Wilhelmina and Remady.

La rentrée, pour être franc c’était un moment que Reed n’appréciait que très moyennement. Pour lui la magie était un don, le genre de chose que l’on ne peut haïr, mais ce qu’il haïssait à Poudlard c’était ces foutus sangs purs qui faisaient leur propre loi, celle du sang. Il détestait cette façon de classer les gens. Un sang n’est-il pas simplement du sang, des plaquettes, des globules rouges et des globules blancs ? Pour Reed du sang restait du sang. Ce matin là il s’était levé du bon pied, il avait pris son petit déjeuné en ennuyant Grover, sa grande sœur. Il l’adorait, la faire chier faisait parti de ses amusements, bien que la rouge et or qu’elle était se retrouvait souvent exaspéré par le comportement enfantin de son jeune frère. Enfin… jeune, après tout ils n’avaient qu’un an d’écart, mais ils avaient toujours été assez proche sans pour autant être les meilleurs amis du monde. Le décès de leurs parents devait y être pour quelque chose, même s’ils étaient trop jeunes pour s’en souvenir. Reed n’avait jamais le sentiment d’être triste par rapport à cela, jamais. Il avait toujours trouvé l’idée de pleurer à propos de quelque chose dont on ne souvient pas débile. Il regrettait simplement de ne pas avoir eut de père avec qui jouer au quidditch, ni de même avec qui il aurait aimer faire la cuisine. Il avait sa sœur et sa tante c’était amplement suffisant.

Il avait trimbalé sa gros valise remplie de livre sur le quidditch, et sur la médicomagie sur le quai, et sincèrement il avait eut du mal à se frayer un passage à travers les élèves et les familles. Avant même de passer le portail de la voie neuf trois quart il avait d’ors et déjà perdue sa sœur, tant pis il ne tarderait pas à la revoir il en était certain. Il avait monté sa valise sur les marches (en bousculant sans remords deux ou trois personnes qu’il ne portait pas vraiment dans son cœur.) c’était la cohue, et pourtant le train ne partait que dans une dizaine de minutes. Il s’était surpris lui-même en arrivant avec dix minutes d’avance (enfin il le devait surtout à sa sœur qui lui avait dit de se bouger au lieu de glander devant la télévision, cette merveilleuse invention moldue !) ; il tirait avec nochalence sa valise, et soudain, il vit alors qu’il était à la recherche d’un compartiment où s’installer, son amie Will assise à regarder par la fenêtre. Il tira alors la porte du compartiment (bruyamment, comme tout garçon qui se respecte).

- Alors on rêvasse Willie ? dit-il en le regardant , puis en lui adressant un sourire. ensuite, il porta sa valise jusqu'à l'endroit prévu à cet effet. Elle était son amie, il aurait pu lui sauter au coup, mais il n'était pas du genre à être à la base des éffusions de sentiments et de joie, vous savez, c'est un mec, prendre une fille dans ses bras c'est dur, être pris dans les bras d'une fille ça l'est beaucoup moins. il s'assit alors en face d'elle, et s'appuya contre la fenêtre, tout comme elle l'était face à lui, et il ajouta alors : tu as passé de bonne vacances ? Il laissa quelques secondes son regard divaguer par la fenêtre, dans l’espoir secret d’apercevoir Lana. Puis il reposa son regard sur Willie, la voir le rendait heureux, simplement, mais malheureusement, il n’était pas du genre à ouvrir la bouche pour dire : « tu m’a manqué ».

591 mots.

Le raffut d'une bande de serpentard la réveilla en sursaut, elle n'a jamais eut le sommeil très lourd, d'ailleurs, cela lui à causé des problèmes durant sa première quand on partage sa chambre avec une fille qui ronfle et une autre ayant une vessie très très petite; Bonjour les nombreuses nuits d'insomnie. Bref après les avoir fusiller d'un de ses regards meurtrier, Will se retourna vers la fenêtre, une foule d'adulte agité emplissait le quai. La plupart avait l'air triste, Willie avait eut le droit à un au revoir passif de la part de son père et une carte postale ou il y avait inscrit en gros: Amuse-toi bien! Maman. Mais cela ne l'affectait pas plus que ça, les années passant, elle s'était fait une raison: sa mère avait d'autre priorité qu'elle et son père n'était qu'une pauvre loque humaine broyant du noir à longueur de journée. Mais elle s'en fichait, à l'heure d'aujourd'hui, sa vraie famille était Poudlard et tout ce qui allait avec.

Rêveuse, elle n'entendit même pas la porte du compartiment s'ouvrir, Will avait cette faculté de laisser ses pensées faire divaguer son esprit, la raison pourquoi ses notes n'avaient jamais été très bonnes, il suffisait qu'elle regarde par la fenêtre pour être complétement absorber par un nuage en forme de cuvette de toilette. Ce fut la voix de Reed qui la ramena à ses esprits. - Alors on rêvasse Willie ? La jeune fille se frotta les yeux,avant de se retourner vers un garçon qui lui était très familier. Will le regardait d'un air nonchalant sans grand intérêt, comme d'habitude il ne montrait pas grande émotion à son égard, mais elle était habitué. Ça avait été tout le temps été comme ça, le rôle du beau mec mystérieux lui collait à la peau depuis … toujours à vrai dire. Normalement, elle l'aurait pris dans ses bras affectueusement, n'aurait pas arrêté de parler de tout et de rien alors que lui répondrait simplement dès qu'il en aurait l'occasion. Mais cette fois-ci, Willie se rappela: ça c'est ce que l'ancienne Will ferait. Elle qui d'habitude était si facile à cerner, ne fit qu'esquisser un petit sourire ne disant pas grand chose. Il enchaina alors: tu as passé de bonne vacances ?
D'habitude Will lui sortirait un récit sur comment son père devrait aller voir un psy, qu'elle s'ennuyait à mourir dans sa petite ville, et qu'elle aurait aimé le voir. Mais encore une fois elle se retint et lui répondit d'une voix rêveuse: - Hmm .. Ça allait. Enfin comme d'habitude.

Ce n'est que quelques dizaines de secondes plus tard que Will se rendit compte qu'elle avait complètement de lui retourner la question. - Et toi? Il ne la regardait plus, les yeux rivés sur la fenêtre, il n'était pas difficile de deviner qui il cherchait. Donc soit il la prenait pour une aveugle, soit pour une idiote. Mais Willie décida pour une fois de ne pas réagir quand d'habitude elle ce serait montré blessé. Alors qu'il se focalisait à nouveau sur elle, elle décida de lui sourire à nouveau, le genre de sourire innocent qui lui était réservé.

Wilhelmina and Remady.

