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'set me free ! why don't you babe ?'

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MessageSujet: 'set me free ! why don't you babe ?'   'set me free ! why don't you babe ?' EmptyLun 4 Juil - 17:49


RAPHAËL&BONNIE
let me get over you
the way you've gotten over me


    Voilà dix ans que Bonnie Pevensie poursuivait ses études de magie à Poudlard. Dix ans d'exploration du château pour en connaitre les moindres recoins. Mais, de toute évidence, Poudlard recélerait toujours des secrets, car personne jamais ne pourrait découvrir toute les facettes de l'école. Beaucoup trop complexe. Mais ce n'était pas faute d'avoir essayer. Au fil des siècles, les sorciers s'étaient succéder, les plus grands mages de leur temps avait sonder le château en profondeur. Et pourtant, ce n'est que récemment que de nouvelle salle furent découvertes. Dans une optique d'agrandissement de l'aile universitaire du château, le ministère avait creusé dans les entrailles de Poudlard. Et une des découverte les plus notables était celle du labyrinthe de Celeborne. Depuis plusieurs années déjà, Bonnie se documentait sur cet énigmatique mage dont la véracité de l'existence n'avait était prouvé il n'y à qu'un siècle. Pour elle, érudite reconnu, c'était une incroyable opportunité de pouvoir trouver cet endroit. Les consignes avaient été claires, les élèves avaient le droit d'y accéder, mais des personnes extérieurs devaient être au courant et il ne fallait pas y aller seul. Malgré toute les précautions prises par la direction de l'école, il était probable que le labyrinthe soit un endroit plus ou moins dangereux qui cachaient des secrets qu'il valait surement mieux ne pas voir découverts. Sans être en perpétuelle rébellion contre le système, Bonnie aimait être libre. Alors elle avait vaguement dit à Beth qu'elle irait surement explorer l'endroit dans le courant de la semaine. En bonne copine toujours inquiète, celle ci s'était vite rendu compte que Bonnie n'était pas là et en avait immédiatement conclu qu'elle se trouvait dans le sous sol. Tout juste Auguste. Un peu paniqué, Beth Miller, la gentille Serdaigle, s'était demandé quel serait la réaction de Miss Pevensie si elle parlait de tout ceci à Raphaël. Surement rien de bien agréable, mais elle se disait vaguement que c'était un risque à courir.

    Mais pour l'instant, Bonnie était bien loin des préoccupations de son amie. Depuis plus de deux heures, elle avait quitté la salle commune des Serdaigle depuis deux heures dans le but d'arpenter le labyrinthe, principalement pour voir si elle pouvait s'en sortir seule ou non. C'était peut-être un peu téméraire, ce qui n'était pas le trait de caractère premier de la demoiselle, mais elle n'avait pas vraiment envie d'avoir quelqu'un sur son dos. Elle parcourait donc précautionneusement le dédale de pierre, baguette en main, prête à se défendre contre n'importe quel ennemi. Bonnie était une jeune femme indépendante. Dans quelque semaine, elle aurait vingt ans, et jouait déjà les femmes libérée. Elle préférait ne dépendre de personne, ne pas avoir à compter sur quelqu'un qui la lacherait. Elle en avait déjà fait la douloureuse expérience. Les gens finissent toujorus par agir ainsi, et pas laisser tomber ceux qui les aime le plus. Le sourire de Raphaël s'imposa le temps d'un battement de coeur à l'esprit de la demoiselle. Elle le chassa bien vite, préférant se concentrer sur la ^tache ardue qu'elle avait choisit d'accomplir en cette soirée de Septembre. Elle était heureuse de retrouver le château, mais les chose semblait aller de mal en pis dans la prestigieuse école de magie. Les attentats d'avant les vacances d'été et la mort de plusieurs de ses camarades l'avaient profondément bouleversé. D'où son soudain besoin de solitude, elle qui était plutôt sociable. Elle revint brusquement à la réalité en entendant ce qui semblait vaguement être l'écho de pas, lointain. Elle resserra ses doigts autour de sa baguette en bois de pommier et dis un nouveau pas prudent, guettant le bruit des pas, sans trop savoir s'ils se rapprochaient ou s'éloignaient.

