MISSION MANGEMORT : AFFAIBLIR L’ENNEMI.

Voldemort leur a donné une mission, stoppez le Cercle, l’affaiblir, et réveiller le Basilic avec du sang de né moldu. Ils profitent de cette vaste plaisanterie – leur espèce de manifestation contre la violence dans le monde de sorcier et ce vieux fou de Dumbledore qui appelle à la cessation de la violence – pour sortir, et emmener quelques personnes avec eux. Ils ont besoin de sang de moldus pour raviver le Basilic qui depuis les années scolaire de Lord Voldemort bien que l’année dernière deux mangemorts aient péri, dévoré par celui-ci, il reste en hibernation, seul le sang de moldu ravivera sa haine. Les mangemorts, dirigés par Amycus Plankett un mangemort envoyé par le ministère en tant que garde chasse à Poudlard. Amycus et les autres mangemorts sortirent discrètement de la grande salle, trainant avec eux des élèves. Rory Lanswood, un sang de bourbe qui leur servirait de sacrifice auprès du basilic, et quelques élèves proches de membre du Cercle Ysölde Wilkes (amie d’Alecto Ogletrhope, bâtarde de sang pur), Morgead Drache (proche de Daegan Redbird), et d’autres innocents à tendance révoltuionnaire. ils feront des bon repas pour le basilic, non ? Trainé dans le couloir après avoir été légèrement assommé, ceux-ci commencent doucement à retrouvé leur esprit, et tout le groupe de se dirige vers les toilettes de Mimie Geignarde dans un seul btu : descendre dans la chambre des secrets. BORDEL ! OUVREZ MOI CETTE PORTE ALLER DU NERFS ! Hurla le mangemort avant de jeter pour "rire" de l'eau sur les "otages" tous appuyé contre les portes des toilettes, ils reprenaient conscience, et il leur dit alors avec une pointe de folie dans le regard : Profitez des rayons de soleils, cela risque d'être les derniers. et ne cherchez pas vos baguette, je les garde dans ma poche.

PNJ :
- Amycus Plankett, le sinistre garde chasse qui est ici depuis le début de l’année, et qui est un mangemort sanguinaire. Tous le monde lui doit le respect, malgré son sang mêlé, il est un homme de confiance de vous savez qui.
- Sveltana Tcheckoff, une élève mangemorte de 13ème année, sang pure d’Europe de l’est est elle élève ici depuis cette année, et une fidèle cinglée de Voldemort qui tuerait même un sang pur pour les beaux yeux de son maitre, unique survivante d’une famille de cinglé.

INSCRITS :
- Andreas Fawkes-Hawthrone (mangemort)
- Madeline Rosier (conservatrice forcée d’être présente)
- Ysölde Wilkes (otage - traitre à son sang)
- Rory Lanswood (otage - sang de bourbe)
- Morgead Zoltan Drache (otage - proche d'une membre du cercle (Daegan))
- Phineus Isaac Harlington (otage - proche d'une sang pure (shanaëlle))
- Karone Nadira Greyback (mangemort)
- Bellatrix V. Wilkes (mangemort)

NOTE : Si vous êtes un mangemort, ne faites pas le malin votre famille compte sur vous, le moindre écart est vous êtes un homme mort, vous êtes sous les ordres d’Amycus et de Sveltana, pas d’écart ils vous tuerons sans grimacer. Si vous êtes « otage » tenez vous tranquille, si vous voulez jouer les héros, le PNJ vous en donnera l’ordre (ou du moins l’autorisation), vous êtes actuellement dans les toilettes de Mimi Geignarde, et les mangemorts essaient d’ouvrir la chambre, en vain, car Voldemort ne leur a pas donné plus de précision !

CE QUE VOUS SAVEZ :
- Vous avez vu les membres du Cercle sortir de la salle et cela vous intrigue, mais votre mission est de réveiller le basilic en le nourrissant avec du sang de bourbe, du sang de membre du Cercle, et du sang de traitre.
- En descendant il va falloir faire attention, c’est à deux doigts de s’écrouler.

NOTE: - 400 mots par réponse merci de ne pas dépasser se montant de mots
- Suivez à la lettre les directives donner par les PNJs qui sais se qui peu se produire. La décision du PNJ est finale.

La jeune femme n’aimait pas les réunions, parce qu’il fallait se taire et ne rien dire. Elle était entré dans la grande salle en dernière, et étrangement, elle s’était senti comme tombé en arrière, comme si soudainement ses forces la quittait. Elle ne tombait pas sur le sol, comme retenu par des bras, pourtant elle n’avait pas eut de visions. Tiré par terre, elle commençait doucement à ouvrir les yeux. Elle était assise sur du carralage humide, et passa une main contre son front, comme sonnée. Elle était dans les toilettes de Mimi Geignarde. Mais qu’est ce qu’elle faisait là ? BORDEL ! OUVREZ MOI CETTE PORTE ALLER DU NERFS ! Elle fut tiré par cette voix qui faisait froid dans le dos. Ysölde sursauta quand de l’eau glaciale l’atteignit elle et les autres. Les autres ? elle tourna la tête pour voir le professeur Harlington, Rory Lanswood, et Morgead, aussi mal en point qu’elle visiblement sonné. Elle tâtonna sa poche comme pour chercher sa baguette quand le fou ajouta : Profitez des rayons de soleils, cela risque d'être les derniers. et ne cherchez pas vos baguette, je les garde dans ma poche. Leur dernier rayon de soleil. Il n’en fallu guère plus pour faire « paniquer » Ysölde, elle observa et cru voir une manque des ténèbres sur le bras de cet homme, et vu les personnes libres de circuler présente, c’était tous des mangemorts, et visiblement les quatre désarmé allaient leur servir à quelque chose. Ysölde n’était pas forcément du genre téméraire, mais elle leva les yeux, que pouvait-ils chercher dans ses toilettes ? Peut être la chambre des secret, l’an dernier, elle avait entendu Ulysse en parler, et sa vision de sa mort corrélait avec cette légende. Elle essaya de bouger, un peu, son bras dans son dos était noué par un lien invisible, et elle avait l’impression qu’il était terriblement engourdie, et elle grimaça légérement. Pourquoi se retrouvait-elle tout le temps dans des situations qu’elle ne supportait pas ? Peut être était-ce à cause du fait qu’elle soit une traitre à son sang qu’elle était leur otage. Mais Ysölde voulait des réponses, et elle interpella le mangemort – d’après lui ils allaient passer du temps ou l’éternité à l’ombre alors autant vivre nos derniers minutes dans le risque : Mais qu'est ce que vous nous voulez ! Elle regretta légèrement d’avoir parlé. Et ravala sa salive, jetant des regards à ses co-otage, et dire qu’il y avait même un professeur. Elle était de retour à Poudlard depuis une semaine, et la jeune femme était déjà dans la merde, si elle avait su, elle ne serait jamais revenue, jamais.

