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L'interdiction est une partie de plaisir.

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MessageSujet: L'interdiction est une partie de plaisir.   L'interdiction est une partie de plaisir. EmptyMer 8 Juin - 16:24


L'interdiction est une partie de plaisir. Tpa013 L'interdiction est une partie de plaisir. 8d92jm7n1Lc3GQM
© BAZZART © CLINTON V

Avant c'était nous, mainteant c'est toi & moi
MORGANA & ANTON

Cela faisait plusieurs jours que je travaillais sur une espèce disparu depuis des années et des années lumières enfin qui était aujourd'hui même en voit de dispartion. Une espèce brutal, méchante et qui faisait de vous parfois, leur repas du midi. Cette espèce n'était rien d'autre que les lutins de cornaille, petite bête insolante, volant dans les airs, pouvant vous tirez les cheveux jusqu'à ce que vous ayez mal. C'est lutins porte toujours une couleur assez violete ou bien bleu ayant les yeux rouges, c'était donc de cette façon que je les reconnaissais. Ils ont tous un bruit qui nous fait tomber à terre et partir prendre la fuite même s'ils sont tous plus rapides que nous. Je pensais tout savoir à leurs sujets et pourtant, il me manquait des tas de choses, j'étais donc décidé ce soir, d'aller faire un tour dans la bibliothèque de Poudlard pour en savoir plus sur les gros livres qui était souvent dans la premiere étage partant du haut. A Poudlard j'étais professeur de soin aux créateurs magiques, si les gens savait à quel point j'étais passioné par ce que je faisais, mon père en aurait été jaloux. Mon père avait été un grand homme, célèbre grace au sport collectif appeller quidditch, le seul sport des sorciers alors que les moldus en avait plus plusieurs comme le rugby, le football, le handball, le golf. Contrairement à certaine personne, je n'avais rien contre les moldus, ni contre personne à part mon père qui avait fait la misère dans ma famille, dans notre famille et pourtant j'étais un de ses fils. Il n'avait pas eu de coeur ni d'amour pour ma mère, il avait été un minable, un lâche comme j'avais vu beaucoup dans ma vie. J'avais essayé de faire mon maximum, si un enfant avait eu besoin d'un organe, je me serais prié de m'en elevé un pour celui-ci. Mon père avait eu une amante, une maitresse, je lui avais réglé son compte et j'étais enfin heureux depuis ce jours. Je n'avais jamais compris pourquoi, pourquoi un amour de jeunesse avait fini au cauchemard. Et si c'est Dieu qui a créé le monde, mais c'est le Diable qui le fait vivre, serait-ce une possibiliter de ce cauchemard? Que nous avions eu, ma mère, mes deux frères et moi-même. Est ce que ma vie, avait été déjà toute tracée? Est ce qu'un jour, je suivrais les fameuses traces de mon père que j'essais depuis toujours effacés? Etait-ce sa? Le fameux amour paternel qu'on nous tend des le premier jours après neuf mois dans le ventre de la femme de notre vie. Je m'étais posé beaucoup de question pendant des mois et je n'avais eu aucune réponse. Cet été j'avais ouvert mon coeur, à une femme, pourtant quelque chose avait été fort entre elle et moi, quelque chose d'interdit. Et si, ce que je ressentais pour elle, était interdit depuis toujours? Nous avions du nous quittés, seul, j'avais sombré dans l'alcool, mais de son côté je ne savais pas. Et si, ce que je voulais le plus au monde m'était refusé, c'est à dire... Elle.. Une vrai sans pur, condamné à épousée un homme, sang pur également. Pourquoi, pourquoi une telle souffrance alors que ce soir, elle était peut être dans ses bras même si les dortoirs mixte n'exitaient pas à Poudlard. Peut être que le mieux aurait été de faire ma profession à Dumstrang, école de sorcellerie simplement pour les garçons, meilleur école pour beaucoup. J'avais choisis Poudlard et ce soir, je faisais un tour dans la bibliothèque. Tout était calme, le silence, aucun bruit ne fit surface. C'est alors que je vis, une chevelure blonde, de taille moyenne et un parfum qui ne m'étais pas inconnu. Je m'approcha de cette rangée de livre, de gros bouquin. Que faisait-elle ici. Bonsoir Malefoy. Je ne savais pas comment serait nos retrouvailles, mais ce qui était sur, c'est que je lui en voulais d'être partit comme une voleuse, une lâche comme mon père. J'aurais voulu faire un trait sur elle mais mon coeur en décidait autrement, alors je devais face à cette vériter. Pourquoi me manquais t'elle? Pourquoi voulais-je être avec elle? J'étais professeur pas élève, je n'avais pas le droit, c'était interdit. Malheureusement mais c'était réel.
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MessageSujet: Re: L'interdiction est une partie de plaisir.   L'interdiction est une partie de plaisir. EmptyMer 8 Juin - 22:02


