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Daddy's Money - LESTRANGE

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Ulysse Meriadec Lestrange
Ulysse Meriadec Lestrange


Futés, rusés, tous les qualificatifs sont bons. Nous sommes les héritiers de Salazar.

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MessageSujet: Daddy's Money - LESTRANGE   Daddy's Money - LESTRANGE EmptyLun 4 Juil - 14:53

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Ulysse avait passé un été chargé, mais plutôt joyeux. Tout ce qu'il entreprenait se réalisait avec une facilité déroutante. Il c'était fiancé à Bella, même s'il se fichait de cette idiote. Il se pavanait à son bras dans les rencontres de sang pur desquelles Ys avait désertée. Il s'inquiétait sérieusement pour elle. Il voulait qu'elle lui revienne, il pensait sans cesse à elle, ça le torturait. Si Bella n'était pas restée chaste depuis leurs fiancailles, Ulysse oui. Ce n'était pas les opportunités qui manquaient alors que le seigneur des ténèbres lui-même le chargea de l'organisation mangemort au sein de Poudlard. Les jolies sang purs ne le lachaient pas et il donnait comme excuse qu'il était un homme fiancé et aussi fidel à sa Wilkes qu'à Voldemort. Laquelle des Wilkes, il ne le précisait pas. Ulysse souffrait affreusement, en silence. Il ne parlait à personne de ses états d'âme, mais il se rongeait de l'intérieur. Une plaie à vif, même s'il jouait les forts. Chaque fois qu'il la regardait, qu'il la voyait sourire, quelque chose en lui se déchirait un peu plus. Heureusement, il ne l'avait pas vu de tout l'été. Ça lui fit un bien fou, même si sa présence lui manquait. Rien que sa présence, comme autrfois. Qu'elle soit couchée, endormie sur lui alors qu'il lisait un truc. Qu'il la regarde dormir, longtemps. Elle lui manquait vitalement, il avait souvent l'impresson que c'était la fin, qu'il allait lacher, qu'il allait exploser. Ulysse n'avait jamais autant souffert de toute son existence, c'était de la torture. Il ne s'imaginait pas survivre ainsi encore bien longtemps.

Encore une journée épuisant avait recroquevilée les épaules d'Ulysse. Il entrait dans la salle commune en sourdine, après le couvre-feu. La pièce était sombre, comme à son habitude. Le feu avait presque cesser de bruler dans la cheminée. Les dernières braises se mourraient avec lenteur. Il dessera sa cravate, déboutannant le haut de sa chemise et relevant ses manches pour laisser apparaitre le jolie marque. Il entendit soudainement un froissement d'étoffes. Baguette en main il se retourna, scrutant l'obscurité, il n'y avait personne. Il entendit un soupir et se tourna de nouveau pour s'approcher du sofa. Il y découvrit sa soeur, qui dormait profondément. Ulysse l'observait. Ses cheveux avaient encore poussés durant l'été, il ne l'avait que rarement vue et venait de remarquer ce changement. Le jeune homme fit le tour du sofa pour venir s'agenouiller près de la tête de sa soeur. Il n'avait jamais vraiment été doux avec elle. Il n'aviat jamais montré aucuns signe d'affection enver elle. Il n'aurait pas eu de soeur et la différence n'aurait pas été visible. Il était peut-être temps d'avoir un semblant de relation avec elle, ou du moins, la dirigée vers le droit chemin grace à la manipulation. Ulysse avala sa salive tout en approchant sa main de la tête de Jill. Le bout de ses doigts effleurèrent sa chevelure soyeuse pour commençer, puis ce fut au tour de sa paume de glisser dans les fils d'or qui composaient sa crinière. Caressant sa joue du bout des doigts, sa main quitta son menton alors qu'elle revenait à la réalité. Elle le regardait et ne semblait pas comprendre. Il lui fit un léger sourire avant de se perdre dans ses banalités.

« Tu dormais... »
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MessageSujet: Re: Daddy's Money - LESTRANGE   Daddy's Money - LESTRANGE EmptyLun 4 Juil - 15:26

