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(MADDIE&ISAAC) set the fire to the rain

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(MADDIE&ISAAC) set the fire to the rain Vide
MessageSujet: (MADDIE&ISAAC) set the fire to the rain   (MADDIE&ISAAC) set the fire to the rain EmptyJeu 7 Juil - 13:40


madeline et isaac rosier


J'étais assis dans la salle commune des Serpentard, le nez plongé dans un de mes livres de cours sur la métamorphose, lorsqu'un gamin, habillé de son uniforme vert et argent, couru dans ma direction et m'arracha à ma lecture. Je soupirai. Lui, de son côté, avait comme le souffle court. Il déglutit en voyant le regard noir que je lui jetai et, comme paralysé, il ne parla pas, gardant la bouche grande ouverte. Vu son allure, ce ne serait pas étonnant qu'il soit en première, ou peut-être deuxième année. Voyant qu'il ne semblait pas vouloir parler, je lui lançai un regard tout aussi dur mais qui, en plus de ça, faisait sentir mon impatience et mon énervement. Il s'humecta les lèvres. Mon.. Monsieur I.. Monsieur Isaac, on.. Je le fusillai du regard. Je détestais les personnes qui n'étaient pas capables d'aligner une phrase d'une traite. Elles avaient le don pour me taper sur le système. Faisant craquer mes phalanges, je sortis ma baguette de ma poche et je la dirigeai vers lui. Dès qu'il l'aperçus, on put lui trouver une certaine ressemblance avec un hibou que l'on éclairait, ou un lapin qui allait se faire renverser par une voiture. Je laissé filtrer un très léger sourire sadique. Petrificus Totalus. Le gosse se figea et sembla ficeler comme un banal morceau de viande avec des liens invisibles. Je rangeai ma baguette et, replongeant dans mon bouquin, je lui dis de se taire, que je bossai. Lorsque je posai mon regard sur lui, je pouvais voir que ses yeux n'arrêtaient pas de bouger, fixant tous les points de la salle commune, comme s'il cherchait quelque chose auquel se raccrocher, ou qui pourrait l'aider. Mais, et c'était bien dommage pour lui, nous n'étions qu'à deux dans cette salle et la seule personne pouvant le sortir de ce sort, c'était moi. Voulant avoir la paix pour étudier, je n'étais pas prêt de le libérer. La prochaine fois, au moins, il saura qu'il faut faire gaffe à ce que l'on dit, ou fait. Ou même les deux. Débarquer ici en courant et déranger le silence dans lequel j'étais plongé avec ses bégaiements était la pire chose que ce gosse avait pu faire de sa journée. Nous restâmes comme ça quelques minutes, peut-être vingt, jusqu'à ce que de nouveaux bruits de pas se fassent entendre dans les escaliers menant à la pièce. Je n'y fis pas attention mais je savais parfaitement que le marmot était désormais plein d'espoir. C'est alors qu'une voix familière se fit entendre. Leven. Ah bah voilà où était passé le gamin qu'on t'as envoyé. Mon meilleur ami vint trouver place à côté de moi, dans le canapé. Je lui répondis par un simple 'mmh' tout en continuant ma lecture. Comment ça se fait qu'il ait finit comme ça? Non pas que ça m'étonne. Je ne levai toujours pas les yeux vers lui mais, cette fois-ci, je lui adressai de vrai paroles. Après tout, je ne pouvais pas lui expliquer la situation autrement. Il bégayait, il m'énervait. Il rit. Il avait une capacité à rire beaucoup plus avancée que la mienne : je ne riais jamais, ou presque. Et quand c'était le cas, la plupart du temps mon sadisme en était la raison. Mais lui non. Il pouvait facilement rire d'une situation drôle, gênante, sadique également. Je relevai alors la tête vers lui, intrigué. Et pourquoi vous me l'aviez envoyer, au juste? Nos deux regards se posèrent sur le rouquin. Il semblait avoir lâché l'affaire, et avait fermé les yeux. Leven soupira. Je ne sais pas ce qui nous valait ce soupir. La situation du gosse ou ce qu'il avait à me dire? J'optai pour la seconde version et attendit. Il n'allait pas tarder à cracher le morceau. Ta sœur est entrain de péter une durite dans le hall. Elle menace de se barrer.

