Le Deal du moment : -20%
Ecran PC GIGABYTE 28″ LED M28U 4K ( IPS, 1 ms, ...
Voir le deal
399 €

Partagez | 
 

une bonne nouvelle ♫ ysolde

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Invité





une bonne nouvelle ♫ ysolde Vide
MessageSujet: une bonne nouvelle ♫ ysolde   une bonne nouvelle ♫ ysolde EmptyDim 22 Avr - 13:14

J'attendais dans mon tour. J'avais beau être médicomage je n'aimais pas aller chez eux parce que ça voulait dire que j'étais malade. En plus je ne me sentais pas du tout malade. J'étais juste très fatiguée. Alors pour une fois dès le début de mes symptômes je suis allée directement le voir. Ce qui m'embête le plus c'est que je connais mon médicomage comme nous avons travaillé plusieurs fois ensemble. Le plus difficile c'est de se confier aux personnes que l'on connaît le mieux. On a toujours peur de les blesser ou alors de les ennuyer. C'est pour cela que je n'allais pas souvent le voir mais aujourd'hui je n'avais pas vraiment le choix. Il m'avait dit qu'il avait reçu les résultats de ma prise de sang et je voulais savoir ce qu'il en était. J'attendais alors et j'avais la désagréable impression que tout le monde me regarder. Quand il prononça mon nom, je me suis aussitôt levée pour aller dans son bureau sans même regarder mon collègue. Et bien tu as l'air tracasser. Dis moi les résultats vite. Toujours aussi impatiente. Il se mit à rire et il s'assit à son bureau comme si rien n'était. Je soupirais et m'asseyais moi aussi pour qu'il me dise enfin ce que j'avais. Bon je ne vais pas y aller par quatre chemins, tu es enceinte Sofia. Et il continuait à me parler alors que moi j'étais déjà à des milliers de kilomètres de là. J'étais chez les anges. J'étais vraiment heureuse. Il fallait que je le dise à tout le monde. Il fallait que je rentre chez moi ou plutôt que j'aille à Poudlard pour le LUI dire. J'étais tellement heureuse tout simplement que je ne tenais plus en place. Je me levais pour prendre mon ami dans mes bras puis je sortais de son bureau le sourire aux lèvres. Dès que je quittais l'hôpital je transplanais chez moi pour y déposer les résultats de mon analyse de sang.

♫♫♫♫♫♫♫♫♫♫♫

J'ouvrais la porte du cottage et pour une fois je ne criais pas quand Léo me sauta dessus. J'eus un petit mouvement de recul quand même mais je ne l'avais pas stupéfixer ce qui était un réel exploit pour moi. Mes yeux se posèrent alors sur un livre qui normalement aurait du être rangé dans notre bibliothèque. Je le prenais entre mes mains et je savais très bien qui l'avait laissé là. Je prenais donc la direction des chambres pour aller voir ma nièce. Je l'avais un peu obligée à venir vivre à la maison avec nous. Elle avait emménagé dans une des nombreuses chambres du cottage. Je toquais à sa porte puis je rentrais dans sa chambre. Elle avait été très affectée par ce maudit bal du ministère ; Son soit disant père avait été plus que dur avec elle et elle n'en était pas sortie indemne. Je sais qu'elle n'aime pas se plaindre alors je la laissais vivre à son rythme et reprendre peu à peu le dessus. Je m'approchais d'elle pour lui faire la bise et je lui souris avant de lui dire toute contente : Je suis enceinte. Je me retournais pour rire. J'étais heureuse et j’espérais que cette nouvelle lui donnerait du baume au coeur.
Revenir en haut Aller en bas
Ysölde M. Wilkes McFays
Ysölde M. Wilkes McFays


fondatrice -  prefète de serpentard, attention à vous, je peux éviter la retenue... ou pas.

first Log-in : 29/06/2010
parchemins : 8416

une bonne nouvelle ♫ ysolde Vide
MessageSujet: Re: une bonne nouvelle ♫ ysolde   une bonne nouvelle ♫ ysolde EmptyDim 22 Avr - 16:52

Le Gala du ministère, cela avait été l’enfer. Cela avait plutôt bien commencé, une petite discussion avec Duncan, qui désormais était un ami, enfin, oui, elle n’espérait plus rien avec lui, et surtout ne voulait plus rien. Au départ ses affaires de cœurs avaient occupé le centre de son attention, elle avait même évité Samwell, puis elle s’était prise la tête avec Evander, son ami d’enfance. Puis les choses avaient soudainement très mal tournée. Cela peut paraitre curieux qu’une fille comme Ysölde accorde autant d’importance à ses histoires de cœur, mais… elle n’avait pas vraiment eut de vraie famille. Son père était un monstre, sa sœur une cinglé, elle n’avait retrouvé Sofia que depuis peu, donc elle avait toujours accordé de l’importance aux relations qui pouvaient lui apporter un soutien, et ce quel qu’il soit, surtout sentimental. Mais le bal l’avait achevé, c’était comme un coup de grâce porté par les Wilkes pour achever leur bâtarde. Après s’être fait frappé physiquement, c’était son moral qui était au fond du gouffre, et elle avait passé les deux jours suivant le gala en larmes. Ysölde n’avait pas la larme facile, mais en fait elle était de plus en plus fragile, à mesure que son monde s’écroulait. A ce stade, Ysölde n’avait plus aucun repère, plus rien. Avant elle avait toujours le repère de la famille Wilkes, mais désormais elle les haïssait tellement. La sorcière avait été dans l’incapacité de retourner à Poudlard, elle n’en avait pas envie, elle ne voulait pas sortir de chaque cours pour pleurer. Alors les Sweetlove l’avaient accueillit sous leur toit, et heureusement, sinon Ysölde ne savait même pas où elle aurait pu aller. C’était certain qu’Alecto l’aurait volontiers accueillit, mais sa famille semblait avoir assez de problème avec leur apparente appartenance au Cercle, et Ysölde n’avait pas encore questionnée son amie à ce sujet, elle n’avait pas franchement eut envie de la questionner. Sofia lui avait trouvé une chambre dans leur Cottage. Elle avait eut de la chance, vraiment, elle était bien logée, sauf qu’elle ne sortait pas beaucoup de sa chambre. Elle était mal coiffé, et n’était sortie que la veille pour aller acheter des livres, et des potions de sommeil, d’ailleurs c’était sa plus longue sortie depuis longtemps, elle avait rencontré quelqu’un en y allant, puis ils avaient été déjeuner. Elle n’avait pas quitté son lit depuis ce matin. Elle avait une queue de cheval mal faite, et un t-shirt et un short, et au pied une paire de chaussette en laine bien chaude, une tenue de grasse matinée sauf qu’il était l’après midi… voir la soirée. Elle était assise en tailleur sur son lit, avec une mine sombre sur le visage, et elle lisait paisiblement un exemplaire des contes de Beadle le barde qu’elle avait été acquérir la veille. Elle avait l’air plus reposée que la veille, mais c’était seulement grâce à la potion qu’elle avait acquise la veille, sinon ses nuits étaient pleines de cauchemars et de mauvais rêve. Cette nuit, elle s’était reposée pour la première fois depuis pas mal de temps. Les potions venaient d’une petite potionniste de l’allée des Embrumes, et c’était la seule chose pouvait calmer la jeune femme. Elle lisait le conte des trois frères quand soudain on toqua à la porte de sa chambre, et Sofia entra alors. Sa tante, la sœur de sa mère. Ysölde ne parlait pas beaucoup de sa mère, elle savait peu de chose d’elle, si ce n’est qu’aujourd’hui, elle aurait trente quatre ou trente cinq ans, elle était morte si jeune, elle avait gâché sa vie si jeune. On ne devrait pas avoir d’enfant à tout juste dix huit ans. Ysölde était même plus âgé que sa mère, à dix huit ans, elle n’aurait jamais pu assumer un enfant. Sa tante lui dit alors la bise, et visiblement radieuse, elle lui annonça : Je suis enceinte. Ça pour une nouvelle, c’est une nouvelle. Elle semblait tellement heureuse, au moins une personne heureuse dans ce monde, au moins une. Quand elle y pensait Ysölde savait que Lukas était né il n’y avait pas si longtemps, mais s’ils aimaient alors les choses étaient comme il fallait qu’elle le soit. Ysölde ferma alors son livre et essaya d’adresser un sourire à sa tante – elle y parvint ce qui relevait un peu de l’exploit, hier elle avait sourit pendant tout un repas pour la première fois, mais là après s’être forcée le sourire était sincère, elle dit alors : Oh par Merlin, Sofia c’est fantastique ! je suis tellement heureuse pour vous ! Oui, elle l’était, elle arrivait même à sourire, donnant un calme apparent, même si au fond c’était la panique totale depuis des jours. Elle était heureuse pour eux, tellement heureuse, elle allait être cousine, une nouvelle fois, elle adorait déjà ce beau petit Lukas. Pour ce qui est des enfants, Ysölde n’y avait jamais vraiment songé… c’était encore loin. Mais après, lorsque l’on trouve la bonne personne, alors peut être que c’est envisageable, mais pour Ysölde ça ne serait pas demain la veille, sa vie sentimental était un pur Chaos, samwell appartenait au passé, duncan appartenait au passé, Graeme appartenait au passé, sa vie sentimental appartenait au passé, mais l’avenir ne l’inspirait pas, elle avait beau trouvé un assistant de professer très charmant, cela s’arrêtait ici. Elle posa doucement ses mains sur son livre – Ysölde avait toujours besoin d’avoir les mains occupées – et demanda alors à Sofia, comme en complément : Tu le sais depuis quand ? Cela montrait qu’elle s’y intéressait, au moins, cela lui occupait l’esprit, quand elle s’intéressait à cela, elle n’était pas entrain de se morfondre.
Revenir en haut Aller en bas
Invité





