MY EYES ARE SCREAMING FOR A SIGHT OF YOU. (duncan)
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Ysölde M. Wilkes McFays
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Sujet: MY EYES ARE SCREAMING FOR A SIGHT OF YOU. (duncan) Mer 24 Aoû - 20:39
'...And my eyes are screaming for a sight of you And tonight I'm dreaming of all the things that we've been through And I can't hold on to you So I guess I'll be lonely too. Suppose we were happy Suppose it was true And suppose there were cold nights But we somehow made it through And suppose that I'm nothing without you...'
La journée était belle, l’une des dernières belles journées de septembre, c’était la veille de la fête des fondateurs, un jour qu’Ysolde n’attendait pas avec grande impatience, puisque les parents étaient invités. Elle savait que son père allait probablement venir voir son idiote de sœur, et qu’elle allait devoir rasé les murs sur elle voulait rester en vie. A la base, elle ne voulait pas y aller, mais Alec avait su user de force et de persuasion pour la convaincre, elle ne voulait pas y aller seule. Ainsi, elles seraient deux. Ysolde n’avait pas reparlé à Schuyler depuis l’épisode de la cabane hurlante, et n’avait pas reparlé à Emrys depuis l’épisode du puits de vœux, mais elle s’en voulait terriblement, terriblement. Les histoires de cœurs de la belle Ysolde se finissaient toujours mal, voir très mal. la dernière en date était Ulysse Lestrange, il obtenait la palme d’or du petit ami le plus odieux, le plus con et le plus violent qui soit. Oui, Ulysse avait déjà frappé Ysolde, et une fois même jusqu’à ce qu’elle saigne. Ensuite dans la catégorie «je ne veux plus entendre parler de toi», il y a Ducan Pevensie, raison de la rupture : il a passé un an à Azkaban. Ce ci expliquerait pourquoi Ysolde avait été si perdue avec Emrys, un garçon normal, pas bad boy, ni complètement cinglé. A cause d’eux, elle avait peur d’aimer, d’appartenir à l’autre, puis de le perdre à nouveau.
Ce jour là, comme tout les jours en fait, elle avait fuit l’agitation de la salle commune de serpentard pour se retrouver dans le parc. Elle se sentait bien ici, au grand air. Elle était assise dans l’herbe, ici personne ne la traiterait de « bâtarde », ou de « menteuse », comme ils le faisaient presque tous dans la salle commune de serpentard. Elle était dans l’herbe, sur une petite pente, les jambes étendues, et sur celle-ci, un carnet. En fait, il s’agissait de son journal intime pour être plus précis. Elle avait elle-même ensorcelé les pages pour que personne ne puisse le lire. Ysolde avait toujours été l’un de plus brillant cerveau de Poudlard, toujours, elle aurait peut être du finir à serdaigle, la sage et intelligente Ysolde. Elle était sage, calme, et brillante, mais, elle n’était pas toujours douce, ni même aimable, elle avait l’air fragile de l’extérieur, mais si vous saviez comme elle était forte à l’intérieur. Elle écrivait tranquillement quand tout en coup, elle se prit dans le dos un souafle, lancé volontairement dans sa direction par une bande de serpentard de dixième année, elle se retourna, poussant un petit cri de surprise, mais surtout un petit cri de douleur, ils lui avaient fait mal putain. Elle se retourna, leur jetant un regard noir et rétorquant froidement, sèchement : Aller jouer ailleurs bande de cancrelats trisomiques ! Elle se retourna faisant voler ses mèches blondes, elle en avait marre parfois, elle ne prit même pas la peine de renvoyer leur balle qui était à ses pieds. Qu’ils viennent la chercher, histoire qu’elle leur fout un coup de pied. Elle entendit un lointain « Oh la bâtarde, tu renvois la balle ! » elle leva les yeux au ciel, et fit mine de le prendre et jeta la balle un peu plus loin en direction du lac, et par chance le terrain en pente précipita la balle dans celui-ci, c’est un sourire de satisfaction qui s’afficha alors sur son visage. Fière d’elle, elle réalisa que ces petits cons avaient shooté son sac au passage, qui s’était à moitié renversé sur la pelouse, et qu’ils avaient bien visé son dos, le haut du dos, vers l’épaule, ou elle s’était fait mal. Muette, elle resta là, les yeux baisser, s’occupant de son journal, en fait, elle fulminait, prête à insulter la première personne qui lui adresserait la parole.
