Abracadabra et patatra !!!
Léo vs. Luz

BOUM !!! « Mademoiselle Almeida, vous avez beau m'être très sympathique, je dois vous dire que si vous ne faites pas plus d'effort pour réaliser un sort, vous pourrez dire adieu à vos B.U.S.E à la fin de l'année ! » dit le professeur Corback d'une voix ferme en réparant l'armoire que je venais de faire exploser. Sa voix était sans appel. Ce sort raté était celui de trop. Je suis une vraie bille avec une baguette magique. Plus nul que moi ça n'existe pas. Il suffit que je prenne ma baguette dans ma main pour devenir un danger public. Un vrai comble pour une sorcière ! D'autant plus lorsque l'on sait que je suis la meilleure de tout les cinquièmes, mais aussi des sixièmes années en botanique et en soins aux créatures magiques. Je suis partisane des travaux pratiques, mais les sortilèges et la métamorphose, c'est vraiment un horrible cauchemar. Lancer un petit sort pour faire sortir de l'eau de ma baguette et arroser les plantes, ça va. Mais créer un charme pour me défendre, j'en suis incapable. Quant à transformer des objets en d'autres objets, cela relève du rêve pour moi. L'autre jour, le professeur Snicklepitch m'a même demandé si ma baguette n'était pas cassée, pour avoir un tel effet sur les objets. Un garçon de Serpentard lui a alors gentillement répondu que ce n'était pas ma baguette, mais simplement moi qui était nul. Le pire, c'est que je sais pertinemment qu'il a raison. Je suis une sorcière et je suis incapable de réaliser un sort ou un charme correct. Dans six mois je passerais mes B.U.S.E et il est tout bonnement impossible que je les rates. De plus, avec l'arrivée de cette petite bonne femme du Ministère, Dolores Ombrage et ses nouvelles réglementations, je n'ai pas le droit à l'erreur. Si je n'ai pas au moins un Effort Exceptionnel en Sortilèges et Métamorphose, je ne pourrais plus étudier les matières de premier cycle. Pour moi c'est hors de question. Déjà que je suis nul, ce n'est en me privant des cours pratiques de magie élémentaire que je vais progresser. Après ce cours de sortilèges, je me disais qu'il était vraiment temps de faire quelque chose. Pour essayer de remédier à mon problème, j'avais une petite idée. L'année passée je m'étais lié d'amitié avec une certaine Léonide Laxhern, une fille de ma maison qui était maintenant en septième année. Il était rare que je parle avec des plus grands que moi, mais elle ce n'était pas pareil. Je crois que j'ai rarement rencontré des gens comme elle. Dès que vous parlez avec cette fille, vous savez pourquoi elle a été envoyé à Gryffondor, parce que le mérite vraiment. Elle est très sage et très courageuse. Mais tout comme moi, elle est une peu flemmarde sur les bords lorsqu'il s'agit de cours, sauf pour les cours pratiques de magie. Je lui avais donc demandé un soir si elle ne pouvait pas m'aider un petit peu pour mes cours des sortilèges et ce, pour éviter de me rétamer aux prochains examens. Heureusement pour moi, elle avait accepté et m'avait donné rendez-vous cette après-midi à la salle de duel après les cours. Bizarrement sur le chemin qui me menait jusqu'au cinquième étage, mon coeur s'accélérait. Qui disait salle de duel, disait se battre et lorsqu'on ne sait pas effectuer des sortilèges comme moi, cela devient un problème. C'est donc les mains tremblantes que je poussais la grande porte de la salle de duel. J'entrais à l'intérieur, il n'y avait personne. Léonide ne devait pas être encore arrivé. Je me dirigeais vers l'estrade et grimpais dessus pour m'assoir sur un bord. Je plongeais ma main dans ma robe de sorcier et en sortais ma baguette magique pour la poser doucement à côté de moi. Du temps que Léonide n'était pas là, il fallait mieux que je n'y touche pas.