Une ombre. Discrète, délicate. Le château m'était familier, et j'y étais comme une étrangère. Tout ceci n’était que la fade continuité d’un été sans soleil. Les évènements qui avaient clos notre année scolaire avaient définitivement achevés de consumer les liens entre sang pur et fils de moldus. Quelque chose avait été brisé et plus rien ne serais jamais comme avant. La guerre se préparait. Où était-elle déjà là ? Quoi qu’il en soit… Etrangement, cet été m’avait semblé calme. Père, tout comme Ulysse, avaient désertés la maison. J’avais demandé, à mi-voix, un jour. A ceci j’avais eu la réponse des grands jours : « Ils vont nous débarrasser de ces nuisances. » Je m’étais contenté de sourire. Ainsi la machine était lancée. De la même façon, ma génitrice avait semblé être plus… non, plus rien du tout. Moins distante. Moins étrangère. En l’absence de son fils prodigue, elle avait constatée que son aînée était bel et bien vivante. Trop silencieuse, trop distante. Mais vivante. Le changement était stupéfiant. J’avais eu droit à plus de quatre mots alignés sans haine. Et puis ça lui était passé. Globalement, mon été c’était résumé à essayer de comprendre ce qui jouait. Le changement des fiançailles d’Ulysse. De nouvelles discutions pour les miennes. Des histoires de pouvoirs, de sang. De domination. De traite des moldus. Du retour d’un grand mage noir. J’avais compris. Et puis je m’étais réfugiée dans le jardin de la propriété, écrivant à Madeline et Théodore. J’avais également échangé, mais très peu, avec Phineas. Quelques missives avec Allistair. Des sourires aux réunions de sang-pur, un visage de marbre à afficher, des politesses à faire. C’était mon rôle. Et je m’en accommodais très bien.

Le retour à Poudlard c’était fait sans mal. Mes cheveux plus longs avaient pris des reflets et se baladaient au grès du vent derrière moi. J’étais plus hautaine. Plus froide. J’avais adopté une attitude proche de celle que je connaissais d’Ulysse. Les mots de ma mère m’étaient restés en tête. « Tu es une Lestrange, par Merlin. Agis comme telle. » Bien mère. Cela ne m’apporterait pas la considération de qui que ce soit chez moi, mais elle aurait au moins l’impression d’avoir une fille lui ressemblant. Voilà ce à quoi j’avais passé ma journée. A agir en Lestrange digne de ce nom. J’étais une princesse. Une princesse de glace, certes, mais voilà l’impression que je me devais d’avoir. Impression qui s’était évanouie alors que je m’étais assoupie dans le sofa de la salle commune. Je m’étais abandonnée à la torpeur d’un instant. Pour une fois.

Une sensation étrange me réveilla. Une légère pression sur ma joue. Encore endormie, j’entre-ouvris les yeux, pour les refermer aussi tôt. Le choc était étrange. J’avais rêvée. Je dormais encore. C’était impossible. J’ouvris à nouveau les yeux, plus doucement cette fois-ci. Toujours pas, visiblement. Agenouillé près du sofa se trouvait Ulysse, qui me regardait. Ulysse… Ma plus belle déception ? Ma plus belle ignorance. Un frère que je n’avais pas. Que je ne voulais plus considérer comme tel. Que je n’avais jamais su considérer ainsi. Je devais vraiment rêver. « Tu dormais... » Sa voix me fit brusquement prendre conscience de la réalité des choses. Qui était toujours impossible, d’ailleurs. « Ulysse ? » Interrogeais-je encore endormie. Il se passait vraiment des choses bizarres en ce moment.
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Ulysse Meriadec Lestrange
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MessageSujet: Re: Daddy's Money - LESTRANGE   Daddy's Money - LESTRANGE EmptyMar 5 Juil - 0:06


    En 20 ans d'existance, sa soeur n'avait jamais vraiment eut d'importance pour lui. Elle était un meuble, quelque chose qui était tout simplement là sans qu'on s'en occupe. Moins utile encore qu'un meuble, un miroir ou plutôt un portait accroché au mur. Dérangeant parfois lorsqu'on époussetait, mais c'était la seule chose qui nous rapellait cette personne qu'on avait perdue ou effacée ou, vous comprennez. Une photo encadrée sur un mur, c'était réellement ce que Jillian avait été pendant tout ce temps pour Ulysse. Il la regardait de loin, ne s'attradait même pas sur elle. Qu'une ombre un peu floue dont on distingue la forme, mais pas les traits. Jamais, son visage n'avait été si près de celui de sa soeur. Jamais ses yeux n'avaient pris la peine de détailler chaques pigements de sa peau comme ils le faisaient aujourd'hui. Anormal ? Non, pas tant. Vous avez l'habitude vous de regarder vos frères et vos soeurs dans le blancs des yeux ? D'admirer leurs visages à quelques centimètres du votre ? Non. Parce que lorsqu'il y a cette ligne, cette barrière qui se contruit entre frères et soeur. Une frontière qu'on ne franchis pas. Un certain dégout s'installe souvent entre un frère et une soeur. Un dégout car on vient des deux mêmes personnes. Parce qu'on est fait des mêmes moules, mais que notre sexe est différent. En temps normal, on n'est pas attiré par cette réplique de nous-même dans l'autre sexe. Les gens narcissique peuvent l'être, mais on sait ce que cela donne. Ulysse avait toujours eu ce dégout envers sa soeur, mais alors qu'il la regardait réellement, il s'évaporait. Il devait en venir à la conclusion, sa soeur était belle. Elle avait les cheveux clairs, soyeux et affreusement doux. Une chevelure qui tombait en casacades dans son dos et sur sa poitrine de façon élégante. Même alors qu'elle venait de se lever et que la pluspart des filles dans son cas avaient une chevelure à faire peur, ce n'était pas son cas. Elle avait de la classe, juste un peu de volume et toujours autant d'élégance digne d'une Lestrange. Sa peau était parfaite, douce, lisse et sans imperfections Ses yeux étaient profonds et perçants. D'un bleu-vert qui n'était pas trop apparant au sien. Leur père avait les yeux verts et leur mère, les yeux bleus. Le gamin avait donc eut plus de vert que de bleu et la gamine avait eut l'inverse. Ses lèvres ne trompaient personne, c'était celles de sa mère. Des lèvres pulpeuses qui devaient en faire rêver plus d'un. Il ne comprennait pas pourquoi un sang pur n'en avait toujours pas fait sa propriété. Il était vrai qu'elle était froide, glacée même, la reine de l'indifférence. Cela en avait sans doutes repousser quelques uns. Ulysse n'osait même pas détailler le reste de sa personne pour ne pas frôler l'indescence, mais il savait parfaitement qu'elle avait ce qu'il fallait pour plaire. Des jambes interminables, un ventre un peu trop plat étant donné qu'elle ne mangeait presque rien et des rondeurs bien placées.

