ϟ Parle moi de ton caractère tel que tu le vois toi, parles sans détours, et je t’écouterais mon enfant,
Oh grand choixpeau magique dont j'ignore encore toute l'histoire, je me demande bien d'où tu viens soit dit en passant. Quoi qu'il en soit, il n,est pas question de ton histoire ici, mais de t'aider à me cerner en tant que personne. Premièrement, sache que je suis quelqu'un de passionné. Tout ce que je fais, je le fais parce que j'ai envie de le faire. J'accorde beaucoup d'importance à ce que me tient à coeur et ce que j'aime par dessus tout. Je ne suis pas une personne de nature très timide, je suis même plutôt, voir même énormément sociable. J'adore rencontrer de nouvelles personnes parce que je juge que tout le monde peut m'apporter quelque chose de nouveau. Bien que ce ne soit pas toujours positif, je reste ouverte à de nouvelles rencontres. C'est notamment pour cette raison que mes parent n'avaient pas peur de m'envoyer à Poudlard. Disons que lorsque tu es la filles d'un militaire qui voyagent énormément et qui, tout comme moi, à fréquenter de nombreuses écoles dans son enfance, tu commences à comprendre les gens et les cerner facilement. Les filles qui se proclament reines de leur école, elles ne te font pas peur. Peu importe ce qu'elles disent, tu les remets à leur place sans difficulté. Tu n'as pas la langue dans ta poche comme dirait mon père, mais je ne suis pas pour autant méchante. Le problème avec une vie nomade comme la mienne, c'est que tu as du mal à trouver des gens à qui tu as envie de te confier. En qui tu peux donner ton entière confiance puisque tu ne sais jamais quand tu vas partir. Tu deviens quelqu'un de réservé, mais tout de même à l'écoute. Étant enfant unique, j'ai toujours eu ce que je voulais. Mes parents croyaient pouvoir combler leurs fréquentes absences par des biens matériels. Je sais que ce n'est pas vraiment une qualité, mais je suis prête à tout pour avoir ce que je veux. Il m'arrive même de manipuler les gens pour y arriver. Je reste néanmoins quelqu'un de loyale et d'assez franche puisque je juge que le plus petit des mensonges peut faire plus de mal que la vérité elle même. Je sais qu'une telle honnêteté à ses mauvais côtés, mais j'aime mieux m'y tenir. Des amis, je ai assez pour être bien, et des connaissances, j'en ai à la tonne. Comme je dis, je n'ai pas la langue dans la poche et je suis assez sociable. Chose certaine, je me la joue un peu prétentieuse. Je ne suis pas fière sur le plan matériel, mais j'adore être la meilleure. C'est mon côté compétitif qui ressort. Je veux constamment être la première, donc je peux travailler comme une dingue pour l'être. Non que je ne désire apprendre, mais seulement pouvoir dire que j'ai eu une meilleure note ou que ma maison à gagner la coupe grâce à mes efforts. Je me considère également comme étant quelqu'un de passablement hautaine.

ϟ Bien, que penses-tu de la création de la maison Grindlemonk, et quelle importance accordes tu à la nature du sang de tes camarades,
Pour ma part, je juge que la création de la maison Grindelmonk est une horreur. La raison est simple, c'est parce qu'ils m'ont confiner dans cette stupide maison contre mon gré. Je ne méritais pas de me voir la magie interdite lorsqu'il n'y a aucun professeur dans les parages. J'ai pour mon dire que ce n'est pas le sang qui fait d'un sorcier ce qu'il ait, mais sa valeur en tant que personne. Si nous avons des baguettes ce n'est pas dut au fait que nous ayons du sang magique, mais parce que nous avons la capacité de faire de la magie. Le sang n'a rien à voir là-dedans, tout comme il n'a rien à voir dans le choix de mes amis. Je me contre-fiche de leur famille, de leurs ancêtres ou de leur richesse. Je suis riche, mes parent sont des moldus, mon père est officier de la marine et n'a pas beaucoup été présente dans mon enfance et j'ai pratiquement été élevée par ma nounou, Macella. Je suis, par défaut classé chez les révolutionnaires, mais si ce n'était pas de mon sang moldu, je ne prendrais pas part à cette guerre d'hémoglobine qui me rend complètement dingue. Je déteste que mes droits soient bafoués, mais ceux des autres, à moins qu'ils ne me demandent de l'aide, ne me concernent pas vraiment. Je n'aime pas me mêler de ce qui ne me regarde pas.

