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And I want i now - rory&jas

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MessageSujet: And I want i now - rory&jas   And I want i now - rory&jas EmptyMer 8 Juin - 5:02


    J'avais cette question qui me tournait l'esprit encore et encore. Une plante qui chante, une plante qui chante... Est-ce que ça existait. À ma connaissance, non, mais j'étais persuadé qu'il devait y en avoir une. Le prof de botanique était introuvable et je me devais d'avoir ma réponse. Cela peut vous sembler être une question sans intérêts. Pauvre moldus ou même sorciers qui ne savent rien sur les plantes. Si un végétal à la voix mélodieuse existait, toutes mes nuits blanches cesseraient. Elles étaient la clée de la solution, ma délivrance. Pour ma tête autant que pour ma pauvre voix qui s'écorchait. Mon ton devenait roque d'avoir trop chanter et ce n'était même pas pour ma copine. Je ne trouvais pas que je chantais particulièrement bien alors je n'allais certainement pas montrer cela à qui que ce soit. De l'herbe pouvait aimer ma voix, mais je ne crois pas que des oreilles sorcières supporteraient une telle atrocité. Les plantes étaient la solution. Elles chanteraient et elles chanteraient bien. Je n'aurais plus à me casser la voix toutes les nuits. Que ce soit des plantes du Brésil, j'allais me faire venir des graines au marché noir et j'allais avoir ses foutues fleurs qui chantent. Elles m'obssédaient, elles prennaient toute la place dans ma cervelle. Je ne dormais pas, du moins, je n'en avais pas conscience. La raison étant que lorsque je rêvais, je rêvais à penser aux fleurs qui chantent. Comme dans Alice au pays des merveilles. Elles sont méchantes, mais elles parlent et chantent. J'étais prêt à endurer cela. Et puis, ce serait une plante bien-élevée, une plante à qui j'apprendrais les bonnes manières, pas une plante mégère. Je m'étais donc levé tôt ce matin là, croyant éviter la pluspart des gens en marchant jusqu'au quatrième étage. J'avais croisé quelques poufsouffle qui gloussaient au premier étage. Une serpentard qui lui faisait des yeux de trigresse au deuxieme. Un grindelmonk que j'avais défendu au troisième. Merde, est-ce qu'il m'avait vu ? Il n'allait pas me suivre quand même ? Et finalement une serdaigle un peu perdue au quatrième. La porte de la biblio grinçait dans un bruit familier. La bibliotécaire sirrotait son jus de citrouille avec un air encore fatigué. Je lui accordais un faible sourire en filant à travers les rangées pour me rendre dans celles de botanique. Je pris un livre sur les plantes étrangères et je commençais une recherche silencieuse et approfondie. J'allais lire le livre au complet, je dévorais chacunes de ses belles pages. Plus rien n'existait sauf moi et ce livre. Le silence complet aidait à tout oublié je n'entendis même pas le grincement de la porte sous l'entrée d'une deuxième personne. Une personne qui n'était vraiment pas la bienvenue dans la bibliothèque pour venir me déranger. J'aurais du partir deux minutes plus tôt, rien que pour l'éviter.
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MessageSujet: Re: And I want i now - rory&jas   And I want i now - rory&jas EmptyMer 8 Juin - 14:38

Rory avait une heure de libre, et il devait avouer qu'il ne savait pas trop quoi en faire. Habituellement, il serait allé voler un peu sur le terrain de Quidditch, mais depuis qu'il était étudiant en Sports Magiques son corps était en permanence perclus de courbature. Devenir batteur professionnel était terriblement taxant pour les muscles. Ses cuisses, qui devaient le maintenir sur le balai, son dos qu'il devait sans arrêt redresser et pencher pour se déplacer, et bien sûr ses bras pour battre les Cognards aussi loin que possible. Il aimait ça, réellement, il adorait ça, mais à ses heures perdues ses muscles préféraient vraiment qu'il se repose. Il aurait aussi pu retourner dans le dortoir des Grindelmonks... Sauf qu'il était sombre et étroit. Pas vraiment le genre d'endroit où on a envie de traîner pour tuer le temps.