Les effusions de sentiments, c’était le truc où Reed était affreusement nul. Souvent lorsqu’un type joue la carte du grand mystérieux c’est parce qu’il n’est pas vraiment à l’aise avec lui-même ou avec ses sentiments. C’était le cas de Reed, très peu à l’aise pour montrer de l’affection à quelqu’un d’autre qu’à sa sœur. Il s’était installé en face d’elle et était surpris de son manque de réactivité, il était habitué à voir une Willie un peu plus survoltée, et surtout plus heureuse de le voir. Là, elle semblait totalement indifférente à son retour, okay, il n’était pas doué pour se montrer content de voir les gens mais elle en revanche n’avait cette habitude ci. C’était donc ça l’indifférence de quelqu’un à votre égard ? Avoir le sentiment de ne pas exister, puisque l’on existe à peine à travers le regard de l’autre ? il garda cette pensée en mémoire, mais d’un autre côté il avait envie de ma chasser. Elle répondit alors à sa question sur les vacances, avec une quasi indifférence qui lui faisait froid dans le dos :

- Hmm .. Ça allait. Enfin comme d'habitude. Il devait ainsi comprendre que tout se passait comme les autres années. Mais une chose semblait bel et bien avoir changé durant l’été, c’était Willie elle-même. D’habitude, elle se serait fait une joie ou presque de lui faire un récit complet (et presque jour par jour) de ses vacances. Là elle se contenta d’une bref phrase, c’était normalement lui qui lui sortait un phrase aussi brève que cela. Il trouvait qu’elle avait changé, beaucoup changé, et même beaucoup trop changé. Il reste alors silencieux, car au début elle ne pris pas la peine de lui retourner la question. Une question traversa alors l’esprit de Reed et monopolisa toute son attention : quelle mouche l’avait donc piquée ? ou était passé son amie ? Ou était passé la Willie qu’il aimait tant sans être capable de le dire en ces termes ? il ne savait pas, quand il la regardait il voyait Willie, trop ailleurs pour que ce soit son amie. Quand son regard se posa sur l’extérieur, elle lui retourna la question. Il s’arrêta de chercher Lana des yeux, puis posa son regard sur son amie, qui venait de lui dire :

- Et toi? C’est là qu’habituellement il aurait répondu, ‘comme d’habitude, tu sais bien’. Mais elle lui avait volé sa phrase. Que pouvait-il bien lui répondre ? Il ne savait pas trop, il n’avait jamais vraiment rien répondu d’autre à cette question. Il décida d’être un peu plus loquace, un peu moins mystérieux dans le but de retrouver cette Willie qui s’était perdue durant l’été. - Des vacances quoi... Impossible de pratiquer le quidditch parce que ma tante à décidé de déménager dans un quartier moldu. Un été pluvieux sous le ciel anglais, un été pourrie, parce que Poudlard et tout ce qui s'y trouve me manquait énormément. il marqua une pause, il avait rarement parler aussi longtemps de ses vacances d'été, d'habitude, il se contentait d'être bref, mais là il avait choisit de raconter quelque petites choses, comme le déménagement de sa tante dans un quartier moldu. Beaucoup d'orphelin méprisent leur tante, pas Reed qui l'aimait bien malgré qu'elle ne soit pas forcément très douée avec les enfants, et avec les ados. Il avait omis une chose au sujet de ses vacances, son petit passage au commissariat. Chaque chose en son temps. Puis, il ajouta en souriant : - et à la fin de l'été, Grover ne me supportais plus, il était tant qu'on rentre au bercail. , Will savait bien que Grover était la grande sœur de Reed. Et oui, il avait eut tellement hâte de retourner à Poudlard pour revoir, Will, mais aussi Lana.
environ 600 mots.

L'indifférence, quelque chose de bien pire que de la haine, la haine garde un lien entre deux personne, les rattache l'un à l'autre. L'Indifférence, elle, ne laisse qu'un vide, son père le lui a très bien appris. Will se rappelle de l'époque ou elle venait de rencontré Reed, les adultes n'hésitaient souvent pas à lui dire un quelque chose du genre: Je suis sincèrement désolé pour tes parents, ça doit être très dur. Will n'a jamais compris pourquoi, il ne les a jamais connu, en théorie, comment quelque chose peut nous manquer si on ne l'a jamais eut? Elle, elle avait connu le bonheur d'avoir deux parents, mais au jour d'aujourd'hui, elle avait le droit à l'absence d'une mère et d'un père … indifférent. Quelque part infliger ça à Reed lui faisait un peu de peine, mais la roue tourne.

Il lui répondit pour la première fois en neuf ans d'une phrase complète, les rôles s'inversaient, et Willie ne pouvait pas être plus heureuse. Elle adorait Reed, mais il ne parlait pas des masses, jamais la jeune fille n'a essayer de percer son jardin secret, respectant sa discrétion, et puis de toute façon, elle pouvait très bien parler pour deux, mais pas cette fois-ci.-- Des vacances quoi... Impossible de pratiquer le quidditch parce que ma tante à décidé de déménager dans un quartier moldu. Un été pluvieux sous le ciel anglais, un été pourrie, parce que Poudlard et tout ce qui s'y trouve me manquait énormément. Elle avait vraiment du mal à reconnaître son meilleur ami, la première chose auquel elle pensa fut: est-ce que je t'ai manquer? Mais Will savait très bien que par là il voulait dire le quidditch et Lana. Oui, au fond, will ne pouvait pas se mentir, elle était d'une jalousie maladive, mais elle était bien décidé à l'effacé. Willie a toujours été le genre de personne qui une fois une idée en tête, elle ne la lâche plus et fera tout pour en venir à ses fins. Un caractère bien trempé, voilà comment on la décrit, d'accord, plutôt un caractère de cochon mais c'est du pareil au même.- et à la fin de l'été, Grover ne me supportais plus, il était tant qu'on rentre au bercail. La jeune fille connaissait bien Grover, même si elle était son ainée, les deux étaient dans la même maison et faisait du quidditch ensemble, il était forcé qu'elle se côtoie en plus du fait que son petit frère soit son meilleur ami. Grover une autre chose que Will aurait bien aimé avoir, il avait beau souvent se disputé avec elle, les deux s'aimait plus que tout. Enfin bref, la brunette n'avait jamais entendu Reed parler … autant. Le regard vague, Will était trop plongé dans ses pensées pour l'écouter pleinement. - Ah, dommage. Sa phrase n'était pas spécialement froide, mais ni très amicale pour autant, aucune émotion ne semblait émaner de la jeune fille un peu dans la lune. - Le train va bientôt partir... dit-elle de sa voix toujours aussi rêveuse, finalement elle fixa, enfin, ses yeux sur Reed, normalement, elle n'aurait put s'empêcher de lui sourire, et de glousser. D'ailleurs c'est ce qu'elle s'apprêtait à faire avant de se remémorer de ce qu'elle s'était dit avant l'arrivé du garçon. Elle le contempla d'un regard lasse et … vide.

Wilhelmina and Remady.

