prologue. ~ her and him.
A bien des égards, le petit garçon aux cheveux d'un roux flamboyant qui sortait de la maisonnette voisine à une famille semblable à la sienne, ne s'attendait pas à partager tout et rien avec une jeune fille du nom de Matilda. Rousse aussi flamboyante que lui, c'était surement le premier point commun qui réunissait les deux compères pour qu'ils finissent par devenir amis ; mais dans le coeur du petit garçon, Matilda était son amie d'enfance et sa meilleure amie ~ bien qu'un moment où un autre ils seraient séparés par des choses et d'autres. Le défaitiste en lui se dévoilait déjà l'âge de huit ans quand par inadvertance, il refusa catégoriquement que sa tante lui achète un horrible manteau qui semblait être en velours vert kaki, mais son côté maladroit et sa tendance à être influençable finit par couter trente livres à sa tante qui le força à se rendre à l'école primaire vêtue de ce vieux manteau ressemblant à celui d'une vieille femme qui l'aurait vendu en l'occasion. C'était comme-ci il était devin, car le lendemain, quand il se rendait à l'école devant les yeux ahuris des enfants et de la petite Matilda, sa voisine, il se sentait honteux d'être vêtu si étrangement - mais les fonds de la famille n'étaient que trop bas pour s'acheter des tas de vestes en cuir ou autres ; pourtant ; le petit garçon gardait la tête haute face aux réflexions, même si son répondant n'était pas développé pour l'avantager contre les critiques, il avait de quoi se prouver à lui même qu'il valait mieux ça maintenant que plus tard. « t'es un putois roux. » Voilà comment le désignait son ennemi principal lors de son enfance ; il n'était rien ce moldu ; rien du tout face à Noah le sorcier. Car de toute évidence, le bon dieu avait accepté de lui offrir un petit et unique bonheur - de un parce qu'il se retrouvait dans une école de magie en n'ayant aucuns antécédents magiques - de deux parce qu'il s'y retrouvait avec elle, avec Matilda, la voisine aux cheveux roux flamboyants comme lui avec qui il partage tout depuis des années maintenant. Quand il reçut sa lettre de Poudlard, l'excitation et la surprise se mêlèrent sur son visage, créant une atmosphère détendue et joviale autour de la maisonnette Breswter-Griggs.
chapter one. hoggy warty hogwarts.
« Puis-je m'assoir ici... ou... ? » Un sourire timide sur le visage de Noah qui croisait le regard de sa voisine la tête dans l’entrebâillement de la porte du compartiment qu'il avait poussé lentement. Le petit garçon allait passé pour un pervers à suivre Matilda partout comme cela, mais il s'excusait presque d'un regard pour l'avoir interrompue dans sa conversation avec une jeune fille dont il ne connaissait certainement pas le nom et dont il se fichait éperdument au fond. « ehm... je vois... d'accord.... poooooooooufsouffle ! » L'exclamation du choixpeau créait un frisson dans l'échine du garçon et il se levait d'un bon pour rejoindre la table de sa maison ; sa seconde maison ; les jaunes et noirs. Noah avait beau être parfois insouciant et désorganisé, il n'était que trop bosseur et logique dan ses réflexions, créant ainsi un parfait petit rat de bibliothèque parmi les poufsouffle. Bien évidemment, parfois, il s'avérait que le jeune homme soit susceptible de se prendre une claque en pleine face quand un serpentard venait l'aborder pour lui foutre un poing dans la joue, créant un hématome énorme qui attisait la curiosité de son amie Matilda. Mais ce ne fut qu'un peu trop la solution pour forger son caractère protecteur envers elle et d'autres jeunes filles qui appartiennent partiellement à son simple petit coeur de garçon étourdi et froussard. Car oui de toute évidence, le plus froussard de tout les poufsouffle c'était lui ; il fuit, il court, dès que quelqu'un tente de l'approcher pour lui foutre une raclé - il tourne les talons et s'enfuit , presque en courant, presque en marchant. Sa première expérience dans une bagarre lui a valut un arrêt à l'infirmerie pendant presque une semaine ; coquard - bleues - contusions - s'en était presque drôle quand on en parle. « C'est qui ce mec, Mattie ? » jalousie première. jalousie dernière. Après son déménagement avec ses parents suite à la naissance de sa petite soeur, il n'eut que trop peu de contacte avec elle, ne trouvant le courage de lui adresser la parole et de la suivre que quand il est nécéssaire à Poudlard. Le dénommé Reed rendait fou de jalousie le garçon mais il n'y pouvait strictement rien en fin de compte ; c'était ça ou rien. C'était supporter son éloignement vers ce poufsouffle qu'il ne trouvait que trop influençable envers elle plutôt que de ne plus la voir, plutôt que de s'éloigner lui même d'elle.
chapter two. jealousy and indifférence.
