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ONE WISHES, A FATE ft Ysolde

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MessageSujet: ONE WISHES, A FATE ft Ysolde   ONE WISHES, A FATE ft Ysolde EmptyMar 16 Aoû - 14:10



“ ONE WISHES, A FATE “

On dit qu’on aimerait savoir à l’avance notre destin, qu’il soit simple ou composer, qu’on aimerait savoir ce que serait notre destiner, savoir si on perdrait des choses à laquel on tient le plus, à savoir si nous serons perdant ou bien gagnant. Moi, Emrys Reinhaart, jamais je ne m’étais posé ses questions que tout le monde pense. Peu être qu’au fond, je trouvais sa banal de se posé des questions comme ça. J’étais le genre de garçon à vivre au jour le jour, sans savoir ce qui pourrait se passer le lendemain, je profitais des jours, comme un simple étudiant qui voulait réussir sa vie plus tard. Une semaine était passé depuis la dernière fois ou j’avais vu Ysolde. Naturellement en cours, j’avais du travailler avec elle, comme nous étions binôme mais j’avais essayé d’avoir une autre partenaire et tout ça pourquoi ? Parce que je me rendais compte qu’Ysolde ne me laissait pas indifférent et qu’elle était la première à me faire cet effet-là. Je fuyais, oui c’était ça, pour la première fois de ma vie, je fuyais une personne mais pas n’importe laquelle, celle avec qui je me sentais bien, celle avec qui je pouvais être moi-même sans me bloquer, celle avec qui je souriais comme un idiot sans m’en rendre compte. C’était cette personne pour qui je n’étais pas indifférent. J’avais pris mes distances, j’essayais d’éviter les endroits qu’elle fréquentait le plus, j’évitais les regards des changes qui devait me trouver totalement changeant, totalement différent. Pendant les repas du soir, j’essayais de manger vite afin de ne pas croiser son propre regard, de même pour les repas du midi. J’essayais d’être convaincant avec moi-même et c’était très dur. Plus les jours passait, plus je flippais, plus c’était dur, plus j’étais décevant avec moi-même mais ce qui comptait, c’est que je réussissais de l’éviter. Même si cela m’en rendais malade, insomniaque, mais je réussissais. Ce soir, j’avais décidé d’aller faire un tour à la fontaine à vœux, juste pour voir à quoi cela ressemblait réellement, si les gens n’étaient pas trop idiots pour penser que cela fonctionnait. Je pris le temps d’enfiler un simple pantalon marron clair avec un t-shirt blanc qui irait avec. Je pris soin de ne pas oublier ma propre baguette. Il faisait nuit et tout le monde dormait comme toujours à mes escapades de nuit. Ce que j’appréciais la nuit, c’est que les couloirs étaient tous vides, que plus personne n’était présent à part les préfets qui faisait leurs rondes mais je n’avais cas dire que j’étais somnambule et le tour était jouer. Même si parfois, cela ne fonctionnait guère. Je pris le temps de frôler les murs du château, descendant les escaliers en silence, pointant ma baguette à l’avant ayant comme sortilège le sortilège de Lumos qui éclairait devant moi. Bien sur que les tableaux hurlait, grognait, insultait mais je m’en fichais, dans quelque minutes ils seraient tous endormies comme des marmottes dans un sommeil profond. Descendant, frôlant les environs du château, j’essayai de trouver la porte qui me mènerait au puits des vœux. Dire que beaucoup d’étudiant mettait des gallions dedans et que j’étais certains qu’aucun de leurs vœux n’avaient été réalisable. J’étais certains également que beaucoup d’étudiant aurait demandés la gloire et la fortune éternel. Quelque chose d’idiot car je pense que beaucoup aurait du avoir le malheur éternel. D’après l’histoire, les puits de vœux auraient été construit, réaliser par les quatre fondateurs. Quel était leurs buts en créant des puits ? De faire fortune avec les gallions des autres ? C’était fort possible, ils auraient pu devenir et finir riche et devenir fils à papa. Ce que je n’étais pas et je ne m’en plaignais pas. Au contraire. J’étais bien éduqué et je travaillais dur à Poudlard pour réussir mes études. Je trouvai enfin la porte qui menait aux puits. Je l’ouvris en prenant soin de ne pas faire le moindre bruit. La pièce était sombre, aussi sombre que la salle des tortures. Je me rapprochai des puits en pointant ma baguette devant ne sachant jamais. Si ça se trouve cette pièce était remplit de danger, de fausse trappe cassable avec le poids des pieds ou le poids du corps humain. Doucement mais surement je me rapprocha d’un des puits. J’aurais bien voulu voir l’eau mais d’après la légende, il n’y aurait pas de fond. Peut être une pièce secrète ? Qui sait ? Une pièce secrète regorgé de chocogrenouille. J’étais concentré et j’observais attentivement. Un bruit de pas se rapprocha, je prononça le sortilège de Nox, ce qui éteigna ma baguette. Je resta dans le noir…Il n’y avait que le bruit de ma respiration et celle de la personne qui ne se trouvait pas loin de moi. Qui était-ce ? Un préfet ? Un professeur ? Le ministre lui-même ? Si c’était lui, j’étais dans la... Gadoue !
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: ONE WISHES, A FATE ft Ysolde   ONE WISHES, A FATE ft Ysolde EmptyMar 16 Aoû - 15:07

Elle commençait à y prendre goût de sortir la nuit. Elle qui détestait pourtant enfreindre le règlement trouvais aux sorties nocturnes un grand réconfort, elle n’aimait pas déambuler dans Poudlard la journée, elle était toujours certaine de croiser à l’angle d’un couloir Amadeus Black, ou Matthys Rowle, du coup, elle s’enfermait généralement à la bibliothèque, au moins là bas, personne en venait la voir ou l’embêter, elle vivait dans le silence total, entourée de livre, par des montagnes de livres. A croire que cette année elle passait tout son temps libre à la bibliothèque, c’était presque le cas, je dis bien presque. Ysolde aimait être en cours, au moins elle avait l’esprit occupé ailleurs, elle adorait les sciences occultes, et en plus elle y était très douée, elle n’était pas voyante pour rien. elle ne savait pas se servir de son don, il venait quand bon lui semblait, cela faisait fort longtemps qu’elle n’avait pas eut de vision, la dernière qu’elle avait vu était avec Ulysse, début septembre, elle avait vu brièvement sa mort, à croire que cette vision l’avait tellement choquée qu’elle n’était plus capable d’en avoir ! Elle savait que les dons ne disparaissaient pas comme ça.

Ysölde Fayburn-Wilkes était dans la salle sur demande depuis des heures, ou la salle va et vient, elle avait lu quelques chose sur cette pièce dans l’histoire de Poudlard. Elle n’avait pas regarder les heures passée, elle était ici depuis bien avant le couvre feu, bien avant. Elle était assise sur un bout de fauteuil bien confortable avec le livre qu’elle avait volée à la bibliothèque le soir – le premier soir – où elle avait rencontré Schuyler Lestrange dans la réserve, le livre sur les voyants et voyantes du siècle précèdant où étaient évoqué une Katherine Fayburn, une voyante. Elle se demandait s’il s’agissait de sa famille, elle pourrait probablement demander à Sofia, mais cela insinuerait de parler de son don, et elle n’y était pas encore disposée, pas pour l’instant. Quand elle regarda sa montre, elle poussa un petit cri de stupeur, bordel elle était vraiment après le couvre feu. Quand elle trouvait un livre fascinant elle ne parvenait pas à s’en détacher. Depuis l’autre soir – celui de la pleine lune – elle craignait un peu de se retrouver de nuit à Poudlard, toute seule, mais on ne pouvait pas croiser un loup garou entre les murs du château, donc d’un côté, elle sentait rassuré, Schuyler Lestrange ne pourrait pas la manger.
Elle poussa un long soupire et referma son livre en faisant bien attention de laisser le ruban qui lui servait de marque page de glisser soigneusement entre les deux pages qu’elle avait eut ouvertes l’instant d’avant, elle détestait perdre sa page. Elle le fermait le plus soigneusement possible, puis, elle le glissa dans son petit sac en bandoulière, en ce moment elle allégeait le plus possible son sac vu qu’elle ne rentrait qu’au dortoir pour une question de sommeil. Elle se leva et mis son sac sur l’épaule. Ysolde ne portait pas son uniforme, moins elle le portait, mieux elle allait, le vert ne lui allait pas si bien au teint finalement. Elle portait la robe qu’elle avait porté toute la journée, soit une robe claire, beige clair, et par-dessus un gilet à peine plus foncé. Une fois encore, elle laissait ses boucles blondes tomber en cascades sur ses épaules. Elle quitta la salle sur demande sur la pointe des pieds, et ferma doucement la prote derrière elle. Cette fois ci, elle avait un gilet sur les épaules, Emrys n’aurait pas lui prêter son pull. En parlant de lui, elle avait été distante avec lui cette semaine, elle lui avait rendu entre deux cours son pull prétextant qu’elle avait quelque chose à voir, ou quelqu’un à voir, elle ne savait plus trop. Il n’avait pas fait de pas pour venir la voir, et c’était peut être mieux ainsi, une relation amoureuse était la dernière chose dont Ysolde avait besoin cette année. Elle en était toute troublée, et elle détestait être troublée. Elle poussa un soupire et s’engouffra à toute vitesse dans les escaliers des cachots. Elle descendit un peu trop bas, mais c’était volontaire, elle allait faire un tour, quitte à être dehors, autant faire quelque chose d’illégal. Elle avait sa baguette à la main, quand elle poussa la porte de la salle du puits aux vœux, elle inspira profondément, espérant ne pas se retrouver face à une professeur, pire face au directeur. Emrys ? Dit-elle alors, ce n’était pas vraiment une question, c’était plutôt une voix surprise. Si elle s’attendait à le voir ici… si elle s’attendait à le voir tout court, cela faisait presque une semaine qu’ils ne s’étaient pas adressé la parole autrement qu’en coup de vent, entre deux cours, bref, ils n’avaient pas vraiment parler. Ysolde repoussa la porte en silence derrière elle. C’était une étrange coïncidence, mais elle se méfiait des coïncidences, pas plus tard qu’il y avait deux jours, un loup garou qu’elle avait rencontré par hasard avait voulu faire d’elle son repas, elle en portait les séquelles au bras, une petite écorchure, et un mal à l’épaule persistant, mais vous voyez en ce moment ces coïncidences étaient… dangereuses.
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MessageSujet: Re: ONE WISHES, A FATE ft Ysolde   ONE WISHES, A FATE ft Ysolde EmptyMar 16 Aoû - 16:48

