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FAMILY TIES ARE BASED ON TRUST. (sofia)

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Ysölde M. Wilkes McFays
Ysölde M. Wilkes McFays


fondatrice -  prefète de serpentard, attention à vous, je peux éviter la retenue... ou pas.

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MessageSujet: FAMILY TIES ARE BASED ON TRUST. (sofia)   FAMILY TIES ARE BASED ON TRUST. (sofia) EmptyJeu 21 Juil - 20:44


FAMILY TIES ARE BASED ON TRUST.
sofia sweetlove née mancini featuring ysolde grace fayburn-wilkes
Une sortie à Pré Au Lard était organisée chaque mois tout au long de l’année scolaire. Ysolde aimait beaucoup passer du temps à Pré Au Lard, même s’il s’agissait d’une petite ville, elle affectionnait cet endroit particulièrement calme, et si proche du lieu qu’elle considérait être son « chez elle », Poudlard. Un village exclusivement sorcier, elle s’en fichait, mais c’était totalement fascinant de voir un monde de sorcier. Ysolde était intriguée par les moldus, et leur façon de vivre, elle qui en avait été coupée toute sa vie. Si Ysolde se trouvait à la tête de sanglier, loin du tumulte des Trois Balais, c’était parce qu’elle avait été conviée venir ici. N’importe quelle personne sensée n’aurait pas répondu à une invitation non signée. Mais, n’importe quelle personne curieuse comme Ysolde y serait allé sans rechigner. Une bien étrange lettre. Ysolde ne connaissait pas grand-chose à la calligraphie, mais elle était certaine qu’il s’agissait d’une femme, elle le voyait, c’était propre et soigné, un homme écrivait mal c’est bien connu.
(…)

Ysolde s’était faufilé parmi les autres élèves, elle était assez douée pour être discrète. Ysolde savait se faufilé toute sa vie, et depuis le debut de l’année c’était ce qu’elle faisait dans la salle commune de serpentard, elle ne voulait pas voir sa sœur, et les autres personnes qui gravitaient autours d’elle. Elle avait appris que sa sœur n’était que sa demi sœur, et ça avait tout changé, elle savait qu’elle n’avait plus besoin de refouler sa haine envers sa sœur. Si Ysolde avait accepté ce rendez vous c’était par curiosité, il lui arrivait tellement de chose dans sa vie. Elle avait retrouvé la mémoire, c’était merveilleux et en même temps tragique. Tout corrélait, son père était cinglé, et il avait sans l’ombre d’un doute quelque chose à voir dans la mort de sa mère, ça il ne lui pardonnerait jamais. Sa mère, c’était à la fois réjouissant mais tellement triste, de s’en souvenir et d’être triste parce qu’elle l’avait perdu. Ysolde se souvenait de tout, de ce qui était arrivé avant le décès de sa mère.

Ysolde l’impatiente avait horreur d’attendre. En fait, il n’y avait pas réellement d’heure préciser sur cette mystérieuse lettre, juste un « rendez vous à la tête de sanglier. Et bla, et bla. » ysolde était là depuis presque une heure, elle était arrivée ici dés le début de la sortie. Elle avait bu au moins quatre café, ysolde n’était pas fan de la bière au beurre ni du wisky pur feu, elle préférait le thé, mais par-dessus tout le café, bien serré, bien noir, et de préférence court, ou ristretto comme on dit. Elle était assise, la tête appuyé dans sa main, à moitié affalée sur la table. Pas l’ombre d’une personne dans ce fichu bar de Pré Au Lard, il y avait eut quelques troisième et quatrième année qui étaient entré pour boire un verre avant de partir explorer la cabane hurlante. Elle avait en main une tasse, le regard vide. Elle attendait, fichtre. Quand soudain, la sonnette de la porte tinta et entra alors une femme brune, aux cheveux noirs : la professeur d’anatomie, Sofia Sweetlove. Sofia Mancini de son nom de jeune fille. Mancini, c’était le nom de jeune fille de sa mère, Amelia Mancini, qui avait choisi de prendre le nom de sa mère Fayburn. Sofia Sweetlove était sa tante, elle s’en souvenait maintenant.
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MessageSujet: Re: FAMILY TIES ARE BASED ON TRUST. (sofia)   FAMILY TIES ARE BASED ON TRUST. (sofia) EmptyJeu 28 Juil - 19:57

