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What doesn't kill you makes you stronger ▲ MADDÖLDE

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MessageSujet: What doesn't kill you makes you stronger ▲ MADDÖLDE   What doesn't kill you makes you stronger ▲ MADDÖLDE EmptyVen 13 Avr - 9:49

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Le soleil brillait bien haut dans le ciel, promettant une journée radieuse, une journée comme l’ensemble des habitants du château avait besoin. Depuis l’incident du bal du gala du Ministère le moral n’était pas au beau fixe, et Mr McLaggen n’échappait à la règle. Depuis plusieurs jours il se sentait inutile, fatigué, ce qui avait le don de l’agacer plus qu’autre chose. Il était véritablement à fleur de peau, ce qui étonnait bien des élèves puisque d’habitude Maddox était plutôt blagueur et sympathique avec ses élèves, il les aimait tous, certains plus que d’autres mais ces derniers temps son moral avait chuté en flèche. Mais il y avait une chose qu’il ne supportait pas en particulier, outre les regards curieux, Maddox détestait qu’on lui demande comment il allait. Cette petite phrase avait le don de le mettre en rogne comme jamais, il en devenait presque hargneux. On était dimanche, jour de congé pour les élèves comme pour les professeurs et leurs assistants et il était hors de question que Maddox reste enfermé à l’intérieur du château, d’ailleurs il avait plusieurs commission importantes à faire qui nécessitaient un petit voyage à Londres, allée des Embrumes plus précisément. Oh bien sur Maddox n’affectionnait pas beaucoup cette allée mais ses emplettes nécessitaient qu’il s’y trouve. Et oui, quand on est assistant en art de la magie noire il faut faire des concessions. S’habillant rapidement, costume trois pièces et cravate comme d’habitude, Mr McLaggen s’en allait d’un pas vif vers le bureau du Professeur Dumbledore, le seul dans lequel l’utilisation de la poudre de cheminette était permise. Bien sure Maddox avait le consentement dudit professeur, il n’était pas vraiment du genre à risquer sa place pour une escapade à Londres. Surtout que compte tenu des événements récents tout le monde était sur les nerfs. Saluant galantement les quelques dames qui passaient dans le couloir, Maddox se dirigeait vers les escaliers menant au bureau du Directeur. Arrivé devant la gargouille qui y montait la garde Maddox prononça le mot de passe ayant pour conséquence que la gargouille s’écarte, laissant libre le champ d’accès à la porte du bureau. La pièce était des plus fascinante, il y régnait un calme et une sérénité qui dénotait sérieusement avec le reste de l’ambiance du château. Maddox prit une petite pincée de poudre verte et se plaça dans la cheminée en disant distinctement « allée des embrumes » et disparut dans de magnifiques flammes émeraude. McLaggen se matérialisa en plein milieux de l’allée, manquant au passage de renverser une sorcière à l’aspect miteux. S’excusant de son plus beau sourire il entra dans une échoppe. Il cherchait un livre ou deux consacré à la matière qu’il enseignait, il en avait déjà pas mal mais Maddox adorait s’instruire et parfaire ses connaissances. C’était ce qui préférait dans les livres : on était toujours surprit par quelque chose. Durant son adolescence Maddox n’avait pas passé le plus clair de son temps à la bibliothèque mais il empruntait régulièrement des ouvrages qu’il dévorait une fois la nuit tombée. C’était un véritable bonheur pour lui de se retrouver seul sous ses draps à lire des volumes plus gros les uns que les autres. Visiblement rien ne semblait correspondre à ses recherches dans cette boutique, Maddox décidait donc de tenter une autre librairie un peut plus loin dans l’allée. Il sortit donc en remerciant aimablement le commerçant. Il n’était resté que dix minutes dans le petit commerce mais le temps semblait s’être gâté. De gros nuages noirs s’avançaient d dangereusement au dessus de l’allée. La petite librairie n’était plus très loin. Maddox accéléra le pas, perdu dans ses pensées. Il était tellement concentré qu’il ne put éviter de percuter une sorcière de plein fouet, celle-ci tomba au sol, contrairement à Maddox qui avait encaissé le choc sans fléchir. Décidément ce n’était pas son jour. Mais Maddox fut encore plus surpris de reconnaître la chevelure blonde de la sorcière en question. « Miss Wilkes ? » Maddox fut sérieusement médusé de la croiser dans les parages. Certes plusieurs rumeurs couraient dans le château comme quoi elle aurait quitté Poudlard mais il n’y avait pas prêté attention. « Il me semble que nous prenons une fâcheuse habitude à toujours nous percuter à chacune de nos rencontres. » Maddox faisait référence à leur toute première rencontre, un sourire malicieux se dessinait sur ses lèvres mais il fit bien vite place à un air plus sérieux. Tout en aidant Ysölde à se relever Maddox ne put s’empêche de lui demander d’une voix grave. « Pouvez-vous me dire ce que vous fabriquez dans un endroit pareil ? » Maddox espérait qu’elle allait lui répondre franchement.





Dernière édition par Maddox G. McLaggen le Sam 14 Avr - 8:26, édité 1 fois
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: What doesn't kill you makes you stronger ▲ MADDÖLDE   What doesn't kill you makes you stronger ▲ MADDÖLDE EmptyVen 13 Avr - 10:22

La jeune femme avait décidé de mettre sa vie à Poudlard de côté quelques temps. Le gala du ministère avait été une véritable épreuve pour elle, une véritable épreuve, et signait définitivement la chute d’Ysölde Wilkes, la magnifique. Méprisée par ce père qu’elle n’avait jamais, celui-ci l’avait même frappé réduisant à néant le peu d’estime qu’elle n’avait jamais eut pour lui. Elle fondait en larme à la moindre émotion, et n’était pas capable de se rendre à Poudlard, elle aurait été incapable d’y suivre les cours, totalement incapable. Sa tante Sofia, et son oncle Timothy avaient proposé à la jeune femme de venir chez eux, naturellement elle avait voulu refuser, mais c’était la meilleure chose à faire. Cependant elle avait passé plusieurs jours enfermé dans sa chambre, se brossant à peine les dents et trainant en pyjama toute la journée avec des yeux cernés de noir, une mine à faire peur. Depuis quelques jours, elle essayait de se reprendre en main, doucement mais surement. Elle avait pris un bon bain, et cela l’avait un peu requinqué ! un bain c’était fou le pouvoir magique et relaxant que cela pouvait avoir, un peu de savon aromatisé à la vanille – le parfum naturel préféré de la jeune femme – et elle se sentait douce et apaisée. Pour parfaire – ou du mon essayer – son bien être, il lui fallait de la lecture, mais elle voulait surtout trouver le sommeil, sauf que les potions se Sofia n’avaient pas franchement d’effet sur le sommeil de la jeune femme qui continuait de faire des cauchemars, et des visions également. Dans une petite boutique de potionniste de l’allée des Embrumes elle avait trouvée une potion capable de l’empêcher d’avoir des cauchemars et qui semblait neutraliser ses visions. Sofia travaillait, Tim aussi, et le bébé était bien en sécurité avec sa nourrice, Ysölde se força donc à sortir un peu de la maison. Elle avait fait un effort, elle avait coiffé ses cheveux et avait même pris la peine de les boucler proprement, elle portait une jupe et une paire de chaussures noir, élégante, des collant noir, et une belle chemise blanche à la mode. Hors de Poudlard, Ysölde était plutôt élégante pour une sorcière, quand elle parvenait à se débarrasser de son uniforme, elle se sentait tellement mieux. En sortait de la maison, elle attrapa son manteau noir, et le ferma soigneusement, il faisait quand même froid pour un moins d’Avril, même si.. il faisait quand même beau. La jeune femme transplana sur le chemin de traverse. Elle marcha d’un pas décidé et rapide, des fois qu’elle croise Mr Wilkes… c’était la dernière personne qu’elle voulait croiser. Elle marchait vite, mais… elle était un peu dans la lune alors elle ne regardait pas forcément où elle allait. La jeune femme entre temps avait été acheté ses petites potions puis elle était ressortie. Dans la rue, elle fut percutée de plein fouet par un homme. Elle tomba sur arrière, sur les fesses. Aïe. Celui dit alors : « Miss Wilkes ? » Elle leva les yeux vers l’homme. Maddox McLaggen, l’assistant du professeur de Magie Noire. C’était la seconde fois qu’ils se rentraient dedans, c’était franchement une étrange coïncidence. Il ajouta alors : « Il me semble que nous prenons une fâcheuse habitude à toujours nous percuter à chacune de nos rencontres. » Elle n’aurait pas pu dire mieux ! Elle le vit lui adresser un sourire, et elle se surpris à la laisser apparaitre un sourire sur ses lèvres, c’était un de ses premiers sourires depuis pas mal de temps. Ensuite, il aida la jeune femme à se relever, et elle accepta son aide, quand il dit alors, avec un air un peu sérieux : « Pouvez-vous me dire ce que vous fabriquez dans un endroit pareil ? » Lui dire ? Il était peut être assistant de professeur, mais il n’avait pas forcément besoin de savoir ce qu’elle faisait là. La jeune elle épousseta doucement sa veste qui avait été en contact avec le sol. Elle posa de nouveau son regard sur le bel homme qui se tenait en face d’elle et dit alors : « Cette habitude commence à devenir fâcheuse, j’en ai marre de me retrouver par terre ! » Elle esquissa un petit sourire. Puis elle dit alors, au sujet de sa présence : « Je cherchais juste quelques potions pour… le sommeil. Et quelques livres… » Elle était honnête, de toute façon, elle ne savait pas vraiment mentir. Elle n’avait jamais su, la jeune femme se baissa alors pour ramasser son sac, et fut soulager quand elle vu que le contenu, soit quelques fiole de potions n’étaient pas cassé.
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MessageSujet: Re: What doesn't kill you makes you stronger ▲ MADDÖLDE   What doesn't kill you makes you stronger ▲ MADDÖLDE EmptyVen 13 Avr - 16:40

