J'ai vu Poudlard pour la première fois lorsque je suis entré en première année. Mes parents m'en avaient parlé, mes amis d'enfance plus vieux que moi m'en avait également fait le récit. Poudlard c'est merveilleux, c'est indescriptible, c'est comme une seconde maison, un petit bout de paradis. Je m'attendais donc à quelque chose de très gros. Mes attentes étaient très élevées. Ce fut le coup de foudre alors que dans ses barques on étaient mouillés jusqu'aux os, j’oubliais le froid et tout le reste. Mon premier coup de foudre à vie fut avec cette école. Je l’apprivoisais, mais c'est une bête féroce. Comme une femme, elle est pleine de surprises et je ne m'en lasserais jamais. Je profite de chaque jour passé entre ses murs pour en découvrir un peu plus sur ma douce-aimée. Oh ma belle, ma douce école de sorcellerie.

› Votre camp officiel :[] Le Cercle[] Mangemort  [ X] Ordre de Woodcroft  [] indécis
› Pourquoi choisir ce camp : Parce que quand le gouvernement utilise la répression envers certains membres de la société, la rébellion est un devoir moral. Je ne peux tout de même pas voir des sorciers de talents et d'avenir se faire enlever leurs droits fondamentaux de sorciers en restant les bras croisés à ne rien faire. J'ai choisis la résistance parce que c'est la seule solution plausible. Tous les sorciers devraient être égaux socialement.
› Position sur la nature du sang & sur la création de Grindlemonk : Je crois que c'est une terrible régression. Comme avec les goblins je ne sais plus quel année, cela ne peut mener qu'à la rébellion féroce des nés-moldus. Je suis totalement contre cette maison et je fais tout en mon possible pour aider les gens qui sont malheureusement forcés de se restreindre à ses lois rétrogrades.

Citation :

Comment je suis ? Lorsqu'on ne me connait pas, je n'ai pas l'air franchement sympathique. Lorsqu'on me voit comme ça, dans les couloirs, j'ai l'air mystérieux et dangereux. Je ne suis pas celui qui entamera la conversation en premier, en de rares occasions, oui, mais pas habituellement. Pourtant lorsqu'on m'adresse la parole je suis un type franchement agréable. Je suis un inconditionnel farceur. Même si mes blagues ne plaisent pas à tous, la plupart me trouve amusant. Je ne m'acharne pas sur les plus petits, les plus faibles, les proies faciles. Je m'attaque justement à ceux qui font du mal aux plus faibles. Un genre de robin des bois qui combat les injustices sociales. Cette qualité me rend attachant, car je suis très attentionné. Cela ne me rend pas dépendant pour autant. Je suis un homme très indépendant, je peux facilement subvenir à mes besoins et ce, seul. Pourtant, étant aventureux, la compagnie est toujours appréciée dans les quêtes sans queue ni tête. Heureusement que je suis doué en magie et que je m'en tire avec des blessures mineures. Je suis quelqu'un de droit, juste et honnête. Je ne supporte pas les gens mal intentionnés. Je suis généralement franc, mais je n'ose jamais dire les trucs qui pourraient blesser les gens. Je suis un peu timide niveau sentimental, donc je n'arrive à avouer facilement mes sentiments. Intrépide, je voit rarement le danger dans lequel je fonce. Cela fait de moi quelqu'un de téméraire, mais également de très endurant. Désinvolte, on me considère souvent comme un être arrogant, mais avec les personnes qui le méritent seulement. J'ai une vie instable, mais je suis jeune et c'est parfait ainsi. Je suis immature dans mes blagues de gamins et dans ma façon d'agir. Je suis pourtant très sociable et surtout, j'ai le sens de la famille. Je suis très protecteur envers ma famille et les gens que j'aime.

Le choixpeau qui se pose sur la tête de Sam alors qu'il est affreusement nerveux. L'objet magique émet un grondement alors qu'elle s'amuse à sonder le tête du petit comme le ferait un Legilimens. Maison des Potter, c'est Noël. Il y a des décorations sur les murs et des sourires partout. Tout est parfait, une table est remplie de nourriture appétissante. Il n'y a pas que les Potter à cette table. Les Magnus-Wexford sont également là et il y a aussi des inconnus. Tous le monde rigole. Il fait chaud dans le coeur du petit Potter, celui à travers qui on voit ses réjouissances. La joie, la famille, l'esprit de famille. Potter et l'un de ses copains qui jouent des tours aux jeunes demoiselles présentes à table. Les filles qui cirent, Sam qui rigole, car il ne se préoccupe pas encore des jolies demoiselles. Ce ne sont que des souvenirs de Samwell, qui est assied sur la chaise et qui a l'impression de se faire voiler l'esprit. Puis après les moments heureux où l'ont voit la joie du petit, les moments sérieux. Une gamine qui semble être de la famille et qui pleure dans ses bras. Sam qui s'occupe d'elle. Il déchire un morceau de son t-shirt pour faire un bandage à sa jambe qui saigne, puis il la prend dans ses bras et le souvenir disparaît. Le choixpeau cherche encore, tandis que Sam supplie de ne pas aller à Serpentard. On voit Sam, avec son père. Celui-ci lui fait promettre de garder un secret. Sam accepte. Son paternel lui explique que la loyauté et l'honneur sont tout dans la vie, car si on perd la confiance de quelqu'un, il est très difficile de la retrouvée. Samwell qui tient le secret. Un moment où il passe tout prêt de le dire, mais où il se mord la langue. La fête surprise de sa maman et son papa qui le félicite d'avoir tenu sa langue. Il lui dit qu'il sera un homme droit et juste. Une autre scène où Samwell défend un petit garçon contre un enfant plus grand et plus vieux qu'eux. Il a peur, ce n'est pas un dragon, mais la peur qu'il a est égale. Le garçon plus vieux s'élance pour le frapper, mais Samwell se défend et finit pas l'immobiliser avec un sort. L'autre enfant se sauve et Samwell discute avec l'enfant plus vieux. Il règle les choses, même s'il avait peur du garçon plus vieux. Des choses terribles aussi. Des larmes, des cris, du sang. Une bête qui n'est pas humaine et qui hurle. Une fille blonde qui pleure et qui se cache. Des adolescents qui s'embrassant dans une allée d'un magasin de jouet moldus. Un souper romantique qui se finis sur le plancher. Un couple heureux, puis un couple gâché. Samwell qui soupire alors qu'il lit une lettre. Samwell qui hurle, qui fait ses valises. Des images de toutes sortes d'endroits dans le monde. De la douleur, de la peine, de la difficulté. Samwell qui est devant les grilles du château et qui hésite, pour finalement revenir. Puis le choixpeau regarde dans le futur. Des enfants qui rient et qui crient. Sam qui rigole. Samwell qui sourit, qui est heureux. Une fille. Une femme, qu'il aime de tout son coeur. Le choixpeau qui s'exclame alors : GRYFFONDOR !. Le jeune homme est soulagé et souriant. Il s'empresse d'aller retrouvé ses copains qu'il avait déjà rencontré dans le train alors qu'il sait que le choixpeau à fait le bon choix. Ce truc est certainement de la magie noire...

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