’école l’an dernier. Il lui avait donné pour conseil quand un mec l’agacer de toujours frapper à l’endroit ou sa fait le plus mal. Et par la il disait clairement « Kick in the Nuts. » Mais Eden n’était pas se genre de fille, les claques sa allait. Elle n’avait pas une once de méchanceté volontaire en elle, quand elle était méchante c’était toujours par accident, ou parce qu’elle c’était laisser emporter trop rapidement. Mais avant même de pouvoir ouvrir la bouche il avait posé ces lèvres sur elle et elle avait ouvert grand les yeux complètement surprendre. Non mais se mec était barge de chez barge la. Elle avait fermer son poing et l’avait frapper dans le ventre juste pour le faire reculer. Par la suite elle l’avait bousculé avant de s’avancer à nouveau vers lui. « Tu te prend pour qui avec tes discours de con et tes insulte à la noix. Tu prend je l’insulte et hop je l’embrasse et tout sera pardonner. Non mais t’es con, on a besoin de te faire enfermer. Une femme serait conne pour un jours t’aimer, aucune femme ne pourras jamais t’aimer parce que t’es de la pourriture. Voilà se que tu es une véritable pourriture qui crois que tout lui est du sur cette terre et que quand il a pas il prend. Je ne sais même pas comment t’as mère fait pour te regarder sans vouloir te défaire la figure. Après tout même une mère ne pourrait pas aimer un être comme toi. Tu n’est qu’un sale gosse, un être ignoble et mal élever qui se prend pour un dieux alors que tu es un minus qui ne connaitra jamais l’amour d’une femme. » Elle le bousculait à nouveau sur le coup d’une rage qu’elle ne savait pas posséder. « Tu veux la vérité ! Oui je vous en veux, à toi et tout ces petits cons de cette école, parce que vous croyez que les mots ça ne fait aucun mal. Tu crois que tes petites insulte que tu me lançait ne faisait aucun mal elle était certes peut-être la vérité à l’époque mais sache qu’elle était comme un couteau brulant dans une plaie. Et c’est pas t’es belle paroles sur je ne changerait pas qui vont faire en sorte que je ne vais pas vouloir continuer. Parce que c’est des petits cons comme toi qui ont faillit me pousser au suicide et vous mériter tous de vous en vouloir pour ça. Tu n’as pas le droit de me toucher comme ça, tu n’as pas le droit de penser que tu peu continuer à m’insulter et croire qu’après je serait un doux petit mouton. Pas après tout se que tu m’as fait subir. » Elle ne pleurait pas mais elle voulait partir avant de se mettre à pleurer. Pour la première fois depuis le début de l’année elle n’avait qu’une envi et c’était pleuré. Et ça elle ne lui donnerait pas cette fierté. Elle avait donc pris le temps de prendre un ou deux grands respire s’apercevant qu’elle avait été plus que cruelle cette fois. Elle qui n’était pas méchante elle s’en voulait déjà. Elle avait passé sa main dans ces cheveux. « Je… Je suis désoler j’ai péter un cables je ne me souvient déjà plus de se que j’ai dit mais, je suppose que d’une manière je le pensais mais en même temps tu ne méritais pas que je te le dises. » Oui elle savait plus que tout le monde comment les mots font mal. Elle avait peur d’avoir frapper une corde sensible, elle ne se souvenait même pas tout se qu’elle avait dit mais la rage avait pris possession d’elle et elle avait réagis. « Je n’aurais pas du me laisser m’emporter je m’excuse, peut-être que je devrais m’en allez maintenant. » Elle ne savait plus quoi faire, elle ne savait pas comment il allait réagir. Pour une fois c’était elle qui avait l’air barge.
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Adonis S. Harlington
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Je suis le préfet de Serdaigle, attention à toi, je veille au grain !

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MessageSujet: Re: PART OF ME - Eden   PART OF ME     -   Eden EmptyVen 4 Mai - 2:35