395mots.

Madeline Rosier n'avait jamais eu le choix. Depuis son enfance, ses parents décidés de tout pour elle, et aujourd'hui, ils avait choisit du coup de leur benjamine. Madeline était étiquette comme conservatrices depuis presque un an déjà, parce que c'était ainsi depuis des génération. Le problème de Maddie, c'est qu'elle avait toujours nagée à contre courant, contrairement au reste de sa famille elle était allé à Gryffondor, elle était fière de son sang mais pas folle comme ses et comprenait l’intérêt de préserver sa pureté, ansi ses parents pensaient carrément que les sang purs étaient supérieurs et que les autres étaient des dangers à éliminés. Maddie pensait différemment, mais elle ne pouvait pas se permettre de plonger sa famille dans le déshonneur. Du moins elle ne le pouvait aps jusqu'à il y à quelques mois. Il y à quelques mois, Madeline avait apprit que ses parents venaient de la fiancer à un homme qu'elle détestait, et qu'ils avaient envoyés son fils quelques part en France car il était devenu gênant. C'était l'élément déclencheur. La Gryffondor avait perdu son petit garçon, elle n'avait donc plus rien à perdre. Mais elle n'arrivait toujours pas à faire ce qui était juste et continuer d'obéir aux ordre, en bonne lâche qu'elle était. Elle ne pouvait toujours pas choisir entre ses parents et ses idées. C'est ainsi qu'elle se retrouva dans les toilettes de Mimi Geignarde avec les mangemorts et leurs otages, plutôt qu'à la manifestation pour la paix. Mais les choses pourraient bien changer. Ysolde Wilkes était l'amie de Maddie, et elle faisait partit des otages. C'était plus que ce que pouvait supporter la métamorphomage. Amycus Plankett hurlait des ordres aux élèves. Madeline lui lança un regard rempli de haine mais ne bougea pas. Elle détestait ce genre d'homme qu'elle ne connaissait que trop bien, puisque son père était pareil. Plankett jeta de l'eau sur les otages endormis et Maddie esquissa un geste comme pour leur porter secours mais elle ne l'acheva pas. Ce n'était pas necessaire. se contenta-t-elle de dire d'une voix plate. La Gryffondor était effrayé de ce qui était en train de se passer. Elle devait cependant faire quelque chose, elle savait que ses amis étaient envoyé à la mort, elle ne pouvait rester sans rien faire. Mais elle finirait par trouver quoi faire. Elle se tourna vers Ysolde quand celle ci ouvrit la bouche mais évita son regard.

398 mots

Rory ouvrit les yeux péniblement, son cerveau était en proie à une léthargie qui n’avait rien de naturel. Il regarda autour de lui avec un grognement, dans certaines circonstances il aimait beaucoup être attaché, mais dans des toilettes, entouré de Mangemorts ? Pas sa position préférée. Un mangemort beugla soudain : BORDEL ! OUVREZ MOI CETTE PORTE ALLER DU NERFS ! et Rory ferma les yeux en grognant quand la voix si délicate du crétin dégénéré qui semblait mener la danse résonna douloureusement dans son crâne. Prit d’une panique soudaine il rouvrit les yeux et regarda autour de lui, cherchant une paire d’yeux aussi séduisante que vide. Il poussa un soupir de soulagement, sa Coke n’était pas là. Elle devait être en sécurité avec les autres membres de l’Ordre. Il se détendait quand un Mangemort leur balança de l’eau sur la tronche. Parfait, exactement ce qu’il lui manquait pour bien se réveiller ! Il secoua la tête pour se débarrasser de l’eau qui gouttait sur son visage. Profitez des rayons de soleils, cela risque d'être les derniers. Et ne cherchez pas vos baguettes, je les garde dans ma poche. Rory esquissa un léger sourire. Le mangemort – qui n’était autre que Plankett leur nouveau garde-chasse – venait de leur révéler où se trouvait leurs baguettes… Il baissa les yeux en remarquant un mouvement et croisa le regard du Professeur Harlington, son sourire s’élargit. Sa situation s’améliorait de minutes en minutes. « Evidemment, il a fallut que vous fassiez bien les choses n’est-ce pas, Fawkes… » dit Harlington d’une voix aussi glaciale que son sourire. Le Professeur se pencha ensuite vers lui et lui murmura très discrètement à l’oreille : « Qu’est-ce qu’on fiche ici ? » Rory baissa la tête et chuchota tout aussi discrètement. « Tout ce que je sais, c’est qu’ils doivent ouvrir une porte, qu’on est censé mourir, et que le nouveau garde-chasse a nos baguettes. C’est lui qui mène la danse. » il ajouta ensuite d’un chuchotement à peine audible : « Et ils nous croient complètement désarmés sans nos baguettes. Ces sorciers, ils n’apprendront donc jamais ? » sa voix était clairement amusée. Rory était champion de Krav-Maga, et il savait d’expérience qu’Harlington avait énormément de force. Oh, il n’était pas stupide : il savait qu’ils étaient dans de sales draps. Attachés, Harlington blessé, sans baguette… Mais paniquer n’y changerait rien. Rester calme et réfléchir, par contre…