Il songeait à essayer de faire un petit tour dans les cuisines quand il croisa un serpentard. Son sang ne fit qu'un tour quand il crut le reconnaître, et il se mit immédiatemment à le suivre. Rory aurait probablement été content de la distraction que lui offrait le jeune homme s'il n'avait pas été remonté. La scène de leur rencontre jouait en boucle dans son esprit, et l'énervait chaque fois un peu plus. Il le suivit jusqu'à l'étage d'au-dessus et arriva juste à temps pour voir la porte par laquelle il venait de s'engouffrer se refermer doucement. Rory entra à son tour en poussant la porte presque violemment, et ne se rendit compte d'où il était qu'en voyant le regard courouçé de Mlle Clark, la bibliothécaire. Il hocha la tête en signe d'excuse avant de partir à la recherche de sa proie.

Il finit par le trouver au rayon botanique, apparemment complètement absorbé voir passionné par sa lecture. Rory se planta devant lui, les yeux assombris par la colère et une expression meurtrière sur le visage. Ses muscles étaient tendus, prêts à se battre et rendaient sa carrure impressionnante. Le boursouf sur son épaule, une petite peluche toute ronde couleur crème cassait un peu l'effet.

"C'est toi !gronda Rory, la voix remplie de rage à peine contenue . A quoi tu jouais, la dernière fois qu'on s'est vu ?! Je ne suis PAS FAIBLE ! Je peux te le prouver quand tu veux, d'ailleurs. D'accord, j'étais pas tout à fait en train de gagner, ils étaient cinq avec des sorts particulièrement vicieux. Mais Je. Ne. Suis. Pas. Faible ! il plissa les yeux d'un air suspicieux et reprit D'ailleurs qu'est-ce qu'il t'a prit d'intervenir ? Tu t'es mis tes petits copains de Serpentards à dos, je te signale"

Inutile de dire que l'incident avait marqué Rory. Non seulement le Serpentard l'avait traité de faible (lui !!) mais son intervention avait aussi détourné la colère de ses adversaires sur le vert et argent. Il avait donc été, en quelque sorte (et rien que d'y penser il en avait mal) sauvé par un Serpentard. La question était, est-ce que ce dernier l'avait fait uniquement pour humilier Rory, pour insulter ses camarades de maison, ou est-ce qu'il avait parlé sans réfléchir. Ou... et Rory n'avait vraiment, vraiment pas envie d'y croire, mais est-ce qu'il l'avait fait pour le protéger ?
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MessageSujet: Re: And I want i now - rory&jas   And I want i now - rory&jas EmptyJeu 9 Juin - 15:25