La nuit était tomber depuis des heures et c’était le genre d’escapade que j’appréciais beaucoup. Rien que le fait d’être dans le noir, la nuit, dans un silence complet ou règne simplement les tableaux pas très loin d’ici, de l’autre coter de la pièce, cela m’excitait et donnait une touche d’adrénaline. Ma respiration était saccader mais mon cœur ne faisait que des accélérations. Je n’avais pas peur, j’avais simplement été surpris par la situation. Moi qui pensais être le seul à faire des escapades, c’était peine perdu, je n’étais pas le seul, à présent je le savais. Le sol et la pièce était froide, comme ci en dessous du puits il y avait de l’air mais ça devait être certainement mon imagination. Une semaine, j’avais tenu une semaine sans avoir adressé un quelqu’onc mot à Ysolde, j’avais préféré prendre mes distances et elle également. Sans doute avions nous remarquer que nos gestes n’aurait pas eu lieu d’être et pourtant. C’était fait. Ce soir, je ne m’attendais pas à voir quelqu’un et surtout pas. J’avais cru pouvoir être de nouveau seul et pourtant le son de sa voix me fit revenir à la réalité. J’avais cru être plus fort que ça et pourtant je n’avais qu’une envie c’était de la voir, à la lumière mais aussi d’entendre sa voix, d’apercevoir son regard, ses yeux, ses lèvres. Emrys ? Je pris l’instinct de rallumer ma baguette en prononçant un Lumos. Le fait d’apercevoir son visage me faisait comme sourire mais aucun son ma bouche n’en sortit. J’étais comme coller au sol, aucun geste de ma part, à part le mouvement de baguette, il n’y avait rien d’autre. Je présume que nos yeux se cherchait comme avant mais la situation était comme froide, bizard. Les choses ce soir, n’était sans doute pas la même chose que l’autre, peu être que l’un de nous partirait laissant l’autre seul dans la pièce froide qui avait une odeur d’humidité. Je ne savais pas quoi dire ni quoi faire, j’étais comme paralyser à moi-même et cela me faisait flipper. Le regard sur elle, ma respiration qui commençait enfin à reprendre la normal, calme. Pensé à ses lèvres sur ma joue toute une semaine, cela avait été ma seule force pour rester une semaine loin d’elle. Mais que m’arrivait-il ! Pourquoi étais-je comme ça ! Je n’avais pas besoin de ça pour être heureux ! Ni de ça pour être anormal ! J’avais envie de laisser parler ce que je pensais ou plutôt ce que je ressentais car je ne pouvais en parler à personne même à elle. Lui dire : Ysolde.. J’ai un problème.. Je crois bien que je suis tombé sous ton charme. Non ça ne se faisait pas ! C’était ridicule ! Totalement inculte et immature ! Ysolde... J'ai bien cru ne pas avoir de tes nouvelles. Pourquoi lui avoir dit cela, c’était totalement ridicule ! Mais je ne savais plus exactement ce que je faisais. Elle referma la porte derrière elle, chose que j’avais fais également en arrivant. La pièce était froide mais il faisait bon, je n’avais aucunement froid et j’avais le regard sur Ysolde, le genre de chose que je faisais souvent, être observateur me servais parfois pour savoir si les gens redoutait le pire ou s’ils avaient un quelqu’onc problème. Je devais apaiser la situation, faire que tout aille pour le mieux même si cet distant avait être-là toute la semaine. Je n’étais pas vraiment doué pour faire apaiser les choses mais je voulais faire de mon mieux afin de retrouver Ysolde, ma Ysolde, non Ysolde tout court ! Bordel pourquoi pensais-je ça ! J’avou qu’elle me manquait, qu’elle m’avait manqué et que j’avais fais le maximum pour ne pas avoir pensé à elle comme je le faisais depuis les gestes affectifs. Au début, j’avais pensé Ysolde comme une simple camarade, binôme, mais aujourd’hui qu’était-elle ? Pourquoi avoir réagis comme ça et prendre mes distances envers elle alors que je voulais simplement être auprès d’elle, que j’avais simplement le besoin de lui parler au moins une fois dans la journée, que j’avais besoin de pouvoir l’admiré… L’admiré ! Et puis quoi encore ! Même mes pensées devenait de plus en plus tourner vers elle ! C’est dans un sourire d’apaisement que je lui fis signe d’approcher. Je n'ai encore manger personne tu sais. Soudain, je me mis à rire, aller savoir pourquoi. Lui avoir dit ça était comme un signe que je n’avais pas appétit mais surtout que je ne lui ferais aucun mal à part lui faire jeter un gallion dans le puits à vœux si elle le souhaitait. J’arrêta de rire d’un coup. Cela devait être à cause de la fatigue, je n’arrivais pas à dormir depuis des jours et des jours et cela devait certainement se voir sur mon visage. Que penses-tu du puits à voeux? Tu y crois?
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: ONE WISHES, A FATE ft Ysolde   ONE WISHES, A FATE ft Ysolde EmptyMar 16 Aoû - 18:37

Elle était seulement éclairé à la lueur de la baguette d’Ysolde, puis Emrys alluma alors la sienne. Il faisait sombre, et frais, les sous sols de Poudlard étaient encore plus froid que les couloirs, Ysolde détestait venir dans les sous sols l’hiver c’était à peine si elle quittait son écharpe. Il faisait frais, mais elle avait un gilet, elle n’allait quand même pas emprunter celui d’Emrys à chaque fois… bien que l’idée soit… intéressante. Porter le pull d’un garçon c’est… pas mal. Ysolde essaya de chasser cette idée de sa tête, c’était… gênant, même en penser c’était affreusement gênant ! elle ne s’écoute pas. Si elle écoutait ses pensées, elle ne serait pas entrée dans cette salle, et elle serait repartie en l’ayant à peine aperçu. Bref. En tout cas, maintenant, c’était trop tard, Elle lui avait parlé, et Rys l’avait vu, c’était trop tard pour faire marche arrière. Ysolde... J'ai bien cru ne pas avoir de tes nouvelles. Oui, elle l’avait totalement évité cette semaine, elle avouait enfin… NON, elle n’avouerait pas qu’elle l’avait évité, ce n’est pas le genre chose qui s’avouent. Et puis, quand elle y pensait… lui non plus n’avait pas essayer de donner de ses nouvelles, lui non plus il n’était pas venue la voir… c’était leur faute à tout les deux, mais elle s’excuserait simplement avec un : J’ai eut une semaine… mouvementé, et j’ai un tas de chose à faire ! Mouvementé, c’était le mot. Elle avait juste failli se faire manger par un loup garou, et elle avait terriblement eut peur, elle c’était éraflé le bras droit, et c’était mis un coup dans l’épaule, d’ailleurs celle-ci lui faisait toujours mal. Mais elle n’était pas aller voir l’infirmière, non, elle lui aurait poser des questions.

Elle restait dans un coin, à l’entré pour tout dire, elle ne savait pas si elle allait rester, ou partir, elle ne savait pas, cela dépendrait de ce qu’il lui dirait, de ce qu’il se passerait. Ysolde avait toujours tendance à être sur la défensive, c’était normal, mais, avec Emrys, elle était moins sur la défensive qu’avec les autres.Elle le vit sourire, et il lui fit d’approcher en disant alors : Je n'ai encore manger personne tu sais. Lui non, mais Schuyler, techniquement parlant il avait déjà manger quelqu’un, ou quelque chose. Cette pensée fit frissonner Ysolde, et dire qu’elle aurait pu finir en plat pour loup garou, cela lui faisait vraiment peur, vraiment. Elle sourit alors en s’approchant, elle avait un sourire aux lèvres. Elle dit alors, s’approchant du puits, Oh, alors tu n’es pas le grand méchant loup ! Dit-elle avec humour, pourtant… Schuyler était un grand méchant loup, maintenant, elle ne disait pas ça à la légère. Maintenant qu’elle connaissait un grand méchant loup, ce terme n’avait pas tellement le même sens.