une bonne nouvelle ♫ ysolde Vide
MessageSujet: Re: une bonne nouvelle ♫ ysolde   une bonne nouvelle ♫ ysolde EmptyDim 22 Avr - 20:02

Oh par Merlin, Sofia c'est fantastique ! Je suis tellement heureuse pour vous ! Elle me souriait. C'était le premier sourire que je voyais sur le visage de ma nièce depuis des jours. Cela me fit sourire de plus belle. Je m'asseyais sur son lit pour la prendre spontanément dans mes bras. Il fallait qu'elle comprenne que nous étions une famille, elle et moi. Nous étions du même sang et elle n'avait rien du tout d'une Wilkes bien au contraire. Elle n'avait même pas une goutte de leur sang. Je ne savais pas si elle était au courant de cela mais avant de dire quoi que se soit il allait falloir que je discute avec son véritable père. J'avais ma nièce à ma charge et maintenant qu'elle était entrée véritablement dans ma vie je ne voulais plus la laisser tomber. Je voulais qu'elle se sente enfin en famille. Tu le sais depuis quand ? Je rougissais un peu et je me torturais les mains. C'était une réaction de gamine je savais mais j'étais comme cela. Je finissais par la regarder droit dans les yeux pour lui répondre. Et bien je le sais depuis maintenant une petite demi heure. Je souriais tout simplement et j'ajoutais sur le ton de la confidence : Tu es même la première personne à qui je le dis... Par contre il ne faut pas que tu le dises à Timothy sinon il va râler. Après tout c'est lui le papa et j'aurais du le lui dire en premier. Mais à bien y réfléchir il n'avait qu'à être là. Je riais tout simplement de ma réflexion mais aussi de mon discourt. Je parlais toujours beaucoup pour ne pas dire grand chose. En fait je ne peux pas renier mes origines italiennes même si je le voulais. Je parle avec les main et je crie fort. A bien regarder ma nièce j'étais certaine qu'elle criait aussi très fort, sûrement l'héritage de notre famille, ma mère était comme cela, ma soeur aussi et ma nièce aussi. Force était de constater que nous étions des femmes de caractère dans la famille. Mon regard se posa alors sur la commode d'Ysolde. Elle y avait posé le collier que je lui avais donné au bal. Elle devait en garder un mauvais souvenir mais je ne voulais pas qu'elle le laisse de côté. C'était le seule chose qu'elle avait de sa grand mère et je ne voulais pas qu'elle le laisse de côté. Je prenais le collier entre mes doigts et je lui mettais autour de son cou. Je m'asseyais dans son dos et je la prenais dans mes bras. Je caressais doucement ses cheveux. J'avais tellement envie qu'elle soit bien avec nous. Elle était ma seule famille vivant encore ici bas donc je ne voulais pas la perdre. Tu sais que tu peux tout me dire et tout me demander. Je ferais en sorte que tout se passe bien pour toi. Je restais un moment à le serrer dans mes bras. Je m'étais vraiment prise d'affection pour elle. Dire qu'au tout début elle ne voulait même pas entendre parler de moi et maintenant elle était dans ma maison sous ma protection. Puis une idée me vient en tête. Je ne savais pas si ça lui plairait mais comme dirait les moldus qui ne tente rien n'a rien. Je la faisais se retourner vers moi et je lui remettais une mèche de cheveux en place. J'en faisais surement un peu trop. J'en convenais aisément. Mes hormones devaient beaucoup me travailler mais je pouvais affirmer que je serais aussi protectrice et câline avec elle même si je n'étais pas enceinte. On m'avait toujours appris qu'il fallait protéger sa famille avant de protéger sa propre vie et aujourd'hui ma famille se composait de Timothy, de Lukas, d'Aurora, de mon enfant à naître et de ma nièce Ysolde. Je prenais une grande inspiration avant de lui dire très rapidement : Tu voudrais être la marraine de cet enfant ? Bien entendu je devrais en parler avec Timothy mais je ne pense pas qu'il y voit d'objection. Avant de lui en parler j'aimerai savoir si tu veux ou pas être la marraine. Je le regardais tout simplement. Elle avait le choix de me dire oui ou non. Je ne lui en voudrais pas si elle ne voulait pas. Après tout elle n'avait jamais connu de vrai famille donc je ne vexerais pas si elle me disait non.
Revenir en haut Aller en bas
Ysölde M. Wilkes McFays
Ysölde M. Wilkes McFays


fondatrice -  prefète de serpentard, attention à vous, je peux éviter la retenue... ou pas.

first Log-in : 29/06/2010
parchemins : 8416

une bonne nouvelle ♫ ysolde Vide
MessageSujet: Re: une bonne nouvelle ♫ ysolde   une bonne nouvelle ♫ ysolde EmptyMar 24 Avr - 12:21

Ysölde n’avait qu’une sœur, et un frère, et sincèrement, elle ne portait pas sa sœur Bellatrix dans son cœur, et elle avait adoré Ramsey, mais il était mort beaucoup trop tôt. Elle était contente que Lukas ait un frère, ou une sœur, quand on en a on peut alors se sentir moins seul en grandissant, ou trouver un soutien parfois, même si Ysölde n’avait jamais pu compter sur aucuns de ses frères et sœurs, les Wilkes étaient d’un genre tout à fait particulier, tout à fait particulier, la famille n’était pas franchement une priorité. Ysölde se souvenait être allé pleurer auprès de Bella une fois, et elle s’était faite expédié comme la peste. Elle avait été une enfant très fragile, même après la mort de sa mère, et ce n’était pas sa sœur qui l’avait aidé à surmonté ça, il fallait noté qu’à la mort de sa mère elle avait perdu repère, et souvenir, et aucun des Wilkes n’avait jamais fait l’effort d’aider la petite dernière. Alors, la notion de famille pour Ysölde était un peu erronée, mais Sofia avait contribuée à redorer ce blason aux yeux de la sorcière blonde. Sofia était la sœur de sa mère Amelia. Et d’après ce qu’avait vu Ysölde de sa mère elles étaient semblable, d’ailleurs Ysölde ne tenait pas grand-chose de sa mère, sauf peut être ses yeux, et son caractère assez… dur parfois. Il fallait de la force et de la volonté pour arriver à dicter quelques choses à la jeune femme, mais en gagnant sa confiance, on pouvait y arriver. Et sofia commençait à avoir beaucoup d’importance dans la vie de Ysölde, celle-ci lui faisait confiance, et c’était une chose rare dont il ne fallait pas se jouer. Ysölde n’accordait pas facilement sa confiance, et surtout une fois qu’on l’avait perdu, il était quasi impossible de la retrouver. Mais, jamais Sofia n’avait fait quoi que ce soit qui puisse montrer une quelconque trahison, et la jeune femme commençait à avoir foi en ce concept de famille, de vraie famille, parce que les Wilkes avaient tout simplement placé la barre très bas, et après le gala l’estime qu’elle avait pour eux – le peu d’estime qu’il restait – avait été réduit à néant, plus jamais elle ne voulait avoir à faire à eux. Elle avait peur de prendre trop de place dans la famille de Sofia, une jeune femme pudique, et peu expansive, voici ce qu’elle était. Elle avait du mal à faire partie d’un groupe, d’une famille, de peur de déranger, tout le temps. Mais elle était heureuse d’être là, heureuse que Sofia soit enceinte. Le petit Lukas allait connaitre les joies de la fraternités, et chez les Sweetlove, cela serait une vraie famille, simplement une vraie famille.

