Nom : Jack.
Prénom : Zakariah, Jaeger.
Surnom : Zak / ZJ / Jagg
Âge : 20 ans. 22/07
Cursus, option(s) : Sécurité Magique, options càc moldu & filature.
Année scolaire : 10ème année.
Nature du sang : Né moldu.

Caractère :
« Jack… Jack… Zakariah Jeager ! C’est la dixième année à Poudlard, si je me souviens bien. Ah, Zak’. C’est un petit phénomène, sage à ses heures, impulsifs à d’autres. Mais rassurez-vous, depuis qu’il est en scolarité ici, il n’a causé aucun ennui – ou presque. C’est d’ailleurs l’un des étudiants le plus posé parmi tous. Lorsque la plupart en parle, étudiants comme professeurs, c’est toujours positivement. Aussi, au niveau de ses capacités à assimiler, il s’avère vraiment doué… Un peu comme l’était Jeager en son temps, bien que tout deux aient un style très différent. Mais s’il est une chose qu’il faudrait retenir de Z.J, c’est sa force de caractère. Têtu comme une mule, ne laissant rien paraitre de ses émotions, de ce qu’il aime et ce qu’il déteste. Il est mystérieux, à tel point qu’on se demande souvent s’il n’est pas différent des autres. Néanmoins, on sent qu’il trimballe un poids sur les épaules. On le ressent toujours. Il n’y a qu’à l’observer pour comprendre que la vie n’est pas extraordinaire à ses yeux. La mine renfrognée, le regard ailleurs, l’air énigmatique planant autour de lui… Bref il ne faut pas compter sur lui si vous voulez faire rire la communauté. En revanche, il a continué ses études suite aux Aspics pour un but précis : le faire devenir un excellent justicier magique. C’est ambitieux. Très ambitieux de sa part, mais c’est un bosseur hors pair. Il n’y a qu’à observer son parcours depuis son arrivée ici ! Déterminé, persévérant… Il a toutes les qualités requises pour y parvenir. Seules les filles pourraient venir à bout de son envie hors catégorie. D’autant plus qu’il est loin de les laisser indifférente pour la plupart. Mais je vous le dis franchement, Zakariah est surement l’un des jeunes sorciers le plus prometteur de sa génération. »
But, espérances : En intégrant Poudlard, Zakariah n'avait qu'une envie : rendre sa famille fière de lui. C'est encore le cas à l'heure actuelle, ou 10 ans après, il continue ses études dans la maison de Serdaigle avec l'espoir qu'un jour, il soit l'un des Aurors le plus reconnu à travers le monde magique.
Craintes, peurs : Il y a peu, Zakariah a eut une importante discussion sur ses origines. Il est apparu que, au final, il n'avait en rien des ancêtres magiques. Loin de là, il est même le fils de simples moldus, adopté par une famille de sangs-mêlés. Lui s'en moque. Mais il a peur qu'à présent, à Poudlard et dans le monde magique, on le voit sous un oeil différent. Son épouvantard est quand à lui le symbole du vertige. En somme, face à une de ces créatures, Zak voit le sol se dérober sous ses pieds.
Baguette : 23 cm, bois de chêne & nerf de ventricule d'un dragon noir des Hébrides.
Niveau scolaire global : Zakariah assimile à la perfection. Il est donc tout à fait normal de le voir réussir le moindre examen avec une facilité déconcertante, l'intégrant évidemment chez les Serdaigle. Ses aspics ? Il a obtenu la note Optimale dans plus de 80% de ses matières. Potion, vol et botanique étant ses points faibles.
Animal de compagnie : Une chouette en totalité noire, hormi une tache blanche sous son oeil droit.

Enfance :
Ipswich, Castle Hill. Un quartier paisible, tranquille, composé de divers petits châteaux des temps anciens. Paisible d’apparence, il l’était également au sens propre du terme. Si bien qu’on s’amuse souvent à prendre cet endroit comme l’un des havres de paix les plus coquets de l’île britannique. Pour cause, les familles y résidant roulent quasiment sur l’or sans pour autant être les plus riches du pays. Certaines familles sont même simplement aisées au niveau financier si bien qu'au bout du compte, la plupart ne sont que d’honnêtes travailleurs gagnant leurs argents à la sueur de leurs fronts. Toujours est-il que l’allure bien docile de l'endroit provenait des grandes bâtisses en pierres, avec allées fleuries forts bien entretenus, avec gazons irréprochables, voitures propres sur parking privé voir même des limousines. Rien à envier aux quartiers riches que l’on trouve dans les plus grosses villes du monde même si ceux-ci possèdent des gardes en costumes protégeant bien souvent des secrets sombres au fond de leurs gigantesques villas. Ici, c’était différent. Ici, les querelles intestines dans les familles n’étaient pas plus importantes qu’une simple fourmi dans sa colonie. Il n’y avait pas de problème entre elles, toutes respirant la joie de vivre, toutes pleine d’amour. Jamais un point noir sur le tableau de cette colline aux châteaux. Même au niveau des enfants, c’était idem. Riant aux éclats, invités de part et d’autres pour divers fêtes, soirées, sorties. Vous l’aurez compris, il s’agissait là d’un quartier dans lequel beaucoup de personne souhaiterait habiter. Et là, pas d’exception. La simple raison était que ses résidents étaient tous des gens extraordinairement agréables. Des sorciers, purement et simplement. C’est dans l’une de ces familles que fut élevé Zakariah, jeune garçon brun aux yeux d’un azur perçant. Et même s’il avait raison en partie, il avait tort sur une bonne moitié. Il n’était pas le fruit de l’amour des deux adultes l’encadrant. Mais ce secret fut bien gardé, à la fois par les voisins et par cette famille.