A l'évocation de Maddie, je fermai mon livre, rangeai ma baguette et me levai d'un bond. Je sortis de la salle commune, laissant Leven avec la demi-portion, montai les escaliers menant au hall et trouvait, comme il me l'avait dit, ma cadette entrain de crier haut et fort qu'elle voulait partir. Je n'eus pas besoin de me frayer un passage parmi les élèves : en me voyant arriver, ils se poussaient. J'ignorais si c'était la peur de ma plausible colère ou le soulagement de voir quelqu'un pouvant calmer Madeline arriver qui les faisait réagir, mais à cet instant je m'en moquais. La tête rousse de ma sœur était entourée d'un groupe de jeunes qui avaient formé un cercle autour d'elle. Ne prenant pas de gants avec eux, je défis leur ronde en les poussant les uns sur les autres avec violence. Une fois au niveau de Maddie, je tentai de la saisir par les épaules mais elle se débattait trop pour cela. Essayant de la calmer, je prononçai son prénom d'une voix étrangement douce, que seule elle pouvait me faire adopter. Voyant que ça n'avait absolument aucun effet sur elle, je soupirai et commençai à hausser le ton. Elle, de son côté, continuer ses mouvements frénétiques pour échapper à ma poigne et ses cris devenaient de plus en plus forts et aigus. Les voix des élèves autour de nous n'arrangeaient rien : je savais qu'ils parlaient d'elle, qu'il la critiquaient peut-être même. De plus en plus énervé, je saisi ma baguette et, la dirigeant vers ma gorge, je lançai un Sonorus, amplifiant ainsi la portée de ma propre voix. Je soufflai. MADDIE! Mon propre cri se répercuta sur les parois du hall et, à partir de là, plus aucun son hormis l'écho ne se fit entendre. Elle me fixait avec ses grands yeux, étonnée, comme si elle venait de se réveiller.
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Madeline B. Rookwood
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Je suis la préfète en chef, la reine des reines.

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MessageSujet: Re: (MADDIE&ISAAC) set the fire to the rain   (MADDIE&ISAAC) set the fire to the rain EmptyJeu 7 Juil - 20:52

    Les doigts frénétiquement refermés sur une lettre dépliée, tremblante, Madeline Rosier était en proie à une véritable crise d'hystérie. Elle relisait pour la énième fois ces lignes qu'elle connaissait déjà par coeur. Sur la feuille était couché l'écriture stricte de son père. Comme pour adoucir ce qu'il devait dire à sa fille, il commençait par "Ma Madeline", ce qui n'était jamais bon signe. Puis les choses étaient allé de mal en pis. Dans cette lettre, son père lui annonçait qu'elle devenait une belle femme, en âge de devenir une sorcière respectable. Pour ce faire, il avait choisi d'unir sa vie à celle de Logan Black, l'aîné de l'importante famille de sang pur. Vous ne voyez toujorus pas le problème ? Logan était l'ex petit ami de la préfète de Gryffondor. Elle le haïssait. Mais les choses ne s'arrêtaient pas là. Elle avait un fils de Mister Black. Un petit garçon pour qui elle aurait donné sa vie. Et ses parents, l'autorité absolu de sa famille, semblaient penser que ce petit ange était une tâche dans leur irréprochable lignée. Et puisqu'elle unirait bientôt sa vie à celle d'un homme, il devenait impossible pour Noah de rester dans la famille. Et les parents de Miss Rosier avait, semble-t-il, trouver une solution pour régler le "problème Noah". Cet enfant ne pouvait grandir avec elle. En revanche, une famille de sorcier au sang parfaitement pur, en France, avait été ravi de s'occuper de l'adorable petit garçon. Oui, vous comprenez parfaitement la situation. On demandait à Madeline d'oublier l'existence de son fils, d'épouser un homme qui lui avait fait du mal, et d'être une fierté pour les Rosier. Mais étaient-il assez fous pour penser qu'elle ne livrerait pas cette bataille ? De toute évidence. C'était son compter sur le caractère rebelle de la jolie rousse, qui avait immédiatement prit l'excellente résolution de faire ses bagages. Autour d'elle, ce fut la panique immédiate. La demoiselle, fébrile, le visage marqué par l'angoisse, tenter en vain de monter les escaliers pour gagner son dortoir, faire sa valise et partir retrouver son fils, qu'ils le veuillent ou non. Autour d'elle se forma rapidement un cercle de curieux, au milieu duquel Madeline se débattait férocement. On lui saisissait les poignets, le ton montait tandis qu'elle s'agitait de plus en plus. « Bougez de là ! » Elle n'entendait pas vraiment ce qu'il lui disait, simplement de ce calmer. Il lui sembla entendre le nom de son grand frère, mais complètement déconnectée de la réalité, elle ne pensait plus à ce qui l'entouré. Ses amis étaient devenu des obstacles qu'elle tentait en vain de franchir. Il lui sembla entendre son frère prononcer son prénom, derrière elle, mais elle n'y prêta pas attention, complètement absorbé par la folie qui la gagnait lentement.

