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I HATE THAT I LOVED YOU SO. (gayle, old school)

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MessageSujet: I HATE THAT I LOVED YOU SO. (gayle, old school)   I HATE THAT I LOVED YOU SO. (gayle, old school) EmptyVen 15 Oct - 23:01

Wilhelmina and Gayle.

Les douze coups de minuit allaient bientôt sonner, alors que poudlard s'endormait doucement, il semblait que quelqu'un ne se sentait pas encore tout à fait près à s'endormir: un léger craquement à peine audible retentissait des chambres de gryffondor, plus particulièrement la chambre ou logeait Madeline, Roksana et Wilhelmina. Cette dernière ne dormait toujours pas, se tortillant das tout les sens, le matelas grinçant, il était dur à croire que ses colocataires dormaient toujours à poing fermé. D'un bond, elle se leva, agacé de ne pas trouvé le sommeil, en sortant de sa couette, elle frissonna, qu'est ce qu'il faisait froid! Will ouvrit doucement le tiroir se trouvant sous son lit et commença à fouiller. Au fond, se trouvait un pull, alors quelle s'apprêtait à l'enfiler, Willie s'arrêta net et le contempla un instant: ce n'était pas n'importe quel pull, oui il était bien trop grand pour elle, presque difforme, mais il était spécial. Il y a un peu plus d'un an, ce pull appartenait à Gayle Wilkes qui un soir d'été lui en avait fait cadeau malgré ses protestations. Au fil du temps, Willie en avait presque oublié l'existence, elle aurait put s'en débarrasser, effacer tout ces mauvais souvenirs mais quelque part elle ne voulait pas prendre le risque de perdre les bons. Après un léger soupir nostalgique, elle l'enfila, et sur la pointe des pieds traversa la chambre de son lit jusqu'à la fenêtre veillant à ne pas réveiller ses deux amies. Elle attrapa maladroitement son balai posé contre la vitre, Willie entrouvrit la fenêtre, enfourcha son balai et s'envola à la recherche de quelque chose. Elle ne savait pas bien quoi, mais elle avait besoin de s'occuper, se changer un peu les esprits. Volant dans la nuit, elle était distraite, ou pouvait-elle bien aller? La forêt interdite? Non, trop risqué, pas qu'elle n'aime pas le danger, non, Will pouvait être carrément inconsciente, mais ce soir-là ça ne l'intéressa pas plus que ça. Soudain, son regard fut attiré, par de la lumière, elle semblait provenir d'une baguette, on dit qu'être curieuse est un vilain défaut, mais Willie prit le risque. S'approchant lentement de la fenêtre, son cœur battait rapidement, et si s'était un professeur? Non, impossible. Ça devait être un élève.

Avec légèreté, elle sauta sur le rebord de la fenêtre, au même instant la lumière s'éteignit, une grimace apparut sur son visage, elle avait eut le temps d'apercevoir le visage de l'inconnu: - Je me disais bien que quelque chose puait ...Wilkes. Pourquoi lui? Vraiment, pourquoi, en plus elle portait son pull! Depuis un an, elle avait réussi à l'éviter, à ne pas le croiser, alors pourquoi maintenant? Aujourd'hui, il n'était qu'un mauvais souvenir qu'elle tentait d'oublier, il la répugnait plus que tout, ses manières d'être étaient juste … dégueulasse. Il lui donnait envie de vomir plus qu'autre chose, et pourtant pendant même pas un quart de seconde, une sensation bizarre l'eut envahi en voyant son visage, une sensation qui auparavant lui était inconnu avant qu'elle ne rencontre Gayle.
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MessageSujet: Re: I HATE THAT I LOVED YOU SO. (gayle, old school)   I HATE THAT I LOVED YOU SO. (gayle, old school) EmptyDim 17 Oct - 15:20