Ysölde avait posé une question à sa tante, pour faire la conversation – en ce moment cela relevait un peu de l’effort pour elle. Celle-ci rougit un peu, et à la manière d’une enfant elle jouait avec ses mains. C’était donc ça les hormones, cette chose capable de faire retomber une femme en enfance, ou dans les cas extrêmes de les faire péter un câble. Ysölde ne voudrait pas voir le jour où elle serait enceinte, là il allait falloir faire attention, déjà qu’en temps normal elle était lunatique et émotive, alors enceinte, je n’ose même pas imaginer. Sa tante lui répondit alors en regardant sa nièce droit dans les yeux : Et bien je le sais depuis maintenant une petite demi heure. Le sourire de sa tante lui fit chaud au cœur, vraiment chaud au cœur. Le bonheur il en fallait, plus on en avait mieux c’était. Ysölde aussi voulait du bonheur, tellement de bonheur jusqu’à en faire une indigestion, elle espérait qu’avec le temps ça irait. Sa tante ajouta alors, sur un ton dit de confidence : Tu es même la première personne à qui je le dis... Par contre il ne faut pas que tu le dises à Timothy sinon il va râler. Après tout c'est lui le papa et j'aurais du le lui dire en premier. Mais à bien y réfléchir il n'avait qu'à être là. La première personne ? C’était décidément lui accorder de l’importance, et de la confiance aussi. Cela lui faisait plaisir d’avoir de l’importance pour quelqu’un, elle qui était fragile émotionnellement parlant. Mais elle n’allait rien dire à Timothy, elle n’était pas du genre à semer la zizanie, elle appréciait Timothy, même si elle luttait parfois pour ne pas l’appeler Mr Sweetlove, oui, elle gardait en mémoire des années de cours, du coup, ce n’est pas toujours évident de passer au-delà. Ysölde lui adressa alors un doux sourire, et dit alors : Ne t’inquiète pas, je ne lui dirais rien, mais ce n’est pas de sa faute, je suppose qu’il doit être en cours à cette heure ci ! Ysölde était si douce quand elle le voulait. Oui après tout, cela devait être l’heure des cours à Poudlard, la jeune femme était en total décalage avec ceux là. Elle ne tenait pas à revoir les murs du château, pas de sitôt. Mais, la veille, elle avait été achetée des livres de cours pour ne pas rester hors du système scolaire trop longtemps. La pile de livre sur sa chaise, elle n’aimait pas débarquer en touriste, elle voulait retourner en cours et que les choses soient au niveau des connaissances comme si elle n’était jamais partie. Elle était maniaque pour ce qui était des cours. Ysölde était une jeune femme particulière, au caractère assez fort, mais ça c’était de famille, visiblement elle et sofia partageaient une partie de ce fort caractère. Il y eut un petit silence, et elle vit Sofia se leva alors, et approcha alors de sa commode, où elle saisi le collier qu’elle lui avait offert au bal du ministère. Elle aimait beaucoup ce collier, il avait beaucoup d’importance à ses yeux, énormément d’importance, mais si elle le laissait de côté c’était uniquement pour ne pas la casser, vu qu’elle dormait quasiment toute la journée, en dormant, il aurait pu se casser etc. Sa tante saisi alors le collier entre ses doigts et s’assit derrière Ysölde et lui accrocha le collier autours du cou. Puis, sa tante l’étreignit et lui caressa les cheveux. C’était inhabituel pour la jeune femme qui n’avait jamais vraiment eut d’affection dans sa vie, celle-ci –sa tante- lui dit alors : Tu sais que tu peux tout me dire et tout me demander. Je ferais en sorte que tout se passe bien pour toi. C’était la première fois qu’Ysölde accordait autant d’importance à quelqu’un dans sa vie, parce que Sofia était sa famille, sa seule famille désormais puisque pour elle, les Wilkes étaient comme morts, tous, sans exception. Mais Ysölde n’avait rien à lui demander, elle en faisait déjà tant pour elle, Timothy et elle l’accueillaient sous le leur toit, c’était déjà énorme comme geste. La jeune femme dit alors à mi-voix : Tu en fais déjà tellement Sofia, merci. La jeune femme ne pouvait mentir en disant que tout allait bien, mais avec les jours qui se succédaient, elle allait chaque jour un peu mieux. Enfin, ce n’était pas encore le nirvana mais elle essayait de se sociabiliser un peu jour après jour. Hier elle était sortie pour la première fois depuis le gala, seule. Hier avait été une bonne journée, une très bonne journée. Sa tante laissa alors Ysölde lui faire face. Etrangement, Ysölde était forte aujourd’hui, et malgré les émotions elle n’avait pas fondue en larme, ce qui en soit relevait d’un exploit. Sa tante lui remis une mèche de cheveux en place – il y avait le choix devant le nombre de mèche mal coiffé à remettre en place vu la coiffure très mal peigné d’Ysölde, elle ressemblait à un épouvantail, avec ses queue de cheval mal faite. Elle adressa un doux sourire à Sofia, quand celle-ci pris une grande inspiration et dit alors ave un débit de paroles assez hallucinant : Tu voudrais être la marraine de cet enfant ? Bien entendu je devrais en parler avec Timothy mais je ne pense pas qu'il y voit d'objection. Avant de lui en parler j'aimerai savoir si tu veux ou pas être la marraine. Ysölde marraine ? Elle avait déjà peur de faire tomber Lukas quand elle le prenait dans ses bras, même si elle l’avait garder quelques fois, elle avait peur de lui faire du mal. Ysölde était dans une sorte de spirale destructrice, et son père lui avait toujours dit qu’elle était en somme bonne à rien. Le fait que Sofia lui demande cela l’aidait peut à peu à prendre le dessus, d’après sa tante elle était capable de quelques chose. Ysölde esquissa un sourire, et dit alors : Ça.. ça serait avec plaisir. Vraiment. C’était vrai, cela lui faisait plaisir. Elle ajouta alors avec un sourire :Je serais une marraine très cool, enfin j’essayerai !
Revenir en haut Aller en bas
Invité





une bonne nouvelle ♫ ysolde Vide
MessageSujet: Re: une bonne nouvelle ♫ ysolde   une bonne nouvelle ♫ ysolde EmptySam 28 Avr - 20:04

