-29%
Le deal à ne pas rater :
PC portable – MEDION 15,6″ FHD Intel i7 – 16 Go / 512Go (CDAV : ...
499.99 € 699.99 €
Voir le deal

Partagez | 
 

DOES FAMILY MEAN ANYTHING? ft aislinn&cyrielle

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Invité





DOES FAMILY MEAN ANYTHING? ft aislinn&cyrielle Vide
MessageSujet: DOES FAMILY MEAN ANYTHING? ft aislinn&cyrielle   DOES FAMILY MEAN ANYTHING? ft aislinn&cyrielle EmptyMer 6 Fév - 11:19

Family is suppose to be everything...
feat. Aislinn & Cyrielle

« Tu n’es qu’une sale petite traitresse n’est-ce pas? » Encore les mêmes mots, la même phrase répétée sans cesse. C’était toujours les mêmes mots qui sortaient de leurs bouches. « Sale petite traitre », « sans future » et même le plus drôle d’entre tous « Ils te paient comment pour que tu prétendes qu’ils sont comme toi hein? » Chaque fois c’était la même chose. Certains utilisaient un langage plus colorer et ne tournaient pas autour des mots. Mais aux finales aucun d’entre eux n’avait assez de cervelle pour voir plus loin que le bout de leurs nez. Oh, mais, ils allaient tous vous dires qu’ils étaient les plus intelligents. C’était là leurs pathétismes complets. J’écoute pour la millième fois ces mots m’être répété et encore une fois j’ai envie de crier a quel point ils sont tous stupide, tous trop crétin. Oh, dans un sens je comprenais j’avais été élevée dans la même idéologie qu’eux, j’avais été élevée en me faisant répété sans cesse à quel point le sang était important, à quel point nous les sangs purs nous étions supérieur à tous. Je n’arrivais pas à croire que pendant longtemps j’avais moi-même cru ces paroles. Mais finalement le pouvoir ou encore ou le sang ne signifiais pas la supériorité sinon comment expliquer les cracmols. Les explications que l’ont donnait pour leurs existences étaient aussi pathétique que les moldu avaient donné pour l’homosexualité pendant des années ou encore leurs explications qui avait été si populaires pour expliquer le syndrome de l’autisme. Mais au final ils étaient tous idiots. Trop obnubilés par les paroles d’un homme fou, ils étaient des brebis et suivaient tranquillement le chemin qui leur était désigné. Dans un sens j’étais la brebis égarée, la brebis qui avait été capable de penser par elle même de voir la vérité à travers le mensonge. C’était la toute mon intelligence, être capable de voir la vérité cachée derrière des mensonges bien présentés. Je regardais mon assaillant droit dans les yeux et lui crachait simplement au visage avant d’ouvrir la bouche pour parler. « Je suis peut-être une petite traitresse, mais au moins je ne suis pas une suiveuse pathétique incapable de voir la vérité qui se trouve directement en face de moi. Réveil, arrête de regarder ton petit nombril et sort de ma face. Crétin. » Je tournais les talons avec empressement et décidaient avec empressement de descendre les escaliers. Non, je ne voulais pas retourner à ma tour, ou plutôt je ne le voulais plus. J’avais besoin de me trouver loin de tous les mondes. Ça commençait à être une vieille histoire leurs trucs. J’en avais marre d’entendre les mêmes insultes depuis dix ans. Si au moins ils étaient capables de m’inventer un crime différent, ce serait peut-être un peu plus drôle. Mais dernièrement c’était plutôt lassant. C’était probablement exactement ce que je cherchais parce que je m’étais retrouvée dans la salle du puits des vœux et je lâchais un cri de frustration avant de regarder le puits un moment. Et s’il fonctionnait réellement? Je pouvais tenter un vœu alors pourquoi pas. « J’aimerais qu’au moins un de ces imbéciles se trouve une cervelle qui serve au moins ça rendrait les choses intéressantes. » Je souriais à mon sarcasme, mais j’avais entendu des bruits de talon entrer dans la même salle alors que je finissais de parler. J’avais rapidement perdu mon sourire. Elle avait surement dû m’entendre crier, ou bien elle était dans les parages quand j’étais arrivée ici. Peu importe, j’étais apparemment partie pour une autre ronde. Je ne me tournais même pas pour la regarder, j’avais un jour cru que les liens familiaux étaient plus importants que n’importe quoi d’autre. Mais cette valeur semblait vraie que pour une seule personne dans ma famille. Mon père! Et ce même si se dernier tentait depuis des années de, mais faire changer d’idée, de me montrer plus anti moldu et tout. Raison pour laquelle depuis l’été dernier je n’habitais plus à la maison. J’en avais eu marre. En une soirée j’avais pris toutes mes affaires et j’étais partie aussi simplement que cela. Sans rien demander à mon père et personne d’autre. Et voilà que ma cousine pointait le bout de son nez. Une autre personne qui ne me surprendrait pas le moins du monde, je suppose. « Alors qu’elle insulte pathétique tu vas me lancer cette fois? »



Revenir en haut Aller en bas
Invité





DOES FAMILY MEAN ANYTHING? ft aislinn&cyrielle Vide
MessageSujet: Re: DOES FAMILY MEAN ANYTHING? ft aislinn&cyrielle   DOES FAMILY MEAN ANYTHING? ft aislinn&cyrielle EmptyMar 12 Fév - 18:49

« Je suis peut-être une petite traitresse, mais au moins je ne suis pas une suiveuse pathétique incapable de voir la vérité qui se trouve directement en face de moi. Réveil, arrête de regarder ton petit nombril et sort de ma face. Crétin. » avais-je entendu hurler dans les corridors de Poudlard. J'avais immédiatement reconnu cette voix, celle de ma cousine. Après tout, nous avions grandi ensembles. Elle était jadis ma meilleure amie à qui je confiais tout... Mais maintenant... Je la détestais comme tous les autres membres de ma famille. Elle était une traitresse comme ce garçon venait tout juste de mentionner. On l'avait mise de côté parce qu'elle avait été envoyée chez les Serdaigle, alors que sa maison aurait du être Serpentard. Allistair m'avait dit que c'était elle-même qui avait choisi sa maison. J'y avais vu une traitrise. J'avais été blessée, moi qui avais toujours cru que nous n'allions jamais être séparées. Elle s'était éloignée de moi volontairement et je n'avais jamais pu lui pardonner, même après autant d'années. Certes, je ne regardais peut-être que mon nombril, mais au moins, je n'étais pas une traitre.

