Le deal à ne pas rater :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : où l’acheter ?
Voir le deal

Partagez | 
 

PHOEBE ♥ je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Invité





PHOEBE  ♥  je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur Vide
MessageSujet: PHOEBE ♥ je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur   PHOEBE  ♥  je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur EmptyMar 5 Juin - 4:02



PHOEBE AGATE ORLAGH MAC AN MHÌLEADHA
Mon prénom est Phoebe. Il s'agit du tout premier et du principale qui m'a été donné de porter suite au choix de mes parents. Pourtant, il est rarement utilisé puisque les gens préfère généralement m'appeler Phoeb. Un diminutif qui me convient parfaitement. Je porte également les prénoms de Agate et d'Orlagh qui ne me viennent d'aucun endroit ni personne en particulier. Ils sont jolis et me plaisent bien. Bien que mes prénoms me définissent en tant que personne, le nom de famille, Mac an Mhìleadha, donne hommage à mes origines sorcières puisque mon nom est connus dans notre monde depuis plusieurs générations. Les irlandais d'origine sorcière ont souvent repris l'ancien nom de leur famille afin de démontrer leur différence par rapport aux moldus. C'est justement ce qu'à fait ma famille il y a des générations. Reste de de manière générale, les gens ne disent que Mac Mhìleadha. Ma famille, bien qu'elle ne soit guère de sang pur, connaît un renommé toute particulière de par ses origines toutes particulières, mais personne ne le sait réellement. Du coup, je suis une banale sang-mêlée qui vit le jour à Drogheda en Irlande en Novembre 1987. En ce qui me concerne, je n'ai guère beaucoup d'impact dans le monde puisqu'étant encore jeune, seulement vingt-quatre ans, et fraîchement sortie de Poudlard, je n'ai qu’eus très peu d'occasion de prouver ma valeur. Je suis actuellement chercheuse en muséologie au seins du département de la coopération magique internationale pour le commerce magique international où j'effectue de multiples tâches sans réellement avoir le salaire adéquat. Ajouter à ça le contrôle de diverse langues tels que l'anglais, le français, les runes, le gaélique et le latin ainsi que ses dérivées que j'arrive à comprendre partiellement. Disons que j,ai les qualifications nécessaires... Je supporte néanmoins me disant qu'un jour, j'aurai bien la chance de leur montrer mes talents sur le terrain. J'ai appris de nombreux dialogues en présence de diverses créatures magiques notamment celui des êtres de l'eau. J'arrive également à dialogue avec des géants dans causer de guerre et avec des vélanes, des vampires et des harpies sans décupler leur hargne. Lorsque je ne suis pas à la suite dans mon petit bureau penché sur mes documents, je suis quelque part dans Pré-Au-Lard, village où je réside actuellement. Mon coeur est toujours resté accroché à Poudlard...

PHOEBE  ♥  je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur Srjjxj10

MA PREMIERE IMPRESSION VIS-A-VIS DE POUDLARD
Comme tous les jeunes sorciers élevés dans une famille où l'on pratiquait la magie, j'anticipais le jour où je recevrai ma lettre d'adhésion à Poudlard. Le jour où, alors que j'avais onze ans, un hibou passerais par la fenêtre de notre demeure à Godric's Hollow, au moment du déjeuner, pour déposer cette grosse enveloppe de parchemin sur la table. Déjà trois de mes aînés fréquentaient le collège et tous m'en disaient du bien. Lorsqu'ils revenaient à la maison pour leurs vacances d'été, ils me racontaient toutes les belles choses qu'ils y voyaient et toutes les belles histoires qu'ils y vivaient. Abaigh et Murtagh étaient à Gryffondor alors que Fragan étudiait à Poufsouffle, comme mes parents. Pour ma part, je ne savais pas encore qu'elle serait ma maison, mais la famille toute entière anticipait celle des aigles. J'étais une jeune fille très allumée et avide de connaissances. Avant même d'embarquer dans le Poudlard Express, je connaissais l'Histoire de Poudlard en long et en large. Je l'avais lu et relu à de si nombreuses reprises que j'aurais put en citer des pages entières dans même me tromper d'un mot. Faut dire que j'avais un mémoire visuelle, ce qui était une grande chance puisque toujours, je me souviendrai du jour où je vis le château pour la première fois. Il pleuvait à verse, pourtant, le garde de chasse nous avait assurer qu'il fallait prendre les barques. La pluie était glaciale et la nuit extrêmement noire. Malgré les lanternes accroché à nos pauvres barques décrépites, nous n'arrivions même pas à voir trois mètres devant notre flotte. La surface du lac était brisé par l'orage qui grondait et nous grelottions de froid. Je crus même que j'allais en prendre les orteils, mais toutes mes pensées noires furent réduite à néant lorsque le château apparut devant nos yeux. Bien que tout tremblotant et semblable à une tache de lumière dans le ciel sombre, il était spectaculaire. Si grand et haut perché. Il donnait l'impression d'être le roi du ciel juché sur son trône d'or. J'en oubliai même que le froid et la pluie rageaient tellement la chaleur que m'apportait cette vision était impressionnante. Mon premier jour à Poudalrd fut certainement l'un des plus beaux de ma vie, tout comme les années qui suivirent à l'intérieur de son enceinte.

