IL FAUT TOUJOURS UNE FILLE POUR RAMENER DEUX GARS À L'ORDRE (o1/o1) (gwenaëlle arabella longstride)
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Sujet: IL FAUT TOUJOURS UNE FILLE POUR RAMENER DEUX GARS À L'ORDRE (o1/o1) (gwenaëlle arabella longstride) Ven 15 Juil - 22:07
. CURSUS DE SÉCURITÉ MAGIQUE - GRINDELMONK (ancienne serdaigle) - NÉE-MOLDUE - 19 ANS - NEUVIÈME ANNÉE
FEAT. SHELLEY HENNIG
L'histoire est totalement libre sauf que vous devrez respecter le fait qu'elle vienne d'une famille de moldus originaire du Pays de Galles. Avant Poudlard elle n'avait jamais entendu parler de magie. Gwenaëlle est une battante, donc le fait de s'être fait mettre de côté parce qu'elle ne venait pas d'une famille se sorciers la révolté au plus haut point. Elle s'est immédiatement engagé dans la lutte des rebelles, se foutnat des conséquences. Avec Perceval et Atlance, elle créa l'ASDENEMO (association pour la défense des droits et intérêts de nés-moldus). Un équilibre parfait avec un pur, un mêlé et un moldu à sa tête. Lors de l'attentat, elle fut très choqué de la manière que la faute retomba sur tout l'association, précisément sur Perceval, alors que ce n'était de la faute que des deux imbéciles n'ayant pas été capable de respecter les ordres qu'on leur avait donné. Gwenaëlle est très protectrice envers ses amis. Ce n'est pas le genre de personne qui laisse les autres souffrir sous ses yeux alors qu'elle a la chance de leur venir en aide. Elle se jetterais dans la gueule du loup seulement pour protéger ses proches. Prête à mourir coute que coute. Disons que le fait d'avoir le ministère aux basques ne la dérange pas plus qu'il faut. Elle est assez intelligente pour passer entre les mailles de leurs filets. La jeune femme peut paraître assez farouche. Elle déteste se faire toucher contre son gré. Ce n'est pas quelqu'un de très ouvert sur ses sentiments, ce qui fait qu'elle est difficile à atteindre. Elle a peur de souffrir, donc les histories avec les garçons sont assez limités. Disons qu'elle a beaucoup souffert par le passé et ne veut pas que celà se reproduise. Elle est encore fragile.
GWENAËLLE & PERCEVAL
« Eh! Tu pourrais faire attention, t'as faillit me trucider avec ta baguette! », cria-t-elle furieuse. À ses pieds gisait son panier remplis de plantes diverses. Je la regardai un moment, cherchant où j'avais bien put la voir. À l'école? Possible. Où peut-être était-ce à la boutique de ma tante. Eum... Ça me surprendrais, très peu de gens y viennent et à voir la manière dont elle est habillée, je mettrais ma main au feu qu'elle vient d'une famille de moldu. Son regard me lançait des éclairs, mais je m'en foutais. Au pire, elle n'avait qu'à être plus prudente en forêt. Pas ma faute si je l'avais prise pour un gros animal sauvage. Faut dire que ses longs cheveux en bataille, certainement à cause des branches dans lesquelles ils se sont pris, porte à confusion. « On ne sait pas s'excuser à ce que je voie! Faut croire qu'être le fils d'un ambassadeur ne fait pas de nous quelqu'un de poli. » Sur ces paroles pleines de rancœur, elle ramassa son panier à ses pieds et partie en direction du lac. Mais... Abasourdis, je ne parvins pas à me mettre à sa poursuite. Il me fallut quelques secondes avant de reprendre mes esprits. Ramassant ma plume qui c'était fiché dans l'arbre, après un petit wadiwasi, au-dessus de l'endroit où se trouvait sa tête quelques minutes plutôt, je partis sur ses pas. J'allais certainement pas me laisser faire. Étant plus grand qu'elle, il me fallut moins de temps pour la rejoindre qu'il lui en avait fallut pour ce rendre jusque là. Alors qu'elle s'apprêtait à passer par la clairière pour rejoindre le parc, je lui lançai : « Ouais ben t'aurais toi même beaucoup à apprendre sur la politesse, ainsi que sur la manière de rester en vie dans les bois... » Se retournant, elle me foudroya du regard avant de me cracher : « Jusqu'ici, je m'en suis très bien sortie. Suis-je assez vivante à ton goût? »
Cette querelle allait être la première d'une interminable suite. À l'époque, soit il y a six ans, je ne pouvais pas savoir que la fille à la plume allait finir par devenir ma meilleure amie et peut-être même plus au fond de son coeur. Je sais au moins une chose, elle m'avait fait forte impression ce jour là. Pas uniquement parce qu'elle était jolie, mais de par son caractère de lionne. À sa façon, elle avait su se rebeller contre le ministère en passant dans la forêt pour récolté quelques plantes, chose que très peu de gens faisaient. Trop effrayés par les bêtes sauvages se trouvant sous la canopée. J'avais toujours eu un petit faible pour les filles avec du caractère, mais jamais je ne m'aurais douté qu'elle allait tomber complètement amoureuse de moi alors que mes sentiments à son égard n'étaient pas si puissants. Ce jour là, je ne m'aurais jamais douté qu'un jour, j'allais lui briser le coeur, bien malgré moi, en tombant amoureux d'un gars...
GWENAËLLE & ATLANCE
La première fois qu'Atlance a vu Gwenaëlle, il s'est promit de rester loin d'elle. Non pas parce qu'elle ne lui inspirait pas confiance ou qu'il pensait que c'était une mauvaise personne, mais parce qu'elle l'intimidait bien trop. C'était le genre de filles, ou plutôt, la première et unique fille à être capable de faire perdre les pédales au jeune homme. Lui d'ordinaire si extraverti, si confiant, si plein de vie, devant elle, il se faisait tout petit. Rien que l'idée qu'elle s'assoit à côté de lui à la bibliothèque le figeait. Cependant, lentement mais sûrement, Gwenaëlle apprivoisa Atlance qui commença à se comporter plus ou moins « normalement » avec elle, jusqu'à ce qu'ils entretiennent une relation des plus fusionnelles. Gwenaëlle et Atlance forment une amitié sur laquelle on ne peut pas vraiment placer de terme, qu'on ne peut pas réellement définir. A ses côtés, le jeune homme se voit transformé – ce qui est assez paradoxale, puisqu'ils se ressemblent beaucoup sur certaines facettes de leur personnalité -, mais d'une certaine manière, il adore ça. Et il aime à peu près tout de Gwenaëlle, d'ailleurs. Il aime le fait qu'ils ont cette complicité et qu'elle le connaît par cœur, le fait qu'elle semble même le connaître mieux que lui-même se connaît. Le fait qu'elle a les mêmes valeurs que lui et des qualités qu'il admire tout particulièrement. Le fait qu'elle soit à double tranchant, aussi, en quelque sorte. Aussi bien farouche que fragile. Aussi bien acharnée que suicidaire. Aussi intelligente que brave. Elle le rassure sur un tas de choses, alors que techniquement, le jeune Weasley n'est pas le jeune homme qui a besoin d'être rassuré, bien au contraire. A ses côtés, c'est comme si le monde était encore plus grand qu'il ne l'est et que rien ne pouvait vraiment les arrêter. Elle lui donne la foi, tout simplement.
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