    Quelqu'un était arrivé et c'était planté devant moi, mais je ne dégnais même pas lever les yeux. Il n'y avait personne à qui j'avais nécéssairement besoin de parler et surtout pas à lui. Une vraie sangsue celui-là. Je n'avais pas besoin de le regarder pour savoir que c'était le mec que j'avais defendu et qui me courrait après depuis. Il me foutait un peu la trouille avec son air parano à toujours tenter de me coincer dans un coin sombre. Je n'avais pas peur de lui, ne vous m'éprrenez pas par le mot trouille. Je le trouvais simplement étrange et je n'avais pas envie de lui faire la causette. Pas à lui plus qu'à qui que ce soit. Appart au prof de botanique, lui je n'aurais pas dit non à ce qu'il me suive jusqu'à la biblio pour me parler. Ce serait un bon inversement de rôles, moi qui était toujours à courir pour lui parler, voir, l'harceler. « C'est toi ! » Avait grondé le jeune homme que je n'avais dégné regarder. Il avait l'air faché, et puis quoi encore ? Je lui avais fait quelque chose peut-être ? Notre seul contact était quand je lui avais sauvé la vie d'une bande de serpentard. Il allait faire quoi ? M'attaquer. Ce serait lache que d'attaquer quelqu'un qui n'est pas prêt au combat, aussi pire que quelqu'un de dos. Les serpentard faisaient ce genre de lâcherie, pas moi. J'aimais avoir un combat réglo, pour savoir qui était véritablement plus puissant, plus doué. « A quoi tu jouais, la dernière fois qu'on s'est vu ?! Je ne suis PAS FAIBLE ! Je peux te le prouver quand tu veux, d'ailleurs. D'accord, j'étais pas tout à fait en train de gagner, ils étaient cinq avec des sorts particulièrement vicieux. Mais Je. Ne. Suis. Pas. Faible ! » Je tournais ma page, on aurait presque dit que je ne l'écoutais pas et ce devait être particulièrement énervant. Aussi étonnant que cela pouvait paraître venant d'un homme, j'étais capable de faire plus d'une chose en même temps. Il me reprochais de l'avoir traité de faible. Nan mais, franchement. Pauvre petit, j'avais blessé son orgeuil pour lui éviter de finir en bouillie. Ne pouvait-il pas simplement me remercier, tourner les talons et sortir de ma vie ? Merde, je ne trouvais pas et à se rythme de petite causette, je ne trouverais certainement l'information que je cherchais tant. Ce aurait été si simple que le prof de Botanique me donne une réponse, oui ou non. Je lui avais envoyé un hiboux, aucunes réponses. Il me faisait un peu chier, sérieusement. S'il ne voulait pas être prof de botanique, qu'il cède la place, je la prendrais bien moi. Et si des élèves m'harcelaient, je répondrais à leurs questions avec passion plutôt que de draguer de jolies prof. « D'ailleurs qu'est-ce qu'il t'a prit d'intervenir ? Tu t'es mis tes petits copains de Serpentards à dos, je te signale. » Je ne pu m'empêcher d'échapper un rire. Mes copains serpentard à dos ? Les mecs qui l'avaient attaqué étaient loin d'être mes amis. Des connaissances qui se croyaient plus fort que tout et tout le monde. De la racaille serpentarde qui ne faisait rien de mieux que s'attaquer aux gens seuls, plus jeunes, plus faibles, les proies faciles. Je n'avais jamais aimé la facilité. Ça m'énervait les gens qui avaient la lacheté de ne pas se battre pour vrai, pour ce qu'ils voulaient vraiment. Comme moi, je me battais pour faire ce que j'aimais et je me serais battu contre quelqu'un, seul, pas une bande contre un.

    « Cette racaille ne fait pas partie de mon cercle social. Il m'ont suivit un moment, je leur ai lançé quelques vérités aux nez puis il m'ont lâché et ne m'ont plus adressé la parole. Je crois même qu'il y en a un qui pleurait. »

    Un sourire mystérieux se traça sur mes lèvres. Pas au souvenir des larmes du garçon, mais au souvenir de leurs tronches. Et ouais. Ils ne s'attendaient pas à ce que j,en sache autant sur eux. Pourtant je les avaient souvent entendus parler dans la salle commune alors que je tentais de lire dans mon coin. À parlé trop fort et trop souvent, on se risque à ce que les intrus nous découvrent sans qu'on ne leur ait donné le droit. C'était tout moi ça. J'étais à l'écart, pas le genre de mec qu'on remarque, mais je portais attention à toutes les paroles, toutes les intonations, parfois même les gestes. J'étais un fin observateur, un auditeur hors-pair. J'avais rappelé à l'un d'eux que sa soeur était marié à un né-moldu, à l'autre que sa première copine en était une. J'avais remis en mémoire au petit blond qu'il était le plus faible de sa classe de sortilèges. Au grand mince au cheveux de jais, je remettais en mémoire que lors de son dernier combat, le né-moldu l'avait fait saigné du nez dès le premier sort. Au dernier j'avais dis que ce n'était pas parce que sa fiancé le trompait avec un grindelmonk qu'il devait tous les tuer. Je crois que c'est lui qui c'était mis à pleuré. Ils étaient tous restés sous le choc et j'étais partit en souriant. Je soupirais en voyant qu'il ne partait pas, toujours fâché que je l'ai traité de faible. Je ne pensais pas qu'il allait le prendre personnel.

