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Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse !

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MessageSujet: Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse !   Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse ! EmptyDim 24 Avr - 9:02

Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse !
RP Old School ▬ Avec Vitanie J. Whistles-Pond


Le moi de mars avait emmené avec lui les premières chaleurs. Chaleurs ? Psychologiques. Après l’hiver, le moindre rayon de printemps nous rafraîchit Alors, dès que le soleil répandait sur le parc de Poudlard son manteau de chaleur, les étudiants poussaient sur la verte pelouse. Atlance n’avait pas attendu le moi d’Arès pour communier avec la nature, et croquer tous les fruits qu’elle donne à ceux qui savent les chercher. Elle donne aux infortuné une maison, et aux solitaires un peu de compagnie. Dès le matin, le ciel était radieux. Muni d’un gros livre en reliure noire, Wealsey s’était installé près du Sole Cogneur, son endroit préféré. Il lisait une histoire celte, moldue, qui l’enchantait. Or, dès que les étudiants commencèrent à envahir le parc, il rangea son livre et sortit son chaudron pour réviser ses cours de potion. Il fallait qu’il concocte un antidote à un puissant élixir pour le lendemain. Il avait autour de lui tout ce dont il avait besoin. Il commença alors, trois livres ouverts les uns à côté des autres sous ses yeux, à ajouter des ingrédients.
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Dans le ciel, une hirondelle. Bel oiseau, pourquoi voler si haut ?
Les ailes déployées, elle vole.
Libre comme l’air, belle comme la terre,
Nul ne saurait l’arrêter, vole hirondelle vole !
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Le roux regarda le ciel, et vit l’hirondelle. Souvent, il s’était imaginé être un oiseau. Un oiseau ? Oui, un bel oiseau libre de voler où il veut. Un bel oiseau qui serait le maître des vents, la terreur des nuages. Comme il s’imaginait de grandes choses, dans ses rêves les plus beaux !
Une brise traversa ses cheveux mal ordonnés, comme un appel irrémédiable à revenir sur terre. Ne rêve pas trop, petit humain, tu ne sais pas ce que le ciel te réserve. Tu n’as pas le droit de t’évader dans ton esprit, tu n’as le droit que d’être comme les autres. Alors il baissa les yeux, un peu déçu par cet acte que la nature lui infligeait. D’accord, il travaillerait.
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Son chaudron était à présent presque plein. Il ne lui restait plus qu’un ingrédient, et, selon lui, tout serait bon. Il était sur de ce qu’il faisait, et rien – pas même une réticence de son professeur – ne l’aurait arrêté. Pour lui, tout était bon, tout était parfait. Ce n’était pourtant pas son genre d’être sur de lui, pourtant aujourd’hui il sentait de la fierté. Sa dextre saisit alors une petite fiole, qu’il secoua délicatement au dessus du chaudron. Un peu d’herbe découpée tomba, et tout se passa en un instant. Il aperçu un éclair percuter son chaudron, et…

Le vide.

587 mots.


Dernière édition par Atlance Weasley le Mer 27 Avr - 7:31, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse !   Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse ! EmptyDim 24 Avr - 19:09

Le matin même, Vitanie avait été à la bibliothèque pour étudier, mais le cœur n’y était franchement pas. Ces derniers jours, elle avait été d’humeur plutôt maussade et tous ses cours, elle les avait passé à regarder par la fenêtre et à sa montre. Elle avait compté chaque seconde une par une et il avait été de même à la bibliothèque, où elle avait lu un livre sans conviction et s’était forcée à écrire quelques phrases pour les besoins de ses devoirs. Quelques heures plus tard, elle s’était enfin décidée à sortir et d’un pas lent, elle avait rejoint le parc de l’école.

Le soleil brillait déjà dans le ciel parfaitement bleu du parc pour le plus grand plaisir de Vitanie. Confortablement installée à même l’herbe, elle profitait allègrement des rayons qui caressaient son visage pâle. Elle était seule et heureuse, et jouissait d’une solitude à laquelle elle aspirait depuis plusieurs jours déjà. Fatiguée, ses yeux commençaient déjà à se fermer doucement lorsqu’on l’apostropha « Hé Vi’ ! Joins-toi à nous ! », La concernée se tourna vers le garçon ; c’était un serdaigle qu’elle avait rencontré à plusieurs reprises dans la salle commune et qui n’avait jamais cessé de la coller (pour son grand malheur). Entouré d’amis, il la jaugeait là dans l’attente d’un signe & en réponse au sourire niais du garçon, Vitanie se contenta de lever les yeux au ciel et d’hocher négativement. Elle n’avait aucune envie de se joindre à un quelconque groupe, surtout pas à des personnes de ce genre. Solitude, solitude, solitude. D’un mouvement las, elle se rallongea. Toute la pression qu’elle avait accumulée au long de la semaine était sur le point de retomber.

