L'été était terminer et j'allais donc adosser un nouveau rôle à Poudlard en tant qu'assistant du professeur Sweetlove, le frère à Aurora avec qui je vivais une histoire depuis de long mois. J'avais passé l'été à voir Aurora, seulement un beau jour des vacances, j'avais lu la gazette et vu quelque chose qui me fis avaler de travers mon cafer. Depuis un certain temps nous voyons notre chère Aurora Sweetlove au bras d'un certain Celian Khaim, un garçon très propre sur lui... Mais qui est donc cette personne avec qui elle flirt ? Mais oui il s'agit de Grayson Whistle-Pond ! Il paraîtrait que la belle préfère les serpents aux blaireaux... Ceci me laissa de marbre pendant plusieurs jours car j'avais tout de même donner ma confiance à ses deux personnes. Ma petite amie et mon meilleur ami qui avait une relation? J'en revenais pas, les deux personnes auquel j'avais le plus fais confiance. J'avais donc pris la décision de ne plus voir Aurora sans explication et de ne plus envoyer de hiboux aux deux en même temps. Si j'avais bien une chose à faire à ce moment, c'était de rester seul dans la pénombre et de laisser passer les heures s'écouler. Je finissa donc les vacances seul en pendant à tout et à rien en même temps. Ce matin, c'était le jour de la rentrée, je m'étais levé tranquillement pour ensuite aller prendre mon déjeuner, je savais que dans mon assiette j'auras retrouver des toast avec du beurre dessus et j'aperçu alors d'avoir raison car dans mon assiette se trouvais bien deux toasts avec du beurre. En remontant dans ma chambre, j'aperçu que j'avais laissé pousser la barbe, peu être à cause du manque, de la colère et sous l'effet de choc. Je partis donc dans la salle de bain raser tout ça. Cela faisait mieux, je ne voulais pas passer pour un vieux à Poudlard. Je sortis donc ma valise de la chambre qui était ranger jusqu'au vacance de décembre. J'étais enfin prêt à parti en direction de la gare afin de prendre le Poudlard Express qui me guidera jusqu'à Poudlard pour une année encore plus intéressante et intriguante les unes que les autres. Je resta seul dans mon compartiment afin d'avoir la paix et de pouvoir dormir car cela faisait plusieurs nuit que je n'avais pas eu sommeil alors j'en profita. Arriver à Poudlard, je monta mes affaires dans le dortoir afin de voir lequel était mon lit. J'en fila mon pantalon noir, ma chemise blanche et mon pull noir afin d'aller à la bibliothèque mon endroit préféré. Je savais qu'ici, le jour de la rentrée personne ne mis retrouverais même si mes pensées était pour Aurora malgré tout. Je descendis les escaliers et en monta pour aller à la bibliothèque. Fort heureusement, il n'y avait personne et je decida de prendre un livre et d'aller à une table au fond de la salle. Je m'endormi sans le vouloir et sans entendre de bruit. Il aurait pu pleuvoir, il aurait pu avoir une tempête de vent ou bien encore de neige, je n'aurais rien entendu car j'étais dans un sommeil tellement profond que je ne me réveillera pas de si tôt.