Andreas était un mangemort, et cela ne le dérangeait pas. Avec les années, il avait appris à accepté cette part sombre qui résidait en lui. Un mangemort est un « méchant » de bien des points de vu, du sien c’était une sorte de solution, d’échappatoire, de rédemption, d’avenir. D’un certain point de vu, le mal se trouvait pour lui dans les moldus, et le fait que non pourvu de magie ils se soient autorisé à ôter la vie de personne qui lui étaient chères lui donnaient purement, et simplement envie de vomir. Bref, quand on lui avait demandé de faire partie de cette mission, il n’avait pas refusé, quand sa fille avait fait des pieds et des mains pour en être, il l’avait punie, trop jeune pour voir et faire ce genre de chose. Aussi étrange que cela puisse paraitre, derrière cet homme sombre se cachait un père aimant. A part sa fille, personne n’avait besoin de connaitre cette facette de lui. « Evidemment, il a fallut que vous fassiez bien les choses n’est-ce pas, Fawkes… » Il fixa alors Harington d’un regard neutre, et esquissa un pauvre sourire avant de rétorquer : « Quand on ne sait rien, on je juge pas Harlington. » trancha Andreas d’une voix froide, et glaciale. Andreas ne supportait pas franchement Plankett, mais bon, il avait été imposé, et il fallait bien un psychopathe dans la place, non ? il regarda Plankett puis Sveltana, cette mangemort de l’est. Et lui dit alors : « Vérifie s’ils sont bien attaché. » Plankett jouait comme un gamin avec les baguettes des otages. Il avait cette lueur de folie dans les yeux, quand soudainement il fixa Madeline Rosier et dit alors froidement : « Rosier, tu compte rester là à ne rien faire, OUVRE CETTE PORTE PAR MERLIN ! » Andeas roula des yeux, cette pauvre gosse n’avait rien demandé. Il s’approcha d’elle, et lui tendit un papier écrit de la main du seigneur des ténèbres lui-même. Et il lui murmura alors tandis que Plankett s’approchait des otages avec une certaine folie dans le regard : « C’est du fourchelangue, lis ça, et il te laissera respirer. » le papier portait l’inscription « ouvre-toi » en fourchelangue. Et comme si de rien n’était il posa de nouveau son regard sur Plankett.

Sveltana était une mangemort de l’est avec un accent russe. Elle s’approcha des otages, et baguettes à la main elle resserra les liens. Et quand elle passa devant Rory elle les serra d’avantage, avec un sourire sadique en murmurant : « Sale sang de bourrrrbe. » elle roulait les « r ». puis elle passa au suivant. Morgead, elle savait qu’il était un proche cousin de quelqu’un du Cercle, elle n’aimait pas le Cercle, ils nuisaient à la grandeur de Voldemort. Elle la poussa alors pour qu’il tombe sur le côté (il était assit), elle rit, elle rit. Elle continua à rire, la folie aussi, sans doute. Elle rit, jusqu’à ce que Mimi Geignarde sorte d’un des toilettes et dit alors de sa voix fluette : « Que faites-vous dans mes toilettes ? » Elle avait l’air apeuré, quand Plankett la fixa, et dit alors froidement : « Dégage Fantôme. » Elle resta là, flottant au dessus du lavabo. Mimi glissa alors jusqu’à la porte du toilette en larme. En passant elle murmura alors au professeur Harington : « Ils vous emmène voir la bête… » Puis elle disparu dans ses toilettes fondant en larmes. Plankett se tourna vers Madeline et lui hurla presque dessus : « Dépêche toi avant que tout le château de ne se ramène ! »

NOTE : En tant qu’admin, et gérant (entre autre) du compte maître du jeu, vous pouvez considérer Andreas comme un PNJ, dans le sens où il va faire « parler » et jouer les autres PNJ, le compte PNJ n’interviendra que te temps à autre ! + le PNJ a le droit de faire plus de 400 mots, sinon, on ne va pas avancer

Ysölde avait mal au poignet. Elle ne se sentait pas bien, elle avait peur. La peur était totalement humaine, et Ysölde ne dérogeait pas à l’humanité. Elle ne savait pas où ils allaient, ni même pourquoi ils étaient là. Elle pouvait comprendre qu’ils prennent quelqu’un comme Lanswood, après tout il était né moldu, et c’était ce qui dérangeait les gens de sang pur, ces mangemorts. Peut être que c’était parce qu’elle était une traitre à son sang, la bâtarde de Wilkes. Mais la présence du professeur harlington, et de Morgead lui échappaient, qu’avaient-ils pu leur faire pour se retrouver ici ? Ysölde regardait impassible, ses mains dans son dos lui faisait mal, quand ce professeur dit alors : « Vérifie s’ils sont bien attaché. » Le professeur parlait à l’autre femme, qui s’approcha d’eux, resserrant leur lien un à un à l’aide de sa baguette, s’acharnant sur ce pauvre Rory en le traitant de sang de bourbe, puis bouscula l’autre, sans crier gare. Quand celle-ci resserra ses liens, la blonde grimaça légèrement. Mais ce qui la mettait hors d’elle était ce crétin qui jouait avec leur baguette. « Que faites-vous dans mes toilettes ? »Dit alors Mimi geignarde en sortant de nulle part. elle l’avait déjà vu cette fantôme, il lui était arrivé de venir pleurer ici l’année dernière, notamment après un entrevue, la dernière entrevue qu’elle avait eut avec Ulysse. Elle l’avait juste aperçu, celle-ci s’était caché dans une cabine de toilette quand elle l’avait vu arrivé. « Dégage Fantôme. » Dit alors le mangemort froidement. Cette pauvre Mimie ne méritait pas tant de froideur, celle-ci dégagea le plancher en murmurant quelque chose, mais le seul mot qu’Ysölde compris fut « Monstre ». quel monstre ? le même monstre qui avait tué Ulysse et l’autre mangemorte en debut d’année ? Avant qu’elle ne parte, ysölde tenta quelque chose. « Mimi va chercher de l’aide je t’en prie ! » Hurla alors Ysölde à l’attention du fantôme, puis resta interdite. Mon dieu, que venait-elle de faire ? Elle s’adossa d’avantage au mur, et elle réalisa que soudain elle avait fait une erreur, ce genre d’appel au secours n’allait sans doute pas être au goût des mangemorts, non, sans doute pas. Mais s’ils n’avaient plus rien à perdre, autant essayer de trouver de l’aide, peut être que mimi les aiderait, elle avait le pouvoir d’aller chercher de l’aide, Dumbledore, n’importe qui !