Je décidai de suivre cette voix qui s'éloignait de plus en plus à travers les corridors. Je savais pertinemment où je me trouvais, connaissant Poudlard comme ma poche. Bientôt, j'arrivai tout près du puits à souhaits. Mais qu'est-ce que Aislynn allait bien pouvoir foutre là-bas?

« J’aimerais qu’au moins un de ces imbéciles se trouve une cervelle qui serve au moins ça rendrait les choses intéressantes. » dit-elle. J'entendis ses paroles clairement, ce qui m'arracha un petit rire silencieux. Je doutais fortement que le puits fonctionne réellement. Je n'avais jamais entendu de rumeurs qui disaient que son pouvoir était fondé. Ma cousine perdait son temps. Un temps bien trop précieux.

« Alors quelle insulte pathétique tu vas me lancer cette fois? » me dit-elle sans se retourner. J'haussai un sourcil pour la enième fois de la journée. Non, j'allais être mieux que cela aujourd'hui. J'allais tenter de comprendre. « Je pourrais en effet, mais aujourd'hui, je serai plus directe. Je te poserai simplement une seule question... Pourquoi? »

Revenir en haut Aller en bas
Invité





DOES FAMILY MEAN ANYTHING? ft aislinn&cyrielle Vide
MessageSujet: Re: DOES FAMILY MEAN ANYTHING? ft aislinn&cyrielle   DOES FAMILY MEAN ANYTHING? ft aislinn&cyrielle EmptySam 16 Fév - 3:51

Family is suppose to be everything...
feat. Aislinn & Cyrielle

« Je pourrais en effet, mais aujourd'hui, je serai plus directe. Je te poserai simplement une seule question... Pourquoi? » J’haussait un sourcil et me tournait enfin pour regarder ma cousine. Sincèrement elle était sérieuse sur le coup. J’avais envi d’être agressive pour le coup. Non mais elle se prenait pour qui. Ça faisait dix ans qu’elle m’avait rayer de la carte de la famille, elle croyait que tout le monde m’avait raillé mais elle était complètement dans l’aveugle. Pour mon père j’étais encore sa petite princesse, sa petite princesse qu’il fallait ramener du bon coté mais j’étais sa petite princesse. Alors qu’est-ce que je lui devais hein? Ce n’est pas comme si la famille était importante pour elle. Non elle s’en foutait on devait toujours lui plaire à elle sinon on n’existait plus. C’était ma cousine, pour elle le monde se devait de tourner autour de Cyrielle MacNair et pour une fois j’étais contente de ne plus faire partie de ce monde la. « Pourquoi quoi? Tu vas devoir être plus claire Cyri parce que apparemment mes crimes son nombreux. » Si je n’étais plus rien pour elle aussi bien faire comme si elle n’était plus rien pour moi. C’était difficile d’agir ainsi mais je devais me protégé parce que sinon elle allait sauter sur la moindre faiblesse. « Mais bon pour une fois amusons-nous. Analysons tout mes crimes un a un. » Oui j’étais délibérément sarcastique parce que j’avais espoir qu’elle me foute la paix et me laisse tranquille pour une fois. Non je ne voulais pas la voir. En fait si j’étais même capable de la bannir de ma vie se serait plus facile. Elle avait prouver bien longtemps que pour elle se qui comptait se n’étais pas la famille. Non c’était la maison à Poudlard. « Commençons par le premier… c’est quoi encore. Ah oui vous avoir trahis parce que je suis à Serdaigle. Bordel t’as quel âge Cyrielle si t’as pas encore compris que se chapeau te place ou il veut! J’avais beau le supplier de me mettre à serpentard il m’a carrément dit que mon cœur ne serais jamais dans cette maison. Et avoue le je suis une vrai serdaigle. » Je fermais les yeux un instant pour me reprendre. Me souvenir à quel point j’avais été abandonné. A chaque fois que je me remémorais ces événements je devenais émotive et pour une fois dans ma vie je n’allais pas montrer de faiblesse devant ma cousine. Non pas pour elle qui m’avait abandonner comme une chaussette sale. À cette époque j’étais complètement désorienté, mon monde c’était complètement écrouler et j’avais été incapable de me tourner vers ma meilleure amie de l’époque. « Cette soif de savoir que j’ai toujours eu, cette sagesse, tout pointait vers Serdaigle. Mais non tu a préféré voir se que tu voulais. Je t’avais trahis parce que je n’étais pas à Serpentard. Mais c’est toi qui as tord et au final tu as finis par me laisser tomber alors que j’étais complètement perdu. J’avais toujours cru dans une seule vérité. Celle que j’allais comme vous tous me retrouver à Serpentard. Et pour seul résultat vous m’avez abandonner et pour quel raison? Parce que tu as préféré croire cette imbécile d’Allistair Nott! Il n’est même pas de notre famille et tu m’as laissé tomber pour lui! C’est qui la traitresse maintenant?» J’avais dit que je n’allais pas laisser mes émotions prendre le dessus mais c’était trop difficile. J’étais incapable de ne pas les laisser prendre le dessus. Elle qui avait été ma confidente. Il y eu un temps dans sa vie ou elle savait qu’elle maison je voulais allé à. Mais elle avait complètement oublier du jours au lendemain j’étais un traitre. Mais elle était quoi. Je sentais une larme rebelle couler sur ma joue et je l’essuyais furieusement. « HEIN CYRIELLE? C’est qui ? » Je ne pouvais même plus la regarder. La regarder me dégoutait complètement. Je retournais pour regarder le puits à nouveau.
Revenir en haut Aller en bas
Invité





DOES FAMILY MEAN ANYTHING? ft aislinn&cyrielle Vide
MessageSujet: Re: DOES FAMILY MEAN ANYTHING? ft aislinn&cyrielle   DOES FAMILY MEAN ANYTHING? ft aislinn&cyrielle EmptyDim 24 Fév - 23:36

Ma question résidait en un simple mot, mais il voulait tellement. Il comprenait des centaines de questions, mais la principale était que je voulais savoir pourquoi elle avait décidé d'aller à Serdaigle plutôt que de me suive à Serpentard. Pourquoi avait-elle osé m'abandonner? Pourquoi? Elle était ma meilleure amie, ma soeur, ma confidente et elle m'avait trahi, tout bonnement. Je voulais entendre de sa bouche les raisons qui l'avaient poussé à me rejeter. Aujourd'hui, je lui laissais la chance de s'exprimer au lieu de l'écraser une nouvelle fois. Cependant, si Aislinn ne me donnait pas une raison valable, je la briserai définitivement. Je n'allais pas mâcher mes mots cette fois-ci. Je n'allais pas retenir mes coups. Non. Il y avait de la colère au fond de mon coeur. Elle était là depuis bien trop longtemps. Elle avait besoin de sortir.

