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(GRAYSON) ─ Rancune : une maladie qui ne pardonne pas.

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MessageSujet: (GRAYSON) ─ Rancune : une maladie qui ne pardonne pas.   (GRAYSON) ─ Rancune : une maladie qui ne pardonne pas. EmptyLun 8 Aoû - 17:24

Spoiler:



Pourquoi Mlle Jean Whistles-Pond avait-elle hérité d’un frère si indigne ? La question avait plusieurs fois fait le tour dans sa tête, sans pour autant y trouver de réelle réponse. Grayson était – en effet – totalement opposé à elle et la petite poignée de points communs qu’ils avaient n’avait jamais suffi à faire d’eux un duo inséparable. Cependant Jean avouait porter une affection sans bornes pour ce frère peu scrupuleux : chose qui avait le don d’étonner ses plus proches amis (pour lesquels ‘’Grayson’’ rimait avec ‘’tyran’’). « Vous ne le connaissez pas ! » avait donc pris l’habitude de rétorquer la brunette quant aux accusations calomnieuses visant son ainé. C’était lassant ! Grayson n’était pas le monstre assoiffé de sang que certains décrivaient, simplement que ses mœurs étaient différentes de celles des autres, pensait Jean non sans philosophie. Oui, Mlle avait le ‘bon’ reflex de toujours défendre son frère, même lorsqu’il avait tort. Elle l’aimait trop et lui avait pardonné d’innombrables écarts de comportement à en faire frémir quelques-uns. Sauf que ces derniers temps, le ton avait changé et son éternel sourire s’était transformé en une moue boudeuse car en effet, Jean n’avait toujours pas excusé le fait que Grayson l’ait ‘’abandonnée’’ durant les vacances. Ca avait été ‘’la goutte d’eau qui fait déborder le vase’’.


FLASHB
« Ah ! Si on n’est pas bien ici ! Hein les enfants ? » Articula Mr. Whistles-Pond sortant de la tente en s’étirant de bonheur. Il jaugeait les lieux qui l’entouraient avec une incroyable satisfaction, tout était absolument parfait et il se félicitait intérieurement d’avoir choisi cette destination pour le mois de Juillet. L’Amazonie était en effet un pays pleins de surprises et Mrs Whistles-Pond se languissait de pouvoir visiter sa forêt. Grayson et Jean – eux – se contentaient la plupart du temps de jouer aux cartes à l’abri du soleil lorsqu’un moment de repos leur était accordé, et de suivre leurs parents dans d’innombrables randonnées. Mais aujourd’hui, les enfants Whistles-Pond avaient prévu de s’accorder de la liberté, tandis que leurs parents découvriraient la forêt. Il était 7h le matin, et Jean avait déjà hâte de partager la journée avec son frère. « Bon Gray, on y va quand ? » s’impatientait-elle, tandis que son frère encore sous la tente préparait les derniers détails de son apparence « J’arrive, ne me stresse pas.» rétorqua l’ainé, presque agacé tandis que Mr. & Mrs Whistles-Pond s’apprêtaient à partir. DRING DRING . le portable de Grayson sonne avant qu’ils n’aient pu souhaiter une bonne journée à leurs enfants. A l’intérieur de la tente, on entend l’ainé s’agiter et finalement décrocher, il marmonne quelques trucs incompréhensibles et raccroche. Il sort de la tente, le visage crispé, il a l’air énervé. « Bon, c’est bon, on peut y aller là ? » renchérit Jean, excédée. « Non, je dois partir » répond Grayson le plus naturellement possible. Incompréhension générale. « Hein ? Mais où ? » Insiste la benjamine du groupe. « Je rentre à la maison. Ok ? Mais Gray ! Tu ne peux pas me faire ça ! » S’exclame Jean du tac-au-tac, sous le choc. Gray hausse les épaules et elle reprend « On ne peut pas te faire confiance de toutes façons t’es qu’un crétin, un égoi…Oh Jean ! Laisse ton frère tranquille. Et tu mettras un euro dans la boite à gros mots, tiens ! Non mais ! » Coupe Mr. Whistles-Pond, beaucoup plus révolté de l’attitude de sa fille que par autre chose. Grayson prend alors rapidement son sac à dos et part finalement sans se retourner, sous les cris de Mrs Whistles-Pond « Bon retour mon chéri ! Tu nous diras quel temps il fait à la maison ! » .
FIN