Il rit alors, puis se stoppa. Il ajouta alors : Que penses-tu du puits à voeux? Tu y crois? Il fallait bien croire en quelque chose. Ysolde avait toujours cru en quelques choses, elle croyait en la magie des choses, les magies des moments. Elle n’avait jamais spécialement cru en dieu, ou dans les choses du genre, mais elle croyait en la magie, elle aimait tellement la magie. Ce puits des vœux était beau, simple, et très beau. Ysolde aimait les belles choses, elle restait une femme : elles aimaient toutes les belles choses. Ysolde n’échappait pas à la règle ; elle n’était pas souvent venu ici, mais elle appréciait cette endroit, moins que le parc et les jardins, mais elle aimait ce puits, elle s’approcha alors et se mit dos à celui-ci, se laissant appuyé contre, les bras croisés et dit alors : Il faut bien croire en quelque chose non ? Je crois en la magie des choses alors… je suis assez idiote pour y croire, si on ne croit en rien, on avance pas. Ysolde qui avait fixé l’obscurité de la salle tourna alors la tête vers lui.
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MessageSujet: Re: ONE WISHES, A FATE ft Ysolde   ONE WISHES, A FATE ft Ysolde EmptyMar 16 Aoû - 19:50

Elle était dans son coin et l’obscurité me plaisait même si nos deux baguettes étaient allumer, nous coter était dans un noir total. Si j’avais bien une chose que je ne ferais pas ce soir, ça serait d’avouer que j’avais pris mes distances vis-à-vis d’elle et que je n’espérais pas jusqu’à ce soir de la revoir. Malheureusement, ce soir, elle était face à moi et évidement je n’avais de yeux que pour… Elle… C’était comme ça, même si il y avait du monde autour de nous, je n’aurais pu voir qu’elle, la preuve, le concierge de l’autre jour, je ne l’avais même pas vu faire son apparition et pourtant il n’était pas très loin de nous. Avec elle, c’était comme ci il n’y avait qu’elle et c’était bien ça le problème. Je ne m’étais jamais autoriser à être comme ça avec quelqu’un et surtout une demoiselle plutôt pas mal avec qui j’avais fondé une amitié, un geste affectif, amical pour beaucoup et malheureusement je devais bien avouer à moi-même que la blonde qui se trouvait en face de moi, que j’avais côtoyé pendant un an me plaisait. Mais pourquoi me faire ça à moi ? Pourquoi ? Moi qui vivais au jour le jour, moi qui vivais sans regarder derrière moi, moi qui ne me prenais pas la tête pour ce genre de chose, moi qui était fidèle à moi-même, j’étais tombé sous le charme de la blonde, mais combien avant moi ? Un ? Deux ? Six ? Trois ? Même si cela était de ma faute à moi, j’avais espéré un instant qu’elle passe me voir au terrain de quidditch le mercredi, sachant que j’y étais toujours ce jour précis ou bien qu’elle m’aurait dit de la rejoindre quelque part mais non rien et mon espérance s’écroula ce qui me fis descendre de cent trente étages si Poudlard avait été un immeuble comme les moldus. Dire que rien que pour un contact de ses lèvres sur ma joue, j’avais bousculé sans le vouloir le concierge qui d’ailleurs avait hurler mon nom. Ce contact. Etait-il vraiment nécessaire ? C’était comme-ci mon geste affectif avait tout déclenché, devais-je vraiment m’en vouloir ? Réchauffer une demoiselle que vous connaissez était-ce un mal ? Avec la façon moldu. Non. La façon moldu était bel et bien là et ça n’était pas par hasard, la preuve, notre fin d’après midi c’était bien terminer et je la revivais chaque soir dans mes rêves. J’ai eut une semaine… mouvementé, et j’ai un tas de chose à faire ! Une semaine mouvementer ? J’espérais qu’elle n’est pas eu de retenue avec le concierge, celui-ci ressemblait vraiment à rien et parfois je m’en voulais qu’il soit dans des sales états et qu’il passe après chaque étudiants pour que le château soit propre, ciré et neuf comme le jour de la rentrée. Ce que j’aimais, c’était sentir l’odeur du propre dans le château, comme les premiers jours, c’était toujours propre, que ce soit les escaliers passant par la cuisine et terminant par les cachots, enfin les cachots ce n’était pas spécialement beau mais cela pouvait apporter une atmosphère à des situations. Elle avait été occupée, prise toute la semaine, ouais, comme moi si pouvais-je dire, dans mes devoirs, quand je courrais dans le parc du château, quand j’avais emprunté un livre sur les plantes trouver dans des lacs afin de respirer sous l’eau ou alors des plantes qui servaient de médicament. Des tas de choses à faire ? Oui nous avions tous une vie en dehors de nos relations amical, d’ailleurs c’était pour ça que j’aimais être seul, j’avais toujours des choses à faire et je pouvais refuser tout rendez-vous. Ouais… Je comprends, j’ai été occupé également, les cours, les livres, le sport et… Et penser à toi cela fonctionnerait si je lui disais ça ? Me prendrais-je une gifle de sa part ? Jamais cela ne m’était arriver mais d’après mes camarades de classes et de dortoirs, ça fait mal et surtout si c’est devant des tas de personnes qui se foutent de vous, sauf que ce soir, nous étions simplement que tout les deux et ça j’appréciais. Le destin suivait-il mes pensées ? Si c’était ça, il n’avait pas fini. Et voilà. Je terminais ma phrase de cette façon tout en passant ma main à l’arrière de mes cheveux pour la passer à ma nuque. C’était un geste qui me trahissait devant beaucoup de monde, mais pour cela il fallait me connaitre mais d’après mon père, personne ne connait quelqu’un réellement. Devais-je le croire sur parole ? J’avais toujours eu confiance en moi, c’était lui qui m’avait appris à couper du bois, à bricoler, à lire, à courir, à jouer et profiter de mon espace naturel. C’était lui qui me disait sans cesse : Je suis derrière toi Emrys, je serais toujours derrière. Tel un père doit être avec son fils. Je m’étais toujours demander si des garçons de mon âge avaient eu une telle relation avec leurs pères. Je venais de lui dire que je n’avais encore mangé personne et c’était froid, je me voyais mal cannibale et dévorer la chaire jusqu’à l’os, c’était dégueulasse rien quand y pensant. Mais dans les pays chaud cela se passait comme ça pour survivre face à la nature, c’était de brave paysans, enfant, qui n’avait que l’être humain pour survivre, pas assez d’eau pour une flore et une faune. Pays trop pauvre, pays trop chaud, habitants criant famines, cela me dépassait. Oh, alors tu n’es pas le grand méchant loup ! Le grand méchant loup, ceci était un compte moldu pour enfant, avec trois cochons bien rose pour en faire de la saucisse au barbecue. Non sans rien c’était un compte pour endormir les enfants, l’un aimait la paille, l’autre la pierre et l’autre la brique. Construire trois maisons différentes pour savoir lequel survivra et sera en sécurité face au méchant loup. Ma mère me l’avait lu des tas de fois, ce n’était pas mon livre moldu préféré, non celui que je préférais était Tarzan, homme vivant dans la nature, vivant avec comme famille des gorilles, il essaye de se fondre avec eux et fait des tas d’effort pour le devenir et réussir. Avais-je vraiment l’air d’un méchant ? D’accord parfois j’avais un regard assez noir mais j’étais plutôt sympathique plutôt que méchant et puis je n’étais pas le genre de garçon à courir derrière une demoiselle du château, j’espérais qu’il y en est des comme moi. Ai-je vraiment une tête de méchant loup ? Je pourrais te déguster en deux secondes top chrono Je passa ma baguette devant mon visage pour éclairer ma bouche et tirer la langue comme un gamin de sept ans l’aurait fait. Ysolde s’approcha du puits et s’adossa contre lui en ayant le sourire. Le froid ne régnerait plus pour longtemps du moins c’est ce que j’espérais. Etre en froid avec Ysolde n’était pas la meilleure chose, pour moi comme pour elle, du moins c’est ce que j’espérais. Je venais de lui demander si elle croyait aux puits à vœux. Moi je ne savais pas si les vœux se réalisaient et puis ce n’était pas mon truc de perdre un gallion croyant qu’un vœu se réaliserait. Pourtant ce soir, je sortis un gallion de la poche droit de mon pantalon et le tendis à Ysolde. Elle en ferait bien mieux usage que moi. Elle était dos à moi, le sourire aux lèvres, on ne voyait que ça, enfin je ne voyais que ça même si son regard était encore plus preneur. Sa tête se tourna alors vers moi, nos regards pu enfin être échangés. Il faut bien croire en quelque chose non ? Je crois en la magie des choses alors… je suis assez idiote pour y croire, si on ne croit en rien, on avance pas. Si il y avait bien quelque chose en quoi je croyais, ce n’était pas le saint esprit, ça c’était sur mais c’était en Ysolde. Il y avait qu’elle qui avait toute ma confiance et bizarrement toute ses choses qui me rendait bizard, que je ressentais pour elle. Etait-ce un mal pour un bien ou un bien pour un mal ? Je me posais cette question depuis des jours et des jours et jamais je n’avais eu réponse. Malheureusement. Le pire dans tout ça, c’est que j’avalais ses phrases, elle avait comme une bonne syntaxe des phrases, des phrases qui cachait beaucoup de choses dans ses paroles. Si il y avait une chose que j’appréciais à cet instant, c’était de pouvoir plonger mon regard dans le sien et rien que dit pensé, j’en flippais à l’intérieur de moi-même. Je crois en toi… Fin en moi… Fin… Heureusement je m’étais arrêter à temps, quelque secondes plus tard et j’aurais dit : En nous. Quelque chose qu’il ne fallait pas dire à une demoiselle d’après mon père. Mais sachant que mon père était comme moi, qu’il n’aimait pas dévoiler ses sentiments, je préférais suivre ses conseils. Je lui tendis le gallion en espérant qu’elle accepte. Tu devrais tentée. Qui sait. Peut être que tu deviendras immortelle. Un sourire naissa sur mes lèvres en la regardant, je ne pouvais pas m’en empêcher. Ah Ysolde, une sacrée cocotte.
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MessageSujet: Re: ONE WISHES, A FATE ft Ysolde   ONE WISHES, A FATE ft Ysolde EmptyMar 16 Aoû - 20:57