Madeline n'aimait pas cette situation qu'elle ne pouvait pas contrôlait. Elle agissait complètement contre ses principes, ces principes de tolérance, de non violence. En fait en cet instant Maddie était plus un pantin au mains de ceux qui dirigeait l'opération, elle n'avait plus vraiment de volonté propre. Elle ne pouvait pas désobéir aux ordres sinon ses parents en souffriraient. Mais elle ne pouvait pas non plus conduire ces élèves à la mort, elle savait très bien ce qui attendait au bout du chemin. Elle jeta un regard froid à la russe complètement hystérique. Elle se trouvait au milieu sans rien pouvoir faire. C'était incroyable frustrant de ne pas être capable d'agir dans un moment aussi crucial. Elle sursauta en entendant Plankett prononcer son nom. Rosier, tu compte rester là à ne rien faire, OUVRE CETTE PORTE PAR MERLIN ! Il était tellement hilarant ! Etait-elle censé démonter la pièce brique par brique jusqu'u calmer la folie du chef de la mission ? Et comment je dois m'y prendre ? Pourquoi vous ne vous en occuper pas, VOUS ? demanda-t-elle d'un ton un peu trop agressif. C'est alors que le professeur Fawkes sembla la prendre en pitié il s'approcha d'elle et lui tandis un papier sur lequel était écrit des mots qu'elle ne comprenaient pas. Il lui indiqua qu'il s'agissait de fourchelang et que cela lui permettrait d'ouvrir le passage. La Gryffondor leva un visage paniqué vers le professeur et prit la papier d'une main tremblante. Elle ne pouvait pas faire ça, ouvrir le passage les conduiraient tous à la mort. Je peux pas. dit-elle d'une voix blanche en secouant la tête de gauche à droite. Elle se tourna cependant face au lavabo mais aucun son ne sortit de sa bouche. La Gryffondor imprudente et un peu présomptueuse semblait s'être évanoui, la préfète était d'une pâleur incroyable, incapable d'agir, immobile au milieu de la pièce, le bout de papier serrer dans sa main. Plankett hurla à l'intention de la benjamine des Rosier. Dépêche toi avant que tout le château de ne se ramène ! En réaction à ce coup de gueule inopiné, elle fit tout de même un essai en bredouillant. Elle se tourna vivement vers le mangemort. Je n'y arriverais pas ! Je ne peux pas ! Et elle ne le voulait pas. Elle fit une nouvelle tentative toute aussi hésitante, bégayante et presque inaudible. Le cris d'alerte d'Ysolde eu au moins le mérite de se faire retourner Madeline immédiatement. Elle jeta un regard terrifié à Plankett à et à Sveltana Tcheckoff. Ça ne passerait pas. Elle se rapprocha subrepticement de Fawkes. C'était tout de même un professeur, et Madeline voulait espérer qu'il était un homme, pas juste un monstre. Faites quelque chose ! murmura-t-elle au professeur.

Bellatrix était mangemort, par choix, mais sa présence ici était une obligation, elle suivait tout simplement les autres ... Elle n'était toujours pas arrivée dans les toilettes, non elle montait la garde devant, un air totalement innocent sur son visage, elle allait tout simplement exécuter les ordres, sans rechigner. Même si elle avait pour mission de tuer quelqu'un, elle n'hésiterait pas une seule seconde afin de satisfaire le Seigneur des Ténèbres. Après un moment à surveiller l'entrée des toilettes, elle poussa les portes de la pièce inondée. Elle vit enfin tout les otages, contres les portes des cabinets. Il y avait cet infâme sang-de-bourbe Rory Lanswood, qu'elle regardait avec dégoût, elle était capable de le tuer sans hésitation, sa vie pour elle n'avait absolument aucune valeur. Il y avait Karone aussi, fidèle mangemort à qui elle adressa un léger sourire mauvais, limite moqueur, elle se demandait pourquoi elle avait été recruté, son esprit tordu et psychopathe risquait de gâcher la mission. Elle n'adressa aucun regard à Rosier, qui semblait totalement perdu ici. Morgead, elle ne le connaissait pas, mais si il était là, c'était pour une bonne raison. Elle observa le professeur Harlington, mais ne s'attarda pas sur lui ... Non une personne venait d'attirer toute l'attention de Bella, sa soeur ... Elle resta interdite un moment, sans bouger à la regarder. Sa demi-soeur, traître à son sang ... Bella ne savait pas si elle serait capable de lui faire du mal, alors qu'elle n'hésiterait pas pour les autres. Elle dévisagea Ysölde, reprenant un peu de constance face à la situation. Elle attendait les ordres, regardant Andreas et la Russe qu'elle n'aimait pas d'ailleurs ! « Vous voulez bien ouvrir la porte avant que les autres bozo dans la grande salle ou peut importe qui d’autre découvre nos plans oui! » Bellatrix poussa un soupir en regardant Karone, il fallait absolument qu'elle joue au petit chef ! « Du moment que je ne suis plus ligoté vous allez tous le payer. » Le Serdaigle venait de parler, elle s'approcha de lui avec un sourire malsain. Lui donnant une petite caresse sur la joue. « La ferme tu m'agaces ... » Elle se redressa puis poussa un soupir, tapotant sa baguette magique sur la paume de sa main en s'approchant de Rosier et Andreas.