550 mots.
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Sujet: Re: MY EYES ARE SCREAMING FOR A SIGHT OF YOU. (duncan) Mer 24 Aoû - 21:51
Ysölde M. Wilkes McFays
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Sujet: Re: MY EYES ARE SCREAMING FOR A SIGHT OF YOU. (duncan) Jeu 25 Aoû - 11:03
Ysolde ignora alors les serpentards, et rangea chaque chose qui se trouvait dans son sac sans prêter attention au monde autours d’elle, elle avait appris à ne plus lui prêter attention. Ignorer le monde, et le monde vous ignorera, c’était ce qu’elle appliquait au pied de la lettre désormais, se faire oublier était la meilleure des solutions, elle qui avait toujours aimé être au centre des attentions, aujourd’hui détestait que l’on s’occupe d’elle, que l’on s’inquiète pour elle. Elle ne méritait pas que l’on s’inquiète pour elle, non, pas du tout même. Elle se replongea alors dans son carnet, son journal, à mesure qu’elle écrivait les lettres s’estompaient, elle ne supportait pas l’idée que quelqu’un puisse le lire. Elle leva alors les yeux vers le lac, songeuse, quand soudain elle senti quelqu’un s’asseoir près d’elle, et dire alors : Ses salopards ne savent pas à qui ils s’attaquent. Elle tressaillie. Duncan, elle aurait reconnu sa voix entre mille. Duncan le même qu’elle avait quitté le jour où il était entré à Azkaban pour le meurtre de moldu. Il avait été le véritable premier amour d’Ysolde, bien qu’aujourd’hui, elle ne ressente plus rien à son égard, le voir deux ans après débarqué comme une fleur la mettait hors d’elle. Et si, ces serpentards savaient exactement à qui ils s’en prenaient, à Ysolde Fayburn-Wilkes, la brebis blessé du troupeau des sang purs, ou du moins des conservateurs. Ysolde n’était plus ce qu’elle avait été. Avant elle avait été intouchable, une vraie princesse de serpentard, grande blonde, fière, forte, intrépide, froide, arrogante. Aujourd’hui, elle n’était plus rien, plus rien. la bâtarde d’Angus Wilkes, l’ex fiancée d’Ulysse Lestrange qui l’avait soit disant laissé tombé pour sa sœur, Bella, plus pure qu’elle. Ysolde était au fond, au fond. Elle dit alors, la voix neutre, sans le regarder : justement si, Ils savent exactement à qui ils s’en prennent. Ysolde n’était pas stupide, loin de là. Elle était la victime de Matthys Rowle, et d’Amadeus Black, des leaders chez les conservateurs, les autres faisaient pareil, ils s’en prenaient à la personne rejetée sur troupeau, faible, et abandonnée. Si Duncan l’avait plus que bien connu autrefois, aujourd’hui il ne restait plus grand-chose de cette Ysolde, autrefois drôle, souriante, aimante, arrogante, un peu sèche, mais toujours adorable. Aujourd’hui, elle n’était plus rien du tout, si, froide, renfermée, triste, peu sûre d’elle, la seule chose qui demeurait était qu’elle était forte, même si cela ne se voit pas forcément. Duncan, par Merlin il était bien la dernière personne qu’elle voulait voir en ce moment. En ce moment, elle voulait voir personne, elle supportait Alec parce que c’était sa meilleure amie, mais elle se refusait de parler d’histoire de cœur, tout était trop compliqué. Elle tourna alors son regard vert vers le jeune homme, il avait assez changé lui aussi. Ysolde avait les cheveux plus long, et avait grandi, il y a deux ans, elle avait encore l’air d’une enfant parfois. Elle dit alors froidement : Tu vois l’arbre là bas, pas le grand, le petit qui a l’air d’être un sapin de noël nain, et ben si tu pouvais aller là bas, ça serait bien, genre t’asseoir à plus de cent mètres de moi, ça serait très gentil de ta part. Elle ne le gratifia pas d’un sourire, mais d’un regard noir, et terriblement froid, puis elle attrapa de nouveau son stylo, écrivant sur son carnet, l’ignorant.