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Maddox dévisageait la jeune femme sans aucune gêne, de beaux cheveux blonds comme les blés, très élégante. Il était juste surpris de la voir sans son uniforme scolaire, mais il devait avouer que la jeune femme avait un don certain pour s’habiller car ses vêtements s’agençaient à merveille avec elle-même. Maddox n’était arrivé que depuis le début de cette année scolaire et Ysölde était l’une des premières personnes avec qui il avait échangé une conversation. Certes leur première rencontre n’avait pas été commode : Encombré d’une pile de livres qu’il emmenait dans son bureau Maddox n’avait put l’éviter au détour d’un angle de couloir. En galant jeune homme il avait aidé la jeune Wilkes à se relever en s’assurant qu’elle allait bien, déjà à cette époque la jeune Serpentarde l’avait énormément intriguée. Ce sentiment n’avait été qu’accru suite à la demande de l’un de ses amis de longue date qui lui avait fait promettre de garder un œil sur elle. Maddox avait juré et étant très loyal il ne faillirait pas à sa promesse. Outre les menteurs, Mr McLaggen détestait profondément les personnes brisant leurs promesses, surement à cause de son père qui les avait abandonnés lui et sa mère après avoir promis de veiller sur eux. Ces personnes avaient le don de révolter le jeune assistant qui vouait une loyauté sans pareille à tous ceux qu’il aimait. « Cette habitude commence à devenir fâcheuse, j’en ai marre de me retrouver par terre ! » Cette réplique eut le pouvoir de redonner le sourire à Maddox, un sourire franc et un brin charmeur, certes Maddox McLaggen était un gentleman, un charmeur, il aimait flatter les gens, mais il n’était pas du genre à s’engager dans une relation sans connaître réellement sa partenaire, il se répugnait à avoir des aventures sans lendemain et ne comprenait pas les gens qui le faisait. Au fond Maddox était un romantique, un sentimentale mais ça il ne l’avouerait surement jamais, redoutant peut-être le regard des autres. « Et moi j’en ai marre de tout le temps vous percuter, vous allez finir par penser que je le fais exprès. » Maddox sourit gentiment à son élève. « Je cherchais juste quelques potions pour… le sommeil. Et quelques livres… » Elle avait du mal à dormir ? Hum… De ce que Maddox avait put apprendre d’elle il ressortait en effet des choses qui pouvait rendre quelqu’un insomniaque. « J’espère que vous retrouverez vite le sommeil, je sais comme c’est désagréable de ne pouvoir dormir. » Il était sincère, après le suicide de sa mère il n’avait pas fermé l’œil pendant quelques mois, enfin pas durant la nuit et pas de manière régulière en tout cas. McLaggen sentit tout à coup une goutte d’eau toucher sa peau. Dubitatif, il scruta le ciel qui s’assombrissait à vue d’œil. La pluie allait sans nul doute tomber à flot. « On dirait bien que le temps est contre nous… » Maddox grimaça, il n’aimait pas du tout la pluie, préférant le soleil et la douce caresse du vent chaud sur sa peau, néanmoins dans une ville comme Londres il était assez rare que cela se passe autrement. Maddox réfléchit à toute vitesse, il avait promit à son ami de veiller sur Ysölde et ne pouvait décemment pas la laisser seule dans un endroit comme celui-ci, et puis il fallait bien qu’il se l’avoue, la compagnie de la jeune Wilkes était loin de lui déplaire. Il prit donc son ton le plus enjoué pour proposer : « Je connais un bon restaurant pas très loin, il n’est pas question que je vous laisse seule ici et de surcroit sous la pluie, de plus je dois bien me faire pardonner pour vous avoir fait tomber. » Maddox sortit son sourire le plus charmeur. Il était hors de question qu’elle refuse, il avait une promesse à honorer et l’orage n’allait pas tarder à éclater.





Dernière édition par Maddox G. McLaggen le Sam 14 Avr - 8:26, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: What doesn't kill you makes you stronger ▲ MADDÖLDE   What doesn't kill you makes you stronger ▲ MADDÖLDE EmptyVen 13 Avr - 21:31

Elle avait des problèmes de sommeil. Elle en avait toujours eut mais c’était récurent depuis la mort de sa mère, depuis qu’elle avait été amnésique. Elle avait rêve, ou plutôt cauchemarder de son passé s’en rendre compte. Elle avait tellement rêver de sa mort de sa mère, tellement ; enfin elle avait vu sa mère mourir cela tenait plus du cauchemar en réalité. Depuis qu’elle avait retrouvé la mémoire suite à une thérapie elle s’en souvenait, et cela faisait partie des choses qu’elle endurait depuis un peu moins d’un an. Un an à peu près qu’elle était en perdition, un an qu’elle n’était plus fiancé à Ulysse Lestrange, un an qu’elle avait eut sa première « vraie vision », un an qu’elle n’avait plus vraiment adresser la parole, un an qu’elle avait commencé à retrouvé la mémoire, six mois qu’elle était la honte des Wilkes, six mois qu’elle était la risée de serpentard, six mois qu’elle avait envie de prendre ses jambes à son cou. C’était chose faite, elle avait pris ses distances avec Poudlard, pour son bien ! Enfin… oui, et non, ses amis lui manquaient quand même, Alecto par exemple. Soudainement une chose lui rappela Poudlard : Mr Maddox McLaggen. Un assistant de professeur dans un matière qu’elle n’avait pas mais elle appréciait la magie noire, tellement, elle en était même fasciné, le pouvoir, la puissance de la magie, c’était fascinant, tellement fascinant, qui n’aimait pas le pouvoir ? C’était la seconde fois qu’ils se rentraient dedans, elle allait finir par croire que c’était le destin, l’assistant du professeur dit alors : « Et moi j’en ai marre de tout le temps vous percuter, vous allez finir par penser que je le fais exprès. » Elle allait en effet finir par croire que le professeur le faisait exprès ! Mais bon un professeur ne ferait quand même pas exprès de rentrer dans une de ses élèves, enfin, normalement. Maddo ajouta alors : « J’espère que vous retrouverez vite le sommeil, je sais comme c’est désagréable de ne pouvoir dormir. » Alors comme cela le professeur aussi avait des problèmes pour dormir ? Cela arrivait à tout le monde, Ysölde ne faisait pas comme tout le monde, elle ne se permettait pas de juger les gens, donc elle ne pouvait pas se permettre de le juger. La jeune femme avait vraiment du mal à dormir, vraiment du mal, mais elle voulait que ça aille mieux. Personne dans son entourage ne savait qu’elle faisait vraiment des cauchemars, ou des insomnies, cela bien longtemps qu’elle n’avait eut quelqu’un à ses côtés pour qu’il puisse constater ses nuits blanches. « J’espère aussi, ce n’est jamais agréable de voir défiler les heures sans parvenir à fermer l’œil ! » Elle lui adressa un sourire sympathique, mais quand même sur la retenu, on ne peut pas dire que la jeune femme était du genre à s’attirer les faveurs des professeurs avec des grands sourires évocateurs. Certaines filles se jetteraient sur un professeur, certaines filles n’avaient pas de fierté, tout le contraire de Ysölde. La jeune femme senti une goutte de pluie sur le bout de son nez. Oh non, pas la pluie. Elle allait finir trempé, et elle allait prendre froid ! Naturellement elle aimait la pluie, elle adorait la pluie normalement, mais il ne faisait pas encore assez chaud pour se promener sous la pluie, le professeur dit alors : « On dirait bien que le temps est contre nous… » Le professeur ajouta alors sur un ton que la jeune femme avait pu qualifier d’enjoué : « Je connais un bon restaurant pas très loin, il n’est pas question que je vous laisse seule ici et de surcroit sous la pluie, de plus je dois bien me faire pardonner pour vous avoir fait tomber. » Maddox était réellement entrain de l’inviter à déjeuner ? Un professeur – assistant de professeur – était entrain de l’inviter à dîner ! Et bien, quelques filles de Poudlard auraient pu être jalouse, officiellement – et de façon temporaire – Ysolde n’était plus élève, donc ce n’est pas comme si elle allait accepter l’invitation d’un professeur. Elle allait accepter ? Évidemment, ce n’était pas sa tante qui allait lui reprocher d’être sortie de chez elle, après tout, il fallait qu’elle se change les idées ! La jeune femme esquissa alors un sourire, un sourire ravissant qui lui donnait un air angélique : « Si c’est pour vous faire pardonner alors j’accepte votre invitation ! » Elle était adorable avec ce sourire sur ses lèvres. Ysölde était un rayon de soleil quand elle le voulait bien, elle avait enterrée derrière elle Ysölde la garce. Cette fille était loin derrière elle. Elle ajouta alors : « Après cela si vous continuer à me faire tomber je vais commencer à penser que vous le faites exprès ! » Elle faisait référence à ce qu’il avait dit quelques secondes plutôt. Elle était drôle, souriante, et étrangement Maddox la faisait sourire, elle qui était une vraie fillette ces derniers temps, à pleurer pour un rien, parce que ses émotions étaient trop forte. La pluie devint alors plus forte, et la jeune femme se couvrit la tête pour se protéger de la pluie, et Maddox et elle devaient rapidement se mettre à l’abris !
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MessageSujet: Re: What doesn't kill you makes you stronger ▲ MADDÖLDE   What doesn't kill you makes you stronger ▲ MADDÖLDE EmptySam 14 Avr - 16:44

