Nom : Rosier. Eeeeh ouais. On rigole plus là, vous avez devant vous un Rosier, un héritier d'une grande famille de sang pur. Et les Rosier sont connus pour ne pas être des tendres envers les moldus et ceux qu'ils jugent d'inférieurs.
Prénom : Charles. Charmant non ? Vieux prénom français, on s'imagine souvent que l'interpellé a autant de classe que son prénom. Puis avouez que Charles, ça fait gentil petit garçon. Il sera gentil avec vous, tout dépend de vos mensurations *BAFF*
Surnom : Un surnom ? Ha ha, je te vois venir. Ose m'interpeller à coups de " Charly " et mon poing risque de rencontrer ta face de scroutt à pétard plus vite que prévu. Nan mais !
Âge : 20 ans et toute ses jolies dents.
Curus, option(s) : Justice Magique. Charles est bien décidé à obtenir une place importante au ministère, et faire régner sa propre justice.
Année scolaire : Dixième année.
Nature du sang : Vous le faites exprès ? Sérieusement, vous osez me demander à MOI, un ROSIER (l'auteur a failli faire une blague nulle ici.), la nature de mon sang. Pur voyons ! Méga pur, passé et repassé à l'eau de javel *sors*

Caractère : Ah Charles. Il est beau, il est riche, il est terriblement insupportable. Mais on l'aime comme ça. Il a beau être le dernier des salauds avec la gente féminine, elles reviennent quémander un câlin dès que les bras du démon se libèrent. Et lui, ça le fait bien marrer. Malgré ces gros défauts, c'est un bon pote, à condition que ton statu du sang soit clean et que tu sois aussi méchant que lui. Bagarreur ? Pas trop. Pour qu'il préfère en venir aux poings au lieu de dégainer sa baguette, faut vraiment qu'il soit énerver. Une remarque sur ses bouclettes par exemple. NON il ne fait pas de permanentes. Sérieux (dans certains cas) et à la fois tête brulée, c'est un cocktail Molotov à lui tout seul. Studieux, c'est avant tout un bon élève. Mais dès que la sonnerie le libère de ses obligations de sang pur, plus rien ne le retient.
Pourtant, malgré la façade narquoise qu'il affiche, il sait se montrer sensible. Si quelque chose le touche, il fera évidemment tout pour le nier. Les larmes ne sont pas les bienvenues chez un homme de la famille Rosier. La musique est la seule chose qui le touche pour le moment, mais comme tout borné qui se respecte, il niera. Allez, je suis sur que derrière ce visage hautain se cache un coeur en guimauve tout meugnon *sbaff*
But, espérances : Devenir un dieu. Non, sérieusement, Charles espère simplement honorer sa famille. Comme tout taré de sang pur, il voue une aversion aux moldus, il espère donc rentrer au ministère pour appliquer sa justice (comprenez, les soumettre.). Quel joli programme non ? Parmi tout ces magnifiques rêves, se trouvent aussi celui de se faire le plus de nana possible, et être craint, encore et encore. Qui a dit que Charles n'était pas un jeune homme comme les autres ?
Craintes, peurs : Le pire truc qui pourrait lui arriver, d'après lui, c'est qu'on grille le fait qu'il adore la musique. D'après lui, ces mélodies trop pleines de sentiments sont pour les faibles. Mais malgré lui, il adore ça. Parmi ses craintes, se trouve aussi celle de se prendre un saut d'eau froide sur la tête. C'est tout bonnement sa plus grande peur. Ça abîmerait sa permanente.
Baguette : Bois d'ébène, 23 centimètres, robuste et fine, contenant une écaille de dragon. Héritage de la famille Rosier.
Niveau scolaire global : Bon élève en général, certaines lacunes dans des matières, mais c'est un élève appliqué et consciencieux.
Animal de compagnie : Un chien-loup noir. On le voit rarement dans Poudlard. Par contre, il rôde très souvent aux abords du lac.