      Adonis n’avait jamais été un bien gentil garçon avec Eden plus que les autres. Le serdaigle avait toujours aussi horrible avec Eden bien plus que toutes les autres. Il avait toujours été là pour la rabaisser dans les premières années de scolarisation à Poudlard de la jeune femme. Il était là au détour d’un couloir pour mieux lui faire mal. Il était un horrible gamin. Pourtant, ce garçon abandonné huit ans plutôt n’était pas comme ça. Il était maintenant l’ombre de ce qu’il était vraiment. Autrefois, il était ce petit garçon qui aidait son père à se relever après une douloureuse chute à cause du haut taux d’alcool dans le sang avant de se faire battre. Il avait ce bon cœur. Adonis avait tout perdu de cette bonté. Il n’avait pas été ce fou d’Harlington dès la naissance. Les gens l’avaient rendu aussi fou par les douleurs de son cœur. Il était complètement blessé par son passé. Cette douleur qui le tourmentait Il était un sale con avec cette jeune femme qui ne lui avait jamais rien fait. Il était un sale gosse. Il était toujours là pour l’accueillir à nouveau à Poudlard. Il ne faisait visiblement pas exception à ce qu’il était avec elle avant : un gros naze. Il était qu’un sale con. Adonis fixait la jeune femme. Il regardait la merveilleuse beauté d’Eden. Il ne s’en cachait pas. Il la trouvait divine, mais il restait comme il était. Le serdaigle agissait comme bon lui semblait. Il dépassait les bornes sans problème. Cette fois-ci, il avait vraiment dépassé les bornes en écoutant ses envies : il l’avait embrassé. Elle avait rapidement agi d’ailleurs. Eden frappa Adonis au ventre. Cela mit fin rapidement au baiser. Elle le poussa fortement pour qu’il recule avant qu’elle ne s’approche de lui à nouveau. « Tu te prend pour qui avec tes discours de con et tes insulte à la noix. Tu prend je l’insulte et hop je l’embrasse et tout sera pardonner. Non mais t’es con, on a besoin de te faire enfermer. Une femme serait conne pour un jours t’aimer, aucune femme ne pourras jamais t’aimer parce que t’es de la pourriture. Voilà se que tu es une véritable pourriture qui crois que tout lui est du sur cette terre et que quand il a pas il prend. Je ne sais même pas comment t’as mère fait pour te regarder sans vouloir te défaire la figure. Après tout même une mère ne pourrait pas aimer un être comme toi. Tu n’est qu’un sale gosse, un être ignoble et mal élever qui se prend pour un dieux alors que tu es un minus qui ne connaitra jamais l’amour d’une femme. » Il la regardait en fronçant les sourcils. Il l’écoutait. Elle venait de toucher un point sensible. Les femmes ! Elles avaient toujours un petit point sensible dans son cœur. Il associait les femmes à sa mère. Il savait que tant et aussi longtemps que la vérité à propos de sa mère n’éclaterait pas au grand jour… il souffrirait dans ses prochaines relations. Il avait l’intention de la revoir. Elle venait, elle-même, de dépasser ce que lui avait bien pu faire. Ce n’était pas apparemment nécessairement. Il le méritait certes, mais il n’avait jamais parlé de quoique ce soit sur les blessures de son cœur. Il avait peur de toutes ces femmes dont Eden. « Tu veux la vérité ! Oui je vous en veux, à toi et tout ces petits cons de cette école, parce que vous croyez que les mots ça ne fait aucun mal. Tu crois que tes petites insulte que tu me lançait ne faisait aucun mal elle était certes peut-être la vérité à l’époque mais sache qu’elle était comme un couteau brulant dans une plaie. Et c’est pas t’es belle paroles sur je ne changerait pas qui vont faire en sorte que je ne vais pas vouloir continuer. Parce que c’est des petits cons comme toi qui ont faillit me pousser au suicide et vous mériter tous de vous en vouloir pour ça. Tu n’as pas le droit de me toucher comme ça, tu n’as pas le droit de penser que tu peu continuer à m’insulter et croire qu’après je serait un doux petit mouton. Pas après tout se que tu m’as fait subir. » Il n’avait pas aucune idée de ce qu’elle venait de dire. Il était en train d’analyser les mots qu’elle avait dit un peu plus tôt. Il était pris sur le fait que sa mère l’avait peut-être abandonné pour de vrai. Peut-être qu’elle avait tout planifié ? Peut-être que c’était parce qu’elle ne l’aimait pas ? Adonis recula d’un pas. Les mots frappaient, TOURNAIENT, le tourmentaient. Il avait besoin de partir. Il avait besoin de fuir au plus vite. Adonis se sentait mal. Il était troublé. Son regard exprimait toute cette détresse subite. Il souffrait. Il avait ce regard fou de souffrance. Il recula regardant à gauche, à droite. Vite. La fuite ! « Je… Je suis désoler j’ai péter un cables je ne me souvient déjà plus de se que j’ai dit mais, je suppose que d’une manière je le pensais mais en même temps tu ne méritais pas que je te le dises. » Adonis avait besoin de fuir. Il était souffrant, mais une petite pointe de colère surgit du tréfonds de ses entrailles. « Je n’aurais pas du me laisser m’emporter je m’excuse, peut-être que je devrais m’en allez maintenant. » Il s’avança d’un pas vers Eden. Il la secoua frénétiquement pendant quelques secondes. C’était violent. Il la regardait avec ce regard profondément souffrant. « Garce ! Tu ne sais pas de ce que tu parles. Tu ne sais pas. Tu ne sauras jamais. T’es qu’une sale garce ! Tu ne sais pas ce qui me fait agir… t’es qu’une garce. » Il la poussa au sol se foutant s’il lui avait fait mal. Il prit la fuite en courant pour se réfugier dans son lit où il trouvera le réconfort sous la couette.
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Luce Finley Matlin
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MessageSujet: Re: PART OF ME - Eden   PART OF ME     -   Eden EmptyVen 1 Juin - 20:11