ϟ Le futur a toujours intéressé les sorciers, ceux-ci essayent même de lire l’avenir. Mais, toi, qu’espère tu de l’avenir, quels sont tes buts, tes espérances, mais également tes peurs et tes craintes ? Je veux tout savoir,
Ma plus grande crainte est de me voir privé à jamais de l'utilisation de la magie. J'ai entendu dire des choses sur les gens qui faisaient une « overdose » de flux magique parce qu'ils refusaient d'utiliser la magie. Une telle pathologie fini par les rendre fou et ils meurent généralement de la rebellions de leurs pouvoirs. J'ai également peur qu'on me torture parce que je suis de sang moldu. J'ai peur qu'on décide de s'en prendre à moi de par mon origine alors que je n'ai pas choisis de naître comme je suis née. J'ai peur de ne pas pouvoir fonder une famille normalement ou de la faire souffrir. Je ne sais pas encore ce que je veux faire comme métier dans le futur, mais je désire avoir un emploi stable qui me permette de rester près de ma famille le plus possible. Ne pas trop voyager, ne pas trop travailler également. Peut-être un emploi au ministère de la magie, je ne sais pas.

ϟ Un de tes camarades se fait rouer de coups dans un couloir, et se fait menacer d’une baguette. Vous ne connaissez cette personne que de vu, ou simplement parce que vous êtes en cours avec elle. Que faites-vous ?
Je vais hésiter à m'en mêler pour la simple et bonne raison que je déteste mettre mon nez dans les affaires d'autrui. Pourtant, je risque de lui venir en aide puisque, par un curieux hasard, ses affaires se sont étalés publiquement dans le couloir de l'école et que sa vie est en danger, ou semble l'être. Du coup, je vais m'en prendre à l'intimidateur. Je n'userai pas de ma baguette, connaissant les principes de diplomatie, mais plutôt de ma langue bien pendu ce qui aura, je l'espère, bien plus d'impact qu'une baguette.

ϟ Cancre, élève moyen, élève fainéant, élève doué ? Il est temps pour toi de me dire ce que les professeurs meurent envie de savoir :es-tu un bon élève, ou le fauteur de trouble de la classe ?
Je ne me considère pas comme étant une tête brûlée. Si j'ai de bonnes notes, c'est simplement parce que j'ai pour principe de toujours vouloir être la meilleure. Je suis quelqu'un de très compétitrice et également très déterminée. J'ai envie de constamment être la première dans tout ce que j'accomplis, donc je travaillerai comme un dingue pour être la meilleure. je suis une excellente élève, mais je travaille pour y arriver. Je passe de nombreuses nuits éveillées durant la période d'examen pour arriver en tête de liste des meilleurs étudiants de mon niveau. Je ne suis pas quelqu'un qui ait soif de connaissance, seulement soif d'attention. Je suis même prête à soudoyer mes enseignants pour être la meilleure, s'y bien que j'en ai presque l'air névrosée par moment.

ϟ Si c'était à vous de choisi votre maison, quelle serait-elle ? Et surtout, pourquoi penseriez vous êtes digne d'être membre de cette maison ? J'aime avoir les avis de tout le monde.
Honnêtement, j'ignore complètement quelle maison pourrait me convenir, mais je sais par contre que Poufsouffle n'est pas la meilleure option pour moi. Je ne suis pas aussi doux et porté sur l'amitié que ces étudiants, mais je suis néanmoins très travaillante. En ce qui concerne les aigles, ça reste à voir. Je ne suis pas quelqu'un de très sage, ni même sagace et bien que je sois intelligente et que je réussi très bien à l'école, ce n'est pas tout à fait naturelle. Je suis davantage travaillante, c'est pour quoi j'arrive à mon but. Il y a également cette flamme compétitrice qui brûle en moi. Maintenant Gryffondor, ces chers lions. J'adore les qualité de cette maison, mais là non plus, elles ne me conviennent pas totalement. Je suis courageuse et forte, mais je ne suis pas encline à venir en aide aux autres. Je suis quelqu'un de passablement égoïste. J'ai l'oreille attentive et les conseils faciles, mais je le fais dans une certaine optique sociale dans laquelle je me dis que les écouter et les conseiller, malgré le déplaisir que je peux y prendre parfois ne reviendra un jour. De plus, c'est une certaine assurance sociale qui me permet d'avoir une meilleure image aux yeux des autres. Pour finir, il y a les Serpentard. Ceux qui accordent beaucoup d,importance à la valeur du sang, chose que je ne fais pas du tout. À vrai dire, je m'en fiche complètement. Par contre, j'ai l'intelligence du serpent. Je suis maline et rusée. J'arrive à me mettre qui je veux dans la poche et comme Serpentard lui-même, je parviens toujours à mes fins peu importe la manière de m'y prendre.