Ne t'inquiète pas, je ne lui dirais rien, mais ce n'est pas de sa faute, je suppose qu'il doit être en cours à cette heure ci ! Je souriais. Elle n'avait pas tord. Il devait être en cours et d'ailleurs j'aurais du y être moi aussi mais bon je suis certaine que mes élèves étaient contents de ne pas m'avoir sur le dos pendant deux heures. De toutes les façons j'avais déjà rattrapé les heures alors cette Ombrage ne pouvait pas me dire quoi que se soit. Je regardais les livres de cours sur sa chaise. Je pourrais l'aider si elle le voulait mais je savais aussi pour avoir parcouru son livret scolaire qu'Ysolde était une élève brillante et je me demandais comment il se faisait que le choixpeau l'ait envoyé à Serpentard. J'aurais plus vu ma nièce chez les bleus que chez les verts. Enfin je n'étais dans le cerveau des fondateurs alors je ne pouvais pas savoir mieux que lui. En tout cas, j'étais profondément contente de l'avoir rencontré et qu'elle m'ait enfin pardonné de ne pas lui avoir dit plus tôt qui j'étais pour elle. Je lui dirais tout à l'heure normalement on doit se retrouver devant le lac de Poudlard. D'ailleurs tu veux que je récupère des affaires à toi chez les Serpentards ? Je peux aisément demander à les récupérer si tu veux. Je lui souriais tout simplement. J'étais assez euphorique aujourd'hui et tout le monde qui me connaissait pouvait attester que ce n'était pas du tout moi. En général je suis beaucoup plus renfermée sur moi même, beaucoup plus fermée mais aussi souriante. J'étais une femme à part entière avec ses bons et ses mauvais côtés. Je voulais que ma nièce se sente comme chez elle dans cette maison. D'ailleurs elle était chez elle ici. Elle pourrait rester autant de temps qu'elle le voulait. J'étais contente de l'avoir avec moi parce que je me sentais enfin proche de ma grand soeur. Je m'en étais toujours voulu de l'avoir laissé partir de la maison sur une dispute, j'étais jeune à l'époque mais encore aujourd'hui je me disais que j'aurais peut être pu la retenir avec un peu plus de conviction. Je prenais donc mon rôle de tante très à coeur. C'était pour cela d'ailleurs que je lui dis que je ferais tout pour elle. Ce n'était pas des paroles en l'air bien au contraire. J'étais vraiment prête à tout pour elle. Elle était ma nièce et ma famille tout simplement. Tu en fais déjà tellement Sofia, merci. Je lui souriais. Je sentais qu'elle allait de mieux en mieux au fil du temps et ça me faisait énormément plaisir et de bien. Je ne supportais que quelqu'un de ma famille aille mal et j'avais très mal vécu le désarroi de ma nièce. D'ailleurs j'en avais profité pour essayer de faire tout pour qu'elle se sente mieux. Je ferais tout ce qu'il faut pour que tu te sentes mieux ma chérie. Tu es ma famille toi aussi. Je posais ma main sur sa joue en lui souriant. Je lui proposais alors d'être la marraine de notre futur enfant. Je voulais vraiment qu'elle se sente de la famille et je ne voyais pas comment mieux lui prouver qu'en lui proposant cela. Quand Lukas était né nous étions proche mais pas autant que maintenant et en plus Timothy voulait que sa meilleure amie soit la marraine. Donc maintenant il n'y avait plus aucune objection pour qu'elle ne devienne pas marraine. J'attendais sa réponse anxieusement. Je craignais qu'elle ne me dise non. Ca... ça serait avec plaisir vraiment. Je serais une marraine très cool, enfin j'essayerai ! Je lui souriais tout simplement avant de la prendre dans mes bras. Je la serrais contre moi en lui murmurant : Tu ne sais pas à quel point ça comptait pour moi. Je lui souriais tout simplement et je remettais une nouvelle mèche de cheveux derrière son oreille. Puis une idée me traversa l'esprit. Je n'avais plus entendu parler de ses migraines depuis un moment déjà. Je le regardais un moment avant de lui dire : Tes maux de tête ça va mieux ? Je ne disais pas cela en tant que médicomage mais en tant que tante qui se faisait du soucis pour sa nièce dont elle avait maintenant plus ou moins la responsabilité.
Revenir en haut Aller en bas
Ysölde M. Wilkes McFays
Ysölde M. Wilkes McFays


fondatrice -  prefète de serpentard, attention à vous, je peux éviter la retenue... ou pas.

first Log-in : 29/06/2010
parchemins : 8416

une bonne nouvelle ♫ ysolde Vide
MessageSujet: Re: une bonne nouvelle ♫ ysolde   une bonne nouvelle ♫ ysolde EmptyLun 30 Avr - 11:25

La jeune femme était dans une phrase de sa vie capitale : celle où l’on décide de la personne que l’on va être. Perdue comme elle était, elle cherchait les réponses à tellement de questions que c’était le floue complet dans sa tête. Des questions, tant de questions. Elle était chez sa tante et son oncle, et cela la rassurait un peu, c’était la première fois depuis un an qu’elle vivait dans un cadre stable. Après avoir fuit la demeure des Wilkes elle s’était réfugié chez une amie née moldue, mais elle ne s’y était pas sentie comme chez elle, cette demeure était étrange à ses yeux, des appareils non identifié, des parents avec des expressions très bizarres, une monnaie très très étrange, bref à ses yeux c’était un monde de fou. Puis, elle avait prétextée d’avoir trouvé un endroit pour vivre, alors elle avait menti. Mentir pour la bonne cause, le temps des vacances, notamment la fin des vacances d’été, les vacances de toussaint, et les vacances de Noël au Chaudron Baveur. Oui, elle avait élue domicile au chaudron baveur histoire de ne pas ennuyer quelqu’un. Ysölde avait une sacrée pudeur, et elle ne voulait ennuyer personne, vraiment. Mais là, je fais que Sofia lui propose (et l’oblige peut être un peu) lui avait fait plaisir mine de rien, elle avait l’impression d’être vraiment quelqu’un d’important à ses yeux. En vivant chez eux, elle avait eut l’impression, elle avait l’impression d’être quelqu’un d’important pour elle. Etre important aux yeux de quelqu’un, c’était un peu nouveau aux yeux de la jeune femme. C’était étrange pour la jeune femme de se sentir en sécurité. elle regarda sa tante avec un petit sourire, celle lui dit alors qu’elle allait voir timothy, il était quand même important qu’il sache qu’il allait être père de nouveau : Je lui dirais tout à l'heure normalement on doit se retrouver devant le lac de Poudlard. D'ailleurs tu veux que je récupère des affaires à toi chez les Serpentards ? Je peux aisément demander à les récupérer si tu veux. Elle était certaine que Timothy allait être heureux, elle ne le connaissait pas encore très bien, mais de ce qu’elle savait, il était quelqu’un de bien, Sofia avait eut de la chance de trouver quelqu’un comme lui. Il avait été son professeur pendant quelques temps, et elle l’avait apprécié comme professeur, et elle commençait à l’apprécié comme oncle, vraiment. Sa tante avait plus de goût pour dénicher des hommes bien que sa mère, et héla, Ysölde semblait avoir hérité de la malchance pour dénicher des hommes biens de sa mère. Ben oui, entre Duncan, Ulysse, Graeme, et Samwell, elle avait sacrément fait des mauvais choix ces trois dernières années. Maintenant, elle avait un faible pour Maddox, mais leur rencontre de la veille l’avait laissé un peu… perplexe, surtout la fin qui avait assez mal fini d’ailleurs. Ysölde lui répondit alors : Non, ça va j’ai pas grand-chose dans le dortoir, à part quelques livres, rien d’important, mais merci quand même ! Ysölde ne possédait pas beaucoup de chose, à part quelques livres, et bibelot sans importance, tout ce qu’elle possédait restait dans sa chambre, son ancienne chambre dans le demeure des Wilkes, vu que son départ avait été précipité. Elle appréciait que Sofia lui demande si elle voulait récupérer quelques choses, évoquer Poudlard mis un peu de peine de le cœur de la jeune femme, c’était paradoxal le château lui manquait mais elle ne voulait pas encore y retourner elle ne se sentait pas encore en l’état. La jeune blonde avait alors remercié Sofia pour tout ce qu’elle faisait pour elle, Ysölde n’avait pas l’habitude que l’on lui accorde de l’attention. Elle esquissa un sourire que sa tante lui rendit. Sa tante lui répondit alors : Je ferais tout ce qu'il faut pour que tu te sentes mieux ma chérie. Tu es ma famille toi aussi. Cela lui mit comme du baume au cœur, elle adressa un sourire reconnaissant à sa tante. Sofia comptait pour elle désormais, et la jeune femme s’était attaché à elle, et même à ce petit bout de chou qu’elle avait comme cousin : Lukas. Mais elle était heureuse de voir venir un autre bébé, après tout, en assistant à cela, elle faisait un peu plus parti de la famille. Sofia lui mis d’avantage de baume au cœur en lui demandant d’être la marraine de ce bébé à naitre, certes il n’était actuellement qu’une sorte d’embryon, mais qu’importe, il allait naitre dans quelques mois. Quand elle accepta cette demande, Sofia se penchait pour la prendre dans ses bras, et lui murmura alors doucement : Tu ne sais pas à quel point ça comptait pour moi. Cela comptait aussi beaucoup pour la jeune femme, beaucoup. En devenant la marraine de ce futur bout de chou, et bien elle prenait une vraie place, elle était vraiment quelqu’un de la famille. Etre la marraine d’un enfant c’est une bonne chose, Ysölde adorait les enfants depuis qu’elle connaissait Lukas, mais n’était pas prête d’en avoir, être marraine cela permet d’être proche de ce petit bout, de le voir grandir, et lui faire des cadeaux, de le cajoler. Ca compte aussi pour moi, j'ai hâte de voir ce bout de chou ! Elle adressa un doux sourire à sa tante qui remis alors une mèche blonde en place. Oui, les cheveux de Ysölde étaient un peu en pagaille ce jour là, mais elle n’avait pas franchement eut envie de sortir de son lit, la veille l’avait un peu secouée, mais ça allait. Puis, soudain, sa tante lui posa une question : Tes maux de tête ça va mieux ? Ah oui, ses mots de tête. Ysölde se souvenait en avoir parlé avec Sofia, elle ne pensait pas que sa tante s’en souviendrait. Les migraines d’Ysölde venaient en partie de ses visions, et cela faisait quelques temps qu’elle n’en avait pas eut, mais elle avait l’impression que ses visions se transformaient en cauchemars qui hantaient les nuits de la jeune femme. Elle venait de traverser une dure période, mais des fois elle avait l’impression de voir le futur dans ses cauchemars. Ysölde baissa doucement les yeux, elle ne voulait pas mentir à sa tante, elle était déjà si gentille avec elle. Ca fait quelques temps que je n’ai pas eut de maux de tête mais depuis qu’ils ont disparus, je fais de plus en plus de cauchemars. Ils ont l’air si réaliste. Je ne sais pas si c’est lié, mais ça me fait peur. Ca fait quelques temps que je n’ai pas eut de maux de tête mais depuis qu’ils ont disparus, je fais de plus en plus de cauchemars. Ils ont l’air si réaliste. Je ne sais pas si c’est lié, mais ça me fait peur.
Revenir en haut Aller en bas
Invité