Ainsi, Jean avait passé la fin de ses vacances embrigadée dans sa tente, dans l’espoir du retour de son frère : chose qui n’était naturellement pas arrivée. Et maintenant qu’elle était de retour à Poudlard et qu’elle entendait régulièrement les élèves parler de leurs vacances « extraôôôôrdinaires ! » au détour d’un couloir, elle était âpre, morose et toute la colère qu’elle avait gardée au fond d’elle ne demandait qu’à être expulsée. Ainsi, elle avait écrit une lettre à son frère la veille et après plusieurs hésitations elle s’était résolue à envoyer son hibou la lui remettre. « Gray, viens au lac demain à 15h. Et si tu ne viens pas, je ne te le pardonnerai pas. Ta potentielle-ex-sœur ». Clair, bref et concis. Jean était ainsi prête à renier sa fraternité si le garçon ne se présentait pas ; c’est dire à quel point elle était en colère. Elle s’était enfermée dans un mutisme qui ne lui ressemblait pas et elle bouillonnait intérieurement.

Assise devant le lac, elle attendait impatiemment. Elle tripotait ses cheveux pour s’occuper et se souvenait de ce lac dans lequel elle s’était enfoncée jusqu’aux genoux lors de sa quatrième année. L’eau était froide et elle avait eu l’impression d’être coupée en deux tant l’eau la transperçait. Ainsi, elle s’était promise de ne plus se risquer à ce genre de défi et elle avait en horreur ce lieu. C’était ce qui l’avait motivé à y ‘’convier’’ son frère, et elle espérait intérieurement pouvoir le pousser dans l’eau glacée. A cette pensée, Jean sourit et secoua la tête comme pour la vider de toutes ses folles idées. Elle jaugea une énième fois sa montre et eut l’impression que ses aiguilles se mouvaient au ralenti. Elle attendit.
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MessageSujet: Re: (GRAYSON) ─ Rancune : une maladie qui ne pardonne pas.   (GRAYSON) ─ Rancune : une maladie qui ne pardonne pas. EmptyDim 14 Aoû - 23:38


Spoiler:








Forêt Amazonienne ; 17 Juillet, 7h07 a.m.

Agité, je cherche frénétiquement cet objet moldu que je déteste mais qu’il est nécessaire d’avoir pour se fondre dans la masse. Ne pas se faire remarquer, ne pas dévoiler son identité de sorcier. Sourire et garder secret notre lieu d’étude, mentir sur nos activités … J’enrage en entendant ce téléphone sonner sans parvenir à mettre la main dessus. Quand je finis par le trouver j’ai la mauvaise idée de décrocher sans regarder le nom de l’appelant. Cette voix si souvent entendue il y a deux ans, ses murmures aux moments les plus forts de nos étreintes. Je pensais pourtant m’en être débarrassée. « Que veux-tu ? » Mon ton sec semble l’intimider comme lors de notre dernière rencontre mais elle veut me voir, elle insiste, elle dit que c’est important puis la voix d’une enfant se fait entendre. « papa … » mon sang se glace à l’écoute de ses deux syllabes. Je n’entends plus le reste, la jungle est bien loin de moi désormais mais la voix de sa mère me fait revenir sur terre. Elle me donne rendez-vous, elle ne me laisse pas le choix, elle me dit qu’elles y seront toutes les deux et que je ne peux pas décevoir la fillette. Elle ose me donner des ordres, une sang de bourbe ! Je bouillonne, je raccroche et réprime l’envie de faire disparaitre cet objet moldu avec un reducto. Ma colère est visible sur mon visage, la tension est palpable, j’ai besoin de prendre l’air, je dois partir ! Je sors alors de la tente, nez à nez avec ma sœur je ne supporte plus le moindre de ses mots. « Bon, c’est bon, on peut y aller là ? » ; « Je rentre à la maison ! » Les plaintes ne tardent pas à venir mais ça m’est égal, je ne fais même plus attention à ce qu’elle dit. Ma décision est prise, sans un mot de plus je transplane mon sac à dos à la main.

Debout sur le perron d’une demeure victorienne, Londres ne m’a jamais semblé aussi hostile. Pourquoi suis-je venu ? Je ne lui dois rien, tout avait été très clair. Je n’avais rien en commun avec cette batarde et sa mère, je ne voulais rien avoir à faire avec elles et pourtant j’étais là, au rendez-vous qu’elle m’avait fixé, j’attendais …


×××


Poudlard ; 21 Septembre, 2h54 p.m.


Assis dans un des fauteuils émeraude de la salle commune des Serpentards je relisais une dernière fois la lettre assassine que m’avait adressée ma sœur. Je l’avais reçue au courrier de ce matin, pendant le petit déjeuner, juste à temps pour savoir que mon après-midi ne se déroulerait finalement pas comme je l’avais prévu. Expansive et tragédienne, cette lettre ressemblait en tous points à Jean, excessive. J’avais hésité à y répondre, jusqu’à maintenant je me demandais s’il fallait y aller ou bien laisser la tempête se calmer pour tenter une approche un peu plus tard. Mais connaissant Jean, si je ne faisais pas preuve de bonne volonté maintenant, elle serait capable de me le reprocher durant des mois et prolonger la guerre froide aussi longtemps. Je pliais la missive et la glissais dans ma poche de pantalon puis me dirigeais vers le lac.

