alaska cleodia parkinson

“and you are the wolf and i am the moon.
and in the endless sky we are but one.
we are alive. in my dreams wolf and i. ”

Lorsque j'ai vu le jour on m'as nommée : Alaska Cléodia Narissa Bow Parkinson. Beaucoup de prénoms, mais on n'en nomme officiellement que deux. Très peu de personnes connaissaient les autres. Ce fameux jour, je l'ai vu le 13 mars 1992 dans le Sud de l’Angleterre, à Wiltshire. Je n'étais pourtant pas la seule à vouloir voir la lumière du jour en cette date et en ce ventre qui menaçait d'exploser. Je me battais déjà contre ma jumelle dans le ventre de notre mère. J'ai gagnée : je suis née en premier. Je suis maintenant âgée de 19 ans et je suis en neuvième année d'études à Poudlard en justice magique. J'aimerais plus tard travailler au ministère de la magie, le plus haut dans la hiérarchie possible. J'ai ma place tout en haut de la pyramide comme l'ont eu les gens du même sang que moi, les sang-mêlés Effectivement, c'est du mélange des sangs que furent tirés les plus grands mages noirs ou blancs.

Samantha, première meilleure amie d'Alaska a écrit:

Lorsque nous arrivèrent à Poudlard, elle ne fut pas particulièrement impressionnée par les lieux. Elle vivait déjà presque dans un château, donc cela ne changeait nullement ses habitudes. Elle n'as pas immédiatement aimé l'école de sorcellerie. Surtout lorsqu'ils nous on fait monter dans ses barques stupides et que ses dents se cognaient ensemble. Mouillé les jeunes sorciers au moins frisquet de septembre, quelle brillante idée, s'était-elle exclamée. Même lorsqu'on fut à l'intérieur du château, je ne crois pas qu'elle fut impressionnée. Elle souriait, comme une princesse, mais ses yeux ne s'ouvrirent pas de surprise. Je crois malgré tout qu'elle était bien à Poudlard, un cercle d'amis impressionnant ne tarda pas à se former autour d'elle. Je crois qu'elle avait perçu l'école de sorcellerie comme étant une opportunité d'élargir sa cours et d'avoir plus d'occasions de pouvoir qu'elle n'en avait déjà.

Alice, suiveuse d'Alaska a écrit:

Alaska est une opportuniste, qui saute sur les occasions de détenir du pouvoir sans trop se soucier de la moralité de ses actes. Étant une fille extrêmement dépendante des autres, elle s'accroche au pouvoir hierarchique des autres plutôt que d'en détenir un à part entière. Elle dépendant des autres pour tout en fait. Elle a besoin d'être admirée et approuvée par les gens qui l'entoure. Seule, elle se sens perdue, désorientée, il est rare qu'elle aille seule ou que ce soit. Elle a toujours quelques copines suiveuses à ses pattes. Alaska est une femme charmeuse et joueuse. Compétitive, mais également très mauvaise perdante. Elle joue, elle aime jouer et cherche des occasions de jouer, mais ne supporte pas la défaite. Alaska est un perfectionniste qui vit dans son petit monde superficielle où toutes les apparences sont irréprochables. Pourtant, au fond de la réalité, tout est sale et pourrit. Alaska aime épater la gallerie et les gens disent qu'elle est éblouissante. Non seulement cette enfant est polie, mais elle est cultivée. Alaska n'est au fond qu'une hypocrite. Certains l'aime bien car elle est bavarde et souriante, mais elle peut également se réveler très directe et même garce. Elle a souvent plus qu'un visage et se joue des gens avec son beau sourire qui n'est pas toujours sincère. La jeune femme est rusée et bornée ce qui est frustrant chez plusieurs qui la voient agir. Alaska est une petite princesse capricieuse qui se complait dans sa cour et sa petite vie facile. Elle ne bosse pas vraiment pour avoir le pouvoir, elle attend qu'il arrive à elle. Madame est quelque peu paresseuse, mais ne lui dites pas, car elle est également susceptible.

