Bonjour, Mon nom est Faye, Faye Janae MacNair. Vous connaissez le nom n’est-ce pas? Fille d’Augustus MacNair, Un sang pure par excellence, mangemort sans la moindre hésitation et un sorcier d’une excellente Stature. Vous aurez compris que mon sang est tout probablement Pure. Et vous auriez raison je suis une Sang Pure Certe une sang pure pas comme les autres mais une sang pure quand même. Je suis maintenant âgée de 19 ans j’ai tourné 19 ans au début de l’année en Janvier se qui veux dire que je suis encore en huitième cycles mais que je fais partie des plus vielle de ma classe. Étrange je sais j’ai toujours avouer pleinement que j’était moi-même étrange. Étant en huitième Cycle cela signifie que j’appartient au Cycle Universitaire. Effectivement depuis cette année j’ai été autoriser à choisir un Cursus universitaire qui me préparerait à un emploi future et j’ai pris la décision d’allez en cursus de Recherche Avec les Options de sortilège, métamorphose et de potion. Les deux premières parce que mon but premier à toujours été de devenir Animagus et je me devais d’exceller en sortilège et Métamorphose se que j’ai fait aussi. Mais les cours de potions ont toujours fait partie de mes favoris. Une dernière choses avant d’en finir avec la présentation de qui je suis et commencer mon histoire Ne me chercher pas de surnom à moins d’être réellement inventif vous ne réussirait surement pas à m’en trouver de toute façon.

J’étais assise tranquillement sur mon lit à lire un livre, je me préparais pour mon entrer à poudlard dans quelque année. Mon meilleur ami y rentrerait un an avant moi et je le suivrais. Mais entre temps mon père avait mit à ma disposition un tuteur et des centaines de bouquin. Alors pour ne pas être déranger j’avais dit que je voulais étudiez. Mon père croyait que j’étais une petite studieuse ouais bah il serait surpris de me voir lire un roman au lieux de lire un des livres que j’avais à ma disposition pour me préparer. Les livres de sortilège c’était bien beau, et je les connaissais par cœur mais n’étant pas encore étudiante je ne pouvais pas m’exercer, je pouvais lire autant que je le voulais, tout les livres que je possédais, et je lisais extrêmement rapidement, alors par le temps que j’arrive il ne me manquerait plus qu’a mettre en pratique tout se que j’avais lut. J’étais assez impatiente pour cela mais bon j’allais devoirs prendre mon mal en patience parce que ce n’étais pas sur le point d’arriver quoi. Il me restait encore deux ans à attendre et j’en avait marre. Soudainement j’avais entendu des pas près de la porte j’avais rapidement changer de livre au cas ou c’était mon père mais quand soudainement un crac c’était fait entendre c’était l’elfe de maison de mon père. Je soupirais en déposant le livre. Et le regardait l’air de lui demander se qu’il me voulait. Sincèrement je ne savais pas pourquoi mon père s’embarrassait de ces bons à rien mais j’avais depuis longtemps abandonné de faire dévoiler à mon père pourquoi. Il n’était pas un pour répondre à mes milliers de question. L’elfe se raclait rapidement la gorge avant d’ouvrir la bouche.

« Maitresse votre père désir vous voir dans le salon. » Qu’est-ce que mon père me voulait. Je soupirait et entreprenait de me lever de mon lit assez tranquillement.
« D’accord dite lui que j’arrive immédiatement. » Il est vrai que je n’était pas habiller pour allez à la rencontre de mon père avec une petite camisole et mon mini short je ressemblais plus à une pute comme mon père les appelait qu’a une enfant de famille respectable.
« D’accord Maitresse, ne prenez pas trop votre temps, votre père semblait bien décidez à se que vous veniez immédiatement. » De quel droit est-ce que cette être inférieur me parlait sur ce ton. Je me retournais vers lui violemment en le regardant.
« LA FERME et va rendre le message à mon père! » J’avais crier sur l’elfe qui avait finir par sortir de ma chambre en tremblant de peur et j’avais pris le temps de changer mes vêtement pour un pantalons et un chandail qui me donnais l’air plus respectable quoi.