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Le temps avait visiblement décidé de faire des siennes.., de grosses gouttes de pluie tombaient du ciel qui avait prit une horrible couleur grise foncée. Maddox soupira en voyant les nuages sombres s’avancer dangereusement dans le ciel. « Si c’est pour vous faire pardonner alors j’accepte votre invitation ! » De toute façon Maddox ne l’aurait pas laissé seule sous la pluie. Bien qu’il soit assistant du professeur Harlington le jeune homme s’en foutait d’inviter une élève à dîner (HS : sous entendu déjeuner pour les français si je me rappelle bien). Il ne faisait pas de mal, il honorait juste une promesse, en plus Ysölde n’était plus à Poudlard pour le moment. Et puis de toute façon Maddox n’était pas du genre à accorder de l’importance aux regards que les gens lui portaient, concernant ce sujet il était un peu je-m’en-foutiste. À ceux qui oseraient lui jeter à la figure que ce n’était pas bien Maddox était prêt à leur jeter un ou deux sortilèges : après tout il n’enseignait pas l’art de la magie noire pour rien. Il fallait bien l’avouer, le Pr. McLaggen avait toujours été sujet à une fascination constante concernant la magie noire, et même plus largement le pouvoir et la magie. Pour lui il n’y avait pas de mauvaise magie, seulement des sorciers qui en faisait mauvais usage. Si cette obsession avait parut étrange à sa mère durant son adolescence, elle avait parue à cette dernière comme naturelle quand il avait entamé une formation d’Auror. Et oui, Maddox était un Auror de formation… enfin il n’avait jamais été employé au ministère. Le décès prématuré de sa mère l’avait plongé dans une dépression qui avait annihilé ses envies de devenir Auror et il avait fini par le reconduire à Poudlard mais pour enseigner cette fois. « Après cela si vous continuer à me faire tomber je vais commencer à penser que vous le faites exprès ! » Cette réplique amusa grandement Maddox qui ne put réprimer un sourire d’amusement. Ysölde avait parfaitement raison. D’autant qu’il n’avait pas vraiment envie que la jeune femme éprouve des sentiments négatifs à son encontre. Bah oui, Ysölde était jeune, jolie, gentille, intelligente et Maddox n’avait pas envie de se faire détester par qui que ce soit, encore moins par elle. « Je vous promet de ne plus recommencer. » Répondit-il avec humour. « Venez le restaurant n’est pas trop loin. » Il offrit galamment son bras à la jeune femme et attendit qu’elle le saisisse pour se mettre en route. Il ne marchait pas trop vite pour que la jeune femme parvienne à suivre la cadence mais en même temps pas trop lentement car la pluie se faisait de plus en plus drue. Il prit des petites rues très peu fréquentaient et au bout de ce chemin, ils aboutirent devant un bâtiment à l’aspect assez miteux. De par expérience Maddox savait qu’il ne fallait pas se fier aux apparences, c’était le cas de cette bâtisse qui avait vraiment l’air délabrée. Maddox pensa à Ysölde, elle devait certainement être un peu paniquée à l’idée de rentrer dans un endroit aussi miteux. Il la regarda donc d’un regard qu’il voulait rassurant et franchit le pas de la porte. Les murs du restaurant étaient d’un rouge ocre qui donnait une ambiance intime et chaleureuse à la pièce. De magnifique lustres étaient accrochés au plafond, la décoration était luxueuse et d’un gout fin et raffiné. Maddox mena Ysölde vers une table tout près d’une fenêtre et tira la chaise de la demoiselle pour qu’elle s’installe avant de prendre lui-même place autour de la table. Ils consultèrent la carte chacun de leur côté puis un garçon s’approcha de leur table leur demandant ce qu’ils souhaitaient commander. En vrai gentleman McLaggen laissa Ysölde répondre en premier avant d’ajouter. « La même chose pour moi, merci. » Il n’avait pas réellement faim et observait la jeune Serpentarde avec un intérêt non dissimulé. « Alors Ysölde, ça fait un petit moment que je ne vous avais pas vu à Poudlard, faute de vous rentrer dedans, et puis ceci dit les rumeurs vous concernant rapportaient que vous vous étiez enfuie du château, je vois que pour une fois les commères n’avaient pas tord. » Un sourire ironique se dessina sur les lèvres du professeur, il avait bien hâte d’entendre la justification d’Ysölde.



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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: What doesn't kill you makes you stronger ▲ MADDÖLDE   What doesn't kill you makes you stronger ▲ MADDÖLDE EmptyDim 15 Avr - 20:46

Ysölde était d’un naturel à aimer la pluie et y courir par les journées orageuses d’été ! La pluie lui rappelait de très bonne souvenir comme sa première vraie discussion avec Graeme, et leur premiers pas l’un vers l’autre : malgré la fin plus ou moins tragique de leur histoire, cela demeurait un bon souvenir. La pluie lui rappelait les matchs de quidditch qu’elle avait pu faire sous la pluie en compagnie de ramsey, ou malgré le temps ils continuaient de se battre, juste pour savoir lequel des deux allait finir par avoir le dernier mot. La pluie était douce parfois, et parfois acide, et même violente, la pluie était comme ysölde, tantôt froide, tantôt chaude. Mais ysölde n’avait pas un caractère qui s’apparentait à l’eau, le sien tenait plutôt du feu, destructeur, hardent. La pluie avait un effet très apaisant sur la jeune femme, comme la pluie qui stoppe le feu d’une forêt. Elle était ainsi. Après avoir dit que si après cela il continuait à lui rentrer dedans – dans le sens stricte du terme – elle allait fini par trouver ça suspect, et le « professeur » lui répondit alors : « Je vous promet de ne plus recommencer. » Le professeur McLaggen lui répondit alors avec un certain humour. « Professeur Mclaggen », elle connaissait son prénom, mais elle ne pouvait se résoudre à l’appeler ainsi même dans sa tête, il restait professeur, il lui avait fallu du temps – et des fois encore elle se trompait – lorsqu’elle appelait son oncle Timothy, elle s’obstinait parfois à l’appeler encore Pr Sweetlove, c’était comme ça. Le même professeur lui dit alors, tout en offrant de façon très galante son bras : « Venez le restaurant n’est pas trop loin. »La jeune femme saisi son bras avec un sourire, et dit alors avec un petit sourire – aimable, sympathique, non déplacé, mais malicieux - : « Et bien je vous suis, Professeur ! » Elle lui avait pris le bras de façon tout à fait naturelle, comme s’il n’était qu’un simple garçon qu’elle connaissait, pourtant c’était un professeur – assistant mais professeur quand même. Il pressa le pas, mais Ysölde pouvait encore suivre, tandis que la pluie se faisait de plus en plus instante. Il prit des petites rues où la jeune femme n’aurait pour rien au monde voulu se trouver seul. Ils arrivèrent devant un bâtiment à l’allure minable, mais elle ne se fiait pas aux apparences, jamais. De son propre chef elle n’aurait surement pas osé s’y aventurer, mais elle était en compagnie d’un professeur assistant de magie noire, en toute logique il pourrait défendre la jeune femme, quoi qu’il arrive. Le professeur McLaggen lui adressa un regard rassurant et la fit entrer dans cet endroit qui à l’intérieur était magnifique, presque magique. Il la conduisit alors à une petite table près d’une fenêtre. Dehors, il pleuvait à sots. Un serveur vient leur demander ce qu’ils voulaient, Ysölde commanda un simple plat du jour, et Mr McLaggen ajouta alors, tel un vrai gentleman : « La même chose pour moi, merci. » Elle avait commandé à mangé, mais ces derniers temps elle n’avait pas réellement faim, elle se forçait plus qu’autre chose, on peut dire qu’elle n’avait pas réellement retrouvé sa joie de vivre, et tout ce qui allait avec. Le professeur dit alors : « Alors Ysölde, ça fait un petit moment que je ne vous avais pas vu à Poudlard, faute de vous rentrer dedans, et puis ceci dit les rumeurs vous concernant rapportaient que vous vous étiez enfuie du château, je vois que pour une fois les commères n’avaient pas tord. » Les quand dira-t-on, les rumeurs, cela faisait tellement longtemps que ces choses avaient cours à Poudlard. Ysolde n’était pas étrangère aux rumeurs, elle en avait tellement eut qui courrait sur elle. Les rumeurs avaient fait vivre pas mal d’épreuve à la jeune femme : Graeme et Reagan, la nature de son sang, bref, des choses dont elle ne voulait plus entendre parler. La jeune femme se laissa un peu glisser au fond de sa chaise, et baissa les yeux quelques secondes pour observer la table, et dit alors : « Et bien, je crois qu’il existe une différence entre fuir, et prendre du recul. Vous ne croyez pas Professeur McLaggen ? » Elle l’appelait Professeur McLaggen, après tout, ils ne se connaissaient pas. Enfin, oui, elle le connaissait juste de nom, et ils s’étaient rentré dedans mais cela s’arrêtait là.« Disons juste que j’ai quelques problèmes d’ordre personnel, et que je bénéficie d’une sorte de certificat médical qui m’a permi de prendre congé temporairement des cours ».Elle avait un parlé impeccable, totalement impeccable. Elle parlait bien, c’était sa mère qui l’avait bien élevé, dieu pourtant que sa mère n’était pas la personne la mieux élevée qui soit. Elle adressa un mince sourire aux professeurs McLaggen.