Tel une âme soucieuse, je déambulais dans le grand couloir de Poudlard, guidé simplement par le halo lumineux qui émanait du bout de ma baguette. Il était tard, ou tôt, tout dépendait du point de vue que l'on adoptait. Moi, je préférais me dire qu'il était tard, car cela sous entendait une certaine violation du règlement. Non je n'étais pas du genre à braver tous les interdits, j'aimais juste me convaincre que le seul qui avait le mérite d'exercer une quelconque influence sur moi était mon père. Hors je n'avais pas vent de lui parmi ces murs, et je détestais me savoir respirer le même air qu'un de ces sangs de bourbe. Il m'arrivait même de me demander si l'air qu'ils expiraient était le même que nous autres sangs purs. N'était-il pas nocif à ce qui faisait notre fierté ? Je n'étais pas parano, et seul moi et ma famille étions au courant de la raison pour laquelle j'adorais mépriser les moldus et leurs descendants. Même si au fond, j'en avais croisé de bien plus brillants que moi dans le domaine magique, ce qui avait le don de m'agacer davantage.

Sans but précis, j'avançais, espérant ainsi trouver le sommeil sur lequel je n'arrivais pas à mettre la main lorsque j'étais dans le dortoir. Un peu plus loin, à une dizaine de pas, j'apercevais une source lumineuse de laquelle je semblais m'approcher. Tandis que je m'approchais, je constatais que ce n'était que mon reflet que me renvoyait le miroir des mystères. Ce miroir reflétait apparemment l'âme de la personne qui le contemplait. Sans surprise, je constatai que mon reflet était sombre et indistinct, comme si quelque chose en moi restait flou et indéterminé. Le sourire qui se dessinait sur mon visage ressemblait, dans le miroir, à un rictus malsain et diabolique. Parfois je m'étonnais moi-même d'être aussi mauvais, mais après tout, c'était les idées que partageaient les Mangemorts.
Alors que mon regard se faisant plus insistant, j'eus la vague impression de voir une silhouette qui ne m'appartenait pas. Certains disaient que parfois, on pouvait voir se refléter dans ce miroir des choses inexpliquées. Qu'est-ce que cela voulait dire ? Mais tandis que je m'approchais, un bruit parvint à mes oreilles : quelqu'un m'avait repéré, si bien que le halo de lumière s'éteignit brutalement. Je n'avais pas besoin de prononcer la formule "Nox", c'était un piètre sortilège que tous les 8èmes années maîtrisaient, même ceux qui étaient au plus bas de l'échelle.
C'était trop tard, mon réflexe n'avait pas suffit, j'avais était démasqué. Lorsque la voix de Wilhelmimna retentit, je sentis à la fois un certain soulagement et un noeud au niveau du coeur. Son ton se voulait cassant et catégorique, mais elle savait très bien que la bave du crapaud n'atteignait pas le blanche colombe.

Puisque je savais l'identité de mon visiteur, ma baguette s'illumina de nouveau. "Wilheml..." dis-je exprès pour souligner la difficulté de son prénom. "Peu importe." ajoutai-je. "Soit tu aimes ce qui pue, soit ce n'est pas le cas de mon très cher pull."
J'avais sans doute touché un point sensible. Pourquoi avait-elle gardé ce pull ? J'avais d'ailleurs totalement oublié lui en avoir fait cadeau. Ce qui était sûr, c'est qu'elle pouvait le garder maintenant qu'elle l'avait souillé. "Avoue-le, tu dors avec tous les soirs pour sentir ma présence près de toi."

Ça me dégoutait presque de savoir qu'on avait bien pu partager quelque chose tous les deux. Et pourtant, alors que j'ignorais totalement l'ascendance de son sang l'année passée, je devais avouer que tout n'avait pas été chaotique, même loin de là. Mais c'était du passé. Et rien que le fait de s'être évité durant une année entière prouvait bien que ni l'un ni l'autre n'avait envie d'en garder un quelconque souvenir.
Vêtu d'un simple débardeur et d'un short, je l'enviais presque à cet instant, et il était vrai que mon pull lui seyait à merveille, ce que je me gardais bien de lui dire.
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MessageSujet: Re: I HATE THAT I LOVED YOU SO. (gayle, old school)   I HATE THAT I LOVED YOU SO. (gayle, old school) EmptyMer 3 Nov - 13:20

Wilhelmina and Gayle.

