La maison des Oswinds était en somme toute modeste, pour ne pas dire spartiates. On ne pouvait pas dire qu’ils roulaient sur l’or, comment auraient-ils pu ? Mycroft Oswinds était un employé du ministère de la magie au département de justice, il n’était pas à un poste important, il était plutôt du genre à classer les papiers, à se taire, et surtout à ne pas se mettre en avant. Quant à Hestel Oswinds née Duval était une sorcier d’origine française qui avait connu son époux lors d’un échange scolaire et qui travaillait dans un service où elle n’était ni plus ni moins que secrétaire. Alors, avec des jobs aussi peu valorisants, il ne fallait pas s’attendre à gagner des millions. Leur maison était à leur image : minuscule, passe partout, insignifiante. Ils vivaient dans la banlieue de Londres, dans un petit village – si petit que tout le monde se connaissait – leur maison était sur la rue principale qui se trouvait aussi être la seule rue, et il y avait une petite clôture balance, et derrière une modeste demeure avec un seule étage, la façade était terne, cela faisait des mois qu’Hestel essayait de convaincre son mari de s’atteler à la rénovation de celle-ci, mais il s’esquivait sans cesse. Ils vivaient paisiblement, tous les deux, et pour parfaire leur soit disant bonheur ils avaient décidé d’avoir un enfant. Hestel était enceinte de huit mois et elle n’avait jamais été aussi belle. A vrai dire, elle avait mûrit durant sa grossesse, elle qui avant était une jeune femme très effacée, qui se cachait derrière ses cheveux bruns avec une longue frange, ses hormones l’avaient fait évolué, pour devenir une femme plutôt jolie, et qui s’affirmait d’avantage – surtout quand il s’agissait de mener son mari à la baguette pour qu’il lui apporte une chocogrenouille. Mycroft était heureux à l’idée d’être père, mais il était surtout dépasser, la métamorphose de sa femme le surprenait et de nature jaloux il n’aimait pas les regards que l’on posait sur sa femme. Mais être père, cela ne le rassurait pas, en effet avec son propre père il n’avait pas eut un véritable modèle, celui-ci travaillait beaucoup et avait délaissé sa vie de famille durant des années, creusant un vide entre lui et sa famille.

C’était la nuit du 13 au 14 décembre de l’année dix neuf cent quatre vingt, Hestel était assise dans la lit familiale entrain de lire un livre qui parlait des contes pour enfant, elle avait envie d’être fin prête pour l’arriver de leur petite fille. Elle ne voulait pas être une mère ridicule, elle qui avait pourtant été élevée dans une famille unie et aimante avait peur de ne pas être à la hauteur. Soudain, elle écarquilla les yeux, Nom d’une chouette, elle venait de perdre les eaux. Elle jeta un regard alerté vers son mari qui dormait à point fermé, comme si son travail minable pouvait l’épuiser, pensa-t-elle énervée, elle avait tendance à se dire que son mari ne faisait pas tout ce qu’il fallait pour subvenir aux besoins de sa famille. Elle lui tapota l’épaule et dit alors en le secouant : « - Mycroft par la barbe de ce vieux Merlin, réveille-toi ! » Celui-ci tiqua un peu, et grogna quelque mots : « - Hestel, laisse moi dormir… » Il se tourna alors, et elle le toisa avant de dire et de se lever du lit : « -Bien, j’vais accoucher tout seule, père indigne ! » C’était les hormones couplées à la douleur, elle était avec un sale caractère depuis qu’elle était enceinte. Le mot accoucher le fit se dresser droit dans son lit. « -QUOI ?» « - Accouchement, tu sais, le moment où notre fille va naître, mais si tu préfère dormir, tant pis pour toi ! » Elle était debout, presque habillée, sa valise à la main, prête à transplaner, le temps pour Mycroft de sauter du lit et de la suivre. Quand on a des parents tellement insignifiant et basique, c’est un enfant…insignifiant ? Non, qui rêve de devenir quelqu’un.