Une fois que j’avais mit des vêtements qui rendaient honneur à mon rang de sorcière au sang plus que pure j’avais sortit de ma chambre en même temps que j’attachais mes longs cheveux bruns. Vous n’avez pas idée à quel point je n’en pouvais plus d’attendre mes dix-sept ans pour pouvoir transplaner. Ce manoir était énorme et le traverser pouvait me prendre des heures, enfin j’exagérait quand même, mais c’était réellement se que je détestais le plus dans cette maison. Traverser les longs couloirs m’énervait et pourtant j’avais longtemps encore à attendre. Je n’étais même pas encore à Poudlard. Alors je descendais rapidement les escaliers qui me mèneraient au salon et quand j’y arrivais j’y voyais un jeune garçon qui m’était réellement inconnu, un homme qui lui ne m’était pas tout a fait inconnu. Je devais l’avoir un jours rencontrer. Mais je n’en étais pas assez certaine pour pouvoir dire exactement de où je le connaissais. Mais je m’avançais au coté de mon père avant de parler.

« Père vous désiriez me voir. » Oui j’étais d’un naturel polie avec mon père, je l’adorais et j’étais surement la petite fille à mon père mais je faisais toujours en sorte de lui parler avec politesse devant des étrangers. Les MacNairs son une famille fier et ça mon père n’avais de cesse de me le répéter depuis que j’étais toutes petites.
« Oui ma chère je voulais te présenter Morgead. Lui et son père vienne de revenir au pays. » De revenir au Pays, il racontait quoi la? Je tournais la tête de mon père aux deux étrangers. Il y avait un truc vraiment pas net dans cette histoire.
« Enchanté. » J’avais parlé en regardant les deux étrangers. Oui j’étais une enfant naturellement polie mais bon j’avais bel et bien l’impression qu’un truc clochait. Le gosse qui s’appelait Morgead lui il n’avais absolument pas l’air d’apprécier d’être ici. En fait il Avait l’être plutôt énerver.
« Son père est un ami d’enfance de moi, et je suppose que son fils est un jeune homme tout aussi respectable. Mon cher ami je vous présente Faye, ma fille. » J’écoutais mon père tout en trouvant les agissement du gosse vraiment étrange. Non mais j’était quand même pas si laide que ça… non je savais que j’était vachement plus mignonne que ça. Alors je savais pas se qu’étais sont problème.
« Bien nous pouvons les laisser ensemble alors que nous rattrapons le temps perdu. » Quoi il allait me laissez seul avec se bougre qui ne savais pas apprécier la véritable beauté. Il m’énervait et il n’avait pas encore dit un mot. Vraiment étrange non.
« Faye tu veux bien montrer la maison à notre invité. » Je regardais mon père, me demandant si il était réellement sérieux là-dessus. Sincèrement je commençais à croire qu’il y avait un truc que je ne savais pas.
« Beurk il n’y a rien à voir dans se manoir tout pourris. » Mon père me lançait un regard qui voulais dire que j’était mieux de ne pas questionner ces ordres quoi. Bon d’accord aussi bien faire se qu’il me demandait quoi. « Allez Morgead je vais te montrer les endroit intéressant. »
« D’accord. » Ouais bah il parlait pas énormément non plus hein!
« Ouais bah pas la peine d’agir comme si j’avais la peste, si t’es pas content tu peu rester planter ici comme un imbécile c’est ton choix. » Pas ma faute j’étais impulsive de nature et j’avais parfois un caractère de merde quoi.

J’avais soupiré et j’avais commencé à soupirer. Je croyais qu’il aurait refusé de me suivre et pourtant à ma grande surprise il m’avait suivit sans dire un mot bien évidemment mais il m’avait suivit. C’était assez pour me surprendre quoi. Mais ce n’était pas parce qu’il me suivait qu’il était plus bavard hein. Il était étrangement peu bavard et je commençait à en avoir sacrément marre quoi. Pas que j’étais une bavarde mais les silence de se genre était toujours pesant, presque embarrassant. Toutefois j’avançais vers la porte du sous-sol. Surement le seul endroit impressionnant du manoir. Il y avait tout plein d’objet à mon père, des objet de torture surement pour la plupart mais j’avais toujours adorer y descendre pour voir se qu’on y trouvait. Et surement que j’arriverait à impressionner mon cher invité assez pour lui délier la langue, sinon je l’attacherais à un des outils et le torturerais tout simplement. Ouais bon d’accord, peut-être pas mais ont s’en foutait quand même un peu.