Cependant, Aislinn sembla surprise de ma question. Peut-être ne savait-elle pas comment y répondre? Avait-elle besoin d'indice? Pourtant, elle n'avait jamais été débile... Elle était chez les Serdaigle après tout. Il devait y avoir une bonne raison... « Pourquoi quoi? Tu vas devoir être plus claire Cyri parce que apparemment mes crimes son nombreux. » railla ma cousine. Je serrai les bras contre ma poitrine et eut un sourire vil. Elle se moquait de moi ou quoi? « Mais bon pour une fois amusons-nous. Analysons tout mes crimes un a un. » dit-elle sarcastique. Je ne dis pas un mot la regardant simplement se ridiculiser elle-même. Je n'avais pas besoin d'embarquer dans son petit jeu enfantin. « Commençons par le premier… c’est quoi encore. Ah oui vous avoir trahis parce que je suis à Serdaigle. Bordel t’as quel âge Cyrielle si t’as pas encore compris que se chapeau te place ou il veut! J’avais beau le supplier de me mettre à serpentard il m’a carrément dit que mon cœur ne serais jamais dans cette maison. Et avoue le je suis une vrai serdaigle. » dit-elle en fermant les yeux. Moi je la regardai simplement, sourire aux lèvres. Elle était conne... Complètement à côté de la plaque. Et menteuse par dessus le marché. « Oui, cela est en effet ton premier crime. Mais tu n'es même pas capable d'en révéler le côté vrai. Le Choixpeau, certes, choisi ta maison, celle qui te correspond le mieux, mais il tient en compte aussi de tes préférences. Au fond de toi, tu voulais nous abandonner, nous mettre de côté. Voilà pourquoi tu ne retrouves dans cette fâcheuse position Ail'. Tu as choisi Serdaigle. Tu m'as abandonné. Voilà ton crime. » et je ris de plus belle.

« Cette soif de savoir que j’ai toujours eu, cette sagesse, tout pointait vers Serdaigle. Mais non tu a préféré voir se que tu voulais. Je t’avais trahis parce que je n’étais pas à Serpentard. Mais c’est toi qui as tord et au final tu as finis par me laisser tomber alors que j’étais complètement perdu. J’avais toujours cru dans une seule vérité. Celle que j’allais comme vous tous me retrouver à Serpentard. Et pour seul résultat vous m’avez abandonner et pour quel raison? Parce que tu as préféré croire cette imbécile d’Allistair Nott! Il n’est même pas de notre famille et tu m’as laissé tomber pour lui! C’est qui la traitresse maintenant?» dit-elle en haussant le ton. Je détestais qu'on agisse ainsi en ma présence. Aislinn le savait. Elle le faisait tout de même. « HEIN CYRIELLE? C’est qui ? » dit-elle à nouveau. Elle ne me regardait plus.


« Même si Allistair n'est pas de notre famille, il l'est toujours plus que toi. Tu es une erreur chère cousine. Une erreur »
Revenir en haut Aller en bas
Invité





DOES FAMILY MEAN ANYTHING? ft aislinn&cyrielle Vide
MessageSujet: Re: DOES FAMILY MEAN ANYTHING? ft aislinn&cyrielle   DOES FAMILY MEAN ANYTHING? ft aislinn&cyrielle EmptyJeu 28 Fév - 0:51

