GOOD MORNING, LOVE - nelson&lola

“GOOD MORNING, LOVE “¨

Ce matin, mes yeux s'ouvrit seuls sans avoir été obliger à être réveiller par d'autre. D'habitude, je trainais toujours au lit simplement parce que le soir je faisais des escapades dans la nuit soit à la forêt interdite soit dans le parc afin de trouver tranquiliter. Les semaines et les jours passaient et j'avais l'impréssion que les jours se ressemblait. Je ne savais pas quel heure il était mais ce que je savais c'est qu'il était très tôt car tout le monde dans mon dortoir dormait dans un sommeil profond et non léger. Je resta quelques minutes dans mon lit, les draps étaient chaud et je ne voulais pas avoir froid en descendant dans la salle commune même si je savais que je prendrais direction des douches peu de temps après être partit de mes draps. Je me redressa afin de sortir des draps verts et noir et pris mes vêtements habituels pour aller prendre une douche bien chaude jusqu'à ce que les autres n'en n'est plus. J'appréciais prendre toute l'eau afin que ceux de mon année et les plus vieux ainsi que les plus jeunes n'est que d'eau froide à leurs disposition. Même pour une douche j'étais méchant, je profitais à chaque fois au maximum des douches. Je resta de longues minutes sous l'eau et sortis des douches afin de me sécher correctement et de m'habiller. Mon pantalon noir n'était pas dé-laver comme celui de mon frère et mes soeurs, le mien était vraiment plus propre que les autres et d'une couleur plus net. Ma chemise quand elle, était blanche éclatante, elle non plus n'était pas dé-lavée, elle était bien propre et elle sentait bon la lésive. Quand à ma cravate, vert et argent, elle sentait mon odeur d'homme et la lévise également. Habiller, j'étais enfin prêt à partir pour une escapade de matinée, je savais que personne n'était un couche tard et lève tôt comme moi. D'ailleurs cette nuit, j'avais aperçu des ombres à l'extérieur du parc, je ne sais pas exactement ce que c'était ou qui c'était plutôt mais ce que je savais, c'est que la personne cherchait quelque chose. Pendant de longues minutes, j'avais pensé à celui qui avait prit existence de mon potentiel, celui qui était bien fort que tout le monde ou bien le sorcier le plus puissant au monde. Après avoir pris ma douche, je sortis en direction de la salle commune des serpentards, personne n'y était, il devait donc être très tôt. Je parcourru le grand couloir en direction du tableau de l'entrée pour sortir afin de traverser les cachots et d'arriver dans le grand hall. Je n'avais pas faim comme toujours, le matin je n'avais jamais d'appétis. Juste un café et cela me suffisais largement. Aujourd'hui, je ne voulais pas que ma journée soit aussi banal que toutes les autres car malgré tout, elles se ressemblaient toutes. Mes journées étaient toutes comme celle-ci : Je me levais dans les alentours de huit heures, je prend le temps de me levé c'est à dire environs trois minutes, je pars en direction de la douche, qu'elle soit chaude ou tiède, jamais d'eau froide car je pousse tout le monde, je descend les escaliers après m'avoir habiller pour la journée, je prend mon petit-déjeuner c'est à dire tasse bol de café au lait et ensuite la matinée de cours commence vers les environs de neuf heures et là, mes journées sont totalement banal même si je suis attentif et élève sérieux en cours ce qui étonne beaucoup d'ailleurs. Ce matin, je voulais que ma journée soit différente, je n'aimais pas les choses habituels et même si cela parait étrange, je ne sais pas ou j'allais ce matin mais je pris direction de l'extérieur sans me posé de question. J'avais un odora qui était assez bien dévelloper