Mais quel con, mais quel con. Voilà ce qu'elle se repetait en boucle et en boucle. De un, il faisait exprès de mal prononcé son nom, chose qui la suivait depuis sa naissance et à force cela devenait un peu lassant. De deux: -Soit tu aimes ce qui pue, soit ce n'est pas le cas de mon très cher pull. Du vrai foutage de gueule, et ça, elle ne tolerait pas, surtout venant de Gayle. Au fil des années, Will avait réussi à gagner le respect de ses camarades, même de quelques serpentards n'osant même plus se moquer d'elle, mais il en certain toujours une poignée, une poignée de sale sang pur n'hésitant pas chaque jour à lui rappeler qu'elle n'était qu'une sous merde de moldue. Gayle Wilkes la dégoutait plus que tout, ah si, il y avait bien une chose qui la répugnait encore plus: le fait qu'un jour elle eut put pensé qu'il était diffèrent. Que pour la première fois, elle avait rencontré quelqu'un qui faisait impasse sur la nature du sang, qui voyait juste un peu plus loin que ça. Mais elle s'était trompé. Largement trompé. Mais quel conne, mais quel conne. Voilà ce qu'elle se répétait désormais.

- Avoue-le, tu dors avec tous les soirs pour sentir ma présence près de toi. Ça s'était la meilleure! Si il y avait une chose qu'elle rêvait d'oublier, s'était bien lui. Malheureusement, quelque part, il avait raison, elle dormait tout les soirs avec, allez savoir pourquoi. A l'intérieur, elle se sentait tellement bien, s'efforçant d'oublier à qui il avait appartenu, mais, il fallait bien l'admettre que son pull sentait incroyablement bon. - Tu sais quoi? Tu peux te le mettre la ou je pense ton cher pull. A une vitesse fulgurante, elle enleva le pull et lui balança à la figure. Avec regret bien sur, en dessous, elle ne portait qu'un simple débardeur, s'efforçant de ne pas frissonner, elle le regarda durement. Mais quel con. Elle ne voulait pas paraître faible devant lui, un vent froid la traversa, lui glaçant le sang, pourquoi était-elle aussi frileuse, bon sang! - En fait, t'es vraiment qu'un con, mais un pauvre con. Elle lacha cette phrase comme un coup de poing l'atteignant en plein ventre, et oui,il était très mauvais de se frotter a will, elle pouvait être adorable comme elle pouvait être sans pitié. Pendant longtemps, elle avait eut du mal à effacer les sentiments qu'elle avait eut pour Gayle, mais ce soir, en le revoyant, face à face, s'était clair, le Gayle qu'elle pensait avoir rellement aimé avait bel et bien disparu, ne laissant devant elle, qu'un … pauvre con.

J'ai honte de posté quelque chose d'aussi court et merdique Arrow Je me rattraperais Wink
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MessageSujet: Re: I HATE THAT I LOVED YOU SO. (gayle, old school)   I HATE THAT I LOVED YOU SO. (gayle, old school) EmptySam 6 Nov - 15:53