« Ysolde, il faut que l'on parle et rapidement. Retrouve moi à la taverne de Pré-au-Lard à seize heures. » J'avais simplement envoyé ce hibou. Depuis la fenêtre de la chambre que nous partagions Timothy et moi, je regardais l'oiseau prendre son envol vers le dortoir des Serpentards. Je ne savais pas comment elle réagirait face à une lettre aussi mystérieuse. Pour ma part, j'avais une peur bleue. Je restais un long moment à regarder à travers la fenêtre. Je me demandais ce que penserait Amélia de cette situation. A tout les coups, elle m'aurait traîtée de folle. Vous savez ma soeur était une femme extraordinaire. Elle était forte, grande, belle, brune, en somme une vraie italienne. Elle était aussi très famille et elle en a voulu très longtemps à notre mère à cause du départ de notre père. Je pense même qu'elle ne lui a jamais pardonné. Elle avait rejeté la faute sur notre mère alors que pour ma part j'avais fait l'inverse. Cependant nous évitions aisément ce sujet brûlant. Je ne voulais pas perdre ma soeur et encore moins ne plus jamais la revoir. Quand on y pense c'était ce qu'il s'est passé. Le destin en avait décidé autrement. Ma soeur était morte et je n'avais plus que ma nièce. Bien entendu, je n'oublie pas Cassandre mais ce n'est pas pareil qu'avec Amélia. On se comprenait en un regard alors qu'avec Cassandre c'est un autre histoire. En même temps nous n'avions jamais vécu ensemble véritablement alors. Et puis je pouvais faire l'andouille avant quand Amélia était là. J'avais ma grande soeur pour me protéger alors que maintenant je dois tenir ce rôle. Je comprends à présent ce qu'elle voulait me faire comprendre quand elle disait que c'était difficile comme « métier ». Cela devait faire un moment que j'étais postée devant cette fenêtre parce que Timothy vient me sorte de mes pensées en me prenant par la taille. Je ne devais pas m'inquiéter outre mesure. Il y avait une vie qui grandissait en moi alors je devais me calmer et penser positif. Demain était un autre jour et je pourrais me faire du soucis à ce moment là. J'étais à la fois excitée et anxieuse. J'allais enfin revoir ma nièce. Finalement j'allais me coucher et comme souvent je rêvais une nouvelle fois de la révélation que je ferais à Ysolde demain. Cependant je n'aurais jamais cru que ce jour serait aussi proche de moi. Je m'allongeais sur le lit aux côtés de mon époux et je m'endormais paisiblement dans ces bras jusqu'aux premiers rayons de soleil. Parce que oui je suis une lève tôt et je n'aime pas ne rien faire du tout. Alors dès que le soleil vient frôler ma joue je me levais. J'enfilais une robe bleue nuit élégante, une robe que j'avais depuis des années et qui était une robe fétiche. Je pouvais encore y entrer du coup j'en profitais un peu. Quand l'heure fut assez avancée, je descendais dans la salle commune avec Timothy pour prendre mon petit déjeuner. J'ai mangé comme un ogre encore une fois. Je riais à l'époque où mes patientes disaient qu'elles mangeaient pour dix mais maintenant que je suis dans le cas je ne peux que les comprendre. Après avoir reçu quelques encouragements de mon époux, je me dirigeais enfin vers le village de pré-au-Lard. Je marchais traquillement vers le village en me demandant sans cesse comment je pourrais le lui annoncer. En arrivant devant la porte de la taverne, je mis quelques secondes avant d'y entrer. Je me posais vraiment beaucoup de questions. Et si elle pensait tomber sur un tordu ? Et si elle ne venait pas ? Et si elle ne me croyait pas ? Au final, je pris mon courage à deux mains et j'entrais dans la taverne. Je mis un moment avant de la voir assise à une table dans le fond de l'établissement. Je m'approchais d'elle en souriant, en ne sachant pas vraiment comment l'aborder. Je déclarais alors d'un ton enjoué alors que je n'avais qu'une peur c'était qu'elle me rejette : Bonjour Ysolde. Comment vas-tu ? Excuse moi pour cette mascarade mais je devais te parler en priver. Stupide ! Comment mettre les pieds dans le plat en moins de temps qu'il ne faut pour le dire par Sofia. Stupide ! Je suis stupide, pourtant je ne pouvais pas m'empêcher d'avoir un sourire amical voir même attentionné à son égard. Je ne voulais pas perdre ma nièce mais je ne pouvais pas m'empêcher de sourire parce que je venais enfin de la retrouver, du moins je l'espérais.
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Ysölde M. Wilkes McFays
Ysölde M. Wilkes McFays


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MessageSujet: Re: FAMILY TIES ARE BASED ON TRUST. (sofia)   FAMILY TIES ARE BASED ON TRUST. (sofia) EmptyMar 2 Aoû - 11:45