PHOEBE  ♥  je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur Srjjxj10

JE SUIS LE CHOIXPEAU ET JE SAIS TOUT!
Bonjour à toi, je souhaite de poser des questions auxquels tu répondras franchement, et si tu mens, je le saurai. Cela restera entre toi, et moi, cela m’aidera à trouver quelle maison est faite pour toi mon enfant !



Parle moi de ton caractère tel que tu le vois toi, parles sans détours, et je t’écouterais mon enfant.
Je ne suis pas quelqu’un de compliqué. J’aime les choses simples et qui ne coûte pas réellement cher, mais qui sont grandement utile. Je suis du genre à vivre et me contenter de peu. En se moment, je n’ai pas de relation amoureuse, mais je ne m’en fait pas pur autant. Je me dis que ça arrivera quand ça arrivera. La vie sait bien faire les choses. J’ai pour mon dire qu’il n’y a que l’homme et ses désires insensés qui vient lui mettre un bâton entre les roues. À Poudlard, je n’étais pas la meilleure des élèves, mais j’étais néanmoins très bonne. Je n’excellais pas dans les sortilèges et enchantements complexes, je n’étais certainement pas la meilleure en métamorphose et les potions n’étaient pas non plus ma tasse de thé. J’étais une élève un peu plus théorique que pratique. J’étais particulièrement douée dans la lecture de runes anciennes, l’arithmancie, l’astronomie et l’histoire de la magie. Contrairement à de nombreux élèves de ma maison, je ne jugeais pas les gens de par rapport leur maison ou leur sang. Je n’avais pas pour mon dire, comme la majorité des serdaigles, que pratiquement tous les plus grands sorciers venaient de notre maison. Au contraire, j’étais quelqu’un de très humble qui était prête à laisser sa chance à tout le monde, peu importe ce que l’école entière racontait sur lui. Non, je n’étais pas naïve. J’étais simplement ouverte d’esprit. C’est pour cette raison que l’on m’appréciait. J’avais des amis dans toutes les maisons et de tous les niveaux. Que tu soies le roi des serpentards ou la petite poufsouffle qu’on sous-estime, tous avait la même valeur à mes yeux. Chacun avait son champ de compétence. Ce n’est pas parce que tu n’étais pas un joueur de Quidditch que tu ne pouvais pas être mon ami. J’avais, et j’ai encore, le cœur sur la main. C’est probablement pour cette raison que je suis allée en cursus de recherche lorsque ma huitième année arriva. Je suis quelqu’un d’honnête. Je ne vois pas en quoi le mensonge peut apporter le bonheur. Certes, je ne suis pas pour autant un panier percer, encore moins celle qui gâche une surprise parce qu’elle refuse de mentir. Mais je crois que les mensonges n’a pas lieu d’être tout comme la vantardise et la valeur de sang. Au fond de moi, j’ai le cœur tendre. Je suis de ces filles qui rêvent du prince charmant. Je suis doté d’une fibre hautement romantique. Je suis quelqu’un de doux et de maternel. J’aime prendre soin de moi et de ceux que j’aime. Je suis loyale en amitié et lorsque je donne ma parole, c’est pour la tenir. Je suis quelqu’un de courageux qui n’a pas peur de marcher sur les pieds de ceux que je juge trop envahissants. Chacun à droit à sa place, et la violence n’a pas lieu d’être. Je sais toutefois me montrer très agressive lorsqu’on s’en prend aux plus faibles que soit. Une chose est certaine, si je deviens mère, je risque d’être assez protectrice…

Bien, que penses-tu de la création de la maison Grindlemonk, et quelle importance accordes tu à la nature du sang?
Je crois fermement à l’égalité des sorciers. Je crois même que plus ton sang est impur, plus tu as des choses à apporter au monde magique. S’il n’y aurait jamais eu mélange des sangs, la population magique se serait amoindrie jusqu’à disparaître complètement. Lorsqu’un sang pur se mélange à un sang mêlé, ce n’est pas celui doté de pureté qui apportera de la force puisqu’en lui ne coule que du sang magique, c’est celui dont le sang est mêlé qui rendra le sorcier encore meilleur. Le fait de conserver un sang exempt de tout autre sang les rend faibles. Se sont les moldus qui ont appris à s’adapter à leur milieu par diverses inventions dont nous nous passons puisque nous utilisons de petits sortilèges. Certains vous diront que la magie est exceptionnelle. Je ne vous dis pas le contraire, mais elle est paresseuse. Vous savez, s’il n’y avait pas de moldus, nous ne serions plus si spéciales puisque tous les habitants de la terre serait doté de pouvoir. Alors, où serait la pureté et l’impureté? Alors, si ils sont si importants, pourquoi brimer ceux qui ont la chance de naître dans une civilisation plus développer que la notre pour ensuite avoir la merveilleuse chance de découvrir le revers de la médaille? La maison grindelmonk n’a pas lieux d’être. Tant qu’à y être, nous devrions y placer tous les conservateurs afin de leur faire subir ce qu’ils font subir à des innocents. Puisque eux, qui se présentent comme des tortionnaires, mériteraient grandement tout ce qu’ils font subir aux nés-moldus…