Je serai pile à l’heure, ne voulant pas paraître trop pressé ni trop laxiste. L’horloge de l’école sonna quinze heures lorsque j’arrivais aux abords du lac. Je vis immédiatement Jean, avec ce froid, peu d’élèves se risquaient à rester plus d’un quart d’heure dehors. M’approchant d’elle en silence, je savais qu’elle avait sentie ma présence, notre complicité avait toujours été telle qu’un lien particulier nous unissait. J’aimais la taquiner, la faire sortir de ses gonds. Mais j’aimais aussi la protéger et la guider ; n’est-ce pas le rôle d’un grand-frère ? Je m’installais à ses côtés et sans qu’elle en fasse la demande j’entamais la conversation. « Tu te décides enfin à m’adresser la parole ? En quel honneur ? » Elle n’espérait tout de même pas que je m’excuse ? Je niais la vérité, je me voilais la face. Je ne voulais pas savoir pourquoi elle ne me parlait plus, je n’avais pas la sensation d’avoir fait quelque chose de mal, j’attendais donc qu’elle m’éclaire.




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MessageSujet: Re: (GRAYSON) ─ Rancune : une maladie qui ne pardonne pas.   (GRAYSON) ─ Rancune : une maladie qui ne pardonne pas. EmptyVen 26 Aoû - 13:40

Jean n'avait pas été sûre que son frère prenne au sérieux ses menaces et pourtant, mademoiselle était résolue à les exécuter. Ainsi, lorsque Grayson se présenta, la brunette ne put réprimer un sourire qui traduisait sa satisfaction. Il était enfin là, et l'avoir devant elle lui faisait un bien fou ! Certes, elle était contrariée, mais Grayson n'en était pas moins son « frère adoré ». Ne pas entendre sa voix lui avait manqué, et elle avait donc décidé de ne pas se lancer dans une de ses tirades aux accents tragiques, pour le laisser s'exprimer. Il s'exécuta, l'air de rien « Tu te décides enfin à m’adresser la parole ? En quel honneur ? »Il feignait de ne rien savoir, et sa désinvolture fit soupirer Jean. L'heure était grave, il n'était pas temps de rire ! « Non mais Gray ! Ça me fait pas rire ! » Hurla la révoltée de sa voix haut perchée, montrant ainsi son incompréhension et sa désapprobation, quant à l'attitude de son ainé. Elle se mit à bouillonner et ses joues s'empourprèrent rapidement, elle aurait aimé hurler encore, mais elle en était incapable, ou du moins, pas contre son frère. « Tu... tu m'énerves. » Réussit-elle simplement à souffleter, tout en croisant les bras sur sa poitrine.

Elle avait été abandonnée, blessée, il était parti sans aucune explication, sans se retourner. Et pourtant monsieur semblait serein et très calme, absolument tout le contraire de ce à quoi Jean s’attendait. Elle s’était mise à fantasmer sur des excuses de la part de son frère et s’était clairement voilée la face en pensant qu’il regretterait ses agissements. Cela n’arriverait pas, Grayson n’était pas de ce genre et il le prouvait chaque jour un peu plus ; chose qui n’était pas pour plaire à Jean. Elle désirait des explications, et n’était clairement pas prête à en découdre. Elle fit mine de réfléchir un court instant « D’ailleurs » reprit-elle sur le ton du défi « si tu ne me dis pas pourquoi tu es parti, je m’en vais » Encore une fois, elle menaçait son frère, espérant ainsi lui soutirer quelques informations utiles. et une fois la seconde menace prononcée, mademoiselle se leva et tapota du pied, clairement impatiente.

Sûrement regretterait-elle son comportement dès le lendemain. Avoir osé défier son frère ! Elle lui avait souvent fait la morale, mais ne l’avait jamais menacé d’une quelconque façon. Voilà qui était fait, une première. Ainsi, Jean était rongée par la peur, et n’avait aucune manière d’anticiper la réaction de son ainé. Allait-il la renier ? Déciderait-il de la jeter dans le lac pour avoir fait preuve d'une trop grande insolence à son égard ? Les scénarios les plus farfelues traversaient ainsi l’esprit de la jeune femme, qui tentait tant bien que mal de ne rien laisser paraitre. Mademoiselle ne fléchirait pas ! Ses sourcils étaient arqués, ses lèvres retroussées et son regard chocolat tentait en vain de lire en Grayson la potentielle issue de ce rendez-vous.