Ils étaient tous là, et cette Rosier ne semblait pas capable d’ouvrir cette foutue porte. Même avec un papier à lire. Il la regardait, attendant qu’elle fasse quelque chose. Entre temps, la fantôme avait disparu, laissant le temps à la bâtarde de Wilkes de crier à l’attention de celle-ci :« Mimi va chercher de l’aide je t’en prie ! » Andreas était humain, mais crier à l’aide était une idée stupide, une idée suffisamment stupide pour faire démarrer Sveltana au quart de tour. Celle-ci s’approche de ysölde, et lui cracha dessus avant de la gifler : « TA GUEULE BATARDE ! » Cette femme était impulsive, vraiment, et dérangée aussi. Andreas n’aimait pas la folie, pour réaliser les idéaux du lord celui plaçait sa confiance en aussi « fou » que lui ? Peut être. Andreas appréciait ses idéaux, mais pas forcément le personnage, les méthodes lui convenaient, pas l’équipe. Entre temps, Plankett éclata de nouveau de rire, tandis qu’Andreas lui adressa un regard en coin suspect. C’était sans doute quand il vit la tête de cette pauvre madeline Rosier, qui dit alors : « Je n'y arriverais pas ! Je ne peux pas ! » Madeline semblait désespérée. Ou plutôt, elle semblait totalement terrifiée. Elle s’approcha d’Andreas, et lui dit à voix basse, désespérée : « Faites quelque chose ! » Qu’espérait-elle, qu’on lui dise gentiment de partir, et de saluer Dumbledore de notre part ? Franchement. Andreas la fixa, et lui fit un signe non de la tête. Il ne pouvait rien faire de toute façon, il ne pouvait pas, même s’il l’avait voulu, c’était Plankett le maître de cette mission. Son regard croisa alors celui d’harlington qui dit alors : « Vous allez vous décider à nous dire ce qu’on fiche ici ? » Andreas laissa échapper un petit sourire, et répondit simplement : « Oh Harlington, aussi curieux qu’un gosse avant Noël. Patience. » Andreas avait un humour particulier, mais là c’était plutôt du sarcasme, comme s’il n’avait pas remarqué qu’il essayait de gagner du temps, quand cette sang pur blonde dit alors : « Vous voulez bien ouvrir la porte avant que les autres bozo dans la grande salle ou peut importe qui d’autre découvre nos plans oui! » Pour qui se prenait-elle, une sang pure ? Sans doute. Tant d’arrogance, et de directive en une seule phrase, Andreas ne pu s’empêcher de rétorquer : « Si tu savais lire on t’aurais demander de lire ça, mais… » Plankett arriva et arracha des doigts de Madeline ce papier, et lu alors à haute voix « ouvre-toi » en fourchelangue écrit de façon phonétique. D’un coup, les lavabos se mirent en mouvement et une sorte de trou apparu au milieu. Andreas n’en revenait pas, la chambre des secrets était là, en bas, sous leurs pieds. C’était un rêve lui qui avait passé sa scolarité à essayer de résoudre les mystères de la magie, il y en avait un sous ses pieds. Plankett fit une boule de papier et le jeta sur Rory avec violence, et rétorqua alors : « Obligé de le faire, je suis cerné d’incapable, une rouquine qui ne sait pas lire, une blonde qui se prend pour la chef. Andreas, faites moi lever ce petit monde, tout de suite. » Il n’en fallut pas plus à Andreas pour hocher la tête, et baguette à la main, il ordonna aux otages : « Debout ! » entre temps, Plankett dit alors : « Mademoiselle Wilkes, pouvez vous me désigner un des nos charmants… otages, je vous prie. » Il parlait bien sûr à Bellatrix. Andreas ne savait pas ce qu’il avait en tête. « svetlana ! » hurla-t-il alors. « Lève moi cette vermine de sang de bourde, tout de suite ! » Il parlait évidement de Rory, la femme esquissa alors un sourire mesquin et elle s’approcha de lui qui avait les mains lié pour le lever avec force du sol avec brutalité, le tenant alors, enfonçant sa baguette dans sa joue. « Rosier, s’il vous plait, occupez-vous de Mr Harlington, et ne m’obliger pas à… Karona, occupez-vous de l'autre jeune homme, et Wilkes, occuper vous de votre bâtarde. tenez les biens, et gardez les à porteée de baguette, ils sont peut être ligoté, mais c'est de la mauvaise graine, du mauvais sang. » Il marqua une pause, et demanda alors de nouveau à Wilkes, Bellatrix : « Alors, vous m'en avez choisi un ? »

Ysölde avait commis une grave erreur en appelant à l’aide par l’intermédiaire de Mimi Geignarde, mais elle espérait que cette fantôme peureuse allait aller chercher de l’aide, et passer au-delà de sa peur. Mais, de quoi un fantôme pourrait-il avoir peur, franchement ? un fantôme n’a rien a craindre, il est mort. Ysölde craignait la mort, comme tout le monde, mais elle avait le don de la voir venir. Elle avait peur, peur de la réaction de leur kidnapper, elle risquait de faire foirer leur plan, et ça n’allait pas leur plaire. Il ne fallut pas longtemps pour qu’elle s’en rendre compte, quand la mangemort des pays de l’est lui cracha dessus comme si elle était une vulgaire merde, et hurla alors : « TA GUEULE BATARDE ! » Celle-ci la gifla alors avec un certaine violence, mais c’était toujours mieux qu’un sortilège de doloris. Elle baissa les yeux. Il n’en fallu guère plus à la jeune femme pour ne pas oser relever les yeux, elle était sous le choc de l’insulte, de la situation, tout était choquant. Ysölde était suffisamment fragile en ce moment qu’elle prêta à peine attention à maddie, à sa sœur, elle baissait les yeux, fixant le carrelage, comme si elle essayait de se calmer, de calmer sa respiration. Elle réagit alors quand il y eut des mouvements, des lavabos en mouvement. Elle resta tétanisé, l’an dernier elle avait vu ça dans une de ses visions, la même vision qui avait été suivie par la mort d’Ulysse. Elle avait un regard vague, désespérée. (...) Du monde parla, mais Ysölde était ailleurs, quand un nom la ramena alors à la réalité : « Mademoiselle Wilkes, pouvez vous me désigner un des nos charmants… otages, je vous prie. » C’était sa sœur, Ysölde posa un regard sur elle, la fixant. Elle savait que sa sœur était une mangemorte, elle savait qu’elle aimait ça. Enfin, sa sœur… sa « demi-sœur »… elle la fixait, ysolde n’implorait pas de l’aide, elle la fixait, un peu dégouté d’avoir une famille pareille. Entre elle, son père, et Theo, cela faisait une parfait brochette de psycopathe. Ce crétin de mangemort parlait, elle ne l'écoutait pas, fixant sa soeur, quand il dit alors : « Rosier, s’il vous plait, occupez-vous de Mr Harlington, et ne m’obliger pas à… Karona, occupez-vous de l'autre jeune homme, et Wilkes, occuper vous de votre bâtarde. tenez les biens, et gardez les à porteée de baguette, ils sont peut être ligoté, mais c'est de la mauvaise graine, du mauvais sang. »Le mot « bâtarde » la blessait tellement. Elle regarda sa sœur, Ysölde essaya de se lever seul, avec les mains ligoté, c’était impossible. Elle grogna alors. Et le mangemort ajouta alors :« Alors, vous m'en avez choisi un ? » Ysölde le fixa, et essaya de se concentrer peut être dans le but de provoquer une vision. Elle ferma doucement ses yeux feignant de fermé les yeux parce qu’elle allait pleurer par exemple. Mais rien, pourquoi n’arrivait-elle pas à les déclencher. Elle rouvrit les yeux, elle avait tellement peur, même ses mains accroché dans son dos tremblotaient, et elle était à deux doigts de laisser échapper un sanglot.