ϟ Vous vous souvenez le jour où vous êtes allé chercher votre baguette sur le chemin de travers ? C’est Ollivander qui vous l’as vendue, mais savez vous seulement ce qu’elle contient, et de quoi est-elle composée ?
Ma baguette, elle me vient du chemin de traverse, de chez Ollivander. Ce vieux sorcier semblait bien intéressé par mon origine. Quand nous pénétrâmes dans sa boutique, mes parents et moi, il nous avoua que nous étions ses clients d'origines moldus les plus intéressants qu'il eut rencontré. Il me pausa de nombreuses questions et pris de nombreuses mesures avant de me faire essayer près d'une vingtaine de baguettes toutes différentes les unes des autres. J'ai finalement acheté une baguette en bois de bruyère qui, selon le vieux fabriquant de baguette était le symbole de la passion, de la montagne et de l'été. Parfait pour une jeune fille de l'Australie. Elle contenait en son centre trois crins de licorne femelle et était longue de 24,7 cm. C'est une baguette flexible et ayant une bonne poigne. Une baguette excellente pour les enchantements et les sortilèges très complexes.

Le vent soufflait fort, très fort et c'était vraiment difficile pour des enfants de neuf ans de garder le contrôle sur un voilier. Aujourd'hui, comme de nombreuses fois auparavant, mon père n'avait pas été capable de se libérer pour m'accompagner à mon cours de voile. J'adore la voile, mais au départ j'avais choisis de prendre des cours pour passer du temps avec lui puisque chaque équipe avait besoin d'une moniteur adulte afin de s'assurer que les jeunes soient en mesure de garder le contrôle sur le voilier. Quoiqu'il en soit, mon père n'était pas là, il ventait extrêmement fort et avec Devon, on avait un mal fou à garder le contrôle. « REYNE! DROIT DEVANT, REGARDE! », me cria Devon en essayant de se faire entendre malgré le hurlement du vent et de la mer. Tour en tirant sur la barre, je me retournai afin d'apercevoir ce qu'il voulait me montrer. J'avais comme l'intuition que ce ne serait pas beau. Cette intuition s’avéra fondée lorsqu'en me tournant, je m’aperçut qu'on fonçait droit sur un paquebot. Nous étions sortie de notre zone d,entraînement et malgré nos efforts pour reprendre le dessus, mère nature nous dominait. Nous foncions à grande vitesse sur le paquebot et rien de ce que nous tentions de faire ne pouvait dévier notre trajectoire. Nous n'arrivions même pas à ralentir notre course. Un sentiment de terreur se mêla à la panique qui me dominait déjà. Je savais que nous allions mourir, et j'avais peur. Je ne voulais pas que mon corps coule au fond de la mer de Timor pour ne jamais être retrouvé. J'avais peur de ne pas pouvoir dire aurevoir à mes amis et ma famille. Même que j'étais incapable d'adresser la parole à Devon tellement que la peur me tétanisait. Nous avancions très vite, plus que quelques mètres avant la collision mortel. J'entendis vaguement mon coéquipier me crier de m'accrocher. Je savais que c'était inutile, que nous allions éclater notre voilier en morceaux et que peu importe o`je m'accrochait, j'allais finir par me noyer. Cette prédiction aurait put être vrai si, au moment de la collision, lorsque le voilier éclata en une multitude de pièce, nous ne fîmes un vole plané pour finir sur le pont du paquebot. Je ne m'en rendis pas compte puisque lors de mon atterrissage, je me cognai la tête et perdis connaissance. Mais ce que les matelots racontaient était stupéfiant. Personne ne pouvait expliquer comment deux enfants de neuf ans avaient put survivre à l'écrasement de leur voilier et finir étendu sur le pont d'un paquebot plusieurs mètres plus haut. « C'est de la magie! », disait certain. Je vous assure qu'ils ne pouvaient pas viser mieux!