Reed était un insensible, il n’avait jamais vraiment su pourquoi. Jamais vraiment, à vrai dire il avait toujours été un peu comme ça, même avec sa sœur il se montrait souvent réservé sur l’affection qu’il lui portait. Plusieurs fois il avait été confronté à des psychologues dans sa vie, il avait été analysé sous toutes les coutures. En tant que délinquant chez les moldus à cause de tapage nocturne, vol à l’étalage et autre délis dans le genre, sa tante avait de nombreuse fois cherché à comprendre son attitude, et la réponse était souvent la même, dépourvu d’une autorité paternelle il se sentait obligé de faire la justice lui-même et n’avait pas de limite, et dépourvu de même, il était insensible et indifférent à beaucoup de choses.
Les réponses de Willie étaient laconiques. Elle semblait si désintéressé, comme si elle se foutait totalement de Reed, ce qui l’énervait réellement. Ça n’était pas son genre de l’ignorer de la sorte, elle ne l’avait pas habitué à cela, jamais. Il s’appuya contre la fenêtre, sa joue gauche était désormais froide. Il regardait le quai qui était rempli de famille, d’enfant pas encore en âge d’aller à Poudlard. Reed les enviaient parfois les gens qui vivaient leur vie hors de Poudlard, tranquillement. Reed ne savait pas quoi répondre, il n’avait jamais été confronté à ce genre de situation.
- Ah, dommage Répondit-elle simplement. Des réponses laconiques, sans réflexion. Il poussa un léger soupire, et continua de regarder par la fenêtre. Les gens se pressait sur le quai, il avait hâte d’arriver à Poudlard, si Willie continuait d’être aussi laconique, le voyage promettait d’être très très long. Mais bon sang que lui arrivait-il ? il ne l’avait jamais vu comme cela ! - Le train va bientôt partir... ajouta-t-elle, avec le même laconisme.

Cette fois s’en était trop. Il avait envie de dire quelque chose, de lui demander ce qui n’allait pas, mais c’était au dessus de ses forces. Qu’avait-elle à lui dire, puisque apparemment elle n’avait pas envie de parler. Cette fois ci, il poussa un soupire parfaitement audible, et chercha quelque chose dans son sac, il sorti un livre. Il n’avait aucunement l’intention de lui adresser la parole, c’était elle qui semblait avoir un problème pour être aussi nonchalante, c’est comme si elle parlait à un mur, comme si elle se foutait totalement de lui. Il lu pendant plusieurs minutes et le temps s’écoula doucement, si doucement que Reed faisait semblant de lire, espérant obtenir une réaction de sa part, mais rien. Il poussa un autre soupire puis ferma brusquement son livre. - franchement... t'es chiante, tu dis rien. lâcha-t-il alors sans grande conviction. Okay, Reed n'était pas du genre à faire des reproches, mais quand il en faisait il ne lâchait jamais ses mots, elle était chiante ? il lui disait qu'elle était chiante, point. Il marqua une pause et cessa de regarder dehors. Il fixa alors Willie, il était rare qu’il fixe les personnes avec une telle intensité lorsqu’il leur parlait. Puis il ajouta avec un peu plus de froideur, et un peu plus de franchise : - qu'est ce t'as bordel, t'as un problème ? Dis moi, je suis ton ami non ? enfin je pense être ton ami ! Il était énervé, voilà, elle avait réussi à l’énervé. Il la fixa encore quelque second puis poussa un autre soupire, et colla de nouveau sa joue contre la fenêtre froide, et fixait dehors, le train était en mouvement depuis pas mal de minutes, ils avaient désormais quitté Londres.

environ 600 mots.

C'était étrange, Will avait l'habitude de voir Reed si calme et posé. Contrôlant ses émotions à la perfection, il semblait presque insensible. Mais quelque part, c'est ainsi qu'elle l'aimait, le voir énervé lui faisait presque peur, mais Will avait trop de fierté pour l'avouer. La jeune fille à toujours été quelqu'un de très fière, détestant se sentir inférieur, on peut dire qu'elle aime prendre les choses en main. Tout ça remonte aux sangs purs, saleté de sang pures se croyant supérieur à la terre entière. Willie n'avait pas peur de crier haut et fort qu'elle était moldue, en y repensant bien, c'est ce but commun de mettre fin à cette injustice qui fait que Remady et Wilhelmina étaient devenus amis. Plongé dans ses pensées pour la énième fois, elle n'entendit pas le jaune et noir soupirer longement avant de sortir un livre de son sac. Le silence pris place, Will y était habitué, pendant deux mois, elle n'avait pas prononcé un seul mot, la jeune fille avait vécue dans le mutisme, attendant que les jours passent. Le claquement du livre sur lui même dirigea son attention vers Reed, il avait l'air … irrité.

Franchement... t'es chiante, tu dis rien. Lacha-il, cela lui fit de la peine, jamais il ne ne lui avait dit quelque chose d'aussi, blessant. Et au fond, c'est elle qui l'avait cherché. Will était partagé: à la fois elle trouvait qu'il l'avait bien merité, qu'il ne fallait pas qu'elle s'abaisse à lui juste parce que monsieur n'a pas eut ce qu'il voulait pour la première fois dans sa vie. Mais, elle ne supportait pas qu'il soit en colère contre elle, son visage se crispa légèrement , les yeux baissés, n'osant même pas le regarder. . - Qu'est ce t'as bordel, t'as un problème ? Dis moi, je suis ton ami non ? enfin je pense être ton ami ! Voilà il était définitivement en colère. Will releva les yeux, son regard était méprisant. Il avait beau être Reed, personne n'avait le droit de la traiter ainsi. Il n'avait juste pas le droit. Ses yeux devinrent légèrement brillants, Willie se haït pour être sur le point de pleurer. Elle qui ne montrait jamais de faiblesse, non, elle ne pouvait pas pleurer, pas maintenant pas comme ça. - T'es vraiment un sale con tu sais. Sa voix n'exprima pas aucun signe de colère, juste du mépris. Elle ne voulait pas lui donner d'explication, elle ne voulait pas lui dire à quel point elle trouvait qu'il agissait comme un enculé pour lui parler ainsi alors que durant les neuf dernières années il lui avait infligé le même traitement. Mais quel con, mais quel con, mais quel con. Will détourna le regard, elle n'avait qu'une envie, s'était de partir, malheureusement toutes les places étaient prises, quelques élèves étaient assis dans le couloir préférant ça à s'asseoir près de Will ou Reed, leur réputation de délinquant leur collait à la peau, ensemble ils avaient fait les coups, ce temps là lui manquait, si seulement les choses n'étaient pas aussi compliqués, si seulement il n'était pas tombé amoureux de cette peste, si seulement elle n'était pas aussi possessive avec Reed, si seulement elle mettait sa fierté de côté une bonne fois pour toute. [/u]

Wilhelmina and Remady.

Il ne manquait plus que ça. Il fallait qu’il se dispute avec Willie dés la rentrée avant même d’être arrivée à Poudlard. Cette idée lui faisait peur, Willie au fil des années étaient devenue une sorte de repère pour lui, même s’il n’était pas forcément le type le plus extravertie, elle faisait partie des gens qui en savait vraiment le plus sur son compte. Elle était une des rares à savoir qu’il avait perdu ses parents et qu’il avait pour seul famille sa sœur et sa tante, mais tout ce qu’il lui avait demandé, c’était de ne jamais être considéré comme faible parce qu’il avait perdu quelqu’un – quelqu’un dont il n’avait quasiment aucun souvenir – puisqu’il n’a jamais vraiment ressenti l’envie de pleurer sur son compte. Pleurer, ça n’était pas le genre de Reed d’ailleurs, de mémoire il n’avait jamais vraiment pleuré depuis son enfance, jamais, donc Willie ne l’avait jamais vu les larmes aux yeux, jamais. Il avait peut être eut les yeux humides quand il s’était fracturé le bras au quidditch, car la douleur était intense, mais c’était tout.
Il ne l’avait jamais vu comme ça, c’était souvent lui qui agissait de la sorte, c'est-à-dire lui qui restait souvent muet. Mais elle ne comprenait pas, comme si elle pouvait le comprendre. Il avait tellement mal quand il était à Poudlard, il ne comprenait pas qu’il puisse y avoir tant d’injustice. Il ne savait pas pourquoi il était si mystérieux, mais il avait fait ce choix pour se préserver en quelque sorte, mais au long de ces années, elle semblait avoir bien compris son comportement, mais d’après les mots qui suivirent, apparemment, non.