Ouais… Je comprends, j’ai été occupé également, les cours, les livres, le sport et… Il marqua une courte pause, Et voilà. Sa semaine à lui avait eut l’air totalement normale, totalement, des cours, des livres, du sport. La routine finalement. Ysolde était passée par une semaine très difficile, elle avait premièrement failli se faire manger par un loup garou, trainer dans un couloir avec méchanceté par Amadeus Black, sa semaine n’avait pas été facile du tout, et le lendemain, elle avait rendez vous avec quelqu’un à la tête de Sanglier à Pré Au Lard lors de la sortie des élèves, elle ne savait pas de qui il s’agissait, plus tard elle apprendrait qu’il s’agirait du professeur Sweetlove, enfin Sofia Sweetlove qui se trouve être sa tante. Elle ne le saurait que demain. Mais sa semaine avait été loin du terme normal, mais une semaine aussi riche que celle-ci met un peu de piquant dans la vie, que serait la vie sans quelques doses d’adrénaline ? Ysolde esquissa un sourire, il avait fini sa phrase avec un « et voilà », il semblait chercher quelques choses d’autre à ajouter, mais visiblement rien ne vint. Ysolde sourit de plus belle, elle appréciait Emrys, celui-ci passait sa main dans sa nuque, comme si visiblement il était gêné, ou quelque chose du genre. Ysolde n’était pas quelqu’un capable de juger les gestes des gens, mais ce geste était étrange, mais elle n’y accorda guère plus d’attention, elle dit simplement : Le pire c’est les cours, j’ai cru que je ne viendrais jamais à bout du devoir de divination ! C’était vrai, elle avait passé une bonne partie de la semaine sur ce fichu devoir de divination, en cursus normal, beaucoup de monde détestait cette matière, mais Ysolde l’aimait réellement, c’était son milieu, c’était… inné chez elle, elle n’y pouvait rien. Elle n’osait pas aller voir la professeur pour lui dire ce dont elle était capable, elle avait peur qu’on ne la croit pas, car cela ne se faisait pas sur commande.

Ai-je vraiment une tête de méchant loup ? Je pourrais te déguster en deux secondes top chrono Il passa sa baguette devant son visage et tira la langue comme un enfant, espérant sans doute avoir une tête de grand méchant loup. Il n’avait pas l’air méchant, mais, Ysolde avait appris à ne jamais se fier aux apparences. Schuyler avait l’air de quelqu’un de bien, sauf que c’était un loup garou, alors les apparences. Ysolde faisait confiance à Emrys, c’était rare qu’elle fasse confiance aux gens, très rare même. Je suis pas sûre d’être comestible, dit-elle avec malice. Elle esquissa un sourire avant de laisser échapper un doux rire. Elle n’était pas comestible, quoi que… aux yeux de ce loup garou, elle avait sans doute eut l’air appétissante, vu qu’il avait essayer de la manger toute crue, comme quoi, elle ne devait pas avoir si mauvais gout que cela.

Il fallait croire en quelque chose, Emrys bafouilla alors : Je crois en toi… Fin en moi… Fin… Elle esquissa un sourire, croire en quelqu’un c’est avoir confiance en lui, Ysolde lui faisait confiance à lui. Ysolde avait toujours cru en elle, mais des fois, elle se disait que si elle n’avait jamais cru en elle, elle se serait effondré au premier obstacle, elle avait une sacré force pour tenir debout après tout ce qui lui arrivait, des fois il lui arrivait de s’effondrer et de fondre en larmes.
Tu devrais tentée. Qui sait. Peut être que tu deviendras immortelle. Immortelle ? Elle esquissa une moue boudeuse et hocha alors la tête de gauche à droite, doucement, faisant au passage bouger ses boucles blondes, quand elle ajouta alors : Moi je serais la reine du monde, c’est tellement mieux. Dit-elle en faisant une mine presque sérieuse, riant l’instant d’après. Avant, elle aurait voulu dominer le monde, avant elle avait été cruelle, et sans cœur, où seule la conquête du pouvoir l’intéressait, aujourd’hui tout était différent, elle se moquait bien du pouvoir. Elle esquissa un sourire, et pris alors le galion dans la main d’Emrys, et ferma les yeux, imaginant son vœux le plus cher. Elle ne savait même pas quels vœux faire, c’était bizarre. Elle sourit et rouvrit les yeux. Elle dit alors : C’est tellement dur de ne choisir qu’un seul vœu… Elle serrait la pièce en le regardant, elle n’était pas capable de faire un vœu, enfin, elle hésitait entre renier définitivement tout sentiment pour lui, ou les exprimer. En fait, ce n’était pas réellement des vœux, c’était ses ressentiments. Elle le fixait, et détourna alors le regard, par Merlin, il la troublait tellement. Avant, tout était différent, ils travaillaient ensemble, Ysolde ne savait pas si elle préférait avant ou maintenant. Le maintenant était différent, elle était en plein possession de sa mémoire, elle était elle-même, elle n’était plus fiancé à un crétin arrogant, elle était libre, et la liberté donne des ailes, elle pouvait sentir et ressentir ce que bon lui semblait.
Elle ferma de nouveau les yeux, mordant sa lèvre inférieure doucement, elle souffla et jeta la pièce dans le puits. Elle espéra y entendre un bruit, mais rien, il paraissait qu’il n’y avait pas de fond. Son vœu était fait, mais c’était secret, quand on le dit, il parait qu’il ne se réalise pas. Quand elle rouvrit les yeux, elle regarda Emrys, muette, toujours appuyé contre le puits, elle avait un léger sourire, elle était heureuse, intimidé, et sous le charme.
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MessageSujet: Re: ONE WISHES, A FATE ft Ysolde   ONE WISHES, A FATE ft Ysolde EmptyMer 17 Aoû - 9:39