une bonne nouvelle ♫ ysolde Vide
MessageSujet: Re: une bonne nouvelle ♫ ysolde   une bonne nouvelle ♫ ysolde EmptyDim 6 Mai - 16:00

Non, ça va j’ai pas grand-chose dans le dortoir, à part quelques livres, rien d’important, mais merci quand même ! Je souriais à ma nièce. Elle était vraiment quelqu'un de très forte pour son âge. Je pense que c'est un de nos traits de famille. Il faut savoir que les Manccinis – du moins les femmes – sont des personnes à fort caractère : on peut être aussi forte que fragile, on peut hurler et rire à la fois. Nous sommes des personnes très changeantes au niveau de nos humeurs et c'est d'ailleurs pour cela que nous avions beaucoup de mal à nous trouver un mari qui arrive à nous supporter. Enfin moi j'avais trouvé mon mari et je n'allais pas le lâcher d'aussi tôt. Ysolde me remercia pour la proposition que je lui avais fait. Je ne voulais pas qu'elle pense que je ne faisais cela que par obligation. Si je lui proposais c'était parce que je le voulais. Tu es sûre ? Sinon ça ne m'embête vraiment pas d'y aller, ne te gêne surtout pas. Puis je lui demandais d'être la marraine de notre enfant à naître. Elle accepta et cela me fit énormément plaisir. Elle ne pouvait pas comprendre ce que cela signifiait pour moi. Elle montrait par cette acceptation qu'elle voulait bien faire partie de ma famille et j'étais plus qu'heureuse à cette idée. Je voulais qu'elle reste avec moi autant de temps qu'elle le voudrait. En fait, je voulais bien qu'elle reste avec nous jusqu'à la fin de ses études mais il n'y aura qu'elle qui pourra en décider. Je finissais pas lui demander si ses maux de tête allaient mieux. J'avais vu le docteur qui s'occupait d'elle mais visiblement elle n'était pas aller le voir depuis un moment parce qu'il me demanda de ses nouvelles. Elle me répondit alors : Ca fait quelques temps que je n’ai pas eut de maux de tête mais depuis qu’ils ont disparus, je fais de plus en plus de cauchemars. Ils ont l’air si réaliste. Je ne sais pas si c’est lié, mais ça me fait peur. Je fronçais un peu les sourcils. Donc ses maux de tête avaient cessé mais elle avait des cauchemars. Je craignais pour elle. Apparemment ce que son véritable père m'avait dit était vrai. Elle avait des maux de tête et maintenant des cauchemars. Je ne pouvais pas lui en parler moi même. Ce n'était pas mon rôle. Il allait cependant falloir que j'aille voir son père pour qu'il aille la voir et s'il ne voulait pas je l'y obligerais. Tu vas peut être me prendre pour une folle mais est-ce que tu vois des choses durant tes rêves ? Je veux dire par là des images qui se sont révélées vraies ? Je la regardais. J'espérais qu'elle ne me prendrait pas pour une folle parce que j'avais un peu peur pour elle. Je vis les yeux de ma nièce qui étaient baissés. Je lui prenais la main pour l'encourager à me parler. Elle pouvait avoir confiance en moi. Je n'aurais pas peur de la vérité et je pourrais l'aider, je le pensais sincèrement. Du moins je savais à qui m'adresser pour avoir des explications. Je lui caressais le dos de la main en attendant sa réponse. D'un côté j'espérais que ça soit cela parce que je pourrais peut être l'aider alors que si c'était autre chose j'allais m'inquiéter encore plus et Timothy me crierait dessus parce que je bosserai un peu trop vu mon état.
Revenir en haut Aller en bas
Ysölde M. Wilkes McFays
Ysölde M. Wilkes McFays


fondatrice -  prefète de serpentard, attention à vous, je peux éviter la retenue... ou pas.

first Log-in : 29/06/2010
parchemins : 8416

une bonne nouvelle ♫ ysolde Vide
MessageSujet: Re: une bonne nouvelle ♫ ysolde   une bonne nouvelle ♫ ysolde EmptyLun 7 Mai - 21:08