    Cette jolie chose c'était réveillée et ses yeux semblaient perdus. Ils se cachèrent derrière ses paupières une seconde, puis lui revienrent avec tout autant d'étonnement. Le jeune homme se laisse saisir par un rire calme et sincère. Il gardait son sourire, un sourire sincère. Un sourire que très peu de personnes avaient l'occasion de voir. « Ulysse ? » L'interrogea-t-elle encore toute endormie. Elle ne semblait pas comprendre et c'était tout à fait normal. Son comportement n'était pas habituel. Il alla chercher sa main et la prise entre les siennes tout en lui souriant gentiment. « Oui ? »
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MessageSujet: Re: Daddy's Money - LESTRANGE   Daddy's Money - LESTRANGE EmptyMar 5 Juil - 14:23

J’étais perdue. La situation m’était incompréhensible. Inimaginable. Mon petit frère, si indifférent, si fier, si hautain. Cette situation était totalement inédite. Pour être tout à fait franche, aucun de nous n’avait jamais tenté de s’intéresser à nouveau à l’autre depuis un épisode très court de notre enfance. J’avais six ans, lui presque cinq. C’était un jour d’été. Nous jouions dans la cour du manoir. Lui d’un côté, moi de l’autre. Cette poupée blonde qui jouait à quelques mètres de moi ne m’intéressait pas. Je la jalousais. Mais elle ne m’intéressait pas. C’était toujours lui que mère prenait dans ses bras. Toujours lui qu’elle regardait avec tendresse. Toujours lui le petit prince de la maison. J’avais fait taire une jalousie permanente. Jusqu’à ce jour. Il jouait, à quelques mètres, dans mon différence la plus totale. Jusqu’à ce qu’il tombe. Comment, je l’ignore. Je n’avais pas vraiment fais attention à ce qui se passait. Je me souviens juste l’avoir vu par terre. Le visage modifié par la douleur. Il était… fragile. Il ne pleurait pas, mais la douleur se lisait dans ses yeux. Sa bouille blonde était adorable. C’est ce jour là que j’ai réalisé que ce petit prince était mon frère. Sans un bruit, je m’étais levée et je l’avais pris dans mes bras. Combien de temps ceci avait-il duré ? 20 secondes ? Oui… pas plus. Vingt seconde avant qu’il me pousse violemment plus loin. Et c’est quand je m’étais relevée avant ma robe sale et les mains pleines de terre que j’avais su que jamais je ne prêterais plus jamais attention à Ulysse.
Depuis, nos échanges c’était résumé à de la politesse, à de la violence, à du dédain. J’étais sa sœur par obligation. Mais je ne l’avais jamais plus considéré comme un frère. Juste comme une personne portant le même nom que moi. Le voir face à moi, riant doucement, souriant, prenant ma main dans les siennes… Tout cela était un étonnement pour moi. Que me voulait-il ? Je ne comprenais pas. Je dégageais froidement ma main de son étreinte. Je ne le connaissais peut être pas, mais juste assez pour me méfier. Je n’avais jamais eu un désir ardent d’arranger les choses avec Ulysse, même si nos parents avaient maintes fois suggérer que nous agissions plus comme une famille. Nous étions une exception. Les autres familles semblaient soudées. A l’exception des Wilkes peut être. Quoi qu’il en soit, ces familles s’entendaient à peut près. Il n’y avait qu’Ulysse et moi pour s’éviter en public. Comme en privé, d’ailleurs. Je ne savais pas vraiment comment réagir à ce qui se passait à cet instant présent. Restais-je dans un rêve reflétant un désir que j’ignorais de me rapprocher de mon cadet ? Je l’ignorais. Tout ça était vraiment trop étrange. « Que… Qu’est-ce qui se passe ? » Peu assurée, ma voix redevint froide comme la glace. Et il avait intérêt à avoir une explication parfaite à me fournir. Ou alors je devais avoir des efforts à faire… Je ne savais pas trop laquelle de ces solutions me plaisait le mieux.
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MessageSujet: Re: Daddy's Money - LESTRANGE   Daddy's Money - LESTRANGE EmptyMar 5 Juil - 22:54