Le futur a toujours intéressé les sorciers, ceux-ci essayent même de lire l’avenir. Mais, toi, qu’espère tu de l’avenir, quels sont tes buts, tes espérances, mais également tes peurs et tes craintes ? Je veux tout savoir !
Je suis déjà dans l'avenir, mais on a toujours un futur, peu importe notre âge. Je pourrais donc dire que j'aimerais avoir un meilleur poste dans le futur. Je ne veux plus être constamment enfermé dans mon bureau, je veux voir le monde et parler avec eux. Être un élément indispensable au département de coopération magique international. Pour ce qui est de ma vie, j'aimerais beaucoup avoir un mari que j'aimerais de tout mon coeur et qui me donnerais de magnifiques enfants. Je veux un monde saint pour élever mes enfants. Un endroit où le sang n'a pas d'importance. Je veux la sécurité et la stabilité. Je ne suis pas quelqu'un de difficile, une petite maison dans un village modeste ferait mon bonheur, du moment que c'est un endroit sécuritaire pour avoir une petite famille. Parlant de famille, je veux que la mienne reste soudée comme elle l'est présentement. Je ne veux pas qu'on se perde de vue parce que la famille est très importante pour moi. De même que je ne veux pas perdre mon meilleur ami. Il est tout pour moi, au même titre que ma famille avec laquelle je partage beaucoup.

Quelqu'un se fait rouer de coups dans la rue, et se fait menacer d’une baguette. Vous ne connaissez cette personne que de vu. Que faites-vous ?
Je suis quelqu'un de pacifique qui ne supporte pas l'injustice. J'adore que tout le monde prenne la place qu'il lui ait dut dans le monde sans empiété sur celle des autres. Je ne suis toutefois pas une personne qui aime se mêler de ce qui ne la regarde pas. Du coup, si j'assiste à une scène je risque de ne guère apprécier. Je resterai donc calme et ferai preuve de diplomatie en essayant de tout régler avec la parole. Si l'agresseur refuse de coopéré, et seulement s'il refuse catégoriquement, je sortirai ma baguette. Faut avouer que je ne suis pas très douée dans la magie active. Je suis bien meilleure dans les arts passifs...

Cancre, élève moyen, élève fainéant, élève doué ? Il est temps pour toi de me dire ce que les professeurs meurent envie de savoir : étais-tu un bon élève, ou le fauteur de trouble de la classe ?
À Poudlard j'étais une élève plutôt douée, mais pas des les cours pratiques. Mon truc était plus la logique. Je suis quelqu'un de très réfléchie, mais toutefois passablement maladroite. Du coup, je passais beaucoup de temps à penser et faire mes devoirs théoriques au point de laisser le côté pratique de côté puisque je ne me trouvais pas tellement douée. Mes professeurs me faisaient pleinement confiance, j'ai donc été nommée préfète de ma maison en huitième. En onzième, on m'envoya étudier le français à Beauxbâtons. C'était un projet assez nouveau du département d'étude en recherche magique, donc très peu d'élèves eurent la chance d'en profiter puisque l'année suivante, le programme à été suspendu à cause des tensions dans le monde magique. Au départ, j'étais sensé étudier en France mes trois dernières années, mais j'ai dut retournée à Poudlard en douzième. Même si ce retour ne m'enchantait guère, je m'appliquai en cours au point de me faire remarqué par mes enseignants. Je n'étais pas le meilleure élève ni même la plus douée, loin de là, mais j'étais douce, travaillante et surtout très appréciée. C'est pourquoi on me nomma préfète en chef lors de ma treizième année. Une année horrible si vous voulez mon avis...

