wild awake

La nuit était tombé depuis bien des heures maintenant. Je m'étais quelque peu assoupie sur mon bureau alors que j'essayais une nouvelle fois de terminer mon livre sur la révolution des Gobelins. Je n'avais pas assisté au dîner dans la grande salle tout simplement, car j'étais trop prise par la préparation de mes cours. En effet, comme chaques jours une fois que les cours sont terminés je retourne à mes appartements pour travailler sur mes futurs cours et sur mon livre. Tout ceci me prend un temps considérable. Pour en revenir à mes moutons, il était tard et je n'avais pas sommeille. Je ne savais pas quoi faire, mon livre n'avançait toujours pas et j'étais trop énervé pour continuer ce soir. De plus, j'avais pour une fois un petit creux. Je décida alors de sortir de mon trou pour prendre l'aire. Les couloirs sont vide et sombre à cette heure puisque toutes les lumières ont été éteinte. Pour pouvoir me diriger je fis apparaître une boule de lumière au bout de ma baguette avec le sort Lumos. Je ne sais pas pourquoi, mais j'aime assez bien ses petites balades nocturne. Les couloirs sont calme et vide (enfin normalement). J'arrivis au couloir vide, comme indique son nom il est vide, sa particularité est les nombreux recoins qu'il possède. C'est un lieu idéale pour se cacher a vrai dire. Les élèves sont censé être au lit ou au moins dans leur salle commune. Pourtant, j'entendis des pas arrivés dans ma direction. Je dis alors d'une voix ferme : « Qui est là ? Et que faites-vous là à cette heure ? » Je m'arrêta nette. Les bruits avaient cessé. La personne en question c'était probablement caché dans un des recoins. J'avança alors de quelques pas toujours au aguet de se qu'il se passait. « Sortez de votre cachette, tout ceci ne rime a rien et de toute manière je vous trouverais .. » Cette situation a vrai dire m’agaçais fortement. Je déteste les "sales mômes". Je regarda ici et là où l'élève pourrait être. Soudain, quelqu'un me toucha l'épaule et ceci me fis sursauter. Je me retourna et vis enfin le visage de l'élève au sortie nocturne. « Ah, c'est toi .. » Je connaissais plutôt bien cet élève, il me fait du rente dedans depuis quelques temps. Il vrai que cette agréable de voir que l'on est convoité, mais je suis bien trop veille pour lui ..

J'avais besoin de très peu de sommeil la nuit depuis mon départ qu'on avait considéré comme étant ma mort. Pauvres imbéciles. Au cours des nuits où j'étais au loin, je dormais très peu. Ce régime de vie m'allait et je m'y était un peu trop habitué. Ainsi, la nuit, j'avais du mal à fermer l'oeil. Je tentais de rester sagement dans ma salle commun, mais... Depuis quand Ulysse Lestrange était sage ? C'est ainsi que la pluspart des nuits depuis mon retour, je sortais en douce des cachots pour aller me balader où bon me semblait. Ni les préfets nis les professeurs ou les retenues ne m'effrayaient. J'étais de nouveau le roi du château qui rodait le soir dans son royaume. Il n'y avait personne dans les couloirs, mais je ne cherchais pas la compagnie de qui que ce soit non plus. Celle de Bella n'aurait pas été de refus, par contre. Bella ou tout autre demoiselle. J'aimais les femmes, peu importe si j'étais fiancé. Wilkes et moi ne nous étions rien promis. On aurait probablement des gamins un jour ensemble, mais l'amour n'était pas au rendez-vous. Enfin, c'était ce que je me répétais sans cesse, malgré les caresses tendres que nous avions échangé dans les décombres des souterrains que nous croyons être notre tombeau. J'avançais dans la pénombre en rageant encore contre cette mission que les responsables avaient merveilleusement foiré. Je n'avais pas eu trop de problèmes, malgré cela. Un petit tour dans le bureau du directeur, mon père qui débarquait pour expliquer les évènements de ma résurrection et la blague sordide dont j'avais été victime. En assurant que je venais de débarquer à Poudlard, je me lavais les mains de toute cette histoire. Un jour j'aurais la peau d'Ys, un jour. J'étais arrivé au deuxième étage, dans l'endroit que l'ont nommait ''le couloir vide''. Dénudé de toutes portes et de tous tableau. Ce couloir n'était qu'un passage vers le reste du château. Pourtant, il regorgeait de recoins où se cacher en cas de besoin. Justement, marchant dans le noir, j'aperçu de la lumière au bout de ce couloir. Je me collait contre le mur à ma droite pour ne pas être vu. Pourtant, lorsqu'elle s'était tournée, j'avais reconnu la magnifique professeur d'histoire. « Qui est là ? Et que faites-vous là à cette heure ? » Je ne bougeais plus, attendant qu'elle fasse des pas pour en faire et également me rapprocher d'elle. « Sortez de votre cachette, tout ceci ne rime a rien et de toute manière je vous trouverais .. » J'étais dans son dos alors que l'une de mes mains se glissait doucement sur l'épaule de la professeur qui sursauta. « Ah, c'est toi .. » Un sourire charmeur adressé à la belle blonde alors que ma main glissait doucement le long de son bras jusqu'à aller effleurer le ventre de la femme, à côté de son bras qui pendait. Mon regard fauve et ma voix suave perçant alors la noirceur glaciale.

