Le Deal du moment :
Display 24 boosters Star Wars Unlimited – ...
Voir le deal

Partagez | 
 

Misère, quand tu nous tiens...

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Invité





Misère, quand tu nous tiens... Vide
MessageSujet: Misère, quand tu nous tiens...   Misère, quand tu nous tiens... EmptyMar 5 Avr - 14:55

    « Josefine, attends... » Je me retourne doucement en essayant de voir qui a bien pu m'appeler, la méfiance me faisant avancer tout de même lentement. On ne sais jamais, cela peut être encore une fois une conspiration d'un Serpentard ou d'un Sang-Pur n'appréciant pas la présence d'une Sang-de-Bourbe. Un petit sourire viens sur mes lèvres quand je croise le regard de l'une de mes amies qui s'approche de moi. Soulagée, je m'arrête au milieu du couloir sans réellement me soucier du flot d'élèves qui passe autour de moi pour atteindre sa Salle Commune ou encore leur salle pour leur prochain cours. Je viens de sortir de quatre heures de Potions, ma matière favorite et je suis enfin libre pour le reste de la journée, même si j'ai une tonne de devoirs qui m'attendent. Mon amie arrive près de moi et me temps un papier avec un petit sourire avant de me faire un signe et de disparaître au détour du couloir. Surprise, j'ouvre le bout de parchemin et un petit rire passe mes lèvres quand je lit ce qu'il y a d'écrit. C'est tout elle, me dire par un petit mot de la retrouver après le couvre-feu dans l'une des salles désinfectées du château. Une petite habitude que nous avons depuis un petit moment maintenant. On discute et surtout comprendre pourquoi on en est arriver à ce stade dans cette école qui a été pour nous un foyer dès notre premier jour. Je suis perdu dans mes pensées quand quelqu'un me bouscule, je suis prête à m'excuser, après tout je n'aurais pas du rester planter là quand je croise un regard que je connaît bien. Il s'agit de l'un des garçons qui adorent me persécuter, encore plus depuis la création de notre propre maison. Je suis fière de mes origines, mais j'aimerais par moment être invisible ou bien que l'on m'oublie. « Tu pourrais pas faire attention, maintenant je vais être obliger de faire laver mon uniforme, je ne veux pas choper les microbes d'une sale Sang-de-Bourbe. » Je ne réplique pas, comme souvent et essaye de faire demi-tour avant que ça ne dégénère. Mais voilà, il n'a pas l'air de l'entendre comme ça et quand je sens sa main attraper mon poignet pour me ramener vers eux, je sais que j'aurais du être plus rapide.

    Essoufflée, je rentre dans la première pièce qui se présente devant moi et je referme la porte très vite afin que personne ne me remarquer. J'ai les larmes aux yeux et des marques le long de mon bras qu'il a serrer fort lors de son petit discours sur le respect que je lui devais. Idiot, je l'ai écouter et est profiter d'un moment d'inattention pour m'enfuir, mais je suis certaine qu'il m'a suivi. Je me retourne et découvre que la salle est vide, complètement, à part un objet de grande taille recouvert d'une sorte de drap. Curieuse, je m'approche doucement et soulève le tissu pour découvrir un miroir et l'inscription au dessus me permet de comprendre de quoi il s'agit. J'aimerais bien savoir ce que je pourrais y voir, mais cela ne m'apportera rien de bon, après tout, ce n'est seulement ce que l'on veux voir qui y apparaît. Pas notre futur. Je sais que je m'y verrais certainement en compagnie de Théodore, heureuse et enfin libre de pouvoir vivre mon histoire avec lui. Mais voilà, comme beaucoup de chose ce n'est qu'un simple rêve de jeune femme amoureuse. Il tient trop à sa réputation et dans un sens, je peux le comprendre, comment est-ce que j'aurais agi à sa place ? Je ne le serais jamais, mais voilà, nous en étions là aujourd'hui. Moi a essayer de ne pas les chercher tout en espérant qu'il s'en prendra à moi, je deviens complètement folle et je crois que je l'assume. L'amour rend aveugle et dingue, enfin à mon avis. Je soupire et suis prête à me diriger vers la porte quand celle-ci s'ouvre à la voler. D'instinct, je me cache derrière le miroir qui me dissimule facilement et je tremble en priant pour que ce ne soit pas lui. Je sais qu'il n'abandonnera pas avant de m'avoir retrouver.

    « On sera tranquille ici, mon beau... » Mon cœur se serre de soulagement quand j'entends cette voix féminine retentir avant de grimacer en pensant à ce qui va bien pouvoir se passer avec son "beau". Peut-être que si je me montre, ils prendront la fuite, en espérant que ça ne me retombera pas dessus. Prenant mon courage d'ancienne Gryffondor en main, je me racle la gorge et me montre au couple. Je retiens un hoquet d'horreur en les découvrant en train de s'embrasser à pleine bouche, mais pas seulement pour ça, le partenaire de la jeune femme ne m'est pas inconnu. Je comprend quand il relève les yeux vers moi que je viens de faire une erreur et je sens mes tripes faire des bonds dans mon ventre. Encore une fois, j'ai réussi à me mettre dans une situation compliquée. J'ai le chic pour ça. Avançant doucement, je passe près d'eux pour essayer d'atteindre la porte, je préfère encore affronter l'autre que Théodore pour le moment. « Excusez-moi, je ne voulais pas vous dérangez, je vous laisse tranquille. » Ma main est poser sur la clanche et je suis prête à l'abaisser pour sortir quand sa voix me bloque sur place. « Je ne crois pas que tu va partir, Sang-de-Bourbe, tu va payer pour nous avoir interrompu. »


Dernière édition par Josefine Blackwell le Ven 8 Avr - 21:42, édité 2 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité





Misère, quand tu nous tiens... Vide
MessageSujet: Re: Misère, quand tu nous tiens...   Misère, quand tu nous tiens... EmptyMar 5 Avr - 16:06