- T'es vraiment un sale con tu sais Ça avait claqué dans l’air. A cet instant Reed avait détourner le regard vers l’extérieur, et il ne pu s’empêcher de rire. Vraiment, presque nerveusement. Puis il ajouta alors : - Ah ouais, je suis con ? Enfin des mots qui viennent du cœur ! Et c'est seulement maintenant que tu le découvre ?! Neuf ans pour te rendre compte que j'étais con, tu aurais pu t'en rendre compte avant ! avant de me faire ta putain de scène ! Lâcha-t-il encore plus énervé. Il était con ? Et elle le découvrait seulement maintenant, décidément elle ne le connaissait pas si bien que cela. Reed, con ? C’était une chose qui était reconnue à Poudlard, maintenant si même Willie se mettait à lui dire, il n’allait pas tarder à s’en aller, et qui sait chercher un peu d’amitié, ou plus auprès de Lana. Il se leva alors, et s’apprêta à sortir. Il s’arrêta une fois la porte du compartiment ouvert, les deux mains posé sur les montants de la porte. Il s’arrêta fixant un point devant lui, la fenêtre ou défilait le paysage, ils avaient désormais quitté Londres. La campagne anglaise défilait sous ses yeux, il poussa un soupire, puis jeta un regard noir au deux premières années qui passait. Puis il tourna la tête pour regarder Willie. Il la connaissait assez pour savoir qu’elle avait les yeux brillant. Rien que pour ça, il s’en voulait, faire pleurer quelqu’un – ou lui donner les yeux humides – ne le réjouissait pas, enfin s’il s’agissait d’un serpentard il en était heureux, mais là, il s’agissait de Willie. Là, ça n’était pas pareil, il s’en voulait. Il la quitta des yeux et leva presque les yeux au ciel, il avait véritablement envie de sortir du compartiment. - Putain Willie... commença-t-il calmement, et presque avec douceux, quand il le voulait il cessait d'être inhumain, puis il ajouta en posant son regard sur elle : - Qu'est ce que je t'ai fait hein ? tu me fais payer mon sale caractère après neuf ans ? Faire le type blasé, c'est mon truc, ça te ressemble pas. j'pensais qu'après neuf ans t'aurai compris que j'étais juste comme ça, parce que je suis comme ça comme y'en a qui son joyeux et extraverti. Il secoua la tête de gauche à droite, puis rentra dans le compartiment en claquant la porte, ce qui fit fuir quelque élève qui passaient par là. Il retourna s’asseoir, sans réellement adresser un regard à Willie. - je pense qu'une amie pouvais comprendre, mais je me suis sans doute trompé sur ton compte. ajouta-t-il en s'appuyant contre la fenêtre, et il eut envie d'ajouter, "si tu n'es plus mon amie, alors je n'ai plus d'ami", mais il ne le fit pas. Il pensa alors à Lana, non cette fille il avait beau la connaitre, elle n'était pas Willie.

environ 600 mots.

La situation lui échappait, Willie avait du mal à l'admettre mais elle ne supportait pas la colère de Reed, désormais il était tout ce qu'elle avait. C'était assez triste à dire, il ne la meritait pas vraiment, se comportant comme un loup avec elle avant de se retourner et se transformer en agneau face à cette autiste de Lana. Mais au fond, s'était simple justice: au coté de Lana, Willie sombrait dans l'imperfection. Même avec toute la volonté du monde, jamais elle ne pourrait être aussi gentille et niaise que cette peste. Trop préoccupé par cette envie de remonter en arrière pour effacer toute cette scène, Will pensa avoir loupé quelque chose quand elle vit « son ami » rire. C'était nerveux, ce qui la surprit, depuis quand Reed était nerveux? Une nouvelle fois les mots éclatèrent de sa bouche: - Ah ouais, je suis con ? Enfin des mots qui viennent du cœur ! Et c'est seulement maintenant que tu le découvre ?! Neuf ans pour te rendre compte que j'étais con, tu aurais pu t'en rendre compte avant ! avant de me faire ta putain de scène !Elle croyait rêver, rare était les fois ou le poufsouffle prononçait plus d'une phrase, et encore plus surprenant, il était loin de son ton habituel: nonchalant et lasse. Oui, tu es un sale con, mais pas pour les raisons que tu crois, t'auras beau être le plus bel des enculé, tu seras toujours mon Clyde pensa t-elle silencieusement. Il lui était mentalement impossible de rester éloigner de Reed, triste mais vrai, elle le suivrait n'importe ou, elle ferait tout pour lui. Malheureusement cette pensée n'était pas réciproque. Et durant toute ses années, elle avait beau essayer d'oublier ses pensées douteuses sur leur supposée amitié elle ne pouvait s'empêcher de se demander si, si jamais un jour, il devait venir à choisir entre elle et quelqu'un d'autre que se soit Lana ou une autre idiote du même genre, qui choisirait-il? Cette peur qu'il la laisse tomber la rongeait, Willie avait beau joué les durs, elle avait besoin d'affection, et au jour même, le seul qui pouvait lui en apporter était Reed. Et encore, ce n'était pas son point fort, s'était ce manque d'affection qui la tourmentait plus qu'autre chose.

.Remady, allait s'en aller, la jeune fille était sur le oint de le supplier d erester qu'il se retourna vers elle: - Putain Willie... . Retrant de nouveaux dans le compartiment, elle se sentit légèrement soulagée, sa voix était plus calme, même douce. - Qu'est ce que je t'ai fait hein ? tu me fais payer mon sale caractère après neuf ans ? Faire le type blasé, c'est mon truc, ça te ressemble pas. j'pensais qu'après neuf ans t'aurai compris que j'étais juste comme ça, parce que je suis comme ça comme y'en a qui son joyeux et extraverti. Lui expliquer serait humiliant, elle ne voulait pas de sa putain de pitié, Willie voulait juste … oublier. Oublier que tout ça ne soit jamais arriver. Ses phrases résonnaient dans sa tête, s'était vrai, elle n'était pas ce qu'elle voulait être et il n'était pas ce qu'elle voulait qu'il soit. Il ne la regardait pas, s'asseyant de nouveau face à elle, il sortit la phrase, la phrase qui la fit tomber de trois cent mètre de haut: . - je pense qu'une amie pouvais comprendre, mais je me suis sans doute trompé sur ton compte. Elle avait l'impression de l'avoir trahie, alors qu'elle n'avait rien fait de mal, cela montrait à quel point elle était vulnérable face à lui. Willie aurait beau le hair, elle reviendrait toujours à lui. Elle soupira, puis lâcha bêtement: - Tu m'énerves. Typique de Will, des airs de chien battu accompagnant sa voix boudeuse. Tu m'énerves à toujours réussir à me faire sentir coupable dans n'importe quelle situation, bordel Reed, tu m'énerves, parce que tu pourras être le pire des salauds, je reviendrais toujours vers toi. C'est pour ça Reed, t'es un sale con. Elle était frustré, vider son sac lui avait fait le plus grand bien, finalement elle baissa le syeux, fixant le sol, elle ne voulait pas voir sa reaction: - Mais tu restes mon sale con.