Family is suppose to be everything...
feat. Aislinn & Cyrielle

Croire un instant que Cyrielle voulait entendre la vérité était ma première erreur. Elle s’en foutait de la vérité elle. Elle était égoïste, narcissique et qui plus est la plus grande traite que je n’ai jamais connue. Non, elle pensait qu’elle avait toujours raison et elle se bornait à poser des questions quand elle ne voulait même pas entendre la vérité. Je le savais et pourtant je m’efforçais de répondre à sa question. « Oui, cela est en effet ton premier crime. Mais tu n'es même pas capable d'en révéler le côté vrai. Le Choixpeau, certes, choisi ta maison, celle qui te correspond le mieux, mais il tient en compte aussi de tes préférences. Au fond de toi, tu voulais nous abandonner, nous mettre de côté. Voilà pourquoi tu ne retrouves dans cette fâcheuse position Ail'. Tu as choisi Serdaigle. Tu m'as abandonné. Voilà ton crime. » Elle venait encore une fois de confirmer ce que je croyais. Elle ne voulait pas entendre la vérité. Pour elle la vérité était futile, seul ce que madame croyait comptait. Dans le fond elle ne voulait pas réellement savoir ce que j’avais à dire. Non, ça, ce n’était pas important. Je l’avais trahi, point final. Elle avait tout oublié de notre passer ensemble. Elle avait oublié onze ans de notre vie et ça, elle s’en foutait. Moi je n’avais pas oublié, je n’avais rien oublié. Surement un défaut de construction chez moi, mais j’étais incapable d’oublier ce genre de truc. J’avais une mémoire presque parfaite. Je m’efforçais de la travailler depuis des années parce que c’était un de mes plus grands talents le fait que je puisse me rappeler de pratiquement tout. Apparemment j’étais la seule d’entre nous deux avec une telle mémoire parce qu’elle avait oublié si vite toutes nos années ou on était presque inséparable. « Même si Allistair n'est pas de notre famille, il l'est toujours plus que toi. Tu es une erreur chère cousine. Une erreur » Oui, ses paroles me blessaient. Je n’avais qu’une envie et c’était de l’étrangler. Comment pouvait-elle avoir tout oublié? Comment pouvait-elle me dire tout cela alors que j’avais tout fait? Tout fait pour être a serpentard mais le choixpeau avait ignoré mes supplices. Toutes les fois depuis dix ans où elle m’avait adressé la parole pour m’abaisser elle m’avait blessée. Si je n’avais pas été aussi forte, je crois que toutes ces blessures auraient fini par me tuer. Mais j’avais appris à ignorer les paroles. Les paroles faisaient peut-être mal, mais j’avais finir par ignorer la douleur qu’ils me causaient. Après tout, ce n’est pas comme si je pouvais y faire quelque chose. Elle était de ma famille, je ne pourrais jamais m’en prendre à un membre de ma famille même si j’étais en désaccord avec eux. J’avais préféré emballer mes trucs et partir cet été plutôt que de continuer à faire de la peine à mon père en ne voulant plus écouter ces demandes pour que je retrouve la raison. Ça avait été plus facile que de lui avouer que j’avais rejoint le camp ennemi un an plus tôt. Ça avait aussi été plus facile que de lui avouer que je savais la vérité sur tout et qu’il était trop tard pour que je rejoigne les mangemort. Parce que mon père avait encore espoir que je le rejoigne. Mais elle n’avait aucune fibre familiale. Tirer un trait sur moi lui avait semblé si facile. Mais, pas pour moi. Je ne pouvais tirer un trait sur elle. Tout le monde le savait. Même Eden et Astrid le savaient. Combien de fois est-ce qu’elles m’avaient pris à pleurer après une altercation avec ma cousine, seul dans mon coin le plus loin possible des regards des gens parce qu’un MacNair ça ne pleure pas, l’an dernier et cette année? Trop de fois pour toute les compter. « C’est tout toi Cyrielle de poser une question, mais ne pas vouloir la vérité. Parce que la vérité ferait écouler ton petit château de cartes. Et non ça il ne faut pas sinon où va vivre la pathétique petite princesse Cyrielle? » Je n’avais pas le choix d’y mettre du venin parce qu’elle avait besoin de comprendre à quel point elle était pathétique à mes yeux en ce moment. Elle était plus que pathétique même en ce moment. Je devais cacher comment elle me faisait mal. Mon moyen de me défendre était mon venin. Parce que si je n’utilisais pas mon moyen de me défendre j’allais m’effondrer carrément et montrer ma faiblesse devant ma propre cousine ça JAMAIS! J’avais une fierté à préserver moi. J’étais une MacNair et même si je n’agissais pas comme les membres de ma famille j’étais loyale aux valeurs de ma famille. « Ouvre les yeux Cyrielle, j’ai supplié le choixpeau pendant pratiquement cinq minutes de m’envoyer à Serpentard, mais il n’a pas accepté. Je n’ai rien choisi parce que s’il m’avait écoutée je serais avec toi en ce moment et on en serait pas là. Mais il n’a jamais même considéré serpentard pour moi. Pourquoi je n’en sais rien? Tu n’as pas trouvé anormal que j’aie ce putain de chapeau poussiéreux sur la tête aussi longtemps? Après tout c’était le grand murmure de la grande salle… Pourquoi tu crois que le choixpeau à pris autant de temps, j’ai supplié, j’ai menacé, j’ai même tenté de le soudoyer. Soudoyer un chapeau tu imagine? » Oui c’était vrai, j’avais réellement tenter de soudoyer le choipeau pour qu’il m’envoi à serpentard. Ça avait été un échec c’est certain, mais j’avais quand même tout tenté. Ce n’était pas une si mauvaise chose parce que ces qualités dites serpentard que j’avais supposément je ne les avais jamais réellement eux. Ils avaient toujours caché qui j’étais réellement. Je n’étais pas comme eux et ça maintenant je le savais. J’étais capable de prétendre être comme eux, mais j’aurais surement été malheureuse toute ma vie si je l’avais fait. C’était complètement stupide qu’elle me demande à moi d’être comme eux, ça ne l’empêchait pas de le faire, mais elle ne pouvait même pas comprendre ce que c’était. Dans le fond c’était comme moi qui la suppliais presque d’être intelligente pour une fois. Non avec elle il fallait tout démontrer. Ça avait toujours été ainsi selon moi. Oui elle avait baissé à ce point dans mon estime. « Mais toi tu es tellement égoïste que tu n’as même pas pris le temps d’y réfléchir deux minutes. À la rigueur, cet imbécile de Nott je comprends il a toujours dit que si je n’allais pas à serpentard comme toi il me renierait. » Il avait surement du ressentir que je n’appartenais pas à serpentard c’était pour ça qu’il m’avait autant menacée. Il avait instauré cette frayeur en moi, mais il avait tenu cette promesse. Cyrielle n’avait aucune excuse elle. « Mais toi tu étais comme ma jumelle. On passait plus de temps ensemble qu’avec n’importe qui d’autre. Tu ne te souviens pas de toutes les fois ou ont planifiaient ces fêtes qu’on organiserait quand ont serait à serpentard. » Non, elle n’avait tout simplement aucune excuse dans mon esprit. Ses actions étaient impardonnables. Ne le réalisait-elle pas? Mais je me demandais si elle avait réellement oublié ou si elle avait tout fait pour oublier parce que ça ne faisait aucun sens dans sa tête. « Tu as vraiment tout oublié? Quant à cinq ans ont c’est fait la promesse d’être des terreurs à serpentard. Quant à onze ans juste avant que le choipeau ne m’appelle. Moment où je t’ai fait la promesse de te revoir à notre table À SERPENTARD, tu ne te rappelles pas que j’ai fait une scène après qu’il m’a envoyée à Serdaigle. Non tu as tout oublié. Parce que du moment où il m’a envoyée à Serdaigle je n’existais plus. Toutes ces années ensemble étaient oubliées. Je ne collais plus dans ton monde parfait. » Non parce que dans le monde parfait de ma cousine il n’y avait pas de moldu, elle n’avait pas besoin de respirer le même air qu’eux ou elle n’avaient pas eu à partager la même salle commune qu’eux. Parce qu’elle l’avait fait jusqu'à ce que grindelmonk soit créer. J’avais ri le jour ou j’avais appris qu’il y avait un moldu a serpentard. Oh mon dieu comment j’avais ri! « Ce monde parfait où on est tous pareils, ou on pense tous pareilles peu importe. Si le fait que j’ai été inconsciente d’être différente pendant onze ans de ma vie est une traitrise et bien ça n’en prend pas beaucoup pour toi. Tu me déçois Cyrielle j’ai un jour crue que je comptais réellement à tes yeux, mais je vois qu’apparemment il n’y a que les adultes dans nôtres familles qui ai le sens de la famille parce que mon père ne m’a pas renier lui, ton père m’envoie quand même un cadeau à mon anniversaire même si publiquement il ne me parle plus. Après tout il est mon parrain. Mais la fibre familiale elle t’as laisser de coter hein… bonne chance pour ton futur Cyrielle tu n’existes plus pour moi. » Je lui tournais le dos pour attraper mes affaires. Ça n’en valait pas la peine de continuer c’était comme parler à un sourd et aveugle. Ça demandait la vérité, mais quand ça l’avait c’était incapable de l’accepter. Pourquoi je gaspillais encore ma salive me dépassait complètement, mais je le faisais quand même. Je le faisais sur elle et sur Allistair encore à ce jour. Mais aujourd’hui, c’en était fini. C’était la goutte d’eau qui faisait déborder le vase. Si elle était incapable de se rappeler de tout cela, ça ne valait plus la peine. Aussi bien que j’arrête mes efforts la parce que j’allais finir par être cruelle avec elle et croyez-moi c’était une chose que j’avais apprise il y a longtemps lire les faiblesses des gens et les détruire avec. « Je ne sais même pas pourquoi je gaspille ma salive sur toi, tu n’en vaux même pas la peine. Surtout tant que tu ne pourras pas voir les erreurs de ton passé. Tant que tu ne verras pas à quel point tu es stupide et conne Cyrielle ça ne vaux même pas la peine que tu viennes m’adresser la parole. On est plus cousine toi et moi! on n’est même pas des connaissances! Tu m’es complètement inconnu, tu n’existes plus! » J’étais catégorique et si elle pleurait je m’en foutais, mais elle me devait des excuses et avant qu’elle ne le fasse elle ne serait plus rien. Tenter de m’expliquer était trop épuisant. Elle devait être ouverte aux explications et là elle ne l’était pas il semblerait. Elle avait exactement deux minutes pour m’arrêter parce que sinon j’allais sortir de sa vie pour de bon et retourner à ceux qui étaient devenus ma véritable famille depuis dix ans.
Revenir en haut Aller en bas
Invité