Misère, quand tu nous tiens... 2991582425_1_3_dVpuyjj5



theodore a. wilkes & josefine blackwell
« Parce que peu importe combien quelque chose peut nous blesser parfois l'abandonner fait encore plus mal. »
Il venait de sortir de la bibliothèque et traversait le couloir pour rejoindre les escaliers qui le mènerait à la salle commune des serpentards « Hey, Theodore attend-moi ! » Il se retourna vers la voix féminine qui l'avait interpellé. Une jeune fille aux cheveux blonds, se tenait près de lui, fière. Il la regarda de haut en bas, on pouvait remarquer qu'elle avait raccourci sa jupe de quelques centimètres et que sa chemise était déboutonnée pour laisser apercevoir un soutien-gorge noir. C'était une Poufsouffle, une sang-mêlée de huitième année. Il l'avait rencontré lors d'une petite soirée organisée chez les serpents. Depuis cette soirée, la jeune fille ne cessait de lui tourner autour, tel un chien quémandant un os. Elle n'était pas laide, au contraire, mais cette manie d'attirer le regard et de sauter sur tous les garçons de Poudlard, avait tendance à l'énerver. Il avait pitié d'elle, il la trouvait si pitoyable avec sa jupe trop court et son chemiser trop moulant. Si on en croyait les rumeurs dans ses appartements, toute l'école était passé sur ou sous elle. Sauf Theodore, et il comptait bien corriger ce petit détail. Il s'approcha lentement de sa proie, de sa démarche assurée, se penchant et susurrant à l'oreille de la blonde: « Tu as une bouche à tomber... » Il n'eut rien besoin d'ajouter. Elle avait enroulé un bras autour du cou pâle du jeune homme, avant de l'embrasser à pleine bouche. Répondant fiévreusement à son baiser, il la plaqua au mur derrière eux, dans un geste brutal, lui arrachant un gémissement qui mourut sur les lèvres rougit du jeune homme. Il s'entait qu'elle perdait la tête, il dévorait son cou, s'attaqua à sa mâchoire, mordant son épaule et ses lèvres. Il l'avait pour lui, elle avait fini par tomber dans ses bras, si facilement. Cette conne. « Suis-moi » fit-elle d'une voix haletante en lui prenant la main et le tirant vers une porte situé à leur gauche. « On sera tranquille ici, mon beau... » Il grimaça à l'écoute du sobriquet ridicule qu'elle venait de lui affubler. Elle l'avait emmené dans la salle du miroir du Riséd. Le mystérieux miroir qui reflétait tout ce que, nous désirions le plus au fond de nous. Il n'eut pas le temps de se poser plus de question, que la Poufsouffle s'était réappropriée ses lèvres, s'acharnant sur les boutons de la chemise blanche du jeune homme. Les mains tremblantes de désir et le souffle court.

Mais sa partenaire est rapidement interrompue par un raclement de gorge provenant du miroir. Tournant le regard vers la source du bruit, un hoquet de surprise s'échappe de la bouche de Theo. Son cœur prend un rythme beaucoup trop rapide et il passe nerveusement une main dans ses cheveux. Josefine. Mais qu'est-ce qu'elle fout là, ne peut-il s'empêcher de penser. « Excusez-moi, je ne voulais pas vous dérangez, je vous laisse tranquille. » fit-elle d'une petite voix. Il ferme quelques secondes les paupières, profitant du son de sa voix, qu'il n'a pas entendu depuis longtemps. Elle a à peine le temps de poser sa main sur la clenche de la porte, que Theodore est sur elle, poussé par un désir incontrôlable. Le contacte avec sa peau le fait frissonner et il réfléchit à toute vitesse pour trouver quelque chose à lui dire « Je ne crois pas que tu va partir, Sang-de-Bourbe, tu va payer pour nous avoir interrompu. » gronde-t-il avant de la retourner brusquement et de la lâcher, comme si il venait de se bruler. « C'est qui celle là ?! » La voix trop aiguë de la blonde le fait sortir de sa contemplation. Il avait presque oublié qu'elle était encore là. « Personne ! Tu ferai mieux de partir, j'ai quelques petite chose à régler. » Elle ouvre la bouche pour protester, mais le regard que le blond lui lance, l'en dissuade aussitôt. Elle sort de la pièce, prenant soin de jeter un regard noir à Josefine qui n'y prête même pas attention. Reportant son attention sur la jeune fille en face de lui, il ne put s'empêcher de se plonger dans ses yeux bleus. « Qu'est-ce que tu fais là Josie ? » fit-il d'un voix étonnamment douce. Il la détailla de la tête aux pieds. Elle était toujours aussi belle. Ce n'était pas un canon de beauté, elle n'avait pas des jambes d'1mètre30, ni une taille de guêpe, ni les cheveux blonds. Elle était de taille moyenne, avait des formes et des cheveux bruns en pagaille. Elle était banal, mais pour lui elle était belle, juste belle. Pas vulgaire comme la blonde qu'il venait de congédier. Il stoppa net son analyse lorsque ses yeux se posèrent sur des marques rouges qu'elle portait à chaque avant-bras. « Qui t'as fait ça ?! » gronda-t-il, prenant brusquement sa main droite pour porter les marques rouges sous ses yeux.


813 mots


Dernière édition par Théodore A. Wilkes le Dim 10 Avr - 13:22, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité





Misère, quand tu nous tiens... Vide
MessageSujet: Re: Misère, quand tu nous tiens...   Misère, quand tu nous tiens... EmptyMar 5 Avr - 19:36

    Dès que j'avais croiser son regard, mon cœur s'était mis à battre rapidement, un peu trop et j'ai tout de suite eu peur que qui que ce soit dans les alentours puisse l'entendre. Il fallait bien que j'avoue que Théodore avait un effet sur moi que je qualifierais de presque enchanteur, il avait beau m'avoir fait du mal, cela m'importait peu. Pendant notre relation, nos piques ainsi que tout ce qui pouvait faire croire aux autres que nous n'étions rien d'autre que des ennemis ne me faisait pas souffrir, je savais que cela ne voulait rien dire pour lui. Tout du moins je l'espérais le plus profondément possible. Quand sa voix avait retentit, j'avais su que j'étais fichu et que je ne pourrais pas faire autrement que de lui obéir. S'il me demandait de sauter du haut de la Tour d'Astronomie pour lui, je le ferais sans aucunes hésitations. Quand sa peau avait toucher la mienne quand il m'avait retourner, mon souffle s'était couper et j'avais l'impression que l'air s'était raréfier autour de nous. Il n'y avait plus que lui qui comptait et je ne pensais même plus à la greluche qui devait être en train de nous observer. C'était tout juste si je l'avais entendu quand elle avait demander qui j'étais. La seule chose qui m'importait était le garçon en face de moi. « Personne ! Tu ferai mieux de partir, j'ai quelques petite chose à régler. » Là, mon cœur avait perdu de sa cadence et quand j'avais entendu la porte se refermer, un soupir avait passer entre mes lèvres. Nous n'étions plus que tout les deux. Seuls.