Madeline était déjà névrosée de nature, mais là elle perdait totalement le contrôle de ses nerfs. Elle se dégoûtait mais n'arrivait pas à agir autrement. Toute cette violence lui donnait la nausée, elle aurait voulu faire quelque chose, elle savait ce qui était bien, et savait que ce qui était en train de ce passr était monstrueux. Mais comment pouvait-elle espérer se rebeller ? Elle savait ce qu'elle avait à faire, mais pas comment le faire. Elle devait libérer les autres et reprendre les baguettes des otages à ce tarée de Plankett, ainsi ensemble ils auraient une chance face aux mangemorts. Mais comment s'y prendre, ils étaient tous sur leur garde, et Madeline savait qu'en tant que Gryffondor, elle était suspecte et qu'ils la surveillait tous de près. Fakes ne pouvait rien faire, bien sur. Cautionnait-il réellement ce qui était en train de se passer ? C'était monstrueux. Ysolde se mangea une gifle magistrale qui révolta la sang et or. Plankett arracha le papier des mains de miss Rosier et lu les inscription. Elle regarda, terrifiée, bouger les lavabos pour laisser place à un trou béant. Par Merlin, la légende de la Chambre des Secrets. C'était repartit pour un tour, pensa-t-elle apeurée. Plankett semblait littéralment exaspéré de voir que ses rdres ne passaient pas vraiment comme une lettre à la poste, surtout avec Maddie. Rosier, s’il vous plait, occupez-vous de Mr Harlington, et ne m’obliger pas à… Madeline se tourna vers le professeur Harlington. Elle se dirigea vers lui, la baguette levait serrait dans sa main tremblante. Elle aurait voulu lui dire qu'elle allait tous les sortir de là, mais d'une part elle ne savait pas comment faire, et d'une autre part elle avait peur d'être entendu. Alors que ses "coéquipier" levaient avec force les élèves, Madeline aida plutôt son professeur à se redresser. Il faut que je tranche les cordes. dit-elle dans un murmure à peine perceptible à l'oreille de Mr Harlington, dans un sursaut de témérité, alors qu'elle aidait le professeur à se relever. Ils étaient tous conduit à la mort, et elle collaborer sans résistance. Non, c'était impossible, elle n'était pas vraiment en train de faire ça. D'ailleurs pourquoi le faisait-elle ? Son fils lui avait été enlevé, elle devait épouser un homme qu'elle détester, ses parents avaient foutu sa soeur dehors et il manquait peu de chose à Maddie pour suivre le même chemin. Seule la profonde affection que son père lui portait l'avait protéger jusqu'ici. Elle devait faire quelque chose, elle ne voulait pas devenir un monstre elle aussi. Si elle était la seule capable d'agir pour ce qu'elle pensait bien, elle devrait le faire. Ce n'était plus une question de volonté, c'était l'ordre des choses, elle ne pouvait pas aller contre ses propres pulsions.

Elle regarda la Russe et Karone avec un air supérieur, d'après Bella, c'était la seule femme qui avait l'honneur de porter la marque des ténèbres. Elle se trouvait vers Andreas, séduite par son charisme et son éloquence ! Si tu savais lire on t’aurais demander de lire ça, mais… Elle laissa échapper un rire discret, regardant Karone qui devait certainement bouillir, elle décida d'en rajouter une couche. « Tiens Karone ! » En désignant une vielle serpillère abandonné dans un coin. « Tu peux te rendre utile en épongeant un peu le sol, c'est inondé ici, et c'est à ta portée ce genre de mission. » Elle lui adressa un sourire totalement faux, avant de l'a dévisager comme-ci elle s'était adresser à un sang-de-bourbe. Le temps passait, la porte n'était toujours pas ouverte et dans ses moments là, un rien pouvait agacer la sang-pure. « C’est ta sœur, ordure ». L'impur avait osé s'adresser à elle ? Elle s'approcha de lui et posa sa baguette sur sa joue, murmurant un sortilège afin que le bout de sa baguette soit aussi tranchant qu'une lame. Elle lui entailla alors violemment la joue en lui répondant. « Elle était, maintenant elle est rien pour moi, comme ta vie qui n'a aucune valeur à mes yeux. Maintenant tu te tais, sinon la prochaine fois, c'est la langue que je te coupe et que j'envoie par beuglante à ta stupide copine. Qui grace à toi, sera la prochaine. » Elle lui donna un coup de pied, ignorant totalement les sévices moral et physique que pouvait subir sa demi-soeur ... Plankett demanda ensuite au groupe de se lever, et il chargea Bellatrix d'une mission. « Mademoiselle Wilkes, pouvez vous me désigner un des nos charmants… otages, je vous prie. » ... « Rosier, s’il vous plait, occupez-vous de Mr Harlington, et ne m’obliger pas à… Karona, occupez-vous de l'autre jeune homme, et Wilkes, occuper vous de votre bâtarde. tenez les biens, et gardez les à porteée de baguette, ils sont peut être ligoté, mais c'est de la mauvaise graine, du mauvais sang. » Elle fit un magnifique sourire à Plankett, et s'approcha de sa soeur pour l'aider à se relever, ne montrant aucune pitié envers elle. Du moins en apparence, car Bella était certainement la plus douée ici pour jouer de son physique. C'est rapidement, discètement et à merveille qu'elle desserra le plus possible les liens de Ysölde en juste quelques secondes, pendant qu'elle l'aidait à se relever, telle une pickpockett. « Alors, vous m'en avez choisi un ? » Dit Plankett, elle désigna l'élève de Serdaigle, Morgead. « Lui. Il avait qu'à se taire tout à l'heure. » Elle se tenait toujours près de sa soeur, sa baguette enfoncé dans sa gorge, toujours aussi coupante comme du rasoir. Dont elle s'amusait à planter pour l'a faire saigner.

POSTE EXPRESS DU PNJ petit poste expresse -même si tout le monde n'a pas eut le temps de réagir - histoire de ne pas stagner sur des détails !