    « Tu était en infériorité numérique, ce qui ne te laissait que très peu de chances. Même moi, je ne sais pas si je m'en sortirais contre cinq lâches. Tu es peut-être faible, je n'en sais rien, je ne juge pas un sorcier à son sang. Je trouve cela stupide. J'ai vu des nés-moldus vaincre haut la main des sang pur, j'ai vu le contraire aussi. Tu n'aurais pas du le prendre personnel. »

    Je levais enfin mes yeux de mon livre pour le regarder. Mon regard balaya son visage rapidement pour fixer ensuite la petite boulle de poil sur son épaule. Le pauvre sorcier n'avait pas eut mon attention très longtemps. Les bêtes et les plantes m'attiraient d'avantages que les sorciers. Ses derniers avaient le don de me décourager au plus haut point. Je n'étais plus certain de vouloir qu'il parte, sa bête m'intriguait. Si j'étais un mystère, je n'aimais pas qu'il y ait des mystères pour moi. Je voulais tout savoir et je voulais tout savoir sans attendre. Maintenant. Mon visage restait impassible. Il ne pouvait savoir si j'avais peur de sa bestiole, si je l'admirais ou si j'en avais le dédin. Je la regardais méticuleusement.
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MessageSujet: Re: And I want i now - rory&jas   And I want i now - rory&jas EmptyJeu 23 Juin - 4:52

Rory bouillonnait intérieurement. Alors qu’il déversait sa rage et sa colère sur le Serpentard, ce dernier avait le culot de l’ignorer. Il était là, à lire tranquillement son bouquin, tournant les pages en l’ignorant ostensiblement. Non mais, c’était quoi son problème ? Il se foutait de sa gueule ou quoi ? Rory tapota des doigts sur sa cuisse à un rythme effréné. Il venait quand même de lui faire une menace à peine voilée, de lui dire qu’il était prêt à lui prouver qu’il était loin d’être faible, et l’autre n’avait pas cillé. Rory en était complètement scié. De deux choses l’une : soit le Serpentard était fou à lier, soit il pensait réellement faible. A cette idée, Rory vit rouge. La dernière fois qu’il avait été aussi en colère, il avait transformé son camarade de classe en schtroumpf rose.

Quand il lui demanda pourquoi il était intervenu, le forçant à une réaction, le jeune homme avait eu le culot de rire. Rire !! Mais il voulait mourir ou quoi ?! Les poings serrés, Rory s’imaginait lui attraper le bras le lui tordre dans le dos et l’étaler à terre d’un coup de genou dans les reins. Il ne le fit pas, parce que le type ne l’avait pas attaqué, ni même ouvertement insulté. Et parce qu’ils étaient dans une bibliothèque et que la jeune et jolie bibliothécaire lui aurait probablement jeté un sort avant qu’il ne puisse savourer sa victoire (surtout pour ça, en fait).

« Cette racaille ne fait pas partie de mon cercle social. Ils m’ont suivi un moment, je leur ai lancé quelques vérités aux nez puis ils m’ont lâché et ne m’ont plus adressé la parole. Je crois même qu’il y en a un qui pleurait. »

La colère de Rory se calma un peu ; il était intrigué. Pour lui, détruire les gens avec des mots était une méthode purement Serpentard : insidieuse, cruelle, blessant l’autre au plus profond juste avec quelques paroles bien placées, sans effort et sans gloire. Il estimait que le seul combat qui ait vraiment de la valeur était le combat au corps à corps, une guerre ouverte, franche, où personne ne pouvait se cacher derrière une façade. Mais d’un autre côté… il ne pensait pas qu’ils auraient pu avoir des ennemis en communs, tous les deux. C’était qui, ce type ? Un allié, quelqu’un qui haïssait les mêmes personnes que lui ? Ou un ennemi, qui utilisait les mots comme une arme, ce que Rory n’avait jamais su faire ? Un peu perdu, Rory se contenta d’hausser un sourcil et de répondre