    D'aussi loin qu'il se souvienne, il l'avait toujours détestée. Il venait de sortir du ventre de sa mère et il était l'élu du coeur de tous. Le gamin qui endurait d'être la poupée qu'on passait de bras en bras. Ses parents ne voulaient pas laisser la gamine d'un an prendre leur précieux premier et dernier mâle. Ils l'avaient fait, une fois. Ulysse avait pleuré. Ce petit ange déguisé, qui ne pleurait dans les bras de personnes, pleurait aussitôt que sa soeur était a proximité. La crise de larme immédiate et on lui arracha le bébé des bras. Il avait cessé de pleurer à la seconde où elle ne le tenait plus. À cet âge, on ne peut pas vraiment être mauvais ? On n'est pas corromput, selon plusieurs philosophes. Ulysse semblait pourtant détester sa soeur dès la seconde où il avait pris sa première goulée d'air. Sa naissance n'était que pour pourrir celle de son aînée. Pourtant, cela ne semblait pas la cas en cet instant où il tennait sa main minuscule entre les siennes. Comme si toutes ses années, toutes ses engeulades et toute cette violence c'était effacée d'un coup. Il se souvenait d'un épisode très précis où la haine était à son appogée entre les deux enfants Lestrange. C'était pour le colier des Lestrange. Cette magnifique pièce de collection que Jil convoitait depuis qu'elle avait été donné à Ulysse. Il devait avoir 5 ans lorsque la mère de son père mourrit et lui en fit cadeau en lui faisait jurer de le donner à la femme qu'il marirait. Il l'avait gardé, puis l'avait donné à Ys, qui l'avait dédaigné, il avait songé à laisser Jill gagner et lui donner, mais il y eut ensuite Bella. Cette histoire remontait à la cinquième année d'Ulysse qui n'était alors qu'un adolescent. Sa soeur avait volé le bijoux dans sa chambre et le portait fièrement à son cou depuis deux jours. Il était assis dans sa chambre et lisait tranquillement lorsqu'il eut un flash. Comme une intuition. Il avait levé la tête vers son bureau et avait commencé à chercher son bien. Il n'était pas la. Il ne se fit pas prier. Ulysse entre en trompe dans la chambre de sa soeur qui était déjà assoupie. Il avait été moins doux qu'aujourd'hui pour la réveiller. D'une coup de baguette, il l'avait propulsée sur le mur. À cette époque où la peaud d'Ulysse se dégoutait encore de toucher celle de sa soeur, il se dégoutait de devoir le détacher de son cou et toucher sa peau. Il l'avait donc torturée avec sa baguette, jusqu'à ce qu'elle abandonne. Il avait même oser faire couler de son précieux sang. Jamais il ne l'avait détesté autant au cours de sa vie. Elle avait enlever le pendantif et l'avait déposé dans sa main. Si elle ne l'avait pas fait, il l'aurait surment tuée. Comme ça, pour un pendentif. Il ne tennait aucunement à elle ni à qui que ce soit. C'était une époque glorieuse où il était la seule personne qu'il respectait. Puis il y avait eu cette sorcière qui avait brisé sa carapace qui semblait se fissurer de plus en plus. C'était l'ancien Ulysse qui avait fait cela à sa soeur et à sa fiancée. Personne n'y croirait, mais il était en train de changer. Il changeait au mauvais moment. Il allait bientôt devenir plus grand et son insensibilité aurait été souhaitable. Trop tard pour reculer, surtout qu'il savait ce qu'il voulait. Il fonçait tête baissée, sans se poser de questions et ne s'arrêterait que lorsqu'il aurait frappé un mur. « Que… Qu’est-ce qui se passe ? » Avait-elle demandé. Ulysse haussa les épaules. Il ne savait pas lui-même ce qui c'était passé. Il l'avait vue là et avait eu envie de venir la voir. Sans chercher à comprendre, il s'était exécuté. Sa main, rejettée de celle de sa soeur se leva de nouveau, allant placer une mèche de sa divine chevelure, derrière son oreille.

    « Rien... » Avait-il répondit simplement en continuant de la contempler, joignant ses mains appuyées sur le sofa.
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