Quand le sang de bourbe mordit sa baguette entre ses dents, le sang de la mangemorte ne fit qu’un tour. Un seul tour. Il avait l’air fin avec une baguette entre ses dents, elle rétorqua alors en riant : « Sale sang de bourbe, tu ne vaux pas mieux qu’un chien, tu n’es bon qu’à aller chercher le bout de bois. Minable. » elle rit alors et lui tomba un coup dans le visage, et de sorte à ce que ça lui fasse lâcher sa baguette, et le poussa alors par terre, pointant sa baguette sur lui. Plankett l’interrompit alors : « Sveltana, ne le tue pas, on a besoin de son sang indigne d’être un sorcier, tiens le bon sang ! » Puis, il jeta un regard à Maddie, visiblement perturbé cette petite. « Impero ! » hurla alors Plankett en pointant sa baguette sur Madeline Rosier. Elle semblait avoir cette attitude si peu sûre d’elle et bien il allait lui donner de l’assurance, sans hésiter. Maintenant, elle était sous contrôle, et agissait comme il le voudrait lui, soit froidement, durement, et telle une mangemort, un peu comme Svetlana finalement. « Lui. Il avait qu'à se taire tout à l'heure. » dit alors bella en désignant l'élève Morgead, lui c'était un proche de membre présumé du Cercle, le pauvre ne devait rien y comprendre, mais c'était le cadet des soucis de Plankett. « Bon choix Miss Wilkes ! » Plankett rit de nouveau et il attrapa violemment Morgead, et s'approcha avec lui de l'entré de la chambre des secrets et dit alors : « Vous nous direz comment c'est en bas. » d'un geste sec, il fit tomber Morgead dans le trou de la chambre. un long boyaux, sombre, froid, et humide. Morgead arriva en bas, et tomba la tête la première contre la sol dur, et se cogna le bras. résultat, un peu de sang sur le visage, une douleur, et une cheville foulée, ou un os cassé, il ne savait pas trop.

En haut, Andreas dit alors : « Rosier et Harlington, allez y, Greyback suivez. » il les regarda assez froidement. Maddie sous impero était une marionette. Puis Plankett fit signe à Svelltana de balancer rory dans le trou, lui eut plus de chance, il arriva à la sorti du boyaux sur ses deux pieds, suivit de près par la mangemorte qui le poussa alors pour qu'il tombe à côté de Morgead. Karone a pu aussi se glisser dans le boyaux et s'n ressortir sans casse, si ce n'est un petit mal de tête après s'être cognée dans le boyaux en sautant. Toujours en haut, Andreas dit alors « Miss Wilkes, après vous. » il fit signe au deux jeunes femmes de descendre, tout de suite. Elles purent elles aussi descendre, sans trop de casse. de son côté, Andreas inspecta les lieux, et vérouilla la porte des toilettes à l'aide d'un puissant sortilège, si cette garce de fantôme était aller cherche du secours, elle ne pourrait pas les ramener enfin... cela allait les ralentir. Plankett le regarda et dit alors : « au moindre mouvement suspect, en bas, fermez-les yeux. » Andreas sourit alors : « le basilic est en sommeil, il ya peu de risque Plankett. » Plankett passa le premier dans le boyaux, et arriva sur ses deux pieds, marchant sur le pied de Rory au passage. Andreas suivit alors, et marcha quant à lui sur le bout du pied d'Ysölde. « mangemorts, restez sur vos gardes ici. Ne les lâchez pas des yeux.» dit-il en parlant des otages.

Ysölde fixait un point dans le vide. Quand sa sœur s’approcha d’elle. Bella et elle n’avaient rien en commun, elles n’éaient que « demi sœur » après tout, et plus tard, ysölde allait découvrir pourquoi elle n’avait rien à voir avec elle, mais plus tard, si elle s’en sortait vivante. Bella s’approcha d’elle, et desserra de façon discrète les liens de Ysölde, celle-ci regarda le sol, ne comprenant pas l’action de sa « sœur ». C’était pendant que sa brune sœur l’aidait à se relever, sous l’ordre de ce foutu mangemort à l’allure de cinglé. Le mangemort avait demandé à Bellatrix de choisir un des otages, elle désigna alors Morgead, par vengeance vis-à-vis de son attitude précédente. Elle dit alors : « Lui. Il avait qu'à se taire tout à l'heure. » Sa sœur était odieuse, enfin elle l’avait toujours été. Ysölde ne comprit pas pourquoi celle-ci avait desserré ses liens. Mais elle n’eut pas le temps d’y penser, déjà Plankett balança Morgead dans le trou, ysölde laissa échapper un cri, un petit cri. Elle voulu se mordre la langue pour ne pas crier plus. Mon dieu, c’était horrible. Ils allaient tous les balancer comme ça. Soudain elle eut de plus en plus peur. « Miss Wilkes, après vous. » Finit alors par dire le professeur Fawkes. Ysölde ne le connaissait pas en tant que professeur, sa matière était très spécifique, et destinée aux élèves de recherches magiques. Elle le regardait. Ysölde ne voulait pas descendre, non elle ne voulait pas, elle hocha la tête pour opposer une résistance. Ses liens étaient presque défait… elle aurait pu partir, elle avait tellement peur. Sous le regard d’Andreas et de Plankett, elle ferma les yeux pour atterir en bas. Le boyaux était froid, humide, elle n’aimait pas cela. Elle arriva en bas après les autres, suivie de près par Bella. Elle trébucha par terre en arrivant en bas, et quand Fawkes arriva il lui marcha sur le pied, sans scrupule. Elle était à genoux par terre, et regarda Morgea dqui était ) côté d’elle, visiblement mal en point. Elle lui murmura alors : « Ca… ca va ? » question stupide. Personne n’allait bien. Elle avait été choqué par maddie qui était désormais sous impero. Elle sentait ses liens se desserrer mais… là, elle n’avait aucune chance de s’en sortir, sans baguette. Elle leva les yeux. Avant d’arriver dans la chambre, il semblait y avoir un long dédale de tunnel. D’après la légende, il y avait une bête ici.