DOES FAMILY MEAN ANYTHING? ft aislinn&cyrielle Vide
MessageSujet: Re: DOES FAMILY MEAN ANYTHING? ft aislinn&cyrielle   DOES FAMILY MEAN ANYTHING? ft aislinn&cyrielle EmptyDim 10 Mar - 20:26

J’étais prise dans mes idées préconçues. C’était un cercle vicieux dans lequel nous étions enlisées moi, Aislinn et tous les autres. Je la voyais en traitre, elle me voyait en âme narcissique qui ne pensait rien qu’à elle. C’était peut-être vrai après tout. Je ne pensais peut-être qu’à mon propre nombril. Mais dans le monde dans lequel nous vivions, c’était peut-être la meilleure idée que j’avais eu. Bref, ma cousine n’en était pas tout à fait convaincue. Au moins, aujourd’hui, nous avions enfin la discussion que nous aurions du avoir depuis bien longtemps. Je lui déballais tout ce que je ressentais et elle aussi. Je n’y allais pas par quatre chemins et elle ne se gênait pas non plus. D’une certaine manière, je lui en étais reconnaissante…


Mais j’y avais été un peu fort en la traitant tout bonnement d’erreur. Certes, c’était ce que je pensais à l’heure actuelle, mais si je voulais qu’elle se justifie, ce n’était pas le meilleur moyen d’y parvenir. Je voyais dans son regard que je l’avais blessé. Mais elle ne l’avouerait jamais. Trop fière pour cela… Tout comme moi. « C’est tout toi Cyrielle de poser une question, mais ne pas vouloir la vérité. Parce que la vérité ferait écouler ton petit château de cartes. Et non ça il ne faut pas sinon où va vivre la pathétique petite princesse Cyrielle? » me dit-elle, venimeuse. Je la regardai en haussant un sourcil. Elle disait que j’étais pathétique. Et elle? Elle était quoi? Quel était le mot plus fort pour la désigner? Eh bien, il n’y en avait pas. Je préférais sourire à son attaque plutôt que de gaspiller ma salive. « Ouvre les yeux Cyrielle, j’ai supplié le choixpeau pendant pratiquement cinq minutes de m’envoyer à Serpentard, mais il n’a pas accepté. Je n’ai rien choisi parce que s’il m’avait écoutée je serais avec toi en ce moment et on en serait pas là. Mais il n’a jamais même considéré serpentard pour moi. Pourquoi je n’en sais rien? Tu n’as pas trouvé anormal que j’aie ce putain de chapeau poussiéreux sur la tête aussi longtemps? Après tout c’était le grand murmure de la grande salle… Pourquoi tu crois que le choixpeau à pris autant de temps, j’ai supplié, j’ai menacé, j’ai même tenté de le soudoyer. Soudoyer un chapeau tu imagine? » me révéla-t-elle. Mon regard s’adoucit quelque peu devant ses excuses/explications. Vraiment? Elle avait supplié le choixpeau… J’essayais de croire en ses paroles, mais j’avais beaucoup de difficulté. « Sudoyer? Tu n’y as peut-être pas mis assez d’effort, j’imagine? » lui répondis-je, froide, mais calme. Après tout, si elle n’avait pas réussi à convaincre le Choixpeau, c’était qu’elle avait été faible. Ou sinon, elle n’avait pas mérité les couleurs de Serpentards. Cette perspective ne me plaisait absolument pas.


« Mais toi tu étais comme ma jumelle. On passait plus de temps ensemble qu’avec n’importe qui d’autre. Tu ne te souviens pas de toutes les fois ou ont planifiaient ces fêtes qu’on organiserait quand ont serait à serpentard. » continua-t-elle. Oui, je m’en souvenais parfaitement. Voilà pourquoi c’était si douloureux de la voir chez les Serdaigle. Même si je ne l’avais pas renié, elle se serait éloignée de moi à jamais. De toutes les manières, elle m’aurait abandonné. « Tu as vraiment tout oublié? Quant à cinq ans ont c’est fait la promesse d’être des terreurs à serpentard. Quant à onze ans juste avant que le choipeau ne m’appelle. Moment où je t’ai fait la promesse de te revoir à notre table À SERPENTARD, tu ne te rappelles pas que j’ai fait une scène après qu’il m’a envoyée à Serdaigle. Non tu as tout oublié. Parce que du moment où il m’a envoyée à Serdaigle je n’existais plus. Toutes ces années ensemble étaient oubliées. Je ne collais plus dans ton monde parfait. » dit-elle. J’avais beau dire n’importe quoi, je savais qu’elle avait raison et elle le savait tout autant que moi. Mais j’étais terriblement orgueilleuse. Je n’étais pas prête à me l’avouer à moi-même. Je commençais à croire réellement qu’elle avait essayé d’entrer chez les verts et argents, mais encore une fois, je ne voulais pas lui accorder raison. C’était trop pénible.