« Allez on va allez au sous-sol, c’est le seul endroit qui en vaut la peine. »
« Mmmh… » Rah qu’est-ce que je détestais se genre de réponse. Quand je vous cause prière de réellement me répondre et pas avec ces putains de silence ennuyant.
« Okey j’en ai marre, si tu n’es pas content alors pourquoi tu m’as suivit hein… sincèrement je tente d’agir en bonne hôtesse comme mon père dirais et tu agis comme si j’allais de tuer d’un moment à l’autre. » Personne ne viendrait me dire que je ne savais pas répliquer, malheureusement c’était un de mes vilains défauts oui, j’avais la réplique un peu trop facile. Quoique pour une fois je trouvais que ma réplique en valait la peine et c’était vrai quoi. Mais cette fois il avait enfin commencé à s’animer.
« Descend au sous-sol et je t’expliquerais… tant que mon père ne nous entend pas. » Est-ce que se bougre me donnais réellement un ordre mais j’était trop curieuse pour en faire un plat.
« Wouah je vais savoir un secret d’état ou quoi! »
« Tu verras! »

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Je marchais tranquillement dans les couloirs quand j’avais aperçu une tête blonde que je ne savais que trop bien reconnaître. C’était la tête de Tasha, Natasha Jolan Dragomir. On était ami depuis notre première année c’était un fait on c’était rencontrer à la gare et depuis se jours on avait grandit ensemble, Étrangement on avait pas été envoyer dans la même maison mais cela ne nous avait pas empêcher de rester énormément près. Et bon quand on le pouvait on se rencontrait pour se raconter les derniers potins du jour. S’envoyer Chier quand ça nous disait bref on était toujours fourré ensemble. Elle avait remplacé mon ancien meilleur ami quand ce dernier m’avais abandonné, elle avait remplacé se sale Lâche qui était incapable de me voir maintenant parce qu’il était trop fière pour avouer qu’il était dans le tord. Il était trop peureux, un vrai de vrai serpentard quoi. Rien dans les couilles, imbécile et imbus de leur personne quoi. Oui j’avais extrêmement de colère envers cette imbécile et tout le monde le savait, on ne pouvait pas se voir en peinture. Et Tasha était encore plus eu courant de cette petite guerre que n’importe qui d’autre. Alors en voyant la jolie tête de mon amie je l’avais rapidement rejointe, ou du moins je tentait mais elle marchait dans les couloirs à une vitesse tellement folle que je n’arrivait pas vraiment à la rattraper. J’allais devoirs lui faire part de ma présence. Tien je me demandais pourquoi elle marchait aussi rapidement. Ce n’était pas dans ces habitudes quoi.

