Nom : Ferguson
Prénom : Chazlyne, Tanya. Son prénom est plutôt original et rare, il faut l'avouer. C'est une idée un peu farfelue de sa mère de lui donner un prénom plutôt bizarre, mais c'est une originalité que la jeune fille apprécie. Son deuxième prénom est choisi par son père et fait référence à l'une des grands-mère de la jeune fille.
Surnom : Chaz, Lyly, Lyne, Chazzy. La jeune fille bénéficie de plusieurs surnoms selon les personnes qui lui attribuent. Ses parents et les personnes de sa famille l'appeleront majoritairement Lyly, et bien qu'elle soit plutôt habituée à ce surnom lorsqu'il vient de ses parents ou autre, elle ne supporte pas l'entendre de la bouche de quelqu'un d'autre. Pour ses amis, le surnom Chaz lui conviendra très bien, puisqu'il faut avouer que Chazlyne, c'est un peu long comme prénom.
Âge : Elle est âgée de dix-sept ans depuis un matin de fin avril.
Curus, option(s) : Chazlyne suit encore le cursus normal.
Année scolaire : Elle est dans sa sixième année, et entrera à la rentrée prochaine en septième année.
Nature du sang : Sang mêlé. Sa mère se prénomme Arianne. Elle est sorcière et toutes les générations des Smiths avant elle le sont aussi, mais son père lui est moldu et avant de rencontrer Arianne, il n'avait pas connaissance de l'existence de la magie. Il se nomme Timothee-Bran Ferguson.

extrait de son journal intime
Cher Journal,
Je viens de recevoir ma lettre d’inscription à l’école de sorcellerie Poudlard, c’est magnifique ! Oh, j’oubliais. Je suis tellement excitée depuis que je l’ai reçu que j’allais commencer à tout raconter sans même me présenter. Je m’appelle Chazlyne Ferguson et j’ai onze ans. Je suis une fille pas comme les autres. En effet, je suis une sorcière. Enfin pour le moment je ne sais pas encore pratiquer la magie, mais tout ce que je sais c’est qu’avec Maman, on va au Chemin de Traverse dès demain pour m’acheter ma première baguette. Je suis tellement heureuse. Je vais enfin pouvoir apprendre la magie, c’est merveilleux. Milan va voir maintenant. Lorsque je saurais pratiquer la magie, il ne pourra plus se servir de ma baguette contre moi, enfin si, mais je pourrais me défendre. Milan ? C’est mon frère. Il est âgé de trois ans de plus que moi et il est à Poudlard lui aussi. A Serpentard. Les parents l’ont beaucoup engueulé lorsqu’ils ont appris qu’il était dans cette maison, il paraît que c’est la maison des méchants. Je trouve que cela représente bien Milan, il a toujours été très méchant avec moi. En tout cas, moi je ne veux pas me retrouver là-bas, tous sauf ça. Je ne suis pas méchante, enfin je ne crois pas. Selon mes parents et mes amis je suis une jeune fille très honnête, loyale, un peu craintive ou courageuse selon les situations, bavarde, travailleuse, souriante, patiente, mystérieuse, possessive, à l’écoute et lunatique. Sinon je ne sais pas vraiment quoi te dire à propos de moi. Je vis depuis toujours en Angleterre, dans un petit village paumé dans les champs près de la capitale. J’ai eu une enfance heureuse, mise à part que mon frère est vraiment un casse-pied. Ma vie est vraiment banale et j’ai l’impression qu’en entrant à Poudlard, elle va réellement commencer.

deux ans plus tard

Les rayons de soleil se posèrent sur mon visage et il ne fallut que quelques milliers de secondes pour que cela me sorte des tendres bras de Morphée. J’ouvrai les yeux doucement et profita pour regarder autour de moi. Milan était encore dans un profond sommeil, la tête posé contre la vitre du 4 x 4 dernier cri et un filet de bave coulant de ses lèvres. J’esquissai un sourire devant cette vue et silencieuse, j’observai le paysage de campagne que l’on regagnait enfin. Le week-end des Ferguson avait été consacré à se rendre à la capitale de Londres, pour le travail de papa, et nous étions plutôt heureux mon frère et moi de regagner la maison. C’était toujours très ennuyant, le travail de papa et maman, mais c’était important pour eux, alors on est constamment obligé de les suivre partout où ils vont. Nous n’étions que des enfants, après tout. Je ne sais pas réellement ce que j’aurais du faire à ce moment, probablement que je n’aurais rien pu faire pour nous sauver mais j’ai toujours eu l’impression que c’était de ma faute. Je voyais ce camion arriver droit sur nous à une vitesse affolante, mais je n’ai rien dit. Je ne pouvais pas. Je n’arrivais pas. Mes membres étaient figés et bien que j’avais envie de crier aucun son n’arrivait à sortir de ma bouche. Je ne comprenais plus rien de ce qui se passait. Je jetai des regards affolés dans tout les sens, n’arrivant plus à parler, des larmes coulant sur la joue mais personne ne le voyait. Personne ne voyait rien. Milan dormait, maman était plongé dans la lecture d’un magasine de sorciers et papa conduisait la voiture en chantonnant d’un air joyeux les paroles de la chanson qui passait à ce moment à la radio. Personne ne voyait pas ce qui était entrain de passer. Ils n’avaient pas vu la mort arriver sur eux à toute vitesse. Mais moi, j’avais tout vu. Tout. Quelques secondes plus tard, le camion nous touchait de plein fouet ce qui provoqua un bruit strident, puis plus rien. Je n’entendais plus rien, je crois que j’étais devenue sourde. Il y avait tellement de bruit que je n’arrivais plus à l’entendre. Peu à peu, je ne vis plus rien non plus, et je sombrai.

Il faisait nuit dehors. Je n’osai pas bouger, ne sachant pas réellement ce qui m’arriverait si je tentais quelque chose. J’observai les étoiles au dehors tandis que des larmes perlaient sur mes joues trempées. J’étais allongée dans un lit d’hôpital, je le savais parce que j’étais déjà venue voir un ami à l’hôpital avec maman, il y a quelques années. J’avais peur, très peur. Je crois que j’avais tellement mal partout qu’au final je ne sentais presque plus rien. La douleur la plus forte était celle que j’avais au fond de moi, au cœur.

Une femme métisse s’approchait de moi, avec une blouse d’infirmière et un petit truc sur la tête dont je ne connaissais pas le nom. Elle me souriait. La première chose que je demandai était de voir mes parents, elle paru gênée et ne répondit pas, continuant de me sourire comme si elle était bête. « Tu ne peux pas voir tes parents pour le moment … Je suis désolée. » J’avais envie de demander pourquoi, mais je m’abstins. Je savais pertinemment au fond de moi pourquoi je ne pouvais pas les voir. Je n’avais peut-être que treize ans, mais j’étais assez intelligente pour me douter que je ne les reverrai probablement jamais. Après un peu plus d'une semaine, on m'emmena vers la chambre où était mon frère. Voir qu'il avait survécu m'avait rendu tellement heureuse. Il dormait, on m'apprit qu'il dormait depuis l'accident. Il était dans le coma. J'espérais sincèrement qu'il se réveillerait. Je du attendre trois jours de plus avant que cela n'arrive.

Pseudo : Jeynie, Jenn, Jennifer.
Âge : majeure depuis décembre.
Comment avez vous connu le forum ? : par bazzart et FS.
Avatar souhaité : Willa Holland.
Présence : passage sur le forum au moins une fois par jour, rp environ une fois par semaine, présence nulle le week-end.
Le mot magique ? : dobby président !