pour savoir quelque chose ou plutôt quelqu'un était passé par ici, un parfum que je connaissais bien, que je pouvais reconnaitre même à trois kilomètres. Mon odora et mon côter observateur m'aidais beaucoup car je pouvais sentir l'ennemi même s'il était loin. Quand je connaissais un parfum, je pouvais facilement le reconnaitre, d'ailleurs c'est comme ça que je m'aide pour reconnaitre l'une de mes conquêtes trop proche de moi. J'étais connu pour être le méchant, distant, froid, le garçon qui ne pense cas lui, solitaire comme son ombre, ne voulant que la gloire éternel et le pouvoir. Je voulais être celui, qui fairait fuir les gens plus tard, rien quand prononceant mon nom. Weasley. Nelson Weasley. J'étais le garçon froid et je le serais pour toujours. Aujourd'hui j'étais mangemort, j'avais un maitre, moi qui n'aimais pas qu'on me donne des ordres, je m'étais concentré sur mon objectif, faire le mal et non le bien. Le parfum que j'avais respiré m'enmena droit à la serre. L'air était frais. Nous approchions du moins d'octobre et ensuite de novembre puis de décembre et là, je passerais un moment en famille, moi qui détestais ça. Etre avec Atlance, le frère qui m'avais trahis, je ne pouvais même pas être dans la même pièce que lui c'était impossible, rien que de savoir qu'il était dans le château, j'avais une envie de l'étrangler, de le rendre sourd parce que je le connaissais mieux que personne, je savais qu'il fairait tout pour que quelqu'un le remarque facilement. Atlance n'était que le bon garçon de la famille et je n'étais même pas jaloux de lui car moi, contrairement à lui, je voulais que notre famille règne et garde son sang pur contrairement à lui qui se battait jours et nuits pour les sang de bourbes. Attroce. Moche. Je n'étais pas le frère idéal mais je savais que si Atlance avait des problèmes avec la justice plus tard, je pourrais peut être l'aider car je voulais être avocat voir même ministre. C'était sans doute mon plus grand rêve. Percer dans le pouvoir, contrôler le ministère de la magie, que tout le monde soit à mes pieds. Je fis face à la porte d'entrée de la serre, quelqu'un était dedans, un parfum féminin. J'ouvris alors la porte, j'espèrais ne pas tomber sur une folle. Et là, mon regard tomba en direction d'une silhouette, d'une femme, enfin d'une demoiselle, celle qui me perturbais. Je n'aimais pas la sensation que je pouvais avoir lorsque je l'aperçevais. J'étais comme un idiot face à elle et c'était bien la première que quelqu'un comme elle, me rendais comme ça. Avec elle, c'était autre chose. Je ne savais pas quoi faire, comment réagir face une créature de la nature, une belle créature. J'entra dans la serre sans faire de bruit et referma la porte derrière. Je pris la parole en parlant avec ma voix grave. « Tu n'as rien à faire dans la serre Crispe. » Idiot, je n'étais qu'un idiot avec elle. En faite, j'avais voulu lui dire " bonne matinée n'est ce pas " et non j'étais bien plus fort, bien plus froid face à elle, j'avais besoin qu'elle voit que j'étais-là, que j'étais à Poudlard, j'avais l'impréssion d'être un fantôme face à elle, un inconnu. Etais-je jaloux de tout ce qui l'entourait et de tout ce qu'elle touchait? J'aurais bien voulu savoir car même le mot jalousie, je ne savais pas ce que c'était. Je n'étais pas le genre de garçon à m'attacher et encore loin à une fille. Je resta près de la porte, je n'avais même pas ma baguette sur moi, première erreur.

Tu n'as rien à faire dans la serre Crispe.

Eee... Je... Oui... Non. Eee... En fait, non... Non, plus maintenant.

Tu avais besoin de la serre Nelson ? Je peux te la laisser, y'as pas de problèmes, je repasserais.