Je n’avais pas parler de la bagarre qu’il y avait eu dans les toilettes entre Atlance et moi. Je n’en voyais pas la raison en fait car lui dire qu’une bagarre avait été déclencher parce que je ne voulais suivre personne, que je ne voulais pas me battre face aux gens qui voulaient défendre le sang. Heureusement Elias avait fermer la plaie que j’avais eu à l’œil car celle-ci avait bien saigner et concernant Atlance lui également avait eu une plaie et Elias l’avait refermer car il avait eu les lèvres en sang, ayant un bon poing droit, je n’avais pas voulu être lui un seul instant. Quand j’écoutais les deux anciens camarades, c’était comme si j’étais le seul à être en tord, alors que j’avais fais seulement mon choix et j’étais loin très loin d’être égoïste comme disait Atlance. Evidement que les mots m’avait comme cloué sur place et je retournais chaque parole de celui-ci en tête. Et si c’était vrai ? Et si j’étais vraiment un méchant garçon, un homme brutal qui avait frappé un ancien frère, un ancien camarade, un gamin égoïste comme l’avait déclaré Atlance. Pourtant, cela avait été mes nerfs qui m’avait fait parler face à eux car ils avaient tous les deux respecter mais choix mais pas celui-ci. Pourquoi ? Pour ne pas me battre ? Je m’en fichais d’être blesser ou non mais me battre contre les sangs purs alors que je n’avais rien contre eux, je trouvais sa dégueulasse. C’était des êtres humains avant tout. Voilà pourquoi je ne voulais pas en parler à Ysolde, je ne savais pas comment elle le prendrait. Le pire c’est les cours, j’ai cru que je ne viendrais jamais à bout du devoir de divination ! Le devoir de divination, tout le monde était passer par-là y compris moi et j’avais travailler pendant des heures dessus, pour une fois, un devoir avait été compliquer, aussi compliquer que le premier vol en balais ou la première bagarre que j’avais eu avec un poufsouffle simplement parce que j’avais renverser son bouquin de la table en première année. Enfin. Nous étions en tord tous les deux. Je n’étais pas bon en divination voilà pourquoi je préférais prendre le temps de travailler dessus afin de comprendre chaque ligne. La divination était sans doute la matière que je détestais le plus, mais la potion et la botanique était mes matières préférés. La potion pouvait toujours servir et la botanique était toujours intéressante et pour des médicaments plus tard grâce à la science qui sauverait de nombreuse vies sans doute à St Mangouste. C’était logique qu’on est un devoir plus dur, enfin, j’en est bavé pour le faire. J’avais passé ma baguette devant mon visage afin de tirer la langue et faire le monstre. Malheureusement cela ne fonctionna guère, dommage, j’aurais bien voulu être un méchant loup qui souffle sur les maisons et quand une poussière elle disparaisse. Non sans rire, j’étais plutôt un garçon sympathique plutôt que méchant même si quelque personne me disait le contraire. Avais-je vraiment changé en un an ? C’était la question que je me posais. En fait, j’avais des tas de question que je me posais. Je suis pas sûre d’être comestible, Elle pas comestible ? Je crois cas cet instant elle avait les yeux aveugles alors. Qui ne rêverait pas de déguster une aussi charmante demoiselle avec des cheveux blonds et des yeux marrons aussi bien foutue ? Je pense même que je n’étais pas le seul à rester sans souffle quand elle passait devant moi. M’enfin, c’était la loi de la jungle ou plutôt une passe de la vie. Elle se mit alors à sourire, son sourire, s’il y avait bien une chose que j’appréciais beaucoup chez elle, c’était son sourire et son regard. C’était sans doute les deux choses qui me faisaient un effet fracassant. J’aurais été un homme chocolat, j’aurais fondu des le premier instant. Chacun ses goûts et ses préférences, pas vrai ? En gros je venais de lui faire un compliment, à la façon Reinhaart, nous n’étions pas assez bon pour ce genre de chose, mon père était assez fermer pour ses sentiments même si il faisait beaucoup d’effort avec ma mère, mon jumeau lui, était également pareil que mon père, il avait du mal, mais quand il voulait il savait si prendre avec les demoiselles et moi, j’étais sans doute celui qui recherchait une autre façon de dire pour ne pas que la demoiselle sans aperçois. Même si Ysolde était la toute première qui avait droit à mes compliments. Son sourire resta sur ses lèvres, c’était éblouissant, si il y avait une chose que je n’aimerais pas, ça serait de devenir aveugle car je ne pourrais pas l’admiré pendant des heures de cours ou des heures quand nous étions ensembles. J’aurais préféré être sourd ou malentendant, plutôt que d’être aveugle, perdre ses yeux devait être un vrai calvaire et admiré Ysolde, profiter de son regard et de son sourire, c’était comme gagner au loto, on ne voyait que ça. Ses lèvres également m’avais l’air plutôt pas mal et son parfum, c’était sans doute la première chose que j’aurais eu besoin si j’avais été aveugle. Respirer le parfum qui vous fait tourner la tête, c’était plus que génial. Du moins c’est ce que je pensais. Immortelle ? L’immortalité, moi-même je n’aurais pas voulu être immortel, simplement parce que nous vivions pour mourir des années plus tard et je trouvais cette fin assez belle même si parfois, le jour ou nous sommes aussi faibles qu’une étincelle qui s’éteins, nous avons des remords qui vous fait poser des questions à l’intérieur de vous. Beaucoup de gens devait avoir peur du trou noir qui les envahissait dans leurs sommeils, d’après mon père, c’était signe que tout allait bien pour toi, que tu n’avais aucun remord mais d’après les livres scientifique, le trou noir était signe de mord. Moi, je l’avais cauchemardé une fois, comme ci je tombais dans le trou noir et je m’étais réveiller en sursaut et en sueur dans ma chambre. Alors qui croire ? Les livres scientifiques ? Ou bien mon père ? Moi je serais la reine du monde, c’est tellement mieux. Si elle avait dit ça devant du monde l’année dernière, tout le monde l’aurait crue, tout le monde se serait éloigner d’elle d’un coup, tout le monde l’aurait jugés à tord et à travers. Mais Ysolde n’était pas comme ça et je le savais. Si j’avais écouter les autres élèves de Poudlard, je n’aurais jamais été vers Ysolde car tout ce que disait les autres était du négatif et pourtant, je savais que cette demoiselle n’était pas comme les autres, des la première fois ou je l’ai vu. C'est-à-dire l’année dernière car avant j’étais sans cesse avec Atlance, Elias et Nemeroff qui d’ailleurs devait être à cet instant, tous entrain de sans vouloir. Elle me faisait sourire, c’était un don chez elle je présume de faire rire et sourire les gens sans aucune difficulté. Elle ferma les yeux. Elle devait sans doute réfléchir à son vœu. C’est tellement dur de ne choisir qu’un seul vœu… Dur de faire un seul vœu ? Je n’en avais jamais fais tout simplement parce que je désirais que le destin face ce qu’il entend. Si il devait me donner une maladie d’un coup, si il voulait donner une récompense pour mon savoir faire qu’il le face alors mais je laissais le destin faire ce qu’il entend. C’était tellement plus simple que de perdre un gallion dans un puits qui était destiné aux vœux. Ysolde réfléchissait, elle était concentrée, elle devait chercher loin son vœu, alors qu’elle avait juste à dire ce qu’elle désirait le plus au monde peu être. Enfin je ne mis connaissait pas. Elle tourna la tête d’un coup vers moi au même moment ou je passais ma langue sur ma lèvre inférieur doucement. Elle détourna la tête et souffla sur le gallion et le lança dans le puits. Aucun bruit. Mais ou allait ses gallions que les gens lançaient ? Elle ré ouvrit alors les yeux. Nos regards alors on peu être échangés en même temps. Le silence fit son appariation dans la pièce. Seul le bruit de nos respirations faisait surface. Le silence était bizard, l’année dernière il n’y avait eu aucun moment de silence, cette année c’était bizard, on prenait comme nos distances et c’était flippant. Euhm.. Tu penses que le vœu que tu as fais va se réaliser ? J’avais coupé le moment de silence car je trouvais la situation bizard. Ni elle, ni moi ne parlions, juste les regards qui le faisaient à notre place. Si ça ce n’était pas flippant ! C’était comme ci… C’était vraiment bizard…
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: ONE WISHES, A FATE ft Ysolde   ONE WISHES, A FATE ft Ysolde EmptyMer 17 Aoû - 14:37

C’était logique qu’on est un devoir plus dur, enfin, j’en est bavé pour le faire. Ysolde n’avait pas trouvé le devoir plus dur, elle l’avait surtout trouver plus long, trop long et fait. Ysolde détestait faire la même chose pendant des heures, mais depuis la rentré elle passait tout son temps libre à la bibliothèque, alors, elle n’avait bien eut le choix, il fallait qu’elle occupe son temps libre, maintenant qu’elle n’avait plus qu’une seule vraie amie : Alecto. Elle passait ton temps à la biobliothèque à lire des ouvrages sur sa la magie, la divination, et surtout l’histoire de Poudlard. Ysolde ne lisait pas de roman, vivre une sorte de vie par procuration ne l’avait jamais intéressée, jamais. Le seul roman qu’elle avait lu était un roman moldu : Tristan et Iseult, elle l’avait choisi parce que le prénom de la fille était un prénom dérivé du sien, ou inversement, elle ne savait pas et elle s’en fichait. Ysolde adorait la divination, cette de loin sa matière favorite, pas de doute qu’un jour elle serait brillante dans ce domaine, c’était la professeur elle-même qui le lui avait dit. Elle avait mis un certain temps pour faire ce devoir, mais s’en sortirait sans doute facilement et avec une bonne note. Ysolde n’était pas du genre a donner des cours, ni même des coups de pouces, elle le faisait quelques fois, exceptionnellement. Elle dit alors : La prochaine fois si tu rame, je pourrais t’aider, je dois avouer que j’adore la divination alors… Ca oui, elle adorait, littéralement, elle n’avait pas choisi la section sciences occultes pour rien ; Bien sûr la divination n’était pas la seule matière dans les sciences occultes il y en avait pour tout les goûts. Chacun ses goûts et ses préférences, pas vrai ? Elle ne releva pas. Elle lui adressa un sourire, ainsi lui la trouvait comestible. C’était un compliment camouflé ? Peut être, la sorcière se contenta de sourire. Elle ne devait pas être si immangeable, un loup garou aurait bien fait d’elle son quatre heures pour la nuit, alors, elle ne devait pas être si mauvaise. Ysolde souriait beaucoup ces derniers temps, en présence d’Emrys, mais souvent à la bibliothèque, elle n’avait ni le sourire, ni l’envie rire. Elle avait même plutôt envie de pleurer, sa vie n’avait rien de rêvé désormais, elle se retrouvait avec une seule amie, sans petit ami, ses anciens amis lui tournant le dos, avec deux bourreaux en permanence, et elle n’osait à peine remettre les pieds dans la salle commune de serpentard. Quand elle regardait sa vie, elle était furieuse.

Elle ouvrit les yeux à la fin de son vœu. Elle posa son regard sur Emrys, il était.. beau. Elle se surprenait à penser cela, après un an à ses côtés en cours. Pourquoi son regard changeait ? Parce qu’elle avait changé ? Peut être, c’était même sans doute ça. Quand elle était l’ancienne Ysolde, froide, forte et garce, Ulysse était parfaitement celui qui lui correspondait, cinglé, arrogant, méchant. Mais là, c’était un silence comme celui qu’ils avaient vécu quand ils étaient rentré du terrain de quidditch, un silence, lourd, profond et troublant. Euhm.. Tu penses que le vœu que tu as fais va se réaliser ? Par Merlin, merci, pensa-t-elle. Il brisa alors le silence, Ysolde pu à nouveau respirer normalement, le silence avait eut un drôle d’effet sur elle. Elle le regarda et esquissa un petit sourire, avant de dire, tournant le regard vers le puits – en partie pour éviter de le regarder lui : Je ne sais pas, mais j’espère bien que oui. Ysolde avait toujours jouer sur les mots, mais elle espérait vraiment. C’était un vœu simple, mais qui lui était très cher. Faire le vœu d’être plus heureuse qu’elle ne l’était actuellement, serai-ce trop demander ? A croire que la vie c’était acharné sur elle ses derniers temps, son monde s’était éffondré, plus d’mai, plus de Cercle de confiance, plus de sang pur, plus rien. elle avait perdu confiance en sa sœur, en son père, ces deux menteurs. Elle espérait sincèrement que les choses iraient mieux, quand elle fixa le puits, elle avait l’air mélancolique, et fragile. Oui, Ysolde était une fille fragile, on ne dirait pas comme ça. Des fois c’est à nous de faire en sorte que le vœu se réalise, il faut savoir saisir sa chance. Dit-elle en se tournant vers lui. Ysolde n’avait pas encore dit son dernier mot, elle ne laisserait pas les gens s’acharner sur elle comme ça. Matthys, la blonde Chasity, et le gay Amadeus allaient subir sa vengeance, mais elle n’était pressée. Elle avait beau être fragile, elle ne supportait pas qu’on l’atteigne.
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MessageSujet: Re: ONE WISHES, A FATE ft Ysolde   ONE WISHES, A FATE ft Ysolde EmptyMer 17 Aoû - 16:43