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Eden & Adonis

Eden n’arrivait toujours pas à croire le culot de cet imbécile. Il avait oser l’embrasser après tout se qu’il lui avait dit. Il avait le culot de l’embrasser elle l’aurait castrer si elle ne se serait pas retenu. Oui Eden était en colère elle avait été incapable de retenir se qu’elle avait. Tout avait été sortit comme une tornade. C’est a peine si elle se souvenait se qu’elle avait dit. Mais elle lui avait craché son venin à la figure et elle le savait. Elle qui n’était pas naturellement méchante avait été cruelle et elle le savait. Mais quand on réfléchissait elle avait passé six ans de torture. Sous les yeux de toute cette école et elle avait décider que plus jamais elle ne ce laisserait faire. Elle en avait tout simplement marre des gens qui croyait qu’il pouvait faire du mal au gens sans jamais en payer les conséquences. Et Adonis était le premier a avoir payer les frais de cette colère interne. Oui elle c’était excuser, elle s’excusait toujours quand elle était méchante ou quand elle sentait qu’elle avait dépasser les borne. C’était un trait que la sorcière avait toujours eux. Anciennement elle se serait excuser pour respirer c’est vrai mais c’était à une autre époque, une époque ou la sorcière était un objet de torture constant, une époque ou elle n’était pas se qu’elle est aujourd’hui. Mais elle c’était excuser mais soudainement il l’attrapait par les épaule et la secouait comme un pommier. Elle savait qu’elle allait avoir mal au cou après cela, elle aurait surement mal à la tête aussi. Se mec était un vrai fou, il aurait du être enfermer et non permis de hanter les couloir de cette école. Non des mecs comme lui aurait du être enfermé depuis toujours. Elle savait qu’il devait y avoir quelque chose qui allait mal chez lui elle voyait qu’il souffrait aussi mais en même temps il n’avait eu qu’une once de tout se que lui avait pu lui cracher à la figure avec les années. Si il ne pouvait pas prendre la chaleur des insultes il n’aurait pas du commencer les hostilité avec elle. Il savait que maintenant elle était amplement capable de se défendre et elle ne se laisserait pas faire. Alors pourquoi est-ce que maintenant il agissait comme si il était blessé alors que c’était lui qui avait enclenché les hostilités. Encore une fois la sorcière en arrivait à la conclusion que ce mec était complètement timbré, il était fou et bon à enfermer. Mais il n’en restait pas moins qu’elle était sur le choc de se faire secouer comme un prunier. « Garce ! Tu ne sais pas de ce que tu parles. Tu ne sais pas. Tu ne sauras jamais. T’es qu’une sale garce ! Tu ne sais pas ce qui me fait agir… t’es qu’une garce. » Elle une garce. Elle aurait bien rit de ce mec. Si ce n’était pas le chaudron qui se moque de la poêle tient. Avait-il la moindre idée d’a quel point ces moquerie d’antan avait profondément blesser la sorcière. Des blessures qui ne guérirait pas du jour au lendemain. Et il osait la traiter de garce. Ce mec n’était pas seulement fou, il était timbré, il était complètement stupide et idiot. Elle se foutait qu’il l’avait bousculer, elle se foutait d’être tomber durement sur les fesses et qu’elle allait surement avoir mal pour quelque jours par sa faute à lui. Elle le regardait partir mais ne pu retenir un cri. « La prochaine fois ne part pas les hostilité si tu as peur de te bruler… » Elle avait marmonné plus pour elle même un « Imbécile. » Bien sur il était partit et c’était sa faute mais elle avait été méchante et elle le savait. Elle savait qu’elle l’avait blesser et étrangement même si elle était en colère après cet imbécile elle s’en voulait de lui avoir faire du mal. Un truc que Asphodel lui dirait surement qui était complètement stupide quoi. Mais bon Eden était Eden et elle resterait ainsi jusqu'à la fin de ces jours alors elle allait s’en vouloir d’avoir été autant méchante même si la personne envers qui elle avait été méchante le méritait amplement. Dans un soupir elle c’était relever et avait décider d’allez à sa salle commune, laissant faire quelconque raison pourquoi elle était dans ce couloir pour commencer.


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