Ysolde attendait, aujourd’hui, elle avait lâché ses longs cheveux blonds, elle qui d’habitude les attachaient en queue de cheval bien stricte, elle avait toujours maintenu ses cheveux correctement en queue de cheval, pour faire la parfaite blonde serpentarde. Là, elle ne se sentait plus la parfaite serpentarde, son sang était mêlée, elle ne se sentait ni invincible, ni intouchable, loin de là. Ysolde se sentait vulnérable à souhait. Et depuis que le professeur Sweetlove était entré dans ce bar, elle se sentait dix fois plus vulnérable. Quand Sofia s’assit à la table, celle-ci dit alors : Bonjour Ysolde. Comment vas-tu ? Excuse moi pour cette mascarade mais je devais te parler en priver. Sofia Manccini, mariée Sweetlove depuis cet été. Elle était la sœur de la mère d’Ysolde, sa tante pour tout dire. Ysolde avait vécu une partie de sa jeune vie chez sa tante, pas longtemps, le temps qu’avait pris sa mère pour mettre de l’ordre dans sa vie. Le souci, c’est qu’Ysolde venait passer onze années de sa vie amnésique, onze années à croire que sa mère était de sang pur, onze années se croire soit même de sang pur, onze années de mensonge, ça change une personne. Sofia devait croire que son père avait monté Ysolde contre sa propre tante au point même qu’elle l’ignore totalement depuis qu’elle était arrivée à Poudlard. Sauf que c’était faux. Ysolde n’avait jamais vu aucune photo de sa mère quand elle était amnésique, aucune photo de famille, elle n’avait jamais vu, ni même entendu parlé de sa tante, ou de quelques chose qui touchait de prés ou de loin à sa mère.

Il est dur d’expliquer à quelqu’un que vous l’avez ignoré pendant deux ans, juste parce que vous étiez amnésiques. Ysolde l’était réellement, c’était un médicomage de Ste Mangouste qui l’avait aidé à recouvré la mémoire, suite à l’attentat, et après être passée à travers la vitre, elle avait été suivie par un medicomage. Ysolde salua alors Sofia, poliment : Bonjour Professeur Sweetlove. Dur de savoir par où commencer quand on a quelques choses à dire. Ysolde avait toujours été de nature, franche, et surtout impulsive. Elle avait envie de dire ce qu’elle pensait, et surtout ce qu’elle savait, c’était tellement elle, c’était tellement sa mère aussi. Franche, impulsive, et dur à faire rentrer dans le rang. Je ne pensais pas que c’était vous qui m’aviez envoyé ce hiboux, ma foi, j’ai aussi à vous parler professeur. Elle marqua une pause, ne sachant pas par où commencer ce qu’elle avait à dire. Je ne sais pas par où commencer, ma mère est morte il y a onze ans dans un accident, j’y étais, et j’ai été gravement blessé, et… j’ai perdu la mémoire. J’ai été amnésique pendant onze ans, onze années de mensonges. Ysolde était franche, elle n’y allait jamais par quatre chemins. Jamais, elle n’y allait jamais par quatre chemin. C’était elle, droit devant, ne reculant pas. Elle avait été répartie à serpentard sans ses souvenirs, mais si elle avait été répartie avec ses souvenirs, la donne aurait été différente. Ysolde avait une mine triste, et en même temps, pas réellement. Elle était triste en repensant à sa mère qu’elle n’avait jamais réellement pleuré, parce qu’elle ne se souvenait pas l’avoir perdu. Ysolde était forte, mais cela avait ses limites, elle n’était pas une femme surhumaine, elle était encore moins parfaite. Mrs Sweetlove, Sofia, je me souviens de ma vie d’avant. Je me souviens de ma mère, je me souviens de toi. Ysölde avait la voix qui se nouait, elle n’était pas à deux doigts de pleurer, pourtant, elle avait comme une boule dans la gorge. Elle restait droite, et se tue alors.
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MessageSujet: Re: FAMILY TIES ARE BASED ON TRUST. (sofia)   FAMILY TIES ARE BASED ON TRUST. (sofia) EmptyLun 8 Aoû - 21:36