Reed n’était pas du genre à faire des scènes à ses amis. Lui, il était plutôt du genre très très théâtrale lorsqu’il s’agissait de faire du mal à ceux qu’il n’aime pas, très théâtrale lorsqu’il s’agissait de se venger. Reed avait un côté Robin des Bois, oui, un vrai Robin des bois, sans foi ni loi, il ne suivait qu’une loi : la sienne. Sa vision de la justice était bien définie, pour lui il était impensable de différencier les gens par leur sang. Il était étudiant en médicomagie il en savait bien assez sur les propriétés du sang pour dire qu’il n’y avait aucune notion de pureté sorcière, rien, pas l’ombre d’un gène. Il était dégouté par cette manie, oui parfaitement dégouté, et avec Willie, il avait enfin trouvé quelqu’un qui pensait comme lui. Elle était une née-moldue, et elle en avait sans l’ombre d’un doute bavée, peut être même plus que lui. Lui il n’était qu’un sang mêlé, il n’en avait pas bavé, il avait longtemps été invisible aux yeux des sangs purs, jusqu’à ce qu’il commence à s’en prendre à eux.

Reed est quelqu’un de particulier, peut loquace et assez secret il est pourtant différent lorsqu’il poursuit sa croisade contre les sangs purs. En effet face au sang purs, il est différent, cynique, casse cou et totalement énervée, rien que le fait de voir un sang pur prendre quelqu’un de haut l’énerve, il a une seule envie, lui porter secours et refaire le portrait vite fait bien fait. Un véritable Robin des Bois. Et que serait Robin sans, son petit jean ? Non, Willie en petit Jean, ça ne collait pas du tout quand il y pensait, elle n’avait rien de petit Jean même si jusque là elle ne lui avait jamais fait défaut, elle n’avait rien de Petit Jean. Quand il y pensait, dans la légende de Robin des Bois, il y avait une autre personne fidèle à Robin le Brigand, et c’était Marianne, sa douce Marianne. - Tu m'énerves. Dit-elle alors. Cette phrase remonta le moral de Reed, dés qu’il l’énervait, c’était bon signe. Enerver les gens était sa seconde nature, par exemple, il énervait sa sœur, mais cette dernière l’adorait. Reed on le hait, ou alors il vous énerve mais vous l’adorez, c’est au choix. Tu m'énerves à toujours réussir à me faire sentir coupable dans n'importe quelle situation, bordel Reed, tu m'énerves, parce que tu pourras être le pire des salauds, je reviendrais toujours vers toi. C'est pour ça Reed, t'es un sale con. Vous voyez, malgré tout, elle lui restait fidèle, en toute circonstance, même s’il était le type le plus con de la terre, même s’il était le pire des salops. Et franchement, Reed avait du mal à l’admettre, mais même si elle devenait elle aussi la pire des salopes, il ne pourrait se résoudre à lui en vouloir. - Mais tu restes mon sale con. Cette dernière phrase la fit sourire. Il restait un sale con.

- Si je reste un sale con, me voilà rassuré. Ajouta-il en souriant. Il préférait être un sale con et qu’elle lui parle encore que d’être un sale con et qu’elle ne lui adresse plus la parole. Oui, il était étrange il préférait être pris par un con et qu’elle lui parle plutôt que d’être tout seul. S’il se retrouvait seul avec qui parlerait-il ? Lana ? Peut être, mais ça ne serait pas pareil, Lana n’était pas Willie, loin de là. - je ne sais pas ce que j'ai fait à part être un sale con, mais... que puis-je faire pour me faire pardonner ? Demanda-t-il alors. Oui, il avait envie de se faire pardonner, même s’il ignorait les raisons du courroux de Willie. Mais il était heureux, heureux de la retrouvé, mais entre sale con et sale con, il avait trop de mal à placer un « tu m’avais vraiment manqué Will ». Il fit une pause, longue, il avait envie d’ajouter quelque chose. - je pourrais faire tes devoirs, aller te voler de la nourriture exceptionnelle dans les cuisines, aller braquer une banque, casser la figure à quelqu'un n'importe quoi. Mais une chose est sûre, je suis vraiment content de te revoir, la bonne vieille équipe ! Oui, la bonne vieille équipe, comme Bonnie et Clyde, comme Robin des bois… et Marianne ?

Lana n’était jamais en retard, elle était toujours la première arrivé à tout sauf se matin! Son alarme avait oublié une chose très importante. Sonner ! Ou plutôt elle avait oublier de le mettre à l’heure qu’elle voulait qu’ils sonne. Elle c’était donc lever deux heure plus tard avec a peine assez de temps pour tout faire. C’était le marathon chez les Slater-Banes. Son père était de mauvaise humeur justement parce qu’elle n’était pas tout à fait prête mais il devait comprendre qu’elle avait eu bien des chose à faire hier en dehors et donc elle avait finit par prendre le chemin de la gare avec pratiquement une demi-heure de retard et les chose amenant une autre, elle avait courut à travers la gare pour se rendre à la plateforme 9 et trois quart. Le train partait dans exactement cinq minutes par le temps qu’elle arrive sur la plateforme. Juste le temps de donner une rapide embrassade à son père et sa mère et elle se mettait à nouveau à courir.

Mais sont retard lui avait assurer aucune place à pouvoir s’asseoir dans le train qui était littéralement plein à craquer. Elle était même prête à s’asseoir par terre dans les couloirs au point ou elle était rendue. Il était vrai qu’elle n’avait pas trop le choix en se moment elle errait dans les couloir quand soudainement elle remarquât enfin un endroit ou il semblait y avoir très peu de gens. En fait il y en avait deux qu’elle ne reconnue pas immédiatement sur le coups mais une fois à la porte elle les reconnue. Et elle ne pu s’empêcher de jurer mentalement. C’était cette Gryffondor et Reed. Elle adorait Reed mais Wilhelmina la détestait comme la peste il semblerait. Mais Lana ne l’aimais pas beaucoup non plus. Pas depuis le jour où elle avait tenter de devenir ami avec cette dernière et qu’elle c’était pratiquement faite insulter. Elle soupirât avant de rentrer dans la petite cabine avec un petit sourire gêner. Il était un brin faux parce qu’elle savait que Reed ne serait pas bien mécontente de la voir mais elle devait avouer qu’une partit de se sourire était vrai à cause de la rouge et or.

«Désoler il n’y a plus de place nul part, ça vous dérange si je vous rejoints?» Soudainement elle était un brin contente d’être ici parce qu’elle aurait le temps d’agacer un peu cette rouge et or.

Elle avait rapidement entrer ces sac et elle c’était assise sur la même banquette que Reed avec bien sur un livre à la main, aussi bien prétendre qu’elle allait se tenir tranquille ont verrait bien comment elle réagirait non? Lana jouait surement avec le feux dans une tel situation mais malheureusement elle ne pouvait s’en empêcher parce que Willie agissait comme si seulement elle pouvait apprécier Reed, comme si seulement elle pouvait être amie avec se dernier et ce n’était pas pour lui plaire le moins du monde. Après tout Lana le connaissait depuis pratiquement aussi longtemps que cette lionne alors pourquoi elle agissait de cette façon hein? C’était encore une grande question non répondu pour la jeune pouffsouffle mais bon elle allait devoir tenter d’être tout simplement gentille (Mais ne l’était-elle pas toujours ?) et voir comment la gryffondor elle allait agir ?