« Tasha ! Attend moi! » Elle c’était retourner tellement rapidement que juste en voyant ces trait je voyait qu’elle était énervé. Il y avait donc un truc qui clochait chez elle. Vu sa situation familiale je me doutais que son père faisait encore des siennes.
« Bouge ton cul alors Faye j’ai pas toute ma journée moi… » La voix en colère de mon amie ne faisait que me dire encore plus qu’elle était énerver. Je voyait dans son ton qu’elle avait des envi de commettre un meurtre, tient je pourrais surement l’aider la dessus. J’étais doué pour les envi de meurtre.
« Bah dit donc c’est qui, qui a chier dans tes corn flake se matin! » J’avais tenté un brin d’humour qui m’était propre. En gros on parlait du sarcasme dans mon cas. Le sarcasme était parfois une seconde nature dans mon cas.
« Personne j’ai reçus des mauvaises nouvelle » Oh merde qu’est-ce que c’était. Je regardait autour et trouvait une classe complètement vide et je l’y attirais. Elle était ma meilleure amie et si elle allait mal j’allais mal.
« Qu’est-ce qu’il y a Tasha… » Si on lisais de l’inquiétude dans ma voix c’était parfaitement normal, j’était inquiète aussi. Inquiète de se qui pouvais bien se passer. Elle état plutôt loin de sa famille alors j’étais un peu devenu sa nouvelle famille.
« Ma mère est malade, mon père est un porc et mon grand-père vient de m’apprendre un truc qui me fait détester encore plus mon père. » Je la regardais avec un questionnement dans le regard. Je savais que sa mère était malade depuis un très long moment. Personne ne savais réellement se qu’elle avait. Mais c’était son père qui me surprenait. Elle n’avais jamais eu confiance en son père et l’avais toujours traiter de porc mais pourquoi est-ce que soudainement elle le détestait autant. C’était ça qui me surprenait dans les fait c’était surtout ça qui me surprenait.
« WOUAH c’est sérieux comme ça. » Ouais plutôt imbécile la fille vous ne trouvez pas. Je disais toujours se qui me passait par la tête, c’était pas ma faute j’était assez direct et bon il est vrai que au vut de la situation j’aurait pu utiliser plus de tact mais que voulez vous dans ma création on avait oublier d’y rajouter du tact dans le moule qui m’avais créer.
« Très… est-ce que tu peu croire que mon porc de père à des maitresse, que j’ai un petit frère dans cette école. » Cette fois j’avais les yeux rond, elle disais quoi la. Son père, des maitresse? Et bah il était tomber plutôt bas l’ancien ambassadeur de la Russie.
« QUOI? » Je n’arrivais toujours pas à y croire, c’était pour cette raison que j’étais encore vraiment surprise qu’elle ait dit ça. Mais en même temps son père m’avais toujours laisser plutôt étrange. C’était comme ça j’avais toujours eu un feeling étrange à chaque fois que je l’avais rencontré.
« Bah c’est peut-être un grand frère… j’en ai pas la moindre idée…» La je ne comprenais plus comment elle faisait pour en être aussi certaine. Je savais qu’elle détestait pour mourir, elle avait toujours eux l’impression que la maladie de sa mère était à cause de lui. Moi dans tout ça et bah je supportait mon amie envers et contre tout. « Mon père à eu un affaire entre le premier enfant de ma mère qui est mort et moi… et il en a eux d’autre après coups.» Je la regardais plutôt surprise.

Ma meilleure ami me foutait une photo en plein devant moi sur la table. Je la prenais surprise et je la regardais attentivement. La femme me disait un truc je ne savais trop pourquoi mais bon je finirait pas découvrir pourquoi. J’avais toujours eu une mémoire photographique, je pouvais lire une page extrêmement rapidement et m’en rappeler. Je me souvenait toujours de tout, c’était un peu étrange à expliquer, c’était un truc que j’avais toujours possédé quoi. En plus j’avais une mémoire d’éléphant ça n’aidait en rien. J’était capable de me souvenir des trucs les plus banal qui soit, mais demander moi de me rappeler d’un date ou d’un numéro alors la j’étais absolument nulle voir incapable de m’en souvenir. Quand j’avais la tête à faire des devoirs, se qui n’arrivait pas souvent croyez moi, ça ne me prenais peux de temps parce que je me souvenais ou il fallait chercher. Et c’est pour toute ces raison complètement stupide que je savais que cette tête j’allais m’en rappeler. Si elle me disait quelque choses c’était que je savais exactement qui c’était. Il fallait juste que je laisse le temps à ma tête de se rappeler des stupidités qui se trouvait à l’intérieur de ma tête. Mais je regardais attentivement la photo, le petit garçon dans la photo n’avais pas plus de deux ans, et lui aussi il me rappelait quelque chose. Mais pour être franche savoir qui était un gosse de 2 ans sur une photo serait un véritable miracle, mais il me rappelait quelqu’un que je connaissais.

« FAYE! Toi et moi on doit causer! » J’avais grimacer en entendans mon nom crier de la sorte dans les couloirs.