Bonjour Professeur Sweetlove. Professeur Sweetlove. Cela ne faisait pas longtemps que j'étais mariée avec Timothy et ça me faisait toujours bizarre d'entendre quelqu'un m'appeler par ce nom ci. Enfin le plus bizarre ici c'était que ma nièce m'appelle professeur. Je ne savais pas par où commencer. Comment lui dire qui j'étais pour elle ? Et si elle me prenait pour une folle ? Si j'étais dans son cas, je prendrais la personne pour une folle et j'étais certaine que personne n'avait du lui parler de moi. Le crétin de Wilkes père n'avait pas du se vanter d'avoir engrosser une sang mêlée. Celui-ci si je le trouve, je lui refais le portrait ! Non je ne le ferais pas vraiment, ce sont les hormones qui travaillent mais pourtant j'aimerais lui dire deux mots, surtout lui expliquer comment on traite les femmes. Enfin j'inclinais la tête poliment devant Ysolde pour la saluer de nouveau. Je ne savais pas quoi lui dire. Je n'aurais pas du lui donner un rendez-vous. J'allais commencer à parler quand elle me dit : Je ne pensais pas que c'était vous qui m'aviez envoyé ce hiboux, ma foi, j'ai aussi à vous parler professeur. Je levais les yeux intrigués. Ah bon ? J'espère que ce n'est pas trop grave, sinon nous pouvons rentrer à Poudlard, si tu veux être plus tranquille pour parler. Encore une fois, je jouais les jeunes femmes gentilles avec elle. Je ne pouvais pas m'empêcher d'être maternelle avec elle. Après tout elle faisait parti de ma famille et depuis onze années je ne l'avais pas vu. Je t'écoute Ysolde. Je croisais les bras et posais mes mains sur mon ventre. D'ici six mois j'allais être maman et j'étais sûre et certaine que cet épisode de ma vie allait me changer bien plus que je ne le pensais. Je ne sais pas par où commencer, ma mère est morte il y a onze ans dans un accidant, j'y étais, et j'ai été gravement blessé, et... j'ai perdu la mémoire. J'ai été amnésique pendant onze ans, onze années de mensonges. Je détournais les yeux. J'avais déjà des larmes. Moi qui avais toujours été très forte, je pleurais presque alors qu'elle ne m'avait pas dit grand chose. Je n'aimais pas être comme cela. Je ne pouvais pas me supporter quand j'étais aussi fragile. En plus elle me parlait de ma soeur et ça je ne pouvais pas le supporter. Même avec ma mère on ne parlait plus d'Amélia. Ca nous faisait trop de mal. Encore une fois pendant les vacances j'avais été à notre endroit favori pour déposer une rose. C'était mon rituel pour penser à ma soeur et je l'oubliais – du moins j'essayais – pour être forte, très forte aux yeux de tous. Je n'osais pas lui répondre. Je me connaissais j'allais être impulsive. Je reposais mon regard sur elle et je lui souriais pour l'encourager à parler. Mrs Sweetlove, Sofia, je me souviens de ma vie d'avant. Je me souviens de ma mère, je me souviens de toi. Les larmes me montèrent aux yeux immédiatement. Elle se souvenait de moi ? Je me levais et j'allais la prendre dans mes bras. J'avais l'impression de retourner en arrière, de retrouver ma nièce. Je la serrais très fort dans mes bras, je la berçais presque alors qu'elle était bien trop grande pour cela mais je ne pouvais pas m'en empêcher. Je me décalais d'elle et je la regardais tendrement en lui caressant la joue du revers de ma main. Je suis tellement contente de te voir. Tu... Tu m'as tellement manqué ! Si tu savais combien je m'en veux de t'avoir laisser toute seule. Je repris ma nièce dans mes bras et je me remis à parler. Je me sentais bête et pire que ça ridicule. Je me décalais de nouveau d'elle et je baissais les yeux avant de bafouiller d'une façon très ridicule. Je suis désolée, j'ai les hormones qui me travaillent normalement je ne pleure pas comme cela. Je regardais ma nièce et je tentais de redevenir forte pour elle. Elle avait assez souffert à cause de cette histoire à mon avis. Si tu as des questions je t'écoute. Je voulais l'aider au maximum mais j'avais encore du mal à ne pas laisser couler mes larmes.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: FAMILY TIES ARE BASED ON TRUST. (sofia)   FAMILY TIES ARE BASED ON TRUST. (sofia) EmptyMar 9 Aoû - 19:16

Ah bon ? J'espère que ce n'est pas trop grave, sinon nous pouvons rentrer à Poudlard, si tu veux être plus tranquille pour parler. Dit alors Sofia. Grave ? Elle ne savait pas réellement, si c’était grave ou non. Ysolde ne faisait pas dans les sentiments généralement, elle avait du mal à mettre une étiquette aux émotions, et surtout à ce que l’on disait, elle parlait toujours avec franchise, sans se soucier des conséquences. Elle se fichait bien de savoir si c’était grave ou pas. C’était le cadet de ses soucis. En tout cas, Sofia était gentille avec elle. Ysolde se demandait si sa mémoire ne lui jouait pas des tours, si cette femme était réellement sa tante ne se comporterait-elle pas autrement ? Cette question turlupinait la jeune femme, réellement. Plus d’un an qu’elles se croisaient dans les couloirs, si elle le savait, quelle garce était-elle. La jeune femme dit alors : Je t'écoute Ysolde. Ysolde pris son courage à deux mains, et dit ce qu’elle avait à dire, sans détours. Elle détestait les détours, elle était franche, s’en était parfois déstabilisant, elle se fichait parfois de gâcher l’instant présent. Elle préférait ruiner le présent plutôt que de découvrir la vérité plus tard. Aujourd’hui, cette vérité lui gâchait la vie, si elle avait grandit en bâtarde, les choses auraient été différentes, totalement différente.