    Je me sentais bien, malgré la peur qui me tenaillait le ventre depuis que j'avais croiser son regard après les avoir interrompu. Bien entendu, je savais qu'il voyait d'autres filles, après tout c'était Théodore Wilkes, mais jamais je ne l'avais vu dans une situation pareille. Moi j'avais bien essayer de sortir avec d'autres garçons, mais rien à faire, rien qu'en sentant leurs lèvres sur les miennes me donnait tout simplement envie de vomir. Quand ses yeux se sont planter dans les miens, je n'ai pas pu faire autrement que de rester stoïque, même si j'avais l'impression qu'il était en train de lire en moi. « Qu'est-ce que tu fais là Josie ? » Sa voix douce me soulage, comme son regard qui coule sur moi pour me détailler et je doit avouer que j'aime cette sensation. « Je... Je me promenais, excuse-moi de t'avoir interrompu . » Je ne faisais plus réellement attention a ce que se passait autour de moi, je ne me rappelais plus réellement pourquoi j'étais ici. Lui seul m'importait, j'aurais aimer lui dire, mais j'avais peur qu'il rigole en me disant que je n'étais pas importante pour lui. Ce qui était certainement le cas. Je ne sort de mes pensées que quand il attrape brusquement mon bras et que je me rappelle les marques rouges sur mes poignets. La terreur prend possession de moi quand je vois sa réaction, il me fait vraiment peur. « Ce n'est pas grave, je n'ai pas fait attention et j'ai failli tomber, heureusement quelqu'un m'a soutenu et voilà le résultat. J'ai déjà eu pire Théo, je ne vais pas faire un plat de quelques marques. D'ici une semaine il n'y aura plus rien. » Je haïssait le fait de marquer aussi rapidement et l'idiot qui m'avait maintenu pendant près de cinq minutes dos au mur afin de me faire comprendre son mode de fonctionnement. Il avait bien entendu dit que je n'étais que de la vermine et que c'était bien dommage, car si ça n'avait pas été le cas, j'aurais eu le bonheur de passer dans son lit. En voyant son regard, j'avais pris ses jambes à son cou et avait couru comme jamais auparavant dans ma vie. « Je devrais partir maintenant, si ta copine reviens elle pourrait prendre mal le fait que je sois encore là, je ne voudrais pas créer une dispute entre nous. » Je me recule doucement et baisse le regard pour ne pas craquer et me jeter dans ses bras comme une petite fille en manque d'affection. Il me manque, terriblement, mais je vais continuer à être forte et faire comme-ci de rien n'était. Je suis plutôt forte à ce jeu-là.
Revenir en haut Aller en bas
Invité





Misère, quand tu nous tiens... Vide
MessageSujet: Re: Misère, quand tu nous tiens...   Misère, quand tu nous tiens... EmptyJeu 7 Avr - 18:21


Josefine Blackwell. Une sang-de-bourbe, ancienne griffondor. Ces seules observations auraient dû faire d’elle sa pire ennemi. Son souffre douleur, celle dont il aurait prit un plaisir malsain à maltraiter et même à tuer qui sait. Mais la première fois qu’il l’avait vu, il avait su qu’elle allait changer sa vie. Elle s’était positionner sur le petit tabouret lors de la répartition, elle semblait paniquer, et un sourire avait naquit sur son visage quand elle avait apprit qu’elle rentrait chez les gryffons. Theo lui avait été envoyé chez les serpentards. En bon sang-pur et membre de la famille Wilkes. Il n’avait pu détacher les yeux de cette petite brune au sourire contagieux et aux yeux brillants. Quand il avait apprit la nature de son sang, il s’était vite refroidie. Ne pas faire ami avec des sangs-de-bourbes, lui avait dit sa mère avant de l’envoyer à Poudlard. Et il avait décidé de suivre les ordres. Il en avait fait son petit jouet, qu’il aimait maltraiter juste pour pouvoir avoir l’impression qu’elle lui appartenait. Malheureusement, avec les années, les sentiments envers avaient changés. Et il la détestait encore plus, pour lui faire ressentir ce genre de chose. Alors tout avait un jour dérapé, il n’avait pas pu résister à l’appelle de ses lèvres et l’avait embrassé avec hargne. Il n’avait jamais ressenti cela pour aucune fille, et il n’avait pas su faire. Paradoxalement, il ressentait encore le désir de la faire souffrir, de la corrompre et de faire valser tout ce en quoi elle croyait. De toute évidence, il avait peur de l’afflux de sentiments qu’il pouvait ressentir quand il était avec elle. « Ce n'est pas grave, je n'ai pas fait attention et j'ai failli tomber, heureusement quelqu'un m'a soutenu et voilà le résultat. J'ai déjà eu pire Théo, je ne vais pas faire un plat de quelques marques. D'ici une semaine il n'y aura plus rien. » Il papillonna des yeux en sortant de ses souvenirs un peu trop douloureux qui lui revenaient en mémoire telle une gifle. Elle mentait. Il le savait. Elle avait la voix qui partait un peu trop dans les aiguë, elle avait baissé les yeux et triturait ses fins petits doigts. Elle n'avait jamais su mentir. « Ne me mens pas ! » Il parut hésiter quelques instants puis lâcha finalement: « Si quelqu'un te faisait du mal, tu me le dirais n'est-ce pas ?! » Ca avait plus sonné comme un ordre que comme une question et il se trouva ridicule de lui avoir dit ça. Après tout, c'était lui qui la faisait souffrir, qui obtenait satisfaction. Parfois. Mais il ne pouvait s'empêcher de ressentir se besoin de l'avoir pour lui. Si quelqu'un devait la faire souffrir, c'était lui et lui seul qui en détenait le pouvoir.