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MessageSujet: Re: What doesn't kill you makes you stronger ▲ MADDÖLDE   What doesn't kill you makes you stronger ▲ MADDÖLDE EmptyJeu 19 Avr - 16:11

MADDÖLDE ▲ MADDOX+YSÖLDE

Maddox ne pouvait se résigner à rompre le contact visuel qui l’unissait à la jeune femme, son regard était envoutant et le professeur la trouvait charmante. Le temps que les plats ne soient préparés le jeune assistant prit l’initiative d’engager la conversation sur un sujet assez épineux : mais pourquoi la jeune fille avait donc quitté Poudlard ? Maddox voulait la tester : voir comment elle allait réagir. L’honnêteté était très importante pour lui et il aurait été très déçu si la jeune femme avait occulté le sujet. « Et bien, je crois qu’il existe une différence entre fuir, et prendre du recul. Vous ne croyez pas Professeur McLaggen ? » C’était certain, Maddox appréciait la réflexion de la jeune Serpentarde, elle avait totalement raison. « Disons juste que j’ai quelques problèmes d’ordre personnel, et que je bénéficie d’une sorte de certificat médical qui m’a permis de prendre congé temporairement des cours ». C’était donc ça. Visiblement la jeune femme avait traversé des épreuves assez épuisantes tant moralement que physiquement, Maddox le ressentait dans le timbre de sa voix. « Puisque nous parlons d’école et que justement nous ne sommes pas à Poudlard je propose que l’on arrête de se vouvoyer, ça fait trop formel. » Après tout il ne faisait rien de mal, la jeune femme était temporairement non scolarisée à Poudlard, il aurait tout aussi bien put inviter une autre galante demoiselle à déjeuner. Mais il aurait surement prit moins de plaisir à partager ce repas.


☾☾☾ Eclipse → fin du repas ☾☾☾


De souvenir cela faisait longtemps que Maddox n’avait pas passé un aussi bon déjeuner en la compagnie de quelqu’un d’autre. La compagnie d’Ysölde était vraiment plaisante, d’autant qu’elle s’était détenue durant la durée du repas. Mais bizarrement Maddox ne se sentait pas comme avec les autres jeunes femmes qu’il avait invité à diner. Bon il était vrai qu’elles n’avaient pas l’âge d’Ysölde mais il y avait quelque chose chez cette fille qui était tellement différent, tellement mieux. Malgré ces dix-neuf ans elle faisait preuve d’une maturité qui avait permit à Maddox d’engager plusieurs conversations sur différents thèmes sans qu’elles ne soient larguée en route. Cette jeune femme l’étonnait de plus en plus, ils étaient maintenant à la fin du repas et Maddox regrettait presque qu’ils n’en soient rendu là. La vérité le frappa en pleine face. Il n’avait tout simplement pas envie d’être ailleurs, il appréciait réellement la compagnie d’Ysölde et n’avait pas envie que le repas s’arrête maintenant. Malheureusement le temps était une chose qu’on ne pouvait pas monnayer. Bah, rien ne les obligeait à partir après tout. Ils pouvaient encore rester bavarder des heures avant de se quitter et c’était ce que Maddox espérait. De toute façon Maddox avait déjà réglé la note en prétextant allé aux toilettes. Il avait toujours détesté que quelqu’un paie à sa place et n’allait certainement pas faire payer la jeune femme ! Il était un homme galant après tout. « Et sinon qu’as-tu acheté comme livres dans l’allée des embrumes ? » Maddox était un grand féru de lecteur et cela l’intéressait vraiment de connaître les gouts littéraires de la jeune femme d’autant plus que plus il en apprenait sur elle plus elle l’intriguait. Au delà de sa mission c’était sa propre curiosité qu’il satisfaisait désormais.



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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: What doesn't kill you makes you stronger ▲ MADDÖLDE   What doesn't kill you makes you stronger ▲ MADDÖLDE EmptyJeu 19 Avr - 18:03

La jeune femme n’avait pas eut de chance avec les hommes, alors ne pas avoir d’homme dans sa vie le temps qu’elle se reconstruise lui était apparu comme la meilleure solution. Etre seule, ce n’était pas un mal, c’était un bien parfois, être tout le temps en couple est quelque chose de bizarre, cela faisait un moment que Ysölde n’avait pas été seule, Samwell le dernier en date était aussi étrange que le précèdent ! Lui cela avait été un loup garou, le précèdent avait fini dans les bras d’une autre, miracle… ô douce ironie, Ysölde n’était tombé que sur des crétins. Tout ça pour dire que finalement elle n’avait pas partagé un repas en simple discussion avec un homme depuis pas mal de temps ! elle le vouvoyait, après tout il était professeur plus « âgé » qu’elle, mais en même il n’avait que vingt sept ans tout au plus, ysölde n’accordait pas d’importance à l’âge. Celui-ci lui dit alors : « Puisque nous parlons d’école et que justement nous ne sommes pas à Poudlard je propose que l’on arrête de se vouvoyer, ça fait trop formel. » Tutoyer un professeur ? Cela allait être difficile pour elle, elle peinait déjà à ne plus vouvoyer timothy, alors vous imaginez bien qu’un inconnu comme lui. Elle lui adressa un doux sourire, et acquiesça alors. Oui, s’ils partageaient tout un repas, il valait mieux qu’ils se tutoient, alors… heureusement qu’il était jeune ça allait être plus facile, et jusque là il avait été d’agréable compagnie.

ELLIPSE TEMPORELLE

Elle n’aura jamais cru apprécier autant la compagnie d’un professeur enfin maddox – elle l’appelait comme cela maintenant – il était drôle, sympathique, et intelligent. Ysölde était mature, voir même très mature, elle l’avait toujours été mais quand elle avait quitté le manoir des Wilkes, elle avait grandit d’un seul coup, perdant son innocence en se jetant corps et âme dans un monde qui ne lui avait jamais fait de cadeaux. Elle avait parlé de beaucoup de chose avec Maddox, elle était capable de tenir une conversation d’adulte de façon très sereine, et elle était plutôt brillante, c’était un détail qui n’avait pas vraiment échappé aux professeurs qui avaient pu avoir la sorcière en cours. Entre temps, et après avoir longuement discuté tout au long du repas, il prétexta une excuse pour aller aux toilettes. Hum, elle n’en était pas persuadée, elle était intelligente. Mais elle ne connaissait pas beaucoup de garçon galant qui se serait levé pour aller payer l’addition, elle n’avait pas la science infuse mais elle était assez observatrice, on ne prend pas discrètement son portefeuille pour aller aux toilettes, voyons… sa compagnie était agréable, ysölde avait rarement discuté avec des gens plus vieux, mais l’âge importait si peu finalement, il était drôle, sympathique, et même plutôt charmant ! il revint alors, et dit alors, comme pour reprendre leur conversation : « Et sinon qu’as-tu acheté comme livres dans l’allée des embrumes ? »Elle avait glissé dans la conversation qu’elle adorait les livres. Les livres avaient une odeur bien particulière qui lui plaisait totalement, et à leur rencontre elle avait dit aller chez le libraire, elle n’avait pas menti. Elle adorait vraiment les livres. Avec un sourire, et en le regardant alors – il avait ce regard bleus hypnotisant - : « Et bien, j’ai acheté un livre sur… un vieille exemplaire des Contes de Beadle le Barde en fait, j’ai laissé le mien chez les Wilkes, alors, j’ai dû en acheter un autre, j’adore tellement ces contes, c’est enfantin mais ma mère me les lisait quand j’étais enfant ! J’adore ces histoires, la magie du conte des Trois frères, certaines légendes à propos des fondateurs, cette magie qui habite les contes, j’adore ça ! Je suis qu’une petite fille au fond ! » Elle avait un sourire angélique accroché aux lèvres. Un sourire qui lui donnait un air tellement doux, innocent, et adorable. Elle était belle quand elle souriait. Elle baissa la tête tout en souriant, puis elle se mordit doucement la lèvre inférieur, mon dieu elle venait de dire qu’elle était une enfant, elle se sentait un peu honteuse d’adorer ses contes, pourtant beaucoup de monde les aimait, même les adultes. Elle ajouta alors en relevant la tête, et en passant un peu nerveusement une main dans ses cheveux : « Et puis j’ai acheté quelques exemplaires de divination avancé, je n’aime pas arriver en cours et découvrir le programme, ça fait amateur. » répondit elle avait un grand sourire. Elle était une élève très brillante, et elle l’avait toujours été, elle préférait potasser les cours avant d’y aller, avant même que le cours ne soit traité par le professeur. Elle n’arrivait pas toujours à comprendre, mais au moins elle y avait jeté un œil, et une fois en cours, tout lui paraissait limpide et claire comme de l’eau de roche. Elle était l’élève qu’on adorait, elle était brillante, polie, et bien élevée.
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MessageSujet: Re: What doesn't kill you makes you stronger ▲ MADDÖLDE   What doesn't kill you makes you stronger ▲ MADDÖLDE EmptyDim 29 Avr - 9:07