Ysolde avait terminé son exposé, elle n’y était pas allé par quatre chemins. Rien ne pouvait mettre Ysolde mal à l’aise, rien ne pouvait l’empêcher de dire ce qu’elle pensait. Bon, si, peut être les garçons, elle avait tendance à se sentir mal à l’aise parfois, surtout quand on commençait à parler d’elle. Mais aujourd’hui, les garçons étaient le cadet de ses soucis, les sangs purs la trainaient dans la boue, et les autres se souvenaient avoir été insulté, ou ignoré par miss Wilkes. Il n’y avait qu’Emrys, et le nouveau très séduisant (à l’exception prés qu’il a Lestrange dans son patronyme). Ysolde ne pensait pas à eux, bien qu’ils occupent une grande partie de ses pensées. Désormais, elle attendait une réponse de Sofia, une réaction, même une insulte aurait fait l’affaire. Ysolde cru voir des larmes monter dans les coins des yeux de la professeur – de sa tante - d’un geste celle-ci se leva et se dirigea vers Ysolde pour la serrer dans ses bras. Ysolde voulu d’abord la repousser trop peu habité à serrer des gens dans ses bras, puis elle la serra doucement. Sofa semblait vouloir la bercer. Puis, Sofia cessa de l’enlacer, le regardant, caressant la joue d’ysolde comme si elle était encore une enfant. Je suis tellement contente de te voir. Tu... Tu m'as tellement manqué ! Si tu savais combien je m'en veux de t'avoir laisser toute seule. La professeur Mancini, Sofia était émotive aujourd’hui. Ysolde avait entendue dire qu’elle s’était marié au professeur Sweetlove, et qu’ils attendaient un bébé. Ainsi, elle lui avait manqué ? Ysolde aurait aimé dire que c’était le cas, mais pendant onze années elle s’était à peine souvenue du prénom de sa mère, ne sachant même pas mettre un visage sur ce prénom, sans savoir mettre un visage sur sa mère, n’ayant pas l’ombre d’une photo, son père avait tout fait disparaitre, tout. Ysolde n’avait rien à répondre, mais Sofia en larme la pris dans ses bras. Ysolde était si peu émotive, si peu expressive en sentiment que cela lui valait le surnom de la reine des glaces. Puis, de nouveau, elle s’empourpra, et dit alors, se trouvant certainement ridicule. Je suis désolée, j'ai les hormones qui me travaillent normalement je ne pleure pas comme cela. Elle cessa de parler, tentant certainement de reprendre du sérieux. Ysolde était toujours aussi expressive qu’un gratin de citrouilles. Puis, sa tante repris alors. Si tu as des questions je t'écoute.Des questions : elle en avait cinquante en tête. Des questions, milles questions. Elle voulait savoir dix milles choses sur sa mère, savoir si elle lui ressemblait, ou si elle ressemblait à son monstre de père. Elle voulait tellement lui ressembler, elle espérait être aussi forte qu’elle. Ysolde ne voulait pas ressembler à son père, pour rien au monde, elle voulait être tout sauf, comme lui. Un monstre, ysolde avait la conviction (et les souvenirs qui vont avec) que son père avait organisé la mort de sa mère, mais elle se demandait pourquoi au passage il n’avait pas tué sa bâtarde, tant de questions sans réponses. Seule sa mère, seul son père pourraient répondre à cette dernière.