« Je devrais partir maintenant, si ta copine reviens elle pourrait prendre mal le fait que je sois encore là, je ne voudrais pas créer une dispute entre nous. » Il parut presque blessé à l'entente de ses paroles mais n'en montra rien. Comment pouvait-elle croire qu'une fille comme cette blonde superficielle pouvait être sa copine ? Il la voyait baisser les yeux, comme honteuse et s'apprêta à partir. « Attends ! Ce n'est pas ma copine ! C'est... personne... Reste » Il lui prit délicatement le poignet et apposa la main de la jeune fille sur son torse, près de son cœur. « S'il te plait... » murmura-t-il en fermant les yeux. Il ne voulait pas voir les deux orbes bleus qui devaient le regarder comme si il était possédé. Il avait d'une certaine manière honte. Si quelque savait la relation qu'il entretenait avec une sang-de-bourbe, ça en serait fini pour lui. Mais il ne pouvait résister face à l'attirance qu'il avait pour elle. Tout le menait toujours à elle, toujours. Il posa son front contre le sien avant de prendre une profonde bouffée d'air. Il pouvait sentir son parfum, elle sentait la fraise, son shampooing, et une touche de menthe dû au léger filet d'air qu'elle laissait passer entre ses lèvres entrouvertes.

676 mots
Revenir en haut Aller en bas
Invité





Misère, quand tu nous tiens... Vide
MessageSujet: Re: Misère, quand tu nous tiens...   Misère, quand tu nous tiens... EmptyVen 8 Avr - 21:43

    J'avais tout de suite su que je n'aurais pas du lui mentir, avec lui, je n'arrivais jamais à lui cacher quoi que ce soit. Ce n'est pas facile, j'ai toujours l'impression qu'il arrive à lire en moi comme dans un livre ouvert. Je triture mes doigts afin de ne pas avoir à le regarder en face, je n'en est pas le courage pour le moment, pas en sentant son souffle s'accélérer légèrement, même si ce serait imperceptible à qui que ce soit autour de nous. « Ne me mens pas ! » Je sursautais comme brûlée, baissant encore plus les yeux pour ne pas le regarder. Son ton est autoritaire et la peur me tenaille, totalement. « Si quelqu'un te faisait du mal, tu me le dirais n'est-ce pas ?! » Lui dire, un petit rire discret passa entre mes lèvres et avec le peu de courage qu'il me restait, je plantais mon regard dans le sien. Il fallait que je sois forte. « Comme-ci tu ne savais pas qui me faisait du mal Théo ? Je suis l'un des souffre-douleur de la plupart de tes petits camarades de Serpentard, après tout, je ne suis qu'une Sang-de-Bourbe, je mérite ce qu'il m'arrive. Hein, ce n'est pas toi-même ce que tu as souvent dit. Alors je souffre en silence, attendant que la fin de mes études n'arrive ou alors que l'un ne retienne plus sa force. Tout serait tellement plus simple. Et dire que je croyais que je serais heureuse dans ce monde, que j'allais pouvoir vivre pleinement. Mais je dois simplement me cacher, essayer de me faire oublier, même si on arrive toujours à m'attraper. Alors oui, je me suis faite agressée, mais l'habitude est là et je n'y est pas fait plus attention que ça. » Soupirant, je me décalais un peu et passais une main dans mes cheveux pour retrouver un peu mon calme, je sentais mes nerfs lâcher doucement et j'avais peur de finir par fondre en larmes. Je ne lui avais pourtant pas dit pour les avances peu dissimuler que m'avait fait mon agresseur, c'était déjà assez dur comme cela.

    Doucement, je me retourne et lui dit que je ferais mieux de partir avant que la blonde ne revienne et je suis presque au niveau de la porte quand sa voix retentit à nouveau. « Attends ! Ce n'est pas ma copine ! C'est... personne... Reste » J'ai l'impression qu'il essaye de se justifier, mais même si c'est douloureux, je sais très bien que je n'ai aucun droit envers lui et cela malgré mon amour. Alors qu'il attrape doucement mon poignet, la cadence de mon cœur accélère et j'ai l'impression de me retrouver quelques mois auparavant. Un petit sourire viens sur mes lèvres quand j'entends son "s'il te plaît". Il n'était pas du genre à demander, mais plutôt à exiger et je savais très bien que ce qu'il venait de faire lui coûtait plus que tout. Ma main poser près de son cœur me fit comprendre que lui aussi, dans un sens, avait besoin de ma présence près de lui. Je n'arrivais toujours pas à croire que je pouvais avoir cet effet sur lui, après tout, j'étais loin d'être la plus jolie fille de Poudlard. Beaucoup de dépassait en beauté, je me trouvais tout juste passable. Quand son front se posa sur le mien, je fermais mes yeux tout comme lui avant de soupirer doucement. « Théo, ce n'est pas une bonne idée... » Ça me brisait le cœur de dire cela, mais n'importe qui pouvait entrer et nous apercevoir dans cette situation, je ne voulais en aucun cas lui attirer des ennuis. Il avait déjà assez pris de risque comme cela. Pourtant, sentir son parfum et son odeur si particulière raviva bon nombre de souvenir doux et tendre dans mon esprit. Je me rappelais notre premier baiser après une énième prise de tête, de la tendresse dont il pouvait faire preuve. De son sourire qui avait le don de m'éblouir complètement, me faisant fondre. La tentation est forte et ma détermination commence à fondre comme au soleil. Pourquoi aujourd'hui alors que je suis aussi vulnérable et que notre séparation me semble encore plus difficile. J'ouvre doucement les yeux et ceux-ci se fixe tout de suite sur sa bouche, attirante. Un flash de quelques minutes auparavant me reviens en plein visage et une légère grimace se peint sur mon visage. Cette fille a poser ses lèvres sur les siennes, un sacrilège, je l'écorcherais bien pour avoir eu ce geste. Je déglutis doucement et sans que je m'y attende, les mots sortent de ma bouche. « Excuse-moi... Excuse-moi... » Je n'arrive pas à savoir si je m'excuse pour mes mots, ma réaction ou alors pour ce que j'allais faire, mais je posais sans aucunes hésitations mes lèvres sur les siennes. Heureuse de retrouver cette douceur familière, ce goût doux et enivrant. Je me sentais revivre et avais enfin l'impression d'être à ma place. Tout aurait bien pu se passer si le bruit de l'ouverture de la porte ne m'avait pas ramener à la réalité.