La jeune femme avait eut de la chance de tomber sur une tante comme Sofia, vraiment. Qui pouvait prétendre avoir un membre de sa famille de la sorte et autant de confiance. Elle savait que quoi qu’il arrive, elle pouvait compter sur elle, mais comme celle-ci était enceinte il fallait lui éviter les tracas inutiles, alors Ysölde allait continuer de faire comme elle l’avait fait, en se gardant bien de mettre sa tante au courant de tout, ce n’était pas une question de confiance, elle voulait simplement lui éviter les gros tracas, et dieu seul sait si Ysölde avait le don de s’attirer des ennuis. En évitant de trop confier ses tracas à Sofia, cela lui éviterait de lui faire faire du mauvais sang. Sa tante était adorable, vraiment. Tu es sûre ? Sinon ça ne m'embête vraiment pas d'y aller, ne te gêne surtout pas. Et bien, elle n’avait pas grand-chose de précieux quand on y pensait, tout ce qu’elle possédait d’important à ses yeux elle le portait sur elle. Le collier que Sofia lui avait donné qui avait appartenue à sa grand-mère, et un bracelet qui lui avait été offert par sa mère, un petit bracelet en argent qu’elle lui avait offert trois jours avant sa mort, et qu’elles avaient été choisir ensemble, un beau bracelet avec un petit dragon en argent qui pendait. Déjà à cette époque, Ysölde était fasciné par ces créatures magiques, puissante. Elle était fasciné par ces dragons aussi surement qu’elle était fasciné par le feu. Ne t’inquiète pas, j’ai tout ce dont j’ai besoin ! Mais merci de l’attention, à part de vieux livres, il n’y a rien là bas. Il lui restait des souvenirs là bas des photos de « famille », et de ses anciens amis. Il les gardait dans une malle à elle. Il y avait tout un paquet de vieille photo d’Ulysse et elle, après un an de relation c’est normal de conserver des souvenir, mais… ils étaient mauvais, et il fallait qu’elle les oublis. Ces souvenirs lui pourrissaient la vie, et c’était comme ça. Il fallait qu’elle arrive a se débarrasser de ses souvenirs le concernant, mais dés qu’elle mettait un pie dans le château chaque recoin évoquait un souvenir, bon ou mauvais, mais un souvenir, elle aurait voulu être amnésique sur cette partie de sa vie. Mais, il fallait qu’elle avance, elle n’allait pouvoir rester loin de Poudlard toute sa vie après tout… il allait falloir qu’elle y retourne d’ailleurs, assez tôt, elle se devait d’en parler à Sofia : De toute façon, je pense qu’il serait tant que j’y.. j’y retourne, tu ne crois pas ? Elle était sincère, elle n’allait pas pouvoir rester loin de cette école pendant longtemps. Elle adressa un sourire à sa tante, et entre temps, elle avait évoqué la fin de ses mots de tête, mais l’apparition, ou plutôt la réapparition des cauchemars. Elle n’aimait pas en parler, elle ne supportait pas de les évoqué. Ses cauchemars étaient réels, ils n’avaient rien d’un rêve, leur rêve était flou, brumeux, incohérent, mais là c’était de la pure cohérence, de la réalité. Tu vas peut être me prendre pour une folle mais est-ce que tu vois des choses durant tes rêves ? Je veux dire par là des images qui se sont révélées vraies ? Ysölde avait baissé les yeux. Evoqué sa différence – était dur. Sa tante venait de lui demander si cela se réalisait parfois, peut être savait-elle ? peut-être pouvait-elle l’aider ? Comment avait-elle pu savoir ? Tant de questions qui se bousculaient dans sa tête à mesure qu’elle baissait la tête et les yeux. Elle fut apaisé par la main de sa tante qui vint saisir la sienne, en signe d’apaisement, comme le ferait un membre de la famille, presque une mère. La main de sa tante dans son dos l’apaisait énormément, elle se souvenait quand sa mère lui faisait cela, après ses cauchemars. Aussi loin qu’elle s’en souvienne, elle en avait fait. Elle ne savait pas comment parler à sofia.Quand j’étais petite, je faisais souvent des rêves, et ils se réalisaient… parfois. Des scènes anodine, ma sœur qui trébuchait, ma mère préparant à manger… l’elfe se faisant incendier par Wilkes parce qu’il avait fait quelques choses de mal, cette sensation de « déjà vu » quand les choses arrivent. Ce n’était que des rêves, une fraction de seconde dans nuit de sommeil. Elle marqua une pause, et avala sa salive. C’était dur pour Ysölde de parler, elle avait évoqué son « père » avec détachement, elle l’avait nommé « Wilkes », avec une froideur déconcertante, elle ne voulait pas fondre en larme.Puis, une fois j’ai fait un cauchemar, et je l’ai raconté à Maman, elle m’a dit que ce n’était qu’un mauvais rêve. Elle avait menti. Ysölde marqua une autre pause, elle avait les larmes aux yeux. Je l’ai vu mourir, Sofia, et elle ne m’a pas écouté, elle ne m’a pas cru. Ysölde fondit alors brusquement en larme. Sa mère n’avait pas voulu la croire quand elle avait dit que ses rêves se réalisait, ou au contraire… elle y avait cru, et peut être que c’était une fatalité. Ysölde ajouta alors : L’an dernier j’ai vu mourir mon ex fiancé, et chaque nuit c’est ces deux visions qui me hantent, avec la sensation que je n’ai rien fait pour empêcher cela. Mais elle ne m’a pas cru. Elle regarda sa tante les yeux embrumé par les larmes et dit alors : Qu’est ce qui m’arrive Sofia ? Qu’est ce qui m’arrive ? Suis-je un monstre ?Elle fondit d’avantage en larme, et serra sa tante dans ses bras – ce genre de chose ne venait jamais d’ysölde normalement – elle la serra contre elle. Elle en avait besoin, vraiment.
Revenir en haut Aller en bas
Invité





une bonne nouvelle ♫ ysolde Vide
MessageSujet: Re: une bonne nouvelle ♫ ysolde   une bonne nouvelle ♫ ysolde EmptySam 12 Mai - 16:18

Je lui avais posé la question qui valait un million de dollars. J'avais remarqué qu'il arrivait à ma nièce d'avoir l'air complètement perdu ou je ne sais pas quoi d'autre et je m'étais toujours demandé si un jour elle pourrait m'en parler. Je connaissais son père, je ne parle pas de Wilkes mais de son véritable père. Je savais qu'il y avait dans sa famille des cas de voyant et même si j'avais du mal à me dire qu'il y avait des gens qui connaissaient le futur force m'était d'admettre que ma nièce faisait partie de ces gens là. Quand j’étais petite, je faisais souvent des rêves, et ils se réalisaient… parfois. Des scènes anodine, ma sœur qui trébuchait, ma mère préparant à manger… l’elfe se faisant incendier par Wilkes parce qu’il avait fait quelques choses de mal, cette sensation de « déjà vu » quand les choses arrivent. Ce n’était que des rêves, une fraction de seconde dans nuit de sommeil. Puis, une fois j’ai fait un cauchemar, et je l’ai raconté à Maman, elle m’a dit que ce n’était qu’un mauvais rêve. Elle avait menti. Je l’ai vu mourir, Sofia, et elle ne m’a pas écouté, elle ne m’a pas cru. L’an dernier j’ai vu mourir mon ex fiancé, et chaque nuit c’est ces deux visions qui me hantent, avec la sensation que je n’ai rien fait pour empêcher cela. Mais elle ne m’a pas cru. Qu’est ce qui m’arrive Sofia ? Qu’est ce qui m’arrive ? Suis-je un monstre ? J'avais réceptionné ma nièce dans mes bras et je la laissais pleurer. Elle en avait besoin je le savais surtout après ce qui lui était arrivé. Je la serrais dans mes bras tout doucement et j'embrassais même ses cheveux. Je ne voulais pas qu'elle est peur de ce qu'elle était. Ce don c'était une bénédiction quand on savait comment s'en servir. Ecoute moi ma puce, il ne faut pas que tu dises que tu es un monstre car c'est faux tu n'en es pas un bien au contraire. Ces rêves ou ces cauchemars que tu fais il ne faut pas en avoir peur. Je ne sais pas si mon idée est la bonne mais Ysolde tu dois me faire confiance. Tu n'es pas un monstre. Je prenais son visage entre mes mains pour la regarder dans les yeux. Il fallait qu'elle comprenne qu'il n'y avait rien de honteux dans son état. C'était vrai que ce n'était pas courant du tout comme don mais je me sentais capable de l'aider traverser cela. Il ne faut pas que tu es peur ce que qu'il t'arrive. Je connais une personne qui pourra déjà t'aider un peu plus que moi. Elle pourra t'aider à calmer ton esprit, il faut que tu es confiance en elle et en moi. Je prenais une longue inspiration. Il fallait qu'elle ait confiance parce que je savais quoi faire pour elle, du moins je pensais savoir. Je lui caressais le visage doucement. On ira voir Béatrix ensemble si tu veux. Elle est legimens tu sais. Elle pourra peut être t'aider un peu et je viendrai à chaque fois si tu le souhaites. Je ne te lâcherai pas d'une semelle. Je lui souriais puis je la serrais fortement contre moi. Elle avait besoin de savoir qu'elle avait une famille bien à elle qui ne la lâcherait jamais. Je connais quelqu'un qui pourra t'aider mais je dois lui parler avant. Tu me fais confiance Ysolde ? Tout reposer sur cette simple réponse. Si elle me faisait confiance tout irait bien sinon je ne saurais pas quoi faire pour l'aider.
Revenir en haut Aller en bas
Ysölde M. Wilkes McFays
Ysölde M. Wilkes McFays


fondatrice -  prefète de serpentard, attention à vous, je peux éviter la retenue... ou pas.

first Log-in : 29/06/2010
parchemins : 8416

une bonne nouvelle ♫ ysolde Vide
MessageSujet: Re: une bonne nouvelle ♫ ysolde   une bonne nouvelle ♫ ysolde EmptyLun 21 Mai - 19:23