    608 mots


©DEVOTION ©FABLEFLOLK
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MessageSujet: Re: 'set me free ! why don't you babe ?'   'set me free ! why don't you babe ?' EmptyVen 8 Juil - 0:27

    Septembre était bien vite arrivé, trop peut-être. Les jours étaient passés à une vitesse fulgurante et le voilà déjà, ce cher Raphaël, debout, toisant d'un air mauvais la masse de chouette et hiboux divers ululant devant lui. Autant dire que certaines choses ne lui avaient pas manqué. Jamais, ô grand jamais il ne pourrait comprendre l’intérêt de certaines personne pour les animaux, et encore moins pour les ces oiseaux bien que souvent très utiles. Après avoir soigneusement choisi celui qui semblait être le plus digne de confiance il fini d'accrocher à sa patte un petit morceau de parchemin. Le message, le destinataire? Peu importe. S'empressant de quitter la tour qui servait de volière il descendit les marches quatre à quatre. Non pas qu'il était pressé -bien au contraire il cherchait surtout à tuer le temps aujourd'hui- mais il n'aimait pas cet endroit. Arpentant les couloirs il n'eut pas le temps de rejoindre la salle commune qu'une jeune femme lui tomba rapidement dessus. Beth Miller, vous connaissez? Vaguement en ce qui concerne Raphaël, mais elle, en tout cas, semblait avoir bien des choses à lui raconter. L’intérêt qu'il lui aurait porté aurait été quasi nul si la demoiselle n'avait pas bien vite mentionné Bonnie. Sa Bonnie. Elle parlait vite, les mots la plupart du temps décousus mais il avait fini par en saisir l’essentiel.

    L'occasion qui se présentait était pour le moins idéale. Ainsi donc la demoiselle avait voulu jouer les téméraires. Tant mieux, pour lui, après tout. Mais il n'était pas complètement rassuré pour autant; les surprises que réservait ce labyrinthe de Celeborne n'étaient pas toutes clairement identifiées. Il lui fallut très peu de temps pour abandonner Beth et se laisser conduire par son instinct dans les sous sols. Parfait, vraiment, il n'aurait pas pu rêvé mieux pour enfin pouvoir lui parler, un petit tête à tête pour mettre les choses au clair; mademoiselle ayant décidé de jouer les indifférentes. Raphaël était un coureur de jupons mais n'était pas le genre à courir derrière les filles, à ramper lamentablement pour leur pardon. Mais Bonnie c'est Bonnie, il n'avait pas envie de la perdre pour une connerie. Au bout d'un certain temps de marche à laisser son esprit vagabonder plus ou moins loin il fini par repérer des bruits de pas non loin de lui. Il s'approcha, dans son dos, distinguant au fur et a mesure les traits de la jeune femme, la baguette bien en main, brandie. Raphaël ne pu s'empêcher d'esquisser un sourire en demi coin.Vraiment, Bonnie serais-tu prête à affronter n'importe quel ennemi avec cette baguette? Qu'en est-il de tes démons intérieurs? De cet amant qui n'a pas su répondre a tes avances, a te piétiner le cœur par sa maladresse avec les sentiments? « Baisses ta baguette Bonnie, tu vas finir par blesser quelqu'un » Il espérait juste qu'il ne la prendrait pas trop par 'surprise" ou bien que sa peine s'était un peu apaisée, auquel cas il pourrait s'en sortir s'en recevoir au visage un quelconque sort. Qui sait ce qu'une femme au cœur brisé ou effrayée peut faire comme ravage. Un séjour à infirmerie n'était pas prévu dans son programme aujourd'hui, too bad.