Raquel, 7e année, de la même maison qu'Alaska a écrit:

Nous avons déjà parlé ensemble de la création des grindelmonk. Elle a haussé ses épaules avant de dire qu'elle croyait que cela était juste. Elle nous a expliqué qu'elle croyait que c'était pour le bien des autres élèves et pour la sécurité publique. Pas de question de puissance de sang ou de quoi que ce soit pour elle. Elle nous souligné que le sang n'était pas une qualité ou un défaut. Simplement, à Poudlard, les nés-moldus s'étaient réunis pour se rebeller et semer la pagaille. Il était donc logique que l'administration les punissent. Ils ne pouvaient pas rester sans rien faire à accepter que Poudlard soit détruit. Je crois qu'elle a raison au fond, comme elle a dit : c'est pour le plus grand bien.

Sam, son premier petit ami, serpentard a écrit:

Alaska n'as jamais été très claire sur ce qu'elle voulait comme avenir. Elle répétait que le pouvoir était important, sans pourtant préciser comment, quand, pourquoi, ni rien que ce soit. Si vous voulez mon avis, Alaska ne sait pas exactement ce qu'elle veux faire plus tard. Elle joue à sa princesse qui sait ce qu'elle fait et où elle vas, pourtant elle a un regard d'enfant perdue. Vouloir le pouvoir en étant opportuniste, c'est une chose, mais avoir de l'ambition, s'en est une autre. Son futur est flou pour tout le monde, autant moi, que les voyants et qu'elle-même. Par contre, je ne crois pas qu'elle sera une petite sorcière. Elle sera beaucoup plus grande qu'elle ne le crois.

Tobby, camarade de sa maison a écrit:

Un jour j'étais avec Alaska dans les couloirs alors qu'un jeune homme se faisait ruer de coups et menacer avec une baguette. La jeune femme avait été alarmée par les cris du jeune homme et avait fixé son regard sur lui une fraction de secondes. Elle avait ensuite détourné sa tête. Elle semblait dégoûtée et effrayée. Elle serait la main de son petit ami du moment avec beaucoup trop de ferveur. Alaska c'est un trouillarde, elle n'aimait pas ce qui se passait, mais elle n'avait pas le cran d'aller aider le pauvre. Elle s'est éclipser avec son copain très rapidement. Si elle avait été plus courage, je suis certain qu'elle l'aurait aidé. Je le voyais dans ses yeux de chien battu.

Un quelconque professeur a écrit:

Alaska est une bonne élève. Elle veux toujours être parfaite et ne supporte pas le contraire. Ses devoirs sont toujours minutieux et elle s'assure d'avoir lu la matière qu'on abordera avant de se présenter en classe. Il lui est arrivé un jour d'échouer un sortilège qu'on ne pratiquait que pour la première fois. J'ai crus qu'elle allait fondre en larmes lorsqu'elle ne l'as pas eu du premier coup. Elle ne voulait plus tenter le coup, c'était terminé pour elle. Elle est trop dure avec elle-même, surtout qu'elle n'est pas très puissante magiquement et qu'elle n'y accorde pas grande importance. Elle fait ce qu'on lui demande, un point c'est tout. Pourtant, si elle avait un peu d'ambition, elle pourrait devenir tellement plus forte magiquement.

La mère d'Alaska a écrit:

Je ne me souviens pas exactement qui était le vendeur dans la boutique. Je me souviens par contre que la première baguette qu'elle essaya faillit brûler sa soeur, ce à quoi elle souria. La deuxième fut la bonne, une baguette en bois de houx, faisant 27 centimètre et contenant un crin de licorne à l'intérieur. Elle était minutieusement gravée de motifs floraux et était d'une teinte blanchâtre.