633 mots

A. Léonide Laxhern a écrit:

Supercallifragilisticexpialidocious
Léo vs. Luz

Et une heure de colle pour moi, une ! Parait-il que je me baladais d'une heure tardive dans l'enceinte de la bibliothèque et sur le coup, j'étais indéfendable. Mais pourquoi m'accusaient-ils toujours et sans preuve ? Bon, l'habitude certainement et sur le coup, prétendre le contraire aurait été de la mauvaise fois alors autant éviter. J'arrivais toujours à me mettre dans des situations pas possible, étourdie, malchanceuse, j'étais poursuivie par la poisse et elle me collait à la peau. En réalité, j'avais été faire un tour dans la bibliothèque dans le but de trouver un ouvrage de Sortilèges afin d'aider Luz dans la pratique des Sortilèges, seulement pour les B.U.S.E.S, je préférais me fier à un livre, car même si j'ai toujours géré dans ce domaine, il y a des choses que nous avons appris en sixième et septième année qu'elle, n'a pas encore appris, car étant encore en cinquième année. J'avais peu d'amis dans l'enceinte de Poudlard, d'ailleurs en dehors, c'était pareil à cause de mon côté « bizarre », seulement cela faisait un petit moment que je connaissais Luz et il n'était pas rare que l'on se retrouve collée ensemble, car il y avait toujours l'une de nous deux qui arrivait à se mettre dans un pétrin pas possible et les deux devaient toujours payer. En tout cas, elle était venue me voir dans la Salle Commune et était gentiment venue me demander de l'aider pour ses B.U.S.E.S en Sortilèges, ce que j'ai accepté sur le champ. J'aimais bien aider les autres, particulièrement lorsque c'était des jeunes années et de Gryffondor. Je lui avais donné rendez-vous dans la journée à la Salle de Duel, cependant, j'avais encore quelques petites choses à faire avant d'y aller. D'abord, se fut à la bibliothèque que je devais passer, déposer le livre de Sortilèges discrètement que j'avais pris le temps de recopier quelques formules durant la nuit, car je savais que je n'aurais pas eu le temps dans la journée entre les devoirs, le cours de Sortilèges à Luz et mon temps libre à flâner dans la cour de l'école. Personne ne semblait avoir remarqué le livre manquant dans la Réserve, tant mieux. Je me dirigeais ensuite une dernière fois dans ma chambre afin de déposer mes affaires de cours, prendre ma baguette et je me dirigeais enfin vers le cinquième étage, direction la Salle de Duels. J'ouvris la porte et Luz était déjà arrivée, elle était assise sur un rebord, la baguette posée à ses côtés et semblait m'attendre. « Salut Luz, excuse-moi du retard, j'étais à la Bibliothèque pour rendre le livre qui m'a valu une heure de colle et ensuite à ma chambre pour poser mes affaires. As-tu eu cours de Sortilèges ce matin ? J'espère que tu n'as pas fais trop de morts ... ». Je lui disais ça sur le ton de l'humour, car je savais pertinemment que Luz en Sortilèges c'était pire qu'une catastrophe ... elle pourrait détruire une ville entière si elle le voulait. Bon certes, c'est un peu gros, mais elle peut des fois être dangereuse et c'est vraiment drôle de la voir en pratique.

