WELL! This is a great surprise! }

[Après toi chère Dana!]

Des orages c’étaient succédé depuis le début de la journée. C’est simple, Derek avait été réveillé par un grondement de tonnaire. Il faisait attrocement humide dans la chambre, un idiot avait laisser une fenêtre ouverte…Ce qui avait aussi contribué à faire descendre attrocement la chaleur de la pièce. C’est en ronchonnant que Dede c’était levé, en faisant le plus de bruit possible. S’il ne pouvait plys dormir, les autres non plus! Puis de toute façon il était l’heure d’aller au cour…Comme à l’habitude, aucun cadran n’avait sonné et personne n’avait rien mis en place pour cela non plus. C’est donc dans une mauvaise humeur commune que tous les garçons se levèrent. Derek s’était laisser tomber face première sur son lit pour quelques instants encore. Ce fut lorsqu’un de ses colocs de chambre tonna un : « Merde ont est en retard les gars! » que Derek s’activa. Il s’habilla comme d’habitude, avec son uniforme. Il passa sa main dans ses cheveux pour essayer de les placer un minimum et dévala les marches qui menaient à la salle commune des Gryffondors. Le reste de déroula comme d’habitude…Saut du petit déjeuner, on y reviendra plus tard et course jusqu’à la classe. Durant le cour, Derek pensa qu’il allait s’auto digérer tellement il avait faim. C’est justement de la grande salle qu’il revenait. Il avait dû attendre le dîner pour pouvoir se mettre quelque chose sous la dent.

Maintenant qu’il était rassasié et que la pluie c’était transformer fin grain de neige, parce qu’il est rare de voir des orages en mars, Derek déambulait dans els corridors. En fait il se cherchait un endroit tranquil pour réviser des notes… Pour quoi n’allait-il pas à la bibliothèque? Bien parce qu’il DÉTESTAIT l’endroit. C’était sinistre et sombre et on ne pouvait même pas éternuer sans se faire regarder de travers par la bonne femme qui gardait les lieux. Ah non, la bibliothèque n’était pas pour lui. C’est pour cela qu’il se dénichait un banc ou une lucarne de fenêtre pour faire sa petite revision. Il y avait plus de monde dans les couloirs, mais à cette heure hative de l’après-midi on y retrouvait pas grand monde. Mais Derek étant Derek, il réussit tout de même à entrer en collision avec une personne. Hey oui! Cela n’aurait pas pu être avec une colone puisqu’elle ne bouge pas! En fait, il y avait eu un peu plus de personnes en même temps dans le couloir en même temps au même endroit et il y avait eu un accident. Derek avait échappé son cahier par la même occasion. Bravo Fraser! Il poussa un petit soupir et se pencha pour ramasser ses affaires…ce qui ne consistait pas à une tâche trop difficile. En se relevant il se prépara à lâcher une remarque.

« Non mais regarde où tu marches en! » Dit-il d’un ton qui ne se voulait pas agressif, comme plus ennuyé.

Il n’avait pas encore vue le visage de la personne avec qui il y avait eu collision, il ne lui avait vue que les pieds en fait…Donc difficile de reconnaître quelqu’un par ses souliers, à moins de connaître cette personne sur le bout de ses doigts. Il avait fait cette remarque mais dans le fond, il ne regardait pas plus où il allait…Donc dans le fond, il était tout aussi fautif! Puis, lorsqu’il fit complètement relevé, il baissa les yeux pour voir enfin de qui il s’agissait. Sa réaction fut tout autre…

« AH!! Eum, désolé! » Ce contenta t’il de dire en esquissant un petit sourire navré. « Je voulais pas être bête…Bien eum, en fait pas si j’aurais vue que c’était toi! » Dit-il à la jeune femme…qui était en fait plus vieille que lui. « Comment vont tes parents ? » Continua t’il avec un peu plus d,applomb, maintenant que la surprise était passé.