Je continuai donc à l’écouter déblatérer sur mes agissements au lieu de l’envoyer paitre. « Ce monde parfait où on est tous pareils, ou on pense tous pareilles peu importe. Si le fait que j’ai été inconsciente d’être différente pendant onze ans de ma vie est une traitrise et bien ça n’en prend pas beaucoup pour toi. Tu me déçois Cyrielle j’ai un jour crue que je comptais réellement à tes yeux, mais je vois qu’apparemment il n’y a que les adultes dans nôtres familles qui ai le sens de la famille parce que mon père ne m’a pas renier lui, ton père m’envoie quand même un cadeau à mon anniversaire même si publiquement il ne me parle plus. Après tout il est mon parrain. Mais la fibre familiale elle t’as laisser de coter hein… bonne chance pour ton futur Cyrielle tu n’existes plus pour moi. » dit-elle en me tournant le dos. Tout ce que je réussis à faire fut de lui rire au nez. Je n’existais plus pour elle, et bien pour moi, elle était désormais morte. « Oui, mais il t’ignore publiquement. Tu l’as dit toi-même. Tu es toute seule Aislinn et tu le seras toujours. Ne vois-tu pas que peut importe ce que tu fais, ce que tu dis, tu resteras toujours une traitre. Et puis, tes paroles, ça te ramène au même niveau que moi. En fait, tu suis le troupeau comme tout le monde malgré tout. » commençais-je par lui dire. . « Et encore maintenant, tu tournes le dos à tes origines, tu les renies volontairement. J’ai bien fait de te tourner le dos toutes ces années. J’ai bien fait de te renier. Tu ne vaux rien Aislinn, rien du tout. » rajoutais-je. J’étais blessée dans mon amour propre. Je voulais la détruire par mes paroles. Je voulais la rabaisser jusqu’à ce qu’elle soit sur le sol et que je l’achève!


« Je ne sais même pas pourquoi je gaspille ma salive sur toi, tu n’en vaux même pas la peine. Surtout tant que tu ne pourras pas voir les erreurs de ton passé. Tant que tu ne verras pas à quel point tu es stupide et conne Cyrielle ça ne vaux même pas la peine que tu viennes m’adresser la parole. On est plus cousine toi et moi! on n’est même pas des connaissances! Tu m’es complètement inconnu, tu n’existes plus! » conclua-t-elle. Je ris de plus belle, la regardant ramasser ses affaires. . « C’est ça. Va-t-en rejoinder les tiens, sale grace! Je suis peut-être conne et stupide, mais toi, t’es qu’une garce pitoyable! »
Revenir en haut Aller en bas
Invité





DOES FAMILY MEAN ANYTHING? ft aislinn&cyrielle Vide
MessageSujet: Re: DOES FAMILY MEAN ANYTHING? ft aislinn&cyrielle   DOES FAMILY MEAN ANYTHING? ft aislinn&cyrielle EmptyJeu 4 Avr - 3:45