La prochaine fois si tu rame, je pourrais t’aider, je dois avouer que j’adore la divination alors… M’aider au prochain devoir de divination mais ça serait avec grand plaisir, j’avais vraiment beaucoup de mal à comprendre cette matière qui n’était pas la préféré de plusieurs d’entre nous. J’avais passé quelque minutes à la bibliothèque qui m’avait paru longue car aucun livre ne m’avait réellement aider sur ce sujet-ci. Comme ci le devoir devait être impossible à réaliser. Après avoir eu aucune réponse à mes recherches, j’étais monté dans la salle commune afin de travailler celui-ci, je me rappel encore du vacarme qu’avait commis les autres étudiants de la maison de Serdaigle. D’habitude la salle commune était pleine mais calme, ce soir-là, c’était brouillant, impossible de travailler correctement et d’avoir une concentration au maximum comme avant. Je m’étais donc réfugier dans le dortoir ou là, il n’y avait personne. Heureusement car j’avais besoin de terminer ce devoir à temps. Pourtant en cours j’écoutais, j’étais attentif, un élève sérieux pour les études, qui travaillait dur pour réussir sa vie plus tard, d’avoir un bon métier, que ses parents soit fiers de lui mais comme tout bon élève j’avais également eu des moments de faiblesse, ou j’avais baissé les bras mais j’étais remonté très vite sur jambes et j’avais filé comme un éclair de feu. Le balai le plus rapide jusqu’à présent. Ca serait avec plaisir... Je te ferais signe alors... Elle adorait la divination ? Mais comment pouvait-elle supporter cette matière, aimer cette matière, c’était incompréhensible. Bon d’accord chacun ses préférences, ses goûts, ses envies mais de là à aimer la divination, c’était choquant et compliquer à comprendre mais si elle aimait la divination, elle pourrait sans doute me rendre service en m’expliquant car je ne comprenais rien. Elle avait encore le sourire aux lèvres, celui qui me réchauffait le cœur rien quand le voyait sur ses lèvres apparaitre, ce sourire que j’aimais tant venant d’elle. En faite, le truc le plus dingue auquel je pensais à cet instant, c’était sans doute que pour un seul sourire venant d’elle, je serais après à tout, même au pire, juste pour un sourire, son sourire, le sien. Appuyer contre le puits, celui auquel elle venait de faire un sois disant vœu car moi je n’y croyais pas un seul instant. Je croyais à la magie bien sur car aujourd’hui j’étais un jeune étudiant sorcier ayant beaucoup de capacités d’après les professeurs mais aux vœux, je n’y croyais pas une seule seconde. Pourquoi ? Parce que simplement je n’avais eu aucune preuve jusqu’à présent, c’était comme ça, sans preuve, je ne voulais pas le croire, un peu comme tout le monde. C’était comme croire au père noël tant que tu la pas vu de tes propre yeux tu n’y crois pas un instant, pourtant quand j’étais enfant, j’y avais cru tellement fort cas l’âge de neuf ans quand mes parents mon dit qu’il n’existait pas j’avais pleuré des tonnes de larmes. Tout ça pourquoi ? Pour mon père qui se faisait passé pour lui à chaque noël. Nos regards ne se lâchait plus, c’était flippant, à l’intérieur de moi je flippais, c’était la première personne, la première fille qui me rendait un effet comme celui-ci. Vous connaissez le but des aimants ? Quand l’un fait ça, l’autre fait ci, c’est comme ça que les aimants s’attirent eux même. L’un colle et l’autre est attirer par celui qui colle. Enfin, un grand bordel pour de simple objet. Elle détourna le regard pour regarder le puits. C’était sans doute plus beau à voir et à regarder que mon visage ou alors, elle aussi n’aimait pas ce silence fracassant. Je ne sais pas, mais j’espère bien que oui. A cet instant, j’espérais que ce ne soit pas la vœu de revenir avec le prince des Serpentards car autrement je ne la comprendrais même plus. Ce type ne la méritait pas et ne l’avait jamais mérité. L’année dernière j’avais pu remarquer des traces sur ses poignets, j’avais eu une rage à mon grand étonnement. La rage, la colère qu’un gars qui soit disant était amoureux d’elle lui avait serré autant les poignets. D'ailleurs ce gars-là, il avait comme signer propriété priver sur Ysolde, du moins tout le monde au château avait eu cette impression, même moi pour tout vous dire. Si quelqu’un regardait Ysolde, ça aurait chauffé pour lui, si quelqu’un avait l’intention de parler à Ysolde, il aurait fait payer ça à la personne en question. D’ailleurs jamais je n’avais compris ce que faisait Ysolde avec lui, enfin faisait avec lui. D’après les rumeurs ils n’étaient plus ensembles et d’ailleurs cela me rassurais, car j’aurais pu finir entre les mains d’un pov type avec qui j’aurais pu tenir tête et même en venir aux mains. Se croire supérieur aux autres, devrait être interdit, car personne n’était plus fort, plus supérieur que d’autre, il n’y avait jamais de vainqueur et jamais de perdant, sauf dans les matchs de quidditch. Des fois c’est à nous de faire en sorte que le vœu se réalise, il faut savoir saisir sa chance. La phrase qu’elle venait de dire, j’avais cru la lire dans un vieux bouquin de la bibliothèque. C’était une phrase qui m’avait marqué, même beaucoup car cela était vrai, pour beaucoup de chose en tout cas. Savoir saisir sa chance. C’était quelque chose que je n’avais jamais fais ou du moins pas vis-à-vis d’une personne. Quand je faisais partis de l’équipe de quidditch de Serdaigle, j’avais comme poste batteur et j’avais toujours eu l’intention de me présenté aux sélections. Le sport me plaisais, j’avais que ça pour me tenir en forme à Poudlard, je n’avais pas de bricolage à faire comme j’aurais fais chez moi, je n’avais pas la pelouse à tondre comme je l’aurais fais chez moi, enfin il n’y avait que le sport à Poudlard. Sans savoir ce qui me prenais, la phrase que venait de dire Ysolde me bousculait tout dans la tête et j’eu le réflexe de passé doucement ma main près de sa joue pour remettre sa mèche de cheveux derrière son oreille. Geste de trop ? Geste bizard ? Les deux ! Et vous n’avez pas tout vu. Sans savoir ce qui me prenait, je pris mon élan en me disant dans la tête la phrase d’Ysolde : Il faut savoir saisir sa chance. Je déposa doucement mes lèvres aux coins de ses lèvres doucement puis recula. Eumh... Je ne sais pas ce qui ma pris… Mon regard dans le sien, j’étais comme stupéfié. J’allais sans doute regretter mon geste et à cet instant présent, je m’en voulais, à l’intérieur de moi, ça criais, comme ci c’était mal, comme ci j’avais fais quelque chose de mal. Je m’étais reculé d’elle, de quelque centimètre, afin de ne pas me battre de gifle. Ne sait-on jamais.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: ONE WISHES, A FATE ft Ysolde   ONE WISHES, A FATE ft Ysolde EmptyMer 17 Aoû - 19:42

Ca serait avec plaisir... Je te ferais signe alors... Ysolde sourit alors. Elle n’était pas du tout du genre à aider les autres, elle était même plutôt du genre à leur communiquer de fausse informations pour avoir une meilleure note qu’eux, elle était toujours très sûre d’elle en cours. Des fois, elle avait des allures de serdaigles, elle se sentait aujourd’hui plus proche des bleu et argent que des verts et argent, c’était étrange. Mais, elle restait mesquine, donc serpentarde, car elle pensait à communiquer de fausse infos, elle était fourbe, elle était Ysolde. Mais, elle aimait assez aider ses amis, et ceux qu’elle appréciait – soit un nombre très limité de personne – elle aimerait bien aider Emrys, elle l’appréciait – un peu trop. Ysolde ne répondait généralement aux gens qui la sollicitaient dans ce but dernièrement elle s’était surprise à répondre au loup garou – Schuyler – qui avait besoin d’aide pour ses devoirs, elle ne savait pas trop pourquoi elle lui avait répondu, elle avait peur de lui. Elle voulait, vraiment, aider Emrys. Ysolde adorait la divination, c’était presque une passion, elle trouvait cette matière fascinante, elle devait être une des seules élèves de Poudlard capable d’apprécier cela. C’était sans doute parce qu’elle avait le don de voyance que tout lui paraissait clair, elle avait plus d’affinité que n’importe qui avec cette matière.

Quand elle y pensait, Ysolde ne s’était jamais retrouvé seule avec un garçon depuis pas mal de temps. Schuyler ne comptait pas, lui il avait failli la manger toute crue. La dernière fois était avec Ulysse, mais avec lui tout avait été différent, ils avaient été imposés l’un à l’autre par leurs parents, c’était étrange, elle ne savait pas si elle avait réellement eut des sentiments pour lui, où si ces sentiments étaient créer par le désir de faire plaisir à son père. Quand elle y pensait, pendant presque un an, elle avait été le joujou d’Ulysse, c’était sur elle qu’il piquait ses colères, elle avait été sa Ysolde, elle avait même délaissé certaines amitié pour lui, pour pas qu’il ne soit jaloux, elle ne comprenait pas pourquoi elle avait agit comme ça, peut être parce qu’elle l’avait aimé. Peut être, mais depuis le moi de mai, c’était fini, depuis qu’il l’avait frappé, elle l’avait détesté, à jamais. Mais depuis Ulysse elle ne s’était jamais retrouvée seule avec un garçon, bel et bien seule. C’était bizarre, tellement bizarre. Le pire ou le meilleur dans tout ça, était qu’elle était bien avec lui, un peu troublée, mais bien. Elle le regardait, toujours appuyé contre le puits, heureusement que celui-ci était là, ça lui évitait de bouger comme une gamine de troisième année qui parle avec un garçon. Elle le regardait, elle espérait qu’il n’y aurait pas nouveau silence c’était tellement déstabilisant. La suite était pire qu’un silence pour déstabiliser quelqu’un, pire. Rys passa sa main près de sa joue, elle pris sans l’ombre d’un doute une teinte rosée en moins de temps qu’il n’en faut pour dire quidditch, il mit une mèche blonde d’Ysolde derrière l’oreille de celle-ci. Elle resta sans mots, mais, ce n’était encore rien. il se pencha doucement vers Ysolde posant ses lèvres sur les siennes, au coin… enfin ! a ce stade, on s’en fou de l’endroit précis, non ? Puis, tout se recula disant alors : Eumh... Je ne sais pas ce qui ma pris… Ysolde resta sans mots, la bouche entrouverte, tellement elle était… surprise. C’était pas le genre de chose qu’elle attendait… en fait, si, c’était exactement le genre de chose qu’elle attendait. Mais… elle était troublée, complètement troublée. euh... mhm.. je... Ysolde était toujours très sûre d’elle, là, elle était littéralement entrain de bégayer, de bafouiller, que sais-je, elle était « mal », dans le sens où elle se sentait faible, ou, elle ne se sentait pas en confiance.