La jeune Malfoy enchainait les journées de merde. Il y a des fois comme ça, où ça va pas, où on se sent vide, où tout nous emmerde. Et bien c’était ça. En pire. Elle ne supportait plus personne. Sauf peut-être Samaël, son meilleur ami… Quoique, lorsqu’il lui parlait de son béguin pour Wilkes, elle avait seulement envie de l’étrangler. Même les cours l’ennuyaient. Et ça, c’était une première… Se plonger dans les bouquins lui demandait un effort qu’elle n’avait jusque-là pas connu. Elle qui, d’habitude, ne demande que ça. Apprendre… Elle a une soif de connaissance énorme, mais depuis plusieurs semaines, ça ressemblait plus à un fardeau qu’à une réelle passion… Elle devait pourtant faire avec. L’année n’était pas finie, et elle ne pouvait se contenter de notes acceptables. Elle voulait être la meilleure, elle l’avait toujours voulu. C’est pourquoi la jeune Serpentard s’était rendue à la bibliothèque. Au moins, ici, elle était sure qu’elle ne serait pas dérangée et qu’elle s’y mettrait sérieusement… Enfin, c’était sans compter une visite pour le moins inattendue.

« Bonsoir Malefoy » Morgana releva brusquement la tête de son bouquin, comme figée. Elle reconnaissait cette voix. Parfaitement. Douce et agréable voix qui, comme les madeleines de Proust lui rapportait tout un tas de souvenirs. La chaleur de l’été, les pique-niques dans les prairies verdoyantes d’Ecosse, et des ébats plus que torride avec le magnifique brun qui se trouvait derrière elle. Tout ça lui semblait si loin derrière elle… A l’époque, elle était insouciante. Seul lui et ce qu’ils allaient faire de leur journée comptait. Elle était constamment de bonne humeur, elle riait, souriait… elle était cette adorable jeune femme, douce et chaleureuse, que beaucoup appréciait… Et aujourd’hui, elle était l’autre. Celle qui insupportait tant de monde. Cassante, sarcastique mais aussi impulsive et quelque peu dangereuse. Tant de choses c’était passé… Et puis, sans savoir pourquoi, ce n’était juste pas sa période. Alors entendre sa voix, et se rappeler cet été était étrange… Ainsi que douloureux. Affreusement douloureux. Certaines blessures restent, et bien qu'elles soient refermées depuis longtemps, la douleur persiste... Cependant, ils n’avaient pas eu le choix, et elle détestait ça. Elle avait ce sentiment, d’avoir commencé quelque chose, et de ne pas l’avoir fini. Leur relation reste inachevée et le restera sans doute. C’était sans doute ça le plus douloureux, imaginer ce qui aurait pu se passer. Imaginer combien de temps encore ils auraient pu être heureux. Les autres mettent des semaines et des mois pour arriver à aimer, et à aimer peu, et il leur faut des entretiens et des goûts communs et des cristallisations. Elle, ce fut le temps d'un battement de paupières. Un coup de cœur, un coup de foudre, peu importe le nom, le résultat était le même. Elle l’avait aimé, elle l’aimait sans doute encore, d’une manière différente, mais elle l’aimait toujours.

