I love bringing roses to a woman when she least expects it - nyx&jas

“ I love bringing roses to a woman when she least expects it. „

Ma vie était devenue un petit bordel. Un truc qui n'allait nul part et qui était incertain. Cela durait depuis mon retour de Noël. J'étais aller passer les fêtes chez les moldus où j'avais eut une sérieuse discution avec mon père. Je l'avais menacé. C'était simple, s'il ne voulait pas payer mes études en botanique et me loger pendant, je m'arrangerais autrement. J'habiterais à Poudlard toute l'année, je me trouverais un petit boulot dans les congés et je dormirais aux château comme de nombreux le fond. L'été aussi, si je pouvais. Ma plus grande inspiration était pourtant que ma grand-mère accepte ma présence et mon aide chez-elle pendant les congés et l'été à condition qu'elle m'aide financièrement. Je lui avais envoyé un hiboux, elle n'avait jamais répondu. J'avais peur, je ne savais pas où j'irais à la fin de se trimestre, c'était assez affolant. Moi qui était habituellement si rangé et organisé, je me retrouvais devant le vide où j'allais sauter de plein pied. Je ne savais pas où j'allais, mais je savais que j'allas réussir. Que ce soit en Afrique ou à Londres, j'allais étudier la botanique et rien que la botanique. J'avais tenu parole à mon père et je me faisais une joie de ne pas aller à mes cours. Je ne remettais pas mes devoirs non plus, je n'en avais rien à cirer. J'avais des devoirs d'accumulés depuis un mois et aucune intention de les faire. Je m'étais présenté à quelques cours, mais l'ennui c'était vite emparé de moi et j'avais décider de ne plus y aller du tout. Je desertais tout, qu'ils aillent aux forces du mal. Je passais tout mon temps dans la serre, sauf quand il y avait des cours. Dans des cas pareilles, j'allais dans le parc, au lac ou à la bibliothèque quand j'avais une interrogation. Le problème était que je connaissais presque par coeur tous les livres de botanique de la bibliothèque. Il y avait ceux de la réserve que je tentais d'emprunter sans franc succès. Ma vie se résumais à la botanique, j'en oubliais le reste. J'étais absent. Mes copains n'avaient que des faibles apparitions et ma petite amie me reprochait sans cesse d'être un fantôme. Je n'allais pas bien et je ne voulais pas faire subire ma mauvaise humeur aux autres. Nyx avait des cours et une vie sociale et je ne voulais pas qu'elle quitte tout ça pour moi. Rien que parce que j'étais dans une mauvaise passe. J'étais resté dans la serre toute la nuit à tenter de modifier un peu une graine moldue pour obtenir ce que je voulais. Je l'avais planté et j'avais passé la nuit à chanter des chansons à ma plante. On avait dit que cela faisait que les plantes poussaient plus vites. Moi ? Fou ? Non ! La musique classique fait vraiment pousser les plantes ! Ça a été prouvé chez les moldus. Bref. Je m'endormais en chantant, sur ma table de travaille alors que rien n'avait réussit à faire pousser ma merveille. Déçu, mais surtout faible, je m'endormis vers 9h le lendemain matin. Heureusement, il n'y avait aucuns cours dans la serre. La professeur de botanique n'y passait pas beaucoup de temps non plus, elle faisait bien de me fuir, j'étais infernal. Les cheveux en bataille, le visage dans la terre qui me servait d'oreiller, je n'avais même pas remarqué que ma plante avait poussé. Pas énormément, mais un tout petit truc timide. Les potions pours faire pousser plus vite et les chansons n'étaient pas infaibles, mais j'avais tout de même réussit un peu. Je ne le savais pas, je dormais comme un bébé. Je ne m'étais même pas fait réveillé par les pas de la personne entrant dans la serre. Je n'avais aucune idée de l'heure qu'il était. J'étais dans un rêve où je rencontais une plante. Une femme plante, j'étais amoureux d'elle. Enfin, je ne savais pas vraiment ce qu'était être amoureux, mais je crois bien que c'était cela.