Journal intime d'Alaska a écrit:

Dans la famille où je suis née, l'échec n'est pas une option. Ce n'est ni un choix permis ni envisageable si l'ont désir rester dans le manoir Parkinson et dans l'arbre généalogique et également sur le testament pour obtenir l'héritage. Je suis née une nuit d'hiver. Nous sommes nées. Pas comme toutes les autres sorcières du monde magique, c'est-à-dire à Sainte-Mangouste. Non. Nous sommes née chez-nous, dans le manoir Parkinson. Un médecin privé, dans une pièce beaucoup trop luxueuse, sur un lit blanc que le sang tacha. Pas une gamine, mais bien deux. Deux êtres totalement différents et qui ne s'entendraient jamais. La première, en l’occurrence moi, poussa un cri strident alors que l'air entrait dans ses poumons pour la première fois. Les cris ne cessaient pas. Enroulé dans une couverture, on me donna à mon père. Je me calmais un peu. Mon père avait horreur du sang, alors il quitta la pièce en me laissant à mon jeune frère. Ma soeur vit le jours quelques secondes après moi, elle ne poussa qu'un petit cris, puis cessa de pleurer. Ce jours là, comme toujours dans le manoir Parkinson, il faisait froid. Pourtant, Parfait souriait comme il n'avait jamais sourit depuis sa naissance.

Dès qu'on eut l'âge de comprendre, les règles de la maison furent établies. Des règles très strictes auxquelles nous devions nous plier si nous ne voulions pas êtres punis. Pour des enfants de familles normales, ce n'est pas la fin du monde d'être punis. On apprend que ce que l'ont fait est mal et on ne le refait plus. Chez les Parkinson, c'est un peu différent. Dans les caves du manoir, il y a un endroit encore plus glacial que toutes les autres pièces. Nommée la ''Charteuse'', c'était là qu'on recevait notre correction s'il nous arrivait de mal nous conduire. Je n'y suis jamais allée. Ma soeur y est allée alors que dans une dispute que nous avions pour un jouet, elle m'avait frappé. Je me souviens que le regard de mon père avait changé. Il était devenu effrayant. Il s'était approché de la petite blonde et l'avait prise dans ses bras comme un sac de pomme de terre en déclarant. « On va faire un tour dans la chartreuse, ça t'apprendra à frapper ta soeur. » Je n'ai jamais su ce que c'était et je n'ai jamais voulu le savoir. Depuis ce jour, je m’exerçais à tout faire pour ne pas me retrouver la. Velkan et moi avions échangé un regard remplis de peur alors que l'on entendait les cris de ma jumelle. Le lendemain, lorsque ma soeur et moi prenions notre bain sous la surveillance de notre nourrice, j'avais remarqué qu'elle avait de longues marques profondes dans son dos, j'avais eu pitié d'elle, mais je ne lui ai jamais dis. Depuis ma plus tendre enfance, j'ai toujours été en compétition avec ma jumelle. Comme si c'était la seule issue possible. Nous battre pour être différentes et meilleures l'une que l'autre. Parce qu'on étaient nées en même temps et que ni un ni l'autre ne voulaient vivre dans l'ombre de l'autre jumelle. Tout autant que nous ne voulions pas être des amies et perdre notre identité en se faisant appelées : les jumelles. Nous sommes rarement gentilles l'une envers l'autre, mais pourtant, je ne la déteste pas.

Aujourd'hui, je suis une femme bien élevée. Une véritable princesse qui se complaît dans son petit monde de perfection. J'ai présentement un petit ami, mais ce n'est pas vraiment sérieux. On m'as déjà décris ce qu'on ressentait alors qu'on était amoureuse. J'ai eu beaucoup de petits amis, mais je ne crois pas avoir jamais vécu cet amour don tout le monde parle. Parfois je trouve ma vie de princesse ennuyeuse, même si je ne le dis pas. Parfois j'ai l'impression d'être une autre personne que celle que je montre réellement. Je veux faire plaisir à mes parents et aux gens qui m'entourent. Je veux être parfaite pour eux, mais en réalité, je me fou d'être parfaite. J'ai l'impression de ne pas réellement me connaître, ne pas réellement être moi, mais plutôt un masque. Pourtant j'ai peur. Ça aussi je le cache, mais je suis une trouillarde. J'ai peur de faire face à tout. Montrer au monde qui je suis réellement, ça me fou les jetons.

Dernière édition par Alaska C. Parkinson le Dim 2 Sep - 13:13, édité 15 fois

J'ai terminé. Je sais pas trop dans quelle maison je la vois, mais la moins probable est pour moi Serpentard. À vous de voir.