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La vie de Maddox n’avait jamais vraiment été rose. Ses parents, Rose et Shawn McLaggen n’avaient jamais vraiment été sur la même longueur d’ondes, tant au niveau sentimental qu’au niveau de l’éducation de leur deux enfants. Maddox étant l’ainé, il avait du très vite acquérir le sens des responsabilités compte tenu du fait que son père était souvent absent. Bien entendu, du haut de son enfance, Maddox n’avait jamais été dupe, il savait bien que les excuses que Shawn McLaggen servait à son épouse n’étaient que des mensonges, des foutaises. C’est pourquoi, en grandissant, Maddox ne supportait pas qu’on lui mente. Il avait toujours été très protecteur envers son petit frère, Elliott, s’occupant de lui au mieux, s’acclimatant en quelque sorte déjà au poids des responsabilités parentales. Le lien qui unissait les deux frères était des plus fusionnels, beaucoup de personnes étaient touché de voir à quel point les deux jeunes hommes s’entendait à merveille. Malgré le climat familial des plus instables, Maddox avait toujours su faire conserver un certain ordre dans la petite famille McLaggen. Au plus loin qu’il se souvenait il avait toujours détesté son père, surement car il battait sans remords sa mère, la faisant passer pour une minable. Or si il y avait bien une chose que Maddox avait apprit en vivant la quasi-totalité de son enfance avec Rose c’était qu’elle était loin d’être une imbécile. Sa mère avait toujours été la personne qu’il admirait le plus. Elle était douce, cultivée, intelligente, vive d’esprit et n’avait jamais fait quelque chose qui puisse porter préjudice à ses enfants. Maddox n’aurait put rêver d’une meilleure mère. En repensant à tout ça il ne pouvait éviter de se demander comment elle avait fait pour se retrouver mariée à un connard comme Shawn. Car en plus d’avoir quitté le domicile familial sans un mot, sans une explication, il avait arraché Elliott aux bons soins de Rose et avait privé Maddox de son petit frère, presque un fils pour lui. Outre le suicide de Rose, ça avait surement été une des épreuves les plus rudes que le jeune assistant avait du travail. Rose avait été anéantie. Et voilà que Maddox se retrouvait en compagnie d’une délicieuse jeune femme qui lui rappelait par bien des égards sa chère mère. Elle était belle, il fallait bien qu’elle soit honnête avec lui-même, cultivée, intelligente, mature et adorait la lecture. Rien que par ces quelques caractéristiques Maddox avait été sous le charme de la belle blonde, elle l’intriguait sérieusement. Il n’aurait jamais cru pouvoir tenir une telle discussion avec une élève, Serpentard de surcroit. D’habitude ces élèves étaient arrogants et manipulateurs mais il ne retrouvait aucune de ces caractéristiques chez Ysölde. Mais bien entendu Maddox savait pertinemment que la jeune fille avait traversé de rudes épreuves, et ça, ça pouvait changer un homme, ou une femme en l’occurrence. « Et bien, j’ai acheté un livre sur… un vieille exemplaire des Contes de Beadle le Barde en fait, j’ai laissé le mien chez les Wilkes, alors, j’ai dû en acheter un autre, j’adore tellement ces contes, c’est enfantin mais ma mère me les lisait quand j’étais enfant ! J’adore ces histoires, la magie du conte des Trois frères, certaines légendes à propos des fondateurs, cette magie qui habite les contes, j’adore ça ! Je suis qu’une petite fille au fond ! » Maddox sourit à la remarque de la jeune femme. Il n’avait aucune honte à être un véritable enfant dans l’âme, car lui-même était parfois un brin joueur et gamin. De plus il ne cachait pas que de temps en temps il ressortait son vieil exemplaire de Beedle le Barde, il était comme ça il adorait les contes et la magie, c’est pourquoi il était assistant du professeur d’art de la magie noire d’ailleurs. « Et puis j’ai acheté quelques exemplaires de divination avancé, je n’aime pas arriver en cours et découvrir le programme, ça fait amateur. » Maddox eut un sourire satisfait, Ysölde la surprenait de plus en plus. Peut d’élèves prenait de l’avance sur la matière, ça lui plaisait bien. « Tu es bien courageuse, je ne connais pas beaucoup de personnes qui ferait cela, mis à part les serdaigles… La divination doit vraiment être une matière intéressante. À vrai dire plus nous parlons et plus j’ai du mal à croire que tu t’es retrouvé chez les serpentards… C’est assez déroutant de voir qu’une jeune femme aussi polie, cultivée, simple et humble puisse de retrouver chez les vert et argent. » Maddox était véritablement curieux de savoir pourquoi Ysölde s’était retrouvé là-bas, il était d’ailleurs très étonné que la jeune sorcière la surprenne de plus en plus, et ça n’était pas pour lui déplaire.



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MessageSujet: Re: What doesn't kill you makes you stronger ▲ MADDÖLDE   What doesn't kill you makes you stronger ▲ MADDÖLDE EmptyDim 29 Avr - 14:57

C’était le premier repas complet que prenait la jeune femme, pourtant ce n’était pas faute que sa tante essaie de la nourrir. Oui, celle-ci avait essayé pas mal de chose, ysölde se forçait un peu à manger, mais ce n’était pas encore la fête quand elle mangeait, mais là avec Maddox, elle n’y avait absolument pas pensé, et elle avait mangé comme si de rien n’était, et ce nœud autours de son estomac semblait avoir disparu. La présence de cet homme avait vraiment quelque chose de magique. Enfin, le fait de confesser qu’il y avait quelques choses de magique chez lui (peut être même entre eux), ne venait pas à dire que la jeune femme ressentait quelques choses pour lui, elle n’avait pas envie de se presser sur ce genre d’opinion, ce sont les enfants qui se pressent, Ysölde était une jeune femme mature, suffisamment mature pour réaliser que deux adultes peuvent partager un repas de la sorte en toute amitié. Ils avaient parlé de tout et surtout de rien, et le pire c’est quelle l’avait fait avec une certaine facilité, étonnant pour elle qui vivait toujours avec une sorte de réserve. Mais avec Maddox, c’était comme si cette réserve était inutile, avec lui les choses coulaient de source, comme par magie finalement. Elle lui confessa lire des livres d’enfant et prendre de l’avance sur ses cours, quand il lui dit alors : « Tu es bien courageuse, je ne connais pas beaucoup de personnes qui ferait cela, mis à part les serdaigles… La divination doit vraiment être une matière intéressante. À vrai dire plus nous parlons et plus j’ai du mal à croire que tu t’es retrouvé chez les serpentards… C’est assez déroutant de voir qu’une jeune femme aussi polie, cultivée, simple et humble puisse de retrouver chez les vert et argent. » Elle baissa ses yeux verts en esquissa un petit sourire en relevant la tête vers lui. Elle ne rougissait pas, mais elle était comme embarrassée quand même, il était si gentil avec elle, et dans chacune de ses phrases se glissait un compliment à l’attention de la jeune femme. Elle dit alors : « La divination est vraiment une matière très intéressante, mais en réalité je suis un cursus de médicomagie, et je « suis » les cours de divinations plus par culture, je pense que c’est important de ne pas se borner à l’étude d’un seul domaine ! » elle rougit un peu et dit alors : « Et si, serpentard est ma maison, disons qu’en première année… j’étais une petite fille assez différentes pour beaucoup de raison, j’avais toute ma place chez les serpents. » elle le regarda, il était gentil avec elle, et il lui faisait tant de complément : « Merci pour ces.. enfin merci, au moins je ne suis pas dans le cliché de l’affreuse serpentarde froide, et antipathique ! » Dit-elle avec une certaine malice. Quand elle disait cela, elle ne pouvait s’empêcher de penser à Bellatrix, elle était comme ça, c’était sa « sœur ». Elle rit doucement. Elle avait un rire doux, et chantant. C’étai rare de la voir rire en ce moment. La voix d’ysölde était toujours pourvu d’une certaine douceur, et ce depuis toujours même quand elle voulait ressembler à bellatrix, sa voix restait pourvue d’une certaine douceur. « Par merlin ! Il est déjà cette heure ci ! » Elle regarda Maddox, et ajouta alors : « Je ferais mieux de rentrer normalement c’est à l’heure où ma tante revient et en ce moment elle n’arrête pas de s’inquiéter pour moi, je ne voudrais pas qu’elle se fasse du souci en ne me voyant pas ! » Elle se faisait toujours du souci, elle se faisait du souci parce que les gens qu’elle aimait pouvaient s’en faire pour elle. Elle aimait sa tante, et bien qu’Ysölde soit majeur celle-ci pourrait s’en faire parce qu’elle n’était pas rentré, avec les temps qui courent il n’était pas très bien de se promener dehors. « J’aurais voulu payer ma part, mais tout à l’heure j’ai vu un gentleman le faire pour moi, c’était remarquablement bien élevé. » sa voix était malicieuse, elle avait toujours ce sourire. Qu’on ne se méprenne pas : elle ne le draguait pas. Ils se levèrent tous les deux en même temps, le temps qu’Ysölde attrape son manteau, et son sac. Ils sortirent tous les deux, et Maddox lui tint alors la porte encore une fois. Devant le restaurant, Ysölde dit alors : « Et bien je crois qu’il est temps que je te laisse, c’était très agréable vraiment. Merci beaucoup. » Ysölde était tout le temps polie, réellement, vraiment. Mais avec Maddox elle se sentait terriblement bien, c’était étrange, après tout il était assistant de professeur, heureusement qu’Ysölde était déscolarisé, un repas même amical entre un élève et un assistant ne serait pas forcément vu d’un très bon œil.