Elle ne savait pas quoi dire. Elle hésita une seconde à le gifler, elle aurait gifler n’importe quel garçon qui aurait osé faire ça. Elle avait giflé Ulysse quand elle ne l’avait pas autorisé à le faire, mais là… Non, elle ne voulait pas le gifler, elle n’y arrivait pas. Elle détestait être proche physiquement des gens, là, c’était différent. Elle hésita à prendre ses jambes à son cou, ou à… lui sauter au cou ? Ysolde resta loin de lui une seconde, puis fit un pas en avant, prenant rapidement le visage du jeune homme entre ses mains, et posa tendrement et rapidement ses lèvres sur les siennes. Elle pressa ses lèvres contre les siennes. Par merlin, elle avait perdu l’esprit, totalement. Elle lâcha son visage, et lâcha ses lèvres, et recula d’un pas, comme choquée, surprise, troublée par ce qu’elle venait de faire. Elle le regarda, et dit alors : Je suis... désolée. Elle était rouge comme une tomate. Elle retourna s’appuyer contre le puits, elle était coincé, et mourrait d’envie de prendre ses jambes à son cou.

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MessageSujet: Re: ONE WISHES, A FATE ft Ysolde   ONE WISHES, A FATE ft Ysolde EmptyMer 17 Aoû - 20:40

Je venais de faire le geste impardonnable celui d’embrasser au coins des lèvres une demoiselle que je connaissais depuis l’année dernière, que j’avais toujours vu comme une camarade de classe sauf depuis quelque jours ou le déclic avait été effet. Je n’avais plus vu Ysolde comme une simple camarade comme un binôme mais plutôt comme la demoiselle qui me rendait bizard, fuyant car il faut l’avouer je l’avais fuis toute la semaine essayant d’avoir le moindre mot avec elle et tout ça pourquoi ? Parce que je m’étais rendu compte que j’avais une vision différente d’Ysolde voir même totalement différente. C’était la première fois que cela m’arrivait et j’étais comme flippé, je flippais, j’avais peur, peur d’un contact à vrai dire Ysolde était la première demoiselle qui me rendait aussi comme ça, c’était comme ci je ne voyais qu’elle dans ce monde de brute. Je venais de déposé doucement mes lèvres aux coins des siennes, ça aussi c’était nouveau pour moi, c’était même neuf, je n’avais jamais fais un tel geste sinon mon jumeau aurait été au courant, enfin non, j’aurais gardé ça pour moi, comme pour les drôles de sensation que je ressentais vis-à-vis d’Ysolde ou comme ses drôles de truc à l’intérieur de moi. J’avais comme la circulation du sang qui partait en vrille, j’avais comme mon cœur et ma respiration qui c’était accélérer et j’espérais qu’Ysolde ne ressentit rien à cet instant parce que je flippais face à un tel acte venant de ma part. Je venais de reculer après mon geste bizard, encore un geste affectif ! Un geste qui me fit passer la main à ma main nuque, gêné. Dans tout ça, ce que je gagnais c’était soit une gifle de sa part, soit elle m’engueulerait disant des injures dans une langue que je ne connaissais pas ou alors elle me transformera en vieux crapaud ou alors, j’avais le choix de partir, de fuir mon geste, comme j’aurais fais si cela m’étais arrivé quand j’étais plus jeune. Sauf qu’aujourd’hui, j’étais un garçon de dix neuf ans, j’avais toute mes dents ( fort heureusement ) et j’avais en face de moi et j’en étais certains, la plus belle fille du château. J’étais comme bousculé à l’intérieur de moi-même, je n’avais pas envie de gâcher une amitié pour un baiser aux coins des lèvres. Non j’aurais sans doute voulu plus. Mais quel égoïste ! Et si Atlance avait raison ! euh... mhm.. je... Venais-je de faire le pire ? Allais-je le regretter dans les secondes à venir ? Si je devais me prendre une gifle venant d’elle je la comprendrais, c’était si soudain, si bizard même totalement bizard comme situation. Nous étions tous les deux éloignés, moment pour le moins étonnant car peu de secondes avant nous étions assez proches et nous échangions des regards dans un moment de silence, le silence, le deuxième en quelque jours. Etait-ce le destin qui venait de faire son tour de magie ? Ou alors était-ce le gallion que venait de jeter Ysolde dans le puits et qui avait fait le vœu, un vœu, dommage que je ne pouvais pas le savoir, j’aurais aimé à cet instant lire dans ses pensés, cela m’aurais bien plus. Contre toute attente, Ysolde s’approcha de moi d’un pas et pris ma tête entre ses deux mains, d’ailleurs je peu constaté qu’elle avait la peau douce, et déposa un baiser sur mes lèvres. Fracassant ce baiser, j’étais comme électrocuter sur place, j’étais comme invivable. Ce baiser dura quelque secondes, qui me paru si courtes. Jamais je n’avais pensé en arriver-là, jamais je n’aurais pensé même imaginé qu’Ysolde aurait eu un jour, un soir, ses lèvres sur les miennes. Pour tout vous dire, c’était la première fois que j’avais un tel contact avec une fille, au château elles étaient toute superficiel, le genre de nanas que je déteste et qui me soul mais Ysolde était complètement différente et ça je le savais. Des le premier moment de l’année dernière. Elle recula d’un coup. Si elle savait qu’elle était la première fille qui avait toucher mes lèvres avec les siennes, elle se serait sans doute foutu de moi ou alors je craignais le pire. Peut être qu’il valait mieux ne rien dire. Pour le moment. Je suis... désolée. Son regard avait changer, comme si elle avait vu le diable en personne. Etais-je alors le diable ? Pensait-elle que c’était mal ? Ou qu’elle gâchait quelque chose en aillant fait ça ? Des tas de questions se posa dans ma tête, je tournais en rond à l’intérieur de moi. Je passa de nouveau ma main à ma nuque en regardant Ysolde revenir au puits. Son regard, ce n’était plus le même. Je passa alors ma langue doucement sur ma lèvre inférieur. Si j’avais aimé ? Oh que oui, même beaucoup, j’avais apprécié au maximum car c’était sans doute le premier et le dernier non ? Ou alors devais-je garder espoir pour un autre moment comme celui-ci ? Drôle de situation… Pas vrai… Je regardais Ysolde qui était revenu au puits. Mon cœur avait encore plus accélléré des le moment ou ses lèvres avait touchés les miennes. C’était comme… Irréel. Je n’avais jamais pensé à être dans une situation comme celle-ci, évidement, j’avais déjà pensé aux lèvres d’Ysolde, évidement que j’avais pensé à comment ça serait mais je ne pensais pas que cela arriverait après une semaine où je l’avais éviter jours après jours. C’était comme ci, je m’en étais voulu de mon geste, ça me rongeais l’intérieur. Je pris alors mon destin entre les mains, c’était bien elle qui m’avait dit qu’il fallait saisir sa chance, alors ce soir c’était le tout pour le tout. Je m’approcha d’elle jusqu’à être près d’elle. Je pris alors mon souffle, de un parce que j’avais pu d’être repousser par un quelqu’onc sortilège et de deux pour me prendre une gifle au cas ou. La regardant dans les yeux, je pu voir que son visage était … Très rouge. C’est dans un échange de regards que lui dis. J’arrête pas de pensé à toi Ysolde..
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Ysölde M. Wilkes McFays
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fondatrice -  prefète de serpentard, attention à vous, je peux éviter la retenue... ou pas.