Zakariah, le prénom de son père, associé à celui d’un illustre ancêtre ayant marqué les mémoires de se prestance et sa carrure agressive : Jaeger. Allez savoir pourquoi, la famille Jack a jugé bon de lui donner cette seconde appellation qui finalement, plait assez à l’homme qu’il est actuellement. Un porteur qui a eu une vie plus que rayonnante depuis sa plus tendre enfance. Et pour cause, nous sommes loin des scènes difficiles d’un orphelin ou de parents incapables et violents. A la demeure des Jack, ce n’était que bonté, joie et amour. C’est dans cette optique que se développa le jeune enfant brun aux yeux azurés, souriant à n’en plus finir, passant du temps avec son père au bord du lac et avec sa mère à faire la cuisine. Un enfant épanoui bien que jaloux de la plupart de ses amis d’époque. Chacun avait une personne à ses cotés, un frère, une sœur, limitant la solitude que pouvait ressentir un enfant. Zak’ lui, n’a jamais connu ce sentiment de fraternité. Élevé seul, grandit seul, apprenant seul. Mais comment pouvait-il ressentir le manque d’un frère ou d’une sœur, s’il ne l’avait jamais connu auparavant ? La question qu’un gosse ne se pose pas mais qui persiste, se gravant en lui pour un long moment bien qu’en évoluant, ce sentiment se masquera sous d’autres pensées moins importantes. Ses parents tenant à lui inculquer une bonne éducation, Zakariah a toujours été avide de connaissance et exemplaire dans ce qu’il faisait. A tel point que lorsqu’il découvrit ses propres pouvoirs magiques, il n’esquissa qu’un faible sourire amusé. Pour lui, c’était évident, il n’était que le successeur d’un sorcier s’étant marié à une moldu. Sauf qu’en théorie, ces pouvoirs magiques ne provenaient nullement de l’homme lui servant de père.
Année Poudlard :
« Le samedi 23 juin de ma septième année...
Ca fait un bon moment que je n’ai plus posé sur papier ce que je vis, ce que je ressens et ce dont j’ai envie. Pourtant, ca fait déjà sept ans que je suis à Poudlard, plongé dans des études qui me laissent de marbre. J’ai eu la chance d’intégrer la maison de l’aigle bleu et argent, ce qui m’attriste légèrement puisque mon père avait emprunté la voie des gryffondors. Mais même chez les Serdaigle, je ne me suis jamais réellement senti à ma place, un peu comme s’il me manquait quelque chose. C’est stupide, je sais. On a dit qu’il s’agissait là de ma modestie, que j’étais fait pour cette maison. Au final, je m’y suis bien intégré. L’amitié, l’amour, la jalousie, l’envie… Toutes ces émotions que je n’avais quasiment jamais connues se sont révélées à moi comme si j’étais comme n’importe quels élèves. Mes questions s’étaient estompées comme neige fond au soleil. Niveau scolarité, j’étais dans les normes. Sans avoir le besoin d’étudier jusqu’à pas d’heure, j’ai toujours eu de bonnes notes, même excellente vis-à-vis des autres. Quoique j’avoue avoir eu plus de difficulté avec le cours de potion. La faute à la belle brune située deux rangs devant moi, trop belle pour que j'en détourne le regard. Je dois aussi te dire que j’ai fais quelques essais pour entrer dans l’équipe de quidditch de la maison. Avec succès je suppose, puisque en tant que poursuiveur je me débrouillai plutôt bien. L’ennui, c’était que cette « passion » qu’avait quasiment tous les sorciers, je ne l’avais pas vraiment, préférant d’autres activités. J’ai finalement refusé de jouer, restant donc en retrait en les observant. J’ai surement gâché quelque chose à ce moment là, sauf que je ne pense pas agir différemment si l’occasion se représentait. Et puis, j’ai autre chose en tête actuellement, notamment les examens de fin d’année et la énième rupture d’avec la plus belle de Poudlard à mes yeux. Comme quoi, je ne suis pas fait pour l’esbroufe ni pour les relations de longues durées. Je t’avouerais également et ce seront surement mes derniers mots ici, que j’ai l’impression de changer. Comment ? Pourquoi ? De quelle manière ? Je n’en ai aucune idée. Tout ce que je sais, c’est que rien ne m’intéresse comme avant, un peu comme si ma perception changeait du tout au tout. Peut-être les prémices de mon passage à l’âge adulte, à la vie active ? Même si j’ai encore des doutes vis-à-vis de la suite. Je m’imagine même continuer mes études dans la sécurité magique. Enfin, j’y verrais surement plus clair après la discussion avec mes parents d’ici la fin de la semaine prochaine. Aux dernières nouvelles, ils avaient quelque chose d’important à m’annoncer… Moi qui suis du genre impatient, je vais être d’une sale humeur ces prochains jours….»
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Pseudo : Daxi
Âge : 20 ans.
Comment avez vous connu le forum ? : Sur Bazzart.
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Le mot magique ? : Dobby Président (aussi grand que celui fr actuel )