550 mots.
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Sujet: Re: MY EYES ARE SCREAMING FOR A SIGHT OF YOU. (duncan) Mer 21 Sep - 2:50
Duncan était tellement à cran sur tout ce qu’il faisait ces temps-ci que seule la vision d’Ysolde aurait pût lui amener un réel esprit de bonheur. Cependant, il savait que leur relation était terminée de façon si dramatique qu’il n’avait absolument rien à attendre après la blonde. Ils avaient été profondément déçus dans l’histoire et ce n’était pas parce qu’il avait toujours des sentiments pour elle qu’il saurait bien aligner les mots. Elle pourrait aussi bien l’envoyer promener, le gifler ou le menacer de sa baguette et ses trois choses ne seraient pas très effectifs sur Duncan car il ne partirait pas d’ici tôt. Deux années c’étaient écoulés depuis leur séparation, mais cela semblait plus récent que ses dernières plaies provoquées par son temps à Azkaban. Il était vrai qu’un homme ne pouvait y en sortir complètement conscient de ce qui l’entourait, tout ça n’avait été au final qu’un lavage de cerveau. Cette fille était la seule qu’il avait aimé autre que ces sœurs et c’est pourquoi il c’était accroché à cette image de leur ancien couple qui avait tout de parfait. Il avait surpassé toutes les rumeurs et tous les obstacles qu’elle avait alors mis devant lui. Il était clair que ses sentiments pour lui avaient fini par dépasser sa réputation et Duncan avait vu une Ysolde que très peu connaissaient. Tout comme les deux salopards qui s’acharnaient sur son cas alors qu’elle lisait bien tranquillement dans le parc. Ils n’avaient rien à lui reprocher juste de suivre les ordres des conservateurs que Duncan détestait rien qu’à y penser. Pourtant lui qui n’avait jamais eut de préférence de sang, surtout pas depuis ses derniers mois, ni d’aucun camp qui existait. Il s’était assis à ses côtés sans lui demander son avis et il aurait dût se douter que sa présence ne l’enchanterait pas. justement si, Ils savent exactement à qui ils s’en prennent. Le rouge et or avait entendu les ragots au sujet de son ancienne copine, mais rien ne l’empêchait de la porter d’une hauteur inatteignable dans son estime. Il avait mal au cœur de l’entendre parler de la sorte alors qu’elle était la fille la plus extraordinaire qu’il avait connu jusqu’à présent. Ne dit pas ça. Ils ne savent rien de la vraie Ysolde, de ce que tu es au fond. Son nez était retroussé, comme à toutes les fois où il était directement contrarié. Elle avait changé, mais rien ne l’empêchait de succomber à ses charmes à la seconde où ses prunelles avaient plongées dans les siennes. Tu vois l’arbre là bas, pas le grand, le petit qui a l’air d’être un sapin de noël nain, et ben si tu pouvais aller là bas, ça serait bien, genre t’asseoir à plus de cent mètres de moi, ça serait très gentil de ta part. Tiens donc, une mouche l’avait piquée? Bon d’accord, tout était la faute de Duncan et il en prenait entière responsabilité. Il digéra son regard froid de son impassibilité et leva les mains en l’air en signe de paix. . Non merci, je me fais honneur de refuser ton offre. J’ai passé deux années à plus de 100 kilomètres de toi, j’aimerais m’en passer. Puis, il accota sa tête sur sa main qui était reposée sur son genou, de sorte qu’il ne pouvait plus la lâcher du regard. Bon sang, ils étaient tous les deux royalement détruits et au moins l’un d’entre eux avait l’estime de s’en rendre compte et de se sentir encore plus fautif. Il était plus salopard que tous les mecs qui avaient pût faire du mal à Ysolde ses deux dernières années, ça il n’y avait aucun doute là-dessus. 620 mots.