Dernière édition par Josefine Blackwell le Mar 12 Avr - 18:36, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité





Misère, quand tu nous tiens... Vide
MessageSujet: Re: Misère, quand tu nous tiens...   Misère, quand tu nous tiens... EmptyDim 10 Avr - 16:51

    «Et se sera tout pour aujourd’hui n’oubliez pas demain vous devez me présenter votre projet » Je soupirais de bonheur en mettant mes livres dans mon sac. Enfin un autre cours de droit constitutionnel de finit. Parfois je me demandait se que je foutait dans le cursus de droit mais bon en général j’aimais bien mes cours seulement j’avait une grave écoeurite aigue en se moment. Fallait dire que j’avais un gros coups de blues en se moment. Et les choses ne s’arrangeait pas tellement alors j’avais sortit du cours avec un seul but en tête. Le miroir du Rised. Je savait se qu’il représentait mais justement j’avais besoin de voir se que mon cœur voulait voir. Ne venez jamais me dire que je suis une petite fleur bleue mais dans le fond de moi je sais que je le suis alors fermer la. J’avais donc rapidement pris le chemin de se local en faisant un sourire au gens sur mon passage. Je trouvais étrange comment certain se tassait sur mon passage, surtout à cause de la réputation de ma famille. En dehors du fait que la plupart avait peur de se que mon petit frère leur ferait si jamais il apprenait que certaine personne avait oser m’interpeler disons que mon frère était un brin trop protecteur de ma personne parfois et c’était un peu agaçant mais bon je survivait encore.

    Au pas ou je marchait j’avais rapidement atteint le quatrième étage sans que personne ne m’ait interpeler. J’avais donc pu avancer rapidement vêtu de mon uniforme auquel j’avais défait ma cravate. Et j’avais rapidement défait mes cheveux comme à mon habitude. Après tout j’avais terminé mes cours pour la journée. Alors je pourrais être tranquille pendant quelques heures. Je ne m’attendais pas à la surprise qui m’attendait quand j’allais ouvrir la porte de la salle. J’avais réussit à me rendre ici sans aucun problème et j’avais la main sur la poigné contente d’avoir enfin atteint la salle et j’avais rapidement ouvert mais je m’était arrêter immédiatement sur le pas de la porte. La scène qui se jouait devant moi fut assez pour me stopper dans mon enthousiasme. Un jeune couple en train de s’embrasser dans la salle du miroir. Beurk, je détestais les effusions sentimentales. Bon d’accord je les détestait seulement parce que j’avais encore le cœur en mille miette alors voir se genre de scène me révulsait. Une fois le premier choc passer j’avais reconnu l’un des deux membres du couple. Théodore Wilkes, mon fiancé. Bon d’accord, on était pas se qu’on pourrait espéré comme fiancé moi tout comme lui détestions être fiancé l’un à l’autre mais un autre regard à la brunette à ces coté et j’avait rapidement compris un truc. Il était amoureux de cette brunette que je ne connaissais pas réellement. Elle est une né moldu de se que je pouvais voir se qui aurait du me dégouter encore plus mais dans un sens non. En fait j’était autant dégouter que sur le choc. Premièrement c’était un peu dur pour mon ego personnel de voir qu’on préférait une née moldu à moi après tout j’était extrêmement fier. Ouais c’était mon ego qui en prenait tout un coups la! Je les regardais devinant que je devais soit partir ou parler sauf qu’ils m’avaient entendu et que depuis on était dans le silence malsain.

    « Je… euh… je ne savais pas qu’il y avait des gens ici. » Ouais c’était plutôt pathétique j’étais prise de cours et je détestais littéralement être prise de cours. Dans ce sens j’était comme mon frère je préférais être au dessus de la situation. Je savais que je devrais me mettre a gueuler et crier que j’allais faire rompre nos fiançailles mais en même temps si je le faisais j’allais surement ruiner la réputation du jeune homme en même temps, ou encore pire il allait se retrouver avec une fille qui ne serait même pas capable de comprendre se qui se passait réellement ici. Mais mon esprit vif me rappelait que si d’autre étudiant passait ils allaient voir exactement se qui se passait et la gazette avait déjà eu un bonheur à incendier Ama si il fallait qu’elle tombe la dessus les Black allait devenir la source des rires de tous et ça pas question. J’avais donc rapidement fermer la porte un peu plus fort que je ne l’aurais souhaité. « Petit conseil vous ne voulez pas vous faire prendre, premièrement Wilkes tu sais se que t’as famille à a perdre si ça arrive donc la prochaine fois penser à verrouiller la porte! » Je n’arrivais pas à croire la stupidité qui venait de sortir de ma bouche. Sincèrement je devais être littéralement folle. Bon d’accord ma voix était un peu plus froide qu’elle n’aurait du l’être mais je leur donnait un putain de conseil… je devait avoir perdu la tête. C’était la seule explication qui faisait moindrement du sens dans ma tête. Je devrais vraiment sortir de cette pièce et tenter de reprendre mes esprits.


[hj ;; c'est nul je suis trops désoler j'ai complètement zappé toute les idée que j'avais hier. ]
Revenir en haut Aller en bas
Invité





Misère, quand tu nous tiens... Vide
MessageSujet: Re: Misère, quand tu nous tiens...   Misère, quand tu nous tiens... EmptyLun 11 Avr - 16:56