BOOUUM !
Vitanie se releva, secouée par le bruit qui avait retentit à proximité d’elle. Elle écarquilla les yeux et se tourna vers la détonation qui avait mis tout le monde en émoi dans le parc. Un roux gisait à coté de son chaudron, c’était étrange et en même temps inquiétant. La blonde se leva avec agilité et virevolta jusqu’au garçon. Elle le jaugea pendant plusieurs secondes avant de le secouer timidement « Ouh ! Tu m’entends ? ». Aucune réponse. Mais derrière elle, Amadeus riait aux éclats et semblait être la cause du trouble. Vivement, la blonde se tourna et lui fit face, elle était assez contrariée et ses sourcils froncés ne faisaient qu’exacerber cette impression « Mais qu’est-ce qui te prend ? » déclara-t-elle avec autorité. Black était tout ce qu’il y avait de plus puéril et de stupide selon elle, et elle se félicitait chaque jour de ne pas faire partie de son tableau de chasse ô combien long. Dun mouvement vif, Vitanie se retourna vers le garçon allongé et l’examina longuement. La couleur de sa chevelure et le nombre de taches de rousseur présent sur son visage indiquaient qu’il s’agissait à coup sûr d’un Weasley. La serdaigle soupira une énième fois. Elle devrait sûrement faire une croix sur tous ses projets de la journée.

500 mots &, je suis trop blasée de ce rp tout nul, je me rattraperai, promis..
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MessageSujet: Re: Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse !   Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse ! EmptyLun 25 Avr - 18:09

Plus le temps passait, plus je détestais cette école. Poudlard , un lieu dans le passé si cher à mon coeur, lorsque le cursus universitaire à ouvert j'étais content, de pouvoir en faire partie. Aujourd'hui je le regrette, et j'aimerais travailler pour Monsieur Rosier au ministère comme père plutôt que d'être ici à fréquenter toutes ses racailles. Quand je pense qu'on leur laisse l'accès à l'école. La maison grindelmonk, est une bonne chose, un bon début, cela les tiens écarter de nous, les empêche de souiller notre sang. Mais ce n'est pas assez, il faut tout leur interdire, à ceux, la leur interdire, l'entrée dans le château, lors interdire l'accès aux cours, leur casser leur baguette, qu'il ne mérite pas. Pourquoi personne n'écoute il ce que Salazar Serpentard disait déjà à l'époque? Cette école me dégoutait plus que tout surtout depuis la mort de Ramsey et depuis cette historie avec Elias. Si je savais qui c'était qui nous avait vu, je lui jetterais des doloris jusqu'à ce que son cerveau se brise. Je me ballladais dans le parc avec un but précis, aller saboter l'espèce de chose dans lesquelles ces grindelmonk dorment... je réfléchissais au meilleur moyen de leur faire du mal, bruler quelques lit? Un sortilège qui ferait se casser le lit lorsqu'ils si allongerons, les coinceraient dedans? Leur verserait des limaces? J'avais pleins d'idées et j'allais bien rigoler. Pourtant sur mon chemin, je trouva un autre divertissement...Altance Weasley.

S'il y'a une chose pire que les sangs de bourbes à mes yeux, c'est les traitres à leur sang, à l'exception de Ramsey. Altance... A comme Abruti, L comme Loque , T comme TRAITRE, A comme Amoureux des moldus, comme Neant, C comme Conn*ard et E comme ERREUR humaine. La haine n'était pas assez fort pour décrire ce que je ressentais pour lui. Pourquoi n 'était il pas comme Nelson? Une chose est sur, c'est le meilleur ami d' Elias et rien que ça , ça peut suffire à vouloir le torturer. Je le regardais faire sa potion, qu'il avait l'air crétin. Mais oui c'est ça Weasmoche, fait le barbeau, soit fier de ta potion, lorsqu'elle t'explosera à la figure tu riera moins. D'un geste rapide de la baguette et sans dire un mot je lança un sortilège d'explosion sur chaudron. Le sortilège l'envoya valser contre le sol, le visage noir de cendre, les cheveux en pétards.... il ressemblait à ce qu'il était un clochard, un moins que rien.