Après plusieurs secondes dans ses souvenirs, qui lui parurent une éternité, Morgana se retourna et posa son regard sur son ancien copain. « Anton… » Lâcha-t-elle à voix basse. D’ailleurs, comment devait-elle l’appeler désormais ? Anton, Professeur, M. Miller ? Elle n’en avait pas la moindre idée. L’appeler par son prénom était seulement une chose spontanée et naturelle. Et puis, elle n’était pas sure de réussir à s’habituer à l’appeler autrement, à l’appeler d’une manière plus… conventionnelle.
Lui faire face était horrible. Il était beau, tellement beau. Et son regard…Elle y lisait autant de douceur que de douleur. Elle avait été naïve de croire que si elle s'en allait, il finirait gentiment par s'effacer de sa mémoire, tout doucement, sans aucun bruit, sans aucun cri de douleur. « Comment tu vas ? » Demanda-t-elle simplement. A vrai dire, elle ne savait pas trop quoi dire d’autre. Elle se retenait seulement de ne pas lui sauter dans les bras.

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MessageSujet: Re: L'interdiction est une partie de plaisir.   L'interdiction est une partie de plaisir. EmptyDim 12 Juin - 17:30

« Anton… » Sa voix avait refait surface dans les horizons de Poudlard. A vrai dire, je ne m'attendais pas du tout à la revoir, depuis septembre, j'avais essayé mmalgré tout de l'évité, d'essayé de faire un trait au point dans faire des cauchemards la nuit. J'avais eu du mal à l'oublié de mes pensées, à tel point que j'avais sombré dans l'alcool pendant de long mois pour essayé de ne plus rien avoir avec elle mais rien ne marchait, rien ne fonctionnait pour que je l'oublis. Nous avions commencer quelque chose un été, quelque chose de différent de mes anciennes partenaire que j'avais eu auparavant. Nous avions été assez fou pour finir nu dans les champs de l'Ecosse. Quand son visage se tourna vers moi, c'est ainsi que je m'aperçu qu'elle avait changée, oui elle était encore plus belle qu'avant, un vrai ange descendu tout droit du paradis. Une telle beauté devrait être interdit sur terre, du moins, c'est ce que je croyais à présent vu que celle-ci m'étais interdit. Je n'avais jamais cru qu'un jour, elle et moi seriont à présent comme deux bon vieux inconnus qui avaient eu un passé amoureux. En faite, j'avais été tellement naiv et égoiste que je n'avais pensé cas elle, cas moi, cas nous, que j'avais jamais cru qu'il y aurait eu une fin. Je me souviens d'une parole que je lui avais dis quand nous nous étions retrouvés nu dans le champ d'herbe ou personne ne pouvait nous apercevoir. D'ailleurs je me souviens parfaitement de la position dont laquelle nous étions, rien de plus naturel et de plus simplement, j'avais été sur elle, prèt à faire des coups de