Ysölde M. Wilkes McFays
first Log-in : 29/06/2010 parchemins : 8416
Sujet: Re: MY EYES ARE SCREAMING FOR A SIGHT OF YOU. (duncan) Jeu 22 Sep - 19:51
Ysolde était une fille… bizarre et surtout franche. Avant elle était un serpent, elle ondulait avant d’arriver droit au but de façon sournoise. Aujourd’hui, elle était sournoise, mais elle était avant tout franche. Elle ne se privait plus pour dire ce qu’elle pensait. Elle avait dit ce qu’elle pensait à son père, dans une entrevue éclaire fin août mais… elle ne tenait pas à faire de nouveau face à son père, non. Son père lui avait toujours fait peur, et ça ne s’arrêterait de sitôt. Son père était un… monstre, quelqu’un de sang froid, sans moral, et avec des fichus valeurs moyenâgeuse. Ysolde avait passé ces deux dernières années cerné de monstre : son père et Ulysse, quel tableau. D’ailleurs ce dernier avait « disparu » lors de la fête des fondateurs, ce qui ne lui ressemblait pas du tout. Elle avait un pressentiment, comme si la vision de sa mort qu’elle avait eut c’était réalisé ce jour là. Assister à la mort de quelqu’un c’est… étrange. Depuis sa première année à Poudlard Ysolde voyait les sombrals, elle avait vu mourir plusieurs personnes, dont sa mère. Elle avait peur de la mort, elle ne comprenait pas comment on pouvait tuer quelqu’un, le simple fait d’être spectatrice dans ses visions lui donnait la nausée. Ys était entouré de psychopathe, de personne non saine d’esprit, de personne ayant un casier judiciaire, des personnes indignes de confiance. En parlant de personne indigne de confiance : Duncan. Elle le trouvait indigne de confiance, totalement parce qu’il avait été à Azkaban, ce qui prouvait qu’il n’était pas… honnête. Les gens sincères, honnêtes, et normaux ne finissent pas à Azkaban, il n’y a que des coupables là bas. Ne dit pas ça. Ils ne savent rien de la vraie Ysolde, de ce que tu es au fond. Pitié pensa-t-elle alors. Comme s’il la connaissait. Il avait connu, Ysolde la fille un peu beaucoup garce, qui crachait sur les gens comme elle respirait, la Ysolde dont les gens se poussait de son chemin dans le couloir car ils avaient peur de la croiser, parce qu’ils avaient peur de sa réaction. Ysolde était une fille froide à l’époque, avec lui elle avait été le plus humaine possible mais aujourd’hui, elle était tellement différente. il ne l’avait pas connu comme ça, drôle, souriante, espiègle, travailleuse, fragile, vulnérable, franche. Elle était elle-même maintenant, mais lui, il ne la connaissait pas. Elle rétorqua alors : Toi non plus tu ne sais pas qui je suis au fond Duncan, tu n’as pas idée de qui je suis. Une voix sèche, franche, et cassante. Ce ton était la seule chose qui soit totalement identique chez Ysolde. Avant, Ysolde avait les cheveux très très long, elle les attachait toujours en chignon plus ou moins rangé, aujourd’hui, ils étaient plus courts, mais tout de même assez long, et nouveauté, elle les lâchait presque en permanence, alors qu’avant, elle les attachait toujours se donnant un air plus « stricte », « méchant ». Duncan commençait à lui taper sur le système. Il fit un geste, une sorte de signe de reddition, ou de je ne sais quoi ; ysolde leva les yeux au ciel, discrètement. Puis poussa un soupire quasiment muet et invisible, quand il lui dit alors : Non merci, je me fais honneur de refuser ton offre. J’ai passé deux années à plus de 100 kilomètres de toi, j’aimerais m’en passer. Oh, par Merlin. Il était… collant. Elle avait passé deux ans loin de lui, elle avait fini par « guérir » de leur relation, et elle ne s’en portait pas plus mal du tout, elle s’en portait même très bien. Elle avait su rebondir avec Ulysse, même si elle considérait cet épisode de sa vie comme une… erreur de parcourt remarquable. Aujourd’hui, elle se portait bien, même très bien, elle était « heureuse » enfin façon de parler. Sa vie était sans dessus dessous, un vrai bordel. Elle ne supportait pas qu’il la fixe de la sorte, elle poussa un soupire et rétorqua alors froidement : Si tu ne bouge pas je vais devoir bouger moi-même, être à plus de 100km de toi était tellement merveilleux. C’était à la fois froid, et … cynique. Elle était profondément cynique. Elle lui jeta un regard noir, et poussa un soupire. Elle attrapa son carnet qu’elle avait posé sur l’herbe, et le rangea alors dans son sac. 680 mots.