    La belle avait toujours était un peu névrosée, ce n'était un secret pour personne. En revanche personne jamais ne l'avait vu dans cet état. Ce fut l'éclat de voix d'Isaac qui la ramena brusquement à la réalité. « MADDIE ! » La voix amplifiée magiquement de l'aîné se répercuta sur les murs et le silence se fit immédiatement dans le hall qui bouillait d'agitation il y à encore quelques secondes. Elle cessa immédiatement de s'agiter comme l'hystérique qu'elle était. Elle tourna vers lui son visage pâle, ses grands yeux vert empli d'une angoisse qu'il n'était pas encore en mesure de comprendre. « Isaac... » Elle murmura son prénom d'une voix douloureuse, c'était à peine plus qu'un chuchotement, quelque chose entre la plainte et la supplication. Elle avait le sentiment d'enfin reprendre contact avec la réalité, la voix d'Isaac ayant l'effet d'un grand seau d'eau glacé. Isaac Rosier pouvait se vanter d'être le seul à pouvoir maitriser sa fougueuse petite soeur. Depuis la mort mystérieuse de Marcus Rosier, ancien ministre de la magie et défunt oncle des deux jeunes gens, il semblait avoir de plus en plus d'autorité sur la benjamine de la famille. « Ils veulent le séparer de moi. » En sentant les larmes lui monter aux yeux, ms beaucoup trop fière pour pleureur devant d'autres élèves de l'école, elle ravala ses pleurs, une douleur infini faisant brillait ses prunelles couleurs émeraude. Avant d'avoir pu décider du contraire, elle se jeta dans les bras de son frère et murmura un « Aides moi... » étranglé.

    715 mots (un peu plus qu'un 'old school')
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MessageSujet: Re: (MADDIE&ISAAC) set the fire to the rain   (MADDIE&ISAAC) set the fire to the rain EmptyJeu 7 Juil - 22:25


madeline et isaac rosier


Je voyais bien dans le regard de Maddie qu'elle était désespérée, que quelque chose n'allait pas, qu'elle avait besoin de parler. Tout le monde autour de nous s'était tut, ne s'attendant certainement pas à ce que j'utilise ce sortilège d'amplification. Mais je le devais. Pour elle. Elle s'était calmée, d'un seul coup, comme si je l'avais réveillée du cauchemar qu'elle faisait. Cependant, je n'étais pas dupe : le regard qu'elle me lança en disait long sur ce qu'elle ressentait. Angoissé, perturbé. Elle avait un problème. Je caressai alors sa joue, comme pour la rassurer et lui prouver que j'étais bien là. Isaac.. De la douleur se faisait sentir dans son ton et je l'avais remarqué même si elle n'avait fait que chuchoter. Je continuai alors de la fixer, ma main gauche dans son cou et pouce effleurant sa pommette. De ma main droite, j'approchai de nouveau ma baguette de ma gorge, et murmurai Sourdinam, dans le but de retrouver ma voix normal, avant de laisser mon bras tomber le long de mon corps, sans arrêter de l'observer, comme si je craignais une sorte de rechute, une nouvelle crise d'hystérie de la part de Madeline. Dans tous les cas, j'aurais su comment l'arrêter, la calmer. J'étais le seul à savoir maitriser ma sœur. Mais la voir dans un état pareil pour une raison qui m'échappait encore était pour moi la pire des tortures car, après tout, cette naine rousse était la seule personne qui comptait réellement pour moi depuis et pour toujours. J'attendais patiemment, en silence, qu'elle accepte de cracher le morceau, qu'elle me balance tout ce qu'elle avait sur le cœur, qu'elle se confie pour que je puisse essayer de trouver une solution à son problème, comme à chaque fois qu'elle en avait un. Si c'était en mon pouvoir de le régler, je le ferais. Sinon.. Je le ferais quand même, quitte à y laisser quelques plumes. Parce que c'était elle. Ils veulent le séparer de moi. Ses yeux brillaient à cause des larmes qu'elle ravalait, fièrement. Je déglutis. Elle n'avait pas besoin d'en dire plus, je savais parfaitement de qui elle parlait. Mon neveu. Elle ne se serait pas mise dans un état pareil pour quelqu'un d'autre. Je sentis alors monter en moi une colère folle, une rage incroyable, due aux yeux humides de Maddie et à la possibilité qu'ils veuillent lui enlever son fils. Je fronçai les sourcils, d'énervement et d'incompréhension, sans savoir quoi répondre. Aides moi.. Madeline se jeta alors dans mes bras. Je la serrai contre moi, aussi fort que je pouvais, pour la protéger et la calmer. Mais seule la présence de Noah prêt d'elle pourrait réellement l'apaiser. Déposant un baiser sur son front, je relevai la tête, et m'adressai à toutes les personnes autour de nous. Barrez-vous! La foule commença alors à se disperser, avant que la quasi-totalité des élèves ne soient disparu. M'adressant à Maddie, je lui dis de me suivre et l'emmena s'asseoir sur les escaliers en la tirant par la main.