bassin. Je ne te lâcherais jamais Morgana, jamais. J'avais dit cela tellement avec sincériter que toute mes paroles avec elle je l'ai avais cru, pensé, malheureusement, j'aurais sans doute mieux fait de me tair pour ne pas avoir de remord aujourd'hui. Je n'avais toujours rien dis d'autre à part mon bonsoir, d'ailleurs, c'était ma nouvelle salutation auprès des élèves même si avec elle, j'aurais voulu m'approché un peu plus près, la prendre par la taille ou bien encore par les hanches afin de la soulevée doucement pour la contrée contre le mur. J'étais fou, oui j'étais fou d'elle mais cela m'étais interdis et cela était encore plus exitant que je ne le croyais. « Comment tu vas ? » A cet instant, j'avais envie de lui sauté au cou, elle me demandait comment j'allais, comment j'allais? Alors que j'avais sombré dans l'alcool pendant des mois et des mois, que j'avais du voir un psy pour aller mieux et essayé de tiré un trait, que j'avais repris mes études afin de l'oublié et de l'effacé de ma mémoire et elle me demandait ce soir sans avoir prit une seule fois de mes nouvelles comment j'allais. Ce soir, c'était le monde à l'envers. Je m'étais arrêté sur place en la voyant, nous étions seuls dans la bibliothèque du château, cela aurait été plus intéressant si nous avions été seulement deux être fou amoureux de l'autre, malheureusement, aujourd'hui elle était l'élève et moi le professeur. Après l'avoir regarder de haut en bas, je me rappellais d'une phrase que je lui avais sortit, mais cette fois-ci, cela c'était passé sous la pluie contre un mur. C'est ton coeur que je vise. Ce soir, ce n'était plus son coeur que je visais, mais la rancoeur que je lui portais. « Je me porte bien, merci de tant soucier. » Peut être que je commenceais mal les retrouvailles et pourtant, j'avais cette forte envie de la prendre contre moi, comme avant. Alors que je la regardais, je crois que j'avais pris l'initiative de m'avancé vers elle pour m'assoir sur le bour de la table, tel un élève aurait fait pour draguer une demoiselle de Poudlard ou même à l'extérieur de Poudlard. « Et toi, comment tu te porte depuis tout ce temps. » Peut être que là, c'était mieux non? Des tas de souvenirs revint alors dans ma tête quand son parfum alla en direction de mes narines. Comme le jour ou je lui avais dit ce qu'elle attendait, deux mots, en tout sept lettres. Je t'aime Morgana Tout cela c'était passé chez elle, quand ses parents n'étaient pas là. Nous avions été seuls chez elle, et nous avions bien profité de cet instant de bonheur.
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MessageSujet: Re: L'interdiction est une partie de plaisir.   L'interdiction est une partie de plaisir. EmptyLun 13 Juin - 15:20