« Je t'ai fait peur ? Pardonnes-moi... »

Toujours ce sourire aux lèvres alors que je m'approchais un peu trop près d'elle. Tentant de la coincer contre le mur qui était derrière elle. Nous étions loin d'avoir une relation élève-professeur appropriée. Non seulement nous nous tutoyons, mais en plus je la draguais et elle ne semblait pas détester cela.

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Ma relation avec les hommes a toujours été compliqué. Enfin, surtout ces dernières années ... J'ai eu peu d'homme dans ma vie, j'en ai eu qu'un a vrai dire .. Depuis la disparition de Peter, ma relation avec les hommes a changer. En effet, je ne me laisse pas aborder aussi facilement que dans ma jeunesse. (bon je vais éviter de redire ça parce que j'ai l'impression d'être un veille) Et puis ce qui peu paraître étrange c'est qu'aucun d'entre eux ne m'attire, probablement parce que je suis devenus trop exigeante et que je cherche la perfection. Dans tout les cas je ne suis pas une femme facile en encore moins une couguars. Pourquoi je dis ça ? Tout simplement parce que je me fais continuellement (ou peut être que j'exagère un peu) dragué par un de mes élèves. J'ai perdu l'habitude de que l'on me fasse la cour ainsi, en plus les "techniques" de nos jours son bien différente. Bien qu'il est plaisant de se faire courtisé, une relation avec un élève est très peu pour moi. Ce jeune homme m'avais surpris en posant sa main sur mon épaule. Je me retourna alors pour le voir et c'était bien lui, encore une fois ... J'avais l'impression que Ulysse me trouvait toujours dans mes moments de pure solitude. Il glissa lentement sa main sur mon bras et m'effleura le ventre. Je fonça alors les sourcils. Je déteste que l'on touche ou qu'on effleure mon ventre. Puis il reprit avec un voix que je nommerai dure. « Je t'ai fait peur ? Pardonnes-moi... » Il me sourit ensuite avec charme et s'approcha dangereusement de moi. Il s'avançait trop près, bien loin des limites. Je ne bougea pas d'un cil et dit qu'un ton froid : « Arrête ce petit avec moi Ulysse ... Ce n'est pas convenable, je suis trop professeur voyons ! » Mes paroles n'avaient pas l'air de calmer l'entrainte du jeune homme. Je fus obligé de reculer de quelque pas et me retrouvas contre le mur. Ulysse se rapprochait de plus en plus de moi, je ne savais pas quoi. J'étais pratiquement en panique, je dis alors bêtement : « Tu marche sur ma robe ... » Cela n'avait eu une fois encore aucun effet. Soudainement, j'entendis non loin de là une porte s'ouvrir et des pas arriver droit vers nous. Je murmura alors un « Nox » très léger. Malheureusement, cet arrivé imprévus était plus bénéfique pour Ulysse que pour moi puisqu'il se colla à moi pour se "cacher".