Un bras autour de ses épaules, l'autre encerclant sa poitrine. Comme à chaque fois. J'attendis qu'elle se calme un peu, frôlant de mes doigts son bras, son cou, déposant par moment de nouveau baiser sur son front, la serrant contre moi avec force pour lui montrer que je ne l'abandonnai pas. Elle le savait déjà, ça. Je n'avais aucunement besoin de lui prouver que j'étais là pour elle. Mais je le faisais quand même, de façon à ce qu'elle ne l'oublie jamais. Une fois un peu moins sur les nerfs et plus apte à me répondre, je me raclai la gorge et je repris la parole. Madeline, expliques-moi tout depuis le début. C'est quoi cette histoire? Pourquoi ils veulent t'enlever Noah? J'étais moi-même déconcerté par la nouvelle. C'était incroyable. Ce gamin n'avait rien demandé, il n'avait rien fait. Pas une seule raison n'était valable pour le séparer de sa mère. Et pourtant, c'est ce qu'ils comptaient faire. Je sentais, derrière toute cette histoire, un cou monter. Il y avait anguille sous roche, c'était certain, et il fallait que je comprenne sinon je risquais de devenir fou. Et ce n'est jamais bon.
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Madeline B. Rookwood
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MessageSujet: Re: (MADDIE&ISAAC) set the fire to the rain   (MADDIE&ISAAC) set the fire to the rain EmptyVen 8 Juil - 9:53

    Quand les bras d'Isaac se refermèrent sur elle, Madeline ferma les yeux et tenta de calmer un peu sa respiration saccadé. Avoir un grand frère était un véritable délice. Elle s'entendait si bien avec lui, elle ne pouvait pas imaginer une vie sans Isaac. Comment les gens pouvait-il se querellait avec leur frère ou leur soeur ? Nombres des amis de la demoiselle entretenaient des rapports plutôt conflictuels avec leur famille. Mais Isaac était la plus grande force de sa petite soeur, il ne fléchissait jamais, même s'il devait la porter à bout de bras, il avait toujorus était présent pour elle. Lorsqu'il avait apprit pour sa grossesse, il avait finit par l'accepter, et avait aussi accepter Noah, son neveu. Le petit garçon était devenu un membre de la famille à part entière, et maintenant, on voulait l'exiler quelque part en France. En faite, d'après la lettre, c'était déjà chose faite. Les parents Rosier avait ben prévu leur coup. Il savait que Madeline se battrait jusqu'au bout, alors ils avaient choisit de la mettre devant le fait accomplit. E fermant les yeux très fort, la belle tenta de se convaincre que tout ça n'était qu'un mauvais rêve, qu'elle allait se réveiller. Après tout, on ne pouvait décemment pas enlever un fils à sa mère, c'était inhumain. Mais Madeline savait. Elle savait qu'ils protégeaient ainsi l'honneur de la famille, car Noah était un enfant illégitime. Mais ce genre d'argument n'avait aucun impact sur la rouge et or, qui agissait bien souvent avec son coeur plutôt qu'avec sa tête. Mais pouvait-on vraiment reprocher à une mère de faire preuve d'humanité ? Miss Rosier brisait les traditions ancrée dans sa famille depuis toujorus, et ça depuis sa naissance. Au lieu d'aller à Serpentard, comme le veut son illustre nom, elle avait finit chez les Gryffondor. Elle avait fréquentait, à Poudlard, des nés moldus, avait tissé avec eux d'étroit lien d'amitié. Mais elle restait néanmoins fidèle à son éducation, basé sur le respect de la hiérarchie et les valeurs des sang pur. Les décisions de ses parents étaient normalement incontestables. Mais elles avaient toujours étaient justes. Celle-ci était révoltante, inacceptable pour la préfète des Gryffondor. Elle entendit la voix sèche de son frère qui ordonna « Barrez-vous! », ce qui eut le mérite de disperser les curieux qui regardaient le frère et la soeur, incapable de comprendre ce qu'il se passait juste sous leurs yeux. Comme d'habitude. Nous comprenions rarement ce que nous voyons, et ce malgré tout nos effort.

    Peu à peu, la présence de son aîné calma la jeune femme, le coeur ravagé par le chagrin. Mais son cerveau tournait à pleins régime, à la recherche d'un plan. Mais que pouvait-elle faire ? Quitter l'école était une réaction instinctive. Mais ensuite, où irait-elle ? Chez ses parents ? Surement pas. Dix neuf années d'obéissance et d'endoctrinement de la part de sa famille était en train d'être anéantie par la douleur de Madeline. Elle ne savait plus quoi faire, et personne ne pourrait l'aider. Les mots de réconfort ne parviendraient pas jusqu'à elle, ils se mourraient bien avant. Mais arrêter de se battre n'était pas une option envisageable. La demoiselle leva un visage pâle marqué par la douleur et la peine vers Isaac, qui sembla bouleversé à la vue de sa petite soeur. « Madeline, expliques-moi tout depuis le début. C'est quoi cette histoire? Pourquoi ils veulent t'enlever Noah? » L'incompréhension du jeune homme avait quelque chose de touchant. Il éprouvait de l'affection pour Noah, après tout, ce gamin était l'enfant de son unique soeur. Dans leurs veines coulait le même sang. En faite, tous les membres de la famille Rosier avait finit par accepter ce petit garçon qui avait déjà le même regard fier et calculateur qu'Isaac, Phineas ou Ambriose. La demoiselle déglutit avec difficulté et tendit d'une main tremblante la lettre de son père. Avant qu'il ne commence à la lire, elle voulait lui dire elle même ce qui lui arriverait. « Ils veulent me marier à un homme que je hais. » Elle hésita quelques seconde avant de dire vraiment de qui il s'agissait. Le dire semblait rendre les choses réelles. Les mots s'échappèrent des lèvres de Madeline dans un murmure. « Je vais épouser Logan Black. » Heureusement pour Logan, personne ne savait qu'il était le père de Noah, pas même lui. Maddie laissa son frère parcourir la lettre et apprendre que, pour leur parent, Noah était désormais un 'obstacle'.