« Théo, ce n'est pas une bonne idée... » avait-elle murmuré. Il fronça le nez comme si une désagréable odeur venait de lui effleurer les narines. Il n'en n'avait cure, à cet instant. Un troll aurait bien pu rentrer, détruire le château, il n'aurait échangé sa place pour rien au monde. Il en avait assez d'être obligé de l'insulter et de la rabaisser plus bas que terre dès qu'il la croisait dans un couloir avec un peu trop d'élèves. Les nouvelles réformes du ministère concernant les sangs-de-bourbes et l'attaque qui avait eu lors du bal avait ajouté un poids de plus aux épaules du jeune homme. Après tout, si on le voyait fricoter avec une née moldue alors que son cousin avait été assassiné par des sorciers de son espèce, Theo ne donnerait pas cher de sa peau. Des réunions de vengeances se formaient et se concrétisaient dans la salle commune des serpentards. Il n'avait jamais eu autant peur pour elle. Il n'avait jamais eu autant peur pour qui que ce soit. Même Poudlard devenait un endroit peu sûr autant pour les sangs-purs que pour les nés moldus. « Excuse-moi... Excuse-moi... » ces paroles sonnaient comme une complainte, comme des excuses. Il était déjà près à répartir mais elle avait posé ses lèvres sur celles du jeune homme, dans un geste tendre. Le contact de ses lèvres était si doux, léger, qu'il eu besoin de l'attirer un peu plus vers lui pour s'assurer qu'il ne rêvait pas. C'était une caresse, un murmure. Il sembla hésiter, Il n'y avait pas la fougue et la hargne de leur premier baiser, mais il l'accepta. Les mains du blond glissèrent sur la nuque et les épaules de la jeune fille. Ils auraient pu se séparer et faire comme si rien ne s'était passé. Ils étaient tous les deux brillants lorsqu'il s'agissait de nier la vérité. Comme si rien ne s'était passé. Mais le bruit de la porte les fit s'éloigner brusquement l'un de l'autre. Il avait continué à regarder Josie, ressentant un vide immense lorsqu'ils s'étaient séparés. « Je… euh… je ne savais pas qu’il y avait des gens ici. » s'éleva une voix qu'il reconnu entre mille.

Il se pétrifia, s'humecta les lèvres avant de tourner le regard vers la voix hésitante qui s'était élevée. Azaela Black, sa fiancée. Il dégluti difficilement. S'en était fini de lui se dit-il. La jeune fille allait révéler toute l'histoire à sa famille. Leurs fiançailles allaient être annulées, au plus grand plaisir de la blonde. La famille Wilkes allait être déshonorée et Theo sera considéré comme le traitre à éliminer. Josie serait envoyée dans les cachots du manoir des Wilkes où toute la famille se ferait un plaisir malsain à la casser en petit morceau, jusqu'à la mort. Les pires cauchemars du jeune homme allaient se réaliser. Néanmoins, il ne put s'empêcher de se positionner devant Josefine, faisait barrière entre les deux jeunes femmes, comme pour protéger la brune. « Qu'est-ce que tu fous ici Black ?! » gonda-t-il avant de voir Azaela claquer rageusement la porte, lançant de sa voix froide: « Petit conseil vous ne voulez pas vous faire prendre, premièrement Wilkes tu sais se que t’as famille à a perdre si ça arrive donc la prochaine fois penser à verrouiller la porte! » il cligna plusieurs fois, comme si il avait mal compris les mots que la jeune fille venait de lui adresser. Elle lui donnait... un conseil ?! Il l'avait imaginé rouge de colère, envoyant tout valser dans la pièce, proclamant haut et fort de la traitrise dont elle avait été spectatrice. Il en fut presque blessé dans son orgueil de mâle. Néanmoins, il n'avait ressenti autant de respect pour la jeune fille, il savait que si il avait été à sa place, il n'aurait pas hésité une seconde, tout Poudlard serait déjà au courant. Cependant, Theodore tenta sa chance, le don qu'il avait de mentir pourrait enfin lui servir: « Écoute ma belle, ce n'est pas ce que tu crois. Tu sais bien que je m'abaisserai jamais à sortir avec une sang-de-bourbe. C'était juste pour... m'amuser » avait-t-il dit sans ciller. Parfait petit serpentard, vil serpend qui ment comme il respire. Il s'approcha de la blonde, lui décochant un sourire charmeur, ne prêtant plus attention à Josefine.


715 mots
Revenir en haut Aller en bas
Invité





Misère, quand tu nous tiens... Vide
MessageSujet: Re: Misère, quand tu nous tiens...   Misère, quand tu nous tiens... EmptyMar 12 Avr - 18:36

    Le fait de sentir une nouvelle fois ses lèvres sur les miennes me donna la drôle d'impression que tout ce qui pouvait arriver importait peu, il était là, avec moi et ça valait de l'or. J'ai cru pendant un instant qu'il allait me repousser quand je l'ai senti m'attirer un peu plus vers lui. Mes mains se sont d'instinct poser sur ses épaules et un petit soupir grimpa dans ma gorge quand ses mains glissèrent sur ma nuque et mes épaules. Cette sensation, bien que presque anodine me procurait un sentiment de sécurité et des frissons dans tout le corps. Depuis combien de temps rêvais-je d'un nouveau moment comme celui-ci entre nous ? Depuis trop longtemps, mes rêves ne me suffisaient plus. Puis tout avait totalement disparu quand la porte s'était ouverte pour laisser apparaître une jeune femme que j'aurais reconnu entre toutes les filles de Poudlard. Il avait fallu que ce soit la fiancée de Théodore et une serpentard de premier ordre qui soit entrer. Apeurée, je me suis reculée jusqu'à toucher le mur et est attendu ce qui allait arriver, sachant très bien que je n'en sortirais peut-être pas indemne. « Petit conseil vous ne voulez pas vous faire prendre, premièrement Wilkes tu sais se que t’as famille à a perdre si ça arrive donc la prochaine fois penser à verrouiller la porte! » Un hoquet de surprise passa mes lèvres et je me déviais un peu sur la gauche pour voir le visage angélique de notre interlocutrice. Théodore avait pris place devant moi et j'étais un peu comme une aveugle. Je ne m'attendais pas du tout à ce genre de réaction et je sentis les muscles de mon corps se détendre légèrement. Je savais que je ne devais pas prendre la parole, mais j'allais le faire quand celle de de celui qui faisait battre mon cœur résonna dans la pièce. Froide et presque cynique. « Écoute ma belle, ce n'est pas ce que tu crois. Tu sais bien que je m'abaisserai jamais à sortir avec une sang-de-bourbe. C'était juste pour... m'amuser »