« Il y a plein de beaux garçons au lycée! », dit Stacey toute excitée. « Tu imagines si nous sortirions toutes avec un garçon plus âge. Ce serait trop la classe et puis Reyne avec ses longs cheveux bruns, elle va toute les faire craquer! », renchérit Mikayla. Nous étions toutes les trois étendues sur la plage profitant du soleil pour nous dorer la peau. Avec Stacey et Mikayla, on se connaissait depuis que nos nounous nous apportaient au parc. Nous avions rapidement sympathisé et depuis mon retour à Darwin l'an dernier, nous étions inséparables. Je les écoutais fabuler sur l'année prochaine. En temps normal, j'aurais participé à leur fabuleuse conversation, c'était généralement moi qui les commençais ces conversations, sauf qu'aujourd'hui je n'avais pas trop le coeur à discuter de ça. La semaine prochaine, je quittais l'Australie pour l'Angleterre. Mon père avait été muté là-bas afin de travailler en tant qu'envoyé politique militaire australien à l'armée anglaise. De coup, je devais, moi aussi, suivre la famille. Moi qui avait toujours vécue en Australie, je devais quitter mon pays natal pour un autre pays qui s'annonçait froid et pluvieux. Selon mes recherches internet, j'avais appris plein de chose sur l'Angleterre. Notamment le climat horrible, il n'y avait presque pas de soleil, et lorsqu'il pointait le bout de son nez, il n'était pas efficace pour le bronzage. De plus, il y avait de la neige dans le pays des anglais et des bus rouges. Je n'avais jamais vu la neige, mais je savais que c'était froid. Je détestais ce qui était froid, donc je détestais déjà la neige ainsi que l'Angleterre. Mes parents m'avaient fait part de notre départ trois semaines auparavant, mais je n'avais toujours pas eu le courage d'annoncer la nouvelle à mes copines. Comment pouvait-on détruire autant la vie d'une adolescente que de l'envoyer dans un autre pays. Au moins, je me consolais, je n'aurais pas besoin d'apprendre une autre langue puisque je parlais déjà l'anglais. « Ça va Reyne? Tu es bien silencieuse aujourd'hui. », s'informa Mikayla qui était la plus observatrice de mes deux amies. « Disons que ça pourrait aller mieux... », dis-je sur un ton évasif. « Que se passe-t-il? Tu n'as pas envie de parler de l'an prochain? », s'informa Stacey. « Honnêtement, pas du tout! Je n'ai pas envie de spéculer sur un avenir qui n,est pas pour moi... » Un silence tomba sur notre petit groupe, le temps que l'information chemine jusqu'à leur cerveau. « Mais de quoi veux-tu bien parler? Tu seras là l'an prochain. Nous serons toutes ensemble au lycée et nous ferons un calvaire! » « Non Stace. Je ne serai pas là puisque je vais en Angleterre. » « Comment ça tu vas en Angleterre? c'est quoi cette histoire de fou? » « Tes parents t'envoie en échange étudiant? C'est bien les échanges, mon frère en à fait un. Il a dit que c'était la meilleure expérience de sa vie! » Je soupirai d'exaspération. Elles ne me rendaient pas la tâche facile avec toute leurs questions. « Je vais en Angleterre parce que mon père y a été muté. Je n'y vais pas pour un échange et puis, de toute manière, les échanges étudiants demandent d'avoir un minimum de seize ans pour y participer. J'ai plus envie de parler de l'an prochain, je vais surfer. Si quelqu'un ça lui dit elle n'a qu'à me suivre, sans quoi, à plus tard... » Malheureusement, personne ne m'accompagna et je ne pus revoir mes copines de la semaine. Je passai leur dire aurevoir le jour de mon départ puis ne les revis plus...