D'avoir vu cette rumeur m'avais totalement fais tomber de haut. Je pense que si quelqu'un m'avais aperçu lire la gazette du sorcier au moment ou j'avais lu la certaine rumeur, la personne en question aurait cru que j'avais bu un peu de trop. J'étais rester seul pendant la fin des vacances, ceci m'avais comme électriser ou encore foudroyer en pleins coeur. Mon meilleur ami, lui, qui serait bien proche d'Aurora, je ne pensais pas qu'un jour je puisse dire ça de lui mais CONNARD ! En ce moment même, je vivais un calvaire et cela avait été bien pire à la maison, même mes parents m'avaient demander ce qu'il y avait. Evidement comme tout enfant et surtout comme tout fils, j'avais répondu qu'il n'y avait rien, que j'avais juste le caffard, le seum comme dirait les moldus et pourtant je venais tout juste de me prendre un coup de poignard dans le dos sans m'en apercevoir. Je n'étais pas du genre à me rabaisser comme tout homme, j'avais quand même eu vingt quatre ans cet été, ce n'était pas rien mais y'avait une part de moi qui criait la souffrance et la pénombre qui me laissais guère tranquil. J'avais laisser pousser mes cheveux, d'ailleurs en ce moment même ils étaient un peu boucler, je frissais des cheveux mes amis ! Comme mon père ! C'était plutôt pas mal comme dirait ma mère. En ce moment-même, j'étais dans un sommeil profond mais cela ne dura pas longtemps quand j'entendis la voix de ma bien aimée. « Celian ? J'ai eu une de ces peurs ! J'ai cru qu'il t'était arrivé quelque chose... » J'allais passer une sale quart d'heure et je le savais, je n'avais répondu à aucun de ses hiboux alors que pendant les bons débuts des vacances, nous n'avions pas arrêter de nous envoyez des hiboux quand ont ne se voyaient pas. J'avais alors relever la tête vers elle, me frottant les yeux afin de me réveiller quand même. Même si je n'eu pas le temps de placer un mot qu'elle avait déjà croiser les bras et qu'elle reprit la parole de suite. « J'espère que tu as une bonne explication à me donner Celian Roméo Khaim... Ne plus me donner de nouvelles du jour au lendemain... Qu'est-ce qu'il t'a pris ? » Ah les femmes, toujours inquiètent pour nous alors qu'elles aimeraient être en colère contre nous les bons hommes qui n'ont rien faient. En la regardant dans les yeux, je voyais comme des images d'elle et Grayson ensembles, je secoua la tête et lui répondit séchement. « Je vais t'expliquer ça de suite. » Je me leva afin d'aller voir dans le rayon ou était spécialement les gazettes de sorcier et lui tendis celle de la rumeur. Je l'ouvris afin de lui montrer la page pour qu'elle lise ce qu'il y avait décrit. J'avais le regard complétement perdu, je ne savais plus quoi faire et heureusement j'avais assez de force pour tenir sur mes jambes. Je ne savais pas si son frère, Tim, l'avait lu lui aussi, mais j'espérais qu'il ne soit pas au courrant si cette rumeur était vrai car malgrer tout, je tenais à Aurora comme à la prunelle de mes yeux. Je m'adossa contre un des murs de la bibliothèque, j'avais le coeur qui battait vite, sans doute à cause de la colère qui me rongeais de l'intérieur, ceci m'empêcher de respirer. Ceci était la preuve qu'Aurora n'était pas une histoire banal car même pendant la séparation que j'avais eu avec Lana, je n'avais pas réagis comme cela. Aurora, était simplement, la femme avec qui j'avais beaucoup d'intention, jusqu'au jour ou j'ai lu par malheur la gazette du sorcier. « Je crois que sais à toi de m'expliquer ceci.. » Mon regard n'était plus le même sur elle, j'avais la haine contre Grayson et la colère pour Aurora. Je pense que si cela continuait, je finirais mal.

Je m'étais sentis trahis et pourtant j'avais cru à des ragots. J'avais eu confiance en Aurora et la seule chose que j'avais fais de mal avec elle c'était d'avoir cru ce qu'était mit dans la gazette des sorciers. Je me sentais coupable au moment ou ses lèvres bougèrent et pour que sa voix dégage un son. La voir dans cet état d'un coup c'était la pire chose qui puisse exister. « Que moi je t'explique ça . Mais l'explication est très simple Celian, ce ne sont que des conneries et rien d'autre, je ne pensais pas que tu pourrais croire ce genre de choses, je suis profondément déçue. » Deçue, elle était deçue de moi à nouveau, déjà la première fois parceque je n'avais pas été présent quand elle avait quelque chose avec le professeur de botanique, d'ailleurs celui-là je lui rendrais une visite plus tard entre deux cours car ce qu'il avait fait était gamin et insouciant, deuxièmement, elle m'en avait voulu parceque le jour ou l'attenta avait eu lieu je n'avais pas été-là encore une fois. Mais la seule chose dont elle ne savait pas c'est que j'avais été coincer dans les dortoirs des Poufsouffles quand tout cela avait eu lieu, le tableau de la salle commune n'avait