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L’accouchement était long, trop long. Hestel n’en pouvait plus, la médicomage avait tardé à lui donné une potion pour apaiser sa douleur, entre temps, Mycroft s’était évanoui, et sa femme l’avait traité de tout les noms. Entre larmes, cris, et surtout crise de couple était née une petite fille à la chevelure courte mais déjà très brune, une petite fille de trois kilo cent deux, un beau petit bébé de cinquante centimètre. Hestel était vidée était la tenait dans ses bras, fières, mais surtout exténuée. Elle n’avait pas encore de nom, mais ses parents s’étaient mis d’accord sur le nom depuis pas mal de temps. Mycroft avait fini par se réveillé, et il regardait sa fille avec de grand yeux, elle était belle, et en même temps quand sa femme lui demanda de la prendre, il eut peur de la toucher, comme si… comme s’il allait la briser en mille morceau. « - N’ai pas peur, My’, c’est ta fille, c’est notre petite Dorcas, prends-là ! » « - Mais, si… je la fais tomber. » « – Prends-là, je t’en prie. » Il affronta sa peur et pris la petite fille dans ses bras, les yeux clos, elle braillait. Mycroft la tenait, mais il tremblait un peu, quand il arriva alors a articuler, en essayant de ne pas trop être terrifié : « - Elle te ressemble, elle est… si petite. Regarde ses petites mains, c’est… ses petits poings serrée. » Il esquissa un sourire, et se fit soudainement plus sûr et la tint plus fermement, en la balançant légèrement, puis, il parvint à la bercer, et les cris cessèrent un peu, doucement.

La petite fille était née, Dorcas Minversa Oswdalds, fille d’Hestel et Mycroft Oswalds, suite à sa naissance, ses deux grands-mères étaient venues la voir et un débat sur le choix du prénom avait alors commencé. Elle tenait ses prénoms de ses deux grands-mères, mais… Dorcas venait en première position, alors la grand-mère paternelle avait protesté, et cela avait duré pendant des jours. Pour leur prochain enfant, il leur fallait choisir un prénom qui ne créerait pas de discorde dans leur famille. Mais, Mycroft préférait tellement la famille de son épouse, elle était unie, et presque parfaite, alors que la sienne ne l’était pas vraiment. Dorcas n’allait pas tarder à grandir et à devenir une petite fille intelligente. Mais elle était née dans une famille insignifiante, elle n’allait pas tarder à le regretter, sa famille n’était rien, elle n’avait jamais été quelque chose. Ses parents sont sans ambitions, sans rêves. Suite à sa grossesse, Hestel a même arrêté de travailler, car elle a fait une dépression suite à sa grossesse, et elle a perdu sa joie de vivre, devant une femme au foyer, effacée, frêle et presque muette. La vie de la famille sans histoire allait finir par prendre un autre tournant.

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« - Maman, où est passé Ruth ? » Demanda Dorcas alors âgée de treize ans, c’était les vacances d’été, Ruth était sa petite sœur qui était âgée de six ans. Ruth était une enfant un peu en retard, elle n’avait pas encore manifestée le moindre signe de magie, jamais. Ses parents commençaient à être inquiets, et si leur dernière enfant était une cracmole ? Mais, Dorcas s’en moquait éperdument comme la première baguette d’un sorcier, c’était sa petite sœur et elle l’aimait. Sa mère haussa alors les épaules, Hestel n’était plus la femme qu’elle avait été, celle-ci c’était même mise à boire quand elle avait découvert suite à sa seconde grossesse que son mari la trompait avec une femme plus belle, et plus jeune qu’elle. Quand sa mère haussa les épaules, Dorcas fut d’avantage exaspéré. Des fois, il lui arrivait d’avoir l’impression qu’elle était le seul être responsable de cette famille. Son père les fuyait pour retrouver son amante, et essayait de couvrir de cadeau ses filles avec l’argent qu’il n’avait pas, comme si les biens matériels pouvaient remplacer un père. Dorcas regarda et vit la baie vitrée du salon qui donnait sur la rue grande ouverte. C’était certain, Ruth était sortie. Prise de panique, Dorcas sorti alors tandis que sa mère était assise les yeux vitreux dans la cuisine entrain de préparer la citrouille pour la soupe. Leur quartier était assez « sorcier », ils avaient pas mal de voisin qui travaillaient au ministère, et en cette soirée d’été, les jeunes avaient tendance à trainer dehors. Elle ne la vit pas, Ruth était portée disparue, quand soudainement, elle entendit crier, sa sœur était en danger. « - Sang de bourbe, crève ! » Avait hurlé un type en jetant un sort Dorcas pris pour un « Endoloris », l’autre lui dit alors : « - Ca se trouve c’est une cracamole, frappe là Arthy ! » Dorcas était tétanisée, complètement, mais les visages de ses hommes se gravèrent dans son esprit. Derrière elle, son père arriva et dit alors : « Bonsoir ché… » Il ne finit pas sa phrase et vit son autre fille se faire passer à tabac par deux hommes qui l’insultaient. Pour la première fois de sa vie : il fit quelque chose pour sa famille. Dorcas restait pétrifiée, elle n’avait pas de courage, mais elle était terrifiée, elle vit son père commettre le pire : tuer ces deux hommes de sang froid, sans leur donner une chance, sans leur laisser le temps de respirer, de fuir. Cela avait beau pour sauver Ruth, Dorcas n’avait plus jamais osé regarder son père en face. Ruth était en larme au sol, et pleurait en disant des choses incohérentes, Mycroft lâcha sa baguette et recula, regardant ses mains, horrifié par ce qu’il venait de faire. Elle se précipita pour prendre Ruth dans ses bras, cette fois ci, elle semblait définitivement avoir perdu la raison. Dans cette famille, Dorcas était la dernière à avoir encore sa raison. Sa mère l’avait perdu dans l’alcool, son père dans ce meurtre et sa sœur dans cette agression.