Family is suppose to be everything...
feat. Aislinn & Cyrielle

« Sudoyer? Tu n’y as peut-être pas mis assez d’effort, j’imagine? » Je regardais ma cousine blesser. Elle refusait toujours de me croire. Je gaspillais réellement ma salive pour rien. Elle ne voulait rien entendre. Pour elle j’aurais pu faire un plus grand effort. Elle s’en foutait de ce qui était bien pour moi. Elle se foutait que, au bout du compte, le choixpeau est décider d’ignorer mes menaces qu’il est préféré que j’apprenne à vivre sans les béquilles qu’étais ma famille. Quand je regardais ce qui c’était passer et comment j’avais grandis depuis, le jour ou il c’était écrié Serdaigle, j’étais heureuse qu’il m’y ait envoyé. Je n’aurais jamais pu m’émanciper à Serpentard. J’aurais étouffé dans cette maison avec toute la pression qu’ils m’auraient mise dessus. Non, avec ce choix j’étais libre de devenir qui j’étais. Dans un sens c’était Cyrielle qui était prise. Elle ne pourrait jamais être autre chose qu’une pâle copie de Barbie Greyback, elle ne pourrait jamais surpasser Bellatrix Lestranges. Elle serait toujours une serpentard de second ordre. Jamais assez bonne pour même qu’on ait proposé de la fiancer à Allistair avant qu’il ne soit fiancé à Greyback. Elle ne serait jamais rien et je serais toujours la MacNair émanciper, celle qui avait un futur devant elle qui ne s’arrêtait pas à faire pousser des bébés. J’avais un fiancé avec qui je ne pourrais pas me marier avant de sortir de Poudlard. J’avais encore quatre belles et longues années devant moi ou je serais sans attache. J’avais quatre années pour me décider si je voulais d’Irial ou non. Elle n’aurait jamais cette opportunité. D’ici probablement l’an prochain elle serait marriez à un sorcier et d’ici quelque année elle aurait un môme qui la poursuivrait. Elle était chanceuse si on allait lui permettre de terminer ces études. Moi j’avais la chance de terminer mes études, parce qu’il était impossible qu’on m’oblige de l’épouser avant que je ne sois plus à Poudlard. Je la plaignais presque. « Crois ce que tu veux Cyrielle, ce que tu penses je m’en contrebalance parce que tu seras toujours ignorante. Et ça tant que la vérité t’effrayera. Le jour où tu va réaliser que je disais la vérité Cyrielle il sera trop tard je t’aurais rayer de ma vie à mon tour. » Mon ton n’était même pas colérique. Je le pensais sérieusement. Ce qu’elle avait à dire je m’en foutait parce qu’elle ne répétait même pas des paroles originales. Dans ces paroles tout ce que j’entendais c’était Allistair. La preuve qu’elle n’était pas une personne indépendante. Qui elle était dépendait de son entourage. Qui elle était dépendait de ce que des imbéciles de première lui disait, de se qu’il lui disait d’être. Elle n’était même pas un œuvre original. Seulement une pâle copie de toutes les autres. Moi j’étais l’œuvre original, j’étais la brebis égarer mais j’étais aussi la brebis qui sortait du TAT. J’avais des taches, je n’étais pas parfaite. « Oui, mais il t’ignore publiquement. Tu l’as dit toi-même. Tu es toute seule Aislinn et tu le seras toujours. Ne vois-tu pas que, peu importe ce que tu fais, ce que tu dis, tu resteras toujours une traitre? Et puis, tes paroles, ça te ramène au même niveau que moi. En fait, tu suis le troupeau comme tout le monde malgré tout. » Je regardais ma cousine complètement interloquée. Elle n’était pas au courant. Elle ne savait rien de la promesse que nos pères s’étaient promis. Elle ne savait pas qu’ils avaient renouvelé cette promesse le jour même ou j’avais quitté la maison. Soudainement, un sourire sadique se pointait sur mes lèvres. Le sourire des moments où je savais que j’allais être parfaitement cruelle. Le sourire qui aurait dû m’envoyer a serpentard. Oh comment son petit château de cartes allait complètement s’effondrer? Je la regardais droit dans les yeux mon regard était encore plus froid et plus cruel qu’il ne l’avait jamais été. Je voulais tout simplement détruire ma propre cousine. Je voulais lui faire douter de toutes ces croyances. Pour une fois, ce n’est pas moi qui sortirais d’ici en larmes. Non, ce serait elle. Elle ne savait pas ce qui allait la frapper. Elle n’en savait tout simplement rien. Se serait encore plus cruel que c’est propre parole. « Et encore maintenant, tu tournes le dos à tes origines, tu les renies volontairement. J’ai bien fait de te tourner le dos toutes ces années. J’ai bien fait de te renier. Tu ne vaux rien Aislinn, rien du tout. » Je valais plus qu’elle ne pensait apparemment. J’avais beaucoup plus de valeurs qu’elle ne m’en donnait. Elle qui se croyait si forte et si bonne. Elle n’était rien. Ils n’étaient même pas foutus de lui avoir au moins un jour dit que moi et elle aurions pu rester dans le même manoir si quelque chose avec du arrivé à nos parents. Elle n’était même pas foutue de savoir que mon oncle ne m’avait pas complètement reniée. Non, elle le savait, mais elle préférait ignorer la vérité. Encore aujourd’hui elle préférait ignorer la vérité de mes mots. Elle avait toujours préféré ignorer la vérité. Elle ne voulait pas réellement la savoir malgré toutes ces questions. « C’est ça. Va-t-en rejoindre les tiens, sale grâce! Je suis peut-être conne et stupide, mais toi, t’es qu’une garce pitoyable! » Je me mettais soudainement à rire. Un rire cruel, un rire dangereux. Un rire qui me définissait si bien quand j’étais dans ces humeurs destructives. « Pauvre petite Cyrielle, prise tout au haut de t’as tour d’ivoire. Trop faible pour même savoir la vérité. Si seulement elle savait la promesse qu’ils sont faits. » Ma voix c’était faite lunatique et dangereuse voir presque mélodieuse. Je riais encore alors que je m’approchais de ma cousine avec un déhanchement qui me rendait sulfureuse. Si elle me connaissait si bien elle savait maintenant qu’elle était en danger. Elle savait qu’elle devait avoir peur. Enfant quand je devenait ainsi j’étais cruel, presque psychopathe. J’approchais ma bouche de son oreille et je me mettais à lui susurrer dans cette dernière. « Cyrielle n’a tu donc pas encore compris que ton père ne m’a jamais reniée. Quand j’ai finalement décidé de partir du manoir de mon père tu sais ce que j’ai entendu cette nuit-là. Ton père réitérer une promesse qu’il a fait à mon père le jour que ma mère est morte. S’il devait arriver la moindre chose à mon père, tu sais à qui reviendrait la charge de prendre soin de moi. Oui Cyrielle, ton père. » Je m’éloignais pour savourer sa réaction, mais je n’avais pas terminé. La simple posture de mon corps disait tout. Elle allait avoir mal. Elle n’aurait pas dû me pousser à bout. Il fut un jour où elle connaissait ma cruauté. Mais à force de me juger comme étant inférieure elle avait oublié. Mais je serais toujours cruelle, j’aurais toujours cette partie en moi qui était bel et bien présente. À la différence que moi je n’étais pas une pathétique petite princesse. « Mais ce n’est pas tout. Alors que ton père n’est pas foutu de te trouver, un fiancé qui vaut la peine qu’on pose son regard sur lui, il fut capable de proposer à mon père un fiancé pour moi qui surpasserait toute attente? Le mien est un sang pur et un vrai. Irial Goyle, tu connais? Il n’a peut-être pas été a serpentard comme toi et tes petits soldats de pailles Cyrielle, mais il vaudra toujours cent fois plus que tes loques vivantes qui te sert de compagnon de salle commune » je souriais avant de lui demander. « Je te redemande qui est la véritable traite entre nous deux. Quand on sait que même ton père est incapable de me tourner le dos. Probablement qu’il se doute que de nous deux j’ai la cervelle, je suis capable de me servir de ma baguette et j’ai un véritable sens de la famille. Certes je ne suis pas parfaite, mais probablement que si ton père savait comment tu me traites il aurait honte de toi Cyrielle. » Cette fois j’exagérais, je ne savais, pas pourquoi il avait fait ça, mais je voulais lui faire mal. Je voulais la voir faible. Oui elle savait maintenant que je n’habitais plus dans le manoir de mon père. Et puis c’était seulement une preuve de plus que j’étais capable de vivre sans être constamment surveillée. Oh elle allait officiellement douter d’elle même, je le savais. Et j’allais savourer sa défaite. Savourer son écrasement.
Revenir en haut Aller en bas
Invité





DOES FAMILY MEAN ANYTHING? ft aislinn&cyrielle Vide
MessageSujet: Re: DOES FAMILY MEAN ANYTHING? ft aislinn&cyrielle   DOES FAMILY MEAN ANYTHING? ft aislinn&cyrielle EmptyLun 10 Juin - 4:58