Elle s’apprêtait à le laisser, et peut être à lui serrer la main quand une voix retenti dans la ruelle. « Il ne manquerait plus qu’on les laisse se reproduire. » Ysölde fit volte face. Ce type avait sérieusement une tête d’attardé, à en jugé par sa tenu vestimentaire, et celle de ses « camarades », il s’agissait de mangemort, ou du moins de sympathisant. Ysölde avait tiqué en entendant parler de reproduction, pitié non, ne parlons pas de cela. Celui s’approcha alors d’eux baguette à la main, soutenu par un « ami » à lui, qui faisait à peine moins peur. « McLaggen, c’est pas bien de recruté des adeptes pour ton Cercle parmi les fidèles du seigneur des ténèbres, franchement. » Fidèle du seigneur de ténèbres ? il s’agissait bien d’un pion de bas étage, ils avaient dû se croiser une fois, et le nom de Wilkes évoque tout de suite Voldemort, mais Ysölde répliqua alors fermement : « Hey, je suis une adepte de votre seigneur, cancrelat. » oui, bon, elle démarrait au quart de tour, mais qu’on la rattache aux Wilkes ne lui plaisait pas du tout, mais alors pas du tout. Il leva sa baguette, et Ysölde n’aimait pas ça, du tout. Le dit cancrelat rétorqua alors : « Hey poupée, laisse les hommes parler entre eux, et retourne en cuisine. » Ysölde resta muette. Il faisait peur à la sorcière, vraiment, il ne lui inspirait pas confiance du tout, et voir autant de misogynie en un seul homme lui donnait une furieuse envie de frapper au niveau de son entre jambe – le meilleur moyen de frapper un homme dans son orgueil. « McLaggen, j’espère que t’as profité de la jolie blonde parce que tu vas passer un seul quart d’heure, fallait pas nous chercher l’autre fois. » Ysölde le fixa, sa baguette était dans son sac, elle tourna la tête pour chercher le regard de Maddox, quand un sortilège la percuta elle, légèrement, la faisant basculer sur l sol.
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MessageSujet: Re: What doesn't kill you makes you stronger ▲ MADDÖLDE   What doesn't kill you makes you stronger ▲ MADDÖLDE EmptyVen 4 Mai - 17:18

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« La divination est vraiment une matière très intéressante, mais en réalité je suis un cursus de médicomagie, et je « suis » les cours de divinations plus par culture, je pense que c’est important de ne pas se borner à l’étude d’un seul domaine ! » Maddox remarqua que l’épiderme de la jeune femme devenait légèrement plus rouge « Et si, serpentard est ma maison, disons qu’en première année… j’étais une petite fille assez différentes pour beaucoup de raison, j’avais toute ma place chez les serpents. » Visiblement Ysölde n’avait pas envie de s’étaler sur ce sujet. Maddox n’insista donc pas, préférant dévorer du regard la jeune femme. Il était véritablement curieux, la belle Wilkes l’intriguait, le fait que son ami Ashton lui ait demandé de se renseigner su elle éveillait encore davantage sa curiosité. « Par merlin ! Il est déjà cette heure ci ! Je ferais mieux de rentrer normalement c’est à l’heure où ma tante revient et en ce moment elle n’arrête pas de s’inquiéter pour moi, je ne voudrais pas qu’elle se fasse du souci en ne me voyant pas ! » Maddox croyait savoir que la tante en question était Sofia Manccini, une collègue qui enseignait l’anatomie. Il n’avait jamais eu le loisir de beaucoup discuter avec elle mais de ce qu’il avait entendu d’elle, elle paraissait être très gentille. D’expérience Maddox se méfiait des gens d’apparence parfaite, qui avait l’air trop gentil, ce n’était peut être pas le cas de Sofia, il ne savait pas vraiment quoi en penser, mais comme d’habitude il se forgerait une opinion lui-même. « J’aurais voulu payer ma part, mais tout à l’heure j’ai vu un gentleman le faire pour moi, c’était remarquablement bien élevé. » La voix malicieuse d’Ysölde lui réchauffa le cœur, oui Maddox était un gentleman de première, il ne laisserait jamais une gente dame, invitée par lui-même qui plus est, payer la note. Il avait été élevé par une femme qui l’avait grandement sensibilisé à la galanterie, et il comptait bien lui faire honneur. Maddox se leva, enfila son manteau tandis qu’Ysölde faisait de même. Il n’arrivait pas à oublier le sourire de la jeune femme, ce magnifique sourire étincelant, magique. Toujours par galanterie, le jeune assistant tint la porte à la Serpentard, il savait que toutes ces petites attentions avait pour don d’’apprivoiser’ la gente féminine, et son objectif était bien entendu de se rapprocher au maximum d’Ysölde. Mais ce n’était peut-être plus uniquement pour le bien de sa mission auprès d’Ashton. Il aimait sincèrement la compagnie de la belle blonde. « Et bien je crois qu’il est temps que je te laisse, c’était très agréable vraiment. Merci beaucoup. » Maddox lui sourit du mieux qu’il put, il aurait voulu que son entrevue avec Ysölde dure plus encore, mais il comprenait bien que la tante de la demoiselle soit inquiète. « Il ne manquerait plus qu’on les laisse se reproduire. » Cette voix… Maddox aurait juré l’avoir déjà entendue… Mais il n’arrivait pas à mettre le doigt dessus…Cela remontait à loin… Lassé de cherché, il se retourna, pour voir les traits du malotru qui osait les importuner. Les traits grossiers, taillés à coups de serpe, le nez écrasé tel un bouledogue. « Tiens Wheelan, ça faisait longtemps. » Le visage de Maddox se ferma et ses yeux qui, quelques secondes auparavant, trahissait une chaleur bienveillante devinrent froid tel l’acier. Comment avait-il put douter ? Ce ne pouvait être que lui. Depuis l’aube des temps Damian Wheelan et Maddox McLaggen se vouait une haine inconditionnelle. Le premier était le Serpentard de base arrogant, sur de soi, tandis que l’autre était un Gryffondor poli, intelligent, brillant même. Ils ne s’étaient jamais aimés, Maddox s’opposant toujours à Damian lorsque celui-ci menaçait un plus faibles. Récemment encore le jeune assistant l’avait surpris entrain de faire « sa loi » contre une jeune sorcière, surement une qui avait repoussé ses avances ou qui était ouvertement contre vous-savez-qui. Il ne faut pas préciser que Maddox s’était –encore une fois- interposer entre la victime et son assaillant. Ce jour là, Damian était seul, seulement voilà, cette fois ci il avait remmené sa petite bande. « McLaggen, c’est pas bien de recruté des adeptes pour ton Cercle parmi les fidèles du seigneur des ténèbres, franchement. » Maddox glissa lentement sa main dans la poche de son manteau jusque celle-ci entre en contact avec le bois de sa baguette qu’il attrapa fermement, dissimulant toujours à ses assaillants que lui aussi était en possession de sa baguette. Il n’avait pas du tout apprécié la remarque de ce crétin d’adorateur de Voldemort, il essayait néanmoins de conserver la tête froide, se déplaçant le plus possible pour faire rempart entre Ysölde et ces abrutis de mangemorts. « Hey, je suis une adepte de votre seigneur, cancrelat. » C’est qu’elle avait de la répartie la jeune femme ! Néanmoins Maddox avait vraiment peur que quelque chose ne lui arrive, et ces craintes furent confirmées quelques secondes plus tard par la voix grave d’un des « amis » de Damian. « McLaggen, j’espère que t’as profité de la jolie blonde parce que tu vas passer un seul quart d’heure, fallait pas nous chercher l’autre fois. » « Ne la touchez pas, elle n’a rien avoir avec moi. » Maddox eut un rictus d’effroi quand il vu le sortilège de l’affreux percuter Ysölde, qui tomba à terre. Aussi tôt cela fait qu’il recevait un sortillège qui entailla profondément son thorax, la plaie ne paraissait être pas d’une gravité extrême mais tout de même, il tomba à genou, le souffle coupé par le choc. Il profita du fait que son agresseur –visiblement fier de son coup- ne le regarde pas pour sortir sa baguette et le stupéfixier. Son sang battant dans ses tempes. Il n’en revenait pas : ces trois abrutis avaient osés s’en prendre à Ysölde. Il se fouttait pas mal d’avoir été touché, même si la douleur était vive. Les deux autres, surpris de la contre-attaque de Maddox n’eurent pas la présence d’esprit de riposter et le jeune assistant en profita pour les désarmer. Il était en colère. Ces trois malfrats avaient osé toucher Ysölde. Il ramassa leurs baguettes et en profita pour voler celle du mangemort qui avait été stupéfixier quelques instants auparavant. Celui-ci commençait à revenir à lui. « Filez. » Siffla-t-il, haletant. La douleur était lancinante et il se faisait du souci pour ysölde. Une fois les trois bandits ayant transplanés, Maddox s’agenouilla près d’Ysölde, assez inquiet. « Ça va, tu n’a rien ? » La douleur se faisait de plus en plus vivace, arrachant à Maddox une grimace de souffrance. Il n’avait jamais fait d’étude de médicomagie, contrairement à Ysölde mais cela ne semblait annoncer rien de bon. Au moins, Ysölde était sauve et c’était tout ce qui comptait à ses yeux. « Je suis vraiment désolé » Balbutia-t-il, il était vraiment confus, tout était de sa faute, jamais il n’aurait du inviter la jeune femme, même s’il avait adoré sa compagnie.