Quelle était ta maison à Poudlard, et pourquoi ?
Lorsque je suis atterrie à Poudlard, j'ai immédiatement été placée chez les serdaigles. Pourtant, je n'avais pas grand chose avec cette maison. Je n'étais pas particulièrement assidue à mon travaille ni même un modèle de perfection. Bien que j'étais doué à l'école, je n'avais pas cette attitude perfectionniste du serdaigle. J'étais néanmoins quelqu'un de réfléchie et de travaillant. J'avais cette petite flamme de folie que les fantômes disaient que l'on retrouvait dans le coeur des vrais serdaigles. Cette petite touche farfelue qui vous rend unique. J'avais tout de même un peu de mal à les croire. À mes yeux, je ressemblais plus aux humbles poufsouffles qu'aux aigles juchés dans leur tour plusieurs mètres au dessus de Poudlard. Je passai néanmoins douze années merveilleuses au sein de cette maison. Je dis douze, non pas parce que j'ai quitter Poudlard avant le temps, mais parce que j'ai passé toute ma onzième année à Beauxbâtons en tant qu'étudiante en langue. J'étais un élément particulièrement doué au sein de Poudlard, du coup ils crurent ingénieux d'accepter ma demande d'étude à l'extérieur sans me demander à repasser l'année que j'avais ratée. Une chance inouïe si vous voulez mon avis.

Vous vous souvenez le jour où vous êtes allé chercher votre baguette sur le chemin de travers ? C’est Ollivander qui vous l’as vendue, mais savez vous seulement ce qu’elle contient, et de quoi est-elle composée ?
J'ai acheté ma baguette chez Ollivander lorsque j'avais onze ans et depuis, je n'ai jamais changé. Je me souviens comment j'avais été intrigué par la fabrication de baguette au moment de ma visite. Je n'arrêtais pas de poser des questions sur comment on fabriquait les baguettes alors qu'on prenait mes mesures et qu'on me faisait essayer un million de baguettes toutes différentes les unes des autres. Je crois que le vendeur a été soulagé lorsque j'ai finalement quitter la boutique avec une baguette en bois d'Ajonc contenant, en son coeur, trois crin de licorneau d'une longueur de 25.3 cm. Relativement souple et très efficace pour les sortilèges de détection.



Dernière édition par Phoebe A. Mac Mhìleadha le Jeu 21 Juin - 0:31, édité 24 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité





PHOEBE  ♥  je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur Vide
MessageSujet: Re: PHOEBE ♥ je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur   PHOEBE  ♥  je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur EmptyMar 5 Juin - 4:03


LE MONDE NOUS SEMBLE SI MERVEILLEUX
L’odeur de la forêt envahissait mes narines. J’avais toujours aimé cette odeur. Elle était caractéristique de ma région de naissance, de ma maison. Il n’y avait pas beaucoup d’arbre ni même de forêt en Irlande, mais ma famille avait sut protéger leur petit coin de paradis depuis des siècles. Cachée derrière un arbre, j’attendais qu’on finisse par me trouver. Je jouais avec Murtagh, Milanka et notre petite voisine moldue, Joella. Maman et papa nous avaient toujours donné la permission de jouer avec elle, mais nous ne devions jamais utiliser notre magie devant elle. Ce n’était pas grave pour moi puisque, même si j’étais âgée de sept ans, je n’avais pas encore fait preuve du moindre don magique. Comme ça s’annonçait, j’allais rester à la maison toute ma vie avec maman et devoir aller étudier un métier moldu dans l’école des moldus. Je n’avais pas envie d’être une cracmole, c’était nul. J’allais devoir regarder Murtagh, Milanka et Wellan rejoindre Abaigh et Fragan à Poudlard sans jamais pouvoir m’y rendre.

Cachée derrière mon arbre, je pensais à plein de chose, mais rien n’avait de lien avec le jeu que nous étions en train de jouer. Perdue dans mes pensées, je n’entendis pas Murtagh qui arriva derrière l’arbre. Il m’attrapa par les épaules me faisant sursauter. « AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH » ,m’écriais-je toute tremblante. Mon frère m’observa un moment avant d’éclater de rire. J’étais furieuse, je détestais royalement qu’on se moque de moi. « Si tu avais vu ta tête! », réussi-t-il à prononcer entre deux soubresaut. Je bouillonnais de rage, le regard remplis de flammes planté sur mon frère. Je me dis que ce serait génial s’il pouvait se retrouver au sommet de l’arbre la tête en bas, comme ça, ce serait à mon tour de rire de lui. Tout juste je pensais à cette agréable vengeance que Murtagh se retrouvait pendu par la cheville à la branche la plus grosse et la plus haute du gros chêne.

Au même moment, Joella et Milanka débarquèrent, certainement attirée par les cris. Ma jeune soeur me fit des gros yeux alors que la petite moldue ouvrait les siens grands, si grands qu'on ne pouvait douter de sa surprise. Elle nous regarda alternativement mon frère et moi, comme incertaine de comment tout ça c'était produit. Les yeux ronds, elle articula d'une voix à peine audible : « Mais... Comment? ». Je regardai Milanka en quête de soutient, mais elle était encore trop na¸ive pour comprendre ce que j'attendais d'elle. Elle se contenta donc d'une réplique qui n'aida en rien la situation. « Phoebe, tu n'avais pas le droit d'utiliser la magie! Maman nous l'as dit plein de fois. » Je vis les yeux de Joella grossir encore. « De... De la magie! » Elle nous regarda tous alternativement, incertaine encore une fois. Après un moment de silence, elle lacha : « Vous êtes tous stupide, la magie, ça n'existe pas! » Bien qu'elle tentait d'avoir l'air courageuse, on sentait bien sa peur qui pointait au fond de sa voix. Murtagh se débattait toujours pendu à sa branche, tentant de se libérer de mon maléfice. Joella leva la tête vers lui, puis me regarda complètement terrorisée. Elle prit finalement les jambes à son coup, nous laissant seuls dans le boisé.