pas voulu nous laisser passer des la première explosion. Elle bougeait dans tout les sens, elle était en colère contre moi, elle m'en voulait, je savais comment elle était, je la connaissais aujourd'hui, je savais quel genre de femme elle était, elle était pas n'importe qu'elle femme également, elle était la mienne. « La rumeur est peut être fausse mais qui me prouve le contraire? Qui me montre qu'il n'y a aucune attirance entre vous ! Grayson est un don juan, un beau parleur, il ment comme il respire ! Un Serpentard quoi !. » J'avais la haine contre mon meilleur ami et cela se voyait comme mon nez au milieu de mon visage. Si nous continuons dans ce sens-là, je savais que cette histoire finirait mal et je n'avais pas envie encore de la decevoir. Je tenais tellement à elle que le regard des autres hommes sur elle me rendait fou. « Et c'est pour ça que tu as arrêté de me parler ? Parce qu'une personne anonyme a contacté le journal et raconté des énormités sur mon compte . Je pensais que tu me faisais confiance pourtant ! Tu sais tout ce que j'ai vécu avant les vacances, tu sais que j'avais besoin de toi puisque tu n'as pas été là lorsque je me suis faite attaquer dans la forêt et lorsque nous nous sommes retrouvés piégés par les flammes ! J'ai vu ma vie défiler devant mes yeux à deux reprises et toi tu n'étais pas là !. » Et voilà, c'était partit pour les repproches, je savais qu'au fond d'elle, elle n'allait pas encore bien d'ailleurs pendant les vacances j'avais été au petit soin avec elle. Je savais que son esprit était encore tétaniser par ce qui lui était arriver. Ce que j'aimais chez elle, c'est qu'elle ne lâchait rien même si parfois c'était usant de se prendre la tête. En faite, c'était notre première dispute depuis des mois, bien sur, il y avait les moments de repproche vis à vis de mon absence mais c'est tout. Sauf qu'aujourd'hui, j'avais fais le con à la fin des vacances et à ce moment je m'en voulais comme un gamin qui aurait pu se mettre à genoux pour demander pardon. « Ont en à déjà parler pendant les vacances ! La seule chose que tu ignore c'est que pendant que tu était emprisonner dans les flammes, j'étais coincer dans la salle commune car le tableu ne voulait laisser aucun élève passer ! Des la première explosion nous étions bloquer ! Et je pense qu'aucun tableau ne voulait laisser un des élèves mourrir ! D'accord j'ai pas été-là mais ce n'ai pas pour autant que mes pensées non pas été pour toi, car elles ont toutes ét é pour toi. » C'était notre première dispute et pourtant je n'aimais pas cette sensation, ce n'était pas une sensation de bien être, c'était une sensation bizard qui me brisais le coeur. Pourtant elle était la seule en qui j'aurais tout donner. Ce n'était pas en elle que je n'avais pas confiance, c'était en Grayson, il se croyait tout permis et c'était bien la seule chose auquel j'avais le plus peur. Grayson n'aurait fait qu'une boucher d'Aurora et c'était mon devoir de la protéger, de la protéger de tous. « Certes tu n'as pas été là quand j'avais besoin de toi mais t'aurais pu au moins te rattraper seulement tu n'en as même pas été capable... Ce n'était pas compliqué de venir m'en parler plus tôt pourtant, au lieu de ça tu m'as laissé m'imaginer tout un tas de choses épouvantables sur les raisons de ce soudain silence.» Elle avait raison, elle avait raison j'aurais du aller lui en parler face à face au lieu de fuir comme mauvais homme. Quand j'y repensais, je m'en voulais, j'avais fais et j'étais entrain de faire du mal à Aurora, la seule personne que je portais tellement d'intention, la seule personne qui au premier regard et au premier instant avait détenu mon coeur et mes pensées afin de faire de moi un homme bon. Après qu'elle ai parler, quelque chose, de terrible pour moi, arriva. Je vis sur ses jours, des perles de larmes, venant tout droit de ses yeux. Elle pleurait. Mon coeur se brisa sous cette vue, totalement atroce. Je me rapprocha d'elle afin de poser ma main délicatement sur sa taille afin de l'enmener vers moi doucement. Je m'en voulais, ma réaction vis à vis d'elle avait été totalement gamin. Elle avait raison, j'aurais du me rattraper et je ne l'avais pas fait. C'était peut être le moment? Je me posa aucune question et sortit ma baguette. « Orchideous . » Un bouquet de rose sortit alors de ma baguette. J'avais relacher ma main qui tenait sa taille pour prendre le bouquet et le lui tendre. J'avais réagis comme un gamin, j'avais cru à des conneries aussi grosse qu'un crapeau. Je la regarda dans les yeux en rangeant ma baguette. C'était le premier bouquet de fleur que je lui offrais. « Pour me faire pardonner d'avoir mal réagis.. Et surtout.. Parceque la femme que j'aime me manque.. » J'avais peur qu'elle prenne ceci mal. Mais j'attendais de voir sa réaction.