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MessageSujet: Re: (MADDIE&ISAAC) set the fire to the rain   (MADDIE&ISAAC) set the fire to the rain EmptyVen 8 Juil - 23:45


madeline et isaac rosier


J'avais du mal à comprendre jusqu'à ce qu'elle me dise, avec des mots très clairs, qu'elle était obligée d'épouser un homme qu'elle haïssait. Sur ce point, je la comprenais parfaitement. Nous étions, l'un comme l'autre, les jouets de nos parents. Ils faisaient de nous ce qu'ils voulaient et nous, on devait obéir sans râler. Ils avaient, par conséquent, décidé de nous marier l'un comme l'autre à des personnes que l'on détestait, nous unissant à vie à elles. J'avais, pour ma part, hérité de la poupée gonflable des Lestrange, Jillian, livrée avec les emmerdes comprises sinon ça ne serait évidemment pas drôle. L'une des -nombreuses- personnes que je détestais sur cette Terre alors que Remy, ma Remy, était promise à un autre et, qui plus est, au salopard qui nous servait de cousin à Maddie et à moi. Je maudissais chaque jour mes parents de m'infliger cette torture, de me forcer à la détester de plus en plus, de me faire penser au fait que, comme elle deviendra ma femme, elle sera également en toute logique la mère de mes futurs gamins. J'en avais la nausée. Alors quand ma cadette m'annonça, après un moment d'hésitation, le nom de son nouveau fiancé, je ne pu que comprendre ce qui la rendait folle. Je vais épouser Logan Black. Je fronçai les sourcils. Eux qui tenaient temps à leur image, ils ne devraient pas forcer leur unique fille à se marier avec son ex petit-ami, d'autant plus vu la conclusion de leur relation, soit la haine de Madeline envers lui. Mais c'était un Black alors, forcément, pour eux, un Black ne pouvait être qu'une bonne chose. Foutaises. La rouquine déglutit et me tendit, la main comme secouée de spasmes musculaires, un bout de papier chiffonné qui semblait être une lettre. D'un mouvement rapide, je la saisis et la parcourus vite, ne m'attardant que sur les mots clefs. Noah. Mariage. Logan Blakc. France. Sang pur. J'étais d'accord avec leur idéologie des sangs purs, je devais sûrement être l'un des plus fidèles défenseur de ces valeurs. Mais là, ce n'était pas comme s'il s'agissait d'une cousine, d'une tante, ou bien même d'une inconnue. C'était ma sœur. Et mon neveu. Alors, en lisant ces mots écrits à la plume, j'avais mal. Pour la première fois depuis longtemps, je ressentais une douleur dans la poitrine dont Remy n'était pas la cause. Et c'est ce genre de chose qui me foutent vraiment mal.

Je resserrai un peu plus mon étreinte autour de ses épaules, les mots ne me venant pas. Je n'avais jamais eu d'avis sur le fait de séparer une mère de son enfant car je n'y avais jamais été confronté aussi directement qu'aujourd'hui. Je trouvais ça vraiment dur, même pour eux. Ils savaient ce que représentait Noah pour leur fille, et le gamin faisait partie intégrante de la famille Rosier. Tout le monde, ou presque, avait finit par l'accepter. Même moi qui, au départ, était réticent à propos de son arrivée. Et pourtant, j'avais réussi à le trouver 'mginon', même si c'est un de ces mots qui ne sortent jamais de ma bouche. Il avait déjà un air taquin et manipulateur, et je me doutais qu'il finirait sûrement en mini-Isaac. Mais s'il partait en France, s'il vivait loin de nous, de Maddie, ça ne sera pas le cas. Et elle ne pouvait rien y faire car, à en lire leur lettre, ils la mettaient sur le fait accompli. J'avais des envies de meurtres. Je soupirai, non pas parce qu'elle m'ennuyait ou quelque chose comme ça, mais simplement parce que j'étais totalement perdu, parce que je ne savais pas quoi faire et que ce genre de chose n'était pas censé m'arriver. Je n'avais jamais été bancal sur ce point : je trouvais toujours une réponse à chaque problème. Mais là, celui-ci me donnait et donnerait du fil à retordre. T'en fais pas, on va trouver une solution. Il restera pas en France. J'étais certain de trouver un moyen de faire revenir l'enfant mais, en ce qui concernait le mariage arrangé avec Black, je planchai sur la question depuis l'annonce du mien avec Jillian et je n'avais jamais trouvé d'autre solution que d'en parler avec Phineas. Mais qui dit cela dit, forcément, une raison valable et je préférais crever la gueule ouverte plutôt que de lui balancer ce que représentait Remy pour moi, réellement. Je passai ma main dans les cheveux de ma sœur, le regard vide, tout en continuant de murmurer que oui, on allait trouver une solution au départ de Noah.
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MessageSujet: Re: (MADDIE&ISAAC) set the fire to the rain   (MADDIE&ISAAC) set the fire to the rain EmptyLun 11 Juil - 7:51