J’adorais la pluie! Ça me rappelait mon île natale. Il pleuvait souvent là-bas, selon les saisons. J’adorais entendre les gouttelettes d’eau rebondir sur les fenêtres ou bien sur les toits en taules. Bon, ce n’était pas comme ça ici, mais j’aimais savoir que cela s’y prêtait. Les orages me faisaient tressaillir, c’est bien vrai, mais j’adorais. Je n’étais pourtant pas une personne pessimiste ni même déprimer, mais j’aimais le parfum de la pluie. C’était rafraîchissant. Je m’étais donc levée du bon pied. C’était rare ces temps-ci… Il fallait dire que je passais le plus clair de mon temps à rattraper mon retard en cours ou bien sinon à m’isoler pour lire. J’avais besoins d’être seule et de m’éclaircir les idées. Bien certainement, je ne pouvais pas me passer de mes amies. Je les voyais à chaque jours et j’étais toujours aussi reconnaissantes de les avoirs sur mon chemin. Seulement, j’avais besoins d’avancer et voir plus loin. Je devais faire mon chemin depuis que mon frère était partie. Depuis que j’avais coupé les ponts et que j’osais plus m’affirmer. C’est donc ainsi, que je m’habillai et déjeuner avec les filles, puis nous allâmes à nos cours respectives. Le sourire aux lèvres, j’étais d’humeur joyeuse!

Quelques temps plus tard, la température de dehors c’était transformée. C’était magnifique à mon humble avis. C’était dans ce genre de situation que j’avais bien envie d’aller faire un saut dehors. Seulement, je devais aller porter mes livres avant. Avant tout, je devais aller dîner. Seulement, je n’avais pas fin. J’étais là, à arpenter les couloirs de l’école afin d’aller porter mes livres. J’étais perdue, ces derniers temps c’était bien vrai. J’étais toujours là soit à fuir le regard des autres ou bien la vérité. Je n’avais plus envie d’être la petite Danitza que tout le monde connaissait, folle, exalté et maladroite. Je savais que les gens remarquaient, mais je n’avais pas envie de répondre à leurs questions. Je ne sais pas si quelqu’un comprends, mais c’était pour ça que je m’éloignais et que je trouvais autre chose à faire.

Finalement, la tête ailleurs, plongée dans mes pensées. Je fonçai dans quelqu’un. Je fus bousculé mais je ne perdis pas pied. J’étais irritée, mais lorsque je remarquai qui se tenait en face de moi. Je ne pus sortir un mot de plus. Je n’étais pas gênée à l’habitude, mais c’était différent. On se parlait très peu souvent et voilà que je tombais sur ce Déreck. Oh la, la. Je le regardai soudain, d’un air béat, les yeux angéliques et confus. J’étais honteuse… Puis, ainsi, je ne rajoutai pas un mot de plus, avant qu’il n’est terminer. C’était marrant.

Bah, eee ce n’est pas grave, j’aurai réagis comme ça aussi. Fis-je en lui souriant timidement. Puis je repris un peu mes esprits, sous peine de ne pas avoir l’air folle.

Oui, ils vont très bien et toi ?? mentis-je. Cette semaine, j'avais appris que ma mère était très malade, elle ne cessait d'avoir des migraines, en plus, mon père était de plus en plus distant. Ils s'aimaient toujours, mais il s'y perdaient parfois. C'était trop intense comme disait ma mère. Après tout, il ne fallait pas qu'il leurs arrivent de quoi, je tenais à eux et ils étaient ma vetûe d'être. Je lui retournai la question en signe de politesse. En faites, j’étais déjà perdu dans ses yeux bleus, apeuré par le regard qu’il me portait. Il m’intimidait. Je le connaissais depuis la tendre enfance, seulement, je n’osais pas lui parler. Et puis, J’avais souvent contact avec ma famille qui d’ailleurs en avait avec la sienne. Donc je m’informai quelque peu, discrètement etc.

Je m’excuse aussi, fis-je en lâchant un sourire…

Ça va, tu es pressé? demandai-je, inquiète de le retarder, on savait jamais? Pensai-je calmement.

« Mes parents vont bien aussi…Depuis qu’il n’y a plus d’enfants à la maison ils voyagent…C’est un peu à cause de mon père, pour son travail, mais disons que je suis sûr que ma mère apprécie grandement aussi. Bref…Disons que je ne les voie pas très souvent.»