Dernière édition par Jean Whistles-Pond le Sam 3 Sep - 21:00, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: (GRAYSON) ─ Rancune : une maladie qui ne pardonne pas.   (GRAYSON) ─ Rancune : une maladie qui ne pardonne pas. EmptyJeu 1 Sep - 22:45





La première réaction de ma petite sœur fut une victoire, comme je l’avais pressentit elle s’était énervée à ma seule parole, j’aimais la faire enrager il n’y avait aucun doute là-dessus et le moins qu’on puisse dire c’était que lorsque je lui lançais une corde elle s’y accrochait de toutes ses forces. Voilà pourquoi sa réponse m’arracha un sourire furtif, invisible pour les non initiés mais je savais que Jean le remarquerai. Sans pour autant vouloir jeter de l’huile sur le feu je l’écoutais parler sans dire un mot. Je m’étonnais encore aujourd’hui qu’elle puisse ressentir de l’affection pour moi, en dehors de nos liens de sang nous n’avions rien en commun … peut être était-ce suffisant pour elle … peut être l’était-ce aussi pour moi. Cela expliquerait sans doute mon manque de réaction suite à sa menace. Personne n’osait faire ça, personne ne me parlait de cette façon pas mal ma mère qui pourtant était sensée représentée l’autorité, autorité dont j’avais été privée et qui pouvait expliquer une partie de mon caractère. « si tu ne me dis pas pourquoi tu es parti, je m’en vais » Mon sang ne fit qu’un tour, n’importe quelle autre aurait reçu une correction. Tout se déroula rapidement dans mon esprit, pour n’importe quelle autre j’aurai fondue sur elle tel un aigle sur sa proie, pour n’importe quelle autre ma violence et ma colère n’aurait pas connu de limite si ce n’est la mort …

Mais j’étais là en face d’elle, cette jeune femme qui m’aimait d’un amour inconditionnel, d’un amour qui n’existe qu’entre une sœur et son frère, un amour qui fait passer la pire des trahisons pour un accident de parcours. Je ne bougeais pas, toute trace de sourire avait disparu de mon visage. Cette seule phrase m’avait replongée deux mois dans le passé.


×××


Londres ; 17 Juillet, 9h02 a.m.


La porte s’ouvrait, je ne savais pas à quoi je devais m’attendre. Serait-elle là ? Serait-ce sa petite main qui ouvrirait la porte ? Devais-je m’accroupir ? Je sortais néanmoins les mains de mes poches, je ne voulais pas paraître rustre si je devais rencontrer ma fille pour la première fois. Mais je ne voulais pas non plus paraître impliqué si c’était sa mère qui m’accueillait. J’entendais mon cœur battre de plus en plus fort, je n’entendais plus ça, ma respiration se faisait plus rapide et j’avais du mal à déglutir. Pourquoi étais-je dans cet état là ? Cette petite batarde ne pouvait me ressembler autant. Et sa mère me dégoûtait au plus haut point. « Tu es venu … » ; « Où est-elle ? » La née-moldue se décala et me permis d’entrer. Dans le salon, un bambin jouait dans un parc, habillée de rose et de prune cela ne faisait aucun doute, c’était elle. Il n’y avait rien d’autre dans cette pièce qu’elle et moi. Je ne parvenais pas à détourner mon regard, je ne clignais plus des yeux. Comment une telle merveille pouvait-elle être une partie de moi ? « Elle s’appelle Brooke … comme toi … »


×××


Poudlard ; 21 Septembre, 3h11 p.m.


Mon silence avait duré plusieurs minutes. La curiosité se lisait dans les yeux de Jean, elle voulait savoir où m’avait conduite ma mémoire et j’hésitais à lui en parler. Mais je la sentais décidée à tout savoir et surtout décidée à mettre sa menace à exécution si je ne lui racontais pas toute la vérité. Bien évidement une dizaine de mensonges me traversèrent l’esprit mais aucun n’était assez bon pour berner ma petite sœur. Il fallait que je me rende à la réalité, que je capitule et que j’avoue tout. « Je suis père. » Sans détour, je lui avouais mon secret, ce que j’avais gardé durant plus de deux ans, ce fardeau qui devenait si lourd mais que je ne voulais partager. Ce fardeau que j’étais parvenu à oublier et qui m’était revenu en pleine figure. Je savais qu’une pluie de questions s’en suivrait de cette révélation, si bien que je décidais de m’asseoir contre un des arbres qui borde le lac noir en attendant la réaction de mon interlocutrice.




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