Ysolde la fixait, inexpressive, sans émotions, une vraie machine, ne sachant quoi dire. Elle qui avait eut les larmes aux yeux en parlant était désormais de marbre. Ysolde la regarda, la fixa pour être précis. Elle se demandait comment elle avait pu devenir si… perméable aux émotions. Ysolde détourna le regard, puis le posa soudainement sur Sofia. Elle avait des centaines de question, mais une seule suffirait. J’ai juste une question : où étais-tu pendant les onze années les pires de ma vie ? Sa voix était… froide, et cassante. Ysolde était… comme ça, franche, jusqu’au bout. Cette fois, c’était de vrais larmes. Elle lâcha prise d’un coup, et ne pu retenir ses larmes. Elle pleurait, à chaudes larmes.Les pires années de sa vie, ce mensonge lui pourrissait sa vie actuelle. Réellement, elle ne la laissa par répondre : Si.. si tu avais pensé à moi, une seule seconde, tu aurais essayé de me contacter ! Ysolde n’avait jamais été une fille très gentille, elle ne prenait pas de gants pour dire les choses.
Ysolde leva la tête et lança à la serveuse : Hey, vous là, amenez moi un Whisky pur feu. S’il te plait ? Non, elle était énervée, en larme et à bout, rien de mieux qu’un remontant. La serveuse fit un signe psitif de la tête et Ysolde fixa sa tante, toujours en larmes. Elle était furieuse.
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MessageSujet: Re: FAMILY TIES ARE BASED ON TRUST. (sofia)   FAMILY TIES ARE BASED ON TRUST. (sofia) EmptyMer 17 Aoû - 20:31

J’ai juste une question : où étais-tu pendant les onze années les pires de ma vie ? Je m'attendais à ce genre de question. J'aurais été en colère moi aussi si j'avais été dans son cas. Je pris une profonde inspiration. Elle était cassante, froide et distante, une vraie Wilkes au final. Ma soeur n'avait jamais été comme cela. J'aurais tellement aimé qu'elle soit aussi douce qu'elle mais la douceur s'apprend au fil des années et j'avais de bonne raison de croire qu'elle allait y arriver. J'étais en train de pleurer sur la tombe de ma soeur et sur la tienne. Je passais mes mains dans mes cheveux et je regardais de chaque côté d'elle. Elle pleurait mais si je la prenais dans mes bras ça aurait été déplacé. Enfin je ne tenais pas longtemps et je la prenais dans mes bras. J'hésitais à lâcher mais je devais m'y résoudre quand elle me dit : Si... Si tu avais pensé à moi, une seule seconde, tu aurais essayé de me contacter ! Je la lâchais et je me calais bien au fond de ma chaise. Elle ne me croirait pas je le savais mais je devais bien sûre prendre sur moi et lui répondre. Je devais lui expliquer que je la pensais morte et que c'est qu'en voyant dans une gazette le nom de la famille Wilkes que je l'ai retrouvé mais me croirait-elle ? On m'a dit que tu étais morte que voulais-tu que je fasse d'autre hein ? Si je n'étais pas venue en Angleterre, jamais je ne t'aurait retrouvé si je n'avais pu vu ton nom dans la Gazette des Sorciers ! Je sentais presque de la colère monter en moi. Je ne savais pas comment lui expliquer le pourquoi du comment. En plus de cela personne ne sait vraiment pourquoi ma soeur avait disparu. Tu crois que je t'ai oublié ! Tu crois vraiment que j'aurais pu oublier ma nièce !!! Je sortais de ma poche une photo me montrant plus jeune avec ma mère et avec Ysolde bébé. Je la lui mettais dans devant les yeux. Je regardais la jeune serveuse déposer un verre de Whisky devant ma nièce; Je ne pouvais même pas l'accompagner comme j'étais enceinte je devais faire attention à moi. Je ne pouvais pas m'empêcher de l'aimer après tout c'était ma nièce. Je regardais la serveuse repartir. Boire ne lui servirait pas à grand chose mais je ne disais rien. Je n'avais pas vraiment le droit de lui dire quoi que se soit. Je me détestais presque à cet instant. Si j'avais voulu j'aurais pu essayer de la retrouver j'aurais pu mais au lieu de cela j'avais pleuré la mort de ma soeur et je m'étais concentrée sur ma carrière professionnelle. Tu crois que je n'ai pas assez souffert ? On m'a menti ! On m'a dit que tu étais morte Ysolde. J'étais dans le noir comme toi ! Tu ne peux pas me reprocher de ne pas t'avoir chercher, tu as fait la même chose que moi Ysolde et tu sais très bien comment sont les Wilkes. Je me calais bien au fond de mon siège. J'avais des nausées à sentir l'odeur du whisky qu'elle avait devant son nez. Je me demandais combien de temps j'allais pouvoir tenir sans me lever en courant pour aller vomir. Je posais ma main sur la sienne et j'essayais de la rassurer. Je serais là pour elle quoi qu'elle puisse penser.
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Ysölde M. Wilkes McFays
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MessageSujet: Re: FAMILY TIES ARE BASED ON TRUST. (sofia)   FAMILY TIES ARE BASED ON TRUST. (sofia) EmptySam 20 Aoû - 21:36