J'explosais de rire, c'était tellement agréable de le voir comme ça, il n'avait que ce qu'il méritais, je m'apprêtais à m'avancer histoire de me moquer de lui et de sa potion raté, lorsque miss je sais tout débarqua devant moi et commença à me crier dessus comme une furie...« Mais qu’est-ce qui te prend ? » qu'elle était sexy quand elle s'énervait, je souriais de plus belle avant de l'envoyer bouler.

« Tu sais que t'es vraiment excitante quand tu t'enerves ma douce ? » dis je en passant ma main sur son visage. Elle avait la peau si douce, j'approcha mes lèvres des siennes, plongeant mon regard bleu azul dans le sien avant de lui sourire. Mes lèvres étaient si prêt des siennes qu'elle pouvait sentir chaque mouvement de ma respiration.« De quoi tu me parles ma belle? » lui dis-je alors d'un air innocent. Tout en lui parlant je vins me placer derrière elle avant de m'approcher de son oreille et de lui susurrer quelques remarques salaces dont j'ai le secret à l'oreille.« La seule chose que je prendrais, içi c'est toi ma belle » puis je m'éloigna aussi vite que j'avais approcher. Oui un bon prédateur charme sa proie et la laisse venir à lui.


Je me dirigea vers Weasmoche et d'un geste de la baguette répara son chaudron, avant de lui jetter un regard noir«Alors Weasmoche, pas capable de créer une simple petite potion? A force d'idolater les moldus, tu finis par leur ressembler »

Je le regardais avec un regard des plus noirs, si noir que mon nom à côté n'était rien. Je le detestais et je n'avais qu'une envie à cet instant précis, lui jeter un petit doloris, qu'il s'agenoux devant moi et me supplie d'arrêter mais j'ai quelques petits sang de bourbes à martyriser moi non?


712 mots mais pourris désolé :(.
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MessageSujet: Re: Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse !   Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse ! EmptyMer 27 Avr - 7:59


Il est parfois des jours où, malgré toute la bonne volonté que l’on peut fournir à la tâche, rien ne se passe comme prévu. Aujourd’hui, le pauvre Atlance était tombé sur un homme qui visiblement n’avait pour but que de semer le mal autour de lui. Il ne comprenait pas ce qui lui arrivé, et même, il n’avait pas la force de se poser la question. Il était là, étendu sur le dos, le visage vers le ciel. Ses yeux étaient plongés dans le bleu du ciel, immaculé, d’un pâle sombre. Allait-il mourir ? Il ne sentait plus son corps… Tous ses problèmes étaient partis aussi loin que le chaudron qui avait explosé. Jamais il n’avait prit autant de plaisir que lorsqu’il contemplait le ciel, et aujourd’hui, ne faire qu’un avec lui apportait une immense jouissance. Les bras de son âme étreignaient les cumulonimbus, et ses ailes volaient avec les lointains oiseaux, se hâtant de les retrouver dans l’immense liberté qu’offre le ciel. Il aurait pu rester ainsi des heures, si sa sérénité spirituelle n’avait pas été perturbée par son corps qu’il sentait à nouveau, et le faisait souffrir horriblement. Plus aucun muscle ne lui répondait, il était comme pétrifié, or, il sentait la douleur qui se faisait croissance. La vision de béatitude se transforma alors en vision d’horreur, comme les supplices que l’on faisait subir aux criminels au moyen âge. Attaché à une roue, les articulations cassées à coup de bâton, les gibiers de potence étaient ainsi attachés les yeux vers le ciel, afin de faire pénitence. Mais que diable avait-il bien pu faire, afin de mériter telle punition ?
L’autre élément qui troubla son éternel repos, outre la douleur qui lui faisait pousser de sourd grondements, fut l’apparition d’un blond. Ses yeux avaient pleurés, afin de se protéger de l’intensité de la lumière.
L’ange apparu

Beauté singulière, parfait dessin, l’être pur était descendu du ciel. Etait-il mort, alors ? Non, il ne ressentirait pas la douleur. Dans sa tête se jouait du Chopin*, parce que l’heure était grave, malgré la beauté qu’il avait sous les yeux. Etrange paradoxe dans la tête d’un homme qui n’en était pas encore un. Etait-ce la fin ? Le piano du paradis – ou serait-ce l’enfer – ne laissaient aucun doute. C’était la fin… La musique était forte, trop forte… Il entendit comme une voix qui des profondeurs s’exclamait, mais il ne comprenait pas ce qu’elle disait. Peut être l’invitait-elle pour le jugement dernier. Alors tout cela existait ? Ce qu’il pensait être une mascarade était bien réel ? Comme il avait été niais… Il sentit sa tête qui tourna un peu. Non ! Le ciel ! Il voulait voir le ciel ! N’a-t-on jamais vu un conducteur regarder autre part que la route ?! Seigneur, que sa tête se remette droite…

AH !