Après ce jour, nous n'eûmes plus jamais de doutes sur mes pouvoirs. J'étais bel et bien une sorcière, mais la découverte de ces derniers ne furent pas des plus simple puisque la petite Joella alla tout raconter à sa mère qui voulut appeler la police. Mon père arriva toutefois à temps pour éviter une erreur fatale qui risquait de dévoilé le secret magique à plusieurs moldus. Il effectua un sortilège d'amnésie sur Joella et sa maman. Après cet incident, nos parents nous interdisèrent tout jeux avec les enfants de moldus. Ils voulaient éviter que d'autre incident du genre ne se produisent. Eux qui avait si souvent réprimer les autres parents de ne pas laisser leurs enfants jouer avec des moldus comprenaient désormais le vrai fondement de cet interdiction. Il y avait une certaine barrière entre les enfants de moldu et ceux de sorciers...


PHOEBE  ♥  je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur Srjjxj10

ET LORSQUE NOUS LE DÉCOUVRONS IL EST ENCORE MIEUX
Les rayonnages s’élevaient autour de moi. Les multitudes de livres qui reposaient doucement sur ces derniers étaient recouvert d’une mince couche de poussière tellement cette partie de la bibliothèque était si peu fréquenter. Je ne comprenais toutefois pas pourquoi s’était ainsi. Les objets magiques, les alchimistes et leur création étaient si passionnants. À Poudlard, les étudiants avaient cette préférence très prononcé pour la magie que l’on dit active. Celle regroupant les sortilèges, la métamorphose, les potions et la défense contre les forces du mal. Pour ma part, j’avais cette inexplicable attirance envers la magie passive. Les objets magiques recelant un potentiel magique incroyable. Un enchantement caché ou un maléfice. Souvent accompagné d’une grande histoire, de runes anciennes et de légendes passionnantes. J’avoue, j’étais passablement rêveuse, mais jamais personne n’avait trouvé à redire contre moi. Ma magie n’était pas des plus puissantes. J’avais passé tout près d’être une cracmole et bien que je m’applique en cours de métamorphose, j’arrivais régulièrement à un résultat désastreux. Ce n’était pas que je ne comprenais pas, c’était que je n’étais tout simplement pas faite pour ça.

J’étais plongée dans la lecture d’un ancien manuel de runes anciennes depuis des heures. J’avais choisis ce cours l’an dernier en sachant pertinemment que la divination et les soins aux créatures magiques n’étaient pas pour moi. J’avais eu raison. L’année tirait à sa fin et j’avais réellement excellé dans ce cours. Le professeur Greyjoy m’avait même dit que j’étais la meilleure élève qu’il n’avait pas vu depuis des années. C’était un honneur venait d’un homme aussi âgé que lui. Il devait approcher de la centaine tellement il était vieux. Je m’appliquais donc à traduire ce texte particulièrement intéressant qu’il nous avait donné en devoir lorsque la bibliothécaire débarqua. « Encore là! J’ai l’impression de devoir te chasser tous les soirs ma petite. » Me retournant, je lui souris. Elle n’avait pas tord. Ces derniers temps, j’étais régulièrement la dernière à rejoindre ma salle commune, préférant de loin travailler dans la bibliothèque où l’ambiance était plus tranquille et propice à l’étude. La vieille dame me rendit mon sourire puis ajouta de sa douce voix : « Allez, ramasse tes choses et file dans ta salle commune avant que tu n’écope d’une retenue pour être rentrée après le couvre-feu. » J’entassai mon matériel scolaire, prenant soins de bien enregistrer mon livre de runes avant de quitter la bibliothèque.