Durant toute la fin des vacances, j'avais sombrer avec moi-même, ne laissant que le bruit de ma respiration dans ma chambre. Etant donner que mes deux parents étaient partit en voyage en Australie, aucun des deux n'avaient pu voir quoi que ce soit. J'avas laisser la pénombre s'incruster dans ma chambre, sans avoir laisser une seule fois le peu de lumière qui provenait de l'extérieur. La gazette du sorcier m'avait totalement rendu aveugle, même mon hiboux n'avait plus voulut de moi pendant un certain moment, peut être parce qu’il n'avait pas eu l'habitude de me voir avec de la barbe et je pense que c'était pour ça. Comme beaucoup de d'homme, j'avais eu envie de faire plus homme, plus mature et la barbe voir la moustache était parfois suffisant surtout que mes cheveux avaient frisés contre toute attente. Mon père était un frisé alors comme dit le dicton, tel père tel fils. J'avais laisser derrière moi, la personne qui comptait le plus à mes yeux et je m'en serais voulu qui lui arrive quelque chose encore. Je n'avais pas été-là pendant l'attenta, du moins pas présent à ses côtés, mais grâce au professeur de botanique et à des élèves elle avait survécue et heureusement. Je ne sais pas qu'elle réaction j'aurais eu si j'avais appris que son corps avait été retrouver brûler dans les flammes de l'enfer. J'aurais sans doute arrêter Poudlard, mes études, j'aurais sombré encore plus que je ne l'avais été cet été, je me serais sans doute enfuis du pays pour aller en Australie ou en France, vivre une vie moldu ou alors, j'aurais fais comme tout homme, j'aurais succomber à l'alcool, à la bière au beurre, au wisky pur feu, jusqu'à ne plus en avaler une seule goutte. Ceci était l'amour et pour comprendre, il fallait une personne qui donne un sens à sa vie, une personne auquel vous vous sentez bien en sa présence, une personne, à qui vous dîtes tout ou pratiquement. Je ne pouvais pas me permettre de faire à nouveau des bêtises avec Aurora, je l'avais laisser seule mais à présent, je voyais la vériter en face. Aurora était la personne la plus sérieuse qui puisse exister au château, même la plus sérieuse que j'ai vu dans ma vie. Je ne portais plus l'uniforme de Poudlard, ou du moins, les couleurs de ma maison, cela me faisais tellement bizard de me dire que je ne dormirais plus dans les dortoirs de mes camarades de chambre. J'avais passer treize années et j'entamais ma quatorzième. Beaucoup serait partit autre part, mais moi je me sentais bien au château, j'avais l'impression que c'était ma deuxième maison et puis à présent, depuis de long moi j'avais Aurora dans ma vie et je ne pouvais pas la laisser une année loin de moi, c'était impossible, même l'idée était impossible. « Je ne peux pas te prouver le contraire Celian, comment le pourrais-je ? Grayson je le déteste, je ne comprends d'ailleurs pas pourquoi tu restes autant avec lui alors comment est-ce que je pourrais être attirée par lui ? Maintenant tu es censé me faire confiance et pourtant tu doutes de ma parole, je ne comprends pas comment tu peux me croire capable d'une chose pareille ! » Evidement qu'elle avait raison, elle ne pouvait rien me prouver parce qu’il n'y avait rien à prouver. C'était une certitude que je n'avais pas obtenu pendant les vacances. J'aurais certainement du en parler, lui en parler à elle, mais ce n'était pas en elle que je n'avais pas confiance, mais surtout en mon meilleur ami. Il était bien connu pour croire qu'il était un tombe de ses dames, il ce croyait pratiquement parfait voir vraiment parfait et il était un peu idiot parfois. C'était surtout sur ses regards que je n'aimais pas, la façon dont il regarde les femmes à Poudlard, comme des morceaux de viandes. Il devait certainement avoir perdu la tête des son entrée à Poudlard et pourtant j'étais resté son ami, son meilleur ami. «Tu n’as rien à prouver parce qu’il n’y a rien à prouver. J’ai été égoïste cet été de croire ceci. Mais ce n’ai pas en toi que je doute c’est en lui! Il sera capable à tout pour atteindre un quelqu’onc