    Une larme coula sur ma joue pendant que je le voyais avancer vers celle qui serais sa femme d'ici quelques années, qui aurait le bonheur de partager sa vie jusqu'à la fin de ses jours. Je ne savais plus sur quel pied danser avec lui et la souffrance qui en résultait me brisait un peu plus chaque jour. Il avait été si tendre quelques minutes auparavant et maintenant il était tout le contraire, il était froid et avait bien l'air de se ficher de ce qui pourrait m'arriver. Au bout du compte, je crois que rester auprès de mon persécuteur n'aurait certainement pas été plus douloureux. J'essaye pourtant de ne pas craquer devant eux, cela n'arrangerait pas les choses et je me redresse pour paraître plus forte que je ne le suis. Tout en passant une main dans mes cheveux, j'essuie la traîtresse qui a dévalée ma joue. Mon regard ne lâche pas le visage de celle qui se trouve en face moi, je suis en minorité et ça ne porte pas en ma faveur. Elle est belle, plus que je n'aurais pu le croire. Je l'ai déjà croiser à plusieurs reprises dans les couloirs ou autre, mais je n'ai jamais eu la "chance" de pouvoir la voir d'aussi près. Maintenant je comprends commentaires souvent mal placer de mes anciens camarades de Gryffondor. Ses cheveux blonds, son regard envoûtant, elle a tout pour plaire. Contrairement à moi. Ils me regardent tout les deux et je sens que je ne suis vraiment plus à ma place. Qui sais, je rencontrerais peut-être mon tortionnaire en essayant de retourner dans mon dortoir. J'avance doucement, rasant pratiquement les murs et une fois à deux mètres d'eux, je prend la parole. « Il vaux mieux que je vous laisse, je ne voudrais pas vous déranger plus longtemps... J'ai assez polluer votre air comme cela pour la journée et certainement pour le reste de notre scolarité. » Je plante mon regard dans celui de Théodore pour essayer de lui faire passer un message. Celui que si il m'approche pour mieux me faire souffrir ensuite, il devrait plutôt rester loin de moi et mieux s'occuper de sa fiancée. C'est dur pour moi de faire ça, mais je n'ai pas le choix. « Excusez-moi pour le dérangement. » Ouais, le dérangement, même si j'ai été la première à être ici, la place le leur reviens, mon rang étant inférieur, on me l'a assez souvent fait comprendre depuis ma première année à Poudlard. Ma gorge se serre et j'ai pratiquement la main sur la clenche pour sortir, mais j'aurais du savoir que ça n'allait pas être aussi facile.
Revenir en haut Aller en bas
Invité





Misère, quand tu nous tiens... Vide
MessageSujet: Re: Misère, quand tu nous tiens...   Misère, quand tu nous tiens... EmptyMar 12 Avr - 19:30

    Je regardais les deux autre étudiants encore surprise de se que j’avais été témoins et j’avais littéralement ignorer la question de Théodore. De toute façon se que je faisais ici ne regardait que moi et moi seulement. Mais j’étais assez observatrice de nature le regarder se mettre devant la petite étudiante avait suffit pour me faire comprendre une autre chose. Il en était amoureux. Et je savais une chose par expérience on ne peu pas s’empêcher de tomber amoureux, je serais qui pour lui piquer une crise de jalousie, ou piquer une crise tout court. Après tout, non je ne voulais pas être fiancé, j’aurais préféré pouvoir voir le monde, seul et sans attaches mais malheureusement c’était impossible sauf que la situation dans laquelle était Théo serait encore plus délicate. Et qui était-je pour lui refuser cette personne qu’elle soit une née moldu ou non. Il y avait une chose que mon fiancé ne savait pas de moi c’est que je savais se que c’était avoir le cœur en mille morceau et ne pas savoir comment recoller les morceau ensemble et j’étais assez humaine pour ne pas le lui refuser au moins une chance avec celle qu’il aimait réellement. Est-ce que je l’aimais lui? Non pas vraiment, c’était un arrangement entre nos parents et ni lui ni moi avait eu sont mots à dire la dessus. « Écoute ma belle, ce n'est pas ce que tu crois. Tu sais bien que je m'abaisserai jamais à sortir avec une sang-de-bourbe. C'était juste pour... m'amuser » Je le regardais droit dans les haut un sourcil haussé me demandant si il me prenait vraiment pour une conne. J’était peut-être une blonde mais putain que j’avais hâte qu’on arrête de me prendre pour une conne. Sincèrement après se geste protecteur qu’il avait eu envers la née moldu il espérait réellement que je gobbe son petit discours. «Theo tu est habituellement un meilleur menteur que ça. Sincèrement je commence à croire que tu me prends pour une idiote. » J’était plutôt sérieuse et j’avais profiter du fait qu’il c’était rapprocher de moi pour poser ma main sur sa joue de façon purement condescendante. Il voulais me traiter comme une idiote, parfait j’allais le prendre comme un idiot. Et j’était assez douer pour se genre de truc. J’avais observer la brunette un moment et j’allais au moins donner ça à Théodore il avait bon gout pour les choisir, elle avait un physique particulier mais un quelque a propos d’elle qui la rendait superbe. Mais je voyais aussi que le soudain comportement de mon fiancé l’avait blesser et étrangement sa ne me rendais pas tellement heureuse. « Il vaux mieux que je vous laisse, je ne voudrais pas vous déranger plus longtemps... J'ai assez polluer votre air comme cela pour la journée et certainement pour le reste de notre scolarité. » Je regardais la jeune brunette à nouveau et dans un sens je savais une chose j’avais aussi un message à faire passer et il était peut-être mieux qu’elle soit la pour l’entendre et qu’elle le croit réellement. Et dans un sens pour que moi aussi je réalise que j’allais réellement le dire. Il est vrai que je n’avais jamais réellement penser à ma position face au moldu j’étais trop occuper à sortir de cette école et terminer mes études quoi. Et personnellement elle ne pourrissait pas mon oxygène. « Excusez-moi pour le dérangement. » Au moment où elle avait dit ça je comprenais que je devais réagir rapidement. « Reste! Tu vas vouloir entendre se que j’ai à dire » Ma voix était autoritaire et je le savais. J’avais poser mon regard sur mon fiancer un moment. Il n’allait surement pas en croire ces oreilles. Et personnellement moi je n’en croyais pas mes oreilles non plus et je n’avais parlé encore. « Comme j’ai dit je ne suis pas stupide. Tu l’aime n’est-ce pas Theo? Et tu crois que lui faire mal et surement te faire mal juste parce que je suis la vont t’aider… Been there, Done That… et croit moi tu ne veux pas passez par la! Je ne me mettrais pas dans votre chemin, je ne tenterais pas de briser les fiançailles sur ce sujet précis mais si j’entends que tu lui fais du mal physiquement je sors le venin compris. » J’étais sérieuse et ma voix n’était plus aussi froide mais j’avais tourner la tête vers la brunette je n’était pas assez certaine de son nom mais il y avait une chose qu’elle devait arrêter de croire. Elle ne polluait pas l’air. Je ne comprenait peut-être pas comment elle avait eux ces pouvoir, je ne savais pas comment on l’avait choisit elle, mais c’était comme je ne comprenais pas nécessairement le principe des mariages arranger. Mais j’étais une partisane du vivre et laisser vivre! Je sais ça ne paraissais pas toujours, parfois je martyrisait aussi des né moldus, d’autre moment je les ignorais bref j’étais moi même coupable de bien des truc mais j’étais et serait toujours la Wild Card dans cette guerre! Parce que j’aimais ça! « Toi, désoler je ne sais pas ton nom, mais arrête de dire que tu pollues notre oxygène et ceux qui te le dises fait leur donc comprendre! »
Revenir en haut Aller en bas
Invité