Je mettais tout juste les pieds sans la tour des serdaigles que Lazuli me sautait déjà dessus. « Phoebe, tu sais ce qui s’est passé durant le repas? » Je regardai Laz un moment, incertaine d’où il voulait en venir. Je le connaissais depuis trois ans déjà et il n’avait absolument pas changé. Bien qu’il fût un élève particulièrement brillant, il avait cette étincelle de feu qui brillait constamment en lui le rendant passablement hyperactif. Je n’étais pas particulièrement intéressé par ses ragots, mais il aimait tellement me raconter. « Briand a reçu un balais pendant le souper. Il y avait cinq hiboux pour le trainer tellement le colis était lourds. C’était de ses grands-parents qui lui envoyaient pour sa fête. Il a eu un Mimosa V. Tu te rends compte, il n’est qu’en deuxième année et a le meilleur balais de toute l’école. En plus, il a passé tout près de ne pas être pris dans l’équipe. C’est incroyable! » Alors qu’il parlait, je m’étais approché des fauteuils de cuire où je me laissai tomber. Déposant mon sac sur le sol, je relevai la tête vers Lazuli. « C’est pas si incroyable que ça. La boîte de Pandore et la Pierre Philosophale sont incroyables. Je ne trouve pas qu’un balais soit incroyable… » Je n’aimais tout simplement pas le Quidditch. Trop… Sportif à mon goût. Mais pour Lazuli qui venait d’une famille de moldus, ce sport était une vraie merveille. J’aimais beaucoup mon meilleur ami. Bien que nous n’ayons pas toujours les mêmes opinions, je l’adorais et on s’entendait parfaitement bien. Pas surprenant sachant que je n’avais pratiquement que lui dans mon cercle d’ami… J’étais un peu trop dans mon monde par moment.


PHOEBE  ♥  je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur Srjjxj10

NOUS Y RENCONTRONS DES GENS MERVEILLEUX
Le jeune home s’approcha par derrière me prenant par la taille. Il posa ses lèvres sur la peau douce de mon cou me faisant frissonner. Bien que ces caresses étaient très agréables, je ne lui rendis pas la pareille. « Arrête Étienne! », s’exclama-t-elle d’un accent français très prononcé. « Tu sais bien que je déteste que tu me dérange lorsque je travaille. » Le jeune homme lui lança un regard désespéré. « C’est ça, tu travailles toujours aussi! Autant que je sorte avec une branche se serait plus passionné! » Il soupira et se laissa tomber sur une chaise de bois de la bibliothèque qui grinça sous son poids. Je jetai un regard découragé vers mon matériel scolaire, puis fermai mon bouquin d’histoire de la magie français résignée. J’empilai le tout et fourrai la pile dans mon sac. « Allez vient, on va sortir. T’as raison, j’étudie trop! » Un sourire étira les douces lèvres du jeune homme qui semblait particulièrement heureux. M’attrapant la main, il m’entraina vers la sortie de la bibliothèque. Il était vrai que j’avais passé beaucoup de temps à étudier depuis que j’étais arrivé en France. J’avais pris cette histoire d’échange trop au sérieux, oubliant presque que le plus important était de découvrir une nouvelle culture et de rencontrer de nouvelles personnes. Ma famille, mes amis et Lazuli me manquaient tellement que je me sentais un peu coupable de combler le manque causé par leur absence par la présence de nouvelles personnes. J’avais comme l’impression de les trahir, bien que ce ne fût pas le cas.

Nous arrivâmes à l’extérieur l’air du soir s’engouffra dans mes cheveux. Le vent du printemps était chaud contrairement à celui que nous aurions à la même époque de l’année en Écosse. La main toujours au creux de celle d’Étienne, je le laissai me conduire. Nous dévalâmes les marches du manoir à la grande course sachant qu’il était déjà l’heure du couvre-feu extérieur. Nous courûmes un moment en direction de la rivière avant qu’il ne me pousse derrière une allée d’arbustes. Je me penchai derrière les arbres afin de me soustraire à la vu du patrouilleur qui passait tout près. Regardant mon copain, je ricanai tout bas. J’aimais beaucoup sa présence. Avec lui, c’était toujours une question de surprise et d’inattendu. Ça me changeait drôlement de cette univers prévisible que je m’étais construite. Quelques minutes s’écoulèrent avant que nous osâmes sortir de notre cachette. Me relevant, je lui volai un baiser au passage, attrapai sa main et me remis à courir vers la rivière. À cet endroit, nous savions qu’il n’y avait rien à craindre des patrouilleurs puisqu’ils n’y passaient jamais. Je jetai mon sac contre un arbre sur la berge, me débarrassai de mes chaussures et couru dans l’eau. Bien que le temps était passablement chaud, l’eau était plutôt froide dut à la neige sur les sommets qui ruisselait dans le lit de la rivière. Surprise par le contraste de température, je réprimai un petit cri de surprise, reculant contre Étienne qui était venu me rejoindre sur le bord de la rivière. Il me rattrapa en riant. « C’est pas chaud en avril ! » Je sortie de l’eau, m’accrochant à son cou l’embrassant doucement. Je sentis ses bras passer dans le creux de mon dos, adorant la sensation de chaleur que dégageait son corps contre le mien. « Ce n’est pas grave, tu es là pour me réchauffer ! », lui murmurais-je au creux de l’oreille.