Moi, Nelson Weasley, si j'avais bien peur d'une chose dans ce monde de fou, ce n'était pas de la mort, ni de la vie, ni des autres sang purs, ni des sang de bourbes mais c'était bien d'elle, de Lola Crispe. Beaucoup ne me comprendrais surement pas et pourtant moi-même je ne me comprenais pas, comment une fille aussi banal que la poufousffle pouvait me rendre ridicul et idiot à la fois quand je me trouvais dans la même pièce qu'elle ou quand je la croisais dans les couloirs du château. Comment une fille pouvait me rendre totalement différent à ce point? Pourquoi avec-elle je n'arrivais pas à trouver les bons mots? J'aurais beau me posé des tas de questions, je savais que je n'aurais aucune réponse et encore moins à ce sujet. Ce qui était sur dans tout ça, c'est qu'elle ne me laissais pas indifférent malheureusement, rien de l'avoir en face de moi, faisait accéllérer mon coeur malheureusement. Que m'arrivais-il? Je ne voulais pas de sentiment, je ne voulais rien qui est en rapport avec elle, c'était bien connu dans le château, je n'étais qu'un égoiste qui pense cas sois même, je n'étais qu'un garçon qui avait un coeur de pierre et qui ne ressentait rien pas même la douleur alors pourquoi cette fille, alors qu'il y en avait d'autre à Poudlard me rendait-elle différent? Ou alors était-ce moi qui était complétement banal face à celle-ci. Après que j'ai pris la parole, elle m'adressa un sourire. Comment voulez-vous ne pas fondre face à cette belle créature de la nature ! Pourquoi un tel acharnement sur moi ! Je n'avais pas envie de retrouver l'ancien Nelson, j'étais bien comme je l'étais aujourd'hui, j'avais tout fais pendant des années pour devenir un des meilleurs sorciers de tout les temps alors une fille qui me changerais ça, hors de question, elle aurait la mort qui l'attendait, mais Lola, c'était Lola quoi, c'était impossible qu'elle est un des sorts impardonnable, c'était impossible. « Eee... Je... Oui... Non. Eee... En fait, non... Non, plus maintenant. »
Des ma première année à Poudlard, j'avais eu Lola dans ma classe, ceci jusqu'à mes sept années jusqu'à ce que nos cursus nous sépares mais ce que je me rappellais bien, c'était cas chaque fois qu'elle lève la main, j'avais eu envie que le ou la professeur l'interroge rien que pour entendre ça voix. En faite pour moi, la poufsouffle était carrément parfaite chose qui pour beaucoup n'aurait pas lieu d'être et même-moi j'étais étonné de penser ça d'un coup. Je ne savais pas quoi vraiment lui répondre, j'avais l'impréssion qu'elle allait partire et je ne voulais pas, je voulais profiter de l'instant présent que la matinée me présentais face à elle. Peut être que c'était le destin après tout, peut être que je devais enfin voir l'occasion que j'avais d'être seul avec elle. Mais je ne savais pas vraiment quoi faire, je n'étais bon que pour enmener les demoiselles de Poudlard dans la cabane hurlante afin de faire des... Tours de manège ouais. « Bonjour.. » Etais-je fou? Malgrer ma voix grave j'avais essayer d'être stable face à cette situation. Ma voix avait même trembler rien quand parlant. Quand je vous disais que face à elle j'étais d'un ridicul qui vous aurait fait uriner dans vos pantalons, je disais vrai. Bonjour, je venais de lui dire bonjour alors que je ne le disais pratiquement jamais ! J'avais l'impréssion que quelqu'un m'avais fait un lavage de cerveau ou alors me l'avais complétement retourner ! Honteux, j'étais minable face à elle, si quelqu'un m'avais vu à cet instant, je pouvais être sur que j'entendrais chuchoter dans tout les couloirs du château. Je venais d'être poli alors que je ne l'étais jamais même chez moi, je préférais qu'on me laisse seul face à mon destin comme toujours. « Tu avais besoin de la serre Nelson ? Je peux te la