Wilhelmina, Lana and Remady.

- je pourrais faire tes devoirs, aller te voler de la nourriture exceptionnelle dans les cuisines, aller braquer une banque, casser la figure à quelqu'un n'importe quoi. Mais une chose est sûre, je suis vraiment content de te revoir, la bonne vieille équipe ! Quelque part, cette phrase lui fit plaisir. Comme au bon vieux temps ... Le temps ou rien n'était compliqué, ou ils s'en foutaient des conséquences, ou la vie ne semblait être qu'une histoire ou l'on connaissait les héros et le méchants et malgré ce qu'ils fassent, tout finirait par s'arranger, comme d'habitude. Mais ils grandissaient, Will avait du mal à réaliser qu'après Poudlard il y avait une vie, qu'après Poudlard il lui restait plus de soixante ans à vivre mais tout était un énorme trou noir. Deja une vie sans Reed lui était peu realisable, pourtant c'esdt ce qui l'attendait surement. A cette pensée elle lui sourit, elle devrait profiter de sa présence. Après delongues pensées elle lui répondit finalement: Tu pourrais m'appeler maitre et me vouvoyez pendant toute une journée, ce serait pas mal ça... .... Toi aussi tu m'as manqué, beaucoup manqué.

A peine eut-elle prononcé ses mots que la porte du compartient s'entrouvrit. -Désolé il n’y a plus de place nul part, ça vous dérange si je vous rejoints? Horreur. C'était presque trop parfait,voilà qu'un troll avait refait surface. Alors qu'elle s'apprêtait à lui sauter à la gorge, la jeune fille se rappela de quelque chose. A quoi bon montrer son mépris envers elle? Au final, elle passait pour la méchante et Lana pour la gentille épaississant de plus en plus ce bloc de glace entre elle et Remady. Il était enfin redevenu ami, mais vraiment ami. Cette idiote n'avait juste pas le droit de gâcher cela. Will decida de changer de tactique, au lieu de l'étrangler, elle lui sourit simplement, avec douceur et gentillesse. - Oh Lana, vas-y ce sera surement plus comfortable que de faire comme ces trisomiques assient par terre. dit-elle faisant signe à une poignée de leurs camarades de classe ayant préférer s'installer sur le sol dur plutôt qu'au côté de Reed et Will. Elle avait fait bien attention de ne pas en faire trop, histoire que se soit crédible, mais juste asse pour ne montrer aucune haine à l'égard de Lana qui sembla surpris. Si la détester ne l'avait pas fait fuir, il était temps que Wilhelmina se montre un tout petit peu plus mesquine pour se débarrasser une bonne fois pour toute du serpent appelé Lana Slater-Banes. Elle s'était installé aux côtés de Reed, le collant bien, s'était à en vomir, mais Will se retint de grimacer, à la place elle détendit son visage, une expression sereine; elle ne voulait pas lui donner la satisfaction de l'avoir rendu folle de jalousie. Plutôt réussi. Alors quequ'elle semblait paisible, une voix chuchotait à l'intérieur de son esprit: Meurt, salope. Will semblait presque aussi gentille que la pauvre petite Lana qui n'avait aucune idée de ce qui l'attendait. Wilhelmina s'était souvent demandé ce que Reed trouvait à cette petite trainée, elle faisait gamine et niaise comparé à Will, mais peut-être sa petite taille, ses yeux innocent faisait son charme. Mais Will ne pouvait juste pas la supporter, en même temps elle n'avait jamais vraiment essayer de la connaitre ni de l'apprécier. Juste le fait qu'une autre fille compte aux yeux de Reed était une bonne raison de la détester, mais plus question d ele montrer.

Wilhelmina, Lana and Remady.

- Tu pourrais m'appeler maitre et me vouvoyez pendant toute une journée, ce serait pas mal ça... .... Toi aussi tu m'as manqué, beaucoup manqué. L’appeler maître, ou la vouvoyer, à choisir, ça n’était pas pour lui. Il n’était pas du genre à faire des faveurs de façon passive, il préférait de loin aller lui voler de la nourriture, ou casser la figure à quelqu’un pour elle, plutôt que de la vouvoyer. Ils riaient ensemble, comme au bon vieux temps, comme durant ses neuf dernières années. Sincèrement, elle lui avait manqué durant les vacances, certes il avait eut sa sœur, mais après avoir passé un an en quasi perpétuelle compagnie de la jeune fille, deux mois sans elle lui parurent être une éternité. Elle lui dit qu’a elle aussi, il lui avait manqué, il esquissa un sourire satisfait, lui il n’avait que dit qu’il était heureux de l revoir sous entendant qu’elle lui avait manqué, sans savoir pourquoi les mots « tu m’avais manqué/tu me manque » restaient inlassablement coincé au fond de sa gorge, sans savoir pourquoi, c’était dérangeant. Il allait répondre quelque chose du genre « bien sûr maitresse », mais il fut coupé quand quelqu’un entra dans le compartiment, s’il n’avait pas déjà rencontré Willie, cette nouvelle arrivante lui aurait donné le sourire, cependant ce jour là, c’était Willie qui s’en était chargé. Ces deux jeunes femmes avaient le don d’illuminer ses journées.

-Désolé il n’y a plus de place nul part, ça vous dérange si je vous rejoints? Lana, dérangé Reed ? Jamais. Il lui adressa un sourire chaleureux, ce qui était rare sur le visage du jeune homme. Il aimait beaucoup Lana, plus qu’il ne voulait bien l’admettre. Mais si on lui demandait de choisir laquelle des deux entre, Lana et Willie, il préférait, il vous répondrait que ça n’était pas comparable, comment comparé la fille que vous venez tout juste de rencontrer mais vers qui vous êtes étrangement attiré, et celle qui partage vos coup de gueules, vos délire, vos emmerdes depuis neufs ans ? Reed, ne savait répondre, la question resterait donc en suspend. Reed ne regardait pas Willie, il espérait simplement que les deux filles n’allaient pas encore se clasher comme elles avaient l’habitude de le faire. Reed ne s’était jamais vraiment posé de questions sur la raison de ces clash, vous savez, il ne réfléchissait pas beaucoup, tout en muscle, et un brin fainéant lorsqu’il s’agit de penser sérieusement à quelque chose d’autre qu’à un plan diabolique pour faire chier ces saloperies de sang pur. Il fut surpris quand willie lui répondit aimablement et gentiment, presque de façon sympathique : - Oh Lana, vas-y ce sera surement plus comfortable que de faire comme ces trisomiques assient par terre. il la regarda incrédule, il la fixa une demi seconde surpris, avant d’esquisser un sourire. Si elles s’entendaient, tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes. Les voir « s’entendre » était inédit, pour Reed. Mais cela le rendait heureux, il dit alors à l’attention de Lana : - T'inquiète pas, comme dis Willie, vaut mieux pas faire comme ces elfes de maisons analphabètes. Il n’aimait pas les expressions pour insulter les gens sans user des termes magiques. Oui, il était comme cela, un véritable sorcier pur souche… ou presque. Mais contrairement aux autres sorciers, il ne reniait jamais l’héritage sanguins moldus qui était le sien, non, jamais. Pour une fois, il avait ce qu’il voulait : il était en compagnie des deux filles qu’il adorait (ou aimait, il ne savait pas trop), et il ne savait que dire, c’était surréaliste, c’était comme si il n’y avait pas été préparé, après tout il s’était fait à l’idée que jamais elles ne pourraient s’entendre, peut être parce que leur caractère étaient trop différents, mais cette raison ne semblait pas le convaincre, pas du tout même. - Pressée de retourner à poudlard, Lana ?