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Son père était en prison, il n’avait même pas cherché à fuir les autorités, il s’était rendu, conscient de ce qu’il avait fait. le ministère lui avait dit que faire justice soit même n’était pas autorisé, et que malgré ce que ses hommes avaient fait à sa fille, il n’était pas dans son droit de leur donner la mort. Un homme en moins dans la famille, et un salaire qui s’envolait alors, Hestel ne travaillait plus et leur économie était si maigre qu’elle ne savait pas comment elles allaient toutes les trois pouvoirs vivre. Elle s’enfonça encore plus dans la sphère infernale de l’alcool, y ajoutant même de la drogue, alors qu’elle avait deux filles à s’occuper. Ruth était traumatisée, elle avait décidée de ne plus parler, sauf à Dorcas a qui elle murmurait au creux de l’oreille, elle ne parlait plus et était tout le temps recroquevillé sur elle-même. Une assistante sociale sorcière était assise dans le salon des Oswalds. « - Hestel, est ce que vous avez arrêté de boire ? » Dorcas était à l’autre bout du canapé, et elle connaissait déjà la réponse de sa mère, bien sûr que non, elle buvait encore plus, et Ruth pouvait mourir de faim, elle ne lèverait même pas le petit doigt. Sa mère dit alors : « - Ouep, hier j’pas bu. » Elle puait l’alcool, malgré la tonne de parfum qu’elle avait mise, elle empestait à des kilomètres elle pensait pouvoir faire gober cela. La femme griffonna alors sur son papier quelque chose et poursuivit son interrogatoire : « Hestel, vous sentez l’alcool. Si vous voulez avoir la garde de vos filles il va falloir arrêter de boire, définitivement. » Elle était d’un calme incroyable, Dorcas admirait sa force de caractère. « - J’pris rendez-vous dans l’clinique hier soir, j’veux faire une cure m’dame. » Sa mère avait tellement changé elle parlait comme une droguée, incapable de faire des phrases construite. Alioth était hors d’elle, et pour la première fois sorti de son self contrôle, elle qui pourtant était une serdaigle dans l’âme, sage et patiente, mais s’en était trop. « - Vous n’allez quand même pas la croire ? C’est une MYTHOMANE ! Elle l’a dit à la précèdente assistante sociale y’a un mois ! Et elle n’a rien fait ! Hier quand je suis rentrée de Poudlard, Ruth n’avait pas mangé depuis des jours ! Elle est venue me voir parce qu’elle avait faim, parce que personne n’avait lavé son linge, parce que personne ne lui accordait de l’attention ! » Sa mère eclata alors de rire, et sa fille et la femme la fixèrent. Elle était hystérique, et complètement ivre. « Z’allez la croire ! Sale gosse, va, la même qu’t’on père, t’veux toujours avoir raison, pauvr’gosse ! » Quand votre mère vous dit ces mots, vous avez ne pas l’aimez ou lui en vouloir cela vous fait plus que mal. Dorcas avait perdu sa mère et l’amour de celle-ci il y avait bien longtemps, les années de joie et de bonheur étaient bien loin, elle regardait sa mère, mais elle ne voyait qu’une étrangère, une femme qu’elle ne reconnaissait pas. « -Bien, nous allons placer Ruth en foyer, je vois que Dorcas peut se débrouiller, de toute façon la majorité de l’année, tu es à Poudlard. » Sa sœur en foyer, loin d’elle… Allie ne le voulait pas non plus. Elle avait été tentée d’abandonner Poudlard pour se consacrer à sa sœur, mais ses grands-mères – qui refusaient de s’occuper de sa cracmole de sœur – avaient catégoriquement refusé car Dorcas était sur le point d’entreprendre de très belles études. La quête de savoir, de gloire, Dorcas était prête à tout abandonné, mais on ne lui laissa pas le choix. Sa mère poussa un cri, et gesticula alors, et Dorcas fondit en larme.