Ma relation avec Étienne ne fit pas long feu. Lorsque je repartis au Royaume –Uni à la fin de l’année, je tentai de garder contact avec lui. Avec les adieux que nous avions échangés, je croyais bien que nous garderions une relation plutôt positive. Il n’en fut rien. Je lui avais écris tous les jours durant près d’un mois, mais je n’avais jamais ne réponse. Je continuais à espérer qu’il finirait par me répondre ou que, peut-être, ses lettres ou les miennes se perdaient en chemin. Rien a faire, son silence persistait jusqu’au jour où je reçu enfin une réponse de sa part. Il me disait s’être fiancé à sa voisine d’enfance et une très bonne amie, une moldue, et qu’il n’avait rien à faire de moi. Que je n’avais été qu’une distraction pour passer le temps. Ce fut un pénible moment et, encore une fois, ce fut Lazuli qui me ramassa à la petite cuillière…


PHOEBE  ♥  je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur Srjjxj10


ET PUIS UN JOUR IL NE NOUS SEMBLE PLUS SI BEAU
Les feuilles mortes jauchaient les rues du petit village commercial. Au loin, on pouvait voir le château de Poudlard se dresser. L’endroit où j’avais passé la majorité de ma vie, soit douze ans. Pieds nues sur le balcon, je regardais le paysage qui me plaisait tant. Lorsque j’avais quitté l’école en juin, j’avais passé tout près de m’exiler en France où le monde magique était moins ébranlé par les guerres et la valeur du sang. Sauf que je n’avais pas put m’enfuir ainsi de se pays qui me plaisait tant. Toute ma vie était ici. Je n’avais plus rien dans le pays du français depuis que je l’avais quitté il y avait un peu plus de deux ans. Je dois avouer que je ne pouvais également pas me résoudre à quitter ma famille, ma langue et laisser mon pays natal sans même chercher à lui venir en aide. Fuir comme une voleuse n’avait pas été une option, mais aujourd’hui, je me sentais comme une épave. Je n’étais plus que l’ombre de moi-même. Comme si le monde avait réussit à me bouffer de l’intérieur comme savait si bien le faire un détraqueur qui administrait son baiser. Une robe de nuit légère pour seul vêtement, je ne ressentais même pas le froid de la saison automnale avancée mordre sur ma peau presque nue. Les larmes coulaient sur mes joues, mais je ne me souciais même pas de les essuyer, les laissant tomber librement. Quelque rue plus loin, un claquement sonore caractéristique du transplanage se fit entendre. Je n’y prêtai même pas attention tellement la douleur qui m’envahissait était profonde. Je gardai le regard fixe de la morte, regardant au loin sans réellement voir.

J’entendis sans entendre les pas qui venaient vers moi, ce fût les intonations masculines dans la voix qui me firent réagir. « Oh Phoebe! Regarde-toi! Viens donc dans mes bras ma pauvre chérie… » Je me retournai, posant mes yeux couleur océan remplis de larmes sur le nouveau venu. Lazuli. Je devais bien me douter qu’il allait finir par arriver tôt ou tard après la lettre que je lui avais envoyée. Nous nous étions rencontré en première année, lors de notre première nuit à Poudlard. Contrairement aux autres élèves de premières années, nous n’avions pas trouvé le sommeil. Moi je me sentais complètement dépassée. Je ne comprenais pas pourquoi j’étais à serdaigle et non chez les lions ou les blaireaux comme le reste de ma famille. Lui, venant d’une famille ne moldu, il avait encore du mal à s’y faire avec toute cette magie. Nous nous étions tous deux retrouvé seuls dans la salle commune alors que tous les autres dormaient. Bien qu’il n’y connaissait rien aux maisons de Poudlard, Lazuli avait sut me réconforter et me rassurer. Depuis cette nuit, il avait toujours été là pour moi. C’était mon meilleur ami, une partie de moi. Nous étions fusionnels… L’année que j’avais passée à Beauxbâtons avait été particulièrement difficile loin de lui. Là-bas , j’étais tombé amoureuse d’un garçon qui avait sut me briser et me faire réellement mal. Lazuli avait fait le voyage par avion pour venir me réconforter. Comme je disais, il avait toujours sut être là pour moi, et encore aujourd’hui, il arrivait pour soigner la douleur que l’âme humaine emplis de malveillance avait sut m’infliger.

Comme un robot, je me réfugiai dans ses bras. J’enfouie mon visage dans son chandail de laine douille et me laissai aller. Je pleurai comme une madeleine des heures durant alors qu’il se contentait de me dire des mots doux et de me caresser le dos. Il n’avait pas besoin de faire un gros discourt, pas lui. Sa simple présence suffisait à me faire le plus grand bien. Lorsque j’en eu le courage, je mangeai un peu, sans avoir réellement faim. J’étais surtout perdue. Je ne comprenais pas pourquoi le monde était ainsi, pourquoi on m’avait enlevé mon père. Pourquoi ils lui avaient pris la vie. Le pire dans tout ça c’est que j’ignorais complètement qui ils étaient…