Lana était littéralement sur le cul, elle avait même la bouche ouverte comme un poisson en entendant la gryffondor lui répondre aussi gentiment. «Oh Lana, vas-y ce sera surement plus comfortable que de faire comme ces trisomiques assient par terre.» Bordel cette dernière avait passer un été du tonnerre ou quoi ? Elle n’avait jamais été aussi gentille avec Lana depuis qu’elle la connaissait. C’était impossible que cette dernière du jour au lendemain se mette à l’apprécier. Lana en avait même vu une lueur d’espoir presque naïvement. Mais en se ramenant sur terre elle devinât que sa devait être une sorte de tactique pour pouvoir mieux la détruire après ou un truc du genre qui sait. Alors elle décidât de jouer le jeu avec un sourire radieux même. Et Reed avait lui aussi approuvé du fait qu’elle pouvait rester dans la cabine. Mais elle aurait douté qu’il dise le contraire de toute façon mais le fait qu’il lui dise : «T'inquiète pas, comme dis Willie, vaut mieux pas faire comme ces elfes de maisons analphabètes.» Elle était plutôt contente que tout les deux approuve mais elle devait avouer qu’elle était encore surprise de se qui venait d’arriver. C’était impossible que CETTE fille de toutes les filles sur cette terre soit gentille avec elle. Non cette fille était diabolique, elle la détestait, elle ne lui avait jamais montré aucune amitié et du jour au lendemain elle était presque… gentille? Elle se jouait de Lana et la jeune pouffsouffle n’allait pas mordre aux jeux. Non elle serait plus intelligente que cela!

«Merci Beaucoup vous deux.» Elle avait parlé tranquillement et avec une bonne humeur dans sa voix. Elle était plutôt contente de ne pas être prise dans les couloirs assise par terre, bien que sa l’aurait étonner que cela lui arrive réellement vue que Reed était dans la pièce mais qui sait. Il y avait toujours une journée ou se garçon aurait réellement pu la surprendre. Mais elle était un peu amuser de leur façon d’utiliser des terme magique comme insulte, il fallait dire qu’elle n’était pas celle qui insultait réellement les gens sauf surement l’elfes difforme qui se trouvait devant elle et qui était la gryffondor de service. Mais pour la prochaine couple d’heure la jeune pouffsouffle allait devoir respirer le même oxygène que cette gryffondor alors aussi bien plastifier un sourire et tenter d’oublier d’oublier sa présence et e concentrer sur Reed ou prétendre être intéresser par le livre qu’elle avait piger. D’ailleurs qu’elle livres qu’elle avait piger au fais? Roméo et Juliette. Et merde elle avait piger se livre! Elle soupirât avant d’entendre Reed lui parler à nouveau. «Pressée de retourner à poudlard, Lana ?» Elle se tournât vers se dernier en souriant plus que jamais elle avait hâte de retourner à Poudlard. Son frère avait faillit la faire tourner en bourrique et il n’y avait pas à dire il était sensiblement plus vieux qu’elle, genre presque dix ans de plus qu’elle. Mais elle n’allait surement pas le lui expliquer ça. Elle ne pouvait pas faire comprendre ça à personne de toute façon, même ces copines ne comprenaient pas.

«Je crois que je n’ai jamais été aussi heureuse d’y retourner. Alors oui on pourrait dire que je suis pressée d’y retourner.» Elle eux un petit sourire avant de demander : «Et vous deux contents d’y retourner ?»

Wilhelmina, Lana and Remady.

-T'inquiète pas, comme dis Willie, vaut mieux pas faire comme ces elfes de maisons analphabètes. Comme d'habitude, en la présence de Lana, Reed s'était adoucit, la regardant avec adoration, s'était à en vomir. Lana, restant fidèle à sa petite personne les remercia, même si elle avait l'air legerement déstabilisé par l'attitude de Will prenant un malin plaisir à se jouer d'elle. -Pressée de retourner à poudlard, Lana ? Bien sûr, il ne prit même pas la peine de poser la question à sa "meilleure amie", lui laissant un gout encore plus amère dans la bouche. Mais, la gryffondor se répétait continuellement: souris, souris, souris, souris. On pourrait l'appeler hypocrite, faux cul. Mais quelque part, Wilhelmina en avait plus que marre de toujours être la méchante, d'accord, elle était chiante, mais pas "méchante". Enfin pas trop. C'est sûr que comparée à Lana qui ne passerait pas pour un petit gobelin machiavélique. Mais Reed devait se rendre compte aussi, qu'il lui appartenait, que elle et Reed était fait l'un pour l'autre, mais Will avait aussi tendance à sortir le pire de Remady, ensemble ils étaient Bonnie et Clyde, bravant tout les interdits, avec Lana ils ressemblaient à un vieux couples de sorciers retraités, woah.
-Je crois que je n’ai jamais été aussi heureuse d’y retourner. Alors oui on pourrait dire que je suis pressée d’y retourner. [/b] [/color]Elle leur souri, ou plutôt souri à Reed avant d'ajouter -Et vous deux, contents d’y retourner ? Will avait une folle envie de lui répondre qu'elle aimerait bien dire oui mais que s'était dur quand devant elle se trouvait un pitiponk bien amochée avec qui elle allait devoir passer le reste de l'année. Une nouvelle fois,la gryffondor se força de ne pas lui dégueulé dessus et répondit simplement:- J'ai juste hâte de bientôt être de retour chez moi. Des dents blanches parfaitement alignés se dévoilèrent, cela faussera bien les doutes de ces deux camarades de casse sur son comportement. Will ne captiva leur attention que quelque seconde avant que les deux ne se remettent à se fixer intensément. Youpi. Son regard était lasse, s'évadant par la fenêtre, Wilhelmina observa le paysage avec fascination. Ils approchaient de Poudlard. Elle pouvait juste le sentir. Poudlard était désormais sa maison, et pourtant, elle ne pouvait s'empêcher d'être toujours aussi béhate devant ce monde si ...magique.L'envie pressante d'aller au toilette la fit redescendre sur terre. Avant même le temps de pouvoir dire supercalifragilisticexpialidocious que Will ouvrait violemment la porte du compartiment, elle n'avait vraiment changé: toujours aussi ... impulsive. Courant dans à travers le train, elle leur cria: - Gardez-moi ma place! Enfin, elle était sortie de ce gouffre, et cela lui fit le plus grand bien, marre de cette sale peste et de son meilleur ami qui lui bavait littérairement dessus.