A Poudlard, je ne croule pas sous les amis et admirateurs. Généralement, je suis considéré comme une petite peste ou une gamine un peu trop fouineuse. Je suis la bête noire des serpentards et des sangs-purs, surtout quand j'ai le malheur (enfin pour moi c'est bonheur, mais bon) de trainer avec des Grindelmonks. Je suis souvent la cible de plus grands que moi et comme je n'aime pas qu'on se moque de moi, je réponds toujours, même si je fais trente centimètres de moins. Résultat, je me retrouve toujours dans des situations pas possible et lorsque ça ne finit pas à l'infirmerie, c'est dans le bureau du Directeur, avec des heures de colles en récompenses. En y réfléchissant bien, tout les amis que je me suis fait à Poudlard, je les ai rencontré lors de situations difficiles. Soit c'est moi qui les ait sorti du pétrin (comme ma grande asperge de Rory) ou soit c'est en faisant une énorme bêtise comme avec Léonide. C'était assez étrange, car malgré le climat de haine qui régnait à Poudlard, je trouvais toujours des gens prêts à m'aider lorsque cela n'allait pas. Pourtant, je ne venais pas de Grande-Bretagne et certains pourraient avoir peur, mais ce n'était pas le cas. Partout où j'allais, j'étais sûre de trouver un Gryffondor ou un Grindelmonk pour m'aider. Cela fait du bien de pouvoir compter sur des personnes, alors que tout le monde se méfie de tout le monde. A vrai dire, il n'était pas dur à Poudlard de savoir qui avait ou pas de mauvaises intentions. Si vous êtes pro-sangs-purs, vous êtes méchants, si vous êtes tout le reste, vous êtes gentils. C'est assez réducteur, mais c'est ce qui se passe à Poudlard. Heureusement, j'ai rencontré des gens extraordinaires et Léonide en fait partie. C'était une fille de ma maison et une de mes nombreuses amies de colles (et oui, les retenues ça rapproche). Enfin bref. Connaissant ma maladresse pour les Sortilèges et la Métamorphose, je lui avais demandé si elle ne pouvait pas m'aider un petit peu et me donner quelques conseils pour m'améliorer. Pour ma plus grande joie, elle avait accepté. Il était préférable que ce soit elle plutôt que Boyde, mon tuteur, car je savais qu'il ne me ferais pas de cadeaux. Elle m'avait donc donné rendez-vous à la salle de duel, pour un petit cours particulier. Lorsque j'arrivais et poussais la porte de celle-ci, elle était vide. Je me posais donc sur l'estrade, ma baguette à côté de moi, pour attendre Léonide qui ne devait sûrement pas tarder. Je commençais à balancer mes jambes d'avant en arrière lorsque la porte de la salle s'ouvrit enfin. Je vis alors apparaître Léonide et son uniforme rouge et or. Je sautais de l'estrade et lui adressais un sourire. « Ah Leo ! J'ai cru que tu avais changé d'avis. Tu vas bien ? » demandais-je d'un ton joyeux en me dirigeant vers elle, heureuse la voir enfin. « Salut Luz, excuse-moi du retard, j'étais à la Bibliothèque pour rendre le livre qui m'a valu une heure de colle et ensuite à ma chambre pour poser mes affaires. As-tu eu cours de Sortilèges ce matin ? J'espère que tu n'as pas fais trop de morts ... » dit-elle avec un air moqueur en souriant en coin. Je baissais alors la tête et perdais mon sourire. Je savais qu'elle rigolait, mais elle avait aussi raison. « Oui, j'ai eu cours tout à l'heure... » dis-je en faisant une grimace. Je me retournais vers la baguette que j'avais laissé sur l'estrade et allais m'en emparer. « Et j'ai fait exploser l'armoire du professeur Corback... » ajoutais-je timidement en me mordant la lèvre inférieure. Je levais timidement les yeux vers Léonide, puis éclatais de rire. Ce n'était pas drôle, enfin pas pour moi, mais je ne pouvais m'empêcher de rire quand même. « Je crois que je serais en retenu avec toi ce soir » concluais-je en lui souriant de toutes mes dents. Les heures de colles avec Léonide, maintenant je connaissais. Enfin, pour l'instant ce n'était pas vraiment le sujet. Je plongeais mon regard dans celui de Léonide et tenais ma baguette fermement dans ma main. « Alors, qu'est-ce tu as prévu madame la professeur ? » demandais-je en me moquant gentillement.