objectif. Il est malin. Il est mon meilleur ami tout de même, il à beau faire son beau chien devant ses amis, quand il est avec moi, il est totalement différent. Malheureusement, je suis aveugle, il est comme le mal et moi le bien. » Je venais de faire pleurer la femme que j'aimais, la seule et unique femme pour qui je donnerais tout. Je n'aimais pas cette vision des choses, mon père m'avait toujours apprit que faire pleurer une femme était mal. Alors étais-je le mal en personne? Je m'étais approcher d'elle, jusqu'à en être coller pour pouvoir poser ma main sur sa taille et de l'autre lui offrir un bouquet de rose. C'était le tout premier bouquet que je lui offrais, ici, à Poudlard. Même pendant les vacances, je n'avais jamais osé lui en offrir un et pourtant, malgré mes conneries, nous avions passés beaucoup de temps ensembles et de très bons moments. Quand elle essuya ses larmes, j'étais rassurer, cela m'avais fais pas un bien fou de la voir dans cet état. Après avoir vu mon bouquet elle le sentit jusqu'à le poser sur la table à côter de nous pour pouvoir venir contre moi. Ah la la, les femmes, elles obtiennent tout ce qu’elles veulent pour un sourire ou une larme. Mais si j'avais choisis Aurora, c'était parce qu’elle était différente de toutes les autres et c'était la première fois que je la voyais pleurer. Si Tim savait ça, je n'aurais plus de tête sur place. Elle murmura quelque chose à mon oreille, ce contact me fis frissonner. « Ça me fait du bien de te retrouver... Je vais tenter de régler cette histoire au plus vite mais sache que tu peux me faire confiance, je t'aime toi, personne d'autre et rien ni personne ne pourra changer cela. » Ses lèvres atteigna les miennes afin de les embrasser. Mon dieu.. Que c'était bon ! C'est lèvres était douces et à la fois fruitées. Ce contact me fis sourire contre les siennes, un sourire de bonheur. Il y avait une certitude dans tout ça que je venais de réaliser à l'instant même. Je ne pouvais plus vivre sans elle. Mes deux mains ce posa alors sur sa taille afin de dire quelque chose, quelque chose que je n'avais jamais dis auparavant, même si je le pensais. «Je t'aime.. » C'était la première fois que je le lui disais, la première fois en la regardant dans les yeux. Je ne savais pas exactement comment elle le prendrait et c'était tout nouveau pour moi. Mais ce que je venais de lui dire, était sortit tout droit venant de mon cœur. D'ailleurs celui-ci battait vraiment vite.

« Ce n'est pas quelqu'un de fréquentable, je n'ai cessé de te le dire pendant un moment, qui sait si ce n'est pas lui qui a lancé cette rumeur juste pour faire parler de lui ? Cela ne m'étonnerait même pas finalement... Mais après c'est ton meilleur ami et je le respecte mais méfie-toi quand même de lui et arrête de le laisser te traiter comme ça... Tu mérites mieux quand même... » Je savais qu'elle avait raison et surtout qu'elle m'avait prévenu auparavant mais têtu comme je suis, je n'avais pas raisonner de la bonne façon. Je savais Grayson manipulateur, imprévisible mais je le savais surtout capable de tout quand il avait un quelquonc objectif. Il était rusé par merlin ! Quand il avait un plan de prévu, ses objectifs était toujours atteint et cela en faisait peur à plus d'un. Quand j'étais à l'extérieur dans le parc seul ou avec ma serdaigle et que lui était avec ses gigolo de première classe, il était toujours froid jusqu'à venir embêter l'un de nous mais quand il n'était pas avec ses camarades il était totalement différent et c'était comme ça que j'avais pris le temps d'apprécier Grayson et dans faire mon meilleur ami. Mais quelque chose m'avais comme titillé l'œil, depuis l'attenta, je ne savais plus à qui faire confiance à part Aurora. Je redoutais le pire depuis celui-ci bien que je n'eu aucune peur ou faillais mourir car j'avais été enfermer avec mes camarades de maison dans notre salle commune pendant ma bien aimée était entourer par les flammes de l'enfer. Elle aurait pu succomber dans celle-ci et rien que de pensé à cela