Quelque minute plus tard, Will se rapprochait de son compartiment, alors qu'elle s'apprêtait à refaire apparition, mais soudain, une idée lui traversa l'esprit. ecouter au porte n'était pas trop son truc, d'habitude, mais Will était juste trop curieuse de savoir comment se comportait les deux en son absence, adossé contre le mur, elle perçut la voix d'une vipère.

Wilhelmina, Lana and Reed.

Reed n’était pas du genre à se lasser impressionner, non jamais, il était plutôt le type impressionnant. Ses vacances avaient passé lentement, comme souvent, il n’y avait qu’à Poudlard, et qu’avec cette magie qu’il se sentait véritablement chez lui. Bien que de sang mêlé, il se sentait parfaitement sorcier, et ce n’était pas un sang soit disant pur qui lui dirait le contraire. Il haïssait cette manie du sang, il la haïssait, c’est pour ça qu’il était « révolutionnaire ». Oui, à Poudlard, on se méfiait de lui, et les professeurs gardaient un œil sur lui, oui, comme un terroriste. En grandissant cette haine avait grandit avec lui, et peu à peu il l’exprimait, avec de plus en plus de violence, avec toujours un peu plus de haine. A Poudlard, il s’y sentait plus que chez lui, les moindres couloirs, il les avait déjà arpentés, et il en connaissait les moindres recoins. Il se sentait presque maître des lieux, chez lui quoi. Alors quand Lana lui demanda, enfin demanda à Will et à elle : -Je crois que je n’ai jamais été aussi heureuse d’y retourner. Alors oui on pourrait dire que je suis pressée d’y retourner. Et vous deux, contents d’y retourner ? Il était heureux qu’elle soit heureuse d’y retourner. Cette pensée peut paraitre débile à la personne qui la lira, sans l’ombre d’un doute. Reed est bien plus sentimental qu’il peut y paraitre, bien plus, une vraie fleure bleue… enfin, non, n’exagérons rien, il n’était pas fleure bleue, juste sensible, derrière cette carapace imparable, derrière sa carapace d’homme froid et indifférent. Il savait qu’il savait plus se montrer humain avec Lana puisqu’il n’avait jamais été froid avec elle, tandis qu’avec Willie c’était différent, il se sentait obliger d’entretenir cette image, si elle était resté son amie durant toute ses années, c’est que cette facette devant lui plaire. Puis Will dit quelque chose que Reed n'entendit pas vraiment, trop occupé à sourire comme un bêta à lana. - J'ai juste hâte de bientôt être de retour chez moi. puis il dit alors que lui aussi était heureux de retourner à Poudlard : - Ouais, heureux de rentrer chez soi, à poudlard, heureux de revoir certaine tête, alors que je me serais bien passé d'en voir certaines ! il sorti de sa contemplation quand Will ouvrit la porte et leur lança alors sans qu'il eut le temps de dire ou même de penser le mot quidditch : - Gardez-moi ma place! il lui cria alors qu'elle était déjà loin: - Okay, Willou !

Il était seul dans le compartiment avec Lana, une aubaine, bien que la présence de Willie lui fût tout aussi agréable. Mais elles étaient différentes, mais une chose est sûr il était persuadé qu’aucunes des deux ne s’appréciait vraiment, il connaissait bien plus Willie que Lana et son comportement ne lui échappait pas, il acceptait car on ne peut pas s’entendre avec tout le monde, on ne choisit pas ses affinités avec les gens, c’est tout. Reed s’étira doucement, rien qu’en présence de Lana, il s’installa confortablement sur la banquette et sorti de son sac un paquet de chocogrenouille, et en proposa une à la sorcière en lui tendant la paquet avant de demander avec un grand sourire, presque charmeur : - c'est moi, ou Will commence a d'apprécié ? je dois avouer que ça surprend d'habitude j'ai l'impression que vous ne vous entendez pas. il attendit qu'elle prenne une chocogrenouille pour se servir lui même et laissa la paquet dehors pour que Will puisse en prendre une dés son retour. Même si il pensait beaucoup à Lana, il espérait que Willie ne tarderait pas trop, après tout, il les appréciait vraiment toutes les deux.

Lana était encore un peu ébranler par les si gentille parole de Wilhelmina mais elle se doutait que cette très était de très courte durer. Mais il semblerait qu’elle durerait au moins jusqu'à que le train arrive à destination « J'ai juste hâte de bientôt être de retour chez moi. » Qui aurait su que les deux filles pensait de la même façon au sujet de poudlard ? surement pas Lana. Elles étaient tellement opposer l’une l’autre que c’était même incroyable qu’elle n’en soit pas venu au coups encore. En fait elle détestait Willie autant que Willie la détestait mais elle décidât de ne rien en montrer pour le moment et d’agir le plus gentiment possible. Se qui ne serait pas difficile être gentille était dans sa nature. Donc sa ne lui demandait pas tellement d’effort. Mais Reed lui aussi répondait à cette question. « Ouais, heureux de rentrer chez soi, à poudlard, heureux de revoir certaine tête, alors que je me serais bien passé d'en voir certaines ! » La jeune femme eu un sourire. Bien sur il parlait surement des Sang pur, a peu près tout le monde les détestant dans se monde. Tout le monde sauf eu bien sur, et les quelque un qui tentait de se déclarer sang pur alors que nombre des gens savait réellement la vérité. Les sang pur eux même savait qui était de leur sang à moins d’être profondément stupide et tellement imbu d’eux même qu’il voulait croire les histoire et les bobard des gens.

Avant même que Lana est eu le temps de le réaliser Willie était à la porte de la cabine et elle disait : « Gardez-moi ma place! » Lana était encore sur le choc. C’était un brin étrange comme réaction vous ne trouvez pas? Elle n’entendit pas la réponse de Reed mais elle devinait rapidement qu’il avait confirmer qu’il lui gardait sa place. Si il ne l’aurait pas dit Lana se serait surement poser plus de question. Quoique quand il était question de Reed parfois elle n’était pas tout a fait impartial. Alors qui sait. Et puis être seul ici sans la présence de cette lionne était surement bien Lana pouvait enfin réellement relaxer et s’installer plus confortablement. Elle était encore un peu déstabiliser par la soudaine gentillesse de cette fille et elle n’avait pas remarquer à quel point elle était raide à cause de cela. Elle se massât brièvement la nuque pour se relaxer un peu plus. Ils étaient seul plus besoin d’avoir peur que la lionne tente de l’assassiner devant Reed ou quoique se soit.

« c'est moi, ou Will commence a d'apprécié ? je dois avouer que ça surprend d'habitude j'ai l'impression que vous ne vous entendez pas. » Lana eu un sourire c’était justement parce que habituellement les deux fille ne s’entendait pas. Au moins il prouvait qu’il n’était pas complètement aveugle sur se point la. Il était certaine aveugle sur l’attirance qu’éprouvait la jeune brunette à son égard mais sa c’était autre chose. Mais elle attrapa une chocogrenouille en le remerciant avant de répondre. « Hum oui je suppose que c’était pour arriver un jours, et j’en suis bien contente. » Un petit mensonge ne ferait pas de mal il n’avait pas besoin de savoir que les deux fille se détestait et que la guerre était officiellement déclencher. Elle avait l’air réellement contente de cela et c’était se qui comptait. « Alors tu ne m’as pas dit comment tes vacances avait été? Autant ennuyante que des vacances d’été? » Elle eu même un petit rire pour en rajouter.