Ils avaient été naïfs. Affreusement naïfs et stupides de croire qu’ils pourraient s’aimer longtemps, et vivre heureux, comme dans les contes de fées. Seulement la vie est loin d’être une belle histoire où tout fini bien. La réalité les avait rattrapés. Trop tôt, trop vite. La jeune Malfoy avait souvent repensé à eux, leur histoire, leur amour. Elle savait que ça ne l’avançait à rien de penser tout le temps à lui, elle savait qu’elle rêvait dans le vide. Mais en fait, elle s’en fichait, parce que ça lui faisait du bien. Elle avait l'impression qu’il était un peu avec elle, toujours dans un coin de sa tête, un peu comme si il était présent. Et tant pis si ça ne rimait à rien. Et contre toute attente, c’est le mec qu’elle supportait le moins qui avait réussi à la sortir de son trou, qui avait tenté de lui redonner le sourire, sans doute pas de manière volontaire. « Je me porte bien, merci de tant soucier. » Morgana baissa la tête, comme mal à l’aise, enfin, encore plus que ce qu’elle n’était déjà. Sa réponse sonnait tellement… faux. Il était froid. Affreusement froid, et c’était douloureux. Aussi étrange que cela pouvait être, la Serpentard s’inquiétait vraiment pour lui. Elle s’intéressait sincèrement à une autre personne qu’elle-même. Elle savait qu’il lui en voulait, peut-être même la détestait-il. Seulement elle, elle ne pouvait pas. Ca lui déchirait encore le cœur d'avoir à se forcer à croire qu’il n’était pas celui qu’il lui fallait. Il parait que l'acte d'amour le plus parfait est le sacrifice, cacher ses sentiments pour quelque chose que l’on peut juste… C'est vrai, perdre ce dont on rêve est tragique, mais réaliser ses rêves, elle pensait qu'on ne pouvait rien souhaiter de mieux. Morgana en avait été persuadée, mais à présent, elle n’était plus aussi sure. A vrai dire, elle n’était plus sure de rien, et sa présence n’arrangeait rien. Et puis… les adieux feront toujours mal, les photos ne remplaceront jamais le bonheur d'y avoir été, les souvenirs bons ou mauvais feront toujours pleurer et les mots ne seront jamais aussi forts que les sentiments que l'on éprouve. On devrait se dire que c'est la vie ou au moins avoir le courage de le penser, mais malheureusement les choses ne se passaient jamais comme on le voulait... « Et toi, comment tu te portes depuis tout ce temps. » Elle sourit timidement. Depuis tout ce temps… Il avait raison. ‘Tout ce temps’… c’était loin. Trop loin. Beaucoup de choses avaient changé. Mais comment tout lui raconter sur le simple ton de la conversation alors qu’il y avait… ‘tout ce temps’ entre eux ? Elle aurait voulu lui parler d’Asher, et de ce qu’elle ressentait pour lui. De ce qu’elle ressentait pour eux. Etait-ce possible d’aimer deux personnes en même temps ? Anton s’était approché de quelques pas, avant de s’asseoir sur un coin de la table comme aurait pu le faire un élève avec pour idée de draguer la jolie blonde. « J’ai connu mieux… mais vu que je suis toujours là, je suppose que ça pourrait être pire » elle leva les yeux vers lui, posant son regard bleuté sur celui de son ex. Elle aurait pu s’y perdre, encore une fois, comme avant… Sans réellement réfléchir, Morgana se leva de sa chaise, et vint se positionner devant Anton. Ainsi, ils étaient quasiment à la même hauteur. Elle n’était qu’à quelques centimètres de lui, et elle se contentait de le fixer. Cela faisait si longtemps… elle restait persuadée qu’il avait cherché à l’éviter depuis la rentrée. Peut-être était-ce mieux ainsi. Sans doute était-ce plus simple, ou plutôt moins douloureux… Doucement, elle monta sa main, jusqu’à la poser délicatement sur la joue du professeur, alors qu’elle le regardait toujours. Un mélange de douceur et de tristesse pouvait se lire dans le regard de la sang pure. Jamais personne ne l’avait vu ainsi. Fragile et sans aucune protection, sincère et touchante… « Je suis sincèrement désolée… » C’est tout ce qu’elle était capable de lui dire pour le moment, parce qu’elle avait cette putain de boule dans le ventre, et ce foutu trou dans sa poitrine qui lui donnait l’impression de ne plus pouvoir respirer. Elle était vraiment désolée, de la tournure qu’avait pris leur histoire ou même de l’avoir fait souffrir. Bien que ça n’allait pas changer grand-chose à l’histoire, elle tenait vraiment à ce qu’il le sache.