J'étais en train de pleurer sur la tombe de ma soeur et sur la tienne. La sienne ? ysolde ne compris pas et cru avoir mal entendu. Elle était ailleurs écoutant à moitié les propos de sa tante, elle était furieuse, tellement furieuse. Ce n’était pas Sofia qui la mettait hors d’elle, c’était tout. sa vie, ses soit-disant amis, ces gens en qui elle avait eut confiance, elle ne savait plus ou elle en était, et elle était furieuse, totalement furieuse. On m'a dit que tu étais morte que voulais-tu que je fasse d'autre hein ? Si je n'étais pas venue en Angleterre, jamais je ne t'aurait retrouvé si je n'avais pu vu ton nom dans la Gazette des Sorciers ! elle marqua une pause, Ysolde ne la regardait pas, elle était ailleurs, furieuse, triste, totalement perdue. Tu crois que je t'ai oublié ! Tu crois vraiment que j'aurais pu oublier ma nièce !!! La serveuse lui amena son verre, elle le fixait, le regard baissé. Elle avait les larmes aux yeux, elle pleurait en silence. De toute sa vie, elle n’avait jamais pleuré. L’amnésique Ysolde avait pleuré lors du bal quand elle avait perdu momentanément la vue, et elle avait pleuré quand Ulysse l’avait frappé, quand elle c’était aperçu que l’homme qu’elle aimait n’était qu’un monstre. Elle avait pleuré quand elle était enfant, mais du jour où elle avait perdu la mémoire elle n’avait plus, jamais, plus jamais pleuré, sauf ces deux fois là. Depuis qu’elle avait retrouvé la mémoire elle se sentait faible, dés qu’elle était seule, Ysolde fondait en larme ce demandant ce qu’elle avait bien pu faire pour mériter une vie pareil : il ne lui restait qu’une amie, trois de ses anciens amis s’en prenaient à elle violemment, plus aucuns serpentard ne lui adressait la parole, elle était de sang mêlé, elle était incapable d’être honnête avec ses sentiments, elle avait repoussé le type qui lui plaisait, elle se sentait… Inhumaine parfois. Tu crois que je n'ai pas assez souffert ? On m'a menti ! On m'a dit que tu étais morte Ysolde. J'étais dans le noir comme toi ! Tu ne peux pas me reprocher de ne pas t'avoir chercher, tu as fait la même chose que moi Ysolde et tu sais très bien comment sont les Wilkes. Comment sont les Wilkes ? Ysolde était une Wilkes, elle n’était pas fière d’avoir un père comme le sien, mais elle restait une Wilkes, c’était à croire que Sofia la mettait dans le même panier que son père, c’était… blessant. Tellement blessant, de son père elle n’avait hérité que de la couleur de cheveux. Elle fulminait, terriblement. JE NE ME SOUVENAIS PAS DE TOI ! Comment aurais-je pu chercher quelqu’un dont je ne me souvenais même pas ? Lâcha Ysolde les dents serrée, elle était cassante, et surtout en larmes. Elle n’avait jamais pleuré comme ça, jamais, ô grand jamais. Tu n’étais pas dans le noir comme moi, personne n’a jamais été dans le noir comme moi. Toute ma vie, ma vie entière n’a été qu’un mensonge. Ils m’ont toujours menti, ma mère était soit disant morte dans un accident provoqué par des moldus, je suis sois disant de sang pur, je ne me souvenais de rien, j’ai réapprendre mon nom, j’ai jamais su qui j’étais, comme tu peux oser dire que tu étais dans le noir, tu ne sais rien de ce qu’est ce qu’est réellement « être dans le noir » ! On ne m’a jamais aimé, on ne m’a jamais dit qu’on était fière de moi, la seule chose qu’on ma dit c’est « tiens-toi droite », arrête de faire ta tête de mule, jamais un mot gentil ! C’est comme si j’étais toujours dans le noir ! Elle marqua une pause, elle était furieuse… non, elle était effondrée, les yeux rouges, elle qui s’était même maquillé comme tout les jours voyait son mascara couler, elle avait l’air si stupide. Je ne me souvenais pas du nom de ma mère, ni même de son visage, de sa voix, de rien. Elle était vexée, vexée qu’elle lui dise « tu sais comment son les Wilkes », ça lui avait fait mal, elle avait été une Wilkes toute sa vie, qu’elle le veuille ou non. Je… ma mère a été une étrangère dans mes rêves, dans mes… flash, je la voyais sans savoir qui c’était. Flash, elle ne voulait pas dire vision, elle n’en avait jamais parlé, à personne, pour Emrys, elle avait usé le terme de cauchemar, mais ce n’était pas des cauchemars, c’était des visions éveillé au beau milieu de la nuit, et parfois même en plein jour, elle avait essayé de se documenter, mais seule, comment peut on trouver des choses, à ce stade là.
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MessageSujet: Re: FAMILY TIES ARE BASED ON TRUST. (sofia)   FAMILY TIES ARE BASED ON TRUST. (sofia) EmptyMer 31 Aoû - 19:16