Tous le monde dans la pièce semblait se rendre compte que Madeline Rosier n'avait absolument rien à faire ici. Mais elle y était quand même, elle n'avait pas vraiment le choix. Cependant le moindre de ses geste était tremblant, et la Gryffondor avait bien conscience qu'un soldat qui n'était pas totalement obéissant était le ire des dangers dans une situation comme celle-ci. Elle se retourna vivement quand elle entendit Plankett hurlait le sotilège de l'imperium et ne se rendit à peine compte que celui-ci l'atteignit. Soudain, les choses semblaient d'une facilité déconcertante. Elle ne pensait plus à rien, elle savait ce qu'elle avait à faire, et c'était incroyable facile. Les yeux dans le vague, elle était immobile, la baguette pointé sur son professeur. Il semblait impensable qu'elle se soit souciait d'autre chose que d'obéir aux ordres quelques instants auparavant Dans un petit coin de sa tête, une voix, comme un murmure lointain, semblait lui dire qu'elle n'avait pas à faire ça, qu'elle n'avait pas à obéir. Mais la voix était si faible, pourquoi devrait-elle y prêtait attention ? Alors que pour la première fois depuis des mois tout allait bien, tout était simple ? Elle regarda sans les voir ses condisciple disparaître dans le gouffre noir. Elle savait que ce serait bientôt son tour, mais elle s'en moquait, comme si tout ça n'avait pas d'importance. Rosier et Harlington, allez y, Greyback suivez. En bonne automate, la jeune femme soumise au sortilège conduisit le professeur jusqu'au bord du gouffre et lui fit faire un pas supplémentaire. Sans le voir disparaître à son tour, elle limita et fit un pas dans le vide. Après une descente qui aurait été des plus incroyable dans une autre circonstance, elle finit par arrivait en bas,sur ses deux pieds. Elle n laissait transparaître aucun émotions, ses yeux étaient vides d'expressions. Elle pointa à nouveau sa baguette sur le professeur et n prêta aucune attention à l'arrivé des autres ni à ce qui se passait autour d'elle, comme si elle évoluait dans une réalité différente de la leur. La voix dans sa tête continuait de murmurer, mais elle n'y prêtait pas attention, elle ne voyait pas le problème de ce qu'elle était en train de faire.

CE POSTE SERA COMME CELUI DU PNJ.

C’était humide, glaciale, pire que ça. Ysölde avait froid, et l’atmosphère était lourde, et irrespirable pour elle. Elle détestait les endroits clos, mais c’était encore pire quand les endroits étaient humide, la jeune femme n’aimait pas l’eau, elle préférait les endroits chauds, et le feu plutôt que l’eau. Seule la pluie pouvait l’apaiser, comme la pluie apaisait les flammes. Elle était tombée à genoux à côté du serdaigle, et lui avait rapidement – par pur courtoisie – demandé si cela n’allait pas trop mal. Celui-ci lui répondit alors : « Je te donne un conseil Ysolde, du moment que je réussis à m’échapper si tu veux sauver t’as sœur d’une racler mériter éloigne la de moi… parce qu’elle va y gouter, ils vont tous y gouter. »Dit alors Morgead, malgré la situation, cela fit légèrement sourire ysölde qui ajouta à mi-voix : « Fais-toi plaisir. » l’inimitié entre les sœurs Wilkes était un secret pour personne, malgré tout elles restaient seule, mais là, elle était une mangemorte, et Ysölde allait faire en sorte de sauver sa peau, et éventuellement celle des autres mais… la sienne en priorité. « Est-ce que tu peux bouger ta cheville ? » Demanda alors le grindlemonk au serdaigle, Ysölde regarda en coin et dit alors alors à voix basse : « Elle est foulée, ça se voit. » Oui, elle était apprentie médicomage, elle le savait bien, bien sûr ce n’était pas pour rien qu’elle disait cela, il fallait guérir ça, mais sans baguette, cela allait être difficile, très difficile. Le mangemort, le grand pas beau, Plankett hurla alors : « Arrêtez de jacasser ! ce n’est pas un salon de thé ! »l il hurla alors en faisant signe à Sveltana, et à Andreas de le suivre, celui-ci tenait Maddie par le bras, la tirant avec lui, et celle-ci pointait sa baguette sur le professeur Harlington. Pauvre Maddie, pensa alors Ysölde. Plankett les fixait, Rory, Morgead et elle, quand Ysölde lança sarcastiquement : « c’est sur que si c’était un salon du thé vous auriez fermé pour des raisons évidentes d’hygiènes. » l ysölde se surpris elle-même à dire cela. Elle avait cette double facette dans sa personnalité, cette personne faible, et l’autre personne forte. Elle jeta un regard circulaire pour montrer de quoi elle parlait, cela avait tout l’air d’être une sorte d’égout. « Ta gueule Wilkes ! » Hurla alors Sveltana en pointant sa baguette sur la dénomé Wilkes, la blonde - bien sûr, pas l’autre. Andreas s’approcha et dit alors : « Arrête ça ! Baisse ta baguette Sveltana, tu vas… » blesser quelqu’un ? Oui, certainement, elle était cinglé, celle-ci ne supporta visiblement pas que l’on la contredise et pointa sa baguette sur Andreas et un éclair de couleur en sorti alors, le projettant contre le mur, et un CRAC. Un craquement énorme eut alors lieu, faisant s’écrouler une partie du plafond. Séparant le groupe en deux : Plankett, Rory, Morgead, Ysölde, Bellatrix, Sveltana et Phineus d’un côté, et Andreas, Maddie, et Karone de l’autre. Dans l’éboulement Phineus s’est pris une pierre sur la tête qui le sonne légèrement, Bellatrix s’est pris un coup, mais tient debout, en revanche Sveltana elle s’écroule sur le sol, avec une flaque de sang à côté d’elle. De l’autre côté, le professeur Andreas est mal en point, pour une fois qu'il voulait faire une bonne action, et Maddie est alors libérer du sortilège d’imperium.

C’était le chaos. Ysölde se protègea le visage quand se la poudre due à l’éboulement arriva vers elle, n’était-ce pas le moment opportun pour tenter une évasion. Ses liens étaient presque défaits. Elle réagit rapidement et se leva difficilement, poussa sa sœur pour que celle-ci tombe sur sol, dans la hâte, essaya d’arracher la baguette des mains de celle-ci. Les mangemorts étaient en infériorité de ce côté ci, c’était le moment où jamais. Sauf que Bella était un peu plus résistante que prévu, et lui arracher sa baguette n’était pas chose facile. Sur le sol gisait la baguette de Sveltana, et d’un coup de pied, Ysolde la fit glisser vers ses co-otage, il n’y avait plus qu’à la saisir, le professeur, rory, morgead peut importe, la balle était dans le camp. Ysölde grogna alors en tirant sur la baguette de sa sœur : « Donne-la moi ! » Plankett était lui aussi sonné, pour l’instant…