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Sujet: Re: MY EYES ARE SCREAMING FOR A SIGHT OF YOU. (duncan) Dim 25 Sep - 20:50
Au fond, Ysolde ne connaissait même pas la réelle raison qui avait envoyé Duncan à Azkaban. Elle avait été omise également dans les journaux et son père avait toujours soupçonné cette erreur comme un plan. En effet, si tout le monde avait appris que Duncan n’avait que protéger ces jeunes sœurs qui auraient pût en rafler, la populace aurait peut-être réagit. De ce fait, le ministère pouvait également accusé le fils Pevensie d’être un anti-moldu. Les gens l’associaient carrément à un sang-pur en prison de la façon froide qu’il agissait et par son désintérêt face à ce mensonge. Il aurait put dire la vérité à Ysolde puisqu’il l’aimait plus que tout, mais elle n’aurait pas put faire son deuil complètement. Du moins, c’était ce qu’il croyait. C’était bien plus facile d’oublier un monstre meurtrier qu’un défendeur un peu trop emporté. Encore aujourd’hui il ne voulait pas lui dire la vérité, car elle serait encore plus fâchée d’apprendre qu’il le lui avait caché On appelait sans doute tout ça un sacré cercle vicieux et Duncan n’était pas capable de s’en sortir. C’était une belle journée pour la fin de l’automne et le soleil réchauffait les deux jeunes qui avaient bien des choses à se dire, et pourtant l’une d’entre eux n’avait pas l’intention d’ouvrir la bouche. Duncan voulait la rassurer, lui dire que ces salopards n’avaient rien à faire auprès de la belle blonde. Cependant, ce n’est pas de cette façon que la vipère le pris et elle lui cracha son venin aussitôt. Toi non plus tu ne sais pas qui je suis au fond Duncan, tu n’as pas idée de qui je suis. Ses sourcils se froncèrent, sans doute seul signe autre que ses faux sourires qu’elle saurait lui tirer. Bon sang, elle avait réellement changé depuis le temps parce que le lion croyait toujours qu’il saurait l’amadouer. Alors tu devrais t’ouvrir à moi au lieu d’agir comme une vipère dans son trou. Elle n’aima pas la référence, il le vit tout de suite et il ne s’attendit pas à ce qu’elle lui répondre pour le moment. Il voulait réellement qu’ils parlent de leurs problèmes parce que Duncan voulait les régler. Il aurait dût se douter qu’Ysolde serait fâchée et qu’elle ne laisserait pas tomber le morceau aussi facilement, mais lui éprouvait toujours des sentiments pour elle et il n’arrivait pas à songer une minute de plus sans l’avoir près de lui. Il lui dit qu’il ne voulait plus s’éloigner d’elle et ça ne fonctionna pas plus. Il avait plus mal au cœur que des années auparavant, il songeait à leur séparation qui avait faillit le détruire en mille miettes. Si tu ne bouges pas je vais devoir bouger moi-même, être à plus de 100km de toi était tellement merveilleux. Voilà, c’était vrai qu’elle était relativement méchante, mais jamais il n’aurait cru que de telles paroles pouvaient sortir de sa bouche. Ne l’avait-elle jamais réellement aimé? Une fille normale ce serait ennuyée ne serait-ce que plusieurs jours après son départ pourtant ça ne semblait pas le cas de la blonde. Son visage se baissé jusqu’à ce qu’il puisse fixer le sol. Son cœur semblait battre à intervalles irréguliers, comme s’il allait cesser de pomper d’un moment à l’autre. Il sentit presque les larmes lui monter aux yeux, si seulement Duncan savait pleurer comme il ne l’avait plus fait depuis des onze ans. Je vais te laisser tranquille, m’enfuir à 100km s’il le faut, mais avant il faut que tu saches que tu étais mon seul rempart à Azkaban. Parce que même après ses deux années je t’aime encore, ma princesse. Sa voix devait être beaucoup moins forte et certaine qu’auparavant et il tenta un dernier regard avant de décider de prendre congé, préférant lui laisser penser à tout ça que de l’affronter une seconde de plus.
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MY EYES ARE SCREAMING FOR A SIGHT OF YOU. (duncan)
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