« Eh bien, ça devait être de sacrées vérités pour réussir à faire chialer un Serpentard. Je serais presque tenté de t’admirer pour avoir traumatisé ces sales types. »

« Tu étais en infériorité numérique, ce qui ne te laissait que très peu de chances. Même moi, je ne sais pas si je m'en sortirais contre cinq lâches. Tu es peut-être faible, je n'en sais rien, je ne juge pas un sorcier à son sang. Je trouve cela stupide. J'ai vu des nés-moldus vaincre haut la main des sangs purs, j'ai vu le contraire aussi. Tu n'aurais pas du le prendre personnel. »

La réponse laissa Rory presque bouche bée. Alors comme ça, il était intervenu parce qu’ils se battaient à cinq contre un, pas parce qu’il pensait que c’était dégradant pour des sangs-purs de se battre avec un simple « Sang-de-Bourbe » (qu’est-ce qu’il pouvait haïr cette impression). Et il n’avait pas de préjugé sur la nature du sang ? Vraiment ? Cela voulait dire qu’il y avait des Serpentards qui n’étaient pas des débiles congénitaux… N’empêche que s’il cherchait vraiment à l’aider, il aurait pu trouver une solution moins insultante. Parce s’il y avait bien une chose que Rory ne supportait pas, c’était bien qu’on le considère comme faible. Des années d’art martiaux et de cours de Défense Contre les Forces du Mal avaient fait en sorte qu’il ne soit jamais sans défense. Mais la façon dont il avait formulé son explication, d’une voix aussi raisonnable finit de calmer Rory.

« Ok, j’aurais peut-être pas dû m’énerver comme ça. Un combat à cinq contre un c’était clairement lâche, mais n’empêche que t’aurais pu tourner ça autrement ! »

Il était calmé, oui, mais c’était pas pour autant que cette histoire lui plaisait. Et puis, peut-être qu’il n’avait dit ça que pour tenter de sauver sa peau. Qu’est-ce qui prouvait à Rory qu’il était sincère ? Autant rester sur ses gardes, au cas où.

Mais pourquoi il fixait Joan comme ça, lui ? Est-ce qu’il cherchait à savoir ce qu’elle était, est-ce qu’il était intrigué ? Ou bien est-ce qu’il se demandait ce qu’une petite peluche toute mignonne faisait sur l’épaule d’un type qui se voulait dur ? Il n’arrivait pas à lire son regard, et c’était terriblement frustrant pour Rory qui lisait plutôt bien le langage du corps en général. Mais le visage de ce type était vide, chaque mouvement de son corps semblait posé et contrôler pour ne rien laisser paraître. C’était qui, ce mec ? Une enflure, un mec bien, un mélange des deux ? Est-ce qu’il appréciait sa Boursouf, est-ce qu’il la méprisait, quoi ?!

Rory décida de se contenter de l’observer, d’essayer de voir ce qu’il laisserait transparaître de ce qu’il ressentait pour sa petite créature. S’il réagissait mal, il serait rangé sous la catégorie « ennemi à abattre ». S’il réagissait de façon positive, Rory laisserait son jugement en suspend en attendant plus d’information…

« Everybody’s gonna love today, gonna love today, gonna love today ! Everybody’s gonna love today, Anyway you want to, anyway you got to, Love love me ! Love love me ! »

Rory bâillonna sa Boursouf et grogna intérieurement. Forcément, dès que quelqu’un lui prêtait attention, il fallait qu’elle fasse son intéressante ! Elle allait lui attirer des ennuis à chanter comme ça dans une bibliothèque.

« Silence, Joan » souffla Rory, bien que le mal eût été fait. Joan se tue immédiatement, et Rory lui donna un biscuit pour la récompenser qu’elle attrapa de sa langue particulièrement longue, et se mit à bourdonner doucement de plaisir quand il passa ses doigts dans sa fourrure.
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