~ 560. Old School.
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MessageSujet: Re: 'set me free ! why don't you babe ?'   'set me free ! why don't you babe ?' EmptyVen 8 Juil - 11:18


    Bonnie était une rêveuse. Souvent perdue dans ses pensées, elle souriait d'une chose qu'elle était la seule à connaitre, sous le regard attendri de ce qui la connaissait bien, et qui savait qu'elle voyageait actuellement vers ce qu'ils ne pouvaient pas comprendre. Et en tant que rêveuse mélancolique, Bonnie songeait à de grands voyages à l'autre bout du monde, l'aventure pour la distraire de son quotidien, les aurore boréales et ce genre de chose. Voilà ce qui faisait rêver la Serdaigle. Qu'était-elle vraiment venu chercher dans ce labyrinthe encore pleins de mystère ? Sans doute quelques aventures exotiques pour se tirer de sa léthargie. Depuis quelques temps, elle qui ne cherchait que l'animation et la compagnie, sentait le besoin de s'isoler un peu pour réfléchir. Réfléchir principalement à ce qu'il s'était passé ces derniers mois au château, dans le monde magique, mais aussi dans sa vie. Elle se perdait dans la complexité de ses sentiments, et elle avait besoin de solitude pour faire le point sur tout ça. Et lors de ces rares moments où elle n'était pas entouré d'amis, ses pensées s'envolait presque mécaniquement vers Raphaël. Dans l'obscurité du labyrinthe, simplement éclairé par le faisceaux lumineux de sa baguette, la jeune femme pensa une fois de plus à son ancien amant. Presque trois mois plus tard, sa souffrance n'avait pas diminué. Raphaël et Bonnie avait joué à un jeux incroyablement dangereux, tous les deux avait voulu voler trop près du soleil, et c'était la jeune femme qui s'était brulé les ailes. Mais elle ne pouvait rien reprocher au Serpentard. Elle avait accepté les règles du jeu, dès le début, alors elle serait bien hypocrite de venir le blâmer aujourd'hui. Seulement elle ne voulait plus continuer. Entretenir cette relation avec Raphaël la faisait souffrir au delà du raisonnable. Savoir qu'il entretenait pour elle de tendre sentiment était un sentiment plutôt agréable. Mais de savoir qu'il ne l'aimait pas alors qu'elle ne vivait que pour lui était une chose terriblement douloureuse. Une fois de plus, la belle tenta de chasser Raphaël de ses pensées, sans vraiment y parvenir.

    Soudain, dans son champs de vision, apparut une silhouette qu'elle reconnaitrai entre mille. Quand il s'avança dans la pâle lumière émise par la baguette de Miss Pevensie, celle-ci recula d'un pas. « Baisses ta baguette Bonnie, tu vas finir par blesser quelqu'un » Les prunelles couleur 'vert-de-gris' de Bonnie se plantèrent dans celle du beau jeune homme qui se trouvait à quelque pas d'elle. La demoiselle se fit violence pour ne pas reculer plus encore. Étouffé par l'orgueil, elle ne voulait pas céder un pouce de territoire. « Tu as toujours eu peur de mon indéniable supériorité magique. » lui dit-elle en lui lançant un regard de défis. Pendant qu'il apprenait l'histoire de la magie, Bonnie se perfectionnait dans ses cours d'initiation à la magie noire. Ce n'était pas vraiment de la colère, dans le coeur de Bonnie, plutôt de la déception et de la souffrance. Croiser le regard du jeune homme était terriblement douloureux, même si elle avait elle même choisit de couper les ponts avec lui. « Qu'est-ce que tu fais ici Raphaël ? » demanda-t-elle d'un ton neutre sans baisser sa garde. La vrai question était plutôt 'que me veux-tu ?' mais l'orgueil de la demoiselle ne lui permettait pas de dire les choses ainsi. Elle lui en voulait, de l'avoir laissé tomber, d'être la personne qu'il était et qu'elle aimait, et d'être ici, en face d'elle, comme si de rien n'était. Malgré elle, même si elle savait qu'elle était injuste, elle lui en voulait car elle le rendait responsable d'une partie de sa tristesse -bien que le mot soit faible.