me donnais des mal de ventres, des contractions à l'abdominal. J'avais toujours voulu prendre soin d'elle, qu'il ne lui arrive rien de grave et surtout qu'elle ne reste pas avec des séquelles car en ce moment, je le savais, elle avait toujours des images de ce qui c'était passer. J'avais eu peur pour elle et j'avais encore peur qui lui arrive quelque chose, étant protecteur, je m'en voulais, c'était à moi de prendre soin d'elle jusqu'à ce qu'elle s'apaise et s'endorme tranquillement les nuits. Aurora venait de pleurer, de tout lâcher et je n'avais pas hésiter une seconde à la prendre contre tout en lui offrant un bouquet de rose, le tout premier et surement pas le dernier. Ce que j'aimais par dessus tout avec Aurora, c'était notre complicités, celle qu'ont partageaient, c'était de voir son sourire sincère et si jolie à voir, c'était d'apprécier ses lèvres au maximum et pouvoir tout laisser les autres choses de coter, c'était d'être auprès d'elle et de pouvoir respirer son parfum qui me faisais tourner la tête. Pendant de long mois, nous avions du nous cacher l'année précédente afin que son frère ne nous aperçoivent pas, finalement tout c'était bien passer pendant la rencontre officielle même si le professeur Sweetlove m'avait prévenu que si je faisais du mal à ma serdaigle, ça ira mal pour moi. Mais je savais dans le fond, quand étant été l'un de ses meilleurs élèves et à présent associer qu'il verrait dans le fond que je n'étais pas bien méchant et que je prenais soin de sa sœur. « Je devrais certainement t'écouter plus à l'avenir. » J'avais dis cela en souriant, écouter Aurora m'avais toujours été rendu serviable. Contre toute attente de notre part, je venais de sortir le premier je t'aime, depuis notre histoire jamais je n'avais osé le lui dire. Pourquoi ? Aucune idée, mais aujourd'hui je le lui avais dis et je ne regrettais pas. Ses lèvres arriva doucement sur les miennes à nouveau, la sensation était tellement passionnel à chaque fois, ses lèvres m'avait manquer, enfin elle m'avait manquer et beaucoup plus qu'elle ne pouvait croire. « Moi aussi je t'aime... Et personne ne pourra changer cela, quelles que soient les rumeurs de personnes mal intentionnées... Tu restes celui que j'aime, l'amour de ma vie, j'en reste persuadée... » Son visage était à quelques centimètres du mien, je ressentais sa respiration contre mon visage et ses yeux était plonger dans les miens. La douceur de ses yeux faisait tellement du bien. Nous vivions dans un monde de fou et un peu de douceur provenant de la personne qu'on aime ne faisait que du bien et c'était rassurant à la fois. Ses paroles étaient sincère, je connaissais Aurora, elle ne dirait pas ça comme ça. Notre dispute nous avaient peut être rapproché et c'était une preuve que nous tenions l'un à l'autre encore plus que l'ont le croyaient. Mes deux mains étaient posées sur sa taille afin qu'elle reste près de moi. Je voulais tant rattraper toute mes erreurs que je voulais à tout pris me faire pardonner par ma belle. Les yeux dans les yeux, c'était des moments comme celui-ci que nous avions passé l'été ensemble, enfin le début de l'été jusqu'à ce que je cesse de venir et de lui envoyer des hiboux. Ma réaction avait été gamin, j'avais réagis comme un garçon de dix sept ans alors que j'en avais vingt quatre. Une de mes mains monta directement à sa joue, la voir pleurée m'avais totalement déstabiliser. «Je dois t'avouer que tu ma manquer et que j'espérais te revoir dans les couloirs au plus vite même si je n'étais pas spécialement dans mon état. Alors raconte moi, comment ce passe le début de ton année scolaire? Ca me fais vraiment bizard de ne plus avoir ma cravate jaune et noir. » Je n'aimais pas être loin d'elle pendant les heures de cours, ceci avait toujours été mon seul point négatif mais les retrouvailles à chaque fois étaient toujours les plus belles à chaque fois et puis depuis que son frère s'avait pour nous, nous n'avions plus à nous cacher et ceci avait été la bonne nouvelle de l'année précédente.