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MessageSujet: Re: ONE WISHES, A FATE ft Ysolde   ONE WISHES, A FATE ft Ysolde EmptyMer 17 Aoû - 21:53

Elle l’avait embrassé, ce n’était pas réellement son genre d’embrasser quelqu’un sans y avoir été invité, enfin… la démarche de Rys pouvait sonner comme une invitation, mais Ysolde ne savait plus où elle en était, elle ne savait pas où elle en était. En fait, elle n’avait jamais su où elle en était, ysolde avait toujours été perdue, perdue dans ses émotions, dans ses sentiments, dans ses souvenirs, tout le temps perdu, avec la sensation de vivre hors du monde. Ysolde n’avait pas l’impression d’être quelqu’un de normal, c’est comme si toute sa vie, elle avait été dans le noir, depuis ses huit ans, avant qu’elle perde la mémoire elle avait eut une vie, aujourd’hui, elle sentait que tout n’était que… mensonge ? Elle n’arrivait pas à faire confiance, elle n’avait même pas confiance en elle. Elle baissa les yeux, par Merlin, elle était perdu, comment avait-elle pu.. comment avait-elle pu l’embrasser ? Elle en avait envie, elle aurait eut envie de l’embrasser de nouveau, son cœur battait à la chamade depuis qu’elle l’avait embrassé, mais… elle était totalement perdu. Drôle de situation… Pas vrai… Sa voix la sortie alors de ses pensées, elle leva timidement les yeux vers lui. Drôle ? Dans un sens oui, c’était drôle. Ysolde aurait plutôt usé de l’adjectif troublant, déstabilisant. Drôle, elle ne savait pas. Elle le regardait une seconde puis tournait le regard, elle ne savait pas quoi penser, et encore moins quoi faire, elle était contre le puits, avec l’envie soudaine de disparaitre, mais on ne peut pas transplaner dans l’enceinte de Poudlard. Elle le regardait, tournait le regard, recommençant à chaque fois. Elle ne répondit rien, rien, rien, rien, elle restait muette. Quand elle croisait son regard, tout était… différent, elle était encore plus troublée.

Rys, elle l’appelait Rys, en un an elle était passé de « hey toi là bas avec la cravate bleu tu pourrais me prêter un peu de parchemin s’il te plait ? » à.. « Rys », c’était plus personnel, plus « intime », plus « amicale » surtout, bien que… l’amitié semblait être un stade dépassé entre eux. Rys s’apporcha alors d’elle, à nouveau, plus il était proche, puis elle sentait son cœur battre, plus elle semblait avoir du mal à respirer. Elle aurait voulu lui dire de s’arrêter, de reculer, de la laisser partir. Elle aurait voulu le gifler, comme ça, tout serait fini, ça serait stupide mais… Ysolde détestait se sentir faible, pire, cela la faisait encore plus se sentir perdue. Elle détestait être perdue. quand elle croisa enfin son regard, il lui dit alors : J’arrête pas de pensé à toi Ysolde.. Il n’arrêtait pas de penser à elle ? Par Merlin, elle aussi avait pensé à lui, toute la semaine, à chaque moment où elle avait tout fait pour l’éviter. Il lui suffisait de répondre pour que tout finisse bien. Ysolde était troublé, elle avait pensée à lui une bonne partie de la semaine, cherchant désespérément un moyen de se le sortir de la tête. Elle était tellement perdu, elle n’avait pas vécu cela depuis fort longtemps, avec Ulysse les choses ne s’étaient pas passé comme ça, ils avaient été fiancé de force, leur relation avait été contrainte, là c’était, différent. Elle laissa échapper à mi-voix : Moi aussi, j’ai… Quand elle réalisa qu’elle était sur le point de dire « moi aussi, j’ai pas arrêté de penser à toi », elle se stoppa net, la bouche ouverte, incapable de continuer sa phrase. Elle respira profondément, il était si proche qu’elle avait envie de l’embrasser. Elle se retrouvait coincé entre lui et le puits. Tout à coup, elle secoua la tête de gauche à droit et posa ses mains sur le torse de Rys –non, elle n’allait pas agripper son t-shirt pour l’embrasser bien qu’elle y ai pensé-, elle le repoussa assez pour qu’elle puisse se dégager du puits, elle se dégagea de lui, lui jeta un regard avant de dire à mi-voix, complètement perdu : Je… j’aurais pas dû venir. Elle le regarda avant de tourner les talons, elle parti aussi vite qu’elle était arrivée dans la nuit. Aussitôt dans le couloir, elle laissa des larmes silencieuses couler sur ses joues, elle se sentait si inhumaine, elle n’était pas capable d’être avec quelqu’un, elle se sentait… horrible. Elle essaya d’essuyer ses larmes, avant de rentrer dans le dortoir de serpentard, elle soupirait, qu’elle idiote faisait-elle. Mais c’était peut être mieux comme ça ? Elle ne savait pas, elle ne pouvait pas revenir en arrière, elle… elle l’avait repoussé alors que pour une fois c’était quelqu’un qui commençait réellement à la connaitre. Elle allait s’en vouloir, sans l’ombre d’un doute.
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MessageSujet: Re: ONE WISHES, A FATE ft Ysolde   ONE WISHES, A FATE ft Ysolde EmptyJeu 18 Aoû - 11:15

Tout était étonnement froid, comme ci nous ne savions pas ce que nous voulions. A vrai dire, c’était tellement imprévisible que je pense que ni elle, ni moi n’avions pensés qu’un jour, où serions à ce stade. J’avais toujours vu Ysolde comme un binôme, une camarade de classe jusqu’à cette année ou tout à basculer, tout à avancer. Peut être qu’avoir essayé de tenter ma chance n’était pas spécialement une bonne idée mais trop tard, nous nous étions embrasser et rien que ça, j’en avais le cœur qui battait, pourquoi une telle réaction si soudaine ? C’était comme ci je venais d’apprécier ses lèvres sur les miennes mais à l’intérieur de moi, c’était vraiment une feu d’artifice. Je n’avais reçu aucune gifle, à mon avis, nous avions tous les deux un problèmes, quelque chose qui nous bloquait. Je n’étais pas le genre de garçon à avouer ses ressentiments comme ça mais j’avais tout de même dit que je n’avais pas arrêté de pensé à elle cette semaine, alors que je l’avais évité pour mon bien et pour le sien. Je n’avais jamais pensé qu’un jour nous serions rendu-là, ou nous nous éviterons pour ne pas avoir encore plus de ressentiment mais pourtant je n’avais qu’elle dans ma tête et je trouvais ça horrible. J’étais proche d’elle et je venais de lui dire que je n’arrêtais pas de pensé à elle. En cours , je n’avais pas arrêté de la regarder alors que nous avions un binôme différent. Elle était assise en face moi et c’était plus dur de la voir travailler avec quelqu’un d’autre que moi. J’avais tout fais pour ne pas penser à elle. Je l’avais évité, j’avais changé de partenaire pour les devoirs et je m’étais concentrer sur le sport et la culture pour l’oublier un peu, l’évaporer mais non. Aucune chose ne me l’avait fait oublier. Comme ci c’était normal que je pense à elle alors que non, c’était contre la nature. J’étais tout près d’elle et je pouvais respirer sa bonne odeur, son parfum, d’ailleurs son parfum était rester sur mon pull même après que les elfes de maison l’ai laver. Sa bouche était entre ouverte, c’était bizard, son regard me troublait, ce n’était plus le même que habitude. Moi aussi, j’ai… Elle aussi quoi ? Des tas de questions fit son apparition dans ma tête. Tout était bizard maintenant, je savais que je serais sans doute bizard, distant vis-à-vis d’elle mais ce que je redoutais le plus, c’était la suite. Nous étions toujours près du puits, nos respirations était saccadés, je sentais mon pout accéléré et tout ça pourquoi ? Pour un simple baiser venant d’elle. Je n’étais pas au point d’être dingue mais ça ne serait tarder. Sa tête tourna de gauche à droit puis elle posa ses mains sur mon torse. Mon cœur s’accéléra encore plus, rien que pour ce geste, mais sans mis attendre, elle me poussa pour se libérer. Je… j’aurais pas dû venir. Le moment tant attendu était fini et c’est en me regardant dans les yeux qu’elle disait ça. Je savais que je n’embrassais pas comme un dieu mais quand même, cela n’avait pas été si désagréable que ça si ? Elle partit de la pièce en me laissant seul, baguette à ma main qui était allumer grâce au sortillège de lumos. Je me trouvais totalement seul alors que quelque secondes plus tard, elle était avec moi et que quelque chose c’était passé. Je ne savais pas ce qui lui prenait, prendre la fuite d’un coup, me laisser sans rien dire après cet instant. Enfin si elle avait dit quelque chose « je suis désolé » Cet instant avait sans doute été le meilleur moment en une année de binôme. Sa phrase me revenait à la tête, « il faut savoir saisir sa chance « Tu parle d’une chance ! J’avais saisis la mienne, ça c’était certain mais non, elle avait prit la fuite en partant comme… une voleuse. Je resta muet, sans rien comprendre, j’étais comme perdu, la seule chose que je fis, était de me retourner vers le puits. Pourquoi ? Simplement pour me remémorer l’instant que j’avais eu avec elle quelque secondes avant. Je m’approcha de la porte d’entrée en soupirant. Je ne savais même plus ce que je ressentais, c’était hallucinant. Je sortis de la pièce en faisant attention de ne pas me faire prendre par les préfets, il était tard mais assez pour me faire prendre. Les tableaux du château dormait tous et je pu retrouver le tableau de la salle commune des serdaigles. En rentrant dans la salle commune, je regardais autour de moi, tout le monde dormait, tout le monde était dans un sommeil profond, sauf moi. Je monta les escaliers pour aller au dortoir mais je préféré me diriger vers les douches pour prendre une douche froide. Au moins je savais que personne ne viendrait me déranger et que je ne gaspillerais pas d’eau chaude comme beaucoup aurait fait. Je resta pendant trente minutes environs, l’eau froide n’apaisait rien, c’était incroyable et mes pensées était toujours pour elle. Je sortis de l’eau en m’essuyant correctement. J’avais une tête de mort vivant, c’était incroyable. J’avais une seule et unique chose à faire. Eviter Ysolde le plus possible et ne rien laisser paraitre. Après mettre séché et mit la serviette à sécher pour demain matin, je monta au dortoir au mon lit attendait. Je n’avais pas sommeil mais il fallait que je dors pour ne pas être crever le lendemain matin. Malheureusement, je m’endormis pas avant quatre heures du matin pour un réveil à sept heures. A les filles. Compliqué à comprendre.

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