Le plus gros défaut de Noah c'est sa jalousie maladive ; la surprotection qu'il donne aux autres qu'il pense nécessaire et qui n'a pas a l'être autant. Noah est un garçon gentil, mignon, attentionné, prêt à tout pour les autres, mais il ne comprends pas vraiment l'importance des sentiments et de l'amitié. Noah est un bon ami pour Matlida, et il ne semble pas comprendre pourquoi elle s'éloigne de lui pour se rapprocher de Reed puis de ce gars qui semble s'appeler Boyde dont il ne connait rien et dont il se fiche éperdument ; le problème n'est pas les garçons qu'elle fréquente, mais juste à supporter l'éloignement de la fille qu'il considérait comme sa meilleure amie et qui n'est finalement pas comme tel. Quoi qu'il arrive Matilda est comme sa propre petite soeur qu'il détestait au départ, il est tendu quand elle s'éloigne, il est aux aguets quand un garçon l'approche, il est comme un frère pour Matilda sans doute, mais lui il ne saurait dire ce qu'elle était réellement pour lui. Juste de l'amitié. Juste des disputes à revendre. Les embrouilles se sont multipliés lors de leurs années à Poudlard et ce n'est pas rare d'entendre des grognements sourds sortirent de la bouche du garçon quand son regard croise celui de la jeune rousse alors qui se renfrogne dans son coin et se tapit loin d'elle. Il est susceptible et tête de mule ; d'où le fait qu'ils ne se réconcilient que peu rapidement - ils peuvent rester ainsi des jours sans se parler et en regrettant l'un comme l'autre leurs paroles ou leurs gestes déplacés - il n'y a pourtant point de rancoeur dans les agissements du garçon, il pense juste que Matilda lui appartient à lui aussi, c'est un fait. « on verra qui gagnera... piaf jaune. » Compétitif, il se mesurait presque trop à Reed - froussard ou pas, il voulait l'amitié à Matilda juste pour lui, mais ce n'était que trop peine perdu - malgré lui d'ailleurs.
chapter three. attirance, sexe, sensibilité = babykat
Katniss Withaker. Cette fille est semblable à une petite poupée qu'on aimerait chouchouter à longueur de journée. Noah et elle ne se connaissent que peu, mais assez pour entrevoir une amitié naitre entre eux, amitié simple et directe, lui le preux chevalier qui accoure vers sa destinée, elle la déesse et petite princesse détestable de ses derniers jours. Derniers jours, oui, surtout quand on sait que par inadvertance, les deux jeunes gens ici présents se sont retrouvés dans une situation déplacé, indépendamment de leurs sentiments et de leurs actions à eux - la fautive étant Katniss qui usa de ses charmes de vélane endurcie pour séduire et avoir, le jour où il se rendit chez elle lors des dernières vacances juste pour prendre quelques nouvelles, de quoi se sentir plus légère, plus vivante, plus elle - avait-elle seulement envisagé que le coeur de Noah ne cesserait de battre pour elle après qu'ils aient couchés ensemble sans qu'il ne puisse donner un quelconque consentement contre les charmes magnifiques de la belle jeune femme ? « Ecoute... je sais pas exactement ce qui s'est passé, d'accord ? Mais tu dois juste me promettre que.. que tu ne recommenceras pas ça. T'es... T'es juste... » Elle était juste Katniss ; celle qui à présent il évitait le plus possible, sans réussite. Elle étiat juste Babykat ; c'était le surnom qui tentait de lui donner en silence, dans son coeur, dans son esprit, mais il ne l'avait jamais encore dit réellement à la personne concerné. Non il n'éprouvait strictement rien pour Katniss ; jusqu'à présent du moins. Ce ne fut seulement que les longues et interminables vacances pendant lesquels il réfléchit durement à la situation qu'il ne se rendit compte de son obsession pour elle à cet instant. Elle osait le torturer d'une telle manière ; sans réfléchir à la conséquence de ses actes ; elle osait et se fichait de ses sentiments à lui - sentiments qui lui étaient lui me^me inconnus jusque là mais la réflexion et le calme qui s'étaient offerts à lui n'avaient qu'accentuer un peu plus son attirance pour Kat. « Putain, babykat... qu'es-ce que tu m'as fait bon sang.. » Son coeurt battait. Son corps tremblait. Des frissons irrésistibles quand son regard se posait sur son propre reflet, imaginant ainsi celui de babykat. L'impossibilité était pourtant là ; comment pouvait-il être possiblement amoureux d'elle ? c'était impossible ; totalement idiot ; stupide ; mais c'était surement ça qui faisait le charme de Noah quand l'amour frappait à sa porte à lui - il ne sait jamais comment agir, réagir et se sentir.