    610 mots
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MessageSujet: Re: 'set me free ! why don't you babe ?'   'set me free ! why don't you babe ?' EmptyLun 11 Juil - 18:52


    Le petit sourire affiché sur les lèvres de Raphaël ne pu s'étendre qu'un peu plus aux mots de la jeune serdaigle, mais oui, bien sûr, c'est indéniable, ça devait être cela. Il faut le dire la demoiselle était bien plus calée que lui en magie, mais cela bien sûr il ne l’admettra jamais, et puis quoi encore? Cependant la il ne craignait pas la jolie brune le moins du monde, lui aussi après tout avait une baguette et savait très bien s'en servir, mais là n'était pas la question n'est-ce pas? « Oui ça doit être cela » Tentant de garder au mieux son sérieux Raphaël glissa une main dans ses cheveux et essaya de se concentrer sur autre chose tout en continuant de la regarder dans les yeux. Il s'était demandé plusieurs fois s'il avait bien agit la dernière fois qu'ils avaient eut une réelle discutions. Voyez-vous il aurait sans doute pu dire les choses avec un peu plus de tact et d'adresse, c'est juste que ... pris de court... Les termes de leur accord étaient pourtant clairs, il ne s'y attendait donc pas le moins du monde. Tenant particulièrement à Bonnie il aurait préféré qu'elle ne dise rien, qu'elle se ressente rien de tel à son égard, ça aurait été tellement plus facile. Parce qu'il ne voulait pas d'une copine, c'est chiant une copine, ça te colle, ça demande sans cesse de l'attention, des cadeaux, ça fait une crise pour un rien, pour tout cela il avait déjà un chat, c'était bien assez. « C'est ta copine Beth qui est venu me prévenir. Elle devait avoir peur que tu te perdes ou qu'un monstre te tombe dessus au détour d'une allée. Ou p'têtre qu'elle est aussi fourbe qu'une serpentard et qu'elle voulait nous accorder un petit moment en tête en tête sans ton consentement histoire que tu ne fuis pas à l'autre bout du château.» Parce qu'il avait essayé de lui parler, à plusieurs reprises, mais Bonnie n'était pas vraiment conciliante, jeune demoiselle au cœur brisée incapable de pardonner son amant de l'avoir rejetée, c'est dur, c'est vrai, Raphaël essayait de la comprendre, il lui avait laissé du temps, il essayait de faire des efforts mais elle devrait en faire aussi. Bonnie était bien égoïste dans le fond, lui aussi il souffrait de l'avoir perdu, pas de la même façon certes, mais il y avait toujours été attaché et ce depuis le premier jour, elle avait un peu cassé ce lien qui les unissait à en demander plus qu'il ne pouvait offrir et il lui en voulait pour cela. Deux égoïstes orgueilleux, quel beau mélange.

    Son regard quitta celui de la jeune femme pour jaugé l'endroit, jamais au par avant il ne s'y était aventuré, pourquoi faire? L'endroit n'était pas des plus déplaisant, il avait vu pire. Pourtant il avait toujours été précisé de ne jamais s'y rendre seul par il était impossible d'affirmer avec certitude que cette partie du château était sans risque, même s'ils ne craignaient sans aucun doute aucun danger mortel. « Et toi? Labyrinthe de Celeborne, je ne te savais pas si téméraire » Bien que Bonnie était une Serdaigle elle n'était pourtant pas le genre à toujours rester dans ses livres, il le savait bien. Raphaël aimait bien l'imaginer l'âme aventureuse, elle était pleine de ressource il en était sûr et ne cesserait jamais de le surprendre.