La belle blonde n'osait pas ciller alors que le jeune prédateur que j'étais tentait de la coincer pour la dévorer en n'en faisant qu'une bouchée. « Arrête ce petit avec moi Ulysse ... Ce n'est pas convenable, je suis ton professeur voyons ! » Ses mots n'atteignaient pas mes oreilles alors que je continuais à jouer au chat avec elle. « Tu marche sur ma robe ... » M'avait-elle dit alors qu'elle était désespérée de mon attitude. Rien n'y faisait, même une bonne baffe ne me remettrais pas à ma place. J'étais un gamin sans pudeurs ni scrupules et encore moins de morale.

« Tu veux que je t'en débarrasse de ta robe, peut-être ? »

Une voix virile et pleine de sous-entendus. Elle n'avait plus vraiment d'autre choix que d'accepter la situation présente. Reculant, la jolie blonde s'était retrouvée coincée contre le mur. Avant que je n'ai eu le temps de dire quoi que ce soit d'autre un porte avait claquée non-loi d'où nous étions. La femme, prise de panique, s'empêcha d'éteindre sa baguette pour ne pas alerter cet inconnu au bout du couloir vide. Pour ma part, je n'en avais rien à foutre de qui pouvait bien nous surprendre et comment. « Nox » Avait prononcé d'un murmure sa voix délectable avant de nous plonger dans le noir total. Profitant de la pénombre, je l'avais coincée contre le mur, me collant à elle. L'âge ne changeait pas grand chose, j'étais bien plus grand et plus fort que Candice. Mon nez ne tarda pas à se glisser dans le cou de la magnifique femme. Humant son doux parfum qui la suivait en volutes dans la classe alors qu'elle passait entre les bureaux. M’enivrant de son parfum alors que mes mains se glissaient déjà dans son dos brûlant. Mes lèvres succédèrent mon nez sur la gorge de la femme alors que j'y déposait des baisers incendier. Calcinant un peu plus sa peau exquise et si mince qu'on y sentait battre son coeur affolée par l'interdit que venait de franchir son élève. Elle ne pouvait pas hurler ni s'énerver. La personne dont les bas s'étaient stoppés aurait immédiatement été alertée par ses cris. Elle allait probablement me repousser, par contre, comme à chaque fois. Pourtant j'avais l'impression que ses barrières cédaient unes à unes sous les efforts de ma persévérance. Chaque fois elle me permettait d'aller un peu plus loin dans le relation étrange que nous entretenions. Bella n'était pas dans mes pensées à ce moment, ni non plus dans les parages. Oiseau libre, je n'avais aucunes chaînes. Mes fiançailles avec l'autre soeur Wilkes n'avait rien à voir avec les précédentes. La passion était au rendez-vous, mais apparemment pas les sentiments. Ainsi je culbutais de demoiselles en demoiselles, ne pouvant pas refuser de me délecter des peaux sucrées des demoiselles du château.