Pour qui se prenait-il hein? Je me retournait pour faire face à une figure que je ne connaissait que trop bien quoi. Il avait anciennement été mon meilleur ami, il avait été celui qui j’imaginais toujours être au coté. Mais premièrement il m’avait remplacé par cette conasse de blonde chez les serpentards. La petite Greyback, juste penser son nom me donnait envi de Gerber. Mais en plus il m’avait lâchement abandonné parce que je n’avais pas été envoyé à Serpentards comme lui. Et dire que j’avais pensé que notre amitié était à vie. Et bien Voilà bientôt huit ans qu’on se fait la guerre et je ne suis pas prête d’abandonner il m’a abandonné comme un lâche alors il va payer. J’avais été trahi et malheureusement mon sang naturellement bouillonnant ne cherchait qu’une chose. La vengeance. Je ne désirait qu’une chose, me venger et je l’aurais. Un jour il s’écraserait à mes pieds me demandant pardon. Je n’étais pas une serpentard c’était vrai, j’avais découvert à quel point j’étais différente il y a pratiquement huit ans, mais je ne laissais personne oublier qui j’étais sachez le.

« Quoi? Qu’est-ce que tu veux NOTT? » Je le regardait avec haine, tout se que je désirait c’était le détruire. Mais j’allais me rassasier à le diminuer un peu quoi.
« Ne m’appelle pas comme ça!» J’avais frappé la corde sensible. Je n’étais pas aussi stupide que j’en avais l’air et c’était vrai. Je jouais souvent les innocentes, les petites sottes mais j’avais non seulement du mordant mais j’étais extrêmement intelligente. Dangereusement intelligente même.

Je le regardait droit dans les yeux, j’avais de la chance j’étais assez grande, je n’avais pas besoin de levez la tête pour le faire. Mais avec un sourire en coins je me rapprochait et me plantait à presque cinq centimètre de son visage. Oh il allait souffrir. Et mon regard étincelant de haine, colère et d’amertume j’avais le don d’avoir beaucoup de rancune. J’étais extrêmement rancunière et il le savait, il savait que j’allais lui faire subir les pire choses que je pouvait penser à. Ça vie était littéralement en danger tant et aussi longtemps que ma rancune existerait. Tant et aussi longtemps qu’il ne se sera pas excuser à moi pour m’avoir lâchement abandonner comme une lamentable petite conne. Non mais sincèrement, j’arrive ici avec espoir d’allez rejoindre mon meilleur ami, rejoindre la maison ou tant de membre de ma famille ont été envoyer et j’atterrit ailleurs comme une lamentable petite poupée perdu et voilà que celui qui je croyait serait toujours à mes coté m’abandonnait lâchement. S’en était trop, s’en était assez quoi! Il m’avait abandonner quand j’en avait eu le plus besoin. Jamais je ne le lui pardonnerais.

« Et pourquoi pas hein? Après tout monsieur Allistair Jorgen Nott à besoin de se faire désenfler la tête! Et puis tu es une race inférieur tu te rappelle se que tu me répétait s’en cesse » Je faisais exprès pour le provoquer, je voulais le voir tenter de me frapper, je voulais le voir trahir sa première règle personnel. Je ne désirais qu’une seule chose c’était à mon tour avoir le dessus sur lui, être celle qui lui faisait du chantage.
« Pour qui tu te prend MacNair tu n’est qu’une petite traite et tu ose me causer comme ça!» Je m’explosais de rire, je n’avais pas eu le choix, il était un véritable imbécile j’allais lui causer comme je le sentait.
« Premièrement je te cause comme je veux, deuxièmement traite moi comme tu veux mais je préfère être une traitre plutôt qu’une idiote! Et puis Dégage de ma vu tu es le premier à m’avoir abandonner! » Je l’avais bousculer, sa simple vue me dégoutait j’en avait marre de lui. Je voulais lui faire payer sa trahison, je voulais qu’il voit que dans cette histoire c’était lui le traite !
« Oh parce que tu crois que tu ne m’as pas abandonné toi peut-être.» De quoi il parlait cette imbécile dite moi. Si il y en avait un ici qui avait abandonner quelqu’un c’était bien lui, pas moi.