    Dans les vieilles familles de sang purs, il était rare qu'on se marie par amour. On mariait ses enfants au dignitaires des plus riches et des plus importantes famille, car dans ce monde là, l'argent et le prestiges ne se gagnent pas, ils s'épousent. Isaac et Madeline Rosier avaient donc tous deux étaient promis à deux jeunes gens, sans qu'on ne prenne vraiment le temps de leur demander leur avis. Sinon, on se serait aperçut que l'aîné n'éprouver que de la haine pour sa promise, qui n'était autre que la meilleure amie de sa cadette qui, de son côté, craignait plus que tout celui qu'on lui avait désigné. Depuis son enfance, Madeline rêvait d'un mariage d'amour, un mariage de princesse, comme dans les légendes. Mais elle n'aurait droit qu'à un sordide mariage arrangé qui lui briserait le coeur une fois de plus. Elle aimait toujours Logan, bien sur, elle ne cesserait jamais de l'aimer. Mais elle éprouvait aussi pour lui une haine qui la dévorait depuis plus de trois ans. Une haine qu'elle ne pourrait jamais oublier, car il était le père de Noah. Pour tous le monde, l'existence des Rosier était des plus aisée. Une vieille famille, très importante, influente, riche, qui gravitait dans les plus hautes sphère du ministère... C'était tellement plus simple de ne pas voir au delà des apparences. Mais les apparences étaient incroyablement précieuse pour une famille comme les Rosier. Laver leur linge sale en publique n'était pas vraiment bien vu chez eux, leurs problèmes ne concernait personne d'autre. L'un de ces problème avait été Madeline -et elle en était toujorus un en faite. Toujours à contre courant, la jolie rousse, non contente d'être à Gryffondor, travailler d'arrache-pied pour devenir auror dans une famille de mangemorts. « T'en fais pas, on va trouver une solution. Il restera pas en France. » La rouge et or esquissa un pâle sourire. Elle savait que, tout comme elle, Isaac n'avait pas de solution. Même si elle parvenait à faire annuler ce mariage, les chances pour que le petit garçon revienne en Grande-Bretagne étaient bien minces. Et elle ne pourrait pas briser ses fiançailles avec Logan. Il n'y avait pas de solution, s'il y en avait une, Isaac l'aurait trouvé depuis longtemps. Il détestait Jillian-Rose. Madeline avait choisit de ne pas se mêler de se conflit, ne voulant en aucun cas choisir entre son frère et celle qu'elle considérait comme sa soeur. Elle avait cependant prévenu son frangin. S'il faisait du mal à Miss Lestrange, elle ne lui pardonnerait jamais et il pourrait se considérer comme fils unique.

    Pourquoi, tout semblait tourner au cauchemar en ce moment ? Après avoir échappé à la noyade, on aurait pu penser que la demoiselle aurait droit à un peu de repos, mais non, impossible, pas le temps de se reposer. « Si, il restera la-bas. » dit alors la demoiselle en sortant de ses réflexion. Le regard étonné de son frère lui fit clairement voir qu'il ne comprenait pas ce brusque changement d'attitude. Comment lui expliquer ? Il aurait fallut qu'il sache que Logan était le père de Noah, mais elle ne pouvait toujours pas se résoudre à lui dire. Cependant, répugnant de mentir à son frère, son protecteur, un des homme de sa vie, la jeune femme opta pour une demi vérité. « Logan pourrit tout ce qu'il touche. Noah ne doit surtout pas grandir avec ce monstre. » Dans sa voix se faisait sentir la colère, la souffrance et l'amertume que l'aîné des Black provoquait en elle. Cet homme l'avait brisé. Pas seulement moralement. Une des raisons principales de leur rupture était la violence du jeune homme, qui avait plus d'une fois malmené celle qui était à l'époque sa petite amie. Et on demandait aujourd'hui à la demoiselle de l'épouser, d'être la fierté de la famille, et surtout, de se taire. Issac ne comprenait pas, elle le voyait sur son visage. Le moment était-il venu de lui faire connaitre l'identité du père de Noah ? Madeline aurait voulu partir, sans plus se poser de question. Mais la façon dont elle avait été élevé l'interdisait de faire passer ses intérêt avant ceux de sa famille. Partir reviendrait à jeter le déshonneur sur les Rosier. Pouvait-elle vraiment se le permettre ? Les enfants des familles de sang purs n'étaient pas libre. Encore moins que les prisonniers, coupables ou innocent, qui pourrissaient en ces temps troublés dans les cellules d'Azkaban.