A. Léonide Laxhern a écrit:

Je venais rarement en aide aux gens, souvent on me demandait, mais la plupart du temps, je trouvais des excuses par flemmardise ou bien parce que je n'aimais pas la personne, par exemple pour ses idées extrêmes et généralement, je n'étais pas douce avec ceux-ci, j'avais bien le droit de défendre mes origines et des gens avec des idées aussi étroites, ça ne pouvait pas coller. Il n'y avait pas moyen, je me rebellais. Ils se servaient de moi et ça, je le voyais dès le premier regard, il n'était pas question que je me laisse faire. A cause de ça, j'avais peu d'amis à Poudlard, généralement, les gens ont peur des Serpentard alors ils les suivent et à la moindre occasion, ils ne rataient pas pour me descendre plus bas que terre. Je détestais ça, alors je ne leur faisais pas de cadeaux. Je ne suis pas du genre extravertie, à crier à droite et à gauche pour faire mon intéressante, au contraire, je suis plutôt discrète et invisible pour les autres, pourtant, lorsque je peux en avoir l'occasion, je ne rate pas une occasion de remettre quelqu'un qui le mérite à sa place et ce, pour n'importe quelle raison. J'avoue que c'est aussi un moyen de se défouler, mais quand on a été considéré comme bizarre ou limite fou pendant toute son enfance, on trouve toujours un moyen de se défouler et c'est maintenant que ça arrive. De plus, mon enfance a été partagée entre l'Angleterre et la France, jusqu'à ce que je reçoive cette lettre de Poudlard qui a scellé mon enfance. Je ne me suis fais qu'une seule amie durant cette période, malheureusement, elle a déménagé au Japon au moment même où j'ai reçu ma lettre de Poudlard. Quel dommage. Je me faisais un plaisir d'avoir une vraie amie. A Poudlard, sans avoir de meilleur ami, j'avais de simples amis, des connaissances avec qui je m'entendais très bien et Luz en faisait partie. Elle me faisait rire, elle me faisait penser à moi, du genre étourdie, qui ne fait jamais attention et qui du coup, commet une bêtise une fois sur deux, se fait souvent coller, bref, on ne pouvait que s'apprécier et être amie. « Oui, j'ai eu cours tout à l'heure ... et j'ai fais exploser l'armoire de professeur Corback ... » A cette phrase, je ne pu m'empêcher de rire, surtout avec professeur Corback. « Outch, il t'a quand même épargné la vie ? ... On va essayer de régler ça alors avant que tu casses autre chose de plus précieux. » Je lui donnais un sourire, elle me faisait vraiment rire, ça me rappelait un peu mes débuts en potion lorsque je finissais par tout faire exploser, que je brûlais ma robe ou que j'aveugle mon voisin, il se passait toujours des trucs invraisemblables. « Je crois que je serais en retenue avec toi ce soir. » « Eh bien, pourquoi changer les habitudes ? » Un sourire et je déposais ma cape sur le côté, devant le mur de la pièce et préparais ma baguette. « Alors, qu'est-ce que tu as prévu madame la professeur ? » Je commençais à réfléchir, je trouvais le premier sort à travailler. « Alooooors, nous allons commencer par ... Evanesco. Tu as dû l'apprendre cette année, il s'agit de faire disparaître quelque chose alors tu éviteras de me faire disparaître moi, tu vas faire disparaître cette chaise que voici. Concentre-toi et vas-y ! »