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MessageSujet: Re: 'set me free ! why don't you babe ?'   'set me free ! why don't you babe ?' EmptyLun 18 Juil - 10:51


    C'était une chose terrible pour Bonnie que d'être ainsi, à quelques pas seulement de son ancien amant, et de ne rien faire d'autre que le fixer, le dos bien droit, les doigts serrés autour de sa baguette. Ils se comportaient tous les deux des gamins, mais se plaisaient à vouloir jouer les grands. Têtue comme pas deux, Bonnie en voulait terriblement au jeune homme, et leur relation qui était pourtant très simple, était aujourd'hui d'une effroyable complexité. « Beth parle beaucoup trop. Comme tu le vois, je suis une grand fille et je saurais me défendre contre les monstres. Et contres les tête-à-tête indésirables. » Le ton neutre de la demoiselle indiquait, pour qui la connaissait bien, qu'elle n'attendait aucune réplique. Bonnie avait grandit ainsi, son éducation avait fait d'elle une jeune femme directive, qui entendait qu'on suive ses ordres sans discuter. Le problème, avec Raphaël, c'est que depuis le début, il n'en faisait qu'à sa tête, et nager bien souvent à contre-courant. Il se le permettait car il savait que son amie lui pardonnait tout dès qu'il lui souriait. C'était -malheureusement- toujours valable aujourd'hui. « De plus, tu devrais savoir que 'fuir' n'est pas mon genre. » La distance de sécurité que les deux jeunes gens conservaient entre eux venait de leur ignorance quand à l'attitude qu'ils étaient censés adopter. La Serdaigle fuyait Raphaël comme la peste. Quel intérêt auraient-ils de se parler, ils n'avaient plus rien à se dire. Leur moment de complicité, les baisers que le vert et argent déposait dans le ou de Bonnie, bien sur, tout cela lui manquait cruellement. A tel point qu'elle aurait voulu se jeter dans ses bras et lui dire 'on recommence tout à zéro', mais c'était impossible. Le simple fait de croiser à nouveau le regard du beau jeune homme était une source de souffrance. « Et toi? Labyrinthe de Celeborne, je ne te savais pas si téméraire » La témérité n'était pas vraiment le trait de caractère qui caractérisait le mieux la demoiselle, plutôt d'un naturel réfléchi. Sa sœur, Lullaby, était la téméraire de la famille. Mais le labyrinthe était désormais un des rares endroit où on pouvait être dur d'avoir la paix en toute circonstance. Mais de toute évidence, les règles habituelle ne s'appliquent pas à la benjamine des Pevensie. La jolie brune ne prit pas la peine de répondre à la question du jeune homme et se contenta de le juger du regard.

    Elle avait passé des heures à le maudire silencieusement et avait écrit au moins trois cents fois dans son journal intime 'en plus il est moche', mais rien n'y faisait. Il était toujours aussi désespérément beau, mais ce n'était pas une chose que Bonnie pouvait se permettre de laisse voir. Depuis le début, elle était jalouse, et ne supportait pas toutes ces greluches qui tournait autour de son Raphaël. « Je suis sûre que cette scène touchante est incroyablement pathétique vu de l'extérieur... » Après tout ce qu'il c'était passé entre eux, ils se retrouvaient maintenant à discuter, à deux ou trois mètres de distance, comme deux cons standards. Bonnie inspira calmement, comme pour se donner le courage qui lui manquait alors. Elle finit par s'avancer vers le jeune homme. « Tu m'excuseras, mais j'ai une exploration à terminer. » C'était terrible. Absolument terrible. Sans qu'elle ne sache vraiment pourquoi, un frisson lui parcourut la colonne vertébrale et, durant une seconde, l'hésitation se peignit sur son visage pâle, et elle ne su plus trop si elle devait faire un pas de plus ou non. Elle fit finalement un pas supplémentaire, hésitant, en rasant presque les murs dans le but d'éviter tout contact physique direct avec Raphaël.

    612 mots
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