    713 mots
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MessageSujet: Re: (MADDIE&ISAAC) set the fire to the rain   (MADDIE&ISAAC) set the fire to the rain EmptyLun 11 Juil - 18:00


madeline et isaac rosier


J'étais perdu dans mes pensées, à chercher, à me creuser la tête. Les idées qui me venaient à l'esprit étaient toutes plus idiotes et invraisemblable les unes que les autres. La seule qui restait plus ou moins plausible était d'aller le chercher moi-même. Encore fallait-il que je sache où se trouvait sa famille d'accueil, et ça n'était pas le genre de chose facile à savoir. J'imaginais qu'ils avaient dut envoyer l'enfant dans une ville assez éloignée de la capitale, une bourgade, quelque chose comme cela. De plus, un autre soucis s'ajouter à cette perspective : malgré mon nom typiquement frenchy, je ne parlais pas leur langue. Je n'avais jamais jugé ça très utile d'apprendre une langue étrangère du monde moldu. Après tout, tout le monde était censé maitriser ne serait-ce que les bases de l'anglais. Et, pour couronner le tout, leur accent était vraiment horrible. La voix de Madeline me sortit alors de mes réflexions. Elle brisa le silence qui s'était imposé entre nous par des paroles qui me surpris énormément. Est-ce qu'elle avait donc perdu la tête? Était-ce les effets de son chagrin? Au fond de moi, je l'espérais. Car elle n'avait pas le droit de baisser les bras. “ Si, il restera la-bas „ Je la regardai, ahuri. J'espérais qu'elle rigole, même si ce genre de blague aurait été vraiment très douteux, ou qu'elle me dise qu'elle irait le rejoindre en France s'il le fallait. Je fronçai les sourcils d'incompréhension. “ C'est une blague? T'as pas le droit de baisser les bras, Madeline! Tu m'entends? Je te l'interdis. T'es une Rosier, oui ou merde? On baisse pas les bras chez nous, et c'est l'une des valeurs qu'on nous a enseigner! „ Elle savait à quel point j'accordais de l'importance aux valeurs et aux principes de notre famille, à quel point elles étaient nécessaires selon moi. Sans ça, qu'est-ce que l'on deviendrait? Comment tournerait le monde? Je baissai les yeux, attendant qu'elle me réponde. “ Logan pourrit tout ce qu'il touche. Noah ne doit surtout pas grandir avec ce monstre. „

Je me levai brusquement et commençai à faire les cent pas sur la marche d'escalier. J'étais énervé, je ne la pensais pas comme ça, du genre à abandonner ainsi son enfant. Les poings serrés, je marchai de plus en plus rapidement, mordant avec force ma lèvre inférieure, allant jusqu'au sang. Je ne pouvais pas me faire une raison. Je ne pouvais pas laisser faire ça. Il fallait que je m'occupe de cette affaire, que je m'en charge, que je la règle. Il devait y avoir une solution. Et, si c'est vraiment nécessaire, j'irais jusqu'en France, quitte à partir seul. Je finis par m'arrêter et me mettre accroupi devant Maddie. Passant mes mains sur mon visage, je finis par saisir son menton entre mon pouce et mon index et je la forçai à me regarder. “ Tu crois pas que ce gosse à le droit de grandir avec sa mère? Tu t'es pas dit que ça ne serait jamais réellement Noah s'il grandissait loin de toi? Que t'allais en souffrir? Je compte pas te laisser faire ça. „ Je marquai une pause, avalant ma salive. Il fallait que je trouve les mots pour la résonner, la ramener à la raison, lui faire comprendre qu'elle n'avait pas à subir cette situation, et son fils encore moins. Tout le reste, je l'avais oublié. Mes autres problèmes, ces choses qu'il restait à régler. Noah, elle, étaient devenu ma priorité. Même si je n'avais jamais été très 'famille', c'était impensable de laisser les choses comme ça. Certes, le gosse était ce que l'on appelle vulgairement un bâtard. Mais il n'en était pas moins un membre à part entière des Rosier. Il devait grandir avec nous. Je me raclai la gorge et repris. “ S'il le faut, j'abandonnerais ma dernière année et j'irais le chercher. Seul ou accompagné, j'm'en tape totalement. Même si je parles pas français, tout le monde parle anglais. J'irais chercher Noah, parce que je sais que tu penses pas ce que tu dis. „ Je la fixai quelques secondes. “ Si Black s'en prend à lui, je te jure que je le tue. „ J'étais totalement sérieux.