Peut-être que ma cousine pensait avoir gagnée? Peut-être croyait-elle réellement à ses paroles? Je ne savais pas. Je ne saurais jamais. Et au final, je m’en fichais désormais éperdument. La relation que nous avions auparavant était désormais qu’un souvenir lointain. Loin était à présent l’époque où nous étions les meilleures amies du monde, les inséparables et les presque jumelles. Les souvenirs qui venaient avec tout cela étaient désormais enfouis dans un coin de ma tête et jamais plus je ne m’en ennuierai. La nostalgie que j’éprouvais en pensée à cette étape de ma vie était rangée au placard. Aislinn était désormais morte la journée où le choixpeau avait crié « Serdaigle » haut et fort! Allistair avait raison depuis le début. Elle était une cause perdue. Toutes les tentatives pour la remettre sur le droit chemin avaient échoué. Elle se conformait maintenant au choix du fameux chapeau magique. Elle acceptait son sort et donc, son rejet par la même occasion. Elle disait que je me conformais au troupeau. Non, elle avait tort. La Serdaigle ne savait pas que j’avais changé. Peut-être pas assez pour la reprendre sous mon aile et ne plus me conformer aux règles de la nature du sang. J’étais différente, mais la trahison de ma cousine restait imprégnée dans mon cœur et dans mon esprit, à jamais. Ce soir, c’était la dernière fois que j’adressais la parole à cette fille qui avait été jadis mon âme sœur. Et je l’acceptais enfin. C’était là l’important de cette discussion. Je pouvais enfin tourner la page.


Cependant, malgré tout ce que je pensais en ce moment, c’était qu’aujourd’hui, je n’étais pas fière de moi malgré la confiance inébranlable que je projetais. Je m’étais laissée atteindre par ses paroles. J’avais douté un instant en l’écoutant parler. Un bref instant, je l’avais cru. Heureusement, je m’étais reprise juste à temps pour lui balancer ses quatre vérités au visage. Mais il fallait que je contienne ma rage. Elle ne méritait pas que je me soucie de son opinion. Il fallait que je l’ignore dès à présent.

« Crois ce que tu veux Cyrielle, ce que tu penses je m’en contrebalance parce que tu seras toujours ignorante. Et ça tant que la vérité t’effrayera. Le jour où tu va réaliser que je disais la vérité Cyrielle il sera trop tard je t’aurais rayer de ma vie à mon tour. » qu’elle me dit. J’haussai les épaules. Son opinion m’importait peu et ses dernières tentatives pour que je me range vers son opinion manquaient de conviction à mon goût. Un petit sourire moqueur s’afficha néanmoins sur mon visage tandis que je croisais les bras sur ma poitrine en guise de fermeture à la conversation.


Aislinn eut elle aussi un sourire, mais il n’était pas détaché comme le mien. Il était plutôt cruel, carnassier. Mais il ne me faisait pas peur. Je n’avais jamais craint ma cousine. Cependant, je lui répondis une seule fois. L’erreur, oui! « C’est ça. Va-t-en rejoindre les tiens, sale garce! Je suis peut-être conne et stupide, mais toi, t’es qu’une garce pitoyable! » lui avais-je dit. Et là, Aislinn éclata de rire, ce qui me fit hausser les sourcils. Je ne voyais vraiment pas ce qu’il y avait de drôle là-dedans… « Tu es plus atteinte que je pensais ma chère… » lui répondis-je. Cette conversation avait assez durée à mon goût. Je perdais littéralement mon temps qui était si précieux à mes yeux. Mais la Serdaigle n’en avait pas finit avec moi décidément. « Pauvre petite Cyrielle, prise tout au haut de ta tour d’ivoire. Trop faible pour même savoir la vérité. Si seulement elle savait la promesse qu’ils se sont faits. » me dit-elle. Mais de quoi parlait-elle? Elle divaguait ou quoi? Je ne comprenais pas du tout. « Tu me fais perdre mon temps. » lui dis-je en tournant moi-même les talons. Je n’avais qu’une envie, quitter les lieux. Mais au lieu de cela, je la laissai s’approcher de moi et me murmurer à l’oreille d’étranges paroles ou, devrais-je dire, mensonges. « Cyrielle n’a tu donc pas encore compris que ton père ne m’a jamais reniée. Quand j’ai finalement décidé de partir du manoir de mon père tu sais ce que j’ai entendu cette nuit-là. Ton père réitérer une promesse qu’il a fait à mon père le jour que ma mère est morte. S’il devait arriver la moindre chose à mon père, tu sais à qui reviendrait la charge de prendre soin de moi. Oui Cyrielle, ton père. » me révéla-t-elle. Aucune expression ne passa sur les traits de mon visage. J’avais pourtant bien entendu les paroles de ma cousine. Mais je ne les croyais pas. Elle mentait. C’était certain.


« Mais ce n’est pas tout. Alors que ton père n’est pas foutu de te trouver, un fiancé qui vaut la peine qu’on pose son regard sur lui, il fut capable de proposer à mon père un fiancé pour moi qui surpasserait toute attente? Le mien est un sang pur et un vrai. Irial Goyle, tu connais? Il n’a peut-être pas été à serpentard comme toi et tes petits soldats de pailles Cyrielle, mais il vaudra toujours cent fois plus que tes loques vivantes qui te sert de compagnon de salle commune » dit-elle en souriant avant de poursuivre ses divagations. « Je te redemande qui est la véritable traitre entre nous deux. Quand on sait que même ton père est incapable de me tourner le dos. Probablement qu’il se doute que de nous deux j’ai la cervelle, je suis capable de me servir de ma baguette et j’ai un véritable sens de la famille. Certes je ne suis pas parfaite, mais probablement que si ton père savait comment tu me traites il aurait honte de toi Cyrielle. » conclut-elle.

Peut-être s’attendait-elle à ce que je m’effondre sous ses révélations? Peut-être pensait-elle avoir gagné. Cette fille se voilait la face depuis le début. Du moins, je l’espérais. « Tes mensonges ne te mèneront pas loin. Crois ce que tu veux, pense ce que tu veux. Dans mon cœur, tu es définitivement morte. Je te plains. » lui dis-je. Sur ce, je tournai les talons et quittai la pièce.

Cependant, ma cousine avait réussi quelque chose. Elle avait atteint son but. Elle avait réussi à me glisser un doute dans mon esprit. Et les doutes sont les pires choses qui soient.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





DOES FAMILY MEAN ANYTHING? ft aislinn&cyrielle Vide
MessageSujet: Re: DOES FAMILY MEAN ANYTHING? ft aislinn&cyrielle   DOES FAMILY MEAN ANYTHING? ft aislinn&cyrielle Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

DOES FAMILY MEAN ANYTHING? ft aislinn&cyrielle

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
SALVIO HEXIA :: ACHIVES ::  ::  :: CORBEILLE :: SAISON 3 - ARCHIVAGE-