«Ah eum, non je ne suis pas vraiment pressé…En fait, je ne me rappelle plus ce que je voulais faire…Ça ne devait pas être bien important je suppose! Et toi? Tu allais faire quoi avant que je te rentre dedans? »

« En fait, si tu n’avais rien de prévu, on pourrais aller se promener au pré-au-lard? A moins que tu n’es besoin d’étudier? Je pourrais peut-être t’aider? »

Lorsque j’étais jeune, j’étais la petite fille à son papa. J’étais tout le temps près de lui. Venu un temps, ou je transportai mon amour pour lui, vers mes frères. Puis, j’étais toujours avec eux. J’avais les mêmes amis et les mêmes loisirs. Certes, j’en avais voulu longtemps à mes parents d’être la seule fille du lot. J’étais à la prise avec deux gamins qui m’agaçait sans cesse. En plus, on ne pouvait pas dire que j’étais née avec la langue dans ma poche. Ni même avec le caractère le plus tolérant. Petite, je grimpais partout, je frappais les garçons et je leur criais dessus lorsqu’ils me tiraient les cheveux. Malgré tout, je m’exprimais que très peu, je gardais toujours le sourire et je cherchais à protéger les plus jeunes. J’étais très complexe, disons que dès ma plus tendre enfance, je ressentais la constante pression d’être à la fois, la petite fille mignonne que tout le monde aiment ou bien celle avec qui mes frères pouvaient s’amuser.

Par la même occasion, ils nous arrivaient souvent de se déplacer d’un bord et de l’autre en famille. Nous étions tous très proche et nos parents persistaient toujours dans le but d’être ensemble et de nous faire connaître nos deux patries. Ainsi, nous nous rendions en Écosse pendant les congés ou les vacances de toutes sortes. Nous avions une petite maison là-bas qui nous servait de refuge à ces moments-là. J’avais sur ce, rencontrer Dereck. Celui qui avait « hanté » mes pensées. Ces yeux m’avaient souvent apparus dans mes rêves, trop jeune pour en prendre conscience, je ne me rappelais jamais. Je l’avais revue à quelques reprises, mes parents parlaient souvent d’eux d’ailleurs... Par conséquent, lorsque je l’avais revu à Poudlard, j’avais été surprise. Maintenant, j’étais sous le choc de lui parler. C’était étrange, on se voyait souvent, mais pourtant, on ne trouvait pas de raison pour venir se parler.

Par la suite, je l’écoutai attentivement. Sa mère allait, bien c’était rassurant. Elle souhaitait simplement que celle-ci ne prendrait pas des nouvelles de ma mère ou bien qu’ils passeraient en voyage chez mes parents. Disons qu’avec la maladie qui courrait d’un bord et de l’autre chez moi, ce n’était pas le moment. J’aurai aimé que ce soit le cas, en Irlande aussi. Pour l’instant, le pays se portait pâle. Mes frères étaient de retour au foyer et avec la ferme, tout le monde en avait plein les bras.
Je fus ébahie devant la proposition du jeune homme. Étudier! M’aider?? Quoi, aller quelques part, ensemble ? Nous qui nous parlions jamais, la révélation de l’heure. Je le regardai avec circoncision, les sourcils haussés et les yeux mi-clos par la surprise. Je me raclai la gorge, puis lui sourit timidement, tout en ne le quittant pas des yeux.

Et bien, non je n’avais pas tellement d’études, c’est juste que je me rendais à mon dortoir pour aller les porter. Fis-je attentivement.

Sinon, je … veux bien, dis-je calmement et timidement. Je ne voulais pas le mettre mal à l’aise ni même le faire sentir de trop, voir m’imposer, mais je ne savais pas comment je devais réagir. Habituellement, j’aurais insulté un mec qui m’aurait proposé un truc du genre. Venant de lui, je savais qu’il n’avait pas d’arrière pensées ou bien que ce n’était pas nonchalant. Normalement, devant lui, je me serai sauvé, tellement j’aurai été gêné et intimider par qui il était.

Pas de problème, alors, tu as besoins de faire quelque chose avant, ou même d’étudier, tu sais, je peux t’aider aussi, fis-je déconcertée. Même si nous n’avons pas le même champ d’étude, non ?? Lui lançais-je curieuse de savoir…