(c'est court et nul, désolée)
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Madeline B. Rookwood
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Je suis la préfète en chef, la reine des reines.

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MessageSujet: Re: (MADDIE&ISAAC) set the fire to the rain   (MADDIE&ISAAC) set the fire to the rain EmptyDim 17 Juil - 18:52


    Madeline Rosier n'abandonnait jamais, ce n'était pas une chose qu'on tolérait dans sa famille. Mais choisir de laisser Noah grandir ailleurs qu'après des Rosier n'était pas vraiment un abandon. Bien sur son fils se dirait que sa mère avait préféré l'abandonner plutôt que de l'élever. Mais quel avenir pourrait-elle offrir à cet enfant illégitime ? Il grandirait dans la honte de ses origines, puisque né hors mariage, et cet obscurantisme le rongerait jusqu'à en faire un jeune homme amer qui n'éprouverait que de la haine pour sa famille. Madeline le savait. Ce qu'elle voyait aujourd'hui dans les yeux de son fils ne durerait pas. Mais il était inconcevable qu'il grandisse auprès de Logan et elle. Elle n'éprouvait que de la haine pour le jeune homme, reniant l'amour qui brulait en elle. Elle ne voulait surtout pas donner cette vie à ce petit garçon qu'elle aimait temps. En France, auprès d'une respectable famille de sang pur, il grandirait heureux, sans connaitre les relations malsaines qui régissaient sa famille. Isaac ne semblait plus rien comprendre au comportement de sa petite soeur, qui passait d'une émotion à l'autre en un temps record. Il se leva d'un bond sous le regard de sa cadette, qui le laissait s'agiter. Elle ne connaissait trop bien pour tenter de le raisonner quand son cerveau échafaudait mille plan à la minute pour rapatrier Noah au pays. Pour l'instant, il n'écouterait personne. Il lui fallait d'abord se calmer, et ensuite, comprendre. Mais la tâche ne serait pas aisé, la jeune homme étant aussi têtue que sa soeur. Un trait de caractère très représentatif de la famille Rosier de tout évidence, puisque leur cousins et cousine le possédaient aussi. Madeline le laissa faire les cent pas, se contentant de le regarder en chassant du mieux la peine qui se lisait sur son visage. « Tu crois pas que ce gosse à le droit de grandir avec sa mère? Tu t'es pas dit que ça ne serait jamais réellement Noah s'il grandissait loin de toi? Que t'allais en souffrir? Je compte pas te laisser faire ça. » C'était une évidence, Issa Rosier ne se laisserai pas abattre, et il comptait bien rendre se petit garçon à son irresponsable de mère. Madeline, pourtant débordante de confiance en elle, savait qu'elle était loin d'être la mère parfaite. Elle aimait ce petit garçon turbulent, plus que tout même. Mais l'existence qu'elle lui offrait l'effrayait. « Il à le droit d'avoir une vraie famille, Isaac. Regarde ce que j'ai à lui offrir, le monde dans lequel il va grandir ! Il y à trois mois, j'ai faillit mourir noyé dans le château ! Noah mérite mieux qu'une vie qui à autant d'équilibre qu'un château de carte. » La douleur qui ravageait la préfète ne s'apaiserait surement pas, mais elle ne pouvait rien faire contre ça. Sans compter sa colère contre Logan.

    « Si Black s'en prend à lui, je te jure que je le tue. » La flamme que Madeline vit alors s'allumer dans les yeux de son grand frère la fit frémir. Il était sérieux. Isaac était resté le grand frère qu'il avait toujours été, mais Maddie percevait mieux que personne, un changement chez lui. Il avait toujours était plutôt... fourbe et cruel. Mais aujourd'hui, et pour la première fois de sa vie, la rouge et or avait peur de ce que pourrait faire son frère. « Ne dis pas des choses pareilles Isaac » murmura-t-elle d'une voix douce. Peut-être était-il temps de lui dire la vérité au sujet de Logan Black. Elle planta ses yeux dans ceux d'Isaac, accroupi devant elle. Le début de sa grossesse, et son annonce à sa famille avaient été particulièrement douloureux. Elle avait d'abord refusé de répondre au question de son aîné, inquiet à la vue du visage terrifié de Miss Rosier. Ce qui l'effrayait tant alors, c'était Logan. Logan qui était violent, Logan qui la balançait contre les murs, Logan qui lui serrait si fort les poignets qu'elle pensait qu'il finirait par la tuer. Logan qui était le père de l'enfant qui grandissait en elle. « Il y à quelque chose que je devrais te dire... » chuchota la demoiselle d'une voix si faible qu'elle n'était même pas sûre que Logan l'ai entendu. Elle ne savait même plus si elle voulait lui dire ou non, mais elle ne pouvait plus faire marche arrière.
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