Le son de mes pas résonnait sur les murs des sous-sols. Le cours de potion venait tout juste de terminer et, comme à mon habitude, j'avais été la meilleure. J'aimais être la meilleure. J'étais ambitieuse et c'était une qualité très appréciée par mes enseignants qui adoraient avoir des étudiants au premier plan. Par chance qu'ils n'étaient pas au courant de ce que je faisais par moment pour arriver à être la meilleure. J'avais des techniques pas très très... juste. Il m'était arrivé à de nombreuses reprises d'ajouter un mauvais ingrédient dans le chaudron d'un de mes collèges de classe pour qu'il rate sa potion. J'étais comme ça. Je jouais durement. Le groupe de jeunes étudiantes tourna le coin se dérobant à ma vue. Je me mis à courir derrière elle afin de les rattraper. « Frederika! Attend... », criais-je à l'adolescente rousse qui menait le groupe. Je m'arrêtai à quelques mètres d'elles et continuai le chemin en marchant. La sorcière se retourna faisant voler sa longue et scintillante chevelure rousse autour d'elle. Ses yeux d'une vert profond brillaient de méchanceté en se posant sur moi. Elle afficha son sourire empreint d'une fausse joie et pris de ton sarcastique. « Reyne, ma chérie! Ça fait longtemps! Comment vas-tu? C'est bien le dortoir dans le fond du parc? J'ai entendu dire qu'il y avait des bestioles peu recommandable dans ce coin du parc » Un silence plana une fraction de seconde alors que toutes mes anciennes copines me regardait d'un regard emplie de dégout. « Oups! Je me suis trompé, c'est pas des bestioles, c'est des sang-de-bourbes! » Le groupe de jeune sorcière ricana méchamment. « C'est vrai que c'est mieux de ne pas les fréquenter, ils sont si... eurk! Seulement y penser me donnei des hauts-le-coeur. » Elles me lancèrent un regard dégouté avant de se retourner et reprendre leur chemin me laissant là, planté au milieu du couloir complètement ébahie. Je ne m'étais jamais rendu compte à quelle point les adolescente pouvaient être influençables. Elles se fichaient que je soies de sang moldus avant. C'est vrai que je ne leur en parlais pas couramment, mais elles savaient. Depuis le début des représailles, elles m'avaient rejettées et s'étaient mise à utiliser des mots comme « sang-de-bourbe ». C'était comme si, maintenant, j'avais la peste et que j'allais toutes les contaminer. Des pas vinrent vers moi, mais je ne sortie pas de ma béatitude. Je ne comprenais pas pourquoi. Je n'avais pas changé... « C'est pas grave tu sais. Nous ne sommes pas tous comme elles. », me dit doucement un voix de jeune fille. Me retournant, je reconnu une fille qui était dans mes cours depuis la première année. Sa voix était tout aussi douce que son regard et le sourire qu'elle m'adressa. « Je suis Maude Skeeter! », se présenta-elle en me tendant la main. Sur sa poitrine trônait le blason des serdaigles et ses longs cheveux blonds descendaient en cascade sur ses épaules. Elle semblait si gentille, si fragile. Jettant un regard sombre à sa main, je dédaignai son offre d'amitié. Je n'avais pas envie d'être prise de pitié. Je n'étais pas misérable à ce point. « Je m'en fiche! », dis-je d'un ton froid avant de me retourner et de repartir par le même chemin que les sorcières de tout à l'heure.

ϟ PSEUDO/PRENOM, Liette pour le pseudo, mon prénom est Juliette ^^
ϟ AVATAR CHOISI, La magnifique Hailee Steinfeld
ϟ UN COMMENTAIRE, Ça fait un moment que je regarde le forum. Il est magnifique et très complet. Je l'adore <3
ϟ PRESENCE, 4 sur 7.
ϟ PARRAINAGE,Souhaites-tu un parrain pour t'aider à t'intégrer ? Oui [X] / Non [...]
ϟ LE MOT MAGIQUE, Poudre de perlimpinpin, poudre d’escampette et poudre à cheminette