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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: What doesn't kill you makes you stronger ▲ MADDÖLDE   What doesn't kill you makes you stronger ▲ MADDÖLDE EmptyVen 4 Mai - 21:57

La jeune femme méprisait la violence. Elle était douce, drôle, et souriante de nature. Enfant, elle était joviale, drôle, espiègle, mais cela avait bien changé avec les années. Elle s’était renfermée, totalement en grandissant avec son père, sa sœur, et son frère. Elle avait un peu perdu sa joie de vivre, et en pouvant se retrouver loin de sa « famille », elle recommençait un pu à vivre, doucement. Elle était douce, et avait quelques ennemis, pas des ennemis qui iraient jusqu’à vouloir sa peau dans la rue, enfin si, peut être qu’Amadeus voudrait sa peau. Ysölde avait eut des problèmes dans sa scolarité, notamment avec pas mal de serpentard qui aujourd’hui aimeraient bien avoir sa peau. Mais Ysolde n’avait jamais eut des contentieux avec des gens au point de se faire apostrophé au détour d’une rue à coup de sortilège. Bien sûr, elle n’était pas dans la vraie vie, elle n’était qu’une élève, elle n’était pas encore dans le monde, alors que Maddox lui avait une vie hors de Poudlard, une vraie vie, il avait des ennemis, une histoire, des contentieux, un passé finalement. Cet homme et lui avait l’air de ne pas s’aimer. « Tiens Wheelan, ça faisait longtemps. » Le ton de sa voix faisait… peur. En cet instant, Maddox semblait différent, et très froid avec cet homme, ce… Wheelan. Ils avaient franchement l’air de se connaitre, à vu de nez, ils devaient avoir sensiblement le même âge, mais Ysölde ne connaissait pas l’âge de Maddox, elle ne le lui avait pas demandé, mais ça ne la regardait pas franchement l’âge qu’il pouvait avoir. Elle était élève, c’était différent, la neuvième année signifie forcément dix neuf ans c’est cohérent, mais difficile de connaitre l’âge d’un professeur. Ysölde avait de la répartie, elle en avait toujours eut, même si au fond elle était une personne gentille, profondément gentille, mais pas forcément sans caractère, mais elle savait se défendre, et elle savait répondre ! c’était certain qu’avoir du répondant n’était pas forcément une bonne chose à longueur de temps, mais elle n’aimait pas se laisser marcher dessus, cela lui était arrivé pendant dix ans. Elle avait peur, c’était légitime, non ? « Ne la touchez pas, elle n’a rien avoir avec moi. » La jeune femme n’eut pas le temps de dire quoi que ce soit, ou même de regarder Maddox. Elle fut percuté par un sortilège qui la fit tomber sur le sol. Sur le coup, elle eut comme le souffle coupé, peut être le choc du sortilège. Elle tomba sur les pavé, la tête la première, sans avoir le reflexe de mettre ses mains en avant pour diminuer le choc. Après tout, elle n’avait pas vu venir ce sortilège, sinon elle aurait pu faire un mouvement, n’importe lequel pour éviter ce foutu sort. Elle ferma les yeux, comme pour encaisser le choc. Lorsqu’elle rouvrit les yeux, quelques secondes plus tard elle vit Maddox percuté par un sort, puis celui-ci sembla tomber à genoux. Elle était sonnée sur le coup, comme incapable de bouger et de reprendre ses esprits. Ce n’était pas une douleur qui la maintenait au sol, non, mais le sortilège l’avait scotchée au sol, et elle vit Maddox saisi sa baguette, et stupéfixié l’un des hommes. Puis, elle cru remarquer qu’en en coup de baguette, il les avait désarmé, celui-ci semblait nettement plus apte à se battre qu’elle ne l’était. Sa baguette était dans sa veste, et elle n’avait pas encore eut le temps de la saisir. Maddox siffla alors : « Filez. » CRAC, CRAC, CRAC. Les trois hommes avaient alors transplané, et la jeune femme ne se sentait pas pour autant plus en sécurité. C’est alors que Maddox s’agenouilla auprès d’elle et dit alors : « Ça va, tu n’a rien ? » La jeune femme parvint à s’asseoir sur le sol. Elle posa une main sur son front, et regarda alors ses doigts, un peu de sag, après tout sa tête avait cogné sur le sol en premier, rien qu’une petite égratignure, juste une petite, elle bafouilla alors : « Ca va, je n’ai rien c’est juste une égratignure, j’arrangerais ça en rentrant, ma tante a des pommades cicatrisantes. »Ysölde était étudiante en médicomagie, et elle savait exactement quoi faire dans ce genre de situation, mais pourtant, hors de question d’en parler à sa tante, avec un peu de chance cela provoquerait une fausse couche si la jeune femme lui disait ce qui s’était passé, et c’était le dernier souhait de la jeune femme. Elle le regarda. Elle était troublé, et quelques part elle lui en voulait. C’était stupide comme idée, mais elle lui en voulait presque qu’il l’ai invité. Elle lui en voulait sans savoir pourquoi. Il dit alors : « Je suis vraiment désolé »Il avait l’air de l’être sincèrement, en croisant son regard, Ysölde cru décelé peu être une grimace de douleur, après tout, lui aussi avait été frappé de plein fouet par un sortilège. Elle bougea un peu, et retint une grimace, elle avait mal aux côtes, rien de grave, sans doute la chute. Elle le regarda et lança un : « ca va c’est bon, c'est rien. », un peu sec. Elle était sèche, pourquoi ? elle ne le savait pas vraiment. La jeune femme scruta le jeune homme, et dit simplement : « Tu es blessé. » en fait, ce n’était pas franchement une question, il s’agissait là d’une simple affirmation, elle n’était pas stupide, et la médicomagie elle l’avait dans le sang, avec sa tante, elle était capable de guérir quelqu’un, de façon basique.elle était une brillante élève et douée. Elle le regarda alors, dans les yeux. Elle n’était plus comme avant, c’était certain, ce qui venait de se passer avait quelque chose d’angoissant, et de traumatisant, même si franchement elle avait nettement vu pire dans sa vie. Elle s’assit alors, et sorti sa baguette, avant de dire à maddox avant qu’il ait pu dire quoi que ce soit : « Laisse-moi faire, et ne bouge pas. » C’était un peu comme un ordre, Ysölde avait cette facette un peu « autoritaire » parfois, mais là c’était pour son bien à lui, elle était partager entre l’envie de prendre ses jambes à son cou, et l’aider, peut être que ces crétins allaient revenir, ils étaient vraisemblablement assez stupide pour revenir à l’assaut encore plus nombreux. Le mangemort ne pense pas, il agit, et ces types avaient tout à fait l’air de l’être. Sans crier gare Ysölde entrouvrait la veste de Maddox, du sang. Elle ne tournait pas de l’œil à la vue du sang, encore heureux. Une mauvaise blessure. Elle l’observa soigneusement, elle était assez méticuleuse dans ce qu’elle faisait. Ce n’était qu’une vilaine blessure faite par un sortilège, hélas, elle n’avait pas forcément de quoi le soigner sur place, elle sorti sa baguette, et murmura un sortilège qui avait pour but de nettoyer la blessure, puis elle réfléchie alors à mi-voix, fouillant dans son sac. Quand elle exerçait son métier, elle était dans un autre monde. De son sac elle sorti une petite fiole qu’elle avait été acheté sur le chemin de traverse plus tôt dans la journée. Elle la lui tendit et dit alors : « Bois-ça, ça devrait aller mieux. » elle était de nouveau douce, elle le regarda boire, et il avait de quoi grimaçant, cette chose avait un goût atroce, et elle acheva ses soins avec sa baguette. Avant d’ajouter : « Tu devrais aller voir le docteur Windsor quand tu rentreras à Poudlard, ça devrait être bon, mais on ne sait jamais. » elle se leva alors, la proximité qu’elle avait eut en le soignant l’avait un peu gêné, parce que… Parce que c’était comme ça. Ysölde n’avait jamais été gêné en cours de médicomagie, mais là, c’était totalement différent. Elle grimaça légèrement en se levant, un mal aux côtés, et sa plaie à la tête, rien d’alarmant cependant, elle était le plus à même de jugé de cette situation, vraiment, plus que lui ne l’était, son domaine était la magie noire, par la médicomagie. Enfin, maintenant qu’elle y pensait un homme qui flirt avec la magie noire, c’est effrayant, et attirant en même temps. « Tu vas arriver à rentrer chez toi ? » Elle retrouva sa voix douce, et délicate. Il était légitime qu’elle s’inquiète un peu pour lui, quand même. Elle l’aida doucement à se relever en lui tendant une main qu’il saisit. Elle ne lui avait pas vraiment laissé le temps d’en placer une, parce qu’elle ne voulait pas qu’il parle, qu’il se taise pendant qu’elle le soignait délicatement. Qui n’aurait pas rêver d’avoir une infirmière telle Ysölde, celle-ci était restée très calme. « Je devrais y aller… enfin… oui. » elle bafouillait sans savoir pourquoi, la présence de Maddox était tout à coup perturbante, comme si l’adrénaline retombait d’un coup, elle réalisait qu’il venait de la sauver, malgré tout, « Merci pour… » elle n’eut pas le temps de finir sa phrase qu’un CRAC, suivit de quatre autres virent les tirer des leur conservation, et elle avait l’étrange sensation que les hommes de tout à l’heure n’en avaient pas finit avec Maddox, et avec elle par la même occasion. « Ca en serait presque touchant. McLaggen, je crois que nous allons devoir t’apprendre à ne plus défier le seigneur des ténèbres et ses réprensentants. » Il fit un signe de tête à deux de ses « hommes de main », Ysölde aurait voulu s’interposer, mais elle n’était pas de taille, trop frêle, et quand un homme s’approcha pour lui saisir le poignet celle-ci lâcha sa baguette sur le sol, et il ne la lâcha pas. Il la maintenait fermement, tandis que deux des autres hommes avaient décidé de faire passer une sale vrai quart d’heure à maddox, l’un le poussa violemment au sol. La potion qu’ysölde lui avait donnée, devait lui permettre d’être un peu plus lucide, car elle atténuait un peu la douleur. Elle gémit un simple : « Mais laissez-le ! » de coup de pied, et encore des coups. Elle le voyait souffrir, vraiment. Elle ne voulait pas le voir souffrir, e type la tenait dans ses bras, l’empêchant de jouer. L’homme qui la tenait être repoussant, mais c’était ce fameux Wheelan, elle fourra sa tête dans la chevelure de la blonde, et lui murmura assez fort pour que Maddox l’entende : « Hum, quel parfum ma jolie. » Elle grimaça et se débâti alors. Il fallait qu’ils arrêtent, Maddox étaient mal en point, elle s’en fichait, elle allait bien, cette douleur au front allait passer, et ses côtes lui faisaient mal, mais ça irait, Maddox avait besoin d’aide lui.