Non, je ne suis pas une brise tout. Non, je ne suis pas une machine à "faire exploser les choses" sur patte. Je suis simplement plus doué avec mes propres mains qu'avec une baguette magique. Ma magie je l'ai au bout de mes doigts et non pas au bout de ma baguette. Voilà, ce que je réponds la plus part du temps à ceux qui se moquent de moi. Cela en calme certains, mais d'autres n'en n'ont rien à faire. Ne pas savoir correctement se servir d'une baguette dans le monde des sorciers, c'est une honte. La baguette choisi et fait le sorcier. Si tu ne sais pas t'en servir, tu n'es pas un sorcier et tu es sans défenses. A la merci de tout les autres. A cause de cela, j'ai fini par être classé par certains sangs-purs, dans le même panier que les nés-moldus. En d'autres termes, je ne suis pas une sorcière et je n'ai rien à faire à Poudlard. Quitte à ne pas savoir se servir d'une baguette, autant ne pas en avoir une du tout. Pour toutes ses raisons et pour la principale qui était celle de réussir mes B.U.S.E, je devais m'entrainer et m'améliorer. Je voulais montrer à toutes ces personnes que je pouvais moi aussi être une sorcière et réaliser ce que personne n'avait jamais réalisé. Bon d'accord, je visais peut-être un peu haut et surtout avec le retard que j'avais, ce n'était pas gagné. Mais j'avais foi en mes capacités. De toutes façons je me disais que si je ne le faisais pas, personne ne le ferais pour moi. Alors autant se prendre en mains et se dire qu'on va y arriver. Enfin, c'était plus facile à dire qu'à faire. Alors pour m'aider dans ma tache, j'avais appelé au secours Léonide Laxhern, une camarade de Gryffondor. Depuis l'année dernière, malgré nos deux ans d'écart Léonide et moi étions devenues de vraies amies et il n'était pas rare de nous voir discuter dans la salle commune de Gryffondor. Elle m'avait donné rendez-vous à la salle de duel après les cours pour me donner une petite leçon personnelle. J'appréhendais un peu le moment où j'allais devoir utiliser ma baguette, mais je ne me dégonflais pas et me rendais au rendez-vous. J'arrivais en avance et après quelques minutes à attendre, Léonide fit enfin son entrée. J'étais heureuse de la voir. Elle s'excusa pour son retard, puis me demanda si j'avais eu cours de Sortilèges aujourd'hui. Malheureusement, la réponse était oui et je lui avais alors mes exploits catastrophiques de la journée. Léonide se mit à rire. « Outch, il t'a quand même épargné la vie ? ... On va essayer de régler ça alors avant que tu casses autre chose de plus précieux » dit-elle en souriant. Léonide était très compréhensive envers ma maladresse. Cela faisait du bien de voir quelqu'un qui ne vous critique pas et ne vous juge pas sur vos erreurs. D'un autre côté, Léonide et moi étions souvent dans le même bateau. Nous avions les mêmes manies et la même façon de voir les choses. Nous réagissions souvent pareil dans certaines situations. Nous étions presque soeurs par moment. « Eh bien, pourquoi changer les habitudes ? » dit-elle en faisant allusion à la retenue. J'esquissais un sourire, puis allais déposer ma cape dans un coin de la pièce, au même endroit que celle de Léonide. La leçon allait enfin commencer. « Alooooors, nous allons commencer par ... Evanesco. Tu as dû l'apprendre cette année, il s'agit de faire disparaître quelque chose alors tu éviteras de me faire disparaître moi, tu vas faire disparaître cette chaise que voici. Concentre-toi et vas-y ! » dit-elle d'un ton déterminé en faisant apparaître une chaise devant nous. Je poussais un soupir à l'entente du sort à effectuer, puis me plaçais devant la chaise dite. Je pointais ma baguette sur celle-ci et essayais de me concentrer. « D'accord, mais je serais toi, j'éviterais quand même de me mettre trop prêt de la chaise » conseillais-je à Léonide d'un ton peu rassuré. Je me concentrais à nouveau sur la chaise et essayais de répéter le sort d'en ma tête comme pour m'en convaincre. « Evanesco ! » scandais-je en tournant mon poignet. Rien ne se passa. Je soupirais puis essayais de me reconcentrer. Je fixais intensément la chaise, sans cligner des yeux. « Evanesco ! » scandais-je à nouveau. Une étincelle sortit de ma baguette et alla percuter la chaise. Celle-ci disparue un quart de secondes, avant de réapparaitre entière devant nos yeux. Eh, allez raté !