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MessageSujet: Re: L'interdiction est une partie de plaisir.   L'interdiction est une partie de plaisir. EmptyLun 13 Juin - 18:49

« J’ai connu mieux… mais vu que je suis toujours là, je suppose que ça pourrait être pire » A cet instant, je me demandais comment elle allait, si elle avait reprit le dessus, à mon avis oui, car j'avais appris beaucoup de chose à son sujet. Les élèves parles dans les couloirs c'est bien connu et je n'avais pas les oreilles sourdes bien au contraire, je savais les mettres là ou il fallait. Depuis mon enfance, j'avais eu ma période ou j'écoutais sans cesse les gens parlés, d'ailleurs j'avais appris beaucoup de chose sur moi-même que je ne connaissais pas. Des rumeurs à Poudlard, il y en avait des tas, à tel point cas force on ne savait plus ou donner la tête et ça depuis des années et des années voir même des siècles, c'était partout pareil. J'étais passé par cette passe, ou tout ce qui se passait dans ma vie était relier aux bouches des autres parmis tout les élèves du château. Quand j'étais étudiant, j'appartenais à la maison de Gryffondor, la maison des courageux, d'ailleurs, le réglement ne m'empêchais jamais de faire des cavales pour aller voir les demoiselles du château la nuit. Enfin, les demoiselles, je n'avais pas été un don juan non plus mais plutôt un sentimentaliste, un romantique, quelqu'un qui voyait ce qu'était l'amour en faite. En faite, je n'avais jamais connu sa, je croyais mais je ne connaissais pas, voir rien du tout à cet époque avant d'avoir parcourru les champs du pays Ecossais sous un soleil ou bien sous les pluis, nous avions eu toute les météos qui puisse avoir en Ecosse. Oui, vous voyez bien de qui je parle, je parle de cette demoiselle qui fait à présent de mon passé. J'avais cru avant elle ce qu'était l'amour, en fin de compte, je m'étais trompé largement sur le compte de l'amour. Peut être que j'avais été trop jeune et que j'avais fini comme beaucoup, que je croyais à ce sentiment qui ne faisait qu'empiré les choses. A présent, j'étais face à elle, vu qu'elle c'était déplacée face à moi. Son regard, ses yeux, auparavant, j'étais fou de son regard, il m'avait tant apporter mais aujourd'hui, je ne savais pas exactement ce que cela pouvoit me founir, me faire faire, me faire ressentir. « Je suis sincèrement désolée… » Devais-je la croire, était-elle sincère à cet instant ou devais-je m'attendre à un sourire nargueur. Etait-ce un mensonge vennant de sa part? En tout cas je savais une seule et unique chose. Ce n'était pas le moment de me sortir sa car je ne savais pas si la vériter triomphais à cette seconde ou elle avait parler. Si nous avions été des élèves, cela ne m'aurais pas dérangé de la mettre sur la table pour faire parcourrir mes lèvres à son cou car nous tions seuls dans la bibliothèque. Malheureusement les choses avait bien changés, j'étais professeur à présent et je ne voulais pas perdre mon poste. Première raison : Parceque je tenais à mon poste et que pour rien au monde je ne voulais perdre ce qui me tenais en vie et deuxième raison parceque cela me permettais de voir chaque jours au moins deux secondes la belle Malefoy, mon passé, mon ex, qui ne sera jamais mon futur. Je sentais son souffle chaud, tout près de moi. Son parfum me rendais fou, je devais à tout pris me retenir pour ne pas mal finir. C'est alors qu'une pensée de notre passé fis surface. Nous étions présent en ville, main dans la main, nos doigts entremêlés, nos odeurs mélangées et seul nos sourires apparraissaient comme notre amour aux yeux de tous. C'est alors que je l'avais plaqué dans un coin sombre de la ville contre un mur, rien que pour l'embrasser dans le cou. Mais je refis surface quand je ferma les yeux un instant. « Tu es sincère ou je dois faire attention à ta manipulation. Au château tu es connue pour cela. » Sa main alors toucha ma joue. Je ne savais pas si je devais l'enlever, même si sa peau chaude contre la mienne tiède m'étais comme fatal. Elle vennait de faire le geste impardonnable qui lui aurait valut une heure de retenue. J'avais envie de posé ma main sur sa taille, pour qu'elle-ci soit un peu plus proche de moi mais tout cela était interdit et je ne savais pas quand le propriétaire de la bibliothèque allait revenir. « Tu as changée.. Tu es encore plus belle qu'avant... » Je ne savais pas ce qui me prennais mais c'était un jeu risqué car je jouais avec mes sentiments. J'étais le maitre de mon destin, le capitaine de mon avenir, mais mon avenir je l'avais vu avec elle auparavant. Maintenant, je vivais ce que j'avais tant attendu, ayant le regard totalement vide, comme-ci je ne ressentais plus rien. Le coeur froid comme-ci j'allais mourrir. En faite, elle était tout ce qui me rendais heureux.
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