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Dorcas était assise sur le canapé, des années avaient passé depuis que Ruth avait été placé dans un foyer, sa mère avait continué de boire, pire elle s’était mise à consommer des substances illicites. Elle avait profondément sombré dans un gouffre depuis l’enfermement de son époux, et elle s’était débarrasser de sa cracmole de fille. Dans tout ça, Dorcas avait passé une phase très difficile, elle avait passé sa scolarité à Poudlard, mais elle avait tellement de problème dans sa famille. Pourtant, en étant à serdaigle elle avait su se débrouiller et passer outre en mettant une barrière entre sa vie et Poudlard. Faire la séparation n’est pas chose facile, mais elle y était parvenu, quand elle était élève, elle était très appréciée de ses professeurs. Réussir ses études était un moyen de se démarquer de sa famille qu’elle appelait « famille de looser complètement givrés. » Elle détestait sa mère, malgré qu’il ait « sauvé » sa sœur, elle détestait son père, c’était à cause de lui, de son meurtre et avant de ses infidélités à répétition que sa famille avait sombré, mais elle n’avait jamais pu détester Ruth – elle ne pouvait pas détester sa sœur, elle l’aimait trop. Elle aussi avait bien grandit, tellement vite – mais elle restait un peu « attardée » avec une âme d’enfant, mais la violence d’une adulte. Elle avait sept ans de plus qu’elle, mais maintenant, Ruth avec treize ans et grandissait tellement vite. A vingt ans c’était maintenant Dorcas qui s’occupait d’elle tandis que leur mère cuvait sa cuite de la veille dans son lit avec une bouteille de whisky, quelle vie.

Dorcas avait une vie… étrange – très peu d’amis elle n’avait toujours vécu que pour sa sœur. Elle était sortie de Poudlard depuis deux ans, et elle voyait ses ambitions de devenir quelqu’un s’effacer peu à peu, jamais elle n’arriverait à se défaire de l’image de famille ratée, et cela la mettait terriblement hors d’elle. Il n’y avait que Ruth qui comptait, elle était adorable avec elle, ne lui parlant qu’au creux de son oreille, elle était enfermée dans son monde, retardée et cracmole, Dorcas faisait ce qu’elle pouvait pour la protéger au mieux du monde. Dorcas aimait tellement sa sœur que pour ne pas la voir seule avec sa mère la journée, elle lui avait offert un petit chat noir, parfaitement adorable. Ruth l’avait aimé, elle ne le lâchait, même si c’était un mâle, elle le serrait contre lui et murmurait tout bas : « Dorcas, Dorcas, Doddy, Dora, Dorcas. » Elle répétait les divers surnoms et nom de sa sœur, comme une folle, tous le temps. De temps en temps, sa mère sortait et lui hurlait : « Ta gueule sale folle, crève ! crève ! crève ! » Dorcas vivait dans un monde de fou, de fou. Elle rentrait du travail, et dis alors : « - Je suis rentrée ! » Elle disait toujours cela, pour prévenir, pour que Dorcas ne panique pas. Elle retira son écharpe et entra dans le salon, et vit le chat de sa sœur mort à ses pieds, et en sang. Elle réprima un peu de dégout. Et Ruth, où était-elle ? « RUTH ! » Hurla-t-elle alors, en cherchant sa sœur, celle-ci était en haut des escaliers de la cave et répètait alors machinalement : « Folle, folle, folle, folle, folle » , incessamment. Elle fixait en bas, le regard vide : comme toujours. Dorcas la serra dans ses bras, essayant de la regarder dans les yeux paniquée en prenant son visage dans ses mains et dit alors avec douceur : « -Ruthie, mon ange qu’est ce que… » Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase que Ruthie lui pointa du doigt le bas des escaliers. Dorcas se retourna alors, et regarde en bas, le choc : sa mère était en bas inanimée. Et Ruth prononça la première phrase construite de sa vie : « La méchante est morte, le chat est mort, y’a que nous deux maintenant, hein ? » Elle avait une voix d’enfant, un regard de folle. Dorcas la pris dans ses bras, sa sœur était un monstre mais ça n’était pas de sa faute. « Calme toi Ruthie, on va faire disparaitre tout ça. »