laisser, y'as pas de problèmes, je repasserais. » Si j'avais besoin de la serre? Je ne voyais même pas pourquoi j'étais venu ici à par été guider par sa bonne odeur. Je n'étais pas vraiment un fan des plantes au du moins tout ce qui touchait à la nature même si parfois, je me laissais bien allonger sur l'herbe fraiche du matin et de l'herbe chaude de l'après midi pendant mes temps libre, ce qui était rare à Poudlard car nous étions tous des élèves travailleurs même si parfois, nous arrêtons un peu pour prendre du bon temps. Je laissa mes yeux suivre la belle poufsouffle, mon coeur battait encore à toute vitesse, je n'aimais pas ça, je ne voulais pas de ça, c'était interdit pour moi. Je suivais ses moindres gestes, j'étais très observateur, elle venait de prendre son petit déjeuner en main, surement pour partire le plus vite possible. Je devais certainement lui faire peur et contre toute attente je m'approcha d'elle doucement afin d'être à ses côtés pour regarder ce rosier? « Euhm... Tu pleure...? » Son visage, son regard en disait long, elle était comme triste, perturber par quelque chose. Je n'étais pas aveugle à ce point, je savais reconnaitre quand quelqu'un allait bien, contrairement à moi qui cachais tout sentiment et émotion de mon visage. J'étais comme ça, je n'aimais pas que l'on sache ce que je ressens ni comment j'allais, il m'arrivait d'avoir des coups de cafard mais jamais je n'en parlerais à qui que ce soit, j'étais bien de trop solitaire, bien de trop distant et égoiste pour faire part à quelqu'un de mes ressentiments. Mon regard se tourna vers la poufsouffle, je m'étonna moi-même en voulant l'aider mais je ne savais pas quoi vraiment lui dire, je savais parler aux filles mais pas quand elle... M'intéressait... Me troublait... « Tu peux rester... Je ne sais même pas ce que je fou ici... » Mon regard alla alors vers les plantes. Ce que j'aimais bien, c'était quand les roses était fleurit, c'était le meilleur moment pour en piquer une et l'offrir à une fille pour qu'elle accepte de vous voir plus tard malheureusement il faudra attendra l'été pour cela. Je sentais la poufsouffle pas bien et cela me faisais quand même mal de la voir dans cet état. Je devenais fou à l'intérieur de moi. Pourquoi être aussi sympathique avec une fille qui ne sait même pas que vous existez. Même si parfois, quand j'étais en bande, elle m'adressait des sourires qui d'ailleurs je n'osais pas le lui rendre. D'ailleurs je me souviens qu'une fois, Black trouvait sa bizard à ma réaction. La poufsouffle sentait vraiment très bon, à moins que c'était les plantes qui sentait comme ça. Bizarrement, cette simple fille me rendait totalement différent. La preuve, je m'étais rapprocher d'elle alors que je n'aurais même pas pris la peine avec une catin du château. D'ailleurs, je me souviens encore du moment ou j'avais voulu me faire Lola dans le lit de la cabane hurlante. Etonnant, j'avais refuser par respect de coucher avec elle, simplement parce qu'elle était encore pure et que je n'aurais pas voulu lui gâcher ça. Gentil? Non je n'étais pas un garçon sympathique, il fallait se méfier de moi seulement avec Lola, c'était bien différent, malheureusement. Lola, c'était bien la première fille en dehors de Bridget ma frangine que je respectais et je dois avouer que tout ça me faisais peur. Je trouvais Lola totalement différente des autres filles du château, je la trouvais plus naturel que d'autre, plus attirante également. Lola était en faite une vrai perle au château et rien que le fait dit penser, j'en flippais, elle me retournait le cerveau. Je profitais de cet instant présent pour respirer sa bonne odeur, de pouvoir la regarder ou du moins l'admirer comme je n'aurais pas eu l'occasion à l'extérieur de cette serre. Je devenais fou.