Je me redressissait face à lui histoire de lui planter mon regard dégouter en pleine face. Premièrement il disait qu’il voulait me cause, deuxièmement il osait me traiter comme si je lui était inférieur et après il me lançait en pleine tronche que c’était moi qui l’avait l’avais abandonner. Non mais c’était le pompom. Je devais être une vraie conne à son avis parce qu’il tentait réellement de me faire passer pour une conne. Si il croyait que j’était un marionnette qui allait docilement baisser la tête devant ces insulte il se mettait le doigt dans l’œil jusqu’au orteil. J’avais de la gueule, je savais tenir mon bout et j’allais l’écraser comme on écrase un moustique en plein été. Certain disait que j’aurais été extraordinaire chez les serpentard si je n’avais pas été aussi douce, amusante et attentionné. J’avais énormément d’empathie c’est vrai, j’avais du caractère et du front. Il n’y avait aucun de ces petits potes à cet idiot qui m’arrivait à la cheville niveau caractère. Quand j’insultais on le savait, je n’avais pas froid aux yeux et je ne savais pas mâcher mes mots. J’aurais fait une piètre diplomate mais une auror au sang froid exemplaire. On avait de la difficulté à me faire trembler de peur, en fait je ne crois pas qu’on m’avait un jours vue trembler de peur. Dans les pires situations ou tout le monde criait, pleurait et paniquait moi je restais de marbre mon esprit s’animant aussitôt. J’étais un véritable Roc dans ces situations : Solide, réfléchie, intelligente, voir parfaite. C’était la mon grand talent, ma rapidité d’esprit. Surtout que la plupart du temps j’étais irréfléchie, casse-cou et surtout téméraire comme on ne pouvait pas l’être.

« Tu hallucine mon vieux, je suis arrivé ici et tu m’as tourné le dos comme une vulgaire poupée, j’était tellement remplaçable hein? Après tout tu avait la blondasse qui était comme toi un monstre parfait, tu avait tes petits potes parfaitement serpentard, je n’était qu’une idiote qui n’avait pas su être parfaite et tu m’as jeter comme on jette une chaussette trouer! Et tu oses me traiter de traite, tu oses me dire que je t’AI Abandonné. OUVRE LES YEUX NOTT! Le monde ne tourne pas autour de t’as petite personne » Je le bousculais une nouvelle fois avec beaucoup plus de violence. « Entre toi et moi on sais tout les deux qui est le traite hein! »

Je lui tournais le dos et reprenait le chemin vers la bibliothèque j’avais donnez rendez vous à ma meilleure amie la bah. Non nous n’allions certainement pas étudier, n’ont avaient même pas l’intention d’y rester! Ont avait plutôt l’intention de se rencontrer la pour allez se rafraichir au bord du Lac, et papoter un peu. Ont en avait vachement de besoin d’un bon vieux moment entre amies. Sans mecs dans nos pattes, sans idiot congénitale dans les jambes. Malheureusement l’imbécile ne semblait pas l’entendre de cette façon. Alors que je m’apprêtais à disparaître au tournant d’un couloir il m’avait attrapé par le bras et il me retournait violement vers lui. Oh il allait avoir le gout de mon venin c’était certain. Baguette déjà en main je la pointais vers lui.

« Stupéfix! » Je le sentais me lâcher la main alors qu’il tombait à la renverse par terre. « Alors comme ça le grand Allistair Jorgen Nott était près à être violent avec moi hein? Je m’en fou que se soit vrai ou non approche moi à nouveau et je commence la rumeurs que tu as oser me frapper… qui est-ce que tu crois qu’on va croire hein? » Je le laissait la en plan réellement en colère.

Je l’abandonnais à son propre sort je me foutais de se qui pourrais lui arriver, je reprenais mon chemin ininterrompu jusqu'à se que j’arrive à la bibliothèque voyant la jolie tête blonde de ma meilleure amie avec un énorme sourire au lèvre.

« Et bah tu en a pris du temps. »
« Une rencontre du type Con ma ralentit. Mais je suis toute à toi maintenant. »
« Good allez vient. »