Dernière édition par Dorcas McKinnon le Jeu 1 Nov - 13:57, édité 3 fois

Un fantôme nommée Dorcas, elle était pâle terriblement pâle. Sa mère était portée disparue depuis deux ans, et cela ne lui faisait ni chaud ni froid. Elle avait signalé sa disparition en affirmant que sa sœur l’avait vu partir complètement ivre de la maison, après qu’elle ait tué le chat à coup de bouteille de whisky. Elle mentait, mais c’était pour Ruth dont l’état se dégradait, la veille, elle avait mis leur appartement sans dessus dessous, arrachant les pages de livre, déchirant les photos de famille, arrachant les rideaux. Dorcas ne pouvait se résoudre à l’amener à Ste Mangouste. Sa vie était un champ de ruines, elle était tout simplement chasseuse de créature en tout genre, mais maintenant spécialisé dans la traque des créatures magiques tel que les hippogriffes, les trolls des montagnes, et les loups garous, et diverses créatures dangereuse, ce qui l’oblige à laisser Ruth seule, le plus souvent. Plus le temps passait, moins elle supportait sa sœur, moins elle la supportait, elle en avait marre, à cause d’elle, elle n’arrivait pas à avoir une vie. Pourtant, elle l’aimait, mais sa vie était horrible à cause d’elle, elle vivait pour son métier, et travaillait pour que Ruth ne manque jamais de rien, un cercle vicieux dans lequel il n’y avait absolument rien d’épanouissant.

Dernière édition par Dorcas McKinnon le Jeu 1 Nov - 14:07, édité 3 fois

merci à tous

Amaryllis, ah merci, comme j'ai changé son prénom en cours de route, je vais essayer de retrouver où c'est pour pouvoir le changer !

En parlant de nom, je suis en hésitation sur le nom de famille, Oswalds, c'est bizarre, je ne suis pas forcément très fan, puis-je vous demander votre avis entre: Dorcas mcKinnon, Dorcas MacDonalds, Dorcas Mulbicer, Dorcas McCormack, Dorcas Fenwick, Dorcas Everglot, Dorcas Van Dort, Dorcas Skellington, Dorcas Stoddart, Dorcas Van Tassel, Dorcas Steenwick, Dorcas Hardenbrook, Dorcas Mayhew, Dorcas Maitland, Dorcas Galswells.

*2 000ans plus tard*

Bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche !!

J'aime beaucoup le Fenwick, ça fait plus doux à l'oral...
//dead//

Vu qu'il y a une/un Fenwick d'inscrit, je pense que je vais partir sur McKinnon, et je vais vous demandez un petit délai si possible vu qu'un membre m'a dit que ce travail était déjà existant, il va falloir que je change toute ma seconde partie (écrite sur mon pc), que je change une partie (grande) de mon personnage, en lui trouvant un nouveau métier.

Je pense que ça suffira merci beaucoup ! Comme demain je bosse pas, je devrais avoir le temps; merci beaucoup !

Bonjour !

Ta fiche vient d'atteindre le délai de 7 jours proposé par le règlement, elle a donc été déplacée dans les inactives. Tu disposes de 14 jours pour la reprendre avant que ton compte soit supprimé.

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