Enfance : Comme sa soeur cadette, Charles vu le jour dans le manoir familial, en plein coeur de Londres. Le temps calme et doux de Mai n'eu pas l'effet escompté sur l'enfant qui, dès qu'il fut apte à s'exprimer autrement qu'en grognement, fut très turbulent. Le père du garçon s'en félicitait d'ailleurs. " il sera un jeune homme vigoureux, comme je l'était dans ma jeunesse ! " Sigurdius Rosier, représentant de sa lignée de sang-pur, était en effet quelqu'un de fatigué ces derniers temps. Quelques querelles avec des nés-moldus avaient fait tapage et en tant que directeur du département de la justice magique, le chef de la famille Rosier faisait les frais d'une fatigue morale. Il se rassurait alors en déclarant à qui voulait l'entendre que son fils reprendrait dignement le flambeau et obtiendrait un poste bien mérité au sein du ministère. Couvé par sa mère qui venait d'avoir son première enfant, Charles Ezekiel développa une " aisance " avec les adultes tout le long de son enfance. Nombreux sont ceux qui, lors d'un banquet au manoir familial, recevèrent une réplique cinglante de la part du jeune garçon. Tandis que les maris rougissaient de fureur, la plupart des épouses lui ébouriffaient ses bouclettes tout en rêvant de pouvoir border ce petit garçon un jour. Vous l'aurez compris, dès sa plus jeune enfance, Charles eu un certain succès avec les femmes. Sa confiance en soi n'en fut que plus solide, et le jeune garçon, dont un caprice n'avait jamais foulé les lèvres, obtenait bien souvent ce qu'il méritait. Borné comme un âne, jamais il ne recula contre l'adversité, où même contre la hauteur de l'étagère qui le séparait des bonbons. Hautain, il eu un peu du mal à s'habituer à la nouvelle venue dans la famille. Mady et lui n'avaient que deux ans d'écart, mais bien souvent, au cours des années, Charles se retenait d'étrangler la petite chose qui retenait toute l'attention. C'est quand il s'aperçut que Madeline était tout aussi têtue que lui qu'il commença à l’apprécier.
Premier enfant, garçon qui plus-est, il reçu l'éducation solide mais néanmoins stricte de son père, fervent protecteur du sang pur. Comme son père, l'enfant vint à mépriser quiconque n'était pas " à la hauteur de son sang ".
Année Poudlard : Après avoir obtenue sa baguette magique, cadeau des grands parents Rosier, Charles eu l'immense plaisir de fouler les couloirs chaleureux de Poudlard. Malgré son tempérament hautain, il en fut tout émoustillé. Quel enfant n'aurait pas les yeux remplis d'étoile, la bouche béante devant l'immensité du château. Aucun, même pas vous. La baguette soigneusement rangée dans la poche de sa robe achetée dans une riche boutique pour sorcier, l'enfant jaugeait d'un air méchant tout ceux qui, il le savait déjà, il passerait son temps à martyriser durant son cursus scolaire. Cette prédiction se révéla exacte, et Charles devint vite une des personnes les plus craints dans Poudlard. Fier représentant d'une dynastie de sang-pur, il n'avait bonne conscience qu'après avoir enfermé un ou deux sang de bourbe dans un placard à balais. Accompagné de personnes qui partageaient ses idéaux, la terreur était bien souvent signée Charles Ezekiel Rosier (et les chevilles ? Tranquille !). Tout en martyrisant, Charles jouissait d'un certain don pour séduire, puis jeter la minute d'après. Les larmes des femmes n'avaient pas d'effet sur son visage stoïque. Un parfait connard, cette phrase résonne encore beaucoup dans les couloirs de Poudlard. Nombreuses sont celle qui se sont jetées dans la gueule du loup, abandonnant toute fierté pour un quart d'heure dans les bras du démons. Et lui dans tout ça ? Je crois que pour lui, rien ne pouvait aller bien. Tant que personne ne le grillait entrain de gratter sur une guitare moldue, murmurant des paroles inaudibles, tout allait bien dans le pire des mondes. Et sa permanente aussi. Si quelqu'un le grillait dessus, il avait juré de se jeter du haut de la tour d'astronomie. Mais attendez, qu'est-ce que j'ai dit ? NON ! Il ne fait pas de permanente, oubliez c'que je viens de dire ! Il va me faire la peau !
Votre famille : La famille Rosier. Magnifique de l'extérieur ; Une épouse enchanteresse, un mari bien placé au ministère, deux enfants magnifiques, promis à un avenir glorieux, la populasse de Londres se plaisait parfois à s'imaginer à leur place. C'était sans compter l'éducation stricte que les enfants recevaient. Madeline, détesté d'abord par son frère, devint vite sa meilleure et seule amie. Métamorphomage, elle recevait souvent des morales qui n'avaient pas lieu d'être. Charles était toujours là pour serrer la petite main de sa soeur, après une énième séance de "tu ne changeras pas la couleur de tes cheveux ma fille ". Bien qu'ils soient par moment assez strictes, Charles aimait ses parents. En particulier son père, envers qui il avait une profonde admiration. Il espérait le rendre fier de lui plus tard, honorant le nom des Rosier. Sa mère, très mère poule quand Charles n'était qu'un enfant, avait peu à peu relâcher son étreinte étouffante sur l'enfant, qui en profitait pour commettre moult bêtises en compagnie de sa soeur. L'enfant ne comptaient plus les fois où il était enfermé à double tour dans sa chambre. La dernière fois qu'il eu rouvert la porte après une énième punition, le jeune homme avait 17 ans, et avait été surpris en pleine séance de tripotage avec une moldue. Même son aversion pour les sang impurs n'était pas assez forte face à une jolie fille. 3 jours entiers enfermé dans sa chambre, 1 heure de morale incessante, 30 minutes à demander pardon plus tard, il était de nouveau libre, à l’affût d'une nouvelle proie.

Pseudo : Aya, for your pleasure !
Âge : 75 ans (si si !) Bon ok, 16 ans.
Comment avez vous connu le forum ? : Je louche dessus depuis des mois, mais je ne me souviens plus où je l'ai connu.
Avatar souhaité : Aaron Johnson
Présence : 5/7jours.
Le mot magique ? : dobby président !