Elle ne me répondait même pas. J'avais l'impression de parler dans le vide. Je ne savais plus quoi penser. Avais-je eu tord de lui envoyer le hibou pour lui donner un rendez-vous ? Je le pensais de plus en plus. Je ne veux pas dire par là que je regrette de l'avoir retrouver. Je veux dire que je suis déçue par son attitude. Je ne m'attendais pas à ce qu'elle me tombe dans les bras mais je pensais qu'elle m'aurait posé des questions mais au lieu de cela elle restait muette. Au moins je pouvais voir qu'elle compensait sa tristesse dans un vice. Apparemment, elle avait décidé de boire de l'alcool quand à moi j'avais de plus en plus envier de fumer et je pensais que j'allais bientôt allumer une de mes cigarettes pour me calmer un peu. Je sais bien que dans mon état ce n'est pas la meilleure des solution mais j'avais besoin de cela pour que je retrouve mes capacités. Je ne voulais pas m'engueuler avec elle mais apparemment elle en avait décidé autrement. Je sentais déjà mon ventre se tordre de douleur. Je ne devais pas m'énerver je vous en prie que je me calme. JE NE ME SOUVENAIS PAS DE TOI ! Comment aurais-je pu chercher quelqu'un dont je ne me souvenais même pas ? Je souriais en coin. J'aurai pu lui retourner la même question. Comment aurais-je pu chercher une personne que je pensais morte ? Mais je ne disais rien. Ma main se posa sur mon bas ventre qui se tordait. Trop de pression, je le sentais mais je ne pouvais pas la laisser comme cela. Je devais être plus forte, moins faible. Tu n'étais pas dans le noir comme moi, personne n'a jamais été dans le noir comme moi. Toute ma vie, ma vie entière n'a été qu'un mensonge. Ils m’ont toujours menti, ma mère était soit disant morte dans un accident provoqué par des moldus, je suis sois disant de sang pur, je ne me souvenais de rien, j’ai réapprendre mon nom, j’ai jamais su qui j’étais, comme tu peux oser dire que tu étais dans le noir, tu ne sais rien de ce qu’est ce qu’est réellement « être dans le noir » ! On ne m’a jamais aimé, on ne m’a jamais dit qu’on était fière de moi, la seule chose qu’on ma dit c’est « tiens-toi droite », arrête de faire ta tête de mule, jamais un mot gentil ! C’est comme si j’étais toujours dans le noir ! Et elle pleurait. Et moi je restais de marbre. Je ne pouvais pas me laisser submerger par les émotions. Je devais être plus calme qu'elle, j'étais une adulte. Elle pensait que je ne savais pas ce que c'était que d'être dans le noir mais c'était faux. Je le savais autant qu'elle. Elle pensait que j'avais tord mais je ne voulais pas la contrarier. Je l'écoutais alors sans dire un mot. Je ne me souvenais pas du nom de ma mère, ni même de son visage, de sa voix, de rien. Je... ma mère a été une étrangère dans mes rêves, dans mes... flash, je la voyais sans savoir qui c'était. Des flash ? Elle parlait certainement de vision. Ma soeur en avait mais pas des fortes. C'est ma mère qui en avait beaucoup et des fortes. On aurait dit qu'elle avait des migraines faramineuses. Je ne voulais pas penser que ma nièce pouvait vivre cela. Mama en avait des comme toi. Si tu veux, elle pourra t'aider à les calmer un peu. Je voulais te proposer de venir vivre avec moi. Je sais que c'est un peu prématuré mais je pourrais peut être me rattraper si je te protège à partir de maintenant. Qu'en penses-tu ? J'étais vraiment d'humeur changeante en ce moment et c'était à cause de ma grossesse. D'ailleurs l'odeur de son alcool me mettait de plus en plus mal à l'aise. Je mettais ma main sous mon nez sentant monter la nausée. Excuse moi mais tu peux éloigner ta boisson son odeur me donne envie de vomir et j'aimerais autant garder mon état secret pendant un moment si ça ne te gêne pas. Je lui souriais mais je gardais toujours ma main sous mon nez. Je ne voulais vraiment pas vomir. Je savais que je ne calmais pas ses craintes ou sa peine mais je savais pertinemment que je ne pouvais pas la rassurer. Je pouvais simplement être une personne présente pour elle. Je voulais être sa nouvelle amie et une tante cool, j'espérais qu'elle accepterait ma proposition. D'ailleurs ça me faisait penser que je devrais en parler à Timothy rapidement.
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