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Ulysse représentait très bien le stéréotype de sa génération. C'est une personne sans morale et sans limite, un " je m'en foutisme" de première. « Tu veux que je t'en débarrasse de ta robe, peut-être ? » Voilà des paroles pleine de sous-entendus très déplacer ! C'est a vrai dire tout ce que je déteste plus chez les jeunes hommes de nos jours. Ils n'ont aucun respect pour l'autorité ou une personne qui est supérieur. Bien évidement Ulysse profita joyeusement que j'ai éteint la boule de lumière pour aller encore plus loin. Je sentis son souffle sur mon coup. Mon coeur battit chamade et je me suis a respiré plus fort. J'étais très mal alaise. Il posa ensuite ses lèvres sur ma peau et déposa ensuite des baisers. Je me sentais de moins en moins bien. Je ne dit rien et attendis que la personne quitte le couloir pour pouvoir m'échapper. En attendant, je lui parlais en chuchotant :« Ulysse arrête ! » Malheureusement pour moi sa avait une fois encore aucun effet sur le jeune homme. Une fois qu'il eu plus personne je poussa violemment (enfin avec toute mes forces) Ulysse pour pouvoir m'écarter de lui. J'étais un peu énervé, j'alluma alors tout les flambeau du couloir pour y voir claire une bonne fois pour toute. « Non mais tu es devenus fou ou quoi ! Tout d'abord je suis bien trop veille pour toi ! » Je rangea ma baguette dans mon chignon et enleva la poussière du mur de ma robe. « Ne joue pas à sa avec moi ... Tu ne m’aura pas comme les filles de ton âge, je ne ferais pas partie de ta collection Ulysse ! Va jouer ailleurs ... ». Je le regarda dans les yeux. J'étais vraiment énervé maintenant. Tout ceci m’agaçais, je suis une femme qui ne veux d'une simple aventure obsolette dans un coin. « Sur ce ... Bon soir ! » Si ma mère me voyait elle aurait dit que je faisais ma tête de mule une nouvelle. Etant vexé je partis dans direction opposé de ma destination initiale. Ce jeune homme m'avait troubler, il m'avait littéralement embrouiller le cerveau. Le bruit de mes talons résonnèrent dans le couloir vide. Je marchais la tête haute pour montrer ouvertement que j'étais vexer.

Dans la noirceur et le silence, mes mains glissaient sans pudeur sur le corps de la professeur. Elle ne résistait pas beaucoup, me murmurant des petits :« Ulysse arrête ! » Pourtant j'entendais, '' Ulysse continue''. J'étais persuadé qu'au fond elle ne détestait pas que je me colle sur elle de cette façon. Elle se devait d'être respectable vu son statut face à moi, mais le fait qu'elle ne me repousse pas immédiatement me faisait douter de la sincérité de ses refus multiples. Les pas curieux s'étaient alors éloignés jusqu'à ce qu'ils ne soient plus audibles. Mes lèvres n'étaient qu'à quelques centimètres des siennes alors qu'elle usa de toute sa force pour me repousser. Je ne reculais que des quelques pas, ne perdant pas pour autant mon sourire. La professeur en furie avait allumé tous les flambeaux du couloir et je pouvais voir toute la rage dans son regard de feu. « Non mais tu es devenus fou ou quoi ! Tout d'abord je suis bien trop veille pour toi ! » Enlevant la poussière de sa jolie robe avant de ne mettre sa baguette dans son chignon. « Ne joue pas à sa avec moi ... Tu ne m’aura pas comme les filles de ton âge, je ne ferais pas partie de ta collection Ulysse ! Va jouer ailleurs ... » Fixant mes yeux alors que je ne perdais pas le sourire arrogant qui était scotché à mon visage. « Sur ce ... Bon soir ! » Avait-elle dit avant de ne partir, vexée. Je ne laissais pas ses talons claquer bien loin. La rattrapant en saisissant doucement son bras.

« Ima, attend... »

Ma voix s'était fait tendre pour résonner dans les couloirs. L'arrêtant avec douceur pour la faire se retourner, sans pour autant lâcher son bras. Je ne voulais pas que nous nous quittions sur ce froid qu'elle avait créé par orgueil. Je plongeais mon regard de loup dans ses yeux de biche alors que mon pouce caressait doucement son poignet.

« Je ne voulais pas te vexer. Tu sais que j'ai énormément de respect pour toi et que je te met certainement pas dans le même panier que ses pucelles sottes. »

Prenant doucement sa main dans la mienne dans une courbette de révérence avant que je n'embrassa sa main avec une infinie délicatesse. Me relevant ensuite pour la regarder. Je ne lui vouais pas tant de respect que je le prétendais devant elle. Je ne la considérait pas comme une catin, mais je ne le m'était pas sur un piédestal non plus.