C’était à croire qu’elle avait tout gardé pour elle pendant si longtemps, elle avait gardé pour elle ses craintes, ses peurs. Elle n’avait parlé de ses visions qu’à des personnes qui avaient fini par l’abandonner. Premièrement, elle en avait parlé à Graeme qui avait finit par mettre les voiles avec sa Reagan, laissant la jeune femme démunie, et complètement perdue. Perdue au point qu’elle en était tombée dans les bras de Samwell sans trop opposer de résistance. Puis ce même loup garou avait fini par avoir raison d’elle, et leur relation était devenue un échec. Entre temps, Ysölde avait été obligé d’avouer ses visions, puisqu’après un malaise, celui-ci tenait à l’emmener à Sainte Mangouste. Ils avaient finit par rompre, et lui était parti. Voilà pourquoi elle avait gardé ses visions pour elle, à chaque fois, une personne qu’elle aimait finissait par mettre les voiles, et s’en aller. Même s’il n’y avait aucun lien de causalité, entre la confession de vision, et l’éloignement, puis la séparation, elle ne pouvait s’empêcher de voir cela comme un signe du destin. Elle en était arrivé au point de se détester d’avoir ce pouvoir. Il en fallait tellement pour qu’Ysölde fonde en larmes. Elle ne fondait pas souvent en larme, et surtout elle ne fondait pas souvent en larmes devant quelqu’un. Même s’il s’agissait de sa tante, elle avait horreur de passer pour quelqu’un de faible, ce qu’elle était, tout naturellement. Ysölde était forte parfois, mais faible, elle avait beau avoir du caractère, elle s’était faite manipulé par Wilkes, par Ulysse, ces hommes étaient devenu les cauchemars de sa vie, et par procupartion, ils avaient fait des Hommes au yeux d’Ysölde des monstres qu’elle fuyait comme la peste, enfin… qu’elle essayait de fuir, se mêlant toujours à des personnes peut recommandables qui finissaient toujours par lui faire du mal. Elle avait donc fini dans les bras de sa tante, en larmes. Elle n’avait pas la larme facile, ni même l’élan d’affection, ou même le contact physique. De son propre chef, elle ne se souvenait pas avoir enlacé sa tante, c’était généralement le contraire, bien qu’elle n’y opposait pas de résistance. Sa tante la serra alors doucement dans ses bras, c’était presque apaisant, mais toutefois Ysölde était incapable de sécher ses larmes. Ecoute moi ma puce, il ne faut pas que tu dises que tu es un monstre car c'est faux tu n'en es pas un bien au contraire. Ces rêves ou ces cauchemars que tu fais il ne faut pas en avoir peur. Je ne sais pas si mon idée est la bonne mais Ysolde tu dois me faire confiance. Tu n'es pas un monstre. Elle ravala sa salive, essayant de contrôler ses larmes qui frénétiquement baignaient ses joues. Sa tante pris doucement son visage entre ses mains, la forçant à la regarder dans les yeux. Ysölde la distinguait bien que le regard embrumé et déformé par les larmes. Elle écoutait sa tante. Comment pouvait-elle ne pas la considérer comme un monstre ? quand Sofia lui parla de confiance, la blonde hocha la tête avant de réprimer un sanglot. Puis sa tante ajouta alors qu’elle n’était pas un monstre. Elle avait du mal à y croire. Sofia poursuivit alors : Il ne faut pas que tu es peur ce que qu'il t'arrive. Je connais une personne qui pourra déjà t'aider un peu plus que moi. Elle pourra t'aider à calmer ton esprit, il faut que tu es confiance en elle et en moi. C’était certain qu’elle avait besoin d’être aidée, tellement certain. Elle avait passé trop de nuit à ne plus dormir de peur de voir quelques chose d’horribles, car jusqu’ici ses visions étaient horrible, violente, et surtout douloureuse pour la jeune femme. A chaque fois, une horrible douleur lui traversait le crâne, et parfois même sa tête tournait si bien qu’elle finissait par s’évanouir, lui donnant dans certains cas l’atroce envie d’aller vomir ses tripes, souvent après de violente visions. Elle avait définitivement besoin d’aide. Ysölde hocha de nouveau la tête, et laissa échapper un maigre : D’accord. Puis elle sanglota alors de nouveau avalant difficilement sa salive car elle avait l’impression d’avoir une boule au travers sa la gorge. Sa tante poursuivit alors en ajoutant : On ira voir Béatrix ensemble si tu veux. Elle est legimens tu sais. Elle pourra peut être t'aider un peu et je viendrai à chaque fois si tu le souhaites. Je ne te lâcherai pas d'une semelle. Un doux sourire de sa la part de Sofia qui fut suivit d’une étreinte. Ysölde serra alors sa tante contre elle. C’était nouveau. Ysölde n’était guère friande des élans d’affections et de tendresses tout simplement parce qu’elle n’en avait pas eut beaucoup. Même quand elle était en couple, elle se forçait à garder une distance avec son petit ami, cela avait toujours été ainsi. C’était la première fois qu’Ysölde serrait vraiment sa tante dans ses bras. Si sa tante disait que le docteur Windsor pouvait l’aider, c’était alors le cas. De ce qu’elle savait, celles-ci étaient bonnes amies, et cette infirmière semblait être encore plus proche de l’époux de Sofia. Elle pouvait lui faire confiance, et le docteur Windsor connaissait un peu le cas d’Ysölde pour l’avoir réceptionnée plusieurs fois à l’infirmerie pour des malaises avec une jeune fille qui a chaque fois refusait de lui dire de quoi il en retournait, prétextant un manque de sucre, par exemple. Sa tante poursuivit alors avec une petite phrase, suivit de la plus importante des questions : Je connais quelqu'un qui pourra t'aider mais je dois lui parler avant. Tu me fais confiance Ysolde ? La confiance est une notion assez abstraite. Sauf que Sofia connaissait déjà la réponse à cette question. Il avait fallu du temps à Ysölde pour accepter de venir sous son toit, et cela avait été le temps nécessaire à établir la confiance. Ysölde avait traversé tellement d’épreuve qu’elle n’avait pas voulu emménager chez quelqu’un sans la connaitre, et surtout sans lui faire confiance. Elle avait toute sa confiance, désormais. Ysölde passa le revers de sa manche sur ses deux joues et essuya un grand nombre de larmes, puis elle regarda sur sa tante : Bien sûr que je te fais confiance Sofia, toujours. C’était vrai maintenant, elle lui faisait entièrement confiance. De la confiance de la part d’Ysölde était une chose précieuse, et il ne fallait surtout pas la bafoué, une fois qu’elle est perdu elle est très dure à retrouvé, et pour l’avoir il faut montrer pattes blanches, très rapidement. Ysölde avait séché ses larmes, mais ses joues restaient humides, et ses yeux rougis. Elle renifla un peu, mais pas beaucoup. Elle restait préoccupée. Elle avait tellement fait de recherche sur les voyants qu’une questions qui l’empêchait de dormir lui brûlait les lèvres depuis tant de temps, cette même question qui lui empêchait de fermer l’œil, la même qui lui donnait mal au ventre. Sofia, je peux te demander si… elle marqua une pause avant de reprendre : Cela fait quelques temps que je fait des recherches sur la voyance, et un professeur m’a autorisé à me rendre à la réserve et… et je suis tombée sur un livre qui disait que la voyance est héréditaire, et…et… elle sanglota alors de nouveau et dit alors : Et si maman n’était pas ma mère, je… je… elle n’avait pas ce don, et toi non plus alors… elle fondit alors de nouveau en larmes. Dans sa tête, seule sa mère ne pouvait pas être sa mère, Wilkes l’avait endoctriné au plus profond, et après tout, elle était blonde comme lui, alors que sa mère avait les cheveux noirs comme l’ébène. Ysölde serra de nouveau Sofia dans ses bras, essayant de ne pas trop sangloter.
Revenir en haut Aller en bas
Invité





une bonne nouvelle ♫ ysolde Vide
MessageSujet: Re: une bonne nouvelle ♫ ysolde   une bonne nouvelle ♫ ysolde EmptyDim 3 Juin - 19:37