Dernière édition par Phoebe Mac an Mhìleadha le Ven 22 Juin - 15:41, édité 11 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité





PHOEBE  ♥  je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur Vide
MessageSujet: Re: PHOEBE ♥ je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur   PHOEBE  ♥  je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur EmptyMar 5 Juin - 9:22

Oh qu'elle est belle la Katie PHOEBE  ♥  je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur 429689
(Parcontre on dit pas recherchiste, mais chercheuse PHOEBE  ♥  je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur 194573 )
Bon courage pour cette nouvelle fiche !
Revenir en haut Aller en bas
Invité





PHOEBE  ♥  je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur Vide
MessageSujet: Re: PHOEBE ♥ je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur   PHOEBE  ♥  je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur EmptyMar 5 Juin - 13:48

Merci Timmy PHOEBE  ♥  je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur 469549
Mais je t'assure qu'on dit recherchiste Smile

Citation :
Recherchiste

Personne qui fait des recherches et veille à la sélection et à la préparation des données et des documents nécessaires à l'élaboration du contenu d'une émission de radio ou de télévision, d'un film, d'une pièce de théâtre, d'un livre, d'un produit multimédia, etc. Elle fait des entrevues avec des spécialistes sur les sujets en cause et consulte, en vue de recueillir de l'information, des documents imprimés ou audiovisuels, des bases de données, des banques d'images ou de sons, etc. Elle doit parfois faire certaines démarches pour acquérir des documents ou vérifier les droits protégeant certaines œuvres afin que des ententes d'utilisation soient prises. Elle est amenée également à préparer des résumés de recherche ou à contacter des personnes en vue de leur participation à une émission de télévision ou de radio.

Mais moi je l'entend dans le sens où elle fait un boulot semblable au sein du département, donc non dans l'optique d'une émission de radio ou de télévision, mais pour monter des dossiers importants.
Revenir en haut Aller en bas
Luce Finley Matlin
Luce Finley Matlin


PHOEBE  ♥  je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur Grin10

first Log-in : 29/03/2012
parchemins : 553

PHOEBE  ♥  je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur Vide
MessageSujet: Re: PHOEBE ♥ je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur   PHOEBE  ♥  je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur EmptyMar 5 Juin - 14:26

Recherchiste est un terme de vieux francais et plus ou moin accepter et dans le sens ou tu l'entend ces plus chercheure ou chercheuse que recherchiste tel que timmy la dit. Mais t'as raison le terme existe.

Et rebienvenue avec la magnifique katie holmes
Revenir en haut Aller en bas
Invité





PHOEBE  ♥  je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur Vide
MessageSujet: Re: PHOEBE ♥ je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur   PHOEBE  ♥  je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur EmptyMar 5 Juin - 15:19

Merci Chib PHOEBE  ♥  je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur 469549
J'avais chercher la définition de chercheur et elle ne s'appliquait pas particulièrement à ce que je voulais dire, alors que recherchiste oui. Quoi qu'il en soit, on comprend tous ce que ça veut dire et l'usage de ce terme est très courant dans mon coin ^^ Je pense tut de même à le changer s'il le faut...
Revenir en haut Aller en bas
Ulysse Meriadec Lestrange
Ulysse Meriadec Lestrange


Futés, rusés, tous les qualificatifs sont bons. Nous sommes les héritiers de Salazar.

first Log-in : 18/09/2010
parchemins : 1510

PHOEBE  ♥  je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur Vide
MessageSujet: Re: PHOEBE ♥ je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur   PHOEBE  ♥  je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur EmptyMar 5 Juin - 21:18

KATTTTTIIEE PHOEBE  ♥  je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur 469549
RE-Bienvenue PHOEBE  ♥  je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur 81441
Revenir en haut Aller en bas
Invité





PHOEBE  ♥  je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur Vide
MessageSujet: Re: PHOEBE ♥ je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur   PHOEBE  ♥  je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur EmptyJeu 7 Juin - 15:51

Merci Ulysse PHOEBE  ♥  je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur 469549
Revenir en haut Aller en bas
Danérya Théa Weasley
Danérya Théa Weasley


Fort et courageux comme des lions, nous sommes fiers d'être de la maison de Godric.

first Log-in : 02/04/2012
parchemins : 480

PHOEBE  ♥  je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur Vide
MessageSujet: Re: PHOEBE ♥ je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur   PHOEBE  ♥  je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur EmptyVen 22 Juin - 21:28

je valide, 'noublie pas de tout réserver, avatar et métier !
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





PHOEBE  ♥  je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur Vide
MessageSujet: Re: PHOEBE ♥ je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur   PHOEBE  ♥  je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

PHOEBE ♥ je connais toutes les langues, excepté celle de mon coeur

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
SALVIO HEXIA :: ACHIVES ::  ::  :: CORBEILLE :: SAISON 3 - ARCHIVAGE-