Non !
Satan.

Pourquoi ! Il vit Satan, avec ses cheveux noirs, et sa carrure de diable. Il n’avait pas de corne, mais il pouvait voir, malgré le flou qui l’empêchait de distinguer les détails, ses yeux de démon. Ainsi allait-il vivre en enfer. Eh bien soit, que l’enfer lui ouvre les portes, et qu’il soit dévoré par Cerbère, pour ne pas voir les horreurs que pouvaient contenir les entrailles de la terre. Il sentait son cœur battre, parce qu’il n’avait pas envi d’y aller… Son cœur ? Son cœur ! Il battait ! Dieu du ciel, il n’était pas mort ! Et Satan n’était pas Satan ! Et l’Ange n’était pas l’ange… Déception. La voix lui glaça le sang. Il reconnaissait bien là cet horrible Black.

« Connard… »

Etait-ce le sang qu’il sentait sur son visage ? Il en coulait de ses oreilles, et sa chemise, si ce n’était la sueur, en était elle aussi imbibé. Comme il avait mal…

« Je te tuerai… »

* Musique bien entendu en corrélation avec la musique de fond.


Dernière édition par Atlance Weasley le Lun 2 Mai - 7:51, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse !   Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse ! EmptySam 30 Avr - 11:17

Sa journée était ruinée, gâchée, détruite et tombait en lambeau à son grand dam. Entre deux soupirs, elle marmonnait quelques injures destinées à la terre entière. Elle aimait aider – certes – mais en ces temps difficiles, son envie de solitude primait sur tous les autres sentiments de compassion. Pourquoi fallait-il toujours qu’un incident lui tombe dessus ? Se retrouver en compagnie d’Amadeus la rendait presque aigrie. Et le Weasley qui gisait par terre l’inquiétait, le serpentard n’avait pas été tendre, c’était un irresponsable, une brute. Un pro sang pur. Tout ce qu’elle ne portait pas dans son cœur.

Amadeus s’approcha dangereusement. Vitanie vacilla, quelque peu déroutée. Elle pouvait sentir sa respiration tranquille et son haleine mentholée. Elle pouvait entendre sa voix faussement innocente et les paroles lascives qu’il lui marmonnait aux oreilles. Elle le haïssait de tout son cœur, mais elle ne rétorqua rien. Toute résistance était veine. Et quand il en eut finit, il se dirigea vivement vers la victime agonisante. Il ne la portait certainement pas dans son cœur et le sentiment semblait réciproque. «Alors Weasmoche, pas capable de créer une simple petite potion? A force d'idolâtrer les moldus, tu finis par leur ressembler » avait déclaré Amadeus avec cet air narquois qui lui allait si bien. Vitanie soupira. Les histoires de sang pur et de moldu ne l’enchantaient guère et elle avait toujours pris grand soin de ne pas y être mêlée. L’autre ensanglanté semblait avoir repris conscience. « Connard… Je te tuerai… » Murmura-t-il à l’intention d’Amadeus. Trop de délicatesse. La blonde jaugea les deux, et d’une voix qui trahissait son exaspération : « Vous êtes épuisants. ».

Elle s’approcha encore du garçon couché et s’accroupit ; ses plaies saignaient abondamment, le sang se répandait inlassablement sur tout son corps. Ca avait l’air grave. Vitanie marqua un temps d’arrêt, examina et un éclair passa dans ses yeux. Vive, elle attrapa sa baguette, et d’un geste expert elle la pointa vers le blessé en la remuant délicatement au rythme de ses paroles « Episkey ! ». Et bientôt un sourire satisfait se dessina sur ses lèvres alors que les plaies mineures se refermaient. « Je suis Vitanie, sauveuse à mes heures » lâcha-t-elle à l’intention du roux, presque amicale. Puis elle se releva pour faire face à Amadeus « Tu veux bien le porter jusqu’à l’infirmerie ? » Questionna-t-elle. Le garçon avait encore besoin de soins qu’elle n’était pas capable de donner. Le serpentard n’accepterait certainement pas. Pour ajouter du poids à la balance, elle ajouta d’un air innocent et naîf « Je sais que tu es un héro alors aide ce Weasley. » Y’en avait-il assez pour flatter son égo ? En fallait-il plus ?

je voulais écrire encore, mais je n'ai plus le temps.
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