Même si la nuit était obscure et que le halo de ma baguette n'avait pas la prétention d'égaler la lumière du jour, je pouvais discerner sur le visage de Wil une haine profonde. C'était la seule chose qu'elle pouvait à l'heure actuelle se vanter de partager avec moi, car que la détestais en retour. Mais il y avait certainement autre chose. De la crainte peut-être. J'étais effrayant après tout, tant dans mon comportement que dans mes idéaux. J'étais aussi noir que la nuit, aussi aveuglé par le pouvoir que pouvaient l'être les elfes de maison de liberté.
Lumos Maxima, énonçai-je pour éclairer davantage de terrain. Bien que j'appréciais les ténèbres dans ce monde, j'avais réellement envie de lire chacune des expressions sur le visage de Wilhelmina, et j'avais bien l'intention de le remodeler avec malice et fougue, que je puisse me vanter de lui en avoir fait voir vraiment de toutes les couleurs. Par ailleurs, j'espérais bien qu'un préfet ou un quelconque représentant de l'ordre pimente cette rencontre qu'on avait tant de fois évitée. En plus de ça, j'étais encore moins fatigué que lorsque j'avais quitté le dortoir, même si mon but premier avait été de chercher Morphée. Je crois qu'elle me craignait elle aussi. A ces pensées, j'esquissai un sourire en coin, qui s'agrandit à mesure que Wil prenait la parole. Dans un excès de colère, elle me balança mon pull adoré, en me priant de me le mettre où elle pensait. Personnellement, je savais déjà où il allait finir : dans la poubelle. Hors de question que je porte cette chose de nouveau maintenant qu'elle l'avait imprégné de toute son impureté. Elle entreprit ensuite de m'insulter, de me traiter de con plus précisément. Cela m'amusait, car c'était absolument ce que j'étais, et je pourrais même lui dire qu'elle pesait ses mots, mais j'assumais ce que j'étais.

Grelotant, elle regrettait son doute son geste impulsif à cet instant, et même si je n'avais pas du tout l'intention de me servir de cette chose, elle pouvait toujours rêver pour que dans un élan de sympathie je lui ordonne avec délicatesse de se l'approprier de nouveau si elle ne voulait pas congeler sur place. Au contraire, c'était tout le mal que je lui souhaitait. C'était une hypothèse, mais peut-être que le virus dans son sang ne supporterait pas le froid... ce serait donc un service que je lui rendrais. Je n'avais certes pas envie d'être généreux avec elle, mais si cela pouvait abaisser sa maladie mentale, ça me hissait au rang de presque Dieu...
Je me surprenais parfois à penser des choses aussi débiles, si bien que je revins à la réalité pour la remettre à sa place. Elle croyait peut-être qu'elle était la très respectée Wilhelmina à Poudlard, mais avec moi, il en falait beaucoup plus.
"Je sais, je sais, et j'en suis fier." répondai-je avec enthousiasme. "Quant à ce pull, j'en ferai cadeau à un troll, il s'en servira pour... faire ce qu'il veut." ajoutai-je en sachant très bien qu'elle penserait à la chose à faire la plus ignoble et répulsive qui soit. De toute façon, ça revenait au même que ce soit elle qui l'ait ou un troll. "Tu me suis en plus hein ? Me dis pas que t'es devenue amie avec Madeline pour te rapprocher de moi ?!" c'était assez impossible puisque ma relation avec Madeline était beaucoup plus récente que leur amitié à elles deux, mais j'en avais simplement pas fini de l'énerver. Ensuite je la rendrai nostalgique, tel était mon plan machiavélique. Elle s'était jouée de moi, j'en ferai de même !
Le pull toujours pendant dans ma main - et que j'avais rattrapé à la volée en bon gardien de Quidditch que je suis -, je jetai un coup d'oeil furtif au miroir, par curiosité, mais aussi parce que j'avais cru y voir quelque chose. Le couloir était presque totalement éclairé, du moins là où nous étions, et je ne serais pas étonné que l'éclat se reflète à l'extérieur du château, s'infiltrant à travers la fenêtre d'où Wil était apparemment arrivée.
"Je te croyais plus respectueuse du règlement Wil. Voler en pleine nuit... je crois qu'après tout il reste des traces de notre relation dans ton esprit." affirmai-je enfin. Certes notre relation avait été plutôt banale et presque idyllique sur le moment, mais je me souvenais lui avoir fait braver quelques interdits. Et au fond, notre semblant d'amour était basé sur un interdit.
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