Misère, quand tu nous tiens... Vide
MessageSujet: Re: Misère, quand tu nous tiens...   Misère, quand tu nous tiens... EmptySam 16 Avr - 16:07


Ses paroles lui revenaient sans interruption dans son esprit, et il aurait voulu s'auto-jeter un avada kedavra bien mérité. Il était tiraillé entre les sentiments qu'il ressentait envers Josefine et son rang de sang pur qui l'obligeait à haïr les personnes comme elle. Toute son éducation était fondée sur le fait de détester les sans-de-bourbes comme elle. Il avait prononcé ses paroles qui lui avaient brûlé le palais en priant pour que sa future femme croie en son mensonge. « Theo tu est habituellement un meilleur menteur que ça. Sincèrement je commence à croire que tu me prends pour une idiote. » le visage du jeune se décomposa tandis qu'Azaela posait délicatement une main sur sa joue. Il ferma les yeux quelque instant, essayant de reprendre contenance. Malgré le fait qu'il haïssait la perspective qu'ils allaient être officiellement mariés dans un futur proche, Theo ne pouvait nier le fait qu'elle avait un certain talent pour lire en lui. Il y avait toujours eu cette relation ambiguë entre les deux jeunes serpentards. Ils se rejoignaient dans leur haine et leur volonté à ne pas vouloir être marié. Ils avaient rapidement comprit qu'ils ne pourraient pas éviter l'inévitable, alors ils se vouaient une guerre pour se sentir plus libre. Se jetant pique sur pique, néanmoins, une certaine attirance purement physique était née, et leurs disputes les menaient souvent dans le lit de l'un ou de l'autre. Avec le temps, Theodore avait presque finit par l'apprécier un minimum, mais ça il ne l'avouerait jamais. Comme il n'avouera jamais à Josie les sentiments qui font saigner son âme et son cœur. La blonde semblait attendre une réaction de la part du jeune homme, mais il ne sut que dire, que pouvait-il bien dire ? « Il vaux mieux que je vous laisse, je ne voudrais pas vous déranger plus longtemps... J'ai assez polluer votre air comme cela pour la journée et certainement pour le reste de notre scolarité. Excusez-moi pour le dérangement. »

La voix enrouée de Josefine le fit sortir de la léthargie dans laquelle il était tombé. Il s'était retourné brusquement, la tête lui avait tourné et la nausée tiraillait son ventre. Il avait besoin d'une cigarette, mais le monde autour de lui semblait tourner au ralentit. La petite brune a les yeux plongés dans les siens, et il voit bien la goutte d'eau salée dévaler sa joue, traitresse. Il aimerait la protéger de tout la mal qui s'abat sur elle, mais il se rend rapidement compte que celui qui lui fait le plus de mal c'est lui. Il n'ose rien dire et préfère baisser les yeux sur le bout de ses chaussures, honteusement. Il l'entendit se diriger rapidement vers la sortie mais la voix d'Azaeala les cloue tous les deux sur place. « Reste! Tu vas vouloir entendre se que j’ai à dire.Comme j’ai dit je ne suis pas stupide. Tu l’aime n’est-ce pas Theo? Et tu crois que lui faire mal et surement te faire mal juste parce que je suis la vont t’aider… Been there, Done That… et croit moi tu ne veux pas passez par la! Je ne me mettrais pas dans votre chemin, je ne tenterais pas de briser les fiançailles sur ce sujet précis mais si j’entends que tu lui fais du mal physiquement je sors le venin compris. Toi, désoler je ne sais pas ton nom, mais arrête de dire que tu pollues notre oxygène et ceux qui te le dises fait leur donc comprendre! » Impressionnante. C'était l'unique mot qui pouvait d'écrire la blonde en cet instant. Il aurait aimé pouvoir lui dire les mêmes mots mais ils restaient bloqués au fond de sa gorge. Il avait tilté lorsqu'elle lui avait demandé s’il l'aimait. Oui. Oui ? Il n'était plus sûr de rien. La seule et unique chose dont il était persuadé c'était qu'il n'était pas fait pour elle. Elle méritait mieux. Elle méritait un fier petit gryffondor, qui lui assumerait leur relation, qui la protégerait sans avoir honte ou sans craindre des représailles. Il s'était tourné vers Josefine, sûr de lui. Elle n'allait plus souffrir, il s'en faisait la promesse, mais pour cela il allait devoir lui briser le cœur et piétiner le sien. « Je suis pas un gars pour toi Josie. Fais pas comme si tu ne le savais pas. Moi je brise les cœurs et j'en rigole. Toi tu es douce et attentionnée, tu recolles les morceaux quand sa va pas. Je ne veux pas t'entendre me dire que tu m'aimes... Parce que si je te fais du mal, je sais que je ne me le pardonnerai pas. Tu seras bousillé alors que je m'amuserai avec une autre. Je m'en remettrai, toi pas... Je ne veux pas de toi. » Il déglutit difficilement avant de passer une main dans ses cheveux pour se donner une certaine contenance.


807 mots
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Misère, quand tu nous tiens... Vide
MessageSujet: Re: Misère, quand tu nous tiens...   Misère, quand tu nous tiens... Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

Misère, quand tu nous tiens...

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
SALVIO HEXIA :: ACHIVES ::  ::  :: CORBEILLE :: SAISON 4 - ARCHIVAGE-