J'étais contente que ma nièce accepte mon aide et en l’occurrence celle de Béatrix. Je ne voulais plus qu'elle se sente seule. J'avais enfin retrouvé ma famille et je ne voulais plus la perdre surtout qu'elle était mon seul lien restant avec ma sœur. En quelque sorte je me rachetais d'avoir laissé partir Amélia de chez maman quand elles se sont fâchées. J'aurai du essayer plus de la retenir. Je regardais ma nièce droit dans les yeux en la serrant dans mes bras. J'étais tellement contente qu'elle me fasse confiance que je ferai tout pour l'aider à aller mieux. Cependant je savais très bien que les questions se feraient plus présentes et plus importantes mais je ne savais pas si je devais tout lui dire moi même. Ashton n'était pas encore prêt à assumer son rôle de père. Je le savais et je le voyais surtout. Il était un homme très respectable mais il en voulait à ma sœur d'être partie avec Wilkes et de lui avoir confier leur enfant. Je savais très bien qu'elle tenait son côté voyante du côté d'Ashton pour avoir rencontrer sa mère qui était aussi une voyante. Il fallait vraiment que je pèse mes mots. Sofia, je peux te demander si… Cela fait quelques temps que je fait des recherches sur la voyance, et un professeur m’a autorisé à me rendre à la réserve et… et je suis tombée sur un livre qui disait que la voyance est héréditaire, et…et… Et si maman n’était pas ma mère, je… je… elle n’avait pas ce don, et toi non plus alors… Je voyais qu'elle allait vraiment mal. Je devais lui dire. Je ne pouvais pas garder cela plus longtemps. Je serrai de nouveau ma nièce dans mes bras mais plus fort qu'avant. Elle devait se calmer, c'était nécessaire pour qu'elle puisse entendre ce que j'avais à lui dire. Ecoute moi bien Ysolde... Ta mère est ta mère. Tu ne t'es jamais demandée pourquoi tu ne ressemblais pas plus à Wilkes ? Je prenais son visage en souriant. Il était temps. Wilkes ce n'est pas ton vrai père, je veux dire que... Je cherchais mes mots. La langue anglaise n'était pas vraiment mon fort même si elle était bien plus simple que ma propre langue maternelle. Ma sœur a fait croire que tu étais sa fille alors que ce n'était pas le cas... Ton père est un brillant médicomage et... Figure toi que dans sa famille il y a des voyants... Je regardais ma nièce un peu tristement. Ça n'aurait pas du être moi qui aurait du lui apprendre mais plutôt sa propre mère qui était partie bien trop tôt. Tu n'as rien d'une Wilkes Ysolde. Tu es une Manccini mais surement pas une Wilkes. Tu n'as pas à te sentir comme eux je t'assure. Tu fais partie de ma famille et pas de la sienne. Tu n'as plus rien à faire avec eux... Je la prenais dans mes bras. Je savais que ça devait être dur pour elle d'apprendre cela comme ça mais je ne pouvais pas lui annoncer autrement. Je me devais d'être honnête avec elle. Je voulais qu'elle me fasse confiance et pour cela je devais tout lui dire. Je lui parlerai ne t'inquiète pas. Tu pourras lui poser toutes les questions que tu veux très prochainement. Je connaissais Ashton. Il était un homme bien et il voudrait rencontrer sa fille tôt ou tard.
Revenir en haut Aller en bas
Ysölde M. Wilkes McFays
Ysölde M. Wilkes McFays


fondatrice -  prefète de serpentard, attention à vous, je peux éviter la retenue... ou pas.

first Log-in : 29/06/2010
parchemins : 8416

une bonne nouvelle ♫ ysolde Vide
MessageSujet: Re: une bonne nouvelle ♫ ysolde   une bonne nouvelle ♫ ysolde EmptyMer 6 Juin - 19:51

Ysölde était une jeune femme extrêmement sensible, vraiment très sensible, même si parfois elle était très très forte, il lui arrivait d’avoir de grands moments de faiblesse. Elle avait eut une vie assez difficile, même très difficile. Sa naissance avait été facile, même si son père n’avait jamais vraiment aimé avoir une fille de sang mêlé, mais cela s’était complètement aggravée avec la mère et la fille qui avaient pris la fuite, et leur cavale s’était soldée par la mort, ou plutôt ce qui ressemblait à l’assassinat, le meurtre de sa mère. Après, c’était le trou noir, quand elle était allé à sainte mangouste, lors d’un moment d’absence de l’infirmière elle avait regardé son dossier, et après l’accident, elle était tombé dans une sorte de coma de trois jours, et cela s’était soldé par une amnésie longue de onze ans. Le calme plat, dans une vie où elle n’avait le droit de fréquenter qui elle voulait, quand elle voulait. Elle était devenue froide, renfermé, et sa vie avait tourné au cauchemar quand elle avait été fiancé à Ulysse. Là, ça a été le drame. Il avait fait de sa vie un cauchemar, avec lui, elle avait cessé de vivre, devant plus mauvaise, jusqu’au jour elle avait réussi à se libérer, dans le sang, la violence et les larmes. Il l’avait frappé, et la jeune femme avait eut du mal à s’en remettre, même aujourd’hui, elle n’en était pas encore totalement guéri. Ces évènement lui avaient fait du mal, l’avait fragilisé, et aujourd’hui, elle était en larme dans les bras de sa tante, se demandant si sa mère était vraiment sa mère, incapable de concevoir que c’était peut être Wilkes et elle qui n’avaient rien en commun, qu’il n’était pas son père. Cet homme l’avait formaté comme un disque dur, il l’avait faite à son image, il l’avait détruite, avec les années. Ysölde sanglotait, et Sofia la pris alors dans ses bras, le temps de la calmer un peu. Puis, elle dit alors : Ecoute moi bien Ysolde... Ta mère est ta mère. Tu ne t'es jamais demandée pourquoi tu ne ressemblais pas plus à Wilkes ? Elle regarda sa tante l’écoutant. Pourquoi elle ne ressemblait pas à Wilkes, c’était une question qu’elle ne s’était jamais posé. Elle regarda sa tante lui dire des mots qui lui firent l’effet d’une bombe : Wilkes ce n'est pas ton vrai père, je veux dire que... Elle la fixa, elle la fixa littéralement, incapable de dire quoi que ce soit. Si Wilkes n’était pas son père, alors qui était-elle ? Si elle n’était pas une Wilkes, qui était-elle ? Une manccini ? Peut être mais, elle ne méritait pas de porter le nom de Wilkes, tout à coup, c’est comme un monde avec lequel elle avait grandit s’écroulait soudainement. Etrangement, c’était un soulagement. Mais qui était son père ? Ma sœur a fait croire que tu étais sa fille alors que ce n'était pas le cas... Ton père est un brillant médicomage et... Figure toi que dans sa famille il y a des voyants... Pourquoi sa mère avait fait ça, pourquoi ? Elle avait choisi un malade mental pour élever sa fille, elle ne devait pas franchement être saine d’esprit, finalement, elle avait peut être bien choisi Wilkes. Sofia lui parla de son père, un médicomage, ainsi, elle avait vraiment la médicomagie dans le sang, vraiment. Vraiment. Et il y avait des voyants dans sa famille, c’était incroyable. Ysölde, elle, restait totalement muette, choquée, abasourdie. Elle leva les yeux vers sa tante qui à ajouté : Tu n'as rien d'une Wilkes Ysolde. Tu es une Manccini mais surement pas une Wilkes. Tu n'as pas à te sentir comme eux je t'assure. Tu fais partie de ma famille et pas de la sienne. Tu n'as plus rien à faire avec eux... Sa tanta la pris dans ses bras. Ysölde pleurait, mais c’était différent. Elle avait envie de souffler, le fait de savoir qu’elle n’avait rien d’une Wilkes, rien du tout, c’étai parfait, c’était la meilleure vérité la concernant qu’elle avait jamais entendue. Elle ajouta alors : Je lui parlerai ne t'inquiète pas. Tu pourras lui poser toutes les questions que tu veux très prochainement. Qui était-il, c’était la question qui lui brûlait les lèvres, vraiment. Elle renifla, et essaya de calmer ses larmes. Elle ne savait pas quoi dire, elle ne savait pas quoi répondre. Elle dit alors simplement : « Pourquoi elle a fait ça, pourquoi ? Pourquoi elle a choisi Wilkes, hein ? » Des larmes pointèrent encore au coin de ses yeux, cette question la démangeait, plus que jamais. Qu’est ce qui pouvait avoir poussé sa mère à faire ça, elle ne comprenait pas, pas du tout. Ysölde esquissa un sourire, désabusée, soulagée. Soulagée, c’était le mot, et dit alors : « je n’arrive pas à croire que je sois… soulagé. J’ai rien à voir avec ses monstres, par Merlin, merci. » Elle regarda sa tante, et la serra encore une fois dans ses bras. Décidément, Ysölde était affectueuse en ce moment, peut être que le fait de savoir qu’elle n’était pas une Wilkes la faisait devenir humaine, contrairement à ce qu’elle avait pu croire en étant une Wilkes. Elle regarda sa tante et finit cette étreinte en disant : « Tu crois qu’il va vouloir me connaitre ? Tu le connais ? » Elle avait cessé de sangloter.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





une bonne nouvelle ♫ ysolde Vide
MessageSujet: Re: une bonne nouvelle ♫ ysolde   une bonne nouvelle ♫ ysolde Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

une bonne nouvelle ♫ ysolde

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
SALVIO HEXIA :: ACHIVES ::  ::  :: CORBEILLE :: SAISON 2 - Archivage-