HJ : je me suis lâchée, désolée. Arrow j’aurais cent milles autres choses à ajouter, mais je vais te laisser le faire.
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MessageSujet: Re: What doesn't kill you makes you stronger ▲ MADDÖLDE   What doesn't kill you makes you stronger ▲ MADDÖLDE EmptyMer 30 Mai - 14:38

    Maddox ne put s’empêcher de pousser un soupire de soulagement lorsqu’il entendit le crac sonore caractéristique du transplanement. Ce Wheelan avait la rancune tenace, et c’est donc tout naturellement que le jeune assistant s’attendait à des représailles. Mais bizarrement cela n’avait pas grande importance à ses yeux. Pas qu’il soit imprudent, que du contraire. Maddox savait pertinemment que s’il était arrivé malheur à Ysölde, il n’aurait jamais put se le pardonner. « Ca va, je n’ai rien c’est juste une égratignure, j’arrangerais ça en rentrant, ma tante a des pommades cicatrisantes. » Il tenta vainement de sourire, ce qui ne fit que renforcer la douleur lancinante qui lui sciait les côtes. « ca va c’est bon, c'est rien. », Maddox perçut bel et bien la sécheresse de la voix de la jeune Serpentarde. Après tout, c’était belle et bien de sa faute, ils avaient eu de la chance, Ysölde n’avait pas été sévèrement blessé, et aucun des deux n’étaient morts. « Tu es blessé. » Cela ne ressemblait pas du tout une question. C’était une affirmation. Maddox n’avait ni le courage ni l’envie de démentir, oui il était blessé, oui, chaque bouffées d’oxygène était une vraie torture. Pourtant Maddox essayait de ne pas s’inquiéter. Il avait déjà été blessé au cours de duels mais il était vrai qu’il sentait ses forces diminuer de plus en plus vite. « Laisse-moi faire, et ne bouge pas. » le ton autoritaire d’Ysölde plut à Maddox. Il aimait les femmes avec du caractère et la jeune Wilkes semblait ne pas en manquer. Il se laissait donc faire, scrutant sans gêne le visage de la jolie blonde. Il sentait qu’elle lui en voulait, et il la comprenait parfaitement. Tout était de sa faute à lui. Mais malgré cela il espérait qu’elle parviendrait à lui pardonner, à faire abstraction du tort qu’il lui avait fait. « Bois-ça, ça devrait aller mieux. » Ysölde lui tendit un breuvage qu’il s’empressa d’avaler, non sans réprimer une mimique de dégout lorsque le gout âpre du remède se fit sentir « Tu devrais aller voir le docteur Windsor quand tu rentreras à Poudlard, ça devrait être bon, mais on ne sait jamais. » Maddox soupira, qu’allait dire le professeur Windsor en le voyant dans cet état ? « Tu vas arriver à rentrer chez toi ? » La voix d’Ysölde était de nouveau douce et chaleureuse. Malgré le fait qu’il ne pouvait pas en placer une, Maddox n’avait pas envie de la quitter maintenant, elle était tel un aimant qui l’attirait irrésistiblement. « Je devrais y aller… enfin… oui. » Le ton de la voix de l’étudiante indiquait qu’elle était assez perturbée. Était-ce la présence de l’assistant ? Maddox avait conscience de l’attirance que certaines femmes ressentaient pour lui, et il lui arrivait souvent de jouer de ses charmes même si il ne s’engageait que dans des relations durables. Plusieurs fois l’amour l’avait déçu, mais il n’avait jamais cessé de croire en lui. Il attendait juste la bonne personne. « Merci pour… » Ysölde n’eut pas le temps de terminer sa phrase, car cette dernière fut coupée par un horrible craquement qui n’augurait rien de bon. Maddox n’eut pas besoin de voir l’affreux visage de Wheelan pour savoir que c’était lui et qu’il avait rameuté ses amis mangemorts. « Ca en serait presque touchant. McLaggen, je crois que nous allons devoir t’apprendre à ne plus défier le seigneur des ténèbres et ses représentants. »

    Maddox n’entendait plus rien. Le sang lui battait aux tempes. Il essayait vainement d’ouvrir les yeux, malheureusement les chocs continus que lui attribuaient ses agresseurs le forçaient à garder les yeux fermés. Il sentait chaque parcelles de son corps lui crier de s’enfuir, de crever. Seul une voix retentissait dans cette pénombre inquiétante. « Mais laissez-le ! » Il ne pouvait partir car Ysölde était là. Il ne pouvait l’abandonner. Il ne pouvais rien faire à part attendre que la colère de ces hommes cessent. Les minutes lui semblaient des heures. Et enfin quand ils s’en allèrent Maddox put ouvrir les yeux. Il avait mal partout, aucun membre de son corps n’était épargné. Le fait qu’Ysölde le voit dans cet état le peinait vraiment. La potion qu’elle lui avait administrée atténuait un peu la douleur et il trouva la force de se relever, il fut soulagé de constater que la belle n’avait rien, néanmoins il s’en voulait terriblement de lui faire courir tant de risques. « Je pense que vous devriez rentrer chez vous Miss Wilkes » Dit-il en essayant de prendre son ton le plus désagréable. « Il serait préférable de faire comme si nous ne nous soyons jamais croisé. Au revoir Miss.» Continua-t-il sur un ton glacial. Cela lui fendait le cœur mais il ne pouvait faire autrement que de se montrer désagréable. Il lui